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PREMIÈRE AUDITION

1) Ouverture de l'audition

Assistant d'audience : à ____ heures, le jour ____ de l'année ______, nous


sommes constitués dans la salle d'audience ____________ pour tenir l'audience
de contrôle de la détention/d'inculpation dans l'affaire pénale ________ qui fait
l'objet d'une enquête à l'encontre de ___________ pour le crime de
________________. Conformément à l'article 58 du Code national de procédure
pénale, les personnes présentes sont priées de rester dans cette salle avec
respect et en silence. Il leur est rappelé qu'il est strictement interdit d'introduire des
équipements ou des instruments permettant d'enregistrer des images vidéo, des
sons ou des graphiques ; ils ne doivent pas non plus introduire d'armes ou adopter
un comportement intimidant, provocant ou indécent, ni modifier ou affecter le
déroulement de l'audience. Dans ce cas, l'une des mesures prévues à l'article 355
du code précité sera appliquée, qui peut aller de l'avertissement à l'arrestation
pendant trente-six heures. Enfin, je demande à l'assistance de se lever pour
accueillir le juge ________________________, qui présidera l'audience.

Présents : Debout.

Le juge entre dans la salle d'audience.

Juge : Veuillez vous asseoir.

Les participants prennent place

Le jour _____ du mois de _____ de l'année _____, à _____ heures, cet organe
juridictionnel procède au contrôle initial de la détention et à l'audience de mise en
accusation sur la base de l'article 307 du code national de procédure pénale, dans
le cadre de l'affaire pénale indiquée par le greffier.

Je demande à l'assistant de justice : Des journalistes ou des médias sont-ils


présents à cette audience ?

(1) Si non.

Assistant de justice : Non, Monsieur le juge, aucun journaliste ou média n'est


présent à cette audience.
Allez à "Individualisation des parties" (point 2).

(2) Si oui.

Assistant de justice : Oui, Monsieur le Juge, des journalistes et des médias sont
présents à cette audience.

Juge : J'informe les journalistes et les médias présents que, conformément à


l'article 55 du Code national de procédure pénale, l'un des droits de l'accusé est de
ne pas être exposé aux médias, conformément à la section XIV de l'article 113 du
Code. En vertu de ce qui précède, les journalistes et les médias sont priés de
rester à l'endroit où ils ont été localisés et de s'abstenir d'enregistrer et de diffuser
par quelque moyen que ce soit la présente audience.

2) Individualisation des parties

Juge : Une fois l'audience ouverte, nous passerons à l'étape de l'individualisation.


Elle commence avec le ministère public, la victime ou la partie lésée (si elle est
présente), son conseiller juridique (s'il est présent), l'avocat de la défense et
l'accusé. Le ministère public a la parole.

Ministère public : Licenciado(a) ___________, avec le numéro de la carte


d'identité professionnelle _______, avec l'adresse pour recevoir les notifications à
______ et (si vous le jugez opportun), en indiquant comme moyen d'être notifié par
e-mail, fax, téléphone ou tout autre _______.

Juge : La victime ou la personne offensée a le droit de s'exprimer.

La victime ou la partie lésée (si elle est présente): ___________, avec l'adresse
pour recevoir les notifications à ______ et (s'il le juge opportun), en indiquant
comme moyen d'être notifié par e-mail, fax, téléphone ou tout autre moyen
_______.

Juge : S'adresse à la victime ou à la personne offensée. Monsieur _____,


conformément à la section I, paragraphe C, de l'article 20 de la Constitution, vous
avez le droit d'être conseillé par un avocat, que vous pouvez choisir librement ; si
vous ne voulez pas ou ne pouvez pas désigner un avocat, ce tribunal vous
désignera un conseiller juridique public. Qui désignez-vous comme conseiller ?

Victime/agressé : Je désigne ___________.


Juge : Ce tribunal a désigné l'avocat __________________ comme son conseiller
juridique à toutes fins utiles. Je rappelle à la victime ou à la partie lésée qu'à tout
moment de la procédure, elle peut agir par elle-même ou par l'intermédiaire de son
conseiller juridique, qui ne favorisera que ce dont vous l'aurez préalablement
informée.

Victime/agresseur : Oui, Monsieur le juge.

Juge : Le conseiller juridique de la victime ou de la partie lésée a la parole pour


procéder à l'individualisation de la victime ou de la partie lésée.

Conseiller juridique ( le cas échéant): Avocat ___________, avec le numéro de


carte d'identité professionnelle _______, avec l'adresse pour recevoir les
notifications à ______ et (si vous le jugez opportun) en indiquant comme moyen
d'être notifié par e-mail, fax, téléphone ou tout autre moyen _______.

Juge : L'accusé a la parole.

Accusé : ___________, avec l'adresse pour recevoir les notifications à ______


(s'il est détenu, ce sera au lieu de détention) et (s'il le juge opportun) en indiquant
comme moyen d'être notifié par courrier électronique, par fax, par téléphone ou par
tout autre moyen _______.

Juge : S'adressant à l'accusé. Monsieur _____, conformément à la section VIII du


paragraphe B de l'article 20 de la Constitution, vous avez droit à une défense
adéquate par un avocat que vous pouvez choisir librement ; si vous ne voulez pas
ou ne pouvez pas désigner un avocat, ce tribunal vous désignera un défenseur
public. Qui désignez-vous comme défenseur des droits de l'homme ?

Accusé : Je désigne ___________.

Juge : Connaissez-vous les obligations qui vous incombent en vertu de l'article


117 du Code national de procédure pénale ?

Defender: Yes, Your Honour, I am aware of that.


Juge : Ce tribunal a désigné l'avocat __________________ à toutes fins utiles. Je
rappelle à l'accusé que l'intervention de son défenseur n'affecte pas son droit
d'intervenir, de formuler des demandes et de faire des déclarations qu'il juge
appropriées. L'avez-vous compris ?
Accusé : Oui, Monsieur le juge.

Juge : L'avocat de l'accusé a la parole pour procéder à l'individualisation de


l'accusé.

Défenseur : Avocat ___________, avec numéro de carte d'identité professionnelle


_______, avec adresse pour recevoir les notifications à ______ et (si cela est jugé
opportun) en indiquant comme moyen d'être notifié par e-mail, fax, téléphone ou
tout autre moyen _______.

Monsieur le Juge : J'informe les parties que l'adresse qu'elles ont indiquée sera le
lieu où elles recevront les notifications au cours de la procédure ; en cas de
modification, elles doivent m'en informer en temps utile, faute de quoi elles seront
notifiées conformément aux dispositions de la section II de l'article 82 du code de
procédure, c'est-à-dire au moyen d'une liste, d'un avis judiciaire ou d'un bulletin
judiciaire, selon le cas.En cas de modification, ils seront avisés conformément aux
dispositions de la section II de l'article 82 du code adjectif en la matière, c'est-à-
dire au moyen d'une liste, d'un bordereau ou d'un bulletin judiciaire, selon le cas.

De même, nous vous informons que toutes les résolutions adoptées oralement au
cours de cette audience et des suivantes, le cas échéant, seront notifiées aux
participants à ces audiences, qui sont tenus d'y assister formellement,
conformément à l'article 63 du code susmentionné.

3) Vérification des connaissances


Droits constitutionnels et juridiques

Juge : Après avoir identifié les personnes présentes à cette audience, je demande
à l'accusé, M. _________ : Avez-vous été informé à l'avance de vos droits
constitutionnels et légaux ?

Accusés :

(1) Si oui. Oui, Votre Honneur, j'ai été informé de mes droits constitutionnels et
légaux.

(2) Si non. Non, Votre Honneur, je n'ai pas été informé de mes droits
constitutionnels et légaux.
Juge : Étant donné que l'accusé a déclaré ne pas avoir été informé de ses droits
constitutionnels et légaux, la Cour va les lire.

Juge : Je demande ensuite à la victime/personne offensée, M. _________ : Avez-


vous été informé à l'avance de vos droits constitutionnels et légaux ?

Victime ou personne offensée :

(1) Si oui. Oui, Votre Honneur, j'ai été informé de mes droits constitutionnels et
légaux.

(2) Si non. Non, Votre Honneur, je n'ai pas été informé de mes droits
constitutionnels et légaux.

Juge : Étant donné que la victime ou la partie offensée a déclaré ne pas avoir été
informée de ses droits constitutionnels et légaux, ce tribunal va les lire.

4) Qualification de la détention. Dans le cas d'un procès sans détenu, en


exécution d'une citation à comparaître ou d'un mandat d'arrêt, passez à la
"Formulation de l'acte d'accusation" (point 5).

Juge : Le ministère public a la parole pour justifier les raisons de l'arrestation.

Le ministère public : Étant donné que l'objectif de cette phase de l'audience est
uniquement d'argumenter et de contester les circonstances de la détention, le
ministère public devrait se limiter à indiquer brièvement et ponctuellement les
circonstances de la manière, de l'heure et du lieu où la détention a eu lieu, qu'il
s'agisse d'un flagrant délit ou d'une affaire urgente, et à indiquer les preuves avec
lesquelles il soutient sa présentation, en terminant par une demande au tribunal de
qualifier la détention comme étant légale.Le ministère public devrait se limiter à
indiquer brièvement et ponctuellement les circonstances de la manière, de l'heure
et du lieu de l'arrestation, qu'il s'agisse d'un flagrant délit ou d'une affaire urgente,
et à indiquer les preuves sur lesquelles il s'appuie, en terminant par une demande
au tribunal de qualifier l'arrestation de légale.

Juge : En vertu de l'article 66 du code national de procédure pénale, la victime, la


partie lésée ou son conseiller juridique ont le droit d'exprimer leur point de vue sur
ce que le ministère public a indiqué au sujet de la détention de l'accusé.

Conseiller juridique : Il s'exprime sur la détention.


Juge : L'accusé ou son avocat a le droit de s'exprimer.

Défenseur : il/elle parle de la détention.

Juge : Le débat est clos et la Cour statue sur la demande du ministère public de
qualifier la détention de l'accusé de légale.

(1) Dans le cas où la détention est jugée légale

Après avoir entendu les parties, la Cour estime que les motifs de détention
exposés par le ministère public sont justifiés sur la base des faits suivants :
__________________________________________________________________
_________________________________________________________________.

Ce qui précède ressort clairement des éléments de preuve présentés à l'audience,


les éléments suivants étant pertinents pour la décision prise par la Cour :
__________________________________________________________________
_____________________________________________.

Les faits et éléments de preuve susmentionnés amènent la Cour à conclure qu'en


l'espèce, la détention de ____________ relève de l'hypothèse de la
flagrance/urgence prévue à l'article 16 de la Constitution et à l'article 146 (150 en
cas d'urgence) du code national de procédure pénale.

De même, cet organe judiciaire a pu vérifier, grâce au numéro d'enregistrement


_________, présenté à l'audience par le ministère public, que l'arrestation de M.
___________ a été effectuée à ___________ heures du jour _________ par
_________ ; et que le détenu a été mis à la disposition du ministère public à
_________ heures du jour _________. que l'arrestation a été effectuée à _____
heures du jour ______ en charge de _________ ; et que le détenu a été mis à la
disposition du ministère public à ______ heures du jour _____, ce qui est consigné
dans l'enregistrement numéro ___________ du ministère public. Au vu de ce qui
précède, et étant donné que cette audience a été déclarée ouverte à ____ heures
sur ______, la Cour conclut que la détention de M. _________ a respecté le délai
constitutionnel de 48 heures prévu à l'article 16 de la Constitution.
(En cas d'infraction pénale nécessitant une plainte pénale) : il convient également
d'indiquer que l'infraction pour laquelle la personne __________ a été arrêtée,
c'est-à-dire l'infraction de __________, est une infraction pénale nécessitant une
plainte pénale conformément à l'article __________. Cette condition est remplie
puisque la victime ou la partie offensée a été informée de l'arrestation de M.
______________ sur ____ à ____ heures, et a déposé une plainte auprès du
ministère public sur ______ à _______ heures. Par conséquent, il ne s'est pas
écoulé plus de 12 heures entre la notification de la victime ou de la partie lésée et
le dépôt de la plainte, comme le permet l'article 148 du code national de procédure
pénale. Pour les raisons susmentionnées, et sur la base des articles 16 de la
Constitution et 308 du code susmentionné, ce tribunal ratifie la détention de
l'accusé, M. _______________________.

Aux termes de l'article 67 du code adjectif en la matière, il est ordonné que cette
résolution soit transcrite.

Puisque ce tribunal a ratifié la détention, M. _____________________ doit rester


en détention pendant l'audience initiale jusqu'à ce qu'une décision soit prise sur
son placement ou non en détention provisoire.

Passez à la "Formulation de l'accusation" (point 5).

(2) Si la détention n'est pas considérée comme légale

Après avoir entendu les parties, la Cour qualifie la détention de ______________


d'illégale, étant donné que, d'après ce qui a été dit à l'audience et les preuves
présentées concernant les circonstances de sa détention, les conditions énoncées
aux articles 16 de la Constitution et 146 (150 urgence) du Code national de
procédure pénale pour les cas de flagrant délit/urgence ne sont pas remplies. Ces
articles exigent que pour qu'un cas de flagrant délit/urgence soit établi, il doit y
avoir _________________, et dans ce cas, l'arrestation de _____________ ne
répond pas à l'exigence de ___________________.

Par conséquent, sur la base de l'article 16 de la Constitution et de l'article 308 du


code susmentionné, et dans le strict respect des droits de l'homme qui régissent
ce système de justice pénale, il est ordonné de libérer immédiatement M.
__________________, sans préjudice de la possibilité pour le ministère public de
poursuivre l'enquête et de demander ensuite une audience pour formuler l'acte
d'accusation en suivant les règles de l'audience sans détenu. Envoyer une lettre
officielle au directeur du centre de réinsertion sociale aux fins susmentionnées.

Je demande au procureur général : Avez-vous une autre demande ? Lors de la


même audience, il peut demander la mise en liberté de l'accusé, en fixant la date
et l'heure de l'audience initiale, qui doit avoir lieu dans les 15 jours suivant la
demande (art. 310 CNPP). Il peut également demander un mandat d'arrêt (art. 143
CNPP).
(Si non)

Passez à "Droit de parole du défendeur ou de son défenseur" (point 10) puis


à "Clôture de l'audition 1" (point 11).

(Si oui, demande d'audition)

Ministère public : Oui, Monsieur le juge, il est demandé qu'une date et une heure
soient fixées pour l'audition de l'acte d'accusation.

Juge : Conformément à la demande du ministère public, ____________ est par la


présente cité à comparaître devant ce tribunal le ____ à _____ pour l'audience
initiale de formulation des accusations portées contre lui par le ministère public,
toutes les personnes présentes étant dûment notifiées conformément à l'article 63
du code adjectif pertinent.

Passez à "Droit de parole du défendeur ou de son défenseur" (point 10) puis


à "Clôture de l'audition 2" (point 11).

5) Formulation de l'accusation

Juge : Conformément à l'article 311 du Code national de procédure pénale, le


ministère public a la parole pour présenter son acte d'accusation. Monsieur
_______________, je vous demande d'être attentif à la présentation que fera le
ministère public, car il vous informera du ou des faits que la loi indique comme un
crime pour lequel une enquête est menée contre vous.

Procureur général : Le procureur général explique à l'accusé l'acte qui lui est
imputé, la qualification juridique préalable, la date, le lieu et la manière dont il a été
commis, la forme d'intervention qu'il a eue dans cet acte, ainsi que le nom de son
accusateur (article 311 du code national de procédure pénale).

Juge : M. ________________ : Comprenez-vous les faits que le ministère public


vient de vous attribuer ?

Accusé : Oui, je comprends.

6) Possibilité de témoigner
Juge : Monsieur ________________, ce tribunal vous informe que, conformément
à l'article 309 du code national de procédure pénale, vous avez le droit de
témoigner à cette audience afin de répondre aux accusations que le ministère
public vient de porter contre vous. Tout ce que vous dites peut être utilisé contre
vous. Si vous le souhaitez, vous pouvez vous abstenir et garder le silence, ce qui
ne pourra pas être utilisé contre vous. Je vous demande de consulter votre avocat
et de me dire si vous décidez librement de témoigner à cette audience.

Accusés :

(Si non)

Passez à la rubrique "Engagement pour le procès" (point 7).

(Si oui) L'accusé est invité à se présenter à la barre.

Juge : Monsieur ________________, je vais vous demander quelques


informations générales sur votre personne et je vous informe que, conformément à
l'article 309 du code adjectif, vous ne pouvez pas refuser de donner votre identité
complète, vous pouvez donner vos coordonnées à haute voix ou, si vous le
préférez, elles peuvent être notées séparément et gardées confidentielles. Je vous
demande instamment de faire preuve de sincérité. Avez-vous compris ce que j'ai
dit ?

Accusé : Oui.

Le défendeur fournit des informations sur son identité.

Juge : Monsieur ________________, vous allez faire votre déclaration, après quoi
le ministère public, le conseiller juridique de la victime ou de la partie lésée et votre
défense auront la parole pour vous poser des questions sur votre déclaration, je
vous informe que vous ne serez pas obligé de répondre aux questions qui
pourraient vous être posées. Comprenez-vous ce que je dis ?

Accusé : Oui, je comprends.

Juge : Vous pouvez maintenant faire votre déclaration.

Accusé : État.
Juge : M. _______, on va maintenant vous poser des questions sur votre
déclaration. Je vous rappelle que vous n'êtes pas obligé de répondre aux
questions qui pourraient vous être posées, et je vous demande, si vous entendez
le mot "objection", de ne pas répondre à la question posée jusqu'à ce que ce
problème soit résolu. Comprenez-vous ce que j'ai dit ?

Accusé : Oui, je comprends.

Juge : Le ministère public a la parole.

Procureur général : Posez des questions.

Accusé : répond aux questions ou refuse de le faire.

Juge : Le conseiller juridique de la victime ou de la partie lésée a la parole.

Conseiller juridique de la victime/personne lésée : Posez des questions.

Accusé : répond aux questions ou refuse de le faire.

Juge : L'avocat de la défense a la parole.

Défenseur : Poser des questions.

Accusé : répond aux questions ou refuse de le faire.

À l'issue du débat, la partie défenderesse est invitée à quitter le box des témoins.

7) Engagement pour le procès

M. le juge : Y a-t-il d'autres demandes ?

Ministère public : Oui, Monsieur le juge, l'accusation demande que l'accusé soit
jugé.

Juge : S'adressant à l'accusé. Monsieur ____________, le ministère public a


demandé à ce tribunal de statuer sur le renvoi en jugement des faits qui vous sont
reprochés, c'est-à-dire que le ministère public considère qu'il dispose d'éléments
suffisants pour considérer qu'un crime a été commis et qu'il existe en outre une
probabilité que vous l'ayez commis ou que vous ayez participé à sa commission.Le
ministère public considère qu'il dispose d'éléments suffisants pour considérer qu'un
acte que la loi qualifie de crime a été commis et qu'il existe en outre une probabilité
que vous l'ayez commis ou que vous ayez participé à sa commission.
L'ordonnance de renvoi a pour effet d'établir l'acte ou les actes criminels sur la
base desquels les poursuites seront engagées.

Conformément à l'article 16 de la Constitution, vous avez le droit de décider si


vous souhaitez que le tribunal statue sur le renvoi en jugement à la présente
audience ou si vous souhaitez vous prévaloir du délai constitutionnel de 72 heures
ou de sa prolongation jusqu'à 144 heures, auquel cas le tribunal fixera une date et
une heure pour la suite de l'audience.

Je vous demande de consulter votre avocat et d'indiquer à ce tribunal si vous


souhaitez que cette audience se tienne à cette date, si vous souhaitez invoquer le
délai constitutionnel ou demander qu'il soit doublé.

(1) En cas d'invocation du délai constitutionnel de 72 heures ou de sa


duplication.

Le juge : Étant donné que le prévenu ______ a exprimé son souhait que ce
tribunal statue sur la demande de renvoi en jugement du ministère public dans le
délai constitutionnel de 72 heures/sa duplicité, conformément à l'article 313 du
code national de procédure pénale, le lendemain ____ à ___ heures est fixé pour
la suite de cette première audience.

L'accusé est informé de son droit de demander l'assistance judiciaire pour citer des
témoins ou des experts à l'audience de mise en accusation, et doit demander cette
assistance au moins quarante-huit heures avant l'heure et la date fixées pour
l'audience. Dans le cas contraire, vous devrez présenter vos preuves lors de
l'audience d'incarcération.

Y a-t-il d'autres demandes ?

(Si oui)

Ministère public : Oui, Monsieur le juge, l'imposition de mesures de précaution


est demandée.

Passez à "Imposition d'une mesure conservatoire" (point 8), puis à "Droit de


parole de la personne mise en cause ou de son défenseur" (point 10) et enfin
à "Clôture de l'audience 3" (point 11).
(Si non)

Passez à "Droit de parole du défendeur ou de son défenseur" (point 10), puis


à "Clôture de l'audience 4" (point 11).

(2) Poursuite de l'audience initiale

Juge : Après l'ouverture de l'audience et l'identification des parties, conformément


à l'article 315 du code national de procédure pénale, ce tribunal procède à
l'audition des preuves (s'il y en a) présentées par l'accusé.

Les preuves sont entendues.

Juge : Le ministère public a la parole pour demander et motiver la décision de


l'accusation de traduire l'accusé en justice.

Le ministère public : il s'agit du ministère public, qui expose les éléments de


preuve avec lesquels il considère qu'un fait est établi, que la loi désigne comme un
crime et la probabilité que l'accusé l'ait commis ou ait participé à sa commission.

Juge : La défense a la parole pour répondre à la demande.

Médiateur : Répond à la demande.

Juge : Résolu.

(A) Ordonnance de saisie.

La Cour considère que, sur la base de l'enquête présentée par le ministère public,
il existe des preuves suffisantes pour établir que le crime de ______ prévu à
l'adresse ______ a été commis et qu'il existe une probabilité que l'accusé _______
l'ait commis ou ait participé à sa perpétration. Il existe des preuves prima facie qui
suggèrent que c'est le cas :
_______________________________________________________.

De même, la Cour ne trouve pas de motif d'extinction de l'action pénale ou


d'exclusion de l'infraction dans le cas présent et, étant donné que l'accusation a
été formulée et que l'accusé a eu l'occasion de témoigner, il est résolu ce qui suit :
Sur la base de l'article 316 du code national de procédure pénale, ce tribunal
conclut que les conditions légales correspondantes ont été remplies et que
l'accusé est inculpé _______________________ pour les faits qui font l'objet de
l'accusation. Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la
présente résolution soit transcrite.

M. le juge : Y a-t-il d'autres demandes ?

(Si oui)

Ministère public : Oui, Monsieur le juge, l'imposition de mesures de précaution


est demandée.

Passez à la rubrique "Imposition de mesures provisoires" (point 8).

(Si non)

Voir "Déclaration du délai de clôture de l'enquête" (point 9).

(B) Non contraignant.

Option 1. La Cour considère que le contexte de l'enquête présenté par le ministère


public ne fournit pas de preuves suffisantes pour établir que le crime de ______ a
été commis, et qu'il n'y a aucune probabilité que l'accusé _______ l'ait commis ou
ait participé à sa perpétration.

Option 2. La Cour considère que, sur la base de l'enquête présentée par le


ministère public, il existe des preuves suffisantes pour établir que le crime de
______ prévu à l'adresse ______ a été commis, mais qu'il n'y a pas de preuves
suffisantes pour conclure qu'il existe une probabilité que l'accusé _______ l'ait
commis ou qu'il ait participé à sa commission.
De ce qui précède, compte tenu de ce que le ministère public a déclaré et des
preuves apportées à la présente audience (le cas échéant), il est clair que
_________________________________________________________________.

Pour les raisons exposées ci-dessus, et sur la base de l'article 319 du code
national de procédure pénale, la Cour estime que les conditions juridiques
nécessaires pour que l'accusé soit jugé sur le site _______________________ ne
sont pas réunies. Par conséquent, la libération immédiate de l'accusé (s'il est privé
de sa liberté) est ordonnée , révoquant les mesures de précaution de _______ de
la mesure de précaution de ______________ décrétée par _________ sur ______
(le cas échéant ). Envoyer une lettre officielle au directeur du centre de réinsertion
sociale aux fins susmentionnées (le cas échéant). Conformément à l'article 67 du
code précité, il est ordonné que la présente résolution soit transcrite.

De même, l'accusé est informé que, nonobstant le fait que ce tribunal a rendu une
ordonnance de non-inculpation dans cette audience, et étant donné que le rejet de
l'action pénale dans cette affaire n'a pas été décrété, le ministère public peut
poursuivre l'enquête et formuler ultérieurement un nouvel acte d'accusation, sur la
base de l'article 319 du code national de procédure pénale.n pénal dans ce cas, le
ministère public peut poursuivre l'enquête et formuler ultérieurement un nouvel
acte d'accusation, sur la base de l'article 319 du code national de procédure
pénale. L'avez-vous compris ?

Accusé : Oui, Monsieur le juge.

M. le juge : Y a-t-il d'autres demandes ?

(Si oui)

Ministère public : Oui, Monsieur le juge, l'imposition de mesures de précaution


est demandée.

Passez à "Imposition d'une mesure conservatoire" (point 8), puis à "Droit de


la personne mise en cause ou de son défenseur de s'exprimer" (point 10) et
enfin à "Clôture de l'audience 5" (point 11).

(Si non)

Passez à "Droit de parole du défendeur ou de son défenseur" (point 10) puis


à "Clôture de l'audience 6" (point 11).

8) Imposition de mesures provisoires

Ministère public/Conseiller juridique : Oui, Monsieur le Juge, l'imposition de


mesures de précaution est demandée (anticipée dans le cas du respect du délai
constitutionnel de 72 heures ou 144 heures).

Juge : Une fois que les conditions procédurales prévues à l'article 154 du code
national de procédure pénale ont été remplies, cette juridiction donne la parole au
ministère public/à la victime ou à la partie lésée ou à leur conseiller juridiquepour
demander l'imposition de mesures conservatoires.

Procureur général/conseiller juridique : indiquer la mesure de précaution


demandée et justifier la nécessité de l'imposer, soit pour assurer la sécurité de la
victime/l'auteur de l'infraction ou du témoin, soit pour éviter d'entraver le
déroulement de la procédure.

Juge : Le ministère public/la victime ou la partie offensée ou son conseiller


juridique a la parole pour dire ce qu'il/elle considère comme approprié.

Procureur général/conseiller juridique : Exposez votre cas comme vous


l'entendez.

Juge : L'accusé ou son avocat a le droit de prendre la parole pour dire ce qu'il
considère comme approprié.

Défenseur : Présentez vos arguments comme vous l'entendez.

Diffusion des données.

Juge : Après avoir entendu les parties, le tribunal statue sur la demande du
ministère public/de la victime ou de la partie lésée ou de leur conseiller juridique
concernant la nécessité d'imposer la mesure de précaution (anticipée le cas
échéant) de ___________ à l'accusé _________________.

(A) Si aucun

Le tribunal considère que, en appliquant le critère de l'intervention minimale en


fonction des circonstances particulières de chaque personne, conformément aux
dispositions de l'article 19 de la Constitution et au principe de proportionnalité
prévu à l'article 156 du Code national de procédure pénale, dans le cas présent,
l'imposition de la mesure de précaution à l'accusé n'est pas justifiée.En vertu de
l'article 156 du code national de procédure pénale, l'imposition de la mesure
conservatoire de ______________ à l'accusé _______________ n'est pas justifiée
en l'espèce, étant donné qu'il ressort clairement de ce qui a été présenté lors de
cette audience que :

A.1______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 168 du code susmentionné,
ne démontre pas qu'il existe un risque que l'accusé soit soustrait à la procédure
___________.

A.2______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 170 du code susmentionné,
ne démontre pas que l'accusé ___________ représente un risque pour la sécurité
de la victime ou de la partie offensée, des témoins ou de la communauté.

A.3______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 169 du code susmentionné,
ne démontre pas qu'il existe un risque que l'accusé ___________ puisse entraver
le développement de l'enquête.
Pour les raisons exposées ci-dessus, et sur la base de l'article 153 du code adjectif
en la matière, ce tribunal rejette la demande du ministère public d'imposer la
mesure de précaution proposée. Conformément à l'article 67 du code national de
procédure pénale, il est ordonné que cette résolution soit transcrite.

(B) En cas d'imposition d'une mesure différente de celle demandée.

Le tribunal considère que, en appliquant le critère de l'intervention minimale en


fonction des circonstances particulières de chaque personne, conformément aux
dispositions de l'article 19 de la Constitution et au principe de proportionnalité
prévu à l'article 156 du Code national de procédure pénale, dans le cas présent,
l'imposition de la mesure de précaution à l'accusé n'est pas justifiée.En l'espèce,
l'imposition de la mesure conservatoire de ______________ à l'accusé
_______________ n'est pas justifiée. Cependant, d'après ce qui a été présenté
lors de cette audience, ce tribunal estime qu'il est nécessaire d'imposer une
mesure différente et moins contraignante que celle demandée, puisqu'il est clair
que.. :

B.1_____________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 168 du code susmentionné,
démontre qu'il existe un risque que l'accusé soit soustrait à la procédure
___________.
B.2______________________________________________________________,
qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 170 du code susmentionné,
démontre que l'accusé ___________ représente un risque pour la sécurité de la
victime ou de la partie offensée, des témoins ou de la communauté.

B.3______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 169 du code susmentionné,
démontre qu'il existe un risque que l'accusé ___________ puisse entraver le
développement de l'enquête.

Pour les raisons susmentionnées et sur la base de l'article 157 du code national de
procédure pénale, le tribunal rejette la demande du ministère public concernant
l'imposition de la mesure conservatoire proposée et impose la mesure
conservatoire de ____________________ prévue à l'article 155 du code, étant
donné qu'elle est nécessaire pour _____________________ et qu'il a été
démontré au cours de la présente audience que __________________________.
La mesure de précaution sera valable pour une période de ___________________
(dans le cas de la détention provisoire, elle ne pourra pas dépasser un an) et son
évaluation et sa supervision seront de la responsabilité de
____________________, pour laquelle une lettre sera envoyée à cette autorité
pour les effets correspondants. Aux termes de l'article 67 du code adjectif en la
matière, il est ordonné que cette résolution soit transcrite.

(C) Si oui

Après avoir entendu les parties à la présente audience, ce tribunal considère que,
en appliquant le critère de l'intervention minimale en fonction des circonstances
particulières de chaque personne, conformément aux dispositions de l'article 19 de
la Constitution et au principe de proportionnalité prévu à l'article 156 du Code
national de procédure pénale, dans le cas présent, l'imposition d'une mesure de
précaution à l'accusé est justifiée.En vertu des dispositions de l'article 19 de la
Constitution et du principe de proportionnalité prévu à l'article 156 du code national
de procédure pénale, l'imposition de la mesure conservatoire de ______________
à l'accusé _______________ est justifiée en l'espèce, étant donné qu'il est évident
que.. :

C.1______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 168 du code susmentionné,
démontre qu'il existe un risque de soustraction de l'accusé ___________ à la
procédure.

C.2______________________________________________________________,
qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 170 du code susmentionné,
démontre que l'accusé ___________ représente un risque pour la sécurité de la
victime ou de la partie offensée, des témoins ou de la communauté.

C.3______________________________________________________________,
ce qui, de l'avis de ce tribunal, sur la base de l'article 169 du code susmentionné,
démontre qu'il existe un risque que l'accusé ___________ puisse entraver le
développement de l'enquête.

Pour les raisons exposées ci-dessus, sur la base de l'article 153 du code national
de procédure pénale, ce tribunal approuve la demande du ministère public
d'imposer la mesure conservatoire proposée de ____________________, prévue
à l'article 155 du code de procédure pénale, car elle est nécessaire pour
_____________________ et il a été démontré au cours de cette audience que
__________________________. La mesure conservatoire est valable pour une
période de ___________________ (dans le cas de la détention provisoire, elle ne
peut excéder un an) et son évaluation et sa supervision sont effectuées par
____________________, une lettre étant envoyée à cette autorité pour les effets
correspondants. Conformément à l'article 67 du code national de procédure
pénale, il est ordonné que cette résolution soit transcrite.

9) Déclaration de la date limite de clôture de l'enquête

Juge : Le tribunal déterminera ensuite le délai de clôture de l'enquête


complémentaire, pour lequel les parties seront invitées à faire des propositions. Le
ministère public a la parole.

Ministère public : propose un délai pour la clôture de l'enquête complémentaire.

Juge : Le conseiller juridique de la victime ou de la partie lésée a la parole.

Conseiller juridique : propose un délai pour la clôture de l'enquête


complémentaire.

Juge : L'avocat de la défense a la parole.

Médiateur : propose un délai pour la clôture de l'enquête complémentaire.

Juge : Après avoir entendu les parties, ce tribunal, sur la base de l'article 321 du
code national de procédure pénale, fixe un délai de _______ pour la clôture de
l'enquête complémentaire, à compter de la clôture de la présente audience.

Les parties sont informées qu'à l'expiration de ce délai, le contrat sera considéré
comme clos, à moins que l'une ou l'autre des parties ne fasse une demande
justifiée de prolongation avant la fin du délai. Si le ministère public envisage de
clore l'enquête avant son terme, il en informe la victime ou l'offensé ou l'accusé
afin qu'ils puissent, le cas échéant, exprimer leur point de vue.

Une fois l'enquête complémentaire clôturée ou le délai fixé écoulé, le ministère


public doit demander le classement partiel ou total de l'affaire, la suspension de la
procédure ou, le cas échéant, le dépôt d'un acte d'accusation. Les parties se sont-
elles comprises ?

Parties : Oui, Monsieur le juge.

(10) Droit de parole de l'accusé ou de son défenseur

Juge : S'adressant à l'accusé. Monsieur ________________, aux termes de


l'article 66 du Code national de procédure pénale, la loi vous accorde, à vous ou à
votre défenseur, la possibilité de prendre la parole. Souhaitez-vous communiquer
quelque chose à la Cour ? Consultez votre médiateur.

Défendeur ou avocat de la défense : Exposez votre cas comme vous l'entendez.


Vous pouvez le faire de chez vous.

11) Clôture de l'audition

1) Qualification de détention illégale, sans demande d'audience de mise en


accusation.

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures aujourd'hui, la détention de M. ______________________ ayant
été déclarée illégale pour les raisons exposées dans cette audience. Par
conséquent, sur la base de l'article 16 de la Constitution et de l'article 308 du code
adjectif en la matière, et dans le strict respect des droits de l'homme qui régissent
ce système de justice pénale, la libération immédiate de M. est ordonnée, sans
préjudice du fait que le ministère public peut poursuivre l'enquête et demander
ultérieurement une audience pour formuler un acte d'accusation suivant les règles
d'une audience sans détention.La libération immédiate de M.
__________________ est ordonnée, sans préjudice du fait que le ministère public
peut poursuivre l'enquête et demander ultérieurement une audience pour formuler
l'acte d'accusation suivant les règles de l'audience sans détention.

Envoyer une lettre officielle au directeur du centre de réinsertion sociale aux fins
susmentionnées.
Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la présente
résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


du code de procédure civile.

D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.

L'audience est ajournée.

2. Qualification de la détention illégale, avec demande d'audience


d'inculpation.

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures aujourd'hui, la détention de M. ______________________ ayant
été déclarée illégale pour les raisons exposées dans cette audience. Par
conséquent, sur la base des articles 16 de la Constitution et 308 du Code national
de procédure pénale, et dans le strict respect des droits de l'homme qui régissent
ce système de justice pénale, il est ordonné que le détenu soit immédiatement
remis en liberté.En outre, le procureur général de la République peut, sans
préjudice de la possibilité pour le ministère public de poursuivre l'enquête et de
demander ultérieurement une audience pour formuler l'acte d'accusation en
suivant les règles de l'audience sans détenu, ordonner la libération immédiate du
détenu à l'égard de M. __________________. Envoyer une lettre officielle au
directeur du centre de réinsertion sociale aux fins susmentionnées.

De même, conformément à la demande du ministère public, l'audience pour la


formulation de l'acte d'accusation a été fixée à _____ à _____ heures.

Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la présente


résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


du code de procédure civile.
D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.

L'audience est ajournée.

3. Demande de mesures provisoires dans le délai constitutionnel.

M. le Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures aujourd'hui, et la suite de la présente audience de mise en
accusation est fixée à _____ à ____ heures. De même, en réponse à la demande
formulée par ______________, la mesure conservatoire de _______________
prévue à l'article 155 du code national de procédure pénale a été fixée pour une
période de ___________________, étant donné que la nécessité de
_________________ a été démontrée.

Notifier ____________________, l'autorité de surveillance pour les mesures


conservatoires et la suspension conditionnelle des procédures, afin qu'elle entame
le processus de surveillance.

(En cas de privation de liberté) Envoyer une lettre officielle au directeur du centre
de réinsertion sociale aux fins susmentionnées.

Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la présente


résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


du code national de procédure pénale.

D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.
Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle
_______________.

L'audience est ajournée.

4. Respect du délai constitutionnel sans recours en référé.


M. le Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures aujourd'hui, et la suite de la présente audience de mise en
accusation est fixée à _____ à ____ heures. Conformément à l'article 67 du code
national de procédure pénale, il est ordonné que cette résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


dudit code.

D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.

L'audience est ajournée.

5. Non mise en examen avec demande de mesures conservatoires

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures de ce jour, et l'acte d'accusation de l'accusé _______________
est rejeté pour les raisons énoncées dans la présente audience. De même, en
réponse à la demande formulée par ______________, la mesure de précaution de
_______________, prévue à l'article 155 du code national de procédure pénale,
est fixée pour une période de ___________________, étant donné que la
nécessité de _________________ a été démontrée.

(En cas de privation de liberté) Envoyer une lettre officielle au directeur du centre
de réinsertion sociale aux fins susmentionnées.

Notifier ____________________, l'autorité de surveillance pour les mesures


conservatoires et la suspension conditionnelle des procédures, afin qu'elle entame
le processus de surveillance.
Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la présente
résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


du code.
D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.
L'audience est ajournée.

6. Ordonnance de non poursuite sans demande de mesure conservatoire

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures de ce jour, et l'acte d'accusation de l'accusé _______________
est rejeté, pour les raisons énoncées dans la présente audience.

Conformément à l'article 67 du code national de procédure pénale, il est ordonné


que cette résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


dudit code.

D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.
Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle
_______________.

L'audience est ajournée.

7. Ordonnance de renvoi en jugement avec demande de mesure


conservatoire

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures de ce jour, et l'accusé _______________ est condamné à être
jugé, pour les raisons énoncées dans la présente audience.
De même, en réponse à la demande formulée par ______________, la mesure de
précaution de _______________, prévue à l'article 155 du code national de
procédure pénale, est fixée pour une période de ___________________, étant
donné que la nécessité de _________________ a été démontrée. (En cas de
privation de liberté) Envoyer une lettre officielle au directeur du centre de
réinsertion sociale aux fins susmentionnées.
Elle fixe également un délai de ____________________ pour la clôture de
l'enquête complémentaire.

Conformément à l'article 67 du code précité, il est ordonné que la présente


résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


du code.

D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.

L'audience est ajournée.

8. Ordonnance de renvoi en jugement sans demande de mesure de


précaution

Juge : Sans plus attendre, le débat et l'audience initiale sont déclarés clos à
________ heures de ce jour, l'accusé ayant été condamné à un procès
_______________ pour les raisons énoncées dans la présente audience.

Elle fixe également un délai de ____________________ pour la clôture de


l'enquête complémentaire.

Conformément à l'article 67 du code national de procédure pénale, il est ordonné


que cette résolution soit transcrite.

Toutes les parties intervenantes sont dûment notifiées conformément à l'article 63


dudit code.
D'autres demandes ? Les parties peuvent demander une copie du contenu des
fichiers numériques ou d'une partie d'entre eux (art. 50 CNPP), qui doit être
convenu en conséquence au moment de la demande.

Résout donc le juge _____________________, le juge de contrôle


_______________.

L'audience est ajournée.

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