Examen Dorientation

Examen
Vérifier les bonnes réponses

Vous pouvez voir votre note dans la case de droite. Nous vous invitons à
revoir toutes vos réponses corrigées pour savoir où vous vous êtes trompé
et en apprendre encore plus.
Première étape
Question1Correct1sur 1 point
Lisez le cas suivant et répondez à la question ci-dessous :
"Francisco ne contribue pas au système de santé et de sécurité sociale, il aide sa tante
âgée à effectuer les tâches ménagères à la maison et reçoit un paiement mensuel pour
les deux visites qu'il effectue par semaine".
En cas d'accident, pourquoi Francisco ne bénéficierait-il pas des avantages de la

Sécurité Sociale Obligatoire correspondant à la Loi 16.744 ?
A) Parce que les accidents domestiques sont considérés comme des accidents
courants.B) Parce que l'activité professionnelle de François est informelle et qu'il ne
cotise pas au système de santé et de sécurité sociale.C) Parce qu'il travaille moins
d'heures que le minimum prévu par le code du travail.D) Parce que la relation de travail
de François correspond à un accord direct avec un membre de la famille.C) Parce qu'il
travaille moins d'heures que le minimum prévu par le code du travail.C) Parce qu'il
travaille moins d'heures que le minimum prévu par le code du travail.D) Parce que la
relation de travail de François correspond à un accord direct avec un membre de sa
famille.
La bonne réponse est : Parce que l'activité professionnelle de Francisco est informelle
et qu'il ne contribue pas au système de santé et de sécurité sociale.
Fernando ne bénéficierait pas des avantages de la sécurité sociale obligatoire car,

indépendamment du fait qu'il travaille de manière informelle, il ne contribue pas au
système de santé et de sécurité sociale. Pour revoir le contenu de cette question,
veuillez vous référer à l'unité 1, point 1, de la ressource multimédia intitulée
"Bénéficiaires : qui est protégé par la loi 16.744 ?"
"Allocations, indemnités et pensions de survie (ayants droit)" correspond à :
Sélectionnez votre réponse:A) Prestations de conseil en prévention des risques
professionnels.B) Prestations juridiques.C) Prestations médicales.D) Prestations
financières.
La bonne réponse est : Prestations en espèces.
Les prestations en espèces comprennent les allocations, les indemnités, les pensions et
les pensions de survie (droits). Les autres alternatives ne sont pas liées à des aspects
économiques. La disposition légale sert de distracteur, vous ne pourrez donc pas la
trouver dans le contenu du cours. Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous
référer à l'unité 1, point 2 de la ressource multimédia intitulée "Quelles sont les
prestations de la sécurité sociale obligatoire ?
Question3correct1sur 1 point
Quelle(s) obligation(s) suivante(s) incombe(nt) aux agences d'État ?
I. Superviser et contrôler la prévention, l'hygiène et la sécurité de tous les lieux de
travail par l'intermédiaire des services du système de santé (art. NO. 65).
II. Prescrire toutes les mesures de santé et de sécurité au travail à mettre en œuvre par
ses entreprises membres.
III. prescrire toutes les mesures nécessaires en matière de santé et de sécurité au
travail dans les institutions par l'intermédiaire des services de santé et appliquer des
sanctions en cas de non-respect de ces mesures (art. NO. 68).
IV. Informer tous les employés en temps utile et de manière appropriée sur les risques
liés à leur travail, les mesures préventives et les méthodes de travail correctes.
Sélectionnez votre réponse:A) IB uniquement) I et IIC) I et IIID) Toutes les alternatives

sont correctes.
L'alternative correcte est : I et III
Les alternatives II et IV correspondent respectivement aux obligations des organismes

privés et des entreprises. Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer
à l'article 3 de l'unité 1 de l'infographie intitulée "Obligations des agences de gestion".
Quelles sont les étapes de l'identification des dangers ?
I. Observation
II. Mise en œuvre
III. Identification
IV. Estimation
Sélectionnez votre réponse:A) I et II.B) I et IIIC) I, II et III.D) Toutes les alternatives sont
correctes.
Parmi toutes les alternatives, "Mise en œuvre" et "Estimation" sont des actions
correspondant à d'autres étapes du processus d'évaluation et de gestion des risques.
Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 2, article 2, dans
le cadre du "Processus d'évaluation et de gestion des risques".
Pour éviter que des accidents ne se produisent sur le lieu de travail, la
prévention et l'évaluation des risques sont nécessaires, ce qui signifie en
pratique :
I. Identifier les sources ou les situations de danger pour prévenir et contrôler les risques
dérivés.
II. Mettre en œuvre des mesures dans toutes les phases de l'activité de l'entreprise afin
de prévenir ou de contrôler les risques professionnels.
III. Procéder à une évaluation des risques afin d'estimer l'ampleur des risques qui n'ont
pu être évités.
Sélectionnez votre réponse:A) Seulement IIB) I et IIC) II et IIID) Toutes les alternatives
sont correctes.
L'alternative correcte est : Toutes les alternatives sont correctes.
Selon l'article 1 de l'unité 2, la prévention et l'évaluation des risques est un processus

complexe qui implique à la fois l'identification des sources ou des situations de danger,
la mise en œuvre de mesures dans toutes les phases de l'activité de l'entreprise et la
réalisation d'une évaluation des risques. Par conséquent, tous sont corrects.
Le processus d'identification + évaluation + contrôle est appelé
identification + évaluation + contrôle :
Sélectionnez votre réponse:A) Gestion des risques.B) Ampleur des risques.C) Contrôle
des risques.D) Toutes ces réponses.
La bonne réponse est : Gestion des risques.
Si la situation analysée est jugée risquée, le risque doit être maîtrisé par la mise en
œuvre de mesures de prévention. Ce processus (identification + évaluation + contrôle)
est appelé : gestion des risques. Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous
référer à l'unité 2, article 2, qui constitue une introduction au contenu.
Comparer les concepts de "risque" et de "danger" et identifier les
différences :
I. Dans le cas d'un accident, le danger fait référence à un acte, à une situation ou à la
source d'un dommage imminent, par opposition au risque, qui indique la probabilité et les
conséquences d'un événement dangereux.
II. Tous deux contribuent à la prévention des accidents.
III. Le danger est identifié par l'analyse des facteurs influençant l'accident, et le risque
est évalué à partir de la fréquence d'occurrence des événements dangereux et de leurs
conséquences.
IV. Le danger est mesuré selon les échelles suivantes : élevé-moyen-faible.
Sélectionnez votre réponse:A) I et III.B) I, II et III.C) Seulement I.D) Toutes les

alternatives sont correctes.
La bonne réponse est : I et III.
La première alternative fait référence aux définitions de chaque concept par le biais de
la différenciation et la troisième alternative indique la manière d'identifier et d'évaluer
les deux concepts respectivement. Les autres options sont des affirmations correctes
mais ne font pas de différence. "Les deux contribuent à la prévention des accidents" est
une similitude et "Le danger a les échelles de mesure suivantes : élevé-moyen-faible" est
simplement une affirmation erronée. Pour revoir le contenu de cette question, veuillez
vous référer à l'unité 2, article 1, qui constitue une introduction au contenu.
Quels sont les trois piliers de la culture de la sécurité ?
I. Fiabilité technique.
II. Système de gestion.
III. Sécurité des processus.
IV. Facteurs humains et organisationnels.
Veuillez sélectionner votre réponse:A) I, II et IIIB) I, II et IVC) II, III et IVD) I, III et IV
La bonne réponse est : I, II et IV.
La bonne réponse est : "B". Selon l'article 2 de l'unité 3, sous le titre "Piliers de la culture
de la sécurité", le schéma suivant peut être observé :
Afin d'améliorer la culture de la sécurité, il est nécessaire de prendre en
considération les éléments suivants :
I. Le même processus technique peut nécessiter des formes d'organisation différentes
dans des contextes sociaux différents.
II. Chaque structure organisationnelle présente des forces et des faiblesses qu'il
convient de diagnostiquer et de gérer.
III. Une méthode ou un outil de gestion qui fonctionne très bien dans un contexte donné
fonctionnera très bien dans un processus similaire.
IV. Il n'existe pas de modèle unique pour encourager le changement culturel en matière
de sécurité.
Sélectionnez votre réponse : A) I, II et IVB) I, II et IIIC) II, III et IVD) I, III et IV
L'article 3 de l'unité 3, intitulé "Améliorer la culture de la sécurité", contient quelques

considérations axées sur ce processus : - L'ensemble de l'organisation est un pont entre
les processus techniques et le contexte socioculturel. Il est donc absurde de réfléchir à
la meilleure forme d'organisation, car le même processus technique peut nécessiter des
formes d'organisation différentes dans des contextes sociaux différents. - Chaque
structure organisationnelle présente des forces et des faiblesses qu'il convient de
diagnostiquer et de gérer. - Il est dangereux de considérer qu'une forme d'organisation,
une méthode ou un outil de gestion qui fonctionne très bien dans un contexte donné
fonctionnera de la même manière dans un processus similaire mais dans un contexte
différent. Sur ce dernier point, notons qu'il correspond à une alternative qui a une
fonction de distracteur puisqu'il mentionne le contraire du texte original : "Une méthode
ou un outil de gestion qui fonctionne très bien dans un contexte fera de même dans un
processus similaire".
Quelles sont les caractéristiques que doit posséder le leadership pour
guider la mise en place d'une culture de la sécurité ?
I. Engagement en faveur de la sécurité par des actions visibles.
II. Motivation de l'équipe dirigeante pour résoudre les problèmes de sécurité.
III. Proactivité dans la réponse aux problèmes les plus importants.
IV. Sens de l'urgence et énergie personnelle pour obtenir des résultats.
Sélectionnez votre réponse:A) II et IV seulementB) I, II et IIIC) I, II et IVD) Toutes les

alternatives sont correctes.
L'alternative correcte est : Toutes les alternatives sont correctes.
Selon l'article 3 de l'unité 3, sous le titre "Importance du leadership", on peut observer la

mention de caractéristiques axées sur ce rôle : "Le style d'un manager et la
démonstration visible de son engagement envers la sécurité par le biais d'actions sont
très importants et se déroulent sur une base quotidienne. Toutefois, le leadership doit
également émerger à différents niveaux, en plus de la direction. Les dirigeants doivent
non seulement agir sur le travail direct et contrôler le respect des règles et des
règlements, mais aussi motiver leur personnel et leurs pairs à résoudre les problèmes de
sécurité. Pour ce faire, ils doivent être proactifs plutôt que réactifs dans leur réponse
aux problèmes les plus importants, en faisant preuve d'un sens de l'urgence et d'une
énergie personnelle pour obtenir des résultats".
Contrôle 1
Première étape
1) Lequel des exemples suivants correspond à un accident du travail ?
Sélectionnez votre réponse:A) Pour éviter les accidents sur le chemin du travail, Isidora
décide de porter des pantoufles à la place de ses chaussures à talons.B) On a
diagnostiqué à ma meilleure amie une tendinite aux poignets, elle travaille comme
secrétaire depuis longtemps et n'a jamais fait l'objet d'une évaluation de son poste, ni
d'une formation sur les mesures de prévention des risques liés aux claviers.C) Parce
qu'Alberto portait un casque de sécurité, il n'a pratiquement pas été blessé. D) Je me
suis foulé le pied en me rendant à la banque, en effectuant une transaction personnelle
avec l'autorisation de mon entreprise.
La bonne réponse est : Parce qu'Alberto portait un casque de sécurité, il n'a
pratiquement pas été blessé.
Le premier cas (alternative A) correspond à des mesures de prévention d'un accident de

trajet, le deuxième cas (alternative B) à une maladie liée au travail et le dernier cas
(alternative D) à un accident qui ne relève pas de la définition d'un "accident du travail".
Le seul cas correspondant à un accident du travail est celui d'Alberto (alternative C). On
en déduit qu'il s'agit d'un accident puisqu'il est noté qu'il est "sorti indemne" de
l'accident.
Question 2correct1sur 1 point

L'un des objectifs de la loi 16.744 est de garantir la sécurité et la santé des
travailleurs, entre autres :
I. Prévenir les accidents et/ou les maladies professionnelles.
II. Établir la responsabilité pénale.
III. Octroi de prestations en espèces.
IV. Réhabiliter le travailleur concerné.
Laquelle des alternatives ne correspond pas aux objectifs de la loi 16.744 ?
Sélectionnez votre réponse:A) I, II et IVB) II et IVC) II seulementID) II seulement

La bonne réponse est : Seulement II
De tous les objectifs susmentionnés, le seul qui ne soit pas pertinent est l'établissement
de la responsabilité pénale. Cette option est un distracteur, elle ne peut donc pas être
identifiée dans le contenu. Vous trouverez ce contenu à l'article 1 de l'unité 1, sous le
titre "Qu'est-ce que la loi 16.744".
Parmi les personnes suivantes, laquelle/lesquelles ne correspond(ent) PAS
au profil de bénéficiaire prévu par la loi 16.744 ?
A) Sofía est comptable et travaille comme salariée dans une entreprise de commerce
extérieur, ainsi que comme employée dans une autre entreprise.B) Fernando ne cotise
pas au système de santé et de sécurité sociale ; il travaille de manière informelle en
vendant des fruits secs et du fromage aux employés des entreprises du centre ville.C)
Valentina travaille en contrat à durée déterminée et étudie en cours du soir pour
terminer le lycée.D) Andrea travaille en transportant des passagers dans son taxi et
cotise de manière indépendante.C) Valentina travaille avec un contrat à durée
déterminée et suit également des cours du soir pour terminer ses études secondaires.D)
Andrea travaille en transportant des passagers dans son taxi et paie ses cotisations de
manière indépendante.
L'alternative correcte est : Fernando ne contribue pas au système de santé et de
sécurité sociale ; il travaille de manière informelle en vendant des noix et du fromage
aux employés des entreprises du centre ville.
Parmi toutes les personnes présentées, seul Fernando ne bénéficierait pas des
avantages de la sécurité sociale obligatoire parce qu'il travaille de manière informelle et
ne contribue pas au système de santé ou de sécurité sociale. En cas d'accident, la
couverture sociale obligatoire ne s'appliquerait pas. Les autres personnages seraient
couverts par l'assurance sociale obligatoire, car ils exercent un emploi formel ou des
activités académiques dans les conditions suivantes : contrats fixes, honoraires, études
formelles et/ou travail indépendant réglementé. Vous pouvez revoir le contenu de cette
question dans l'article 1 de l'unité 1, sous le titre "Bénéficiaires : quelles sont les
personnes protégées par la loi 16.744 ?"
"Don José a travaillé pendant 20 ans dans une entreprise de métallurgie où il était
exposé au bruit provenant de l'utilisation de meuleuses d'angle, de coups de marteau sur
des pièces métalliques, entre autres sources de bruit. À la fin de son expérience dans
l'entreprise, comme il n'a pas utilisé de protection pendant longtemps, il avait une perte
auditive de 30 %. Don Luis, son partenaire avec lequel il a travaillé tout au long de sa
carrière, bien qu'il n'ait pas utilisé de protection pendant longtemps, n'a pas souffert du
même problème.
D'après le texte et ce qui a été revu dans l'unité, quels sont les facteurs qui déterminent
l'apparition des maladies professionnelles qui sont intervenus ou qui sont intervenus
dans la maladie professionnelle de Don José ?
I. Quantité d'agent nocif.

II. Type de travail.
III. Sensibilité individuelle.
IV. Durée d'exposition à l'agent nocif.
Sélectionnez votre réponse:A) IV seulementB) I et IVC) I, III et IVD) Toutes les

alternatives.
La bonne réponse est : I, III et IV.
Dans l'article 2 de l'unité 1, sous le titre "Maladies professionnelles", vous avez passé en
revue les définitions suivantes : - Nombre d'agents nocifs : Les agents nocifs peuvent
être d'origine biologique, chimique, physique, ergonomique ou psychosociale. - Durée
d'exposition : plus le travailleur est exposé longtemps au polluant, plus le risque est
élevé. - Sensibilité individuelle : l'apparition de l'affection et son intensité dépendent des
caractéristiques de chaque personne. En appliquant les concepts ci-dessus au cas
présenté, la quantité d'agents nocifs indique le volume et l'organisation du son lorsqu'il
devient bruit ; la sensibilité individuelle est évidente lorsqu'on observe que les deux
personnages présentent des effets différents dans les mêmes conditions de travail ; et la
durée d'exposition, 20 ans de travail dans les mêmes conditions. Le type de travail agit
comme un distracteur, car si les équipements de sécurité sont utilisés en conséquence,
le type de travail ne présente pas de risque.
Question 5correct1sur 1 point

Parmi les services suivants, lequel correspond à des services de conseil en
matière de prévention des risques professionnels ?
I. Sécurité industrielle
II. Hygiène industrielle
III. Hospitalisation
IV. Formation professionnelle
Sélectionnez votre réponse:A) I et IIB) I, II et IIIC) I, II et IVD) Toutes les alternatives

sont correctes.
Parmi toutes les alternatives, seule l'"hospitalisation" ne correspond pas aux services de
conseil en prévention des risques professionnels. Il s'agit d'une prestation médicale.
Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 1, article 2, sous
le titre "Quelles sont les prestations de la sécurité sociale obligatoire ?
Contrôle 2
Première étape
Souvenons-nous du cas de Pablo et de son accident au bureau :
"Pablo a une réunion très importante et il est essentiel qu'il arrive à l'heure. Il regarde sa
montre et, comme il est encore tôt, il décide de vérifier quelques documents avant de
quitter son bureau.
En regardant à nouveau l'heure, maintenant sur l'ordinateur, il se rend compte que sa
montre a 20 minutes de retard, et il se précipite hors de son bureau.
Dans sa course rapide, il perd de vue une flaque d'eau causée par un problème de
climatisation, glisse et tombe brutalement au milieu du couloir.
Enfin, Pablo est en congé médical pour 30 jours, une période qui sera réévaluée en
fonction de l'évolution de sa blessure"
Identifions les concepts examinés dans cette histoire :
Danger : dans ce cas, il y a deux situations de danger :
1. La flaque d'eau causée par la mauvaise climatisation.

2. L'action de se précipiter dans le couloir du bureau.
Sur la base de l'identification des dangers dans le cas de Paul et de l'examen de l'unité 1,
définissez le concept de "danger".
Sélectionnez votre réponse:A) Accident probable dont l'identification dépend de l'analyse

de la fréquence des risques.B) Combinaison de la probabilité et de la conséquence de
l'occurrence ou de l'exposition à un événement dangereux et de la gravité de la blessure
ou de la maladie qui peut en résulter.C) Source, situation ou acte présentant un potentiel
de préjudice en termes de blessure ou de maladie, ou une combinaison de ces
éléments.D) Alerte, notification ou avertissement concernant des situations ou des
sources présentant un potentiel de préjudice en termes de blessure ou de maladie.C)
Source, situation ou acte présentant un potentiel de préjudice en termes de blessure ou
de maladie, ou une combinaison de ces éléments.C) Source, situation ou acte
susceptible de causer un préjudice en termes de blessure ou de maladie, ou une
combinaison de ces éléments.D) Alerte, notification ou avertissement concernant des
situations ou des sources susceptibles de causer un préjudice en termes de blessure ou
de maladie.
L'alternative correcte est : Source, situation ou acte susceptible de causer un préjudice
en termes de blessure ou de maladie, ou une combinaison de ces éléments.
Dans le cas de Paul et d'après ce que nous avons vu dans l'unité, le concept de "danger"
n'est pas défini comme un accident (alternative A), ni comme un risque - une
combinaison de la probabilité et des conséquences d'un accident (alternative B), ni
comme l'avertissement ou la notification d'un accident possible. Le danger est défini
comme "une source, une situation ou un acte susceptible de causer un préjudice en
termes de blessure ou de maladie, ou une combinaison de ces éléments". Dans le cas de
Paul, la flaque d'eau causée par la mauvaise climatisation et l'action de courir
rapidement dans le couloir du bureau sont des exemples de la définition du danger. Pour
revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 2, article 1, sous le
titre "Appliquer les concepts de "danger" et de "risque"".
Aperçu du processus d'évaluation et de gestion des risques :
Remplissez les cases vides avec le concept correspondant en sélectionnant

l'organisation proposée dans les alternatives. Utilisez les chiffres pour organiser votre
réponse.
Sélectionnez votre réponse:A) 1. Identification des dangers ; 2. Évaluation des risques ;

3. Risque maîtrisé ; 4. Analyse ; 5. Mesures préventives ; 6. Gestion (B) 1. Identification
des dangers ; 2. Évaluation des risques ; 3. Risque maîtrisé ; 4. Mesures préventives ; 5.
Analyse ; 6. Gestion (C) 1. Évaluation des risques ; 2. Mesures préventives ; 3. Risque
maîtrisé ; 4. Analyse, 5. Identification des risques ; 6. Gestion.D) 1. Évaluation des
risques ; 2. Mesures préventives ; 3. Analyse ; 4. Risque maîtrisé, 5. Gestion ; 6.
Identification des risques.
L'alternative correcte est : 1. Identification des dangers ; 2. Évaluation des risques ; 3.
Risque maîtrisé ; 4. Mesures préventives ; 5. Analyse ; 6. Gestion.
L'identification des dangers et l'évaluation des risques - ainsi que l'estimation des
risques - sont logiquement les premières étapes du processus de gestion des risques.
Sans ces étapes préliminaires, il est impossible de soutenir les étapes suivantes qui
nécessitent l'observation et la systématisation des informations collectées. De manière
progressive, le système devient plus complexe grâce à des processus tels que l'analyse
de ces informations et leur évaluation, pour finir par la gestion du processus. Pour revoir
le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 2, article 2, sous le titre
"Schéma du processus d'évaluation et de gestion des risques". Cochez vous-même la
bonne réponse dans l'image ci-
dessous
:
Question 3 correcte1point sur 1

Lisez le cas suivant et répondez-y :
"Gonzalo travaille dans un cirque qui appartient à sa famille depuis des générations. À
chaque représentation, il jongle avec le feu, crachant du combustible par la bouche.
Depuis deux ans, il n'a pas eu d'accident lié à son travail.
Le cirque fonctionne tous les jours sauf le lundi."
Quelle est la probabilité qu'un accident se produise dans le cadre du travail de Gonzalo ?
Sélectionnez votre réponse:A) Probabilité nulleB) Probabilité faibleC) Probabilité

moyenneD) Probabilité élevée
La bonne réponse est : Probabilité moyenne
Selon l'article 2 de l'unité 2, sous le titre "Variables pour l'estimation du risque", nous
pouvons observer les caractéristiques suivantes Probabilité moyenne : un événement qui
ne se produit pas souvent, qui se produit moins d'une fois par an et qui a une probabilité
plus élevée que la normale de contracter une maladie professionnelle.

Lequel des éléments suivants ne correspond PAS aux points d'observation
lors de l'identification des dangers ?
Sélectionnez votre réponse:A) Étapes du processus de travail.B) Postes de travail
concernés.C) Comportement orienté vers l'autosoin.D) Activités réalisées ; machines,
équipements, produits et outils utilisés.
L'alternative correcte est : Comportement orienté vers l'autosoin.
On attend de vous que vous associiez des informations sur les objectifs de la loi 16.744
et que vous discriminiez ceux qui ne s'appliquent pas. Parmi toutes les alternatives,
"Comportement orienté vers le soin de soi" est un distracteur, qui renvoie aux attitudes
que nous devons générer pour installer une culture de la sécurité dans l'entreprise. Pour
revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 2, article 2, sous le
titre "Étape 1 : Identification des dangers".

Lorsque nous parlons d'un niveau de conséquence "modérément nocif" pour
un risque présent dans une activité, nous voulons dire que
I. Il s'agit d'une activité qui a des conséquences et dont les blessures peuvent entraîner
une incapacité temporaire.
II. C'est une activité qui a des conséquences telles que des lacérations, des brûlures,
des entorses majeures, des fractures mineures, des dermatites, des douleurs musculo-
squelettiques.
III. Il s'agit d'une activité qui entraîne des maladies professionnelles réversibles.
IV. Il s'agit d'une activité qui entraîne des dommages matériels importants et
irréparables.
Sélectionnez votre réponse:A) I et IIB) I, II et IIIC) II, III et IVD) Toutes les alternatives
sont correctes.
La bonne réponse est : I, II et III.
La bonne alternative est "B" : I, II et III De toutes les alternatives, seul "dommage
matériel irréparable et étendu" ne correspond pas à un niveau moyen d'atteinte à la
santé et à l'intégrité physique du travailleur ; cette alternative correspond à un
distracteur. Pour revoir le contenu de cette question, veuillez vous référer à l'unité 2,
article 2, dans la ressource multimédia intitulée "Variables pour l'estimation du risque".
Contrôle
Première étape
"Un incident et/ou un accident est généralement le résultat d'un certain
nombre de facteurs qui interagissent de manière imprévue. Nombre de ces
facteurs sont liés à la culture de l'organisation et à la manière dont elle
conçoit et pratique la sécurité".
À quoi le texte ci-dessus fait-il référence ?
Sélectionnez votre réponse:A) La relation entre la sécurité et la culture

organisationnelle.B) L'importance de l'étude de la culture de la sécurité.C) Le soutien
que la culture de la sécurité doit avoir dans un système de gestion fort.D) L'observation
de la culture organisationnelle en l'absence de leadership.
La bonne réponse est : à la relation entre la sécurité et la culture organisationnelle.
Le texte présenté fait référence à la relation entre la sécurité et la culture

organisationnelle dans l'article 1 du module 3, sous le titre "Sécurité et culture
organisationnelle". Cette relation est illustrée dans le cas d'un assemblage industriel où
un chantier est arrêté pour éviter un accident de travail. "L'importance de l'étude de la
culture de la sécurité n'est pas explicitement abordée dans le contenu. "Le soutien que
la culture de la sécurité doit trouver dans un système de gestion solide" correspond
plutôt à une caractéristique de cette relation entre la culture organisationnelle et la
sécurité, à savoir la culture de la sécurité. Enfin, "l'observation de la culture
organisationnelle en l'absence de leadership" fonctionne comme un distracteur.
"Pour la société de transport "Los Cisnes", comme on peut s'y attendre dans ce secteur,
la rapidité de livraison est sa principale proposition de valeur. Il se distingue par le fait
qu'il est l'un des plus rapides du marché, et il est d'usage que les chauffeurs se
conforment à un plan de route exigeant, fixant un objectif quotidien élevé associé à la
fois au nombre de livraisons et à un temps de livraison limité. En conséquence de cette
méthode de travail, de nombreux chauffeurs, tout en voyant leurs revenus augmenter
grâce aux primes qu'ils reçoivent, ont commencé à montrer des signes de fatigue et, à
un moment donné, les accidents et les congés médicaux ont augmenté à un point tel
qu'il est devenu de plus en plus difficile d'atteindre les objectifs et, pour la première fois
depuis de nombreuses années, ils ont commencé à recevoir des plaintes de la part de
leurs clients."
Quels sont les éléments du cas qui montrent l'absence d'une culture de la sécurité ?
I. Les conducteurs étaient soumis à un niveau de stress élevé en raison de l'itinéraire

exigeant.
II. Il est évident qu'il existe une culture de la sécurité du type "Bureau en sécurité"
III. La direction était plus attachée aux résultats de l'entreprise qu'à la sécurité de ses
travailleurs.
IV. Augmentation de la rémunération en cas de réalisation des objectifs.
Sélectionnez votre réponse:A) I et IIIB) I et IIC) I, II et IIID) I, III et IV

La bonne réponse est la variante "A" : les conducteurs étaient soumis à un niveau de
stress élevé en raison du plan de route exigeant, et la direction s'est attachée à la
rentabilité de l'entreprise plutôt qu'à la sécurité de ses travailleurs. La culture de la
sécurité au travail, quant à elle, se caractérise par le fait que les responsabilités en
matière de sécurité sont centrées sur le travailleur. Dans le cas présenté, ce rôle de
premier plan n'était pas évident. Quant à l'augmentation de la rémunération pour atteinte
d'objectifs, bien que mentionnée dans l'affaire, elle ne constitue pas en soi une preuve de
l'absence d'une culture de la sécurité, ni de sa présence, puisqu'elle n'est pas
considérée en relation avec la sécurité.
Lisez le cas suivant et répondez-y :
"Les enseignants d'un établissement scolaire demandent au directeur de convoquer une
réunion extrascolaire pour aborder le problème de l'augmentation des arrêts de travail
dus à des troubles de la voix. Le directeur accepte rapidement et organise la réunion le
lendemain.
Après avoir analysé tous les facteurs qui expliquent cette augmentation des congés
médicaux, parmi toutes les mesures proposées à la table, le directeur propose un budget
généreux pour la formation vocale et l'achat d'amplificateurs de voix pour les
enseignants qui en ont besoin."
A quel type de culture de la sécurité le cas ci-dessus correspond-il ?
Sélectionnez votre réponse:A) Culture fataliste.B) Culture réglementaire ou

managériale.C) Culture intégrée.D) Culture de sécurité du métier.
L'alternative correcte est : Culture intégrée.
Selon l'article 2 de l'unité 3, sous le titre "Types de culture de la sécurité", une

description de chaque type de culture de la sécurité peut être trouvée. Culture de
sécurité fataliste : - Les accidents sont considérés comme une fatalité, un coup de
malchance et une fatalité. - L'inaction prévaut, convaincue que les accidents se
reproduiront à l'identique. Culture de la sécurité au travail : - Caractérisée par une faible
implication de la direction dans la prévention des accidents du travail. - Les employés
deviennent des acteurs de la sécurité. Culture réglementaire ou managériale : - La
direction joue un rôle prédominant dans l'élaboration et le développement des mesures
de sécurité. - La participation des employés est limitée à la mise en œuvre de ces
mesures. Culture intégrée : - La direction prend l'initiative d'initiatives qui encouragent la
participation des employés à la gestion de la sécurité et à la mise en œuvre des
mesures. Si nous appliquons ces concepts au cas présenté, nous constatons que les
enseignants et le directeur ont participé activement à la proposition de mesures visant à
résoudre le problème de l'augmentation des congés médicaux due à la généralisation
des maladies professionnelles. Il s'agit donc d'une culture de la sécurité intégrée.
Quelles sont les caractéristiques du processus de développement d'une
culture de la sécurité ?
I. Chaque processus a des stades de maturité différents.
II. Le processus de développement d'une culture de la sécurité se caractérise par son
caractère objectif et normalisé.
III. Le passage d'un stade de maturité à un autre nécessite de l'organisation, de
l'engagement et du leadership.
IV. Le processus de développement d'une culture de la sécurité nécessite de travailler
sur les trois piliers de la culture de la sécurité.
Sélectionnez votre réponse:A) I, II et IIIB) I, III et IVC) II, III et IVD) I, II et IV

La bonne réponse est : I, III et IV.
La bonne réponse est : "B" : I, III et IV. Selon l'article 3 de l'unité 3, sous le titre
"Comment développer une culture de la sécurité", il est possible d'observer la mention
de certaines caractéristiques axées sur ce processus : - Différents modèles s'accordent
à dire qu'il existe différents stades de maturité dans le processus d'amélioration de la
culture de la sécurité. Chaque stade de maturité est décrit à partir des éléments
techniques mis en œuvre dans l'organisation et des caractéristiques de sa culture
organisationnelle. - Le passage d'un état à l'autre nécessite la mobilisation de l'ensemble
de l'organisation, et l'engagement et le leadership sont essentiels à cet égard. - En plus
de travailler de manière systémique et intégrée sur les trois piliers de la culture de la
sécurité. L'alternative correspondant à "Le processus de développement d'une culture de
la sécurité se caractérise par son caractère objectif et standard". Cela ne fait pas partie
de ce qui est mentionné dans cette section.
Identifiez et organisez les types de culture de la sécurité dans le diagramme
suivant. Pour guider votre réponse, il est suggéré d'utiliser les coordonnées
indiquant respectivement le niveau d'implication de la direction et des
employés.
Sélectionnez votre réponse:A) 1. Culture du métier ; 2. Culture intégrée ; 3. Culture
fataliste ; 4. Culture normativeB) 1. Culture intégrée ; 2. Culture fataliste ; 3. Culture du
métier ; 4. Culture normativeC) 1. Culture normative ; 2. Culture du métier ; 3. Culture
intégrée ; 4. Culture fataliste (D) 1. Culture du métier ; 2. Culture intégrée ; 3. Culture
réglementaire ; 4. Culture fataliste.
L'alternative correcte est : 1. Culture du métier ; 2. Culture intégrée ; 3. Culture fataliste
; 4. Culture réglementaire
Vérifiez vous-même la bonne réponse : Selon l'article 2 de l'unité 3, sous le titre "Le
modèle ICSI", le schéma suivant peut être observé : * Rappelez-vous que la culture
managériale est également appelée "normative". Consultez le contenu du cours.

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Question 5 correcte1point sur 1

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A quel type de culture de la sécurité le cas ci-dessus correspond-il ?

Sélectionnez votre réponse:A) Culture fataliste.B) Culture réglementaire ou

Selon l'article 2 de l'unité 3, sous le titre "Types de culture de la sécurité", une

Sélectionnez votre réponse:A) I, II et IIIB) I, III et IVC) II, III et IVD) I, II et IV

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