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Sémantique

Cours 1 – 09/10/20

- Problèmes de sens et de signification ;


- Phrase = agrammaticale s’il n’y a pas de sens, de compatibilité sémantique – Chomsky : Les idées
vertes dorment furieusement.
- Sémantique – incluse à tous les niveaux : lexical (=de base), contextuel/phrastique, textuel (cohérence,
cohésion), discursif ? nous : lexical ;
- Lexicologie – unités minimales : morphèmes – sont douées de sens ;
- S = science relativement nouvelle ; science des significations, de la représentation du contenu du
lexème non-contextualisé ; ex : maison – construction mentale ; maisonnette ;
- Lexème – sème = unité minimale ;

Présentation :
- L’enrichissement vocabulaire – néologismes (grec neos + logos) ;
- Problème de la linguistique contemporaine – on ne se concentre pas trop sur les components du
lexème ; ex : déménager ; tendance de laisser de côté les unités minimales, à cause de la classification
simples, composées, complexes (=les unités du figement – idiomes ?)
- Classification néologismes : structures plurimorphématiques = formé de plusieurs morphèmes, mots ;
capteur de glucose – plusieurs morphèmes, mais l’ensemble a un seul sens ;
o Unités indépendantes déjà existantes qui combinés donnent un autre sens ;
o Unités monomorphématiques : emprunts, éponymes, sigles ou acronymes ;
- Néologie formelle vs sémantique
o Formelle – vise la forme des N ;
o Sémantique – l’apparition de nouveaux signifiés ;
- Néologie formelle – la dérivation, la génération de formes nouvelles en général (composition, transfert
de sens, etc.)
o Dérivation lexicale : procédés syntaxiques – on attribue à un élément fixe, de type pivot, des
éléments mobiles ; lave-glace, vide-cendrier – on ajoute un terme qui exprime une action ;
o HLM – habitation à loyer modeste ;
o Troncation : vélo, télé ;
o Mot-valise : informatique – information + automatique ;
o Base de dérivation : jet-, bond-, saut- = lexèmes bases ;
o Buvard = sugativa ; racine de base – buv- de buvons ; imbu = qui ne peut pas être bu ;
o Discours mitterandien, mitterandiste – personne qui soutient Mitterand ;
o Relativisation – préférable - -able = qui peut être préféré ?
o Dérivation – paradigmatique, syntagmatique (on reste dans la même catégorie
grammaticale) ;
o –age donne toujours des noms masculins ;
o Polyvalence des suffixes ;
o Nominalisation, adjectivation pour le verbe – procédures paradigmatiques ;
 Nominalisation – base verbale + suffixe qui donne un nom ; ex : -age ; -ade – pour
les verbes intransitifs en général ; -erie – donne un sens négatif ou péjoratif ;
 ! régime syntaxique, aspect ;
 -ment, -ement, -issement ; ! battage – action en cours, battement – résultat de
l’action ; pétillement – a trosni si a sclipi (deux action du feu, du champagne, des
yeux quand on est amoureux, visuel et auditif) ; ronronnement = torsul (pisicilor) ;
 -aison : action ou son résultat pour les verbes /+accompli/ ;
 -is : abattre – abattis (les arbres), gazouillis, hacher – hachis ;
o Dérivation régressive, conversion grammaticale ;

Cours 2 – 16.10.2020 – Figement et défigement dans le discours


quotidien et de presse
- Classification du figement ;
- Figements culturels – citations, dictons : structures figées ;
- La combinatoire figée (différente de la combinatoire libre) : structures multiples qui renvoient à un
sens global, qui est construite sur divers schéma ;
- Combinatoire linguistique – lexèmes ;
- Notion de figement : unités complexes – lexicologie (il s’agit des lexèmes), sémantique (à cause du
changement du sens), pragmatique (à des buts discursifs et grammatiques pour rendre le discours plus
riche), morphosyntaxe (matrices de composition des str figées) ;
o Dénominations : synapsies, synthème, expressions idiomatiques (str issues du lexique sans
accord culturel ; débat : proverbes aussi ?), locutions, lexies ;
 Locutions vs colocations : loc – expr combinatoires/lexicales ; colocations –
phraséologie, ç.a.d « manger une pomme » et non « chanter une pomme » - alors
compatibilités sémantiques ; ex : livre de cuisine – colocation, un certain contexte ;
 Lexies : simples/composées/complexes ;
- Synapsies : matrices morpho-lexicales, par exemple n de n : pomme de terre, robe de chambre, etc ;
o Nature syntaxique de la liaison ;
o Emploi des joncteurs – de et là ;
o Sens unique qui actualise un seul signifié (ce que nous comprenons) ;
- Synthèmes (A. Martinet) :
o Porte-manteau, térmostate ;
o Signes linguistiques qui ont un sens unitaire, mais qui se peuvent charger de diverses
structures, qui peuvent recevoir divers signifiants (formes) ;
o Synthème : combinatoire figée – les termes perdent leur indépendance ; syntagme – structure
libre ;
 Pomme verte – concept ou combinatoire libre, en fonction du concept ;
 Robe – associer avec une couleur ; mais miaulement – associé seulement avec le
chat, mais connotation possible ;
- Combinatoire libre – mots – autonomie dans le groupe syntagmatique ;
o Compatibilité ! Ex : robe gueularde, impossible, parce que l’adjectif est attribué à un animé ;
o Synthèmes – unités conjointes ; actualisent un seul sens ;
- La lexie (Pottier) : différence entre lexème et lexie ; lexème – unité simple de lexie ;
o Lexie simple : fleur, ciel, amour ;
o Lexies composées : perce-neige, mi-temps ;
o Lexies complexes : séquences figées : au fur et à mesure, tel père, tel fils, avoir les nerfs à
fleur de peau (=a fi cu nervii la pamant) ;
- Item discursif figé : unité distincte – ex. La Fontaine : La raison du plus fort est toujours la meilleure ;
o Dimension conventionnelle – savoirs linguistiques ;
o Communicationnelle – savoirs discursifs et encyclopédiques ;
o Inférentielle – je veux dire quelque chose par autre chose ;
- Schémas d’actualisation des IDF :
o Situations de communication fixes : bonjour, merci, tiens ! – figement contextuel, culturel ;
o Structures complexes :
 Noms : coffre-fort, jeune fille (l’adjectif diminue sa caractérisation du nom : teste
« C’est une belle jeune fille »), gendarme (gens d’armes) ;
 Adjectifs : bienveillant, bien-aimé ;
 Verbes : casser la pipe, aller bon train ;
 Des adverbes : de bonne guerre, à cœur joie ;
 Des déterminants : une espèce de (espèce de rose – combinatoire libre ; espèce de
crétin – contexte négatif), un je ne sais quel, un n’importe quel ;
 Joncteurs : dans le but de, à cause de, grâce à, avant que ;
 Des Phrases entières : quand on parle du loup, on en voit la queue ; une fois n’est pas
coutume = cu o floare nu se face primavara ;
- Moules :
o Tête nominale : à la + N fém : à la barbe de…, à la française ;
o Il n’a pas inventé + SN : il n’a pas inventé la poudre (être peu intelligent) – n’a inventa apa
calda ;
o Ce n’est pas + GN : ce n’est pas la mer à boire (=nu e sfarsitul lumii), ce n’est pas très
catholique ;
- Découpage des IDF :
o Des items bouclés d’un seul côté : à droite ou à gauche : Il l’a évité à justesse ; Il a pris la
poudre d’escampette. = A-si lua picioarele la spinare ;
o Une espèce de plante ; Est-ce que tu m’en veux ?
o Items bouclés de deux côtés (utilisés de façon indépendante) :
 Proverbes, maximes, sentences, adages : Quand la cage est faite, l’oiseau s’envole. =
Il faut faire attention pour ne pas rater une occasion ;
 Séquences à valeur performative : Je vous tire mon chapeau/Chapeau !
 A valeur descriptive ou évaluative : Loin des yeux, loin du cœur ; Le jeu n’en vaut
pas la chandelle (cela ne vaut pas la peine) ; Le cœur n’y est pas (l’action est
accomplie sans plaisir) ; etc.
o Dépendants de l’insertion dans un cadre phrastique :
 Locutions conjonctives et prépositives ;
 Combinatoires saturées référentiellement : besoin d’une complétude syntaxique : J’ai
acheté au marché : pommes de terre, petits pois, etc. Je dois entrer au cours, c’est un
four à chaux ;
- Sources et tests du figement :
o N + prép + N : miroir aux alouettes, avoir les yeux en amande, circuit d’alimentation ;
o N + Adj : police judiciaire, poste électronique, dessin animé, mille feuilles ;
o Vb + prép + N : un touche-à-tout
o Prep + N : sans-abri, nord-africain ;
- Sources de nature sémantico-discursive : métaphore, comparaison, synecdoque, métonymie,
hyperbole, oxymore ;

Cours 3 – 23.10.2020
- Sémantique – unité minimale – sème, d’où lexème ;
- Signe linguistique – association d’une idée et d’une forme (Polguère) ;
o Intentionnel : intention de transmettre un message ;
o Non-intentionnel : sens dans notre mémoire, il n’y a pas vraiment un interlocuteur qui
transmet le message ; il n’exige la présence d’un destinataire ;
o Idée = contenu, signifié ; forme – partie extérieure, carcasse ;
- Rapports contenu-forme dans les signes :
o Une icône ; par exemple – signe qui a une représentation : les toilettes pour les femmes ;
o Symbole : Pavillon K – symbole dans le monde marin = je désire à communiquer avec vous
ou je vous invite à vous transmettre ; apparemment pas de lien logique entre le contenu et la
forme ;
o Indice : (sémiotique) au moins une idée de proximité ; une femme qui a bu du verre ; la
fatigue (l’indice : cernes) ;
o Signe – pas autoréférentiel, il transmet un message : un nuage – indique la pluie ;
 La colombe – élevée ; pigeon – sauvage ;
- Saussure – signe linguistique – réunion entre un concept, une valeur et une image acoustique ;
o Langue naturelle = système de signes ;
o Valeur – les éléments de la langue se définissent par opposition ;
 Ex. : femme = être animée, adulte, de sexe féminin ; Il y a des femmes et des
hommes.
o Signifié = concept, représentation mentale ;
o Signifiant = « image acoustique » ou graphique ;
o La valeur se réalise par les diverses actualisations du signifiant ;
o Le signe – arbitraire, ç.a.d. conventionnel ;
o Caractéristiques du signe :
 Figé, immuable ; maison – maisonnette – one change la forme, mais on préserve le
sens de base + un signe diminutif ;
o Signes lexicaux (lexèmes, affixes – résultat = de nouveaux lexèmes) vs signe grammatical
(dépourvus de fonctionnalité ; les prépositions : à – directions, caractéristique d’un nom, mais
pas une fonction en soi, seulement une rôle grammaticale) ;
- J’ai garé mon véhicule devant la porte. – véhicule = n’importe quoi (mon auto, un camion, etc.) ; - la
porte – en français, a de représentation ;
- Louis HJELMSLEV – glossématique et sémantique structurale :
o Il applique le concept de valeur de S à la sémantique ;
o Différence entre les systèmes des langues : même concept, plusieurs langues : français et
allemand, trois signes pour le concept BOIS ; mais danois – deux signes (matériau et lieu) ;
entre les langues il n’y a pas de correspondance terme à terme ;
o Signe – contenu + expression ; MAIS chaque C et Exp peut avoir une forme et une
substance ;
 Substance du contenu – contenu compact que nous enregistrons ;
- O. Ducrot : Sémantico-sémiologique
- Le triangle sémiotique ;

Cours 4 – 30/10/2020 Le sens linguistique


- Sens = signifié correspondant à un signifiant ; concept d’une unité linguistique ; représentation
mentale ;
- Sens référentiel ; suite de définition – terminologie ; sens discursifs ou implicites ;
- Référent = chose nommée ;
- Réalité ternaire du sens :
o Forme ;
o Sens (linguistique) ;
o Référent = la chose représentée ; ne fait pas parti du mot, qqch d’extérieure, dans la réalité
psychique/physique ;
- Sens/signification : représentation mentale à propos de la forme et qui renvoie à la réalité ;
o Perspective constructiviste : sens = construction ; distinction plus nette entre sens et la
signification = information stable que tout locuteur possède ; ex : bleu = couleur, qualité
attribuée à un objet (sens) + informations grammaticales = adjectif de couleur, s’accorde ou
non avec le nom ; dépendant d’un nom ; associé à divers unité stable (association avec le ciel
ou la mer) ;
- Perspective générativiste : sens = ensemble de plusieurs unités : marques sémantiques (sèmes,
sémèmes, items grammaticaux), marques de différenciation (sèmes différentiels : appartement/palais),
les relations sélectives (les classèmes ou sèmes contextuels : La maison de Louis XIV) ; marques
grammaticales (GN, GV, GPrép.) : le coq gaulois – tenir compte de tout environnement ;
- Information sur un état du monde, sur la réalité + modalisation, attitude du locuteur : Il a
presqu’une maison. – base = représentation prototypique de la maison, mais le locuteur ne considère
pas qu’il s’agit vraiment d’une maison. – en fonction de la perception du locuteur ; sens = dynamique,
signification – stable dans la perspective constructiviste ;
- Description du sens d’une expression
o Passer un savon à qqn : pas de représentation mentale possible parce que les unités de
l’expression perdent leur sens indépendant ; comprendre l’expression en vertu d’une
expérience, on se rend compte qu’il s’agit d’une attitude envers qqn ; sens = une construction
parce qu’on ne peut pas donner du sens à chaque élément, mais à l’ensemble ; signification =
donnée : réprimander, gronder ;
o Révolution : plusieurs sens – renversement (social, intellectuel), changement violent,
équivalent dans une autre langue – revolucion (espagnol) ; sens = construction qui intègre une
signification ;
o Connaissez-vous cette ville ? – ville=prérequis, noyau sémique (définition de la ville, telle
que nous la connaissons) ; mais, sens en contexte, situationnel dans l’interrogation ;
Paris – Tour Eiffel = indice encyclopédique ;
- Intension = description du dictionnaire ; extension = introduction dans un certain contexte ; ex : roi de
France – intention = être roi de France = appartenir à une certaine période, informations du
« dictionnaire » que nous possédons ; le concept actualisé = extension = « liste de noms » et en
fonction du contexte on choisit un nom ;
- Apprenant – intension = personne, engagé dans un cursus d’études, etc. ; on ne peut pas le définir
génériquement (homme, femme, âge) ; extension : élève, étudiant, écolier ;
- Sens en langue/sens en emploi ;
- Sens, signification, représentation d’un nom propre :
o Emploi 1 : le nom réfère à l’individu auquel il est conventionnellement associé ;
o Emploi 2 : on renvoie à autre chose qu’à ce qu’on présume être son porteur : petits Davids et
Goliath ; association plutôt avec une idée, pas une personne ;
Le référent
- L’élément de la réalité auquel l’expression linguistique renvoie ;
- Référent – concret ou abstrait ; signification = représentation dans notre tête ;
- Cheval : Parions que ce cheval gagnera le tiercé. ; Cheval a cinq lettres. = n’est plus référent, il
renvoie à une réalité linguistique, référent = mot du dictionnaire, pas le cheval de la réalité ;
- Référent/référence ;
o Référence = l’opération qui fait la liaison ;
o Référent = objet ;
- Pégase = référent fictif ;
- Référent préexistant ; qu’on doit simplement s’imaginer ; pas de référent ;

Cours 5 – 06/11/20 – Modèles d’analyse en sémantique


- Analyse componentielle/sémique (école américaine/européenne) :
o Lexème – composé de plusieurs components plus petits ;
o Unités minimales en linguistique : sème = unité minimale en sémantique ; pragmatème,
encyclopédème = unités minimales culturelles ;
o Buts de cette analyse : identifier, classer, décrire les relations (internes ou externes=entre les
mots ;
 Identifier les traits distinctifs, les unités de sens (sèmes et sémèmes) : bicyclette vs
moto – véhicules à deux-roues, mais distinction nécessaire – non-motorisé vs
motorisé ;
 Classifier en catégories ; ex : classe des animaux – dans nos têtes se forme
automatiquement cette classe ; bœuf vs vache – traits communs (non humain, bovin,
adulte), mais trait opposé : mâle vs femelle ;
o Méthode de description analyse :
 Segmentation – traits minimaux,
 Commutation ; femme vs mâle (on change un trait, on commute) ;
o Description des lexèmes simples ; idée de décomposition en traits minimaux = sèmes
(principe structuraliste) ; sème = concepts atomique ; concepts moléculaire – lexèmes
individuel du dictionnaire ; unités basiques du sens, irréductibles ;
o Sèmes spécifiques = nucléaires, forment le noyau sémique ;
o Virtuème – contexte situationnel ; ex : masque – par le virtuème on fait la différence entre
masque de costume et masque de protection (fête vs pandémie) ;
o Alexandre est un lion – sème virtuel ; Alexandre – pas identique au lion (animal sauvage,
féline, etc.) ; mais on associe Alexandre avec des traits qu’on attribue au lion (courageux,
fort, etc.) ; c’est une association culturelle, cela appartient au virtuème ;
o Sème – s’actualise dans le sémème qui se trouve au fondement du lexème ; ex : plusieurs
sèmes forment un lexème = chien ;
o Sémème – sémantique ; lexème – lexicologie ; L=S, mais dans des domaines différents ;
o Réunion de sèmes = sémème ; définition du dictionnaire = sémème ; mot du dictionnaire =
lexème ;
o Sèmes – peuvent être transposés en noms, mais d’autres ne le font pas : sèmes lexicalisables
vs non-lexicalisables ;
 Mule / muletier ; chèvre / chevrier ; vache / vacher ; etc. sème – gardien spécifique
d’un animal ; mais il n’y a pas de nom spécifique pour « cheval » ou « cochon » ; il
n’y a pas de mots pour tous les traits caractéristiques ;
 « Mettre bas à un petit » - pour les animaux ; chat – chatonner (=a fata, dar pentru
pisica) ; mais on n’a pas vacher pour vache, on dit « La vache a mis bas à un … » ;
o Sèmes encyclopédiques – connaissances culturelles et encyclopédiques qui servent dans la
représentation mentale ; non-nécessaires ; ex : Tigre – félin d’Asie et d’Indonésie ;
o Classème – sèmes contextuels ;

Cours 6 – 13/11/2020
- Champ des sentiments, même catégorie grammaticale :
o Bonheur, tristesse, colère, frustration, peur, chagrin, félicité, allégresse, ennui, inquiétude,
embarras, etc.
o Distributions : champs des sentiments positifs/négatifs ;
- Brun – cuivré, mordoré, doré, grège, saure, fauve, rouquin, auburn, châtain, sombre, foncé, cireux,
terreux, olivâtre, bronzé, hâlé, brûlé, boucane, basané, marron, noisette ;

Cours 7 – 20/11/20 – Polysémie


- S’établit dans le sens des mots, mais aussi à partir des homophonies ;
- Homonymie, polysémie = relations sémantiques internes ;
- Relations sémantiques externes = synonymie, antonymie ;
-

Cours 8 – 27/11/2020
Critères de distinction pour les homonymes :
- En les associant à des autres mots ;
- Etymologie ;
- Dérivation ;
- Critère synonymique – synonymes contextuels ;

Cours 9 – 04/12/2020

Cours 10 – 11/12/2020
- Contrariétés vs contraires ;
- Antonymie discursive : non comme sens de correction ;

Cours 11– 18.12.2020 – Hyponymes et hypéronymes


- Anaphore hyponyme vers hypéronyme et non l’inverse ;
- Propriétés logiques de l’hyponymie :
o Inclusion dans le sens commun – ex. nuances de rouge ; mais ! rouge n’est pas
nécessairement écarlate
o Maison : auberge, palais, chaumière, cage (pour les animaux, les oiseaux), etc. – peuvent être
des maisons ;
o Usages : acquisition du vocabulaire ;

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