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• GENERALITES
• OBSERVATION PSYCHIATRIQUE
• PATHOLOGIES PSYCHIATRIQUE
• CONCLUSION
INTRODUCTION
• Définition:
Discipline médicale d’étude et traitement des maladies du psychisme.
Mental = facultés cognitives
INTRODUCTION
Causes et facteurs
• Bien qu'on ne connaisse pas parfaitement les causes de nombreux troubles
mentaux, on pense qu'ils sont influencés par
• Biologiques,
• Psychologiques
EN PSYCHIATRIE
L'OBSERVATION D'UN MALADE EN PSYCHIATRIE
Rigoureuse
Précise Et
Complète
• II–IDENTITE DU PATIENT
✓La date de la première observation;
✓Le numéro du dossier;
✓ Le malade (nom, prénom, âge, sexe, race, ethnie,religion);
✓Son adresse actuelle (domicile, téléphones...), son origine;
✓Sa profession (chômage, déflaté, en retraite ,en activité)
✓Sa situation matrimoniale: marié,divorcé,veuf, célibataire.
L'OBSERVATION D'UN MALADE EN PSYCHIATRIE
✓La demande peut en effet émaner soit d'un tiers (les parents en
particulier), ou de la société (milieu professionnel ou les
pouvoirs publiques par exemple).
❑ Notiond'alcoolisme chronique;
❑ Hospitalisations antérieures.
➢ Apprentissage de la propreté;
Il permet d’explorer :
➢ le comportement du malade;
➢ l’activité psychique basale actuelle.
A) LE COMPORTEMENT DU MALADE
C’est le comportement du malade au moment de l’examen et
dans le service, sa présentation et la verbalisation.
• Ralentissement moteur,
• Alimentation (refus,restriction,excès;..);
• Pauvres ou chaleureux;
• Agréables ou désagréables.
B.3.La mémoire
• Explorer les différentes mémoires :
▪ Mémoire ancienne(à long terme);
▪ Mémoire récente;
▪ Mémoire immédiate (ou ‘empan ’ ).
• Ceci permet de noter ses deux versants que sont la fixation et
l’évocation :
• Réponse À côté (ce sont des réponses absurdes, sans lien logique
avec la question posée. Le malade donne souvent l’impression d’être
un simulateur),
• Fuite des idées (afflux excessifs d’idées associé à leur fugacité. A
peine formées, les idées quittent le champ de la conscience
bousculée par d’autres idées nouvellement apparues et ainsi de
suite.).
Troubles du contenu de la pensée
• Idées fixes (le sujet exprime toujours la même phrase, la même idée),
o Obsessions (idées contraignantes assiégeant la pensée consciente.
Le sujet ne peut s’en détacher par la seule volonté),
• Facilité;
• Distordu:
1. EXHALTATION DE L’HUMEUR
L’association des idées est superficielle et fragile. Elle s’établit par assonances,
rimes et slogans. Ce qui caractérise le maniaque, c'est la fuite des idées, il s'agit
d'une véritable "volatilité" des idées.
• Le contenu du discours peut être riche en jeux de mots,
plaisanteries et citations et prend donc une dimension ludique.
L'attention volontaire est quasi impossible, le maniaque est en
distraction perpétuelle due à l'éparpillement de l'attention
spontanée. Il est incapable de faire un choix et réagit à toutes
les sollicitations extérieures.
• Les perceptions et l’orientation restent relativement bien
conservées, mais sans recherche de conduites adaptées.
L’hypermnésie participe à l'excitation psychique générale
surtout dans ses modalités d'évocation et de reproduction
automatique. Les souvenirs sont évoqués au cours de la crise
avec beaucoup de détails : des textes appris par cœur par
exemple sont récités abondamment
• L'imagination est aussi exaltée et peut de ce fait aboutir à des
productions imaginatives pseudo-délirantes : idées d'invention,
de grandeur, auxquelles le malade ne croit pas sérieusement
• 3. Excitation motrice
Elle est caractérisée par la dimension ludique (jeu) : le maniaque
est instable, ne tient pas en place, il peut déplacer les objets,
passer d'un endroit à l'autre pratiquement sans arrêt. La
résistance physique est souvent surprenante, compte tenu de
l'intensité des efforts déployés et de l'énergie dépensée (il
semble infatigable, inépuisable) Cette activité débordante peut le
mener à des excès et le pousser à des activités dangereuses,
tapageuses ou scandaleuses
• 4. Excitation instinctuelle
• Des conduites de désinhibition sexuelle peuvent se voir
génératrices parfois d’exhibitionnisme, d'actes médicolégaux à
type d'outrage ou d'attentat à la pudeur. Une insomnie sévère
se voit sans sensation de fatigue. La faim et la soif sont
augmentées mais sans prise de poids
• Episode hypomaniaque :
• (A) Une période nettement délimitée durant laquelle l’humeur
est élevée de façon anormale et persistante ou humeur
expansive ou irritable et associée à une augmentation de
l’activité orientée vers un but ou à un niveau d’énergie anormal
et persistant et présent la plupart du temps tous les jours
pendant au moins 4 jours consécutif
• (B) Au cours de cette période de perturbation de l’humeur et de
l’augmentation de l’activité ou de l’énergie au moins 3 des
symptômes suivants (4 si l’humeur est seulement irritable) sont
présent à un degré significatif et représentent un changement
par rapport au comportement habituel :
I-Généralités
II-Etiopathogénie
III-Etude clinique
IV-Traitement
V-Evolution-Pronostic
Conclusion
I-Généralités
1-Définition:
(Delay et Denicker)
I-Généralités
2-Intérêts:
• Les troubles dépressifs, préoccupation majeure de santé
publique
• 3è rang des maladies handicapantes ( F.Ferreri, C.Agbokou et P.Nuss
2006)
• Veuvage, deuil
• sexe féminin
• perte d’autonomie
• Démence
• Vécu(s) stressant(s)
• Caractéristiques familiales:
• Relation parent-enfant
II-Etiopathogénie
2-Facteurs étiologiques:
Hypothèses socio-psychologiques, neurobiologiques et génétiques
oFacteurs psychosociaux:
• Changement de domicile
• Passage à la retraite
• Pauvreté, problèmes financiers
• Manque de relations privilégiées
• Poids des événements de la vie
II-Etiopathogénie
oFacteurs neurobiologiques:
• Atteinte du système limbique
• Lésion des GB et des aires prémotrices
• Diminution des neurotransmetteurs cérébraux
• Maladies somatiques (migraines)
oFacteurs génétiques: mal connu
oPrise de drogues, tabac
II-Etiopathogénie
3-Classifications internationales:
• Troubles unipolaires
• Troubles bipolaires
-Classification de l’OMS: classification internationale des maladies (CIM) 10 ou ICD (10è édition, 1992)
Trouble dépressif récurrent, trouble anxieux et dépressif mixte
III-Etude clinique
1-Syndrome dépressif typique:
Épisode dépressif majeur
oHumeur dépressive:
o Ralentissement psychomoteur
o Troubles cognitifs:
o Signes somatiques:
oSignes somatiques:
C-Formes symptomatiques:
o Une dysphorie avec humeur irritable, peut masquer l’humeur
dépressive, la tristesse, le désintérêt et la perte de plaisir
o Mélancolie délirante
o Mélancolie stuporeuse
o Dépression mixte
o Dépression confuse
o Dépression saisonnière
o Dépression atypique
Formes cliniques
D-Dépression en fonction de l’âge:
o Dépression de l’enfant:
• Humeur dépressive
• comportement dépressif
• Troubles dysthymiques ≥ à 2ans; signes somatiques, RDPM
o Dépression de l’adolescent:
• Épisode dépressif majeur: troubles du comportement,
difficultés scolaires et relationnelles
• Souvent atypique: hyperphagie et hypersomnie, troubles de la
personnalité
Formes cliniques
o Dépression du sujet âgé:
• Symptômes dépressifs retardés par rapport au sujet jeune
• Signes somatiques au 1er plan (30%des cas): Troubles
neurovégétatifs: anorexie, troubles du sommeil, amaigrissement
• Troubles mnésiques, troubles intellectuels, confusion
2-Moyens:
2-Moyens:
• Non médicamenteux: Psychothérapie de soutien, interpersonnelle
et familiale; Sociothérapie, stimulation cognitive, Groupes de
paroles, musicothérapie……
3-Indications:
• Modifications de l’absorption, de la biodisponibilité, du
métabolisme et de l’élimination des médicaments en fonction de
l’age.
• Atteindre progressivement la dose thérapeutique efficace
Traitement: Indications
• Préférer la monothérapie
2. CLINIQUE
3. EVOLUTION
4. FORMES
5. PRISE EN CHARGE
INTRODUCTION
• Facteur génétique:
• L'hérédité : études familiales: plus une personne est proche
héréditairement d'un parent malade, plus son risque de développer la
même maladie pendant sa vie est élevé.
Incompatibilité Rhésus
CAUSES
Toxoplasmose
• Intoxication et drogues
CLINIQUE
• Syndrome dissociatif
• Syndrome autistique
CLINIQUE
1. Le syndrome dissociatif :
Rupture de l’unité psychique à l’origine d’une désorganisation de
l’activité mentale
• 6. La dépersonnalisation
3. L’autisme
L’autisme schizophrénique correspond à une modification des rapports
du sujet au monde caractérisé par : • Perte de contact avec la réalité
(apragmatisme, désintérêt, indifférence affective, athymhormie,
incurie…) • Prédominance de la vie intérieure (fantasmes, monde
imaginaire, idées abstraites et hermétiques…) L’installation de ce monde
autistique est à l’origine d’un isolement social sévère. ( repli extrême sur
soi )
CLINIQUE
• MODES DE DEBUT
1. Début aigu
✓Bouffée délirante aigue
✓ Etat dépressif atypique
✓ Etat maniaque
✓Trouble du comportement
2. Débuts insidieux
Le diagnostic de schizophrénie est souvent porté tardivement, parfois
après plusieurs années d’évolution retardant d’autant l’accès aux soins
CLINIQUE
✓Fléchissement de l’activité (scolaire, professionnelle…)
✓Modification du caractère
✓Modification de l’affectivité
✓ Manifestations pseudo-névrotiques
• Troubles obsessionnels
• Troubles anxieux
• Troubles phobiques
• Préoccupations corporelles (dysmorphophobies)
✓Troubles du comportement alimentaire
✓Toxicomanie, alcoolisme
CLINIQUE
• LES FORMES CLINIQUES
2. La schizophrénie hébéphrénique
6. L’héboïdophrénie
• Forme paranoïde
• TRAITEMENT BIOLOGIQUE
• Médicaments psychotropes:
• Classiques ( première génération)
• Atypiques ( deuxième génération): Risperidone,Olanzapine,...
Ont une efficacité égale sur les symptômes positifs
2è gén : efficacité supérieure sur les symptômes négatifs, moins
d’effets
secondaires ( parkinsonisme, prise de poids, etc)
Ces médic attenuent les symptomes, mais la maladie peut tjrs évoluer
PRISE EN CHARGE
• PSYCHOTHERAPIES
• Permettent de modifier la perception, la compréhension et la gestion
des symptômes.
❑ Thérapie de soutien:
• Remédiation cognitive
• Individuelle ou en groupe, permet d’améliorer les troubles cognitifs.
Exercices réalisés avec un professionnel à partir de différents supports
(planches avec des mots, images, films, souvent à l’aide d’un
ordinateur).
PRISE EN CHARGE
• Thérapies familiales :
Parfois nécessaires pour résoudre les conflits que le système familial ne
peut plus gérer. Les thérapeutes ne cherchent pas à culpabiliser les
proches, mais à les aider à devenir des partenaires des soins.
PRISE EN CHARGE
Manifestations paroxystiques
➢Troubles de la motricité :
➢Troubles de la sensibilité
➢Troubles sensoriels
➢Troubles de la phonation
TROUBLES DE LA MOTRICITÉ
➢Paralysies :
• Paralysie de fonction : astasie abasie +++
• Paralysies localisées d’un membre ou d’un segment de membre
• Hémiplégie, paraplégie, quadriplégie
• Belle indifférence : absence paradoxale d’angoisse vis-à-vis du symptôme.
➢Contractures
• Cou (torticolis), du tronc (camptocormie ).
➢Mouvements anormaux
• Tremblements, distractibilité ++++
• Mouvements choréiques tics qui n’entravent pas la vie professionnelle.
TROUBLES DE LA SENSIBILITE
➢Anesthésies :
Ne respectant pas la systématisation anatomo-fonctionnelle
➢Hyperesthésies :
• Zones hystérogènes : Leur localisation peut être précise et fixe ou au contraire
vague : exemple du "clou hystérique " au sommet du crane ; les " points ovariens
" dont la compression déclenche la douleur ou d'autres symptômes
➢Algies : +++
Céphalées, algies pelviennes, dorsalgies ,lombalgies…
MANIFESTATIONS DURABLES
➢Troubles sensoriels:
• Visuels : diplopie, la vision trouble, la cécité au décours d’une émotion.
• Surdité , anosmie
➢Troubles de la phonation:
• Mutisme, aphonie, dysphonie
• Aboiements interprétés en termes d’ensorcellement ou de possession.
TROUBLES NEURO-VÉGÉTATIF
➢ Les spasmes :
• Pharyngé : spasme oro-pharyngé gênant l’alimentation,boule œsophagienne , crise de hoquet
• Respiratoire : toux nerveuse avec spasmes respiratoires
• Vésical : rétention d’urine ou énurésie par spasme vésical
• Vaginal : vaginisme
➢ Le gros ventre hystérique (cathiémophrénose)
associe un spasme diaphragmatique associé à un tympanisme abdominal donnant l’aspect d’une
grossesse
➢ Troubles vasomoteurs :
fièvres inexplicables, hémorragies localisées ,urticaire, ecchymoses spontanées, refroidissement,
cyanoses, œdèmes sous-cutanés...
➢ Troubles trophiques :
dermographisme (marquage cutané́ persistant après un contact, prenant la forme d'une
tuméfaction blanc rosé, suivant le trajet du contact), stigmates sanglants, phlyctènes.
EXPRESSION PSYCHIQUE:
➢Dissociation hystérique :
• Amnésie psychogène
• Dépersonnalisation
• Personnalité multiple
• Somnambulisme hystérique
• Fugue psychogène
LA CLINIQUE DE L’HYSTERIE AUJOURD’HUI ?
➢Chez l’homme
• L’hystérie est mono ou pauci symptomatique
• Les symptômes moteurs sont plus fréquents
• Les circonstances étiologiques sont souvent en rapport avec des conflits
socioprofessionnels ou un accident de travail.
➢Chez l’enfant
• Les manifestations hystériques sont moins élaborées et moins riches que chez
l’adulte.
• Il peut s’agir de troubles des fonctions : difficultés à la marche avant le départ
en classe, vomissement, douleur abdominale….
• Maladie Trouble
organique psychiatrique
MALADIE ORGANIQUE :
➢ Maladies neurologiques : +++
• Sclérose en plaques,
• Epilepsie : crises focale (temporale) , CGTC , attention à l’association hystérie-
épilepsie.++
• Accidents vasculaires cérébral
• Etats confusionnels
➢Autres maladies organique:
• Crise de Tétanie : Signe de chrovstek , Dosage de la calcémie
• Hypoglycémie : malaise angoisse ,agitation et crise convulsives = glycémie en
urgence.
TROUBLES PSYCHIATRIQUE
➢Névroses : L’hypocondrie névrotique
➢Mode d’entrée dans la schizophrénie
➢Maladies psychosomatiques
➢Simulation
➢Troubles factice
•
TRAITEMENT:
Dès le premier contact avec le patient:
➢Hospitalisation
➢Chimiothérapie
➢Suggestion
HOSPITALISATION:
➢Courte hospitalisation :
▪ Isoler le malade
▪ D’agir sur la situation de conflit en étudiant la signification du symptôme , la
personnalité , les relations interpersonnelles.
▪ D’étudier les bénéfices éventuels et de rompre le cercle vicieux des bénéfices
secondaires et mettre à distance le conflit avec la famille ou l’entourage.
➢pas toujours indiquée
CHIMIOTHERAPIE:
➢Anxiolytiques
➢Antidépresseurs sédatifs
➢Evolution chronique :
• alternance symptôme / résolution
• +/- enrichissement ( apparition de nouveaux symptômes )
➢Complications :
• Décompensation anxio-dépressive
• Tentative de suicide
• Conduites addictives alcoolisme ; abus de médicaments
• Trouble des conduites alimentaire
• Retentissement socio-professionnel
➢Pronostic : dépend de l’ entourage , limiter les bénéfices
secondaires qui contribuent a la chronicisation
Résumé
L’hystérie est une névrose, plus fréquente chez la femme
mais peut se retrouver chez l’homme.
• Conclusion
• II-Clinique :
❑Types d’anxiétés
❑Registres anxieux
I-Généralités
❑ Définitions:
1) Anxiété: « État émotif complexe, imprécis, sans objet réel; caractérisé par le
vécu pénible d’un danger imminent avec un sentiment d’incertitude et
d’insécurité indéfinissable »
Anxiété Angoisse Serge Tribolet; Mazda Shahidi
Troubles psychiatriques+++++
❑ Définitions:
• Épidémiologique: • Pronostique:
✓Fréquence: USA 19-33%: UE 25% ✓Bonne PEC précoce évite l’évolution vers la
✓Prévalence: forte (stress); H=F chronicité (état dépressif; addiction;
(INSERM-1198; 2016)
suicide…)
• Thérapeutique:
• Diagnostique: ✓Abus d’anxiolytiques
✓Délicat: symptômes communs entre
anxiété normale et pathologique
•Sous le contrôle du cortex préfrontal qui détermine la Dérégulation du système limbique (Amygdale; Hippocampe)
pertinence émotionnelle des stimuli
Anxiété
Shekhar et al., Stress, 2005, 8, 209-19 Mahan& Ressler 2012, TINS, 35, 24-35
Coplan & Lydiard, Biol Psychiatry, 1998; 44; 1264-1276
II-Clinique
❑Types Anxiétés:
•Le Syndrome de Stress Post Traumatique (SPT)
•Le Trouble de Panique (TP)
•Le Trouble Obsessionnel Compulsif (TOC)
•Les Phobies
•L’Anxiété Généralisée (AG)
Ces 5 troubles peuvent avoir des symptômes communs, ce qui rend leurs diagnostiques délicats
•Le syndrome de Stress Post Traumatique (SPT)
• Réponse différée ou prolongée après un évènement traumatisant
exceptionnel brutal, inattendu et stressant
(torture répétée, brulure, témoin de mort d’autrui, scène de guerre atroce…)
• Manifestations:
✓Peur intense, sentiment d’horreur ou d’impuissance avec fragilité
psychologique
(souvenirs récurrents, cauchemars répétitifs),
• Manifestations:
✓Anxiété anticipatoire avec Conduite d’évitement (fuite)
• Manifestations:
✓ lutte anxieuse contre des idées ou sentiments qui s’imposent à lui de façon
répétée et incoercible
✓Le sujet lutte contre ses obsessions et cache sa maladie le plus possible et ne
consulte que lorsque les manies et rituels sont invalidants
•Les Phobies ou hystérie d’angoisse
• Angoisse paroxystique lors de la confrontation avec l’objet ou situation
phobogène
• Manifestations:
✓Comportement d’évitement (fuite devant la situation crainte)
✓Dépendance vis-à-vis de l’entourage (protection, séparation avec des
phobogènes)
« Avec le temps, l’évitement et la dépendance s’aggravent et impactent sur la qualité de vie du malade (souffrance)»
✓Troubles du sommeil+++
❑ Équivalents Anxiétés
• Raptus anxieux : • Dépression anxieuse ou trouble de l’humeur
Impulsion autodestructrice ➢Agitations psychique et motrice; désordonnées qui
remplace le ralentissement moteur
➢Actes de violences
➢Hyperthymie douloureuse à l’environnement
➢Agitations psychomotrices
✓ Exagération des mouvements de va et vient
➢Attente anxieuse: peur sans objet réel ou défini, attente du pire ou du danger,
anticipation des évènements à venir, peur intuitive de la mort possible ou prochaine,
peur de devenir fou ou de commettre un acte incontrôlé
➢Symptômes:
✓ Neurovégétatifs: pâleur ou rougeur de la face, bouche sèche, hyper sudation, transpiration des
mains,
• Registre Somatique:
➢Symptômes:
✓ Neuromusculaires: grincement des dents, douleurs musculaires avec crampes, tics+++, ROT vifs+++
➢Utile dans certaines situations (dynamise et améliore les performances physiques et intellectuelles; aide à nous
mobiliser devant un danger…)
▪ Médicamenteuse ▪ Psychologique
• Agoniste BZ, antagoniste BZ • Psychothérapie de soutien
(flumazénil) • Comportementale: exposition aux stimuli
craints pour s’en désensibiliser, progressive
ou implosive
• Prise en charge doit être individualisée et adaptée (vécus émotionnel, cognitif et comportemental)
intellectuelle”.
➢Mortalité: 4 à 10 % .
ETIOPATHOGENIE
➢Mal connue.
ANOREXIE:
➢Maître symptôme
➢3 -6 mois minimum
➢Dysfonctionnement cortico-hypothalamo-hypophysaire
➢Gêne psychologique(-) .
TDD: AM DE l’ADOLESCENTE
DISTORSIONS COGNITIVES
➢Évitement alimentaire
➢Traits obsessionnels
➢Surinvestissement intellectuel
➢Altération de la sexualité .
TDD: AM DE l’ADOLESCENTE
STRATEGIES DE CONTRÔLE DE POIDS
➢Vomissements provoqués
➢Potomanie
➢Hyperactivité physique.
TDD: AM DE l’ADOLESCENTE
PARACLINIQUE
➢Ostéoporose
➢IR fonctionnelle
➢Hypoglycémie
MODALITÉS ÉVOLUTIVES
➢Spontanées
- Chronicité ou enkystement+++
- Vomissements
aménorrhée .
phobies extensives ) .
FORMES CLINIQUES
➢Petite enfance : 5ème - 8ème mois :sevrage. amaigrissement ++,
(-) bon .
guérison +++ .
DIAGNOSTIC
DIAGNOSTIC POSITIF
DIAGNOSTIC POSITIF
DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL
➢Anorexie d’origine organique ( cancers, hémopathies,
Sx débutante et hébéphréno-catatonique )
TRAITEMENT
BUTS
thérapie Institutionnelle ).
D- APPROCHE FAMILIALE
INDICATIONS
INDICATIONS
CONCLUSION
➢ Urgence médico-psychiatrique.
poids ≠ ).
HYPOCHONDRIE
PLAN
I.INTRODUCTION
III.DIAGNOSTIC
1. Diagnostic positif
2. Diagnostic différentiel
V. CONCLUSION
I.INTRODUCTION
1. Définition
❑ Etat psychopathologique
2. Intérêts
✓Diagnostique
✓Trouble invalidant
✓Economique
I.INTRODUCTION
3. Historique
✓Maurel (1975): Pas comme entité morbide mais un thème (façon se poser ou
s’imposer au monde)
✓DSM IV -R
I.INTRODUCTION
4. Épidémiologie
✓2% ne croient pas leur médecin quand il leur dit qu’ils sont pas malades
II. CARACTERISTIQUES CLINIQUES
II. CARACTÉRISTIQUES CLINIQUES
✓Besoin de consommer des médicaments (le médicament est un objet concret qui
représente une protection pour l’hypocondriaque),
II. CARACTÉRISTIQUES CLINIQUES
❑Hypocondrie névrotique
❑Hypocondrie délirante
❑Hypocondrie et dépression
❑Évolution hypocondriaque d’une maladie somatique
❑« cybercondriaque »
❑Hypocondrie psychique
III.DIAGNOSTIC
III.1 Diagnostic positif
DSMV→
Trouble spécifier:
✓A type de demande de soins (les soins
médicaux y compris visite chez le
médecin sont utilisés de façon
excessive)
✓A type d’évitement de soins (les soins
III.1 Diagnostic positif
Deux échelles permettent d’évaluer les états hypocondriaques:
✓Index de whiteley
✓Echelle d’attitude vis-à-vis de la maladie
III.2. Diagnostic différentiel
III.2. Diagnostic différentiel
❑Présence d’une maladie somatique
Eliminer une pathologie somatique
❑Trouble d’adaptation
Liés à une affection médicale limitée dans le temps (réponse normale à un
problème de santé existant)
❑Autres troubles à symptomatologie somatique
Quand les symptômes somatiques existent et sont significatifs
❑Troubles anxieux
Situation multiple dont la santé en fait partie
III.2. Diagnostic différentiel
❑Troubles obsessionnels compulsifs associés.
La personne présentant une crainte excessive de maladie pt avoir
de pensées intrusives concernant une maladie avec de
comportement compulsif associés
❑Troubles dépressifs
Certains patients présentent des épisodes dépressives avec
rumination concernant la santé.
❑Troubles psychotiques
Ne sont pas délirant et peuvent reconnaitre que la maladie qu’ils craignent
n’existent pas
IV. Prise en charge
❑But
✓ Ecouter l’exposé de l’hypocondriaque et le prendre au sérieux
✓Proposer des consultations régulière et donner des explications utiles
✓Rassurer le patient
✓Traiter les états dépressifs associés
IV. Prise en charge
❑Moyens et indication
✓Psychanalyse
• Psychothérapie
• Les médicaments peuvent aider à soulager les symptômes à
l’origine de la souffrance, tels que la dépression et l’anxiété, et
peuvent aider à contrôler certains traits de personnalité tels que
l’agressivité. Les médicaments ne peuvent toutefois pas guérir
un trouble de la personnalité.
Troubles psychiques au cours
des tumeurs cérébrales
Plan
I- Généralités
1-Définition
2- Intérêt
3- Epidémiologie
4- Rappel anatomo-physiologique
5-Etiopathogenie
III-Manifestions neuropsychiatriques selon la topographie de la tumeur
IV-Examens complémentaires
V-Prise en charge
Conclusion
I- Généralités
I-1-Définition
Troubles mentaux: Ils se caractérisent généralement par un ensemble anormal de
pensées, de perceptions, d’émotions, de comportements et de relations avec
autrui.
3- Système limbique
➢ Hippocampe
➢ Le noyau acumbens
➢ Le corps mamillaire
4- Rappel-anatomo-physiologique
5-Ethiopathogenie
TOPOGRAPHIE DE LA TUMEUR
III-1-Tumeurs frontales
Troubles du comportement
III-6 Craniopharyngiome
❖Chez l’enfant+++, adulte
❖Mutisme akinétique , trouble du caractère, hypersomnie sont parfois noté
❖Diabète insipide, déficit hypophysaire, trouble visuels
III-6 Tumeurs hypophysaires
❖ Absence ou baisse de libido en cas d’adémone non secrétant ou à
prolactine
❖ Etat confusionnel et parfois délirant dans la maladie de cushing
❖Imagerie encéphalique+++
❖Détection+++
1-Traitement symptomatique
❖ Anti-inflammatoires
❖ Recours aux psychotropes pour atténuer des symptômes cibles précis
sera prudent
2-Traitement curatif/paliatif
❖ Chirurgicale : exérèse complète
❖ réduction du volume tumoral
❖ Radiothérapie++++
❖ Chimiothérapie