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Maccio (C.), l’animation dans le groupe, Paris, éd. Chroniques sociales, 1990.
Amado (G.), Guittet (A.), la dynamique des communications dans les groupes,
Paris, éd. Armand Colin, 1975.
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Introduction
Définitions
Transmettre vient du mot latin trans-mittere (envoyer de l’autre côté), signifie faire passer de
l’un a l’autre. Une transmission est achevée lorsque l’autre possède l’information.
Informer, c’est réduire le degré d’incertitude du récepteur. C’est aussi transmettre un message.
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l’identification visuelle… L’image d’une entreprise dépend de l’image qu’en
diffusent les hommes qui y vivent : un personnel motivé à l’interne fait une
entreprise aimée de l’extérieur (et réciproquement les salariés sont
favorablement influencés par une bonne image externe). La communication
interne est une question d’état d’esprit autant que de système. Impliquez tout le
monde, à commencer par l’encadrement (le personnel). Il faut également le
former, lui apprendre certaines techniques rudimentaires : comment parler en
public, rédiger une note interne, préparer une réunion de service, s’assurer de la
transmission rapide d’une information… Et surtout l’imprégner de l’intérêt de la
chose. Au centre du processus de communication, l’encadrement a un rôle
d’animateur à jouer : la nature des informations qu’il transmet, l’esprit dans
lequel cette transmission s’effectue influent la qualité générale de la
communication interne.
La confiance au sein de l’entreprise est d’or. Pour ce faire, l’information doit en permanence
être partagée pour que chacun puisse se situer dans l’organisation (communication
bidirectionnelle). Par le partage de l’information, la Direction envoie un message de confiance
aux employés. L’information se transforme alors en sentiment de reconnaissance, de
valorisation, entraînant la coopération du sujet.
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de l’Homme au travail, ce salarié en besoin d’être informé et en perpétuelle recherche
de satisfaction, motivation et implication au travail.
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temps, dans l’espace.
Traître : ce n’est pas Imprécis : risque de Long : la préparation est
parce que l’on peut déformation de lourde. Les délais
écrire que l’on sait faire l’information aux deux imposés sont
passer un message. Pour stades de transmission du inconciliables avec une
rédiger un « bon » message (émission, opération de
message, il faut y passer réception). communication rapide.
du temps. Volatile : ne laissant pas Complexe : la
Dangereux : les de trace, l’analyse « à conception technique est
entreprises ont tendance tête reposée » est du ressort des
à faire crouler leurs impossible (à moins spécialistes.
salariés sous de trop d’avoir pris soin Exigent : concevoir puis
nombreux documents d’enregistrer le diffuser les messages
écrits. message). demande un matériel
important.
Fondamental : moyen le Indispensable : médium Limité : du fait de son
plus classique, le moins convivial, économe, coût la duplication d’une
couteux. mais peu fiable. bande magnétique se fait
Commode : diffusion A encadrer : tout en nombre limité
illimitée, conservation message oral devrait être d’exemplaires.
parfaite, consultation accompagné d’une Moderne : technologie
souple (possible à tout information écrite d’avenir appelée à jouer
moment). (complémentaire ou un rôle croissant.
Modulable : utilisé par préparatoire). Imposant : convient aux
toutes tailles. A limiter : Pourquoi ne pas grandes structures.
gare aux excès ! distribuer en cas de A suivre : aucune
réunion les dossiers de entreprise ne peut
presse aujourd’hui l’ignorer.
communication externe
1. L’écrit : le pivot
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1.1 Les outils de la communication écrite
C’est un document écrit qui donne des directives et des explications. Son objet
doit immédiatement apparaître en haut de la page. Les mots seront simples et
fermes, indiquant clairement la direction à suivre. Il faut plutôt préférer le style
télégraphique aux digressions littéraires. Eviter les longs paragraphes.
L’ensemble se déroulera suivant un enchaînement logique et tiendra sur une
page recto.
C’est également un document écrit qui fait un compte rendu d’une activité
précise menée par l’entreprise. Il diffère du compte rendu par le fait que l’auteur
donne son point de vue. Il fait le point sur un sujet, résume une réunion… Il est
soit une aide à la décision (hypothèse a), soit un compte rendu d’une décision
déjà prise (hypothèse b). Il présente la démarche qui a abouti à ce conseil (a) ou
à cette décision (b), la responsabilité à engager (a) ou déjà engagée (b). Le
problème, les choix écartés, la solution doivent être saisis rapidement.
L’ensemble sera bref (2 à 3 pages) et finalisé (s’achevant sur une conclusion
nette et précise).
• L’affichage lumineux
Il est des variantes sophistiquées permettant de moderniser ce support.
Certaines entreprises installent des panneaux lumineux. Attention ! Cette
formule attirante, mais délicate. Les entreprises qui l’utilisent doivent
savoir qu’il est onéreux (l’installation revient à 3.000.000 FCFA pièce) et
contraignant. Contrairement au panneau d’affichage classique (où les
textes peuvent rester des semaines durant) on ne peut laisser longtemps le
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même panneau lumineux. C’est trop visible : les messages doivent donc
être fréquemment réactualisés (une fois par semaine environ).
Elle consiste à ce que le personnel dépose par écrit- anonymement ou non- ses
suggestions. Celles-ci traitent de l’entreprise sous différents angles : technique
(amélioration des méthodes de travail, protection industrielle, économies
d’énergie, équilibrage du temps de production, résolution de certains
disfonctionnements traditionnels tels que pannes, casse, vols,…), humain
(amélioration des conditions de travail, aménagement des horaires,
perfectionnement du système d’hygiène et de sécurité) et administratif
(réorganisation fonctionnelle des procédures, circuits et normes, accélération des
liaisons interservices…)
Un chef d’entreprise fait passer un message à ses salariés sous forme de lettre.
Sans aucune contrainte de contenu, il peut faire le point sur l’état de l’entreprise,
évoquer un thème brûlant (conséquences d’une nouvelle législation, bilan d’une
vague de licenciements, mise au point sur des bruits qui courent), motiver son
personnel (réaffirmation du projet de l’entreprise, félicitations adressées au
personnel…), constituent le contenu de la lettre au personnel.
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1.2 La presse d’entreprise
Dans les petites entreprises chacun lit, découpe, photocopie les magazines. Dans
les plus grandes structures, cet artisanat est difficile. On lui préfère un système
plus organisé de revue de presse, qui permet d’informer simultanément tout un
réseau de personnes et leur offre la possibilité de conserver les éléments
transmis. La revue de la presse est un parcours de toute l’actualité qui concerne
l’entreprise. Des photocopies d’articles se gardent mieux que du papier journal :
elles sont moins sales et ne jaunissent pas. La revue de presse est un instrument
d’information plus ou moins efficace. Plus elle colle aux centres d’intérêt de ses
destinataires (et au temps de lecture dont ils disposent), plus elle sera lue. C’est
pourquoi il est souvent préférable de réaliser différentes revues de presse,
chacune destinée à un groupe de lecteurs spécifique.
2. L’oral et l’audiovisuel
2.1 L’oral
Parler est le moyen d’échange le plus naturel, le plus immédiat. Dans les
entreprises, comme dans n’importe quel groupe, la communication orale se fait,
bien sûr, de manière informelle : deux personnes se rencontrent dans un couloir,
elles échangent quelques mots. Mais elle se fait aussi autour de procédures plus
formalisées : réunions, instances de dialogue…
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2.1.1 Le téléphone
2.1.2 La réunion
La réunion est une assemblée de personne au sein d’un service afin de débattre
de certaines questions inhérentes au groupe. Dans les entreprises, les réunions se
suivent et ne se ressemblent pas : réunion plénière, assemblée générale, réunion
de service, groupe de réflexion, conférence, cercle de qualité… Elles apportent
le meilleur comme le pire. Le meilleur, si elles sont limitées en fréquence, et
préparées dans leur contenu. Le pire, si elles sont nombreuses et anarchiques. La
« réunionnite » est en effet un mal qui guette toutes les entreprises. Ses
inconvénients sont multiples : perte sèche pour l’entreprise (réunir plusieurs
personnes est un investissement qui ne se justifie que s’il génère des
retombées) ; invitation des participants qui ont le sentiment d’avoir perdu leur
temps ; piètre image externe (les salariés sont injoignables, perpétuellement en
réunion).
3. L’audiovisuel
3.1 Les nouveaux médias
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Film, diaporama, vidéo, vidéoconférence, Intranet, Internet, extranet,… sont
autant d’outils plus ou moins récents, mis à la disposition des communicants
d’entreprise. Souvent chers, parfois complexes, généralement impressionnants,
ces « médias » sont plus ou moins utilisés selon la taille des entreprises, leur
capacité à dégager les budgets nécessaires, leur volonté à mettre en place la
logistique ad’ hoc et… l’adaptabilité du personnel.
Film, diaporama, vidéo d’entreprise… Ces instruments sont tout à fait entrés
dans les mœurs. Ce sont des supports de communication efficaces (bonne
transmission de l’information, compréhension et mémorisation aisées) et
agréables pour les spectateurs/auditeur : au prix d’un petit effort d’attention
(bien moindre que pour des supports écrits), ils reçoivent confortablement le
message.
3.1.2 La visioconférence
Cette nouvelle technologie permet de recréer les conditions d’une réunion entre
plusieurs personnes géographiquement éloignées, et reliées entre elles par un
système de télécommunication (son et image étant interactif). Equipées d’un
moniteur, d’une caméra et vidéo et d’un haut-parleur, les différentes parties
prenantes se voient (par l’intermédiaire de la caméra vidéo), et dialoguent (grâce
au haut-parleur) comme si elles étaient de la pièce. La visioconférence peut se
tenir dans leurs propres locaux ou à partir de studios loués pour l’occasion.
Les relations publiques sont, en général, une activité d’une entreprise en vue
d’établir des relations de confiance entre elle et les publics qui s’inscrivent dans
son champ d’action. Elles couvrent tout un ensemble de techniques allant des
publications d’entreprise à la création d’événements. Mais nous allons étudier
ici les relations-presse et le sponsoring mécénat.
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Il y a cinq outils principaux de travail avec les médias : communiqué, dossier de
presse, conférence, interview, publi-rédactionnel. L’entreprise adoptera tel ou tel
en fonction de ses besoins, ou cumulera les cinq.
Le communiqué est un texte court qui délivre rapidement une information sur le
modèle d’une dépêche d’agence. Sa structure est normalisée :
Légende :
Facilité = la technique est-elle facile à maîtriser ?
Qualité = l’information transmise est-elle pertinente ?
Dialogue = l’échange est-il possible entre l’entreprise et les journalistes ?
Rentabilité = quel est le rapport temps passé/résultat obtenu ?
Efficacité = quelle probabilité d’atteindre le but ?
Coût = le message revient-il cher ?
(Aléatoire, varie en fonction des cas d’espèce).
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pratique, courante, simultanément
fonctionnel. urgente. un grand nombre
de supports.
Dossier Riche, ouvert : Profonde : mise Destiné à être
tout est possible en perspective utilisé comme
outil de
référence.
Conférence de Difficile, Majeure ou de Diffuser un
presse aléatoire prestige. message auprès
d’un public
choisi.
Interview Fin : mode de Complexe ou Initier des
communication globale. relations
très prisé des personnalisées
médias. ou mener une
politique
d’image.
Publi-rédactionnel Hybride, entre Sensible ou Contrôler
l’article et circonstanciée totalement le
l’annonce contenu d’un
publicitaire message.
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1.1.2 Le dossier de presse
Un dossier de presse est un support écrit qui met à la disposition des médias un
ensemble complet de documents. Il combine en général les aspects factuel
(informations brutes), documentaire (« preuves » à l’appui de la démonstration),
et anecdotique (devant piquer la curiosité de ses destinataires). Bien conçu, il
devrait donner aux journalistes tous les éléments nécessaires à la rédaction de
leurs papiers.
Un dossier de presse bien fait comprend :
- un communiqué d’ouverture : à l’instar du communiqué de presse classique, il
présente brièvement l’objet du dossier, en fait la synthèse ;
- un sommaire ;
- une série de rubriques, ordonnées suivant un plan logique.
Exemple :
• Thème du dossier : lancement d’un produit, introduction au Second marché,
changement de logo, modification des statuts…
• Présentation de l’entreprise : historique, fiche signalétique avec chiffres,
données significatives (positionnement par rapport à la concurrence, stratégie
d’entreprise), organigramme…
• Environnement du thème faisant l’objet dossier : ces informations ne sont pas
indispensables, mais elles fondent la valeur ajoutée de l’ensemble. Elles ont
pour vocation de proposer aux journalistes différents angles d’attaque pour leurs
articles et de leur fournir des éléments pour en étayer le contenu.
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de presse fait l’objet d’un paradoxe : tout le monde la craint, mais personne
n’arrive à s’en passer.
1.3.1 L’interview
Une interview est un face à face entre un journaliste et une entité quelconque.
Elle est très prisée de ce dernier en raison de ce qu’elle lui permet d’obtenir une
information personnalisée, sur mesure, fine. Mais cet entretien est redouté par
beaucoup d’interviewés, qui craignent de se faire piéger. C’est objectivement un
moyen d’information intéressant, riche, pour l’une-le journaliste-et l’autre partie
- l’entreprise. A condition que cette dernière s’y soit préparée.
❖ Préparer l’interview
Il est imprudent d’accepter une interview au pied levé. A moins que ce ne soit la
énième d’une même série, et que vous soyez très au fait de votre sujet. Si vous
êtes sollicité par un journaliste, demandez-lui, en prenant rendez-vous, quelle
orientation il souhaite donner à son article. Si, en revanche, c’est vous qui le
sollicitez, vous aurez pris soin de fixer l’axe de votre rencontre – de quoi allez-
vous l’entretenir ?-, et de vous assurer que l’information en question en vaille la
peine.
Préparez l’interview dans une double direction :
• Le contexte :
- Etudier le journal : type, caractéristiques, cible. Lire des articles du même
genre que celui qui sera écrit.
- Chercher à connaître le journaliste : l’avez-vous déjà rencontré ? A défaut, qui
autour de vous est susceptible de vous donner des « tuyaux » ? Est-ce une
signature connue ? Au final, vous devrez savoir à quoi vous en tenir sur votre
futur interviewer : personnalité, centres d’intérêts, thèmes de prédilection. Il est
toujours intéressant de feuilleter ses récents papiers.
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coûts de exceptionnel
branche « morte »
production. plutôt que mettre
en péril
l’ensemble de la
société
Exemple Ainsi pour notre Voilà ce qui nous A l’instar de ce
produit P, le prix distingue de la qui se fait dans le
de revient baissera concurrence. secteur à
de…%. l’étranger.
1.3.2 Le publi-rédactionnel
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bénéficier d’un environnement favorable : la proximité avec la maquette et la
ligne éditoriale induit chez le lecteur l’idée d’un réel partenariat avec le titre qui
cautionne ainsi le publi – reportage.
Mieux encore : le publi-rédactionnel peut s’insérer dans un dossier
journalistique traitant du même thème (on l’appellera alors plus volontiers
« publi-spécial »).
2. Sponsoring et mécénat
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Sponsoring Mécénat : faire valoir
Motivation Commerciale. Sociale.
Objectif Création de liens entre Recherche d’une identité
une marque (un produit) pour la firme en tant
et un événement qu’institution.
médiatique.
Message Marketing. Institutionnel.
Public Consommateurs Communauté témoin.
potentiels.
Exploitation Mise en valeur Mise en valeur
commerciale, directe de « spirituelle », discrète, à
l’événement : avant, faible intention
pendant et après son commerciale.
apparition.
Retombées A court et moyen termes A moyen et long termes
Objectifs
B. La publicité
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qui du reste, à un coût. Partout, en ville nous sommes inondés de messages
publicitaires et surtout en ce qui concerne les affiches. La publicité se fait au
moyen des médias qui sont également des supports inévitables dans la publicité.
Pour utiliser ce moyen, l’entreprise sollicite les agences de publicités. Ce sont
des sous-traitants spécialisé qui apportent à leurs clients des prestations et une
expérience. Quand une entreprise recourt à ces prestataires extérieurs, elle en
appelle à leur compétence. Et à leur objectivité : une agence aborde les
problèmes d’un œil neuf, neutre. L’entreprise utilise deux documents de
référence pour travailler avec les agences. Il s’agit d’abord de la « copie-
stratégie », « plan de travail créatif » ou « plate-forme conceptuelle ». Qui
définit les prestations que l’agence se propose de réaliser. Il servira en outre à
l’entreprise pour juger du travail effectué. Ensuite, il ya le « contrat de
collaboration » qui a une valeur juridique. Il n’est pas indispensable. Il est
néanmoins plus prudent de fixer les obligations de l’agence.
A. La communication verticale
1. L’information descendante
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utilise donc ces moyens pour donner des informations sur l’entreprise, le travail,
les affaires sociales,…
D : direction ; E : employés
D
C : cadres ; AM : agents de maîtrise
C
AM
La communication descendante
E
2. L’information ascendante
C’est une information qui part de la base et qui remonte vers le sommet. Elle est
convergente, car elle afflue d’un plus grand nombre de personnes vers un seul
destinataire. Les modes de transmission de ce type d’information sont les
réunions de service, les sondages, les enquêtes d’opinion, les boîtes à
idées,… Ici, elle permet à chacun de s’exprimer et ainsi de se situer dans
l’entreprise. C’est un outil qui peut être évalué par la capacité de l’entreprise à
écouter à écouter son personnel. De la même manière qu’un responsable
markéting essaie de cerner les besoins du marché, il faut savoir écouter et cerner
le marché interne.
AM
La communication ascendante
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C’est une information entre services ou personnes de même niveau. Elle se
développe à travers les réunions. C’est ici qu’on parle même de la
communication. Il existe, en effet, des échanges entre les différents acteurs.
Cependant, ce type de communication, parce qu’il est par nature plus orale
qu’écrit est à contrôler, car il peut se confondre avec la « rumeur » et perturber
ainsi la bonne marche de l’entreprise. Les moyens utilisés sont généralement des
rencontres formelles ou informelles pendant les pauses, autour d’un café, d’un
repas… La communication latérale
AM
A. L’image
L’image : le mot est sur toutes les bouches, entouré d’un halo nébuleux.
L’image est par définition, la représentation que l’on se fait d’une personne ou
d’un objet. « Bonne, riche, fausse… images » semblent opérer telles des
formules magiques. Qu’en est-il vraiment ? Une bonne politique d’image permet
à l’entreprise de démontrer d’une part qu’elle existe, d’autre part qu’elle est une
organisation à forte valeur ajoutée, et enfin qu’elle est un label de qualité.
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l’entreprise d’être choisie, appréciée, défendue. Cette démarche est à la fois
active et réactive. Active : une image forte permet de lutter contre la
concurrencé, d’améliorer ses résultats économiques et ses performances
financières. Réactive : elle permet en outre d’éviter les faux problèmes, les
rumeurs ; d’être soutenu en cas de crise.
B. Etude de la situation :
Historique.
C. Mise en perspective
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Les publics de l’entreprise (salariés, actionnaires, fournisseurs, sous-traitants,
clients, leaders d’opinion, institutions…), exigent que celle-ci légitime son
activité. Que l’entreprise énonce ses valeurs, qu’elle dévoile sa vocation. Qu’à
sa manière elle donne du sens à son action économique.
A. La stratégie communicationnelle
1. La cible
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reçoivent de l’argent de poche et ont, pour certains, un job d’étudiant leur
permettant d’avoir une vie estudiantine plus agréable.
3. Le modèle d’apprentissage
4. Le message
Il s’agit ici de l’information que l’entreprise veut faire passer pour atteindre la
cible. Pour cela, il adresse un contenu (signification), une structure (ossature),
un format (le média), un axe (ce sur quoi le message se focalise), un thème (le
sujet), une idée (concept clé du message) qui constituent six axes importants du
message.
5. Le budget communicationnel
Ici, il faut mobiliser les ressources pour une promotion efficace, surtout s’il
s’agit d’un produit nouveau ou d’une firme nouvelle. L’entreprise peut
consacrer une partie de son capital de départ à cet effet.
6. La répartition du budget
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La répartition du budget se fait entre les différents secteurs destinés à la
publicité. On veut parler des différents moyens utilisés pour appliquer la
communication publicitaire (tv, affiche, presse, plv,...)
B. Le mix communicationnel
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- La communication incidente, dans laquelle l’émetteur fournit une
information sans savoir l’intention de le faire ou sans s’en rendre compte.
Il n’y a donc pas formulation d’un message, mais l’interlocuteur est à
même d’interpréter certains « indices » porteurs d’une information qui
n’est pas forcément consciente chez l’émetteur.
- La communication consommatoire repose sur tous les échanges liés à
l’expression d’un état émotionnel. Cette communication met en jeu les
motivations des interlocuteurs qui vivent cette communication et y sont
impliqués.
- La communication instrumentale répond à une finalité, à un but. Le
message cherche à produire un effet, une réaction du récepteur. Il y a
modulation, adaptation du message en fonction de cet effet. Dans ce type
de communication la recherche de la maîtrise du message est
fondamentale.
Le linguiste Jakobson a tenté de montrer que tout message remplit
plusieurs fonctions qui peuvent se hiérarchiser autour d’une fonction
fondamentale.
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D. La fonction phatique. Tout ce qui, dans le message, sert à établir et à
maintenir le contact relève de la fonction phatique. Ce sont, dans les
communications téléphoniques, les formules telles que : « allô », « vous
m’entendez ». Ces expressions servent à attirer l’attention de
l’interlocuteur ou à s’assurer qu’elle ne se relâche pas.
La fonction phatique peut aussi expliquer des formes de message
conventionnalistes et ritualisées : « il fait beau » « comment allez-
vous ? ». L’objet de ces échanges, souvent nuls sur le plan de
l’information, est surtout consommatoire et exprime le désir de maintenir
un contact avec l’interlocuteur.
La fonction phatique joue un rôle important dans tous les modes de
communion (rites, cérémonies, discours, conversations quotidiennes).
Dans cette situation, le contenu de la communication a moins
d’importance que le fait d’être là et d’affirmer la relation. Ces échanges
peuvent d’ailleurs paraître absurdes à celui qui ne participe pas à cette
communication, car l’information est ici très secondaire.
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REFERENT
Fonction référentielle
CANAL
Fonction phatique
CODE
Fonction métalinguistique
Ces six fonctions du message ne s’excluent pas l’une de l’autre, elles sont, d’une
façon plus ou moins privilégiée, présentes dans toute communication. Il faut
alors être en mesure de discerner la fonction prépondérante pour saisir la finalité
de la communication.
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courriel idées, sondage, d’usines, journal Minitel
journal, revue de téléphoné,
presse répondeur
(numéro vert)
L’entreprise doit définir ses priorités. Quelles sont ses « espérances » : gagner
des points de notoriété (que l’entreprise soit plus connue), améliorer son image
(qu’elle soit mieux perçue) ? Quelles sont ses intentions : établir un contact,
entretenir des relations déjà initiées, augmenter ses ventes, démentir une
rumeur ? A quelle échelle : sectorielle, locale, régionale, nationale,
internationale ?
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En outre, l’entreprise doit savoir composer avec la conjoncture. Il est des
périodes plus ou moins favorables pour communiquer. Les grandes vacances,
une campagne électorale, un krach boursier… ne sont pas réellement propices au
dialogue. Se garder un volant de liberté permet d’intervenir au bon moment :
lancement d’un produit, publication de résultats, reprise de la demande…
La communication est loin d’être une science exacte. Telle action n’entraîne pas
automatiquement tel résultat. Ce n’est pas non plus une discipline ancienne :
toutes les voies n’ont pas été explorées. Pour élaborer une stratégie de
communication, il faut associer logique et intuition. Logique dans l’étude du
problème, l’analyse de son environnement. Intuition dans le choix d’une
politique qui « paraît » adaptée. Rigueur, à nouveau, pour valider la solution
finale, la mettre en œuvre, la contrôler, la mesurer.
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échelons
inférieurs.
Elle prend le Les supports Tardivement
chemin inverse, formalisés sont reconnue,
c’est-à-dire part limités : boîte à difficilement
du « bas » et idées, sondage, maîtrisée, la
remonte la affichage, tribune communication
hiérarchie libre dans le ascendante est
journal encore redoutée
La d’entreprise… par les chefs
communication Moins d’entreprise.
Ascendante institutionnalisée, Voire négligée :
(ou salariale) cette information est-elle bien
emprunte surtout nécessaire ? Ne
des voies vient-elle pas
informelles troubler l’ordre
directes (échange général ? Or elle
verbal, tract, lettre se révèle
ouverte) ou fondamentale,
indirectes (bruits, permettant de
rumeurs) connaître les
aspirations de son
personnel et de
désamorcer les
éventuels conflits
ou tensions.
Facteur de bon
climat social, elle
est aussi un
moyen
d’améliorer les
performances de
l’entreprise.
La Il n’y a ici aucune L’information L’information
communication notion latérale se fait horizontale
latérale (ou hiérarchique. naturellement permet de
horizontale) C’est un échange dans les petites rassembler son
d’égal, entre structures : tout le personnel, de
différents monde se connaît, fonder « l’esprit
secteurs, services les occasions de maison ». Et,
ou départements. dialogue sont indirectement, de
fréquentes. Elle mieux coordonner
doit, en revanche, le processus de
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s’appuyer sur une production.
organisation plus
La lourde dans les
Communication moyennes et
Horizontale grandes
(ou latérale) structures :
rencontres
interservices,
tribunes libres
ouvertes dans
différents
supports
d’information
(magazine,
tableau
d’affichage)
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A l’inverse, prenez garde à la démesure de certains élans. Un dispositif de
communication interne trop lourd – exagérément coûteux ou difficile à
gérer – ne pourrait pas être correctement alimenté.
- Eviter deux écueils
La surinformation = le personnel est trop sollicité
La mal-information = les messages ne passent pas bien.
- Et faire périodiquement le point
L’information est-elle satisfaisante ? Comment évolue l’ensemble du
dispositif de communication interne ? Quelles nouvelles orientations lui
donner ?
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Conclusion
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