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MODULE N° 8
Madame, Monsieur,
SOPHROLOGIE ET PSYCHO-PATHOLOGIE
L'ENTRETIEN PSYCHIATRIQUE
INTRODUCTION
υ L'entretien psychiatrique sert de diagnostic et de thérapeutique dès le début de l'
approche thérapeutique.
υ L'écoute lors de l'entretien psychiatrique doit être relativement neutre et être axée
sur la maîtrise du contre-transfert.
υ L'écoute doit permettre de déceler:
λ les symptômes et les signes
λ la structure psychique du patient.
υ Les caractéristiques:
λ · Il est habituellement long et, dans la majorité des cas, répétés à intervalles plus
ou moins espacés;
λ · Il se fait habituellement seul à seul;
λ · Il repose sur la parole essentiellement, mais aussi sur une observation
réciproque.
λ · L'observation est guidée par une attitude bienveillante.
υ généralement, au terme du premier entretien, le thérapeute arrive à regrouper des
éléments essentiels:
υ · L'orientation temporo-spaciale,
υ · La mémoire,
sans objet),
υ · L'affectivité: Émotivité, l'humeur, les sentiments (riches ou pauvres),
υ · L'intelligence.
3. L'anamnèse
υ Les points essentiels à faire préciser sont les suivants:
λ A. La famille:
υ · Le père et la mère,
υ · Les grands-parents
υ · Les collatéraux
4. Structure psychologique
υ Au terme de ces premiers éléments, le thérapeute est arrivé à préciser la structure
psychologique du patient à partir de:
υ A. L'organisation du Moi:
λ · Sens de la réalité,
λ · Mobilité libidinale,
λ · Nature des relations,
υ B. Les mécanismes de défense:
λ Ceux-ci peuvent être:
λ · Psychotiques: dénégation, projection, identification projective, ambivalence
λ · Névrotiques: conversion somatique, projection phobique, annulation, isolation,
rationalisation.
υ C. Les symptômes:
λ Les structures psychiques se regroupent autour de trois axes:
υ · Névrotique,
υ · Psychotique,
à caractère sexuel.
5. La demande
C'est au terme des premiers entretiens que se précisent la nature de la demande du
patient et l'ambivalence qu'il montre vis à vis de ses troubles, de son état et d'une
éventuelle prise en charge thérapeutique.
Le sujet doit décider d'accepter ou non la prise en charge. Dans certains cas des
mesures d'assistance d'urgence sont à prendre par une équipe médicale
compétente.
Le thérapeute doit savoir déléguer son travail à un spécialiste des maladies
psychiatriques lorsqu'il rencontre des pathologies mentales graves.
6. L'examen somatique
υ En ville, lorsqu'il existe des plaintes somatiques, un examen médical et
neurologique est indispensable.
υ En milieu hospitalier, l'examen somatique est systématique, habituellement
pratiqué par l'interne ou l'étudiant hospitalier.
DEFINITION
λ La névrose est une perturbation de l'ensemble de la personnalité marquée au
niveau de l'affectivité.
λ Elle se caractérise :
» par des restrictions que s'impose le sujet
» par un conflit intra-psychique qui témoigne d'une faiblesse du MOI.
1.Maladie et structure
λ Le concept de névrose correspond à:
» Un tableau clinique: la maladie sous ses différentes formes, ses différents
symptômes, ses différents signes
» La structure névrotique: l'organisation particulière du MOI et de l'individu.
La névrose est-elle une maladie?
λ La névrose devient une maladie lorsqu'elle entraîne:
» une
souffrance intérieure excessive,
» des
limitations importantes
» des restrictions importantes
» une faiblesse de communication avec les autres.
La névrose n'apparaît pas comme une maladie lorsqu'elle entraîne un minimum de
gêne et lorsqu'elle représente une bonne structure de défense pour le névrosé.
La névrose marque une faiblesse du MOI car une grande partie de l'énergie est
employée dans le conflit au détriment des investissements extérieurs.
2.ANGOISSE ET ANXIETE
λ A l'origine de toutes les névroses se trouve un phénomène psychologique
fondamental:
» L'angoisse
» L'anxiété
L'angoisse et l'anxiété n'est ni vraiment un sentiment, ni vraiment une émotion. C'est
un affect en raison de son caractère diffus.
λ C'est un affect pénible, désagréable, douloureux, gênant que l'on voudrait faire
disparaître ou dont on voudrait se protéger.
λ C'est une peur sans objet apparent qui se différentie de la dépression car elle
s'oriente vers l'avenir.
λ C'est une sensation intérieure faite d'appréhensions, d'inquiétudes, de doutes.
λ L'inscription corporelle est forte.
λ L'angoisse nous pousse à renforcer nos défenses et, ce étant, elle tend à
l'aggravation de l'affection.
λ L'origine conflictuelle de l'angoisse peut se ramener à quatre grands types de
situation que chacun à connu dans son passé:
» L'angoisse du traumatisme de la naissance
» L'angoisse de séparation
» L'angoisse de la castration
» L'angoisse morale ou sociale.
L'angoisse de séparation
λ L'enfant fait l'expérience un peu plus tard (6-8 mois) du sevrage.
λ il développe la peur d'être séparé de l'objet nourricier, de l'objet primordial.
λ il développe l'angoisse d'abandon, de la solitude, de l'autonomie, la nostalgie de la
symbiose maternelle.
λ il développe la peur, en l'absence de l'objet nourricier, d'être livré aux dangers
d'objets mauvais et malfaisants.
λ il craint le retour et le renforcement des angoisses paranoïdes.
L'angoisse de castration
Elle vient ultérieurement lorsque l'enfant découvre le sexe comme objet de plaisir
cependant qu'il traverse la phase œdipienne.
λ A - Chez le garçon
» Le garçon est fier de son organe surtout lorsqu'il se rend compte qu'il est
inexistant ou pas encore formé chez la fille.
La menace de castration se manifeste en fonction du pouvoir magique qu'il donne à
ses parents de donner ou de supprimer le phallus.
» Ainsi ayant admis la possibilité de la castration, il renonce momentanément à sa
sexualité.
λ B - Chez la fille
» Lorsqu'elle voit l'organe masculin, cela déclenche en elle le complexe, elle a
envie du phallus.
elle trouve son équivalent symbolique dans la possibilité d'avoir un enfant, ce qui
conduit la fille à choisir le père comme objet d'amour.
» elle craint que la mère puisse lui retirer ce pourvoir d'avoir un enfant, elle renonce
donc momentanément à sa sexualité.
Le complexe d’Oedipe
λ A - Chez le garçon:
lorsqu'il ressent les premières sensations produites par son organe sexuel, il devient
amoureux de sa mère car il souhaite la posséder physiquement. Il considère son
père comme un rival.
» le complexe d'Oedipe est détruit par le complexe de castration. L'identification au
père l'aide à refouler ce complexe.
λ B - Chez la fille :
» le processus commence lorsqu'elle s'aperçoit de son infériorité ( absence de
pénis) par rapport au garçon.
sous l'influence de l'envie du pénis, la fille se détache de la mère à laquelle elle
reproche de l'avoir mise au monde si mal pourvue
puis l'envie du pénis trouve un substitut dans la possibilité d'avoir un enfant et elle
prend dans ce but le père comme objet d'amour
» dès lors, elle s'identifie à la mère et veut la remplacer auprès du père.
L'œdipe étant fortement lié à l'angoisse de la castration peut, dans certain cas, être à
l'origine de troubles névrotiques divers.
exemple: la névrose obsessionnelle vient protéger le sujet de ses désirs œdipiens en
le plaçant dans un comportement le plus irréprochable possible, ceci afin d'éviter une
quelconque castration.
2. NEVROSE D'ANGOISSE
Introduction
λ L'angoisse et l'anxiété sont au premier plan dans la névrose d'angoisse tant dans le
vécu du sujet que dans son discours.
λ Cette angoisse n'est pas canalisée par des mécanismes de défense stables.
λ L'anxiété, dès qu'elle atteint une certaine intensité est vécue:
» au niveau psychologique: par des tensions douloureuses
au niveau somatique: sous la forme de troubles psychosomatiques divers, mais dont
la localisation cardio-respiratoire est la plus habituelle.
» on appelle "angoisse" ce versant somatique de l'anxiété.
Lorsque cette douleur n'est plus supportable, le sujet a recours à des mécanismes
de défense particuliers qui limiteront le développement d'angoisse tout en
restreignant l'autonomie et l'activité du MOI.
Thérapeutique
λ La névrose d'angoisse est une bonne indication de la sophrologie:
» Le sujet apprend le contrôle de soi
» Il apprend à maîtrise ses émotions.
» l'alliance sophronique est indispensable.
3. L'HYSTERIE DE CONVERSION
INTRODUCTION
λ L'hystérie est une affection psychologique rendue célèbre par CHARCOT et
FREUD.
λ CHARCOT distingue les symptômes hystériques des symptômes neurologiques.
λ Dans l'hystérie, les conflits psychologiques s'expriment dans des symptômes
somatiques.
La personnalité hystérique
λ Les principaux caractères hystériques sont les suivants:
» Théâtralisme
» La mythomanie
» La falsification de l'existence
» La suggestibilité
» L'inconstance du MOI
4. LA NEVROSE PHOBIQUE
DEFINITION
La névrose phobique est une affection névrotique caractérisée par la projection du
stimulus d'angoisse sur des situations extérieures accompagnée d'un comportement
d'évitement de ces dites situations.
Autres caractéristiques
λ L'inhibition:
Les phobiques ont souvent du mal à envisager des situations nouvelles, ils s'en
tiennent à leurs habitudes car la nouveauté peut leur faire craindre la venue de
l'angoisse.
λ La dépression:
Elle survient dans les phobies de situation lorsque les désirs du sujet ne peuvent être
assouvis en raison des restrictions amenées par les mesures contre-phobiques
d'évitement.
Le traitement
λ Les thérapies comportementales associées à la sophrologie donnent de très bons
résultats.
λ Un traitement symptomatique à base de tranquillisants et d'antidépresseurs peut
être recommandé en début de thérapie.
5. LA NEVROSE OBSESSIONNELLE
DEFINITION
λ La névrose obsessionnelle est la forme la plus organisée de la pathologie
névrotique.
λ Comme toute affection névrotique, elle naît dans l'enfance et évolue au cours de la
vie adulte.
L'affection se caractérise par l'association d'obsessions diverses et de manifestations
de défense que sont les rites obsessionnels.
Clinique
λ Elle se caractérise par 4 critères:
» 1. l'automatisme: la vie mentale se déroule comme indépendante de la
conscience
» 2. l'incoercibilité: cet automatisme de la pensée revêt un caractère obligatoire
» 3. la lutte intérieur: le sujet essaie en permanence de lutter contre cet
automatisme
» 4. la conscience de cette maladie
TRAITEMENT
λ Chimiothérapie
λ Thérapies comportementales
λ Sophrologie
» Ceci dans un esprit d'alliance et de réassurance.
1. GENERALITES
ν Il y a quelques années, la "folie" caractérisait la maladie mentale.
ν Celle-ci était considérée comme une détérioration progressive et acquise des
principales capacités mentales.
De nos jours, les recherches en matière de psychopathologie s'orientent
principalement vers l'étude de la psychose et du délire.
LE DELIRE
C'est un symptôme important qui signe la désorganisation de la personnalité
psychotique se caractérisant par une vision déformée de la réalité.
ν Le thérapeute doit écouter le délire et en comprendre le sens.
ν Le délire est une déformation de la réalité qui s'accompagne d'une conviction solide
du sujet.
ν Le psychotique n'arrive pas à mettre en doute sa perception éronée du monde.
ν Par le délire le psychotique surinvestit sa réalité psychique car elle lui est plus
intéressante.
ν Le délire permet de mieux vivre les désirs insatisfaits.
ν L'altération du sens de la réalité est une perturbation qui caractérise la structure
psychotique.
2. DEFINITION DE LA PSYCHOSE
ν La psychose est une organisation particulière de la personnalité.
ν Elle présente une structure psychologique dont l'élément essentiel est un trouble de
l'identité.
ν Cette maladie se caractérise par une perturbation de la perception de la réalité.
ν De même on assiste à une confusion entre le monde interne et externe, entre
l'imaginaire et le réel.
3. LA PERSONNALITE PSYCHOTIQUE
» Le psychotique présente une personnalité:
– Fragile:
» il supporte difficilement les frustrations
» il est peu apte à obtenir des satisfactions gratifiantes
» il n'est pas stable dans ses investissements
– Rigide:
» Il mobilise beaucoup d'énergie
» il fait des efforts pour maîtriser ses énergies
» il utilise un fonctionnement compulsif
2. La schizophrénie
C'est une psychose grave survenant souvent chez l'adulte jeune. C'est une
pathologie généralement chronique. Elle se caractérise par 5 signes:
– une dissociation mentale
– une discordance affective
– des activités délirantes incohérentes
– une rupture de contact avec l'extérieur
– un repli autistique
ν Les symptômes sont:
– des idées délirantes
– des hallucination auditives
– un isolement social
– une inadaptation professionnelle et sociale
– un discours vague
– un bizarrerie du comportement
– une pauvreté affective
4. La paranoïa: est une psychose chronique caractérisée par des délires bien
construits et systématisés, s'accompagnant de troubles du jugement et de la
perception. On n'observe pas de détérioration intellectuelles.
ν Elle se reconnaît par:
– une certaine méfiance
– une psychorigidité: autoritarisme, incapacité à mettre en cause son propre
système de valeur et donc celui d'autrui
– une fausseté du jugement à cause de la passion qui interdit une conception
exacte du monde extérieur
– utilisation du déni et de la projection
Φ fixation de l'information,
Φ et rappel.
L'amnésie:
υ L'examen clinique peut révéler des troubles de mémoire que l'on classe parmi les
amnésies. Celles-ci peuvent être:
L'indifférence affective:
υ Le comportement est fait d'un détachement de la réalité ambiante.
Le contact est froid. Le malade est asyntone. Le sujet n'est pas capable de s'invertir
au niveau affectif. On note un désintérêt global.
υ L'allure générale évoque la tristesse, mais il n'y a pas de douleur morale.
υ Quelquefois, on assiste à des réactions émotionnelles impulsives. La tonalité est
froide, la motivation est énigmatique.
υ Ce syndrome s'observe dans l'autisme.
1. CARACTERISTIQUES DE LA METHODE
Ce qui caractérise le deuxième degré, c’est que le sophronisé prend son corps
comme un « objet de méditation ». Il se compose de deux cycles.
Premier cycle
2. CONTEMPLATION DE SOI
Pour atteindre cette méditation le sophronisé se contemple sur son écran mental à la
place de l’objet de méditation. Au- delà de l’attitude méditative le sophronisé
s’engage réellement dans une authentique « contemplation de soi ».
Cet état est atteint lorsque l’objet de méditation, « le corps » persiste par lui-même
en dehors de tout effort volontaire du sophronisé.
3. CONSCIENCE ILLIMITE
La clé du deuxième degré semble résider dans l’expérience d’une conscience
illimitée tandis que le corps, lui , est limité.
4. L’UNITE CORPORELLE
Après l’expérience d’élargissement de la conscience, le sophronisé retrouve sa
réalité corporelle et réalise son unité, dans une solide fusion « corps / conscience ».
Cela lui permet de récupérer son identité dans la détente.
5. RETOUR AU REEL
A la fin du premier cycle, le sophronisé se retrouve dans un réel, bien présent, perçu
avec une acuité spéciale due à l’état sophronique. Ce retour au réel s’actualise par la
pratiques d’exercices corporels permettant le cadrage spatio-temporel qui nous est
familier.
Deuxième cycle
METHODE
RELAXATION COMTEMPLATIVE
(RDIIA)
2. SOPHRO-RESPIRATION -SYNCHRONIQUE
En inspirant on lève les bras à la verticale au-dessus de la tête, on retient l’air en se
visualisant dans cette posture. A l’expiration , les mains sont lentement abaissées, en
passant devant le visage, le cou, la poitrine et l’abdomen.
Cet exercice est réalisé trois fois.
2. CHAUFFAGE CORPOREL
En position assise le sophronisé s’adonne à l’écoute de sa respiration en accentuant
lentement les inspirations et les expirations.
• L’odorat: L’attention est portée sur le nez. Le sophronisé médite sur ce sens et
sur son importance dans la relation qu’il entretient avec son environnement.
• La vue: Le sophronisé se penche en avant, les coudes posés sur les genoux, les
mains placées devant les yeux. Dans cette position il médite sur ses capacités
visuelles.
• L’ouïe: Le sophronisé laisse glisser les mains vers les oreilles en restant toujours
penché en avant., les coudes en haut des genoux. Il médite sur cet autre sens très
important. Il peut faire revenir des souvenirs sonores et en revivre les sensations.
6. S.A.P. ET REPRISE
METHODES COMPLEMENTAIRES
1. SOPHRONISATION DE BASE
Appréciez bien cette participation en harm onie avec tout ce qui vous
entoure. Prenez conscience de vos cinq sens et appréciez tout le
positif qu’ils vous apportent dans votre vie. Prenez égalem ent
conscience de tout le positif que vous apporte votre entraînem ent à
la sophrologie... »
5. DESOPHRONISATION
LA SOPHRO-MNESIE
1. CARACTERISTIQUE
La SMN consiste à faire revivre au patient son histoire en état sophronique du
moment présent au début de sa vie.
Son but est d’intégrer à la conscience la cause des conflits, des symptômes. Il s’agit
d’une recherche causale s’accompagnant d’un vécu intense des émotions liées aux
situations anxiogènes.
La progression repose sur le double action de l’effet cathartique et de la « prise de
sens » des souvenirs réactivés en état sophronique.
2. METHODOLOGIE
A. Première technique:
Après une sophronisation de base, ou après le revécu d’images lors de sophro-
anamnèse, on demande au sophronisé de revivre les situations angoissantes
appartenant au même registre.
Il retrouve certaines situations traumatisantes (de son enfance en particulier).
Par exemple, une personne toujours en échec pourra revivre des scènes typiques de
dévalorisation dans son enfance.
B. Deuxième technique:
Après sophronisation de base, on demande au sophronisé de retrouver un lieu de
calme, où il se sent bien et où il est sûr de ne pas être dérangé.
On l’invite ensuite à lire « le livre de sa vie » depuis sa naissance jusqu’à ce jour .
Il prend le temps de contempler dans ce livre les différentes séquences de sa vie.
Dans un deuxième temps, le sophrologue l’invite à relire ce livre dans le sens inverse
en commençant par la fin, qui correspond au jour de la séance.
Il remonte jusqu’à la première page, ou en tout cas le plus loin possible. Il voit ainsi
se dérouler les années de sa vie jusqu’à sa naissance, voire même avant, en
observant, revivant émotionnellement et verbalisant ce qui se trouve dans le livre
Arrivé au premier jour de sa vie, il pourra réaliser un « rebirth », puis revenir
chronologiquement au jour de la séance, en feuilletant le livre dans le bon sens.
Lors du retour on peut demander au sujet de retrouver quelques épisodes parmi les
plus positifs de sa vie.
Le sophrologue lui demande d’accentuer sa relaxation, puis de faire sa
désophronisation.