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RGPP

Rationalisation des dépenses a chaque président cela change.

RGPP en 2007 —> Sarkozy

2012= modernisation de l’action pb = MAP= a été developper adm° numérique


2017= action publique 2022

Les dépenses publics en 2019 se sont élevés a plus d’un milliard d’euro, dont 34 % relatif à l’état,
46 pour sécu sociale et 20 pour les collectivités territoriales.

Relegitimer adm° de la république paraît nécessaire. L’appareil adm est structuré autour de l’adm°
centrale et d’autre part autour de l’adm° décentralisée. Toute ces autorités dépendent d’une
compétence spéciale, la juridiction adm.

Partie 1: Les principes constit de l’organisation adm de la république

Le système adm français est présenté dans la C° de 1958. Cette structure adm répond à 2
principes, 2 méthodes d’organisations.

1) Méthode de la centralisation
2) Principe de la décentralisation

Ces 2 systèmes peuvent coexister

Chapitre 1: Un système administratif centralisé

Article 1 de la C°, cependant à la lecture de celui ci, le terme centralisation n’apparait


pas, néanmoins il se déduit des termes selon lesquelles « la France est une république
indivisible » terme indivisible nous intéresse.

L’indivisibilité de la Rep annonce l’unité de l’Etat. L’Etat français est un état unitaire, car
l’article 1 de la C° énonce ce principe, il faut garantir et protéger l’unité de l’Etat. Il faut
faire en sorte que l’unité soit garantie. C’est la qu’intervient la centralisation, qui est un
outil qui va permettre de ganter l’unité de l’Etat. Cependant, si elle est pousse a
l’extreme, elle ne peut pas fonctionner. Il faut donc apporter un correctif —> La
déconcentration.
Section 1: L’unité par la centralisation

La mise en place de l’appareil adm, de la structure adm est étroitement liée à une
certaine conception de l’Etat. Ainsi, l’appareil adm ne sera pas le même dans un Etat
unitaire et dans un Etat fédéral. La RF est aussi une révolution adm. L’idée de
souveraineté nationale et d’égalité apparaissent en 1789, ce qui va changer totalement la
conception et l’exercice du pouvoir, mais également l’organisation de l’Etat et du
territoire. Pour assurer une unité nationale il faut une uniformité administrative, la période
1789-1870 a donc été crucial car tout l’enjeu était d’assurer la centralisation
administrative pour garantir et protéger l’Etat unitaire. Pdt cette période, l’objectif de
centralisation a été rendu di cile pour 2 raisons:

- a cause des héritages de l’AR= il fallait rompre avec héritage de l’AR

- Pdt la periode révolutionnaire, mise en place de la centralisation adm a été rendu


di cile du fait de l’opposition qui existait entre les Girondins et les Jacobins.

Certains d’entre eux était pour + d’autonomie des départements, ils existaient déjà avant,
et un des parties étaient en faveur d’une idéologie qui se rapprochent du fédéralisme.

C’est Napoléon 1er qui a été l’auteur du processus de l’intensi cation de la


centralisation. A partir du 1 er empire, on passe a période de forte centralisation. Ça avait
un but politique. La période de forte centralisation a été ensuite nuancée sous le second
empire.

Aujourd’hui l’Etat français est unitaire par opposition a des Etats fédéralistes.
Son unité est garantie à l’article 1 de la C°. Etat unitaire signi e qu’il n’existe en France
qu’un seul centre d’impulsion politique, car il y’en a qu’un seul, l’adm° française en
ressort donc centralisée= principe de base de adm° française.

La centralisation est avant tt une technique d’organisation adm. Car elle est centrale elle
garantie l’unité de l’Etat. Elle se dé nie comme un système d’adm° reposant sur
l’attribution des pouvoirs de décision à des autorités soumises médiatement ou
immédiatement au pouvoir hiérarchique du gouvernement.

Les compétences relative a la centralisation sont détenues par les autorités centrales.
Selon cette dé nition, il est possible d’observer que la centralisation peut revetir 2
formes:

- la concentration et la déconcentration.
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La première est une technique théorique d’organisation administrative, cela signi e qu’en
pratique elle n’est pas possible à mettre en oeuvre car selon cette théorie, elle voudrait
que tt les pouvoirs de décisions soir exercés par des autorités situés au siège
géographique des pouvoirs publiques. En France on a qu’un seul centre d’impulsion
politiuqe= cela voudrait dire que tte les décisions seraient prises par gvt a pris et qu’il y
aurait rien d’autres sur le reste du territoire, or c’est impossible d’ou la longueur de l’Etat
français.

Section 2: Le correctif de la concentration: la déconcentration.

Le principe de la déconcentration correspond au proposition Napoléon III quand il


explique « on peut gouverner de loin mais on administre bien que de pres ». Pour
garantie l’unité du pouvoir, de l’Etat, il est nécessaire de se doter d’un appareil adm
capable d’uniformiser sur l’ensemble du territoire les décisions et les politiques du pays.
Il faut doter cet appareil adm d’un organe spéci que qui va s’assurer que les politiques et
les décisions du centre sont bien appliqués dans toutes les localités. C’est pourquoi a été
crée le Préfet par la loi du 28 pluviôse an VIII.
D’après l’expression célèbre de Odilon- barrot: « le préfet c’est le même marteau qui
frappe, mais on en a raccourci le manche ». = préfet frappe à la place du gvt.

Déconcentration = les compétences des autorités centrales vont être exercées par des
autorités appelées autorités déconcentrés. Les compétences ne sont que délégués et
non transférés au Préfet. Cela signi e que l’autorité déconcentre n’est pas autonome sur
ses compétences, sur l’exercice de ses compétences et elle n’acquière pas non plus la
personnalité morale, donc elle n’est pas distincte de l’autorité centrale. Les auto centrales
vont exercés un pouvoir hiérarchique sur les autorités déconcentrés. Controle
hiérarchique qui va s’exercer tant pour des motifs d’opportunités, que pour des motifs de
régularités des actes juridique. —> sur les prsn, le pv hiérarchique renvoi au pouvoir de
nommer ou révoquer, et d’in iger des sanctions disciplinaires. Sur les actes auriques, le
contrôle hiérarchique renvoie au pouvoir d’instruction, d’annulation ou encore de
réformation des actes. Outre son organisation déconcentré, la structure adm fr répond a
un second principe, la décentralisation.
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Chapitre 2: Un système adm décentralisé

Selon article 1 C°= république est indivisible, mais il ajoute aussi que son
organisation est décentralisée. Cependant, il ne faut pas voir dans cet article 1er, la
remise en cause ni de la centralisation, ni de l’Etat unitaire. Centralisation décentralisation
ne pas antinomiques, au contraire ils se complètent. Cela va garantir l’indivisibilité de la
République , il faut s’arrêter sur 3 point:

- def de la decentralisation
- Sa mise en place
- Les principes qui vont permette de garantir la décentralisation.

Section 1: La dé nition de la décentralisation

Alors qu’en déconcentration il n’y a qu’une délégation, en décentralisation il y a un vrai


transfert de compétences. Décentralisé c’est selon le prof Chi ot: « con er une
compétence qui pourrait appartenir aux seules organes de l’Etat à plusieurs
autorités dont chacune n’a en charge qu’une fraction de la collectivité étatique ».

Le préfet est soumis hiérarchiquement au pv centrale, les autorités décentralisées


acquièrent une certaine autonomie, on leur transfert des compétences, mais faut pas que
ce transfert complètement car sinon remet en cause unité de l’Etat. En e et une notion
se rapproche de la décentralisation, c’est le fédéralisme. C’est un système étatique
dans lql un Etat fédéral se superpose à des Etats fédérés, ces derniers détiennent leurs
propres C°, pouvoirs législatifs/exécutifs et leurs propres organes juridictionnels. Ils
perdent une partie de leur souveraineté en adhérent à l’Etat fédéral.

Les collectivités décentralisées vont béné ciées d’une certaine autonomie, mais
s’inscrivent dans système étatique #. On leur transfert des compétences, elles vont
disposer d’une autonomie, elles vont être soumises à un contrôle et ne vont pas avoir tt
les attributs de l’Etat. Leur autonomie est limité car fait l’objet d’un contrôle, pas le même
contrôle que la déconcentration. Alors que sur les services déconcentrés= contrôle
hiérarchiques, le contrôle sur services décentralisés = contrôle administratifs.

Il porte sur la régularité des actes juridiques édictés par les collectivités. Sur les
personnes, le contrôle adm renvoi au pouvoir de suspension provisoire du maire ou de la
révocation dé nitive d’un élu. Sur les actes juridiques, le contrôle adm renvoie au seul
pouvoir d’annulation d’un acte. Le controle exercé sur les personnes est a peu près
équivalent dans les 2, dans contrôle sur acte aurique, contrôle pas de même nature, c’est
la que la distinction prend sons sens.
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Controle adm—> Sur les CT= l’autorité centrale ne va pouvoir exercé qu’un pouvoir
d’annulation. Donc la marge de manoeuvre des autorités de contrôle sera moindre, dont
béné cie d’une plus grande autonomie.

La décentralisation ne remet pas en cause l’Etat unitaire car cette autonomie va être
limité, bien au contraire elle est une technique d’organisation adm qui va permettre au
pouvoir politique de maitriser tt l’espace du territoire.

Section 2: L’installation progressive de la décentralisation

Le système décentralisé que nous connaissons ojd est le résultat d’une série de textes
qui l’ont mis en place, et des ajustements mit en oeuvre par plusieurs réformes.

$1 La mise en place de la décentralisation

La décentralisation jusqu'a la n du second empire a fait objet de débat entre tt les


anciens parties politiques, certains étaient contre, d’autres était pour une forte
décentralisation, d’autres pour mais que si cela sert les interêts du système central.

C’est dans cet optique qu’a la n du second empire a été mis en place la
décentralisation, on a décider de décentraliser pour faire peser les « meaux » du système
adm sur les collectivités et non plus sur l’Etat.

Première loi relative date de 1871= statu des départements et 1884= statu des
communes. Cependant, s’agissait pas d’une décentralisation au sens moderne du terme,
elles étaient soumises jusqu’en 1882, au principe de la tutelle préfectorale. La tutelle en
droit privée renvoie au fait de pas être capable juridiquement, donc terme tutelle
préfectoral a une certaine acceptation. A l’époque de tutelle préfectoral, le préfet
contrôlait l’action des collectivités dans le but de protéger et garantir l’unité de l’Etat. La
naissance du processus de décentralisation s’observe sous la V ème rep a partir de
1982
—> acte 1 de la décentralisation

A) acte 1 de la décentralisation (1982-1986)

Se décompose d’une série de textes, notamment « les lois déferre ». La plus importante
est la loi du 2 mars 1982 relative aux droits et libertés des communes, des
départements et des régions. La premier liberté c’est qu’on va supprimer la tutelle
préfectorale, donc on va permettre de reconnaître aux collectivités une réelle autonomie,
compléter par loi du 22 juillet de 1982. Elle porte sur les modalités de contrôle des
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actes des collectivités, des actes juridiques. Dorénavant, le contrôle exercé sur les actes
des collectivités est soumis à 3 principes, donc la nature du contrôle va changer, et cela
va devenir ce contrôle adm, soumit à 3 principes.

- controle est dit :

- A posteriori= pas de contrôle avant l’entré en vigueur des actes, il faudra attendre que
la collectivité est édicté son acte.

- Controle juridictionnelle= Quand Préfet exerce un contrôle et constate qu’il y a une


illégalité il va devoir saisir la juridiction administrative. Ça sera le juge adm qui rendra
une décision, qui constatera l’illégalité.

- Principe de la légalité= Plus de contrôle d’opportunité.

Pendant cet acte 1 de la décentralisation ont été adoptés loi de 1983, elles ont permit la
répartition des compétences entre les communes, les départements et les régions.
Notamment le transfert de compétence particulière et importante.

On peut donner 2 exemples: En 1883, les loin ont réparties de compétences en matière
d’urbanisme et d’enseignements du premier degrés. Pour les départements, on leur a
transférer des compétences en matière d’aide social, et transfert de compétence des
collèges. Pour les régions, on leur a transférer compétence en matière d’aménagements
du territoire, en matière de formation professionnels et on leur a transférer la charge des
lycées.

B) L’acte II de la décentralisation

Fait l’objet d’une loi constit du 28 Mars 2003. Concernant cet acte 2, 3 points a retenir.

- Reforme a permis d’insérer la décentralisation à l’article 1er de la C°.


- Consacrer l’autonomie nancière des CT.
- Adoption de la loi du 13 aout 2004, relative aux libertés et responsabilités locales
ou il va y avoir une intensi cation des transferts de compétences aux pro ts des
collectivités, notamment en matière e développement éco. On va même leur transférer
la charge de certains personnels. Alors qu’a l’époque les agents publiques des clg
étaient liées a l’Etat, mtn ils sont liés
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$2 Les réformes de la décentralisation

Ajuster l’appareil adm au gré des besoins de la société. A chaque PDLR reforme
territorial. Reforme du 16 décembre 2010= coup d’arrêt de l’acte II de la décentralisation,
considère qu’il est nit, et intervient dans contexte de crise de 2008. S’inscrit dans
politique générale de rationalisation monétaire. Elle va être à lori, e de règles importantes
—> obligation pour les communes à un EPCI. Elle a crée les métropoles et les villes
nouvelles, et surtout elle supprime la clause générale de compétence des départements
et des régions.

En 2012 arrive au pouvoir nvl majorité politique= nvl reforme territoriale, sera adopté loi
du 27 janvier 2014, relative à la modernisation de l’action publique territoriale et
d’a rmation des métropoles. La loi MAP TAM.
On va doter les métropoles d’un statue particulier, on va rétablir clause générale des
compétences et des régions.

Loi du 16 janvier 2015= relative à la délimitation des régions on passe à 13 région


métropolitaines et à 18 en tout. On va réduire elle nombre de régions.
Loi « NOTR » 7 aout 2015, on resupprime la clause générale des compétences et des
régions. Elle se caractérise par un renforcement du rôle des régions, on va transférer des
compétences détenues par des départements, aux régions. Par exemple transport
scolaire, en réalité en 2015 on cherche à faire de la région le premier maillon de l’adm°
territoriale. Cette loi va crée la métropole du Grand Paris et va modi er statu de la
Corse qui devient une collectivité à statu particulier.

Dernière réforme en 2022, adopté loi de reforme territoriale -> « loi 3DS » di érenciation ,
a la décentralisation, a la déconcentration et portant mesure de simpli cation de l’action
publique locale.
Elle fait suite au mouvement des gilets jaunes, mise en application concrète sur le debt
national. Adopté a la suite du grand débat national par lql les élus locaux réclamaient
d’avantages de proximités et une meilleure démocratie participative. A ce titre, la loi
reconnaît un principe de di érenciation aux CT, qui va se manifester dans l’exercice de
leurs compétences, on va + prendre en compte les particularités locales. Ce principe de
di érenciation est rendu possible grâce à un nv mécanisme reconnu aux CT qui avait
initialement été mis en oeuvre en 2021. La clause de compétence genrale= fait pour une
collectivité d’être par principe compétente sur toute les matières, dans tt les domaines
sauf les cas prévus par la loi et les règlements. On est compétent pour tt sauf ce qui est
interdit. Mais en 2015 on l’a supprimé, les communes disposent donc tjrs mais pas
depzrtment et régions; Le principe est inversé, les départements et les régions ne sont
compétentes dans aucun domaines sauf ce qui leur est attribué en vertu de la loi et des
règlements. En 2021, une loi organique avait été adopté et avait prévu mécanisme
particulier, prévu la possibilité pour CT de pv déroger à titre expérimental aux dispositions
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législatives er réglementaires régissant l’exercice de leurs compétences. La loi 3DS a
prévu une nouvelle issu a cette expérimentation, en 2021? L’issu c’était que so jamais la
comprenne expreimentee fonctionnait bien, on prenait loi et pérennisait exercice de ses
compétences à l’ensemble de ses collectivités.

Section III: Le moyen de la décentralisation: le principe de libre adm des CT.

On retrouve la libre adm des CT dans 2 article de la C° —> Article 34 et 72 al 3.

Article 72 al 3 « dans les conditions revu par la loi, ces collectivités s’administrent
librement par des conseil élus et disposent d’un pv réglementaire dans l’exercice de ses
compétences ».

- La libre adm° des CT est consacré par la C°, car cette libre adm intervient dans
condition prévu par la loi= elle va être limitée

$1 Une liberté consacrée

La libre adm° de sCT permet de garantir aux collectivités un degré d’autonomie.

A) L’autonomie juridique

Ce que ne possède pas le préfet, les CT sont dotés de la perso morale, de droit public.
Vont disposer d’un budget et de moyens matériels et humains pour exercer leurs
compétences. Leur autonomie juridique est consacrée par la C°. Si on veut supprimer
département, région, commune il faudrait réviser la C°.

B) Une autonomie organique

Article 72 al 3 précise que la libre adm° des collectivités s’exercent par organes élus, élus
locaux. L’élection est consacré par la C° et elle va garantir une autonomie des organes
par rapport à l’autorité centrale. Le maire est un élu local donc se distingue du gvt.
C) Une autonomie fonctionnelle

Pour s’administrer librement, les collectivités doivent dater une compétence décisionnel,
doivent pouvoir prendre des décisions. Car elles doivent devenir pouvoir décisionnel, le
constituant de 2003 a inséré à l’article 72 al 3 de la C° une précision, mes CT disposent
d’un pouvoir réglementaire. Depuis 2003 c’est consacré par la C°, ce pouvoir existait
depuis longtemps mais a cette période on l’a constitutionnalisé, on lui donne une valeur
supérieure.
Jusqu’a 2015, autonomie fonctionnelle des CT était observable eu égard à la clause de
compétence générale dont elle disposait. Jusque’a 2015, les collectivités avaient une
capacité générale d’intervention. La loi « NOTR » a supprimer cette clause pour
département et région. Depuis 2015 liste qui énumère clauses et compétences des
régions, seules la commune conserve la clause de compétence générale.

2 remarques par rapport à są suppression:

- Cela ne va pas mettre en péril l’autonomie et le principe d libre adm° des départements
et ders régions. La suppression de la clause va être à l’origine d’un rapprochement
entre d’un coté les départements et les régions et de l’autre les établissements
publiques. Ce sont des organes de l’adm° qui sont eux aussi doté d cela personnalité
morale, il va donc avoir une autonomie juridique à la # de la commune que les
compétences son énumères. Principe de spécialités, a l’époque ou SNCF était
établissement public, specilite= transport en commun par voie ferroviaire, ce qui fait
quelle peut pas intervenir dans d’autres domaines —> Donner des cours aux
collèges…

- La suppression de la clause de compétence général reste à relativiser, car cette loi 3DS
permet aux collectives ( départements et régions) de pv expérimenter des
compétences et si cela fonctionne bien on va leur attribuer cette compétence. En
réalité la suppression de cette clause reste a relativiser, car région et département
peuvent s’approprier compétence , une marge de manoeuvre leur est dédiee.

D) Une autonomie nancière ( ce qui pose le + PB)

Concerne dépense et recette des CT= budget des CT.

Les CT soumises à un principe stricte, l’interdiction du dé cit budgétaire. Il est interdit


aux CT sous peine d’être mise sous « tutelle nancière » par le préfet. Les recettes des
collectivités doivent nancés ses dépenses. Parmi les recettes des collectivités, on peut
citer recette scale propre ou extérieures, mais aussi les revenues du domaines —>
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loyers. Et en n les redevances pour service publiques. L’autonomie nancière des CT a
été reconnu par décision du CC du 28 décembre 2000 et qui portait sur la loi de
nance pour 2001. Dans cette décision, le CC a rattaché l’autonomie nancière des CT
au principe de libre-adm°. Cette autonomie nancière a ensuite été inscrite, consacrée en
2003 par cette fameuse loi constit, on retrouve autonomie nancière à l’article 72-2. Il
prévoit 3 principes:

- Le principe d’autonomie scale

—-> Les restes scale set autres ressourcent propres doivent constituer une part
déterminantes de l’ensemble de leurs ressources. = les CT doivent se constituer leur
budget par elle même. Car leurs ressources propres sont part déterminante de leurs
résines, ne peut pas être une part déterminante de leur ressources les dotations.

- le principe de compensation nancière

—> A cause transfert de compétence doit correspondre un transfert d’argent nécessaire


à l’exercice de ses compétences.

- Principe de péréquation

——> On va organiser des fonds spéci ques des ressources # en fonction des
particularités de chasse localité. —> argent pas le même région avec + ou - d’habitants.

La librer adm° des CT renvoie a notion d’autonomie. Cependant, pour ne ps remettre en


cause l’unité de l’enta, il faut que cette libre adm° soit encadrée.

$2 une liberté encadrée

Encadrement de 2 manières: par l’intervention du législateur dans la dé nition des


modalités d’exercice des compétences et la libre adm° objet d’un encadrement par le
pouvoir de contrôle dont dispose l’Etat à leur égard.

A) L’encadrement par la délimitation législative

La libre adm° est consacrée dans la C° , mais c’est le législateur qui va xer le curseur de
cette liberté. A cette n il va disposer d’une marge de manoeuvre prévu pr la C° et d’une
limite. Il va lui même être encadré par la C° pour légiférer sur la libre administration.
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1) La compétence du législateur prévu par la C°

En vertu des articles 34 et 72 al 3 de la C°, le législateur peut modi er l’organisation des


CT. Il peut en crée de nouvelles catégories, par exemple depuis le 1er janvier 2018, la
Corse est devenu collectivité à statu particulier. EN 2015, donne l’exemple du
redécoupage des régions, on a créer des nouvelles et supprimer d’autres. Le législateur
peut aussi transférer ou retiré des compétences des CT —> Loi NOTR, supprime
compétence générale des clauses aux régions. Le législateur joue avec les ressources
des collectivités grâce à la loi de nance. Il peut aussi avoir des conséquences en matière
nancière.

2) Les limites du législateur

Limité pour 2 raisons

- Ne peut pas aller à l’encontre de la libre adm° car garantie par la C°


- Il va être limité car faut pas qu’il accorde une trop grande autonomie aux collectivités,
ce qui risque de mettre en péril l’unité de l’Etat.

C’est pourquoi la C° va prévoir des limites, elle va brider l’action du législateur.

—-> Article 73-3 C° xe une liste de domaines qui ne peuvent pas faire l’objet de
transfert de compétences pour les collectivités d’outre-mer, mais aussi les DOM et les
ROM.

On va lui imposer des obligations, notamment celle de consulter la population pour tt


changement institiuonnelle concernant ses fameuses collectives d’outre-mer. Quand on
modi e organisation des DOM TOM, on consulte population pour qu’elle rende un avis.

B) Le principe de libre adm° est aussi limite par l’encadrement du contrôle


étatique

Article 72 al 6 C° dispose que dans les collectivités de la république, le représentant de


chacun des membres du gouvernement à la charge des interêts nationaux, du contrôle
adm, et du respect des lois. Le représentant de l’Etat c’est le préfet, et dans cet article on
évoque qu’il est compétent pour faire contrôle administratif. Le Préfet assure un contrôle
de la légalité des actes adoptés par les collectivités. Ce recours porte un nom particulier=
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le déferet préfectorale. Des ilots de tutelle préfectorales demeurent—> Préfet e ectue le
contrôle budgétaire des CT.

Préfet ne va pas lui même sanctionner acte budgétaire, il va saisir une juridiction et c’est
le juge qui va prendre une décision. —> Juge des chambres régionales de compte. Mais
dans le cadre de ce contrôle, le préfet peut constater l’illegalité des actes budgétaires et
demander aux juges de mettre la collectivité sous tutelle nancière, si CT n’arrive pas à
s’administrer de manière autonome. Il demeure des ilots de tutelle préfectoral en matière
en police administrative, on a une x° de cas dans lql préfet recuprere tutelle.

Partie 2: L’administration centrale

Plusieurs acteurs vont intervenir pour faire fonctionner cette adm° centrale, situé au plus
près du centre d’impuls° politique. Plusieurs acteurs vont intervenir, de manière directe=
organe de l’Etat, et de manière indirecte= organe de l’adm° déconcentrée.

Chapitre 1: L’adm° d’Etat

Renvoi aux oranges qui ont la compétence adm étatique, celle appartenant au centre
d’impuls° du pouvoir politique. Ces orge les tirent leur compétence de la C°. Même si la
plupart sont situés à Paris, les adm° centrales le sont non pas pcq elles sont à Paris, mais
par leur champs de compétences prévu par la C°.

Section 1: Les organes décisionnels

La compétence décisionnel que mon opposé à la compétence consultative.

Parmi organe décisionnel, on retrouve les organes de coordination ou organes principaux


et on retrouve aussi les secondaires.
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$1 paragraphe 1: les organes de coordination

En matière adm, chef de l en France= PDLR et 1et Ministre.

A) Le PDLR

Pluralités de compétences, compétence administrative prévu à l’article 13 de la C°. Il


dispose qu’il « signe les ordonnances et les décrets delibérés en conseil des
ministres, il nomme aux emploies civiles et militaires de l’Etat ». Il a donc 2
compétences administratives, pouvoir de nomination et pouvoir règlementaires. En
nommant aux emplies civile et militaire de l’Etat, c’est sa compétence adm la +
importante, il prend des décrets qui ont le caractère d’acte adm. Ces nominations
requièrent le contre-saint du premier ministre et des 1er M responsables.

Mais c’est lui qui nomme quand même. Si loi ou referment prévoir nomination faite par
décret et quelle ne dit rien sur qui est compétent pour faire cette nomination, ce pouvoir
revient directement au PDLR, relève d’une décision du CE 1963, Bardon.

—> C’est le PDLR qui nomme Préfet, conseiller d’Etta, recteur d’académies.

B) Le 1er Ministre

La place qu’occupe le Premier M sous la V ème est intéressante a plus d’un titre. En
terme adm sa fonction s’illustre comme le prof Gohin « c’est un nain politique et un
géant administratif ».

Au titre de l’article 21 de la C°, il est en réalité l’acteur principal de l’adm° centrale, il va


nommer a certains emploie civiles et militaires. Cependant pouvoir de nominations -
important qu’a celui du Président.
En revanche pour le reste, c’est le 1er M qui est l’autorité centrale car détenteur du
pouvoir réglementaire —-> article 21 C°, rappelé par décision du CE SICARD en 1962.
Charles de Gaule dans sa conférence de presse de janvier 1964 expliquait que la nature,
l’étendue , la durée de la tache du Président implique qu’il ne soit pas absorbée sans
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relâche et sans limite par la conjoncture politique, parlementaire, économique ou
administrative.
Car le P est au dessus de ça, on va attribuer au 1 er M ce rôle prédominant en matière
adm. On constate que même si géant adm, le 1er M reste un commis. Son pouvoir
réglementaire va s’exercer de façon subordonnée, elles devront faire l’objet d’une
application réglementaire, et en n pouvoir éminent du 1er M est son pv réglementaire
autonome qu’il tire de l’article 37 de la C°, domaine de la loi limité limité avec article 34,
et domaine du règlement devient le principe.
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