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Institutions administratives

pauline.parinet-hodimont@univ-tours.fr
direction.l1droit@univ-tours.fr

Leçon n°1 : Introduction & Grands principes de l’organisation administratives

Administration : sous l’angle organique = ensemble de pers morales de dr public et d’agents = Administration :
o Hospitalière
o De collectivités territoriales
o D’État

Administration sous l’angle fonctionnel/matériel = sous l’angle de sa fonction, sous cet angle elle est chargée
de gérer les affaires publiques cad dans lesquelles l’intervention des pvrs publics a été décidé, elle se divise en
deux tâches/fonction dirigé vers l’intérêt général :
o Une fonction de règlementation = d’exécution des lois
o Une fonction de prestation (fourniture bien/service => le service public)

Sous cet angle, l’administration se caractérise par les moyens juridiques qu’elle met en œuvre pour réaliser les
missions lui incombant, en effet l’adminis peut tous a fait recourir au dr public mais pas que, elle a surtout la
possibilité d’utiliser des moyens de droit pv = on les appelle les « prérogatives exorbitantes du dr commun »
(dr commun = dr pv) ou alors « les prérogatives de puissance public » (PPP), elle dispose de ces moyens pr agir
pour justement remplir sa mission d’intérêt g.
Ce privilège ne doit pas lui faire oublier que l’administration reste soumise au droit, elle doit rendre des
comptes aux instances qui dispose d’une légitimité démocratique soit : au Parlement car le gouv dont fait partit
l’administration est responsable devant le parlement, au juge dans le cas d’un contentieux

La notion d’ad a connu un net élargissement au cours du 20ème siècle car la gestion des tâches administratif est
initialement confié à des pers du dr public mais elles peuvent de + en + être confié à certaines pers de dr pv.

Les activités régaliennes de l’État sont confiées aux personnes morales de droit public, mais au-delà de ces
activités régaliennes il y a d’autres activités administratives qui vont pouvoir être assurer par un certain nombre
de pers de dr pv, cela se fait que de deux façons :
o Les pers pv peuvent être créer spontanément par des pers publics notamment pr bénéficier de la souplesse
offerte par le dr pv
o Les pers pv peuvent trouvés leurs initiatives dans un ordre pv mais être associé ensuite à l’exécution de certain
service public donc de certaines activités administratives, ce peut être une simple collaboration =pers pv qui
s’associe à l’État mais aussi aller parfois plus loin que la collab : l’État peut confier la gestion d’un service
public mais toujours sous le contrôle d’une personne public

Si nous mélangeons les deux définitions, on va parler de tte les institutions administratives, donc aussi bien des
pers public ou pv qui doivent édictées une réglementation pr permettre le bon fonctionnement de la vie en société
et doivent fournir les prestations indispensables à la satisfaction des citoyens/administrés.

L’administration FR est le produit d’une longue histoire qui lui a donner sa physionomie moderne. Elle a été
confectionnée par strate/niveau successif pour s’adapter aux besoins de chaque époque. Néanmoins elle a été
fondée sur des principes qui ont rarement été remis en cause

Section 1 : Les grands principes de l’organisation des institutions administratives

I- La centralisation

A. La définition de la centralisation

La centralisation, il s’agit d’un mode d’organisation ad qui fait de la capitale d’un pays le siège d’une
administration étatique qui exerce sans partage la totalité du pvr étatique/ad sur le territoire alors toutes les
décisions ad adopter émane de ce pvr central et on a donc de nb agents publics qui exécutes ces décisions.
La centralisation de l’administration = la conséquence 1er du caractère unitaire de l’État et le caractère unitaire de
l’État est confirmé par l’art 1er de notre C° du 4 oct 1958, cet art dispose que la FR assure « légalité des citoyens
de tt les citoyens devant la loi sans distinctions d’origine de race, de religion » = c’est ça l’avantage de la
centralisation, il permet d’assurer un certain ordre social et politique avec des décisions homogènes mais hay aussi
des inconvénient, notamment 1 une centralisation pousser à l’extrême mènerai a la paralysie du système ad car la
centralisation suppose forcément une forte concentration du pvr de décision qui peut conduire à une situation
d’engorgement des administrations. C’est la raison pr laquelle on va avoir besoin de mesure déconcentration. Ce
qui signifie donc que lorsqu’il y a centralisation l’existence de circonscription ad n’est pas exclu pour la mise en
œuvre les politiques publics mais le pvr reste au nv centrale.

B. La mise en œuvre de la centralisation

La centralisation a été mise en œuvre pndt une très longue période, d’abord pndt l’ancien régime c louis 13 qui a
institué ce mouvement mis en ouevre par Richelieu ses successeurs vont faire de même, ex : louis 14 « l’État, c’est
moi ». Les révolutionnaires ne modifient pas l’organisation ad, la centralisation perdure et ensuite Napoléon
premier amplifie encore la prépondérance de l’autorité centrale, en effet, la loi pluviôse du 17 février 1808
institue les préfets au nv des départements pour traiter les affaires administratif dans leurs circonscriptions sous le
contrôle étroit du pvr central

On confie à ces préfets de très large pvr, d’ailleurs leurs prénoms en témoigne « empereur au petit pied » car ils
exercent une tutelle très importante sur les élus locaux.

Pour que cette centralisation soit le + efficace possible tt les agents publics sont nommés par le pvr centrale et
rémunérer par l’état, c’est le cas des préfets, des maires (mais cf ont deux casquettes) et il faudra attendre le
second empire pr voir apparaitre des tentatives timides de déconcentration

II- La déconcentration

A- La définition de la déconcentration

C’est l’inverse de la centralisation, elle concerne l’aménagement des rapports entre les autorités centrales et
locales.
L’enjeux de cette déconcentration, elle se pose pour l’État compte tenue de l’universalité de ses compétences et
du nb d’agents qui l’entourent. La déconcentration consiste à augmenter les pvrs des représentants locaux de l’États
afin de désengorger le pvr centrale. Il est donc possible d’augmenter les attributions des préfets en leurs transférant
des attributions qui appartenaient ultérieurement aux ministre (autorités centrales).

C’est un mode d’organisation d’un État unitaire dans lequel les décisions administratives sont prises par des
institutions administratives réparti sur l’ensemble du territoire nationale au nom et pour le compte de l’État et
qui ne sont pas dotés de la personnalité morale donc l’État reste la seule et unique source de pvr mais les centres
de décisions sont délocalisés. « C’est toujours le même marteau qui frappe mais dont on a raccourci le manche ».
La déconcentration consiste donc à donner au représentant locaux de l’État de rée pvr de décisions, l’exemple
type : le préfet.

La déconcentration est utile car désengorge le pvr central souvent encombrer, elle entraine donc une rapidité dans
le règlement des affaires qui sont gérer au niveau locales et non nationales. Les représentants locaux du pvr centrale
qui agissent qui agissent au nom et pr le compte de l’État peuvent régler les affaires en tenant compte des
considérations locales = on peut gouverner de l’on mais on administre mieux de près. Toutefois la déconcentration
peut donc entrainer des divergences dans la prise de décision selon les circonscriptions régionales ou
départementales.

Cette absence d’homogénéité dans le contenue de la décision peut néanmoins être corriger par l’utilisation du pvr
d’instruction (= l’envoie par le pvr central de circulaire, d’instructions de lignes directrices de la part
principalement du 1er ministre ou des ministres concernés à destination des titulaires étatiques locaux ex : le préfet)

B- La mise en œuvre de la déconcentration

Les premières tentatives de déconcentration ont été lancés en 25 mars 1852 et 13 mars 1861, deux décrets adoptés
à ces dates. Le 1er = un décret du 25 mars 1852 et 13 mars 1861 qui vont délégués un certain nombre de prérogatives
du chef de l’États et des ministres au préfet, les préfets vont donc pouvoir adopter des décisions sans en référer
aux autorités nationales.

Sans citer tt les textes


Il faut aussi mentionner les décrets du 14 mars 1964 relatif aux pvrs des préfets et à la déconcentration
administrative, ce décret institue le préfet de région et précise que le préfet du départementaux est charger de
l’animation et de la coordination des services départementaux des administration civiques de l’État

Le 1er texte fondamentale qui met en œuvre la déconcentration tel qu’on la connait date de 1992, c’est le décret du
1 juillet 1992 portant charte de la déconcentration. La tendance est alors inversée puisque les représentant locaux
de l’État détiennent la compétence de droit commun alors les agents centraux exerçaient plus que des compétences
d’attributions.

La compétence de droit commun : lorsque l’on est compétent à l’exception des domaines retirer par les textes
(principe)
La compétence d’attribution : une pers est compétente uniquement dans le cadre de ce que les textes lui donner
(exception)

Ça c’est pour le 1er texte mais hay d’autres dispositif qui sont intervenue

Cmt se répartissent les tâches entre les administrations centrales et les administration déconcentration ?

Les autorités/administration centrales (ministères) assurent des missions de conception, d’animation d’orientation,
d’évaluation, de contrôle, elles participent à l’élaboration des projets de loi et de décrets, elles s’occupent de la
définition générale et du financement des politiques nationales, elles contrôlent leurs implications et évaluent leurs
effets. Ces autorités centrales ont donc un rôle qui s’effectue en amont.

Du côté des administration locales déconcentrés qui sont organisé dans le cadre des circonscriptions administrative
de l’État, le ministre délègue des prises de décisions à leurs représentant dans ces circonscriptions ; En principe il
y a un représentant de l’État dans chaque circonscription administrative pr assurer la coordination et la cohérence
des compétences exercées par les services déconcentrés.

Section 2 : les grands principes du fonctionnement des institutions administratives

Il ne peut pas y avoir de déconcentration sans qu’il y ait aussi une réelle décentralisation car les deux sont
liés :

I- La décentralisation

A- La définition de la décentralisation

La décentralisation c’est un mode par lequel l’État transfert des compétences à des institutions administratives qui
prennent des décisions administratives dans un périmètre territoriale définit au nom et pour le compte de cette
institutions administratives qui est doté d’une personnalité morale distinct de l’État. Donc dans la
décentralisation l’État n’est plus la seule source de pvr, il partage son pvr avec d’autres pers morales de dr public
qu’il créé : les collectivités territoriales, les établissements publics, les autorités administrative indépendante, les
GIP

Il existe deux types de décentralisation :


o La décentralisation territoriale : consiste pour l’État à transférer des compétences à une assemblée élu qui
prend des décisions dans un périmètre définit du territoire national. Actuellement, il existe 3 niveaux de
décentralisation territoriales qu’on qualifie de collectivités territoriales : les communes, les départements, les
régions.
Au sein de ces territoires il existe 1 représentant de l’État : le maire, le préfet de départements et le préfet de
région
o La décentralisation fonctionnelle : consiste à confier une mission à 1 institutions administratives doté de la
personnalité morale qui prend des décisions dans des matières définit par l’État conformément a ce qu’on apl
aux principes de spécialité : les autorités indépendantes, les établissements publics.
Transition : Depuis 2003 et la révision constitutionnelle, la décentralisation est le mode de principe d’organisation
et de fonctionnement en France.

B- La mise en œuvre de la décentralisation

La déconcentration a été l’objet d’un certain nb de certain

L’acte 1 : Elle commence avec la loi du 2 mars 1982, avec cette acte 1 : la région est instaurée comme une
catégorie de collectivités territoriales.
2=> le préfet est remplacé par me président du conseil départemental pour assurer les fonctions exécutif dans le
département
3 => hay un contrôle a posteriori des actes des collectivités territoriales par le représentant de l’État mis en place

L’acte 2 : de la décentralisation est constitué par deux actes

ð D’une part par la loi constitutionnel du 28 mars 2003, cette loi reconnait l’organisation de principe de la
République comme décentraliser, qui reconnait aussi la valeur constit de la région en qualité de
collectivité territoriale un droit à l’expérimentation, la garantie de certains droit (notamment droit de
pétition des électeurs et le référendum d’initiative locale, reconnait également le principe de
compensation financière (transfert de compétence aux autorités)
ð Loi du 13 aout 2004 qui organise de nvx transfert de compétence et de nvx transferts de personne de
l’État vers les collectivités

L’acte 3 : Entre 2014 - 2017


ð Loi du 27 janvier 2014 : loi de modernisation de l’action public territoriale et d’affirmation des
métropoles
ð Loi du 16 janvier 2015 qui réduit à 13 le nb de région en métropole
ð Loi du 16 mars 2015 : facilité la fusion de plusieurs communes
ð Loi du 7 aout 2015 : porte une nvelles organisation territoriale et transfert de nvelles compétences de
l’état vers les collectivités
ð Loi du 28 février 2017 : relative au statut de Paris et à l’aménagement métropolitain qui assouplit les
critères d’accession au statut de métropole de dr commun

QCM n°1: 1= b // 2 = b // 3 = (dmd a Pauline)

Section 3 : Les grands principes du fonctionnement des institutions administratives

I- La personnalité morale de droit public

C’est l’aptitude à être titulaire de droit et à respecter des obligations. La personne de droit public est exclusivement
morale, il n’existe pas de personne physique de dr public. La pers morale de dr public est titulaire de droits et
d’obligations indépendamment des membres qui la composent. ⚠ Toutes les structures administratives n’ont pas
systématiquement la personnalité juridique de dr public (ex : les ZAI)

Les caractéristiques classiques de la personnalité juridique s’appliquent, la pers morale de droit public, elle a un
nom, une dénomination, un siège, une durée, un patrimoine, une nationalité et elle est titulaire de dr et d’obligation.

La personnalité juridique de dr public possède aussi des spécificités :


o Elle comporte des prérogatives de puissance public (PPP), ce sont des pvrs que ne peuvent pas posséder une
pers pv, parmi celle-ci, on peut citer l’insaisissabilité de ses biens, le pvr d’exproprier pr cause d’utilité
publique ou encore le pouvoir de recouvrement de créance par voie unilatéral (= acte qu’une pers A impose
à une pers B).

L’État est une personne morale de dr public qui exerce les pvrs législatifs, exécutif et judicaire sur un territoire
déterminé et au profit des personnes qui y résident. En France, l’État est unique, unitaire et détient un domaine de
compétence en propre (= compétence non transférable à qql d’autre), ce domaine est défini à l’art 74 et 73 alinéa
4 de la C°. Pamis ses domaines de compétence il y a :
- La nationalité
- Les garanties de libertés publiques
- L’organisation de la justice

La collectivité territoriale est une structure administrative doté de la personnalité morale de dr public par
laquelle l’État transfert des compétences qui sont exercer dans un périmètre territoriale déterminé par une
assemblée délibérante qui est élu au SU direct et qui dispose d’un pvr réglementaire

L’établissement public c’est une personne morale de dr public qui dispose d’une autorité administrative et
financière pr remplir une mission d’intérêt générale dont le périmètre de cette mission est précisément défini. Il
exerce cette mission sous le contrôle d’une tutelle qui est doté elle aussi d’une personnalité morale de dr public,
les groupements permettent à des partenaires publics et pv de mettre en commun des moyens pour la mise en
œuvre de mission d’intérêts générales.

Les groupements d’intérêt public ont été créer en 1982 pr les seuls besoins du secteur de la recherche et ensuite
ils ont connu un essor important dans de nb domaine de l’action publique comme l’environnement, la santé, la
justice et cet essor a montré le succès de cette forme de collaboration mais l’inconvénient était de multiplier les
régimes législatifs et réglementaires. Première tentative pour unifier ces différends régimes les GIP en 2005 mais
ça ne fonctionne pas et c’est finalement la loi du 17 mai 2011 qui va instituer un statut législatif unique pr les GIP

Les autorités publiques indépendantes (API) sont des institutions de l‘État doté d’une personnalité morale, on
dit qu’elle est indépendante car elle n’est pas soumise au pvr hiérarchique de l’État et elle ne peut pas non plus
être sous sa tutelle, conséquemment les pvrs publics ont donc l’interdictions de révoqués, de lui faire des
suggestions, de lui donner des ordres ou des instructions. Les API sont chargés de contrôles essentielle notamment
en ce qui concerne la protection des libertés publiques, pour ça, elle dispose de pouvoir normalement réservé aux
pvrs publics comme le pvr décisionnaire, le pvr réglementaire, le pvr de sanction. Le rôle de ces API se concentre
autour de deux missions fondamentales : 1° s’assurer que les dr et libertés des citoyens sont bien respectées dans
le domaine pv et public
2° réguler certaines activités.

Qui sont les API ? Il en existe 7 (ex : pr dopage)

Les pers morales de dr publics suis generis (= on ne peut les comparer aux autres, elles sont d’un genre propre, on
ne peut pas les mettre dans les autres catégories ; ex : la banque de France, l’académie française.

II- Les compétences

La compétence c’est l’aptitude juridique à faire quelque chose.

Le titulaire de la compétence de principe, dans un État unitaire c’est : l’État, il est souverain et détient don cette
compétence de la compétence cad seul l’État attributs des compétences sa différentes structures qu’il crée.

Quels sont les modalités de cette répartition des compétences ?


L’État met en place une répartition verticale des compétences avec d’autres structures dotées d’une personnalité
morale de dr public distinct. Les transferts de compétences ascendant de l’État (État vers l’UE par ex) et des
transferts de compétence descendant de l’État vers des collectivités territoriales. On a une réparation horizontale
cad que l’État détermine sa propre organisation interne par une répartition horizontale des compétences entre des
personnes morales de dr public qu’il crée selon des critères subjectifs

On a 4 critères de répartition des compétences entres les institutions administratives qui sont mis en place :
- La territorialité : c’est un critère de répartition des compétences entre différents organisme par lequel
un périmètre d’intervention d’un organisme est limité à un espace d’application
- L’exclusivité : critère de réparation des compétences par lequel certaines matières relèvent de la seule
compétence d’un organisme, elles ne peuvent pas être délégué et un autre organisme ne peut pas les
exercer, par ex : l’article 74 de la C° fixe un domaine de compétence propre à l’État
- Le partage : la compétence partager c’est une répartition des compétences permettant à plusieurs
organismes d’intervenir de manière de soit additionnel soit concurrentiel dans une zone de compétence
- La délégation de compétence : la compétence déléguée modifie temporairement la répartition initiale
des compétences mais elle ne dessaisit pas le déléguant de sa compétence au profit du délégataire

III- La libre administration des collectivités territoriales


Ce principe figure dans notre C°, il est mentionné à deux reprises : art 34 et 72.
A l’art 34, on peut lire que le législateur est compétent pour déterminer les principes fondamentaux de la libre
administration des collectivités territoriales, cela implique 2 choses :
- La libre administration des collectivités territoriales ne relèevent pas de la compétence du pvr
réglementaire qui figure à l’art 37
- A fortiori le législateur pourrait être sanctionner par le conseil constitutionnel pour ce qu’on appelle
l’incompétence négative s’il n’exerce pas cette compétence

A l’art 72 alinéa 3 qui dispose que dans les conditions prévues par la loi, ces collectivités s’administrent librement
par des conseils élus. Il dispose aussi que les collectivités territoriales d’un pvr réglementaire pour l’exercice de
leurs compétences. Le principe est donc posé dans cette art. Le Conseil C a reconnu la valeur constitutionnelle de
ce principe dans une décision du 23 mai 1979, décision qui portait sur une loi modifiant les modes d’élections de
l’assemblé territoriales de nouvelle Calédonie

Plus tard, dans une décision du 17 janvier 2013, le cc qui portait sur une loi relative à la mobilisation des fonciers
publiques en faveur du logement, dans cette décision il a indiqué que ce principe à valeur constitutionnel pouvait
être limité par des obligations ou par des interdictions à la condition notamment que les unes et les autres répondent
à des fins d’intérêts générales.

Chaque assemblée comme le conseil municipal règle par ces délibérations les affaires de collectivités dans le cadre
déterminé par la loi, cela veut donc dire que les collectivités territoriales interviennent dans un domaine de
compétence transférer par l’État et définit par le législateur

Un avis du conseil d’État 15 novembre 2012 qui indique que le premier ministre ne peut intervenir dans libre
administration des collectivités territoriales que s’il a été habilité par le législateur. Cette liberté a une contrepartie,
c’est la présence de l’État dans les collectivités cad que l’État conserve des missions en propre (qui ne se transfert
pas) dans chaque collectivité, il a la charge des intérêt nationaux, la charge du contrôle administratif et la charge
du respect des lois.

QCM n°2 :
- La pers morale de dr public ?
- Compétence en propre ? appartient à une pers en particulier, exclusivement à une personne, que l’on ne
peut pas transférer
- Selon le principe de libre administration des collectivités territoriales les collectivités territoriales =>
s’administre librement par des conseils élus
- Au terme de l’art 72 de la C° les collectivités territoriales => tout faux, ne s’administre pas par des
représentants l’État, peut voir son exitance prendre fin par un arrêté ministériel, s’administre librement
par des conseils nommés c’est faux car c’est par des conseils élus le bon

Leçon n°2 : Les institutions administratives centrales

Section 1 : les institutions administratives d’impulsion et de direction

I- Le président de la Rép

Le président est élu en France au SU direct, pour 5 ans, scrutin uninominal majoritaire à deux tours, pr être élu au
premier il faudra obtenir la majorité absolue et sinon il y a un second tour avec les 2 candidats ayant obtenue le
plus de voix au 1er tour et à l’issus de ce scrutin le candidat ayant eu le plus de voix est élu. Par ailleurs, il n’est
pas possible d’effectuer deux mandats consécutifs.

Le président de la République, c’est le garant de l’indépendance national, de l’intégrité du territoire, le garant du


respect des traités, de l’indépendance de la justice et du respect de la C°. C’est le titre 2 de la C° qui énumère les
pvrs du président. Il dispose donc d’attributions administrative importants et peut les mettre en œuvre garce à des
différents services

A) Les institutions administratives du Président de la Rép = que peut-il faire ?

Il a deux pvrs : le pvr réglementaire et le pvr de molination


1. Le pouvoir réglementaire du Président de la République

La 5ème rep à renforcer cette compétence réglementaire du président de la Rép, selon l’art de la C° c’est lui qui
signe les ordonnances et les décrets en conseil des ministres. S’agissant des ordonnances, ceux sont celles qui
sont prévues à l’art 38 de la C°, ceux des mesures qui permettent au gouv d’adopter des mesures qui relève nrmlm
du domaine de la loi qui figure à l’art 34 de la C° pndt une période limitée sur autorisation du législateur que l’on
appelle habilitation du législateur. Cette procédure des ordonnances permet au gouv de prendre d’adopter des
décisions plus rapidement.

Dans un premier temps, ces ordonnacais doivent être signé par le chef de l’État en conseil des ministres et ensuite
être ratifié par le parlement pr acquérir une valeur législative, tant qu’elles ne sont pas ratifiées elles restent des
actes administratifs règlementaire. En période de cohabitation le président de la Rép, peut refuser de signer des
ordonnances.

Théoriquement, le président a l’obligation de signer dès lors qu’un texte spécial le prévoit, toutefois le juge
administratif a eu une conception plus large de cette signature, même sans texte tt les décrets délibérés en conseil
des ministres deviennent de la compétence du président de la Rép et dans cette situation ils ne pourront être modifié
que par le président de la République

A cote de ces décrets signes en conseil des ministre le président de la Rép signe aussi des décrets « simples » car
ils ne requièrent par l’intervention du conseil des ministres.

Ces différents actes administrative ordonnances et décret doivent être contre-signé par le 1er ministre
et par les ministres responsables selon l’19 de la C°. Le ministre responsable = celui qui a pris l’initiative du texte
et qui la fait préparer par ses services et qui la soumis au conseil des ministres et qui est charger d’en assurer
l’application

Cette prépondérance du président dans la signature des actes administrative les plus importants n’est pas étonnant
car c lui qui préside le conseil des ministres concrètement cela signifie qu’il en détermine l’ordre du jour et peut
s’octroyer une compétence règlementaire dès lors qu’il n’a pas octroyer la compétence règlementaire au 1er
ministre

En période exceptionnel peut faire usage de son pvr réglementaire dans le cadre de l’art 16 de la C°, cette
disposition confère au président de la Rép des pvrs exceptionnels elle lui confère à la loi des pvrs législatifs et
règlementaire, elle n’a plus été utilisé depuis 1961

Les circonstances de la mise en œuvre de l’art 16 témoigne d’une situation qui serait vrm grave pour le pays car il
faut une menace grave et éminente pesant sur les institutions administratives de la France, sur son indépendance
et sur son intégrité territoriale

2. Le pvr de nomination du président de la République

En vertu de l’art 8 de la C° le président de la Rép nomme le PM et peu aussi mettre fin à ses fonctions en lui
demandant de présenter sa démission du gouvernement. De la même façon, le président nomme les autres membres
du gouv sur proposition du premier ministre et il peut mettre fin à leurs fonctions quand il le décide. Cette liberté
de nomination des membres des gouv est réduire en période de cohabitation

Il possède un pvr de nomination des plus hauts responsables prévu à l’art 13 de la C° = « il nomme au emploie
civil et militaire de l’État » cad il va nommer en conseil des ministres les conseillers d’États, le grand chancelier
de la légion d’honneur, les ambassadeurs, les envoyés extraordinaire, les conseillers maitre à la cour des comptes,
les préfets, les représentants de l’État dans les collectivités d’outre-mer, les officiers généraux, les recteurs
d’académie et les directeurs d’administrative centrales.

En dehors de ce pvr de nomination des plus hautes autorités il peut aussi nommer à d’autres emplois civils et
militaires de l’État : loi organique du 28 novembre 1958 qui détermine les autres emplois qui sont nommé par
décret simple du président de la Rép et cette loi et elle détermine les nominations et les conditions de délégation
du pouvoir de la République par exemples : les professeurs de l’enseignement supérieur, les magistrats de l’ordre
judiciaire
Ajoutons à ça une loi organique du 23 juillet 2010 qui détermine les emplois et les fonctions pr lequel le pvr de
nomination s’exerce mais après un avis de chaque assemblée (assemblée nationale + celle-ci)

Dans cette hypothèse il s’agit de fonction particulièrement importante pr la garantie des droits et libertés et pr la
vie économique et sociale, dans cette hypothèse-là, le président ne possède pas un pvr entier de décision, il ne peut
pas procéder a une nomination lorsque l’addition des votes négatifs dans chaque commission parlementaires
représente au moins 3/5 au sein es deux commissions (= un veto) par exemples : le président de l’AMF (autorité
des marches) est nommé de la sorte, président de l’OMF (office nationale des foret, président de météo France.

En dehors de l’article

Hay 3 articles (en dehors de l’art dans la C° qui prévoit la nomination de hauts responsables :

- Art 56 de la C° : concerne la composition du conseil constit et précise que 3 des 9 membres sont nommés
par le président et en choisis le président du Conseil. Son pvr de nomination s’exerce après un avis public
de la commission
- Art 65 de la C° permet au président de désigner deux personnes parmi les 6 pour siéger au conseil de la
magistrature cette fois encore la nomination s’exerce après un avis public de la commission permanente
charger de l’organisation judiciaire de chaque assemblée
- Art 71 -1 = il nomme le défenseur des dr (institutions/personne nationale) pour un mandat de 6 ans et
cette nomination s’effectue après avis public de la commission compétente de chaque assemblée

⚠Ne pas confondre le pvr de nomination avec le pvr d’accréditation, art 14 de la C° Prévoit que « le président
accrédite les ambassadeur et les employer extraordinaire », le pvr d’accréditation PRÉCÈDE le pvr de nomination.
L’idée est de prendre tte les mesures nécessaire pr vérifier la personne nommée n’est pas mal vu/mal perçu à
l’étranger. (La nomination est rendue publics après l’accréditation)

B) Les services de la présidence de la République

Les services de la présidence de la République ont cmc à apparaître sous la Vème rep été se sont étoffé par la suite,
on a 3 instruments qui joue un rôle politique et administratif : Le cabinet, l’état-major et le secrétariat général

1. Le cabinet du président du la Rép

Le cabinet du président du la Rép ressemble fortement au cabinet des ministériels, préfectoraux, des élus locaux
dans le fonctionnement. A sa tête on trouve le directeur du cabinet qui est LA personne de confiance du président
de la Rép qui est chargé de le conseiller et ce directeur de cabinet est généralement assister par un chef de cabinet
et de plusieurs autres catégories de personnels.

Son rôle : le cabinet tient l’agenda du président, organise les différents déplacements, prévoit l’organisation dans
les manifestations et la représentation du chef de l’État dans les différentes instances dans lesquelles il se rend, il
a donc forcément un lien non négligeable avec les médias

Le président peut également fournir des informations plus directes par la vies électroniques (par exemple : réseaux
sociaux) garce a ce cabinet et le rôle et cabinet va varier en fonction des présidents mais on peut qd même affirmer
qui possède une influence

2. L’état-major de la présidence de la république

L’état-major joue un rôle prépondérant car selon l’art 15 de la c° dispose que le président et la chef des armés, il
préside les conseils et les comités supérieur de la défense nationale. La compétence présidentielle dont on parle ici
est particulièrement étendu car le président peut envisager d’engager de actions non nucléaires ou des forces
nucléaires et l’état-major du président de la rep, choisis discrétionnairement/librement par le président aide le chef
de l’État dans ses missions assez lourde et c’est un officier supérieur générale ou amiral qui dirige cet état-major

L’état-major travaille en relation constance avec les services du 1er ministre et les services du ministère de la
défense.

3. Le secrétariat général
Organiser autour d’un secrétaire général et de 2 secrétaires généraux adjoint
Le secrétaire général provient souvent des grands corps de l’État et le président possède une totales liberté pr le
nommer, il est donc sous l’autorité du chef de l’État et son rôle n’est encadrer par un aucun texte. Sa fonction est
essentiellement politique prc il participe à la préparation du conseil des ministres et y assiste et s’occupe de tt les
dosiser importants (sur la plan politique et technique) et est charger d’entretenir les relations entre le président et
le 1er ministre et doit veiller à la bonne application des décisions présidentielles.

Ce secrétaire général, aidé par ses collaborateurs va organiser ttes les réunions organiser à l’Élysée comme par
exemple celle du conseil supérieur de la défense et de la sécurité national.

En dehors du président de la Rép, au sein de l’exécutif on a le premier ministre et tt le gouv qui participent.

II- Le Premier ministre

Il est le responsable de la bonne marche d’ensemble de tous l’administration étatique, c’est l’art 8 de la C° qui
prévoit qu’il est nommé par le président et ce dernier peut également mettre fin à ses fonctions (il le fait
démissionner). Ce 1er ministre dirige l’action de tous le gouvernement et pr ça il a des attributions importants et pr
ce, il a des services à sa disposition

A) Les attributions administratives du 1er

Il est responsable devant le parlement en fr et possède un pvr de décision et de coordination. Il dirige l’action du
gouvernement, des ministres et des secrétaires d’État mais il n’y a pas de liens hiérarchiques entre eux. Il est
responsable de la défense nationale et assure l’exécution des lois. Il exerce le pvr réglementaire, il est l’autorité
réglementaire de dr commun » et son pvr règlementaire eut se définir comme la faculté de prendre des
dispositions/mesures générales, impersonnelles et qui s’imposent à des grandes catégories de citoyens.

Le domaine du pvr règlementaire, c’est l’art 37 de la C° qui le fixe « les matières qui sont autre que celle du
domine de la loi ont un caractère réglementaire ». Le 1er ministre exerce pvr réglementaire grâce au décret
d’application d’une loi (les plus nombreux) mais il existe aussi les décrets autonome (interviennent seul sans besoin
d’une loi).

Au terme de l’art 22 de la C°, les actes du 1er ministre sont contresignés (si nécessaire) par le ministre qui concerne
sa compétence ex : si concerne justice = > ministre de la Culture. Le 1er ministre est l’autorité règlementaire de
droit commun, est compétent pr adopter des règlements de police applicable sur l’ensemble du territoire

Pr mettre en œuvre ses compétences il dispose de l’administration et de la force armée, ainsi, il nomme aux emplois
civils et militaires sous réserve de tr pvr de nomination du président (= partout où le président n’est pas compétent)
et dans le domaine militaire il intervient en complémentarité des décisions prise par le président car il est
responsable devant de la défense nationale

Il joue également un rôle d’arbitre et de coordinateur, notamment les arbitrage du 1er ministre en matière financière
fixe les moyens des administrations notamment à l’occasion des discussions relatives aux lois de fiances (si
désaccord entre ministre dépensier et le ministre chargé du budget). Il est autorisé, le 1er ministre à délégué certains
de ses pvrs aux ministres art = 21 de la C°, il peut supplée le chef de l’état dans la présidence des conseils et des
comités supérieurs de la défense nationale et exceptionnellement le suppléant dans la présidence d’un conseil des
ministres (mais il lui faut pr ça délégation express et un ordre du jour déterminé) .

Pr mettre en œuvre ses pvrs, il a un certain nb de services à sa disposition

B) Les services qui sont à la disposition du premier ministre

Il dispose d’un cabinet, d’un secrétariat du gouvernement et d’un secrétaire généralise pr les affaires européennes

a) Le cabinet

Dirige par directeur de cabinet et est composé de personne de confiance et joue rôle politique essentielle, sa
fonction principale = assister le 1er ministre dans l’exécution de politique gouvernementale.
Son pvr d’influence est relativement important car les membres des cabinets sont en relation constante avec, les
services de la présidence mais aussi avec les cabinets ministériels (de chaque ministères), également avec le
parlement mais aussi avec les différents acteurs au nv national et local dans la préparation et l’exécution de la
politique gouvernementale.

b) Secrétariat du gouv

Instituer par une loi du 13 août 1936 et assure la continuité de l’action gouvernementale par ses différentes
missions, il assure le secrétariat du conseil des ministres et préparer l’ordre du jour de ce conseil des ministres
avec le président de la rép avec le 1er ministre et coordonne la préparation des projets de loi et les décrets. Son rôle
est de s’assurer que ces textes sont transmis aux autorités qui doivent être consulté (ex : le Conseil d’État).

Il est aussi conseiller juridique, prépare les mémoires déposer par le gouv devant le conseil constit qd le cc a été
saisit d’un recours contre une loi que ce soit a priori ou a posteriori (QPC etc). Enfin, c’est lui transmet au journal
officiel (JO) les textes en vue de leurs publications

C’est un organe interministériel qui assure la continuité de l’action gouvernementale.

c) Le secrétaire des affaires européennes

Le secrétaire général des affaires européenne (deux Europe juridique : droit de l’Homme (CEDH) et Union
européenne (enjeu principal est économique).).

Sous la resp d’un secrétariat général qui suit l’ensemble des questions européennes et s’occupe des relations entre
les administration française et de l’UE.

Ce secrétariat général est chargé d’une coordination interministérielle pr assurer une cohérence de la position fr
sur l’ensemble des qst de l’UE. Sa mission est donc de favoriser l’émergence d’une position unique et cohérente
sur l’ensemble des pb soulevé par l’application du dr de l’union.

Le secrétariat général vieille à la mise en ouevre des dispositions de l’art 88- 4 de la C° « le gouv soumet pr avis
à l’AN et au Sénat les projets et les propositions d’actes de l’UE comportant des dispositions de nature
législatives »

Le gouvernement peut également soumettre pr avis au parlementaire tt les autres projets de proposition d’acte
ainsi que tous les documents émanent de l’UE.
ð A savoir : (l’art 88-4 n’est pas écris à l’impératif (présent de l’indicatif de dr))

III- Le gouvernement

A- La composition du gouv

En fr hay aucune règle juridique n’a été posé pr prévoir, organiser la composition des différents gouv = nb de
ministres n’est pas déterminé par dans textes et donc après chaque changement de gouv on peut apporter des
changements.

La structure gouvernementale dépend des décrets fixant l’organisation du gouv, décret signe par le président et
contresigné par le 1er ministre prévu par l’art 8 alinéa 2 pr organiser le gouv. Ce sont les ministres qui occupent le
sommet de la hiérarchie administrative et là, on a plusieurs catégories de ministre :
- Ministre classique : celui qui est responsable d’un ministère ex : de la culture, de la justice
- Ministre délégué : qui peuvent exercer leurs fonctions soit auprès du président soit au près d’un ministre
afin dE prendre en charge certaine de leurs attributions (but : se décharger)
- Ministre d’État : titre honorifique qui a soit portée symbolique soit une portée politique
- Les secrétaires d’État (on en entend plus parler) qui peuvent aussi exercer leurs fonctions soit auprès du
1er ministre soit auprès d’un ministre et peuvent aussi être autonome à la tête d’un département ministériel

Il se distingue car il n’assiste au conseil des ministres que si la question parle de leur département ministérielle.
Leur situation juridique est inférieure au autre ministre et se marque par leur contreseing jamais nécessaire.
Il ne peuvent pas signé seul un décret, il faut une intervention du Ministre auxquelles ils sont placé.
B- Les pouvoirs des ministres

Les ministres exercent des fonction à la fois politique et administrative, ils appliquent avec solidarité la politique
gouvernementale.
Les attributions des ministres et des secrétaires d’état autonome sont déterminées dans des décrets pris après avis
du conseil d’état et délibérer en conseil des ministres

Les ministres disposent d’un compétence réglementaire spécialisé, depuis un arrêt célère rendu le 7 février 1936 :
arrêt Jamart : en tant que chef de leurs ministères ils peuvent adopter tte els mesures règlementaire ( pr les
ministres = des arrêtés) et adopter ttes les mesures informatives (on parlera de circulaires ou d’instruction) afin
d’assurer le bon fonctionnement des services placé sous leurs autorités
Ils peuvent donc prendre des mesures à destination de leurs usagers ou de leurs personnels.

Les ministres peuvent également être amener à adopter des actes réglementaire ou individuel pr exercer tel ou tel
décret réglementaire provenant du 1er ministre.

Ils sont les supérieurs hiérarchiques des agents placés sous leurs ordres, ils peuvent ainsi infliger des sanctions en
cas de faute omise par les agents public qui relève de leurs compétences.

Les ministres constituent des cabinets ministériels composé d’une équipe de collaborateur personnelles qui nomme
à leurs arrivées et qui aident le ministre à assurer leurs taches politique et administrative.

C- L’organisation interne des ministères

Certains ministères apparaissant et d’autres disparaissent et leur appellation varie e fonction des évolutions de la
société.

L’organisation interne des ministères répond à une logique hiérarchique et pyramidale. La structure la plus large
des ministères = les directions et il y en a deux types les directions horizontales set les directions verticales.

- Les directions horizontales couvrent un domaine pr l’ensemble du ministère (ex : la direction du budget,
personnel, etc)

- Les directions verticales : des directions spécialisées (ex : la direction générale de la santé, la direction de
la cohésion sociale)

A la tête de chaque direction, on trouve un directeur d’administration centrale, ce sont des emplois supérieurs à la
discrétion du gouv, ils sont pourvus par décret du 1er ministre en conseil des ministres cela signifie donc que les
directeurs sont choisis et révoquer librement par le Président de la Rép et le premier ministre, par le gouv. Il est
donc qu’il y a des liens d’allégeances politiques.

Les directions sont très fréquemment dirigées en sous directions elles- même organisé en services et au sein des
services le travail peut être répartit entre des bureaux qui constitue souvent les structures de base du ministère.

Section 2 : Les institutions administratives de contrôle

I- Le contrôle par l’administration elle-même

Le contrôle de l’administration repose d’abord sur le pvr hiérarchique

A- Le principe hiérarchique

En vertu de ce principe tt supérieurs hiérarchique peut réformer les actes de ses subordonnées soit prc qu’ils sont
illégale, soit prc il ne lui semble pas opportun. Ce principe d’un contrôle hiérarchique a été établi tres tôt par la JP
administrative, il s’agit d’un des premiers arrêts du conseil d’État le 1 er mai 1950

L’existence d’un contrôle hiérarchique même sans texte a été élevé vau rang de PJD

Entre le supérieur hiérarchique et son subordonner, l’obéissance est la règle le pvr hiérarchique se sans texte et
sans cause déterminé. L’exercice du pvr hiérarchique peut être motifs de légalité et d’opportunité
La règle a été rappelé à l’art 28 de la loi du 13 juillet 1983, loi qui portant dr et obligations des fonctionnaires. Cet
art dispose qu’un agent public doit se conformer aux instructions de son supérieur hiérarchique sauf dans le cas où
l’ordre donnée est manifestement illégal et de nature à compromettre gravement un intérêt public

Le pvr hiérarchique est exercé directement par le supérieur sur les actes de son subordonner et comprend 3
pouvoirs :
- Pvr d’instruction qui s’exerce notamment par le biais de circulaire
- Pvr d’annulation qui a un effet rétroactif
- Pvr de modification, ayant des effets que pr l’avenir

Le supérieur hiérarchique peut exercer son pvr soit de sa propre initiative soit …., on parle de recours
hiérarchique = qql qui dmd , lorsque qu’un administré est mécontent d’un acte administration , il peut introduire
un recours administratif d’abord gracieux (= dmd à l’administration de reconsidérer sa situation) soit
l’administration accepte ou soit elle refuse soit elle ne répond pas (en général pndt 2 mois on imagine que cela
équivaut à un refus ou à l’acceptation).

Face à un refus à la suite d’un recours administratif gracieux on dmd un recours administratif hiérarchique = cad
l’administré va s’adresser au sup h en espérant qu’il prenne une décision différente de son subordonne, celui-ci

L’exercice d’un recours administratif (gracieux ou hiérarchique) interrompt le délai de recours contentieux jusqu’à
la décision de l’administration.

15/02/23

Ce contrôle hiérarchique est tjrs très important mais il connait adjh des limites, le prince = le subordonné doit en
principe obéissance à son supérieur donc en principe cherche à obtenir l’accord de ce supérieur avant même d’agir.
Ce qui n’est pas très efficace.
A l’inverse les supérieurs hiérarchiques qui sont responsable de l’’ensemble de leurs services peut être amener a
réviser les textes préparer par leurs subordonner et/ou à en surveiller l’exécution. Dans ces conditions, les actes du
subordonné ont largement tendance à exprimer la volonté du supérieur et donc le contrôle qu’il va faire va donc
s’avérer très insuffisant et que si jms on fait un recours hiérarchique contre cet acte cela a peu de chance de marcher
puisque en réalité c’était son idée.

ð Ccl : Opportunité + légalité

B- Le contrôle de tutelle

Si le contrôle hiérarchique est exercé au sein d’une même personne morale de dr public au contraire lui le contrôle
de tutelle s’exerce d’une pers de dr moral de dr public sur une autre ou alors sur une pers de dr pv charger d’un
service public

Un principe essentiel qui guide ce devoir de tutelle est que ce pvr de tutelle ne peut pas exister sans texte et ne peut
pas existence au-delà des textes. Dans le cadre de la tutelle, les pvrs conférer par l’institution administrative
s’exerce non pas sous l’autorité mais sous la surveillance de l’autorité supérieur arrêt Commun de Nénies-les-
bains 18 avril 1902 (pas à retenir !) concrètement cela signifie que l’autorité de tutelle ne peut pas vérifier ou
sanctionner l’opportunité des décisions prises par les personnes soumises à sa tutelle, elle doit se contenter de
vérifier la légalité des actes prises par les pers sous sa tutelle.

ð Ccl : juste la légalité

De manière générale le contrôle des tutelles est plus strict à l’égard des pes pv et des établissements publics qu’à
l’égard des collectivités territoriales notamment dans la mesure où les autorités de tutelle détiennent le plus souvent
un pvr d’approbation

A l’égard des collectivités territoriales le contrôle de tutelle passe d’abord par ce contrôle de légalité des actes par
les collectivités territoriales et ce contrôle est confié à la J° administrative sur saisine du préfet. Le préfet, dans
quelques cas dispose d’un pvr de substitution exemple : en cas de pb et dans le cas d’inaction du maire le préfet
peut se substituer à lui et agit à sa place
Le contrôle de tutelle prend également un contrôle de nature financière exercer par les chambres régionales des
comptes sur saisine sur préfet.

C- Les corps d’inspections

Autre aspect du contrôle de l’administration par elle-même = l’existante au sein même de l’administration des
organes spécialement consacrer au corps, ce sont les corps d’inspection, ce sont des organes administratifs existant
dabs la plupart des ministres relèvent du ministre et qui sont chargés du contrôle interne des services

Leurs fonctions traditionnelles : ils réalisent des contrôles sur pièce et sur place sur l’un service qui relève des
ministres et le but de ces vérifications est d’informer sur la gestion du service contrôler.
Exemple : les inspecteurs qui venaient voir les professeurs
ð Contrôle préventif : contrôle traditionnel

Mais à ce contrôle classique ce sont ajoutés et préventif se sont ajouter des contrôles réactifs, qui faisait suite a des
incidents, on parlera alors d’enquête administrative, il s’agit d’un contrôle en réaction et le but est donc de constater
et d’éviter que ça se reproduise
ð Contrôle réactif

Les membres de ces corps d’inspections ne peuvent aps participer à l’administration active car doivent fournir
constat objectif ex : inspecteurs n’était pas des enseignant actif au moment du contrôle

Certains organes sont tres spécialisé, par exemple c’est le cas au siens du ministère de la défense, de l’inspections
générale de l’armée de terre et d’autre plus générale par exemple au sein du ministères des finances on a
l’inspection général de finance et on a aussi des organes communs à plusieurs ministères, ex : l’inspection générale
des affaires sociales et a contrario il a aussi certains ministères qui ont plusieurs inspections générale c’ets le cas
de au sein du ministère de la défense.

S’agissant du personnel exerçant au sien de ces corps d’inspections : la diversité est la règle, dans certains cas les
fonctionnaires entrent en début de carrière dans ces corps d’inspection par ex : souvent le cas à l’inspection
générale des finances. Dans d’autre cas les membres de ces inspections peuvent être des hauts fonctionnaires en
fin de carrière mais cela peut poser des problèmes car c’ets agents ont appartenues pndt des décennies au milieu
qu’ils doivent inspecter et puisqu’ils en connaissent les personnes, les structures ont pourrait craindre que le
contrôle soient moins rigoureux ou plus rigoureux selon les personnes.

Derniers problèmes : les inspections général joue de + e + un rôle de conseil auprès de l’administration active mais
dans de tel condition le contrôle apostériori d’une situation que le corps d’inspection aurait contribuer ne pas être
créer le contrôle risque de perdre en objectivité

II- Le contrôle par des juridictions

A- Le contrôle de d’administration par les juridictions administrative

En France, il existe une dualité de J°, cad il existe une J° judicaire et une J° administrative.
Le juge administrative : avant il n’existait que le juge judiciaire et partir de la rév fr on a interdit au juge de se
mêler des affaires de administration pr ne pas qu’ils entrave son action
ð = le principe de séparation des autorités administrative et judiciaire et ce principe a été posé à partir de la
loi des 16 et 24 out 1790

Qui va donc le faire ?


Dans un premier temps pas encore le juge administrative, dq un 1er temps on s’est dit lad va se contrôler par elle-
même = le système de l’administrateur juge ou du ministre juge

Mais il a bien fallu à un moment créer des J° administrative notamment : le conseil d’État va être créer par la C°
du 22 frimaire an 8 = 1999, on créer des …

Mais le système est loin d’être parfait car les arrêts du conseil d’État devait être signé par le chef de l’État pr être
exécutoire
= le système de la justice retenu
Mais la loi 24 1972 permet au conseil d’État de statuer souverainement sur les litiges qui lui sont soumis
= l’avènement de la justice délégué

Et le conseil d‘État lui-même dans l’arrêt Cadot le 13 décembre 1889 : le conseil d’État va s’estimer compétent pr
connaitre de tt recours en annulation dirigé contre une décisions administrative sauf si un texte en dispose
autrement… => s’octroie la compétence …

Depuis on a donc

2 manières de saisir le juge administrative pr qu’il contrôle l’administration selon ce que l’on cherche à obtenir :
- L’annulation d’un acte administrative, il faut alors former un REP (recours pr excès de pvr) à l’encontre
de l’acte administratif contester dans les 2 mois qui suivent son entrée en vigueur, donc le REP. Il y a
donc ici deux possibilités : = > soit l’acte administratif est considérée comme illégale par le juge et sera
annulé ce qui signifie qui disparait rétroactivement
ð Soit l’acte est considérer comme légale et l’acte est maintenu et reste en vigueur

Qui peut faire ce recours ?


ð N’importe qu’elle justiciable peut le faire à condition de montrer un intérêt à agir
ð Le préfet a aussi la possibilité de saisir le juge administratif lorsqu’il estime qu’un acte administratif qui
a été adopter par une collectivité territoriale qu’il contrôle alors il pourrait saisir le juge administratif et
lui n’aura pas à démontrer un intérêt à agir

On peut vouloir …. = le recours de plein contentieux ou de plein J° pr engager la responsabité de l’administration

(il existe d’autre recours que celui de plein contentieux mais on ne les détaillera pas ici)

Il va falloir essayer de prouver que l’administration a fait qql chose et que cette chose nous à causé un préjudice

3 conditions :
- Un fait générateur
- Un préjudice
- Un lien de causalité entre les deux
Si le juge estime que les 3 éléments sont bien présents alors il condamnera l’administration

En dr administratif en grandes majorité la réparation est pécuniaire, doit payer dommages et intérêts.

Il existe aussi la réparation en nature mais elle ets trees rare en dr administratif et est bien plus fréquente ne dr civil
B- Le contrôle de d’administration par les juridictions financières

La plus importante de ces J° financières c’est la cour des comptes uqi est elle aussi le fruit du’ne grande histoire,
puisqu’elle remonte à 1308 (pas sur ) créer par Philippe le bel

Sa fonction général ets consacrer àl’art 47-2 de la C° « La cour des comptes assiste le parlement et le gouv dans
le contrôle de l’exécution des lois de finances et de l’application des lois de financement de la sécurité sociale ainsi
que dans l’évaluation des politique publiques (…) par ses rapports publics elle contribue à l’information des
citoyens »

L’organisation et le fonctionnement de cette cours des gcm régional des comptes ainsi son …lui sont déterminé
par le code des J° financières avec… revoir phrase

La cour des comptes est une J° composé de magistrats es à la tête d’une semble juridictionnelle important et sa
mission est de des comptables publics

Sa compétence est donc très vaste aussi bien pr la qualité que pr la nature des contrôles qu’elle exerce.

Ses compétences :
- Elle assiste le parlement et le gouv dans l’exécution des lois de finances
- Elle contrôle l’ensemble des comptes des administration publics sous réserve d’une attribution en premier
e ressort au cb régional des comptes
- Entre aussi dans la vérification des comptes et de la gestion des entreprises publics
- Le contrôle des institutions de sécurité sociale des organismes bénéficiant d’un concours financier de
l’État ; les organismes soumis à son contrôle ou à celui de l’UE et contrôle aussi les organismes fessant
appelle à la générosité publics (don)

Depuis les lois de décentralisation le contrôle des comptes des collectivités territoriales e…

La Cour des comptes a deux types d’attributions :


- Une attribution strictement juridictionnelle, celle-ci consiste à juger des compets, des comptables
publiques selon une procédure écrite inquisitoriale et contradictoire. Ce contrôle de la c des c débouche
sur un arrêt qui peut faire un recours de la Cour de cass devant le Conseil d’État. Ces procédures ont été
réformer en 2008 pr les rendre plus efficace et augmenter les prérogatives des juges financiers

- Des attributions administratives qui n’aboutissent normalement pas à une décision juridictionnelle : il
s’agit d’une part du control de gestion qui consiste à s’assurer du bon emploi des crédits, des fonds et des
valeurs gérer par les services de l’État ou les autres personnes morales de droit publics. Ce contrôle de
gestion peut entrainer selon l’importante des irrégularités : => des observations de la Cour des comptes
=> le constat de gestion de fait ou alors la saisine de la cour de discipline budgétaire et financière. D’autres
part, de l’assistance au pvr public pr le contrôle de l’exécution de lois de finances (correspond au fameux
rapport annuel de la cour des comptes qui est présente au président, transmis au parlement et publié au
journal officiel. Ce rapport annule fournit rapport important sur disfonctionnement de l’État et de son
administration.

La cour des comptes est épaulée dans son travail de contrôle par des institutions qui sont né avec la
décentralisation : ce sont les chambres régionales des comptes qui ont compétence pr statuer dans leur ressort, sur
l’ensemble des comptes des comptables publics et de leurs établissements publics en premier ressort en ensuite on
ira dans la cour des comptes. Elles ont aussi cette double fonction juridictionnelle et administrative

9min retard

Section 3 : les institutions administratives de conseil

Paragraphe 1 : l’importance croissance de l’administration consultative

La mise en place d’organisme chargé de surveiller l’administrat° centrale répond a plusieurs objectifs.

Sur un plan politique général : on peut évoquer 2 objectifs

1° Il existe une nécessité de représenter les intérêts sociaux professionnelles face aux administrations, cette
nécessité s’est imposer à partir u oment ou l’État décide d’intervenir activement dans le domaine économique

2° les exigences de la démocratie implique que les citoyens soient associés à ce pvr ou au moins soit capable de
contrôler ce pvr ; art 15 de la DDHC

Sur le plan administratif, il y a aussi 2 objectifs :

1° Améliorer l’information des services de l’État dans le but d’éviter les erreurs d’appréciation de sa part et si
possible améliorer la qualité des décisions publiques

2° il s’agit d’améliorer la concertation entre les services administratif afin de tenter d’harmoniser la concertation

Les organes chargées de l’administration consultatives sont d’une grande diversité. Le seul pt commun = qu’ils
comprennent des fonctionnaires auxquelles, on associe des élus, des représentant sociaux-professionnel, des
représentant d’association, etc ainsi que tous un tas de personnel qui peuvent être utile.

Les attributions des institutions administratives consultatives sont généralement variables :


Certes, par définition tous ces organismes délivrent des avis mais là encore plusieurs sortes :
- Ces avis peuvent être solliciter par l’administration
- Soit au contraire délivrer par l’organisme de manière spontanée
Et la portée de ces avis varie aussi :
- Les avis conforme = que l’on doit obligatoirement de suivre
- Les avis simple = avis que l’on doit prendre en compte mais que l’on n’est pas obliger de suivre
(administration peut suivre comme elle le veut)

Ces dernières années, on remarque une augmentation des organes consultatifs, notamment dans le domaine de la
sécurité sanitaire depuis l’affaire du sang contaminé

Paragraphe 2 : le rôle consultatif du Conseil d’État

Possède consultatif très important, il est souvent appelé à donner son avis sur un texte été cette consultation peut
être obligatoires dans certains cas et parfois facultatif.

La consultation obligatoire est d’abord prévue par plusieurs textes :


- Art 39 de la C° « Tout les projets de lois sont délibérés aux conseils des ministres après avis du conseil
d’État » (cad les propositions de lois y échappent)
- Art 38 de la C° exige également la consultation du conseil d’État pr les projets d’ordonnances
- Art 37 alinéa 2 de la C° permet au gouv de modifier par décret, après avis du CE, des textes de forces
législatives intervenus avant la C° de 58 alors même qu’adjh ils relèveraient du domaine réglementaire
- Ordonnance du 31 juillet 1945 relative au conseil d’État a fait obligation au CE de donner son avis sur
les projets de décret et pr tte les qst pr lesquelles ont interventions est prévu par des dispositions
législatives ou réglementaire
- Le législateur a exigé que certaines décisions doivent survenir qu’après avoir eu l’avis du CE exemple :
les déclarations d’utilité public du type construire une autoroute

A cote de ça, la consultation peut également être facultative. C’est à dire que le gouv peut dmd l’avis du Conseil
d’État alors même qu’aucun texte ne l’impose. 3 possibilités vont rentrer dans cette consultation facultative :
- Soit prc le gouv souhaite être éclairer sur la régularité juridique du texte en cause
Précision ici : si ce texte est un décret, parlera de « décret pris après avis du conseil d ‘État)
Lorsque le conseil d ‘état est saisit d’une dmd d’avis sur un texte, la procédure est tjrs ka même : si le texte en qst
est une loi c’est le secrétariat général du gouv qui va saisir le CE et si le texte est un règlement ce sont les ministres
qui saisissent.
Le projet est alors attribué à l’une des sections administratives du CE puis il est confié à un rapporteur ensuite il y
a discussion sur la légalité du projet mais pas sur son opportunité, la section de rejeter ou pas le texte. Si jms la
section décide de rejeter l’ensemble du texte, le rapport doit rédiger une note pr en expliquer les raisons aux gouv.

- Il ce peut aussi être consulter par le 1er ministres et ministres non pas sur des textes mais sur des difficultés
administratives qu’ils rencontrent exemple
- Possibilité introduite par la révision constitution de la révision de 2008 : nvelle alinéa ajouté à l’art 39 de
la C° qui dispose quand « dans les conditions prévues par la loi, le président d’une assemblée (AN ou
Sénat), peut soumettre pour avis au Conseil d’État, avant son examen en commission, une proposition de
loi déposé par l’un des membres de cette assemblée sauf si ce dernier (la pers qui a déposé la proposition
de loi) s’y oppose

Il faut également ajt a cette consultation que la section du rapport et des études duc conseil d’État rédige tte les ans
un rapport et c’est l’occasion pr le CE d’attirer l’attention du président de la Rép et du gouv et de suggère des
améliorations administratives sur des qst importantes ex : la QPC est passée par là

Quelles sont les conséquences de ces vais du conseil d’État ?


En réalité en découle deux questions
ð quid de l’absence de saisine ?
En outre, si le gouv omet de saisir le CE pr un texte réglementaire nrmlm obligatoire par l’art 39, ce texte sera
annulé pr incompétence et si jms un projet de loi est déposé sur le bureau de l’un des assembles sans consultation
du conseil d’état alors, le risque est que le conseil constitutionnel abroge la loi

ð quid de la
En pratique le sérieux de la qualité du CE a pr conséquence que ces avis sont trrès largement suivi et au-delà de
ça, si on ne suis pas il y a un gros risque que le txte soit annulé par le juge administratif
Les avis du CE qui étaient traditionnellement secret sont désormais public depuis janvier 2015

Paragraphe 3 : Le rôle original du Conseil économique social et environnementale

Le CESE est une assemblée représentative des intérêts sociaux éco qui est chargée de donner au gouvernement
des avis relatif à la politique économique et aux politiques publics dans le domaine social.

Ce conseil a été créé en 1925 et à été reconnu par la C° en 1946 et à été inscrit dans un titre spécifique de la C° de
58, le titre 11. Cette institution joue donc un rôle original mais mal connu par l’opinion public.

La révision constitutionnelle du 23 juin 2008 à introduit d’importante nouveauté à son sujet :


• Il a changé de nom (on a ajouté « et environnementale »)
• Ilpeut désormais être saisit par voie de pétition, il examinera la pétition et fera savoir au gouv au parlement
les suites qu’ils proposent de donner

Qu’en est-il de sa composition ?

Il représente les intérêts socio-économique du pays car il comprend des représentant salariés qui sont issus des
syndicats représentatifs, il comprend aussi des représentant des entreprises mais aussi des représentants des
professions libérales, des représentant des associations et des personnes qualifiées dans domaine sociale

Les membres de ces CESE dot être âgé d’au moins 25 ans, ils sont nommés pr un mandat de 5 ans, ils perçoivent
une rémunération. Le CSESE comprend actuelle 223 membres et 193 d’entre eux sont désigné par les catégories
sociaux professionnels et le reste est nommé par le gouvernent.

Les membres du CESE sont répartis de la manière suivante, 140 sièges au titre la vie économique et du dialogue
sociale, 60 au titre de la cohésion sociale et territoriale et les 43 membres restant siège au titre de la protection de
l’environnement (mais ce dernier grv = nv).

Son originalité : le CESE, c’est le seul lieu où siège ensemble ttes les grandes organisations représentatives de la
société civile

Comment est-il saisi ?

Par le gouv et afin de donner un avis sur les projets de loi, d’ordonnances et de décrets mais aussi sur les
propositions de lois. Sa consultation obligatoire est obligatoire pr les projets de lois à caractère économique (sauf
loi de finance), sociale et environnementale.

Par ailleurs, il peut être consulter par le gouvernement et le parlement, sur problèmes à caractères économique,
social ou environnementale.
Leçon n°3 : les institutions administratives déconcentrées

…. Elle a besoin de moyen complémentaire pr permettre

La déconcentration ... au nom et pour le contre de l’État et non doté delà personnalité morale

Section 1 : L’administration de l’État dans le département

Les circonscriptions administratives déconcentrer (=département) sont dirigées par des autorités administratives
déconcentrer. La plupart d’entre elle sont à leurs têtes des préfets qui sont des hauts fonctionnaires de l’État mais
en dehors …

Paragraphe 1 : Le préfet

A- Le statut du préfet

La création de la corp préfectorale remonte à la loi du 28 pluviôse an 8 soit 11 février 1800. On est donc sous
Napoléon 1er et cette loi est relative à l’organisation administrative de la FR.

Cette décide de la création d’un préfet par département, préfet qui se voit confier seul la … de ce département.
ð Le préfet c’est donc l’incarnation (surtout à cette époque) de la continuité du pvr de l’état au-delà … il
symbolise et concrétise l’État puissance publique l’État puissance public et l’État providence.

Cours du 08/03/22

ð Art 11 alinéa 3

Haut fonctionnaire de l’état, nommé par décret du président de la Rép pris en conseil des ministres

Le recrutement des préfets s’effectue parmi le sous-préfet et les administrateurs civil qui appartiennent à des corps
recruter de l’ENA (avant désormais EMSP). Ce sont en pratiques des fonctionnaires d’expérience ils peuvent aussi
être recruter par des tours extérieures.
Dans tous les cas, le Président et le gouv dispose d’un totale liberté de recrutement.

De manière parallèlement, la nomination, les préfets peuvent être révoqué à tt moment. Les préfets sont soumis à
de nombreuses contraintes notamment une contrainte de loyalisme politique vis-à-vis du Président et du gouv. Il
ne dispose pas du droit de grève et ne dispose pas non plus du droit d’adhérer à un syndicat.

B- Les attributions du préfet

Le préfet est le représentant de l’État dans les départements et dans les régions

ð Art 72 alinéa 6 précise ses missions

De manière général, il a la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif, du respect des lois. Il représente
chacun des membres du gouv dans le territoire.

Il est dépositaire de l’autorité de l’État et, à ce titre, il est chargé de veiller à l’exécution des lois et à des règlements
ainsi qu’à l’application des décisions du gouv dans le territoire qui lui est confié donc au niveau local.

Il est délégué du gouv et, à ce titre, il est le représentant direct du 1er ministre, de chacun des ministres, et du
secrétaire d’État. Ces personnes lui adressent leurs instructions, leurs circulaires et il est le seul à correspondre
directement et quotidien avec ces personne-là.

Il est chargé de veiller à la permanence de l’État et à la continuité des services publics, ce qui nécessite de sa part
une capacité de réaction, d’action et d’adaptation sans intermittence. Il joue un rôle essentiel dans la régulation et
la répulsion des conflits ainsi que dans la gestion des crises.

Il a pr objectif de veiller au maintien de l’ordre ainsi qu’à la protection des personnes et des biens. Il a pr mission
de prévenir et d’éventuellement traité les risques de troubles à l’ordre public : naturel ou humain.

C’est aussi le préfet qui représente l’État devant les tribunaux sur les territoires dont il à la responsabilité. Les
préfets sont chargés, dans leurs circonscriptions de la mise en œuvre, de l’alinéation ou de la coordination de la
politique gouvernementale cad doivent procéder à ttes les mutualisations nécessaires afin de parvenir sur le terrain
à un mllr fonctionnement des services déconcentrer.

Il exerce également un contrôle de légalité sur les actes administrative des collectivités territoriales. Ce contrôle
administratif effectuer par le préfet c’est le déféré préfectoral et il consiste pr le préfet à vérifier que les actes qui
émane des collectivités territoriales sont bien conforme au règle de … Exerce donc contrôle de conformité a
posteriori, si il se rend compte d’un problème de légalité il défère l’acte devant le juge administratif. En pratique
il a peu de déféré préfectorale car ils préfèrent régler ça en interne.

Le préfet est également chargé du contrôle des actes budgétaire des collectivités territoriales en liaison avec la
chambre régionale des comptes.

Paragraphe 2 : les autres services départementaux de l’état

A- La préfecture
C’est l’administration généraliste qui assite le préfet dans ses attributions. D’abord, le préfet dispose d’abord de
collaborateur immédiat avec un directeur de cabinet, éventuellement un ou plusieurs chargés de mission et un
secrétaire général de la préfecture qui veille à la bonne administration de la préfecture et souvent à la bonne
administration de l’arrondissement. Ces deux responsables font parties de ce corps électorales et ont le grade de
sous-préfet.

La préfecture est divisée en plusieurs directions, elles ne sont pas plus forcément nommé de la même faon dans tt
els départmeents.de manière général on retrouver à peu près 3 à 4 direction dans chaque préfecture. Celle qu’on
retrouve le plus (il y en a 4) : c’est direction de l’administration général, la direction des ressources humaines, la
direction de la règlementation et de la liberté public ou encore la direction de la citoyenneté et de l’immigration.
Ces directions sont-elles-mêmes divisées.

A côté du corps préfectoral, les personnels des préfectures appartiennent à des corps ordinaires de fonctionnaires
qui bénéficient des mêmes règes statuaires que tt les autres fonctionnaires et sont soumis au ministère de l’intérieur.

B- Le sous-préfet

L’histoire des sous-préfets se confond avec l’histoire des préfets.

La loi du 28 pluvieuse an 8 avait créer le préfet, seul chargé de l’adv dans le département. Toutefois, la
circonscription départementale est vaste et il ait apparu de leurs joindre des sous-préfets qui sont eux des
représentant de l’État dans chaque arrondissement. Le sous-préfet a donc la charge de l’administration de
l’arrondissement.

Chaque département est divisé en arrondissement, e général 3 ou 4 arrondissements par département.

Par exemple : l’Indre et Loire décomposé en 3 arrondissements : chinon, loche, tours. Une centaine de commune
pr les deux premières et une 50taines pr Tours.

Il a un statut très proche de celui du préfet avec els même obligations te les mêmes contraintes, sont recrutement
s’opère aussi parmi les anciens élevés de l’ENA (actuelle EMSP).

Ils peuvent occuper deux types de postes :


- Emploi de sous-préfet territoriaux, à la tête d’une sous-préfecture donc d’un arrondissement (classique)
- Peuvent aussi assumer les fonctions de collaborateurs d’un préfet de département ou de région ex :
directeur de cabinet d’un préfet, secrétaire général d’une préfecture.

Leurs attributions ont été redéfinit par décret du 27 avril 1995 pr tirer les conséquences de la relance de la
déconcentration en 1992. De manière général, … donc sous l’autorité du préfet il doit, concourir au maintien de
l’ordre public, veiller au respect des lois et des régalements pris au niveau central et doit participer au contrôle
administratif des actes des collectivités territoriales. A côté de ça, il aussi un rôle traditionnel de conseil des
communes notamment pr les petites communes rurales. De plus, des missions particulières peuvent lui être confié
par le préfet y compris en dehors des limites de son arrondissement.

Les services du sous-préfet sont de taille très variable selon les arrondissements et il est très fréquent que le manque
de moyen (matériel, humain, financier, etc) des préfectures soit critiquer

C- Les services départementaux de l’état

Il s’agit ici, des services déconcentrer au niveau de chaque département. Dès le 19ème siècle, le pvr central
s’est trouvé face à la nécessité d’organiser un maillage administratif relativement dense qui permettent l’efficacité
de l’action localisé de l’État sans remettre toutefois en cause l’État central.

Sauf disposition express contraire, les services déconcentrés sont organisés dans le cadre des circonscriptions de
dr commun (région, département, arrondissement).
Le département est un échelon essentiel avec le nombre le plus élevé d’agent mais c’est la région qui est la
circonscription de dr commun de l’action déconcentrer de l’État.
Traditionnellement, il existe de très nombreux services déconcentrer qu’on appelle des directions
départementales de ***. Exemple : la direction départementale de l’équipement (la DEE) la direction
départementale des affaires sanitaires et sociales (la DASS).

Depuis quelques années, pr renforcer le caractère interministériel de l’action déconcentrer de l’état il à été
décidé de réduire drastiquement le nombre de direction. Au niveau départemental on en dénombrait à peu près une
vingtaine, depuis un décret du 3 décembre 2009 on en a plus que 3.

Ici, il faut distinguer deux types de départements :

1° les départements de + de 400 000 habitants, les services sont rassemblés en trois directions départementales :
- La DDT direction départementale du territoire
- La DDCS : direction départementale de la cohésion sociale
- La DDSP direction départementale de la sécurité publique
Cf Indre et Loire : plus de 600 000 habitants

2° Dans les départements de – de 400 000 habitants, il n’y a qu’une seule direction départementale
- La DDPCS direction départementale de la population et de la cohésion sociale

Les bénéfices de cette réforme sont importants :


- Simplification pr les usagers
- Économie de moyen pr l’état
- Facilitation de l’exercice de l’autorité par le préfet

Ajoutons que certains services déconcentrer sont pas placé sous l’autorité du préfet, en effet le préfet est dépositaire
sur la majorité des services déconcentrer.

Toutefois cette autorité ne s’étend pas sur la majorité au niveau local, certains services déconcentrer ne sont pas
rattacher.

Certains services déconcentrer ne sont pas rattacher au préfet en raison des particularités de l’organisation
institutionnelles française (car elle est indépendante) par exemple : les organes à caractère juridictionnel,
l’administration de la défense nationale à cause de la séparation traditionnelle en fr entre administration civil et
administration militaire.

Or d’autres le non-rattachement au préfet s’explique par des raisons plus spécifiques


par exemple :
- Les services de l’inspection du travailles ne sont pas rattacher au préfet parce que la fr a signé un traité
international qui exige une autonomie
- Les services déconcentrer de l’éducation national qui sont placé sous la responsabilité des recteurs et des
inspecteurs d’académie

Section 2 : l’administration de l’État dans la région

Paragraphe 1 : le préfet de région

Les préfets de région et de départementaux appartient tous aux corps préfectorales. Toutefois, il importe de
distinguer les fonctions qui sont exercer par les préfets de région à celle qui sont confié aux préfets de département

Les fonctions exercées par les préfets de région sont relativement importantes.

Depuis un décret du 29 avril 2004, le préfet de région s’est vu conférer un pvr général de coordination des services
de l’État. Depuis cette date, son rôle de coordination est régulièrement renforcé, on peut notamment cité le décret
du 7 mai 2015 portant charte de la déconcentration selon lequel le préfet de région anime et coordonne les politique
d l’État et de l’UE.

Ce pvr s’exerce sur l’ensemble des services déconcentrer sauf exception ainsi que ce sur les politiques conduites
par les prefts de départements das la région. Depuis un décret du 16 février 2010, il est clairement affirmé que le
préfet de région a autorité sur les préfets de départements, donc ces derniers prennent leurs décisions conformément
aux insctructions que leurs adresse le préfet de région.
Les préfets de région disposent d’un pvr d’évocation cad qu’il peuvent prendre des décisiosn en lieux et places des
préfets de départements (= agir à leur place). Le préfet de région est également responsable de l’organisation des
politiques de l’état dans la région notamment, en ce sens un décret du 8 avril 2020 permet à certains préfets de
région et de départements de déroger à la réglementation administrative en édictant des actes administratifs
individuelles (AAI).

Cette faculté offerte aux représentant de l’État est soumise à certaines conditions et elles ne peuvent être mises en
œuvre que dans certains domaines

Paragraphe 2 : Les autres services régionaux de l’État

Il s’agit ici, des services déconcentrer au niveau de chaque département. Dès le 19ème siècle, le pvr central
s’est trouvé face à la nécessité d’organiser un maillage administratif relativement dense qui permettent l’efficacité
de l’action localisé de l’État sans remettre toutefois en cause l’État central.

Sauf disposition express contraire, les services déconcentrés sont organisés dans le cadre des circonscriptions de
dr commun (région, département, arrondissement).
Le département est un échelon essentiel avec le nombre le plus élevé d’agent mais c’est la région qui est la
circonscription de dr commun de l’action déconcentrer de l’État.

= pareil que dans section 1

Au niveau régional, il faut d’abord préciser que les circonscriptions régionales de l’État épousent désormais les
contours des 13 nouvelles régions crées par une loi du 16 janvier 2015.

Les directions sont au nb d’une vingtaine et leurs nb a été réduit à 8 par le décret du 16 février 2020.

Par exemple : la direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de


l’emploi, de l’environnement

Leçon n°4 : Les institutions administratives décentraliser

Section 1 :

L’administration centrale ne peut pas, même en étant efficace, suffir à administrer un pays comme la France. Elle
a besoin de moyen complémentaire pr permettre l’exécution des directives publics et de ….
ð C’est la raison pr laquelle, on a une administrative déconcentrer qui vient compléter l’administration
centrale, c’est tjrs l’administration de l’État mais cette fois elle est locale.

La déconcentration c’est un mode d’organisation d’un État unitaire par lequel l’État va transférer des compétences
à des institutions administratives qui prennent des décision dans un périmètre territorial bien définit
Différence très importante : au nom et pr le compte de cette institutions administratives et cette institutions
administratives à une personnalité morale distinct de celle de l’État

Paragraphe n°1 : le processus de décentralision

Qd on choisit de décentraliser, l’État n’est plus le seul la seule source du pouvoir, il partage ce pvr avec d’autres
personnes morales de dr public. Ces personnes morales de droits publics sont :
- Les collectivités territoriales
- Les établissements publics
- Les ZAI
- Les groupements d’intérêt public
Depuis la révision constitutionnelle de 2003, la décentralisation c’est le mode de principe

Cmt cette décentralisation a été mise en œuvre ?


- L’acte 1 : loi du 2 mars 1982 : naissance de la décentralisation
Plusieurs choses sont mis en place, la région est un instaurer comme une catégorie de collectivités, Le préfet est
remplacer dans le département par le président du conseil départementale pr assurer les fonctions d’exécutif, un
contrôle a posteriori des actes des collectivités territoriales par le …..

- L’acte 2 : loi constitutionnelle du 28 mars 2003


Cette loi reconnait l’organisation des principes de la Rép comme décentraliser
La valeur de la région en qualité de collectivités territoriales est reconnue
loi du 13 août 2004
Organise nv transfert de l’État vers collectivités territoriales

- L’acte 3 : plusieurs lois de 2014 et 2017


Réduit le nb de région à 13, facilité la fusion de commune, etc (déjà)

Paragraphe n°2 : le principe de libre administration des collectivités territoriales

Ce principe figure dans notre C°, il est mentionné à deux endroits : art 34 et art 72 alinéa 3.
ð Art 34 dispose que le législateur est compétent pr déterminer les principes fondamentaux de la libre
administration des collectivités territoriales
Conséquences :
- A contrario la libre administration des collectivités territoriales ne relève donc pas de la compétente de la
compétence réglementaire.
- A Fortiori, le législateur pourrait être sanctionné par le CC pr « incompétence négative » s’il n’exerce
pas sa compétence. (Rester en dessous de sa compétence)

ð Art 72 alinéa 3 dispose que « dans les conditions prévues par la loi ces collectivités s’administrent
librement par des conseils élus et dispose d’un pvr réglementaire pr l’exercice de leurs compétences.
Le CC à reconnu cette valeur constitutionnelle de ce principe dans une décision du 23 mai 1979 « loi modifiant
les modes d’élection de l’assemblée territoriales et des conseil de gouvernement du territoire de la Nouvelle
Calédonie ».
De plus, en 2013 on a reconnu une limite à ce principe.

Qu’est-ce que signifie libre administration des collectivités territoriales ?


On a une assemblée élu, qui règle …..
Les collectivités interviennent dans un domaine de compétence transférer par l’État et définit par le législateur

ð Cette liberté que les collectivités territoriales ont ici, à une contrepartie et celle-ci c’est la présence de
l’État dans la collectivité et en plus, l’État conserve des missions en propre cad qu’il ne transfère pas)
dans chaque collectivité.

Section 2 : Les institutions administratives décentralisées - présentation-

I- La commune

A. Les institutions communales

1. Le conseil municipal

=> Les conseillers municipaux sont élus pr 6 ans au SU directe.

Pr le mode de scrutin, il faut distinguer deux types de communes :


- Pr les communes de – 1000 habitants c’est un scrutin majorité plurinominal à deux tours
- Pr les communes de + de 1000 habitants c’est un scrutin majoritaire de liste mais qui comprend des
éléments de proportionnalité = un scrutin mixte. L’idée est de bénéficier des avantages de ux deux :
dégager une majorité de gestion (majoritaire) tt en permettant la représentation d’une minorité susceptible
d’enrichir le débat.
La liste qui obtient la majorité des suffrages exprimés va emporter au minium la moitié des sièges à pourvoir.
ð Et le 2nd tour est réservé aux listes qui ont obtenu au moins 10% du total des suffrages exprimé. Deux
petites listes peuvent se fusionner si elles ont eu 5% chacune.
ð Le reste des sièges ets à ce moment-là, répartit à la représentation proportionnelle.

ð Ccl : on a une majorité assez pr une liste (moitié siège) et le reste des sièges est répartit la représentation
proportionnelle on a l’assurance, dans les grandes communes que l’opposition est représentée

Quant au nombre de conseillers municipaux : il varie selon la taille de la commune


- De 9 conseillers pr les communes de -100 habitants à 69 conseillers pr les communes de plus de 300 000
habitants, prévu par l’art L.2121 du CJCT
- A part les villes de : Paris (163) , Lyon (71) et Marseille (101) : découpage fait par arrondissement

Le statut de ces conseillers municipaux : pndt lgtps était éparpillé dans plein de texte, jusqu’à une loi du 3février
1992 et une du 3 avril 2000 qui vont lui donner + d’ampleur.
+> le statut d’une personne renvoie à des éléments comme les garanties (protégé par l’exercice de sa fonction,
indemnité, mandat, etc)

Adjh, on peut dire que les élus locaux se voient octroyer des garantis pr pouvoir simultanément exercer leurs
mandats d’élus et leurs activité professionnelle, l’exercice des mandats locaux (conseillers municipaux) demeures
non rémunérer mais les élus bénéficient qd même d’un régime d’indemnité par exemple ; pour les déplacements.

ð Les élus locaux doivent pouvoirs bénéficier d’une formation permanente adapté car n’importe qui peut
être élus local.

Les modalités de ces conseils : le conseil municipal se réunit sous la présidence du maire au moins une fois par
trimestre et a chaque fois le maire va le juger utile art ; L 2121-7 du CJCT.
ð Les séances sont normalement publiques sauf si le maire ou au moins 3 conseillers dmd la réunis en
comités secret.
Les réunions du conseil m. se font en assemblée pléniaire mais il peut y avoir réunions de commission pour
préparer … ex : l’école et après diront aux autres

Les délibérations du Conseil municipal sont exécutoires de pleins droit à l’issus de leurs publications et de leurs
transmissions aux représentants de l’État dans le département.

Que se passe-t-il en cas de descension très grave entrainant mauvais fonctionnement de ce conseil
ð La dissolution peut être prononcé par décret motiver publier en conseil des ministres et cette dissolution
est le tout dernier recours pr ramener u fonction normal au conseil municipale. Cette dissolution entrainer
la mise en place d’une délégation spéciale remplaçant temporairement le conseil municipal (fonction
d’intérim) et préparant les prochaines élections municipal.

2. Le maire et ses adjoints

Le maire est élu pour 6 ans, par le conseil municipal lors de la 1er séance qui suit les sections, il est élu parmi
les conseillers élus, il est élu à la majorité absolu au 2er tours et relatif pour le 3eme tour si nécessaire.

Les adjoints sont élus en même temps que le maire et c’est le conseil municipal qui en détermine le nombre
dans la limité de 30% de ses membres.

Le maire, c’est l’autorité centrale de la commune, il détient à ce titre de nb pouvoirs et il bénéficie d’un
dédoublement fonctionnel (= il est à la loi agent d’État et agent de la commune).

- 1er casquette : le maire est agent de l’État dans la commune.


La commune constitue également une circonscription administrative dans le cadre de déconcentration/

Quels sont ses pouvoirs ?


A ce titre, le maire est officier de police judicaire et officier d’État civil. Il exécute les lois et les règlements dans
la commune. Il collabore avec les services de l’État pour l’établissement des listes électorales et il est responsable
de l’état civil.
Pour l’ensemble de ses fonctions le maire agit ici sous l’autorité du représentant de l’État dans les départements,
dans ce cas-là il est soumis à un contrôle hiérarchique et pas seulement à un contrôle administratif

- 2e casquette : agent de la commune


Il est d’abord l’exécutif du conseil municipal. Sous le conseil municipal et sous le contrôle administratif du
représentant de l’état dans le département, le maire est chargé de d’exécuter les délibérations du conseil municipal.
Ainsi, juridiquement, il agit en fonction des orientations

Dans la pratique, il a tout de même une certaine latitude d’action dans la mesure où il prépare les délibérations
avant le conseil municipal et il va les défendre au moment de ce conseil. Il dispose d’une majorité politique de
soutien au sein du conseil.

Cette fonction d’exécutif de la commune se concrétise en matière budgétaire et financière : dans la gestion du
patrimoine communal. Cette fonction d’exécutif se concrétise notamment au plan juridique avec la conclusion de
marché, de contract au nom de la commune.

Le maire ets par ailleurs, délégataire du conseil municipal, dans ce cadre-là il peut être charger de toute une série
de fonction qui peuvent lui être délégué : exemple : fixation des tarifs et des voiries et de stationnement. La
détermination de l’affection de ces propriétés communales. La réalisation des emprunts

La délégation doit être express, et doit être donner au maire pr tte la durée de son mandat et en contrepartie la
mairie doit rendre compte régulièrement au conseil municipal de ce type d’acte.

ð Il dispose de pvr qui lui sont propre, il est le chef de l’administration communale.
1er pvr : à ce titre-là, il a des pvrs d’organisation et de gestion de son administration
2e pvr : Il est compétent, c’est lui qui a autorité pour les personnels communaux de la fonction publiques
territoriales. La maire concours, par son pvr de police à la prévention des troubles à l’ordre public

Que trouve-t-on dans l’ordre public ?


5 composantes : La sécurité publique, la salubrité publique, la tranquillité publique, la moralité publique (ex : ⚠
jp : sexchop en face d’une école), la dignité de la personne humaine (ex : l’histoire du nain).

ð Voilà tt les pvrs propres au maire

La maire, il est l’objet d’un contrôle hiérarchique sur les fonctions qu’il exerce en tant qu’agent de l’État (1er
casquette) mais il est aussi l’objet d’un contrôle sur sa personne.

En vertu de ce control-là, il peut être suspendu de ses fonctions par arrêté ministériel pour une durée d’un mois
après s’être expliqué sur les faits reproché. Si ça va plus loin, il peut aussi être révoqué par un décret en conseil
des ministres

B. Les compétences communales

1. Les compétences communales générales

Il existe pr les communes ce que l’on apl une « clause général de compétence » qui s’appuie sur la tradition, sur le
pragmatisme et sur la forte légitimité électorale de ce type de collectivité.

ð Cette compétence générale découle du principe constitutionnel de libre administration des collectivités
territoriales. Principe constitutionnel qui a été traduit par la loi pr les communes de la manière suivant.
« le conseil municipal règle par ses délibérations les affaires de la commune, il émet des vœux sur tous les
objets d’intérêt local » art L. 2121-29. Ce principe permet de protéger les communes contre tt les
empiètements éventuels de compétence de l’État ou des autres collectivités territoriales.

Ce principe donne au conseil la capacité de déterminer lui-même ce qui ressort ou pas de sa compétence en fonction
de ses souhaits et de ses orientations générales.

Rdg ADAMI
Autre changement : le renouvellement par moitié tt les 3 ans a été supprimer

Ces élections départementales été de moins en moins prisé par les électeurs surtout lls électeurs urbains, qui avait
du mal a concevoir le changement du département par rapports aux ruraux.

ð Ces nouvelles élections ont permis au conseiller départementaux de retrouver + de légitimité en raison
d’un redécoupage des cantons, redécoupage pr prendre en compte …

Les modalités du fonctionnement du conseil départementales :

Tapez une équation ici.Le Conseil départementale est réuni au moins une fois par trimestre à l’initiave de son
président sur un ordre du jour déterminé par celui-ci et le bureau de l’assemblée.

Les séances sont publiques sauf si la majorité absolue du conseil en décide autrement, ces séances sont susceptibles
d’être retransmise par des moyens de communication audiovisuel et l’assemblée du conseil départementale est
divisé en commission spécialisé ce sont ces commission qui prépare la délibération d l’assemblée pléniaire.

Précision : le préfet (autorité déconcentrer agent de l’État) peut être entendu sur tte qst par le conseil d. soit à la
dmd dudit conseil soit à la dmd du 1er ministre.

Cette audition du préfet est intéressante car c’est lui qui dirige les affaires de l’Érat dans le départementale. Les
délibération (acte voté dans ce conseil) sont exécutoire de plein droit, d’une part a partir de leurs publications dans
le recueil des actes du département et d’autre part après leurs transmissions aux représentant de l’État donc le
préfet.

Les mécanismes de contrôle de la légalité sont de même nature pr l’ensemble des collectivités territoriales.

Un consiel départementale qui refuse sans excuse valable, de remplir uen mission qui lui a été dévolu par la loi
peut être démi d’office par le tribunal administratif et a coté de ça, le Conseil départementale lui, peut être dissous
par décret en Conseil des minsitres lorsque le fonctionnement de l’assemblée se révèle impossible. Dans ce cas là,
le gouv doit informer le Parlement de sa décision et organiser denvelle élections.

2-

Le président du conseil est élu à la majorité absolue des membres du conseil dans les deux premiers tours et à la
majorité relative au 3ème tour, son mandat est de 6 ans.

En même temps il est procédé à l’élection des autres membres de la commission départementale qui est composé
du préisndetnt, de 4 à 10 vice-présidents et éventuellement d’un ou plusieurs autres membres.

Depuis la décentralisation en 1982, la fonction du président du conseil départementale a profondément changé en


garnde raison qu’à partir du moment où il y a eu décentralisation l’exécutif du départementale n’est plus le préfet
mais le président du conseil départemental.

A partir de de là, cette fonction de président du conseil d. est mtn très prisé politiquement à la fois comme un
moyen d’ancrage durable dans le territoire dans le territoire et aussi pr sa capacité d’influence importante sur le
devenir du départementale.

Les fonctions du Président du Conseil départementale sont double : celle d’un président de l’assemblée et d’un
exécutif départementale.

Comme président de l’assemblée départementale, il fixe l’ordre du jour avec la commission départementale, il en
assure le fonctionnement en faisait respecter son règlement intérieur, il en assure aussi la police si nécessaire et
préside les délibérations.

A cote de ça, en tant que exectif du département assume de nombreuses fonctions et il est assister dans ses focntions
par la comission départementales.

Ses fonctions ?
- D’abord il prépare et execute les délibérations du Conseil départemental, ce premier pvr est très important
car ça lui donne la capacité de conduire une véritable politique départementale dans la mesure où il a
l’initiative politique mais aussi prc il peut s’appuyer sur une majorité politique qui la amener au pvr.

- Il ets ausis le patron du département car prépare et exceture le budget, gère le domaine du département,
exerce les pouvoirs de police, négocie et signe les contracts et il est le cef hiérarchique des services
administratifs du département

Les services du départementaux se présente souvent sur le même modèles , on a deux choses :
- L’entorage du président du conseil départementale avec un cabinat qui est composé d’un directeur de
cabinet, de conseiller technique et de charég de mission
- Les service ssont ensuite organiser en direction qui sont placé sous la responsabilité d’un directeur général
de service sur le m^me modèle que elui étudier dans le cadre de la déconcentration.

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