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ET BUSINESS GAME
PROGRAMME DU SEMESTRE 1 :
Partie 1 : L'entreprise
chapitre 1 : L'entrepreneur
chapitre 2 : Classification
chapitre 3 : Structures
chapitre 4 : Courants théoriques
Partie 2 : Les marchés
chapitre 5 : Le marché
chapitre 6 : Les achats
chapitre 7 : Les produits
chapitre 8 : Le marketing
Partie 3 : La stratégie
chapitre 9 : Introduction à la stratégie
chapitre 10 : Méthodes et analyse de l'entreprise
chapitre 11 : Le management de l'entreprise
« Le succès n’est pas final, l’échec n’est pas fatal c’est le courage de continuer qui
compte. » Winston Churchill
« L’entrepreneur est cette personne qui saute d’une falaise, et qui construit un avion
au cours de sa chute. » Reid Hoffman
« Je suis convaincu que ce qui sépare les 50% d’entrepreneurs qui réussissent des
50% qui échouent, c’est la persévérance. » Steeve Jobs
- Le progrès
- La croissance
Conséquences
- Innovations de produits
- Innovations techniques
- Baisse des prix de vente
- Différenciation
=> capacité d’une personne à modifier les calculs économiques des agents.
AUTEURS THEORIE
Kizner Déséquilibre des prix
Dean et Meyer Existence d’inefficiences
organisationnelles
Holcombe et Lises Ajoutent le phénomène d’entrainement
Minniti Existence ou non d’externalités de
réseaux entrepreneuriaux facilitant
l’identification des opportunités
KIRZNER (1973-2005)
La théorie du déséquilibre des prix :
Les causes :
HOLCOMBE (1998)
Le nombre d’opportun s’explique par lui-même, parce que l’activité des entrepreneurs
provoque un phénomène d'entraînement
Conséquences pour Holcombe:
SCHUMPETER
Entrepreneur Producteur
Orientation opportuniste Analyse des couts
Degré d’engagement personnel Maximisation des profits
Engagement des ressources Comportement rationnel
Sens des responsabilités Utilisation d’outils (études de marchés
Confiance en soi Bien informé : marchés, consommateur
Peu d’aversion au risque Capacités de vigilance (planificateur)
Capacité de vigilance entrepreneuriale
La firme comme une entité́ complexe : son fonctionnement résultera non seulement
de la planification effectuée par le producteur, mais aussi des interactions entre
actionnaires, salaries et managers.
Kirzner abandonne alors le raisonnement en termes d’entrepreneur pur pour souligner que
la capacité entrepreneuriale peut être possédée à des degrés divers par chacun des
agents.
Il suffit donc d’introduire l’idée que ce processus existe : « Pour ceci, la reconnaissance de
l’élément entrepreneurial dans l’action individuelle est complètement adéquate. » [Kirzner,
1973, p. 72]
LA THÉORIE DU CAPITAL :
Selon lui, (théorie du capital) l’entreprise doit réinvestir sur son capital humain, capital
publique, capital physique et capital technologique => augmenter sa productivité
(notamment grâce au progrès technique) + génère des externalités positives (x=
opportunité pour les individus).
Pour permettre aux entreprises de réinvestir (= ses ventes-dépenses) on déduit de son
chiffre d'affaires une certaine somme lui permettant à approvisionner le renouvellement de
son capital.
Entrepreneur cherche à combiner ces 3 facteurs de production de manière optimale
(graph) ;
« L’esprit humain est un instrument pour réduire le chaos à l’ordre. Il est peu probable que
tous ces actes qui sont inspirés par le même esprit manifesteront une incohérence
chaotique. Quel que soit le nombre d’actes qu’un esprit peut contrôler, il peut aussi les
mettre en cohérence, et comme la cohérence de l’action est une condition nécessaire,
quoique non suffisante bien sûr, des succès de l’action, l’esprit devra en faire ainsi. Mais
au-delà de cette sphère de manifestation de l’esprit individuel, hors de la firme et du
ménage aucun agent de ce type n’existe. » [Lachmann, 1956, p. 40]
Pour lui une firme est constituée d’un ensemble d’actes susceptibles d’être « contrôlés » et
« mis en cohérence » par un seul esprit. La relation hiérarchique n’est donc pas médiée
par les interactions des agents et l’incertitude est éliminée et renvoyée exclusivement au
processus marchand. Mais cette incertitude marchande, en retour, a pour Lachmann un
effet important qui explique certaines caractéristiques des firmes.
1 = pragmatique
2 = intermédiaire entre les deux
3 = organique
Ensuite, l’analyse de Lachmann oriente vers les problèmes posés par la combinaison des
deux types d’institutions.
Lachmann souligne trois problèmes principaux :
- La vitesse relative des changements
- L’interaction entre institutions
- La mise en péril de la cohérence de l’ordre institutionnel.
EN COMPLÉMENT :
D/ FORMES JURIDIQUES DE SOCIÉTÉS
1 - les entreprises individuelles = L’entreprise individuelle n’est pas une société. Elle
présente l’affaire d’un seul individu, personne physique. Le patrimoine de l’entreprise se
confond avec le patrimoine du chef d’entreprise. Théoriquement, le nombre de salariés
qu’emploie l’entreprise individuelle n’est pas limité. En réalité, le nombre est réduit. Les
membres de la famille pourvoient l’entreprise en force de travail. Ces entreprises sont les
plus nombreuses dans le commerce du détail, les professions libérales (médecin,
pharmacie, avocat …), les exploitations agricoles.
3 - la société des capitaux = ce type de société concerne des entreprises de plus grande
dimension dont les sociétaires ne sont responsables qu’à concurrence des capitaux qu’ils
apportent.
Sont des sociétés contrôlées par l’Etat ou les collectivités publiques. Formes juridiques
différentes : Les régies, les établissements publics, les sociétés nationales et les sociétés
d’économie mixte.
Les mutuelles : sont nombreuses dans le secteur des services : assurances, banques et
les associations comme le croissant rouge.
Cette classification permet aux lecteurs d’éviter toutes confusions quand les entreprises
sont énumérées selon l’origine des capitaux. Une autre classification est possible en
fonction des domaines d’activités.
III/ CLASSIFICATION DE L’ENTREPRISE SELON LES CRITERES
ECONOMIQUES
⮚ Le secteur primaire : correspond aux activités par lesquelles le facteur naturel est
prépondérant : agriculture, pêche, forêts, industrie extractive.
⮚ Le secteur secondaire : c’est celui de la transformation des biens matériels : industrie,
textile, sidérurgie, électrique …
⮚ Le secteur tertiaire : est celui des entreprises prestataires de services : distribution,
banque, assurances, spectacles, coiffure.
A titre d’exemple on cite : les mines ; le textile et cuir. Comme les entreprises ont des
activités assez diversifiées, leur appartenance à un secteur donné est déterminée par leur
activité principale, c'est-à dire l’activité qui contribue le plus au chiffre d’affaires de
l’entreprise. Une entreprise ne peut appartenir qu’à un secteur puisqu’elle ne peut avoir
qu’une seule activité principale, et lorsqu’elle change cette activité, elle change de secteur.
La branche ne regroupe que les entreprises qui travaillent les mêmes matières au même
stade de la production (sidérurgie, industrie mécanique) pour produire des biens
analogues.
Les entreprises appartenant à la même branche ont les mêmes problèmes, utilisent la
même technologie, les mêmes matières premières et par conséquent sont confrontées au
même marché principal.
Les filières sont reliées entre elles par des besoins de consommation comme par exemple
les filières automobiles et la filière sidérurgie.
Les indicateurs les plus utilisés sont l’effectif employé, le chiffre d’affaires et la valeur
ajouté.
Pour finir ce point, on rappelle que l’utilisation du nombre de salariés ne constitue plus, de
nos jours, un critère décisif dans l’appréciation de la taille de l’entreprise. Cela est dû à
l’introduction de la technologie la plus récente (robotisation …).
C/ LA VALEUR AJOUTÉ
C’est la différence entre le chiffre d’affaires et le coût d’achat des matières et services
fournis par d’autres entreprises.
D/ L’ACTIFS IMMOBILISÉ
C’est une évaluation comptable des immobilisations de l’entreprise. Il est très important
notamment lorsqu’on compare des entreprises appartenant à la même branche, donc
ayant une même technologie.
Le chiffre d’affaires représente le montant des ventes de produit ou de services effectués
par l’entreprise
𝐶𝐴 = 𝑄𝑣𝑒𝑛𝑑𝑢𝑠 × 𝑝𝑟𝑖𝑥𝑢𝑛𝑖𝑡𝑎𝑖𝑟𝑒
Finalement, aucun critère n’est en soi satisfaisant. De plus chaque économiste a sa propre
classification. Pour obtenir un classement utile et rigoureux, il est alors nécessaire d’avoir
recours à plusieurs critères à la fois.
Définition de la structure =
La notion de structure est assez difficile à cerner. On serait tenté de dire que la structure
d'une entreprise correspond à son organigramme. En fait, évoquer cette notion revient
également à évoquer la manière dont le travail est organisé, coordonné. L'exercice du
pouvoir et le système de relation humaines font également partie de ce qu'il peut être
appelé le concept de "structure d'entreprise". Communément la structure se définit comme
une combinaison d'éléments et de mécanisme qui visent à repartir, coordonnée et
contrôler les activités de l'entreprise
La structure d'une entreprise s'étudie en prenant en compte les liens qui existent. Entre les
différents acteurs de l'entreprise. Ces liens nous font aussi comprendre quel type de
relation existe entre les acteurs de l’organisation.
Nous les définissons comme :
- Hiérarchique
- Fonctionnels
- Divisionnelle
Exemples : lancement d’un nouveau produit, abandon d’une activité, fusion avec une autre
entreprise.
- Opérationnel
- Fonctionnel
- La fonction
- Le projet
STRUCTURE HIÉRARCHIQUE
La structure hiérarchique repose sur le principe d’unicité du commandement, chaque
salarié ne dépendant que d’un seul supérieur hiérarchique.
Parmi les principaux avantages d’une telle structure, on distingue la simplicité et la clarté
des rapports hiérarchiques au sein de chaque service de l’entreprise : chaque
employé connait son supérieur hiérarchique, vis-à-vis duquel il est tenu de certains
engagements.
On note également le développement d’une certaine discipline, grâce au principe de
l'unité de la gestion des employés.
Une structure hiérarchique est un mode organisationnel dont le principe repose sur une
gestion et un contrôle unique. Elle convient aux PME ou aux entreprises dont l’activité est
très décentralisée. Elle reste, cependant, inadaptée aux grandes entreprises dont l’activité
est assez dense, notamment aux niveaux hiérarchiques intermédiaires.
STRUCTURE FONCTIONNELLE
Une structure fonctionnelle se caractérise par une spécialisation de chaque
responsable selon son type de compétences :
AVANTAGES :
- Présence sur divers marchés
- Souplesse
- Une capacité d'adaptation temporaire
- Inconvénients :
- Manque d'assiduité et d'efficacité globales
- Prise en charge de l'ensemble des responsabilités par le dirigeant
- Nécessité d'établir un système de contrôle de gestion et d'évaluation
quasi-quotidiens.
Comme son nom l’indique, une structure divisionnelle permet la division de votre
entreprise en plusieurs unités relativement autonomes, avec une activité précise pour
chacune. Les objectifs généraux et les décisions stratégiques restent fixés par le dirigeant.
Quant à la stratégie de chaque division, elle se met en place au sein de chacune :
- Au niveau de la production
- De la commercialisation
- De la gestion du personnel
Ainsi, une structure divisionnelle se caractérise par un découpage des responsabilités, une
coordination en amont, une standardisation des qualifications et une formalisation des
tâches à accomplir.
HENRY MINTZBERG
- Henri Mintzberg, né le 2 septembre 1939 à Montréal, est un universitaire canadien
en sciences de gestion, auteur internationalement reconnu d'ouvrages de
management.
Il est actuellement titulaire de la chaire Cleghorn à la Faculté d'administration de
l'Université McGill de Montréal, où il enseigne depuis 1968.
Pour H. Mintzberg, la structure peut être définie comme la somme totale des moyens
employés, pour diviser le travail en taches distincts et pour ensuite, assurer la coordination
nécessaire entre ces taches. La question de la structure, va donc se poser dans les
organisations complexes, où la diversité des tâches conduit à une réflexion sur leur
répartition.
Pour étudier les organisations, il faut tenir compte des facteurs de contingence, du
système de buts et des relations de pouvoir.
Selon Mintzberg, les premières variables à prendre en compte sont relatives à la
conception de la structure :
- La division du travail
- La coordination du travail entre opérateurs et entre les différentes unités
Si les buts ne provoquent pas de tensions entre les acteurs, ils seront dits buts intégrés
Dans le cas contraire on parlera de buts conflictuels
Enfin, selon qu’il sera possible de déterminer si un but est atteint ou non, il sera considéré
opérationnel ou non
Le pouvoir peut être détenu par des acteurs externes (les propriétaires de l'entreprise qui
ne la gèrent pas eux-mêmes, le conseil d'administration) ou par des acteurs internes de
l'entreprise.
L'école de Mintzberg présente une approche globale de l’organisation qui est analysée en
fonction des relations entre 5 de ses composantes et de leur poids respectif dans la
structure:
LA CONFIGURATION SELON MINTZBERG
1. L’ajustement mutuel dans lequel la coordination du travail du travail est effectuée par
simple communication informelle
2. La supervision directe c'est un mécanisme de coordination dans lequel une
personne est investie de la responsabilité du travail de plusieurs autres
STRUCTURE CHARISMATIQUE :
STRUCTURE BUREAUCRATIQUE :
L’idéal est de créer une organisation où chacun a sa place, où les liens hiérarchiques ont
des rituels précis. Création de normes et des règles, procédures (administratives)
Auxquelles tout le monde obéit. Les fonctions sont définies, les tâches explicites, chacun
doit avoir les compétences attendues par le poste. L’existence de méthode de sélection,
d’orientation, de mutation, de promotion donne à chacun des repères sur sa place dans
l’entreprise. Absence de lien affectif entre les personnes et le chef (il y a juste une
délégation). L’organisation a la tendance à cloisonner, d’où création de corps et
accroissement de contrôle par des procédures
STRUCTURE COOPERATIVE :
STRUCTURE TECHNOCRATIQUE :
THÉORIES DE LA FIRME
- Trois écoles de pensée
- Les classiques : Taylor, Fayol, Weber…
- Les behavioristes : Mayo, Maslow, Mc Gregor.
- Les modernes
I/ LES CLASSIQUES
Les fondements de la pensée classique :
LES APPORTS :
Hypothèses
- Postulat mécaniste
- Postulat rationaliste
- L'individu recherche la sécurité et répugne aux responsabilités
- Il est naturellement paresseux et fraudeur
- Il est motivé que par le salaire
Principes
- L'organisation hiérarchique
- Principe d'exception
- Unicité
- Principe de spécialisation
A/ TAYLOR : LE MANAGEMENT SCIENTIFIQUE DE L’ENTREPRISE
Hypothèses de l’OST
Principes
RECOMMANDATIONS DE TAYLOR
7 PRINCIPES :
- Planification
- Organisation
- Staffing
- Direction
- Coordination
- Reporting
- Budgets
Aucune des cinq autres opérations n’est chargée de dresser un PROGRAMME GENERAL
D’ACTION de l’entreprise, de constituer le corps social, de coordonner les efforts,
d’harmoniser les actes. C’est précisément le rôle de la fonction administrative.
Administrer c’est :
- Prévoir : scruter l'avenir et dresser des programmes d'action
- Organiser : constituer le double organisme matériel et social
- Commander : faire fonctionner le personnel
- Coordonner : relier, unir, harmoniser tous les actes et efforts
- Contrôler : veiller à ce que tout se passe conformément aux règles établies et
aux ordres données
- Prévoir
- Organiser
- Commander
- Coordonner
- Contrôler
14 PRINCIPES D’ADMINISTRATION
- Division du travail
- Autorité responsabilité
- Discipline
- Unité de commandement
- Unité de direction
- Recherche de l'intérêt générale
- Rémunération
- Décentralisation
- Hiérarchie
- Ordre
- Equité
- Stabilité du personnel
- Initiative
- Union du personnel
- Le pouvoir repose sur des croyances = Le monde social fonctionne encore comme
un monde profondément religieux
CONCLUSION:
- Deshumanisation du travail
- Absentéisme
- Conflits sociaux
Australien, émigré aux Etats-Unis. Professeur à Harvard, vers 1925 mène plusieurs études
sur la fatigue avec des biochimistes. A ce moment-là, la Western Electric mène plusieurs
recherches sur les relations entre conditions d’éclairage et productivité (1924 – 1927).
Taylor Mayo
Contrôle Motivation
Science Condition du travail
Division du travail Dimension psychologique
Salaire aux pièces Être social
Sanction discipline Management participatif
One best way Communication
OST Ecoles des relations Humaines
- Théories de la motivation
- Abraham Maslow
- Frederick Herzberg
- Douglas McGregor
- Participation au travail, dynamique des groupes
- Chris Argyris
- Kurt Lewin
- Rensis Likert….
L’ENVIRONNEMENT DE L’ENTREPRISE :
- Kurt Lewin
- Rensis Likert
- Les styles de leadership
- Les travaux de l’université d’Ohio
- La grille managériale de Blake et Mouton (1964)
- Les travaux de l’université du Michigan
- Le modèle de Tannenbaum et Schmidt (1973)
Recherche menée avec Lippit et White en 1938/1939 auprès d’un groupe d’enfants dans
un club d’activités :
- Quatre groupes d’enfants devant confectionner des masques sont soumis
alternativement à trois styles de leadership : autocratique, démocratique,
laisser-faire.
Professeur à l’université du Michigan, célèbre pour ses études sur la mesure des attitudes
(échelle de Likert).
Etude des rapports entre chefs et subordonnés, pour la Life Insurance Agency
management Association.
Objectif : expliquer les différences dans les résultats obtenus par les directeurs de diverses
compagnies d’assurance vie.
Les managers les moins performants :
- Ont une attention centrée sur la tâche à accomplir
- Estiment que l’organisation classique du travail suffit
- Considèrent leur travail de manager comme une fonction de contrôle et
d’autorité.
Théorie X Théorie Y
- L’homme éprouve une aversion naturelle - Le travail peut être une source de satisfaction
pour le travail - Direction par objectifs
- La direction doit contraindre contrôler - Pour obtenir participation et adhésion il faut
menacer satisfaire les besoins de type 3 4 5
- L’homme préfère être dirigé et éviter les - Les hommes sont capables de créativité
responsabilités - Les potentialités humaines ne sont pas
- Le style de direction doit être autoritaire et utilisées
centralisé - Proche de la théorie de RH
- Proche du taylorisme
L’amélioration des relations humaines est une condition non suffisante pas même
nécessaire à l’augmentation de la productivité.