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2 Notes:
- 1 devoir à rendre de 4 pages au moins sur un thème choisi (les coutumes du droit ou des spécificités
requises) avant le 30 octobre.
- Liste de questions
Introduction
Peut-on tout comparé ? Une partie de la doctrine dit que non. On ne peut comparé que ce qui est
comparable, c’est le courant culturaliste qui défend cette idée.
D’après la notion de D C il y a très peu d’aspect théorique. Il n’y a pas de véritable discipline
juridique avec des méthodes scientifiques qui lui soit propre. On compare le droit comme on
compare les littératures, la religion.
Il n’y a rien d’original propre au droit. Mais ça nous permet de connaitre d’autres système
juridique, connaitre ses droits et les comparés. Il y a beaucoup de système qui se regroupent par
grande famille.
Les législateurs étaient appelés les sages. Ils ont voyagé dans les pays
étrangers et ont étudiés les moeurs, les coutumes, les institutions et les règles
juridiques. Ils retournent en Grèce et vont procédés à des réformes grâce à leurs
nouvelles idées. La Politeia (c’est la C matérielle d’une cité). Solon vécu entre -484
et -485 au temps du siècle de Péricles, il a établi une typologie du régime politique,
il étudie la démarcation artésienne, la monarchie perse et l’oligarchie spartiate.
b) - Les philosophes
2 – Rome
a) la loi des XII Tables de 451 av. J-C.
En 450 Rome vit une crise. La plèbe décide de faire cessession, ne veut
plus être enrôlé à Rome, menace grave de l’avenir de Rome. On décide de désigné
10 magistrats extraordinaires qui peuvent faire un code de loi juste.
2 – La renaissance
On peut parler de droit français ou droit national au 16ème siècle. Ce droit français
ou François à l’époque, se construit à partir de la comparaison des coutumes, un
comparatif inter-coutumier. Le parlement a joué un rôle essentiel. Pour dégager le droit
français on va dégager le droit romain qui vient de Rome, d’Italie. Grâce au droit
comparer on va détruire le droit romain et construire le droit français. On a construit le
droit français à partir du droit comparer. On rejette le droit extérieur et on construit un
droit intérieur. On va dégager des règles communes pour tout le royaume. Pour construire
un droit unifié, alors que notre est oral, on va écrire, rédiger les coutume à partir de la
guerre des 100 ans. Dans une première ordonnance, on ordonne la rédaction des
coutumes. On a découvert ensuite l’imprimerie qui va faciliter la diffusion des coutumes.
Puis les juristes commencent à commenter le droit des coutumes avec des notes savants.
On va essayer de chercher des coutumes pour unifier. Les juristes vont utiliser la
comparaison qui permet de voir les divergences. Le droit coutumier vont éliminé le droit
romain. On a ensuite les manuels. C’est le comparatisme qui permet d’unifier le droit.
3 – La Révolution
En 1801, Napoléon a créée le bureau de législation étrangère. Ce bureau à une fonction qui
s’intéresse au droit étranger, et on compare ce qu’on peut retenir ce qu’il faut pour la France.
En 1869, on créée la législation du droit comparé. Ça sert à chercher des pratiques pour
améliorer notre propre droit.
Edouard de Laboulaye.
La méthode comparative va pénétrer toutes les sciences sociales. Les privatistes s’intéresse au
droit comparé. On va s’intéresser au droit commercial anglais, au droit des sociétés. En
matière des moyens de paiements on s’inspire des anglais qui ont inventé les chèques. On a
inventé les entrepôts, le gage commercial. Tout cela inventé par les anglais. On créée un
office de législation étrangère pour avoir une institution avec une documentation étrangère.
B – Le XX° siècle
On va emprunter de plus en plus aux législateurs étrangers. Ça se fait en droit des sociétés, en
droit économique et même en droit constitutionnel. Dans le domaine du droit économique, les
américains ont inventé le droit de la concurrence. À partir de 1900 on va créée la science du
droit comparé. Le premier congrès a eu lieu à Paris en 1900. Ce congrès était une des
manifestation scientifique te culturel à Paris. On pense qu’il faut unifié le droit.
Il y a de nouvelles idées, les variétés et les différences. À Partir de là, le droit comparé va
investir l’ensemble des nations.
L’objet du droit comparé c’est la connaissance des ordres juridiques différents de celui auquel on
appartient.
b) – La réception du droit
d) – La construction du droit
2 – La fonction didactique
Certains auteurs ont prétendu que le droit comparé poursuivait un autre but, que ça
permet le maintien du progrès. On pensait que ce droit permettrait de réduire les tensions
internationales, d’unifié davantage les peuples, le droit comparé c’est donc la paix. À
l’article 31 qui a créée l’unesco, le but c’est la connaissance et l’étude des droit étrangers.
Ce serait la paix entre les peuples. Le but n’a pas été atteint. À la base du droit comparé il
y a la connaissance des droit étrangers.
Ça remonte aux années 1950. Ses travaux ont fait autorité. Pour procéder à une classification il y
a deux critères, le premier critère est technique qui se fond sur une classification du même
concept. Le deuxième critère est idéologique, c’est la prise en compte d’un certain nombre de
principe philosophique, politique, économique. On peut distinguer le principe laïque. On doit
prendre ces deux critères ensemble. On ne doit pas oublier le temps.
Pour la première famille, la France appartient à ce système. Les Etats ont influencé le droit
romain, l’Italie, la Roumanie, etc… Le premier critère, le système juridique Romano-germanique
est important. La particularité est de faire des règles juridiques général qui sont codifiés. Dans
notre système on dit que le juge est « la bouche de la loi » (Montesquieu). Le juge se contente de
dire le droit. Le critère idéologique, dans notre système le droit tend à la justice, le droit est là
pour faire régner la justice entre l’Etat est les citoyens, et les rapports entre les particulier.
Pour la deuxième famille, le critère technique, la particularité est que le droit porte
essentiellement du juge. Le juge se réfère à du droit écrit mais à la vérité les notions
fondamentales et beaucoup de solutions on les trouves dans les précédents, les décisions
antérieurs. Le critère idéologique, c’est le même que pour la première famille, on recherche la
justice.
Pour la troisième famille, elle reprend à chaque fois le critère technique. Le droit repose
essentiellement sur la loi. Par contre pour le critère idéologique, c’est un critère singulier. La
finalité du système socialiste est de construire une société nouvelle, une société communiste.
L’Etat mais aussi le droit vont dépérir.
Ce sont deux auteurs anglo-saxon. Ils ont proposés une classification par
grande air civilisationnelle.
Il propose 3 critères.
Le deuxième critère est le rapport du juge (…). Est-ce que le juge est
maitre de la loi ou bien la bouche de la loi.
On a pas critère pertinent qui nous permettrais de classer tous les systèmes.
Tous sont obligés de recourir à la catégorie sui generis.
Il est impensable de passé à côté de la méthode en droit comparé. Quel choix mythologique les
auteurs vont-il retenir ? Il n’y a aucune originalité en la matière. Tous les manuels vont avoir un
développement sur les qualités du chercheur. Il des auteurs comparatistes qui utilisent la méthode
fonctionnaliste. Mais on se redirige vers la méthode culturaliste du système juridique. Mais il y a
des limites avec cette méthode.
On a pas découvert de méthode original alors les comparatistes vont nous prodiguer des
conseils sur la bonne habitude qu’il faut avoir quand on fait du droit comparé. Un des grands
comparatistes Vlad, il découvre la règle des CCC (connaitre, comprendre et comparaitre). Pour
connaitre et comprendre il faut travailler, étudier. Pour comparaitre c’est totalement tautologique,
puisque le chercheur va faire de la comparaison. Les manuels vont nous découvrir la bonne
attitude intellectuel que chaque comparatiste doit avoir. « Il faut avoir de l’intuition, du
discernement, de la perspicacité et de la critique ».
B - Le fonctionnalisme
C’ets école fonctionnel qui a développé cette méthode. C’est une méthode des sciences
humaine, c’est une théorie qui accorde à la fonction d’un élément, d’un système et au
fonctionnement du système la primauté sur tous les autres éléments et modification du
système. On va rechercher la fonction dans une norme, une notion, une institution. Ça va
permettre de dégager comment fonctionne le système. À la base découvrir la fonction
permet d’aller plus loin dans la compréhension qu’une simple distinction. On va dans la
compréhension. Le problème est qu’il y a des institutions qui ont des fonctions multiples,
donc laquelle on privilégie ou laquelle est plus importante. Cette approche a été critiqué.
Les orientations de cette théorie postule que « tous les systèmes juridique tend à régler les
systèmes sociaux de la même manière et on pense que les solutions se ressemble ». Avec
ce système on recherche qu’à mettre en évidence que les convergences. On a fini par
abondance cette méthode.
C – Le culturalisme
On va comparer les cultures d’où viennent le droit. Comme elle est élaborer, interpréter.
Aucune école n’est parvenu à donner une définition acceptable de ce qui convient
d’adapter la culture juridique. Certains diront que la culture juridique c’est des idées, des
avaleurs ou des attendent envers le droit et ces instituions, d’autres diront que c’est ceux
qui mettent en oeuvre. Si on retient cette méthode on peut comparer que les systèmes qui
partage à peu près les mêmes valeurs d’où l’aspect réducteur de l’analyse. Les auteurs qui
s’intéressent qu contexte le font avec les outils des sciences sociales, il n’y a rien de très
juridiques. Ce sont les méthodes des sciences sociales.
C’est pour aller au delà du culturalisme. C’est parce qu’on a pas de méthode spécifiquement
juridique qu’on être obligé d’avoir recours à d’autres sciences sociales. On va s’intéresser au
fondement. Donc le droit n’est qu’un élément placé dans un contexte plus large, politique,
économique ou même idéologique. En d’autres termes, le droit est envisagé comme un tout, donc
les racines sont sociologique, historique, etc… C’est une démarche multidisciplinaire mais en fin
de compte le droit est juste un phénomène culturel.
D’où ce n’est pas du droit comparé mais de la sociologie juridique. Le droit n’est qu’un élément
des sciences sociales.
En conclusion il n’y a pas de méthodes spécifiques au système juridique qu’on appelle droit
comparé. À la vérité avant d’avoir une méthode on a d’abord la connaissance, il est bon de
connaitre les autres systèmes juridiques, comment ils fonctionnent. Ça c’est l’étape qui précède la
comparaison.