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Le Progrès de Bel-Abbès :

journal de l'arrondissement de
Sidi-Bel-Abbès, paraissant le
dimanche matin

Source gallica.bnf.fr / Bibliothèque nationale de France


. Le Progrès de Bel-Abbès : journal de l'arrondissement de Sidi-Bel-
Abbès, paraissant le dimanche matin. 1899-09-13.

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]\° 1407 Dix-HuitièiMJe Année ^::^^#efedi, p Septembre 1899

13 SEPTEMBRE 1899 Dreyfus, Alfred, à la peine de dix grand peuple impose un devoir 1<lève et prononce les paroles suivan-
BEL-ABBÈS* LE
: !

Le Jugemgflt fle Rennes


- , i i

; ans
articles 76 du Code pénal, 7 de
c
a de détention, par application des d'union
c
la loi
'aux coeurs vraiment patrio- tes
de .

tes.
;
t( :

'
,:.'.,
Mon cher Charles,, je suis heureux d'avoir
1830, 5 de la Constitution du 4 rovembre
j Puisse notre faible voix être e choisi par vos amis, pour vous remettre
été
1898, l"
de la loi du 8 juin 1850 17,
'; 1«': en- les insignes de la distinction que vous venez
Le Conseil de guerre de Rennes, et.483 du Code pénal, 188, 267 et 1S8 du tendue.
t
, d'obtenir:
d
c dé justice militaire.
régulièrement saisi, vient de be pro- Code Fixe au minimum la durée de la con- , Mieux que personne, peut-être, j'ai pu
noncer, trainte par corps, conformémentà la loi du
tj UN AN CI EN î
apprécier vos mérites, car je vous ai vu, de
longues années^ travaillant à.mes côtés avec
De nouveau Dreyfus est condam- %22 juillet 1863, modifiée-pai'^celie'du'lSdé-
né.
;
cembre
c 1871.
Enjoint au Commissaire du Gouverne-
=

.
] parmi nos Csolons un zèle et un dévouement qui ne se sont,
jamais démentis. :
Voici le texte du jugement : C'est, donc, avec conviction, que je puis
ment de faire donner immédiatement' en sa • Dimsnche dernier, les colons de vvous dire;:au nom de tous vos amis, que
A'u'nom du Peuple Français, -présence,
p lecture du jugement au condamné Sidi-Lhassen étaient en fête. Il s'a- . vous avez bien mérité la croix qui, dans un
J
Ce aujourd'hui, 9 septembre 1899, ddevant la garde assemblée sous les armes el gissait, de témoigner à moment, -v

Le Conseil de Guerre de la 10° région de de , j pour eux, r va briller sur votre poitrine.'
c lui annoncer que, conformément à la loi, .. l'un ] des leurs et des-plus anciens, la Cette constatat ion m'est d'autant, plus agré-
corps d'armée, siégeant à Rennes et délibé- un délai de 24 heures lui est accordé pour joie qu'ils éprouvaient de le voir able
i:
rant à buis-clos, lé Président a posé la sse pourvoir en révision.
i
]l'objet d'une distinction honorifique a que je la fais devant celte vaillante po-
question suivante : «Dreyfus, Alfred, capi- pulation
} de Sidi-Lhassen, dont les-travail-
Espérons le lourd cauchemar méritée entre tontes. Nous avons leurs énergiques que nous connaissons se
taine breveté au -14e Régiment d'Artillerie, ' . que brave homme, excel-
\
qui pesait sur la France nommé un
entière se lent cultivateur, M. FCEREMBACHER, féliciterontun \ de voir un des leurs récompensé
stagiaire à l'Elal-Major de l'Armée, est-il (
coupable d'avoir, en 1894, pratiqué des ma- dissipera devant cette décision aujourd'hui.
< ren- récemment promu Chevalier du £ Comme collègue, je remets la
.
croix
chinations ou entretenu des intelligences due au nom de la justice'. vous
, Mérite Agricole. ai Chevalier du Mérite Agricole, et je vous
avec une puissance étrangère ou un de Souhaitons ardemment que le (
ses Ses concitoyens, ses nombreux donne l'accolade de tout coeur.
agents, .pour l'engager à commettre des parti républicain qui s'était divisé amis de Sidi-Lhassen, <

hostilités ou à entreprendre la guerre con- ont pensé • L'allocution de M."Bastide.,


sujet de épouvantable affai- qu'une petite solennité était de cir- est
tre la France ou pour lui en procurer les au cette chaudement applaudie par les assis-
constance et s'imposait en quelque
moyens, en lui livrant les notes et docu- re oublie le désaccord passager qui sorte, féliciter lé modeste tants qui, tour à tour, viennent
ments énumérés da»s le bordereau el men- a paru l'affaiblir. pour serrer la main au brave Foeremba-
tionnés dans l'arrêt de. la Cour de Cassa- • La réaction de\ient de jour en
dignitaire, et applaudir du môme cher, profondément ému de tous .

tion, en date du 3 juin 4899 ? » coup à la décision gouvernemen- ces témoignages sympathiques.
jour plus menaçante. En exploitant tale. Ainsi fut organisé le banquet
Les voix recueillies séparément, en çom- ï?agitaU©n créée, par le de tdimancheàefnier, auquel ont ;.,A ..table. 1 çrie-t-^on, et chacun
meneant par le grade inférieur et par le
habilement
. procès de Rennes, les ennemis de
:
pris part une centaine de convives regagne sa place pour faire honneur
moins ancien dans cliaque grade, le Prési- premier service apporté — Une
environ, parmi lesquels quelques au
dent ayant émis son opinion le dernier, à la République coalisés attaquaient
invités de Bél:Abbôs. remarque en passant * Il y a de rudes
la majorité de 5 voix contre 2, le Conseil à coups sûrs et répétés nos institu- travailleurs à Sidi-Lhassen ; on
déclare : Oui, l'accusé est coupable. Réunion cordiale et tonte intime,
' lions libérales en.vue d'une restau- trouve chez eux de fameux esto-
A la majorité, il y a des circonstances ration prochaine. donnée'dans la cour superbement
décurée de l'établissement macs. L'un ne va pas sans l'autre,
atténuantes. an papa sans doute. Tous nos compliments. x
Que les démocrates serrent les |j Philippe. Table garnie de mets
Sur quoi :
Attendu les conclusions prises par le. rangs ! Il y va de la vitalité de la délicats et copieux, dont la fabrica- .'.-maire de Sidi-Lhassen,
tion avait été surveillée soin
'
An Champagne, cestM. Gounillon,
qui pro-
Commissaire du Gouvernement dans ses; République. • avec le. discours suivant, dont
réquisitions, le Président a lu les textes de! par l'aimable Madame 'Gounillon, nonce
Puisse une ère de calme et de elle-môme, désirant ainsi s'associer maints passages ont été soulignés
lois et recueilli de nouveau les voix dans les5 concorde s'ouvrir enfin dans notre les applaudissements de l'assis-
formes indiquées ci-dessus pour l'applica-
1 ; l.e plus utilement possible à Kagréa- par
tion de la peine.
beau pays de France menacé et in - ble manifestation. '• -V 1
tance.
En conséquence, A Iw majorité de, quiet. Une fois les convives installés, Messieurs,
einq voix contre deux, il condamnei L'intérêt majeur de la vie d'uni M. Bastide, maire de Bel-Abbès, se! Les fonctions de chef de Municipalité ne

Feuilleton du Progrès: de Bel-Abbèz


— 68—
i, ,

XAVIER DE
: :
MÔNTÉPIN
-- (
sait,
i
désirs
*
je m?èfforcais de deviner ses moindres
afin de les satisfaire avant même
qu'elle eût le temps de les exprimer.
— Ah ! le fait est... interrompit Anna, le
fait est que vous étiez parfait pour elle.
,s
:
— Eh bien 1 je crois à un suicide.
— Mon Dieu 1 et d'où vient ;ç.etle pensée
sinistre?...
— Du sombre
qui
i
.(
découragement ; de la vie
s'était emparé de la pauvre Pivoine et
«

suis plus avec René.


Chère Anna,,.,
« Peut-être savez-vous déjà que je ne

« J'avais résolu d'abord d'entourer ma


fuite d'un profond mystère, mais, comme

LES — Sans douté elle me témoignait de la dont
i
je m'apercevais avec un chngrin pro- je sais que René m'aime et que vous, m'ai-
reconnaissance, reprit René, mais l'exprès- fond. "
.
mez aussi, je n'ai voulu vous laisser croire,
sionrdè cette reconnaissance était morne, —- Ah ! s'écria Réné,r avec une tristesse ni a quelque acte désespéré,de "nia pàrt^ ' ni

nVCigriiOxxrie
glacée, contrainte ; elle ne m'aimait pas!

=
— Je le sais bien;-pensa Anna.
Le comte poursuivit :
mêlée de colère, elle me détestait donc
bien ?
— C'est justement lace que je lui deman-
coeur. ''
à une ingratitude que je n'àï point dans le

« Vous ne me rêverrez' jamais;: mais je

•". XXXV
Disparue
— Moi au Contraire, chaque jour je m'at-
tachais à elle plus que le jour précédent, et
je souffrais delà voir souffrir. Cependant
dais un jour...
— Et que vous répondait-elle !
— Elle me répondait qu'elle ne vous dé-
penserai toujours â vous comme'à' deux
bons el vrais amis. ''"'
« Je suis reconnaissanteà René de tout
'
j'espérais beaucoup du cours du temps et testait ce qu'il a fait et surtout de ce-qu'il a voulu
.
répondit brusque- point, mais que, vous, vous l'aimiez
— Pivoine a.disparu,
mentRéné. dés preuves d'affection que je lui prodiguais. trop. fairepôur moi. "'' "
—.Disparue ! répéta Anna. Ah! mon Eh bien, depuis hier matin, personne ne Ëh ! murmura René avec un soupir, elle ';- « Je vous suis'reconnaissante; à vous, de
Dieu ! et depuis quand ? "
sait ce qu'elle est devenue, et vous tuez était si belle ! pouvais-je l'aimer moins ? votre généreux accueil et dé votre bonne
..
— Depuis avant-hier. Je
l'ai accompaguée mon dernier espoir en me disant que vous En ce moment le domestique entra et affection. •''"" ';-'•'". ,--;;:v-
ne l'avez pas vue, que vous'n'avez pas en- '"« Chère Anna, vous êtes'heureuse ! ?vous
; au Bois, et depuis je ne l'ai pas revue, ni remit à la jeune femme une lettre qu'on

'
personne de nos connaissances. tendu parler d'elle !... Chère miss Dudley, venait d'apporter ppur elle. avezle'sèurvràibônhèur'dè ce monde : vous
qu'elle est dites, que pensez-vous de cela et que croyez^- aimez ! vous êtes aimée'!1 Que1 ça ;n'é vous
— Et vous ne devinez pas ce Elle jeta.les yeux sur l'adresse.
manquejâniais. ''•;
devenue ? vous que, je doive craindre et.espérer ?... Puis, elle s'écria, eii déchirant l'envelop- : • ;

— Je ne sais rien !-...... Je' ne devine rien ! — Ah ! répondit Anna, cette disparition, '«.Je vous prie avéè instance de ne point
. .
est une chose étrange, inexplicable, et, pour pe : chercher à découvrir ice que je : suis ; deve-
—-.Mais, enfin, que s'est-il passé ?
quelque temps, Pivoi- ma part, je redoute'un malheur !... — Son écriture ! son écriture 1;.. nue; vous ne, sauriez, croire; combien i me
— Ecoutez : depuis -—L'écriturede Pivoine ?;.y démanda vi-. serait pénible la moindredémarche de, vous
ne était-sombre, vous l'avez romarqué sans —•Parlez-moi franchement, chère Anna,
doute?
ainsi.
croyezrvousvi un., a.è.cidetit ? çroyeZ^vous à
un suicide ?...
vementRéné. .àcesûjèt. » ^ i. M,, •; .,:
«t Pensez quelquefois à moi, ma chère An-
— Je l'ai, toujours vue 1is#£$
^- Sans doute, mais depuis quelque — Voulez-vous que je vous dise lé fond
',
^ Oh halors; ftlfèz l
.
.
{na-,' à moi squly le.-.-..cse"ùr- Serré,,, vous dis :
temps, sa tristesse avait redoublé, elle sem- de ma pensée ? Miss Dudley lut tout haut les lignes sui- Adieu pour toujours ! < '
. .
— Je vous en supplie.
I «Pivoine»
.
blait malheureuse, et, cependant, Dieu le vantes :
JL,G Jr»ro<jx*è& cle Bel-A.bbft.<j
sont pas toujours gaies ; mais, par contre, 1I 2'
2" Une médaille de bronze pour sej ce- de beaucoup supérieure à la précé- I<e Jugement de Rennes
quand ces fonctions procurent des instants réat
réaies ; der
dente. I nouvelle de la condamnation de
La
remplis de joie -comme ceux, d'aujourd'hui, 3' Une mention honorable pour différents
3* Ils
II évaluent la production à 48 Dreyfus Drp a été accueillie dans notre
on est largement récompensé des ennuis produits.
proc ' millions
mil d'hectolitres pour la France ville vill avec le calme le plus parfait.
endurés et de tous ceux à venir. Cette année, la Croix de Chevalier du continentale,
C cor mais le « Moniteur vini- Aucune
jt manifestation, si petits-soll-
En effet, n'ai-je pas le droit d'être heu- Mér Agricole, consacre définitivement la cole
Mérite col » estime ce chiffre trop élevé et élle, elle n'a eu lieu ; les mesures d'ordre
reux, n'ai-je pas le droit d'être fier de voir vale de cet homme modeste, qui nous il conclut
valeur c aux rendements suivants : 'prises 'pri: par la police ont été inutiles..
briller sur la poitrine de inon ami, de notre représente
repi bien l'Agriculteur d'Algérie par ï France, 44,000,000 d'hectolitres ;
ami Fcerembacher, la croix de chevalier du excellence
exc< ; à la foie pionnier courageux de Algérie, Ali 5,000,000 ; Tunisie, 250.000.: domination
mérite agricole. la civilisation
c et du. progrès et aussi ouvrier soit soi un total de 48,750,000 bectolitres. j
Avec plaisir, nous apprenons la no-
Jamais Ministre ne fit meilleur.* choix, de notrei richesse nationale. \
*% mi
mination de M. Nivière, secrétaire du
jamais distinction ne fût mieux à sa place. Ma parole et mes faibles moyens sont
It
,
.Les journaux d'Alger enregistrent Parquet Pa] de Bel-Abbès, au poste de se-
L'agriculture est un dès plus nobles imj
impuissants à vous montrer Foerembacher *
grand plaisir la correspondance crétaire cr^ du Parquet à Oran.
métiers. Honneur à celui qui a institué la tel qu'il devrait être dépeint. La manifesta- échangée avec
i .-. entre M. le Ministre de la
croix du mérite agricole pour récompenser lior d'aujourd'hui, empreinte de sympathieet Guerre
lion G et M. Etienne, au sujet des très Ka Bel-Abbéslenne
des hommes tels que celui que nous fêtons de vénération, en dit plus que tout ce qu'on légitimes ,- revendications formulées Les
1 membres de La Bel-Abbésienne
aujourd'hui! pourrait improviser ou lire.
pou Da les Syndicats de l'habillement sont
par soi priés de vouloir bien s s réunir
L'agriculteur fait cultiver ses terres, le I fêle à laquelle nous assistons est celle militaire,
La . de l'équipement et de la cor- dimanche, dii 17 courant, à 4 heures de
cultivateur les cultive lui-même, le viticul- des colons, des travailleurs de la vigne et donnerie, , aux troupes du XIX» Corps, l'après-midi, l'a' au local de la Bel-Abbé-
teur travaille la vigne et fait son vin. des champs ; une fête modeste et grande Constatons
( simplement qu'en s'a* sienne, sie à l'effet île statuer sur la situ-
Fcerembacher Messieurs, personnifie ces dans dai sa simplicité. ^r
dressant à notre député M. Etienne, ation ati créée par la démission de plu-
trois branches, ces trois branches capitales, ]Laissez-moi vous remercier tous, Mes- jes ouvriers de la corporation inté- sieurs
les sie membres du bureau.
qui vivifient l'humanité. 8ie
Bieurs, de votre venue ici, spontanée, pour ressée ont obtenu la satisfaction
Eh, mon Dieu oui ! Fcerembacher, n'a- ter
t-il pas toujours fait, si j'osais le dire, de la bai
tendre vos mains cordiales à l'ami Foerem- désirée.
bâcher qui est l'objet de votre admiration.
^ Rapport de Police
A ce sujet, une observation vient l,e nommé Gafour Larbi ould Ab ial-
culture intensive, tout en exploitant 400 Me Merci, spécialement, à nos imités de Bel- naturellement n£ à l'esprit. H est curieux lah, la! pour détention d'arme, a été défé-
hectares el plus ? Vous le verrez tout Abbès Al qui ont bien voulu, par leur pré- en ef eflet, de constater que les ouvriers ré au parquet :
à l'heure. '
Tous ceux qui l'ont connu, tous ceux qui familiale.
sence,
sei
fai
^
rehausser l'éclat de notre fête toute de la ville d'Alger
se soient adressés G».., Christoval, voiturier, a été
à^ M. Etienne, député d'Oran pour faire déféré de au parquet ; pour contravention
l'ont vu à l'oeuvre, tous ceux qui l'ont suivi, Je m'arrête, Messieurs, je ne veux pas aboutir &j leurs revendications. à la police du roulage :
n'ont ils pas constaté, proclamé hautement, abuser ab de vos instants, mais il me sera Mohamed ben Abdelka 1er, pour
MMM——»—»——————

et son talent, et ses connaissancesprofondesi bii
de son métier, et son ardeur au travail ett terre
bien permis de vous dire que si l'Algérie,
te; hospitalière et merveilleuse, avait eu %_
CHRONIQUE LOCALE 2 infraction à la loi de l'interdiction de
j séjour.
surtout, Messieurs, sa probité ? pourra
po cultiver dès le début de la con- s
«SBVBBBBVBSSBBVBVBBVBBSBBSVBSSS)
—»««»=•—
Il est d'autant plus méritant, il étaitt quête, beaucoup d'hommes comme Foe-
d'autant plus digne d'être récompensé qu'il
qv
rembacher, elle serait beaucoup plus riche Nous prions nos abonnés de Le Lieutenant MAILLARD du 2mo
1
re réserver bon accueil aux qpiit- Spahis,
S] Madame MAILLARD et leurs
est le fils de ses oeuvres celui là. et plus prospère qu'elle ne l'est actuelle-
Entendez plutôt : tances d'abonnement qui vont familles
fc ont l'honneur de prier les
ment.
m incessamment être mises ,
qui leur ont donné de si
Charles Fcerembacher arriva à Sidi- Je bois, Messieurs, à la santé de Foerem- . en personnes
pi
recouvrement. nombreuseset si affectueuses marques

.^^1
Lhassen en 1854, avec ses parents, des genss hacher, de la toute aimable société. x* n
bi à celle . d sympathie dans le deuil cruel qui
de
peu fortunés, il avait alors 9 ans. Berger r Viva la France ! Nécrologie vient
Vj de les atteindre, de vouloir bien
du village d'abord, dés qu'il le put garçon1 Vive l'Algérie ! Nous enregistrons avec le plus pro-• agréer ai l'assurance de leur respectu-
de ferme ; il fit ses premières armes danss Vive la République 1 fond
f, regret la mort de Madame Veuve» euse ei et vive reconnaissance.
l'agriculture chez M. Bastide, où il restait|_ Lacretelle délégué CLAUSKL, propriétaire, dêcédée à Bel- ___
8 ans. La présence ici de M. Bastide in-'"
M, Auguste C
financier
ïj de l'arrondissement de Abbès, A lundi dernier, à l'âge de 73J Rixe
dique quelle haute estime il a conservé
Bel-Abbès, prononce ensuite une ans, a à la suite d'une courte maladie. Dimanche vers 2 heures de i'après-
pour lui. courte improvisation. Il exprime, La défunte, une des plus anciennes3 midi
Fcerembacher, se plaît à parler de cee j5 n au faubourg Marceau, avenue
- tant en son nom personnel qu'au habitantes
r. de notre ville, où elle était1 Kléber g une rixe a eu lieu entre les
vieux temps, des conseils sages et éclairés s nom '
Je prie ^ des héritiers de M. Courtot, arrivée a en 1847, avait su acquérir par'' nommées Pudial Marie, sa mère Dolo-
n
qu'il a reçus et dont il a profité. [e sentiments d'estime, persévérance, travail
M. Bastide, de recevoir à cette occasion
de
~j Chanzy, des sa
s son et son1 rés ,. et une nommée Milan, Isahelle.
n de profonde amitié M. énergie, honorable situation et1
^ envers é une Cette dernière a été très mal traitée
mes modestes félicitations. Foerembacher. Il rend hommage,i mériter l'estime et la sympathie de la1 et
Le 18 Avril 1874, il se maria. C'est alors, 3j'
^ r e se trouve depuis la fin de là rixe
qu'il prit pour l'exploiter à compte et demi,t' aux a qualités de coeur et de dévoue- population. j i dans
^ un état comateux tel, qu'il n'a
chez Gourtot, ment
jj de l'auxiliaire précieux ques Ses obsèques ont eu lieu hier matin,» pas j encore été possible de recevoir sa
• une ferme de 400 hectares M.
à Chanzy.
' '
M.
™ Courtot, chef de famille, s'étaitt ài 8 heures, en présence d'un grand^ déclaration. ,j
adjoint, et dont il appréciait fort.les nombre d'amis et connaissances. •

; OIIBBSBÏMÉSIEHS
d i i
G'est là où il se déclara cultivateur con- ,_ familles a
sages
s conseils pu avis. Nous présentons aux
sommé. Sur 400 hectares, 100 hectares >s Clausel, Pottier, Avrial, Barbier, [
étaient irrigables, Foerembacher fit des L'exemple de M. Foerembacher , (
ÎS
est citer tous qui désirent Vinckel Rozan et Riniéri, si cru<_-l- '
prodiges de valeur. Son propriétaire,
Courtot, homme intelligent et clairvoyant,
M,î,
t, .8
£
arriver
à
par
à
le
ceux
travail.
t ^

lement
' atteintes par ce deuil, l'expres- J. ABAD et O
sion de nos plus sincères condo-
ne mit pas longtemps pour se rendre compte
de la valeur de l'homme à qui il avait af-
te
if- pour j
Nous ne
terminer
pourrions
le compte
mieux
rendu
dire
de \ léances.
*
Service d'^lté
faire ; aussi, comme on dit vulgairement, i, cette Ï réunion dont nous garderons3 Kouvelleamilitaires
il lui laissa la bride sur le cou. 1 meilleur souvenir.
le A partir de ce jour, un service
chez MM. Terrier et Palmeur, élèves sor- régulier i d'omnibus sera assuré sur
Ce cher Foerembacher avait trouvé
M. Courtot, le champ vaste qui convenait " tant de l'Ecole de Saint-Cyr, sont Jt les ] lignes ci-après :
à ses aptitudes, qui convenait à sa valeur,r, Echos et Nouvelles nommés
| sous-lieutenants au 1* Etran-'" Place Carnot an lanMriTMers;
ger.
je puis le dire, peu commune.
Pendant dix ans, il dirigea et exploita ta ———— — Les détachements du 1" et du 2-
••- il anciietiereparleîaâBngeaM;
cet immeuble de grande valeur à la satis-
s_ .
L'Officiel publie les nominationss étranger de Bel-Abbès et Saïda, à l'ef- fn il aupassaQBII nweau flu laulï-Marceau;
suivantes fectif ensemble do 142 hommes et un
faction de son propriétaire et à la sienne, e £ :
Be la porte de Daya à la &are.
jg | M. Génie, ancien préfet d'Alger, est t officier, M. le lieutenant Lancelot. ^.
car il se retirait avec un avoir net de nommé percepteur hors classa à qui devaient partir dimanche dernier
cent mille francs. 3r Pour les trois premières lignes, les
toujours dit, je dois Bordeaux (6* Division). de Marseille sur le Djemmah, à desti- i- départs de la ville auront lieu toutes
Foerembacher, m'a jjg les heures, de 6 heures du matin à
M. Vallin, commis de trésorerie a nation de Madagascar, ont reçu pres-s.
ce succès inespéré, à la confiance qu'avait ait i.
8 heures du soir ; les retours des fau-
d'Algérie, est nommé percepteur dee ; que au moment de l'embarquement nt
en moi M. Courtot ; naturellement, de mon on de bourgs se feront toutes les demi heu-
'6' classe, à Saulon-la-Rue (Gôte-d'or). ). ordre ministériel regagner par ar res, de 6 heures 1[2 du matin à 8 h. l[2
côté, elle était largement partagée. Dans ces .es
conditions, la réussite était assurée. Per- gr_
M. Constant, receveur des Contribu- i- Oran leurs garnisons respectives, ' du soir.
mettez-moi, messieurs, d'adresser un salut ât tions diverses à Aïn-Sefra,est nomméé Nous croyons savoir qne la décision >n Pour la ligne de la gare, les départs
j percepteur de 3* classe à La Blachère •e ministérielle a été prise après avis lu
du auront lieu de la ville, une demie
respectueux à la mémoire de M. Courtot. de Madagascar. Le dé- é- heure avant le départ de chaque train.
(Ardèchej Gouverneur
Les travaux de notre héros du jour, tachement de Bel-Abbès, embarqué '.A Pour le faubourg Thiers et le fau-
bourg Marceau, un voyage supplé-
messieurs, ont été couronnés par des ré-
compenses que je veux vous indiquer briè- •iè- On annonce la
* »
mort, survenue su- sur la ^
Russie sera de retour parmi. mentaire sera fait au départ de la ville
bitement à Alger, à l'âge de 48 ..
de nous vendredi ou samedi prochain. à 11 heures li2, en vue de faciliter plus
vement : 1° En 1882 il recevait du Concours urs ans, particulièrement le transport des ou-
de Bel-Abbès, une médaille d'argent pour our M. Jules Fauga, frère de nos conci- -~ Les Vendange* vriers et employés,
tenue de ferme. 2° En 1883, toujourssàà toyens. MM. Maurice Fauga, retraité *é ; Les vendanges battent leur plein et La reprise du service aura lieu à
Bel-Abbès, au concours agricole, une une de la Compagnie P. L. M. et Louis is seront terminées d'ici une quinzaine ne 1 heure de l'après-midi.
médaille d'argent et deux médailles de Fauga, receveur des Contributions 1S de jours environ. Les Dimanches et jours fériés, une
bronze lui était décernées. 3» En 1886,, je diverses. D'après les renseignements recueil- 5]_ voiture supplémentaire sera mise en
Thiei-s
Originaire de Toulouse, le défunt n* lis, il y a eu encore de nouvelles décep- circulation dans les faubourgs
crois, il obtenait pour tout le département, ;nt, 3P" et Marceau.
le premier prix pour irrigations1000 francs, ics, était venu en Algérie avec sa famille 19 tions à ajouter en ce qui concerne 16 le II sera également mis une voiture
et le premier prix pour tenue de fermes, aes, en 1858 ; il appartenait depuis plus as rendement du raisin car le siroco» a supplémentaire sur la ligne du cime-
un objet d'art de 500 francs. de 25 ans, à la maison Jour dan, le -e desséché les grappes. tière pour assurer le service des enter-
libraire bien connu d'Alger, Il jouissaitlit rements.
Toutes ces récompenses étaient obtenues mes .
séjour à Chanzy, ferme Courtot. dans cette ville, d'unanimes sym- n- lie» Grandes manoeuvres Pour les réclamations qui pour-
pendant son .tot#
produire à propos dé ces dif-
pathies. C'est le 4 octobre que le 4* bataillon
Ion raient se
En 1887, il achetait une propriété, é àa
férents services, les voyageurs sont
Sidi-Lhassen; depuis, il a continué son * * de Zouaves et le bataillon du 2 iil.
Tirail-
l'entrepreneur,

:-.'• leurs garnison à Oran, quitteront


unt priés de s'adresser à
oeuvre d'agriculteur et viticulteur modèle. lèle. Les journaux spéciaux publient nt en
estimations la vini- cette ville pour aller prendre part aux M. J. ABAD.
En 1889, il obtenait & l'Exposition Jni- Uni- leurs sur récolte ni- lUX
Bel-Abbès, le 7 Septembre 1899;
verselle cole, desqiM}lëfe4l'-. résulte que la ré- grandes manoeuvres^ ïalis la région
ion
1- Une médaille d'argent vins coite de cette année sera certainement >nt
J de Bel-Abbès. J. ABAD et C1».
pour ses is ;
X-ie Progrès cL<? Bel-Abbôs
ÉTUDE ensemble
enser. par les numéros 18, l'existence
l'exù d'un bail. Ces im- N'étant pas assisté d'un géo- cerne les superficies indiquées
de Me Eugène GUIRAND, 15 et 16 et par un boulevard meubles meu semblent être en la mètre l'huissier décline toute les çonfronts et le numérotage
avoué, Licencié en Droit, extérieur,
extér il porte ie numéro possession
poss de la partie saisie. responsabilités eh ce qui con- des lots.
près le Tribunal Civil de 17 du plan de lotissement des
première instance de Sidi- terra
terrains à bâtir de Slissen. ' EXTRAIT DE LA MATRICE CADASTRALE
Bel-Abbès, y demeurant,
rue de Strasbourg. Deuxième lot Cdmmune-mixte du Télagh, arrond* de Sidi-Bel-Abbès
VENTE vl
Un Lot de Jardin EXTRAIT dés registres de la matrice, cadastrale pour l'article de
sis au même lieu, portant le M. OTTO Joseph, propriétaire à Slissen.
AUX ENCHÈRES PUBLIQUES numéro
num. 30 du plan de Slissen, —__
—^ de la contenance de dix-huit : I INDICATION j

i4w offrant
JJ'ZMS ares, quarante centiares, limité \~~~
-—: '. .-.<*-———""" Contenance REVENU
e< dernier enchérisseur. dans son ensemble par la voie i ddelà dun- DES CANTONS Nature' imposable Classe
-
ferrée,
ferré un chemin et les numé- QprtîoTi
- dela- Par parcelle PAR PARCELLE
- -
Se
secuon dit
au ninti'
pian •'
0tj • LIEUX DITS propriété
ENSUITE DE ros 29
S et 31 du plan. L_
Saisie Immobilière

DIVERS IMMEUBLES
Jiï Lot i
Troisième lot "
de Vipe
NÉANT.

sis au même lieu portant le


)
sisSurleterritoirecleSLISSEN™ numéro 7 quarter du plan de
commune-mixte du Télagh ^"sï

EN SIX LOTS
Slissen, de-la contenance de un
hectare, quatre-vingt-quinze mixte
hecl
ares,.soixante
^'es centiares, limité-
dan son ensemble par la route
dans
m du Télagh. ...
Certifié le présent -ctat délivré conformément à la matrice cadastrale de la Commune-
Le 3 Juillet 1899,
Pour l'Administrateur, l'Adjoint spécial délégué,
de Bel-Abbès, les numéros Signé : ILLISIBLE,
L'adjudication aura lieu lee "e * 7S
,
MERCREDI, 11 OCTO-"'3* 7S et 8 du plan de lotissement. Observations
_ Reunion des Lots au Palais de justice, sis place
BRE mil huit cent quatre- Quatrième lot Camot,
Ca le mercredi onze
vingt-dix-neuf, à huit heu-
res du matin, à Vaud'enceâUi TT« mue Lut! Infinie ils
^
Apres
tielles
.
des
seront
les adjudications par- oc'
lots ci^dessus
réunis
décrits,
seul lot
octobre 1899, à huit heures ^Il est ici observé que l'ad-
du matin. judicataire
Ju<
les immeubles
futur
.
vendus
prendra
dans
des criées du Tribunal civil Uil en un
Purge Légale les

de première instance de etc


et exposés de nouveau en vente l'état
10 où ils se trouvent, avec
e portantp le numéro 7e ou plus sur SU1 la mise à prix formée par te
toutes leurs servitudes actives
Sidi-Bel-Abbès, au Palais ^
7« du plan de lotis-' le des premières adjudi- Tous ceux du chef desquels et passives, continues ou dis-
te exactement
exo -je total
(
de Justice, place Camot. sèment
sen de Slissen, l'acte d'o-' cg^ cations. il pourrait être pris inscription continues, apparentes ou ca-
^
cc
bligation devant contenir une Si
bli§ cause d'hypothèques sur chées,
—: ' . cette mise à prix n'est pas pour Pc c\- sans que leur défaut
On fait savoir à tous ceux x erreur.
err
ensemble
Il est borné dans son1 couverte, les premières adiu- les dits immeubles sont prôve- d'indication puisse rendre
co,
devront
^ en
qu'il appartiendra, qu'aux re- »_ ?në par l'Oued-Slissen,
' dications deviendront dôfini- ni'
<jj( nus qu'ils la faire ins- ai
aucun cas le poursuivant res-
quêtes, poursuites et diligen- i_ un^n chemin et les numéros 77 et1 tives. ,-v crire
cr avant la transcription du ponsable. p(
1" Ce lot est d'une jugement d'adjudication, ù Par le seul fait de son ad-
ces du sieur Jules CENAC, pro-7*
0_ .•
contenance?
Procédure
—— : ju
priétaire, demeurant à Sidi- i_ d'un
a u hectare, soixante-dix-septt peine
p< de déchéance. judication, l'adjudicataire fu-
w
Bel-Abbès, poursuivant ayantarcal ares, soixante centiares. La présente estpour-jE Enchères tur s'interdit de recher-
Me Eugène GUIRAND pour
vente el Mises à Prix cher les vendeurs pour erreurs
ir ' suivie,
su 1° en vertu d'un procès- c]
avoué, qui continuera d'occu- j_ Cinquième lot dans
d; les contenances, limites
des verbal
vc de saisie du ministère ; Outre les charges et condi-
per pour lui sur les fins Culture^ çonfronts, les dits immeu-
' présentes poursuites et leurs
psUn 1/ Lot de ^
de M" Quiévreux-,
-1 Télagh, en date tâu 3 juillet
huissier au1 tions
ti énoncées ou
en le cahier des ,bles étant vendus
en bloc et
t charges
cl dressé par Mc Eugène' non à la mesure, et le plus ou
suites. sis
5 au même lieu, portant lee 1899, 18 enregistré é%-dénoncé, GUIPiAND G avoué, pour parve-' ,le moins devant
A rencontre : le numéro 14 du plan, de laa suivant autre exploit du même ,
nir la tourner au
Du sieur Joseph OTTO, cul- si ï
juilletlg n ù vente, et déposé au'profit-ou à la perte des ac-
u~ contenance,
G0 de quatoi'ze hec-tu
:- huissier, en-daté du 10 t greffe du tribunal civil de;
tivateur, demeurant a Slissen, !n> tares,
tai cinquante-deux centia-- 1899, is enregistré. jppreniièrë instance quéreurs. ' "
pris.tanten sonnom personnel,' res. .'.
,..• .
de Sidi-Bel- . .
re, Ce lot est -borné dans sonn Procès-verbal de saisie eït Abbès, A lesçimmeubles ci-des-- Fait et rédigé par moi,
qu'en sa qualité de père et etenensemble par la forêt de l'Etat, t, exploit de dénonciation ont étéô sus, seront
tuteur légal et naturel dee : et les numéros 13 et 15 du e: s exposés en vente 3 o
,
avoué poursuivant àSidi-Bel-
>n trtranscrits au bureau des hypo->- sur s les mises à prix fixées parv Abbès, le 13 Septembre 1899.
1° Edouard OTTO; 2° Elisa
isa même
m plan de Slissen. thôques
tl de Sidi-Bel-Abbès lee le
y
li poursuivant, ainsi qu'il suit : Loco : Eugène GUIRAND,
OTTO, ses deux enfants issus us 18 juillet 1899,. volume 24, nu-- Premier lot,
. .i{
__ __ Avoué.
de son mariage avec la dame
Marie LENORMAND, sa dé-
Tlf*
le-
,
Sixième lot méros
n 11 et 12; .;<;-
2° D'un jugement de lecture
vingt-cinq
A fr., ci..
Deuxième lot, g ft »
ZO r H
. Signé : LISBONNE, avoué.
e Enregistré à Sidi-Bel-Abbès,
funteépouse, „~Un
Parties saisies n'ayant pas
j- Lot de Culture g rendu
1 par le Tribunal civil dee dix c francs, ci IU H**.
le Septembre 1899, folio
jas • première instance de Sidi-Bel- 1- Troisième lot',
t
\
v
constitué avoué sur les fins de portant le numéro 19s duu Abbés, date du 7 septembre dix francs, ci...... gIl)
en
#* . If»
<» case
<
, reçu quatre-vingt-
la présente vente. plan
pi de lotissement de Slissen, n'1899, enregistré^
!e c trois centimes, décimes com-
-fixant la Quatrième lot,
la
x

Il sera procédé aux jour, d'une


u contenance, de dix-neuf ui
,.
| t"•
\t\
U vris.
-
\
UT^
hectares, vente. dix francs, ci Le Receveur,
lieu et heure ci-après fixés,.^_à ni soixante-huit ares, <

soixante centiares, limité dans


ÎS,
Indication __—de là Cinquième lot, -ft Signé: BILLEREY.
la vente aux enchères publi- sc
ques, sur saisie immobilière, son
S( ensemble par un ravin
ns
et
^

—-
vente cinquante
:

,
Sixième
fr., ci... OU "• »
NOTA. — Pour tous ren-
,re
ïs^ le numéro 19, d'un autre côté immeuble^' ... lot, kfl
_-. -
des immeubles dont la dési-le >té Les ci-dessus 1S
cinquante '
fr.,ci...
„ OU fl»
1JL#
seignements,, s'adresser à M0
gnation est ci-dessous donnée. par
P la forêt de l'Etat et le com-iv décrits seront exposés. ^"
; en
.
Eugène GÛIRAND, avoué-
iee
munal.
c
enchères Septième lot,. . ft - , obursuivant, et pour pren-
n vente
^ aux publiques
"dix francs, ci.......|| | H. dre communication du cahier
Désignation Septième lot
l devant le "tribuntal. civil de Frais et remise proportion- dés charges, au greffe du
par
première instance dé-Sidi-Bel- q_ i_" Tribunal
' ' nelle en sus.
j Civil de Sidi-Bel-
des Immeubles à Vendre dre Âbbès, à l'audience des criées,
, Lot de Culture
Un *e
i
' • ' -- • -
"
. . . vAbbès, où il est déposé.

Les immeubles exposés en portant le numéro 242 du Avis aux Chasseurs A SidtDaho : propriétés NICOLAS
vente tels qu'ils ont été décrits
-rits plan de lotissement de Slissen, Aristide, Emile LAMBERT, LEPLUS Désiré
p MORIN et GENINjMarius.
en le procès-verbal de saisie d la contenance de deux hec-
dsie de La ctiasse est expressément interdite sur :.
Aux Lauriers-Roses : propriétés •a •«
dont il sera plus loin parlé con-t
îon- tares, quarante-six ares, qua- les terrains: ou propriétés, désignés ci raprès .; ÂLBËRGE et.MARÉOHAL. es

sistent en : ttre-vingts centiares, limité sis dans la région deJBet-Âbbès, savoir : ;' ;
À Prudon : propHétés Ch. HAYN, et
dans son ensemble par le ,:;ÈERLO., <a <u
o
A Âïn-Tricl : ^propriétés/BARBIER, ,:...-;.- ..- ,- ^§3'

"
Premier lot numéro
r 24 et la route de Sidi- CHEREAU,.-."Emile LAMBERT, LEPLÛS' A Ténira : propriétés NOUZILLE et :
-
;..-^-. Bel-Abbès.
i Alfred,;(JENIN. Mjmufset MARTIN Jérémie. DEMARCHI O m
s
cL3
Un Lot fle Terrain à Bâtir
. . À rOued-Gerrib : proprîétés-MORIN, A Tirenat : propriétés SUAUDEAU p S—»
&•'=> g 3
Ulil' Le premier et lé deuxième ALBERGE, BARBIER, NOUZILLE, ROY Calixte, BOTELLA (ancienne propriété C "S
(ferme Peyroùtet), PITRON, SUAUDEAU Ijoumedien Lpù Aricha) et BEN NACEUR.
Àxte 1lot sont situes au village de
sis àSlissen, commune mixte Calixte et GOUT. : ;. Aux Trembles : propriétés de M.
MARÉCHAL.
^~ gN 3O i-S
du Télagh, canton du dit, lSlissen, les derniers sont situés Au Tessalah ; propriétés NICOLAS "co i^3 OJ 7^

arrondissement de Sidi-Belr Bel;- ]banlieue de Slissen. Ceux-ci Aristide, BARBIER, LAMBERT Emile, A Zélifà : propriétés ALBERGE et ,
LOUBARËSSÉ, GÉNIN Marius et Calixte MARÉCHAL,,
Abbès et département d'Orân, rân, sont en, nature de labour et SÛAUDÈAÛV//: "" s sgs
! j -'": \' - v
A Zellat (El Gadda) : propriétés
de la contenance de treize ares broussailles et surtout de
l A l'Oued-Besbès : propriétés Emile MARECHAL. 2 -h «r a
LAMBERT, NOUZILLE et SUAUDEAU »
§:«'§'.
cinquante-huit centiares, en- broussailles. A Baudens : propriétés DEMARCHI.
ïtion Malgré les recherches faites
semble une petite construction Calixte.
Des gardes particuliers assermentés sont
p.§.
^_P Sec
Territoire de Bel-Abbès : pro- .
ir ce par l'huissier saisissant il lui a
édifiée en pierres et sise sur priétés CHEREAU/ EMSALLEM, MORIN chargés de dresser des procès^verbâux aux
lot. Ce lot est limité dans son été impossible de découvrir et ROY (fermé Peyroùtet). contrevenants/

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