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RADIOGRAPHIE DU RACHI LOMBAIRE FACE

1. Définition :
Le rachis lombaire fait référence à la région inférieure de la colonne vertébrale, composée de
cinq vertèbres lombaires (L1 à L5). Il s'agit de la partie du dos située entre le thorax et le
bassin.

2. Positionnement :
Pour réaliser une radiographie du rachis lombaire, le patient est généralement allongé sur
une table d'examen. Les jambes peuvent être légèrement fléchies et un support peut être
utilisé pour maintenir les genoux en place. Le patient doit rester immobile pendant la prise
de l'image afin d'obtenir des résultats clairs.

3. Distance du film :
La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être
standardisée pour obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm
est utilisée pour les radiographies du rachis lombaire, bien que cela puisse varier en fonction
des pratiques et des équipements spécifiques.

4. Collimation :
La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X,
réduisant ainsi la dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du rachis
lombaire, la collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région
lombaire, évitant ainsi une exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :


Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du rachis lombaire incluent les points
suivants :
- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation
des structures osseuses et des éventuelles anomalies.
- La colonne vertébrale lombaire doit être entièrement visible, de L1 à L5, sans coupure ni
superposition excessive des vertèbres.
- Les apophyses épineuses, les articulations intervertébrales et les espaces discaux doivent
être clairement visibles.
- Les structures anatomiques adjacentes, telles que les hanches et le bassin, doivent être
incluses dans l'image si nécessaire pour une évaluation complète.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du rachis lombaire en profil selon le plan que tu as
mentionné :

1. Définition :

La radiographie du rachis lombaire en profil est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les vertèbres lombaires de profil. Elle permet d'évaluer la structure osseuse et les
éventuelles anomalies du rachis lombaire.
2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du rachis lombaire en profil, le patient est généralement debout ou
allongé sur une table d'examen. Le dos du patient est tourné vers le tube à rayons X, tandis que le
ventre est tourné vers le film ou le détecteur. Les membres supérieurs peuvent être placés sur les
hanches pour réduire la superposition des structures osseuses.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies du rachis lombaire en profil, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et
des équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du rachis lombaire en profil, la
collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région lombaire, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du rachis lombaire en profil incluent les
points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
vertèbres lombaires et des éventuelles anomalies.

- La colonne vertébrale lombaire doit être entièrement visible, montrant les corps vertébraux, les
apophyses épineuses, les articulations intervertébrales et les espaces discaux.

- Les vertèbres lombaires doivent être bien alignées et symétriques, sans déviation ou déformation
significative.

- La superposition des structures osseuses adjacentes doit être minimale pour une interprétation
précise.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du rachis lombaire en profil.
Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du rachis cervical en face selon le plan que tu as
mentionné :

1. Définition :

La radiographie du rachis cervical en face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les vertèbres cervicales de face. Elle permet d'évaluer la structure osseuse et les
éventuelles anomalies du rachis cervical.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du rachis cervical en face, le patient est généralement debout ou assis
sur une table d'examen. Le dos du patient est placé contre un support vertical, tandis que la tête est
maintenue en position neutre, c'est-à-dire en position verticale avec le regard droit devant. Le
menton peut être légèrement relevé pour mieux visualiser les vertèbres cervicales.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 150 cm est utilisée pour les
radiographies du rachis cervical en face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du rachis cervical en face, la collimation
doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région cervicale, évitant ainsi une exposition
excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du rachis cervical en face incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
vertèbres cervicales et des éventuelles anomalies.

- La colonne vertébrale cervicale doit être entièrement visible, montrant les corps vertébraux, les
apophyses épineuses, les articulations intervertébrales et les espaces discaux.

- Les vertèbres cervicales doivent être bien alignées et symétriques, sans déviation ou déformation
significative.

- Les structures osseuses et les espaces discaux doivent être clairement visibles pour une évaluation
précise.
Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du rachis cervical en face.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du rachis cervical en profil selon le plan que vous
avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie du rachis cervical en profil est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les vertèbres cervicales de profil. Elle permet d'évaluer la structure osseuse et les
éventuelles anomalies du rachis cervical dans cette orientation spécifique.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du rachis cervical en profil, le patient est généralement debout ou
assis sur une table d'examen. Le technicien ou le radiologue positionne le patient de manière à ce
que le plan de la colonne cervicale soit perpendiculaire au plan de l'image. Le patient est invité à
garder la tête droite et le regard fixé devant lui. Les bras peuvent être placés le long du corps pour
éviter de gêner la visualisation des vertèbres cervicales.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 150 cm est utilisée pour les
radiographies du rachis cervical en profil, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du rachis cervical en profil, la
collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région cervicale, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du rachis cervical en profil incluent les points
suivants :
- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
vertèbres cervicales et des éventuelles anomalies.

- Le rachis cervical doit être entièrement visible, montrant les corps vertébraux, les apophyses
épineuses, les articulations intervertébrales et les espaces discaux dans une projection de profil.

- Les vertèbres cervicales doivent être bien alignées et symétriques, sans déviation ou déformation
significative.

- Les structures osseuses et les espaces discaux doivent être clairement visibles pour une évaluation
précise.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du rachis cervical en profil.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du genou en face selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition :

La radiographie du genou en face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser les
structures osseuses et articulaires du genou dans une projection frontale. Elle permet d'évaluer les
os, les articulations et les éventuelles anomalies du genou.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du genou en face, le patient est généralement allongé sur une table
d'examen, soit sur le dos, soit en décubitus latéral. Le genou à examiner est placé dans une position
neutre, c'est-à-dire ni fléchi ni étendu, avec le talon en contact avec le plan de la table. Le membre
inférieur non examiné peut être fléchi pour plus de confort.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies du genou en face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du genou en face, la collimation doit
être ajustée de manière à inclure uniquement la région du genou, évitant ainsi une exposition
excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du genou en face incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses du genou, y compris le fémur, le tibia, la rotule et les condyles.

- Le genou doit être correctement positionné dans une projection frontale, sans rotation excessive ou
superposition des structures.

- Les lignes articulaires du genou, telles que l'interligne articulaire et les épines tibiales, doivent être
clairement visibles et évaluables.

- Les structures osseuses, y compris les contours osseux et les éventuelles lésions, doivent être
clairement visibles pour une évaluation précise.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du genou en face.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie des genoux en profil selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition :

La radiographie des genoux en profil est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser
les structures osseuses et articulaires des genoux dans une projection latérale. Elle permet d'évaluer
les os, les articulations et les éventuelles anomalies des genoux dans cette orientation spécifique.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie des genoux en profil, le patient est généralement debout ou assis sur
une table d'examen. Le genou à examiner est fléchi à un angle d'environ 30 degrés, avec le côté
latéral du genou (côté opposé à la rotule) en contact avec la table ou le support approprié. Le pied du
membre examiné est placé à côté de l'autre pied pour permettre une bonne séparation des
structures osseuses.

3. Distance du film :
La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies des genoux en profil, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie des genoux en profil, la collimation doit
être ajustée de manière à inclure uniquement la région des genoux, évitant ainsi une exposition
excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie des genoux en profil incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses des genoux, y compris le fémur, le tibia, la rotule et les condyles.

- Les lignes articulaires du genou, telles que l'interligne articulaire et les épines tibiales, doivent être
clairement visibles et évaluables dans une projection latérale.

- Les structures osseuses, y compris les contours osseux et les éventuelles lésions, doivent être
clairement visibles pour une évaluation précise.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie des genoux en profil.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie des genoux en charge selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition :

La radiographie des genoux en charge, également appelée radiographie en charge ou radiographie


fonctionnelle, est une technique d'imagerie médicale utilisée pour évaluer les genoux dans une
position de charge, c'est-à-dire lorsque le poids du corps est supporté par les articulations du genou.
Cette technique permet de visualiser les structures osseuses et articulaires du genou dans des
conditions plus proches de la réalité fonctionnelle.

2. Positionnement :
Pour réaliser une radiographie des genoux en charge, le patient est debout et positionné face à une
plaque de support spéciale qui permet de supporter le poids du corps tout en maintenant les genoux
dans la position souhaitée. Les pieds du patient sont placés sur des repose-pieds pour stabiliser la
position. Le patient est souvent invité à fléchir légèrement les genoux pour simuler une position de
marche ou de charge normale.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies des genoux en charge, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie des genoux en charge, la collimation
doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région des genoux, évitant ainsi une exposition
excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie des genoux en charge incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses des genoux, y compris le fémur, le tibia, la rotule et les condyles.

- Les lignes articulaires, telles que l'interligne articulaire et les épines tibiales, doivent être clairement
visibles et évaluables dans une position de charge.

- Les structures osseuses, y compris les contours osseux et les éventuelles lésions, doivent être
clairement visibles pour une évaluation précise.

- L'image doit montrer une répartition équilibrée du poids entre les deux genoux, avec une symétrie
des structures et une absence de déviations ou de déformations significatives.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie des genoux en charge.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du pied en face selon le plan que vous avez
mentionné :
1. Définition :

La radiographie du pied en face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser les
structures osseuses du pied dans une projection frontale. Elle permet d'évaluer les os, les
articulations et les éventuelles anomalies du pied.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du pied en face, le patient est généralement debout ou assis sur une
table d'examen. Le pied à examiner est placé à plat sur le plan de la table ou du support approprié,
avec les orteils pointés vers l'avant. Le poids du corps peut être réparti uniformément sur les deux
pieds pour maintenir une position stable.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies du pied en face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du pied en face, la collimation doit être
ajustée de manière à inclure uniquement la région du pied, évitant ainsi une exposition excessive des
tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du pied en face incluent les points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses du pied, y compris les métatarsiens, les phalanges, le talus et le calcaneus.

- Les lignes articulaires, telles que les interlignes articulaires des articulations du pied, doivent être
clairement visibles et évaluables.

- Les structures osseuses, y compris les contours osseux et les éventuelles lésions, doivent être
clairement visibles pour une évaluation précise.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux pieds, permettant une comparaison
des structures.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du pied en face.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du pied en incidence oblique selon le plan que
vous avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie du pied en incidence oblique est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les structures osseuses du pied dans une projection oblique. Cette technique permet
d'obtenir des informations supplémentaires sur les différentes parties du pied qui ne sont pas
facilement visibles dans une projection frontale ou latérale.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du pied en incidence oblique, le patient est généralement debout ou
assis sur une table d'examen. Le pied à examiner est positionné de manière à ce que l'angle
d'obliquité souhaité soit obtenu. Cela peut impliquer de placer le pied en rotation interne ou externe
par rapport à la position frontale standard.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies du pied en incidence oblique, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et
des équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du pied en incidence oblique, la
collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région du pied examinée, tout en
évitant une exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du pied en incidence oblique incluent les
points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses du pied dans l'incidence oblique spécifique.

- Les structures osseuses, y compris les contours osseux et les éventuelles lésions, doivent être
clairement visibles dans l'incidence oblique choisie.
- Les lignes articulaires et les interlignes articulaires des articulations du pied doivent être clairement
visibles et évaluables dans l'incidence oblique spécifique.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux pieds, permettant une comparaison
des structures.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du pied en incidence oblique.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de la jambe en face selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition :

La radiographie de la jambe en face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser les
structures osseuses de la jambe dans une projection frontale. Elle permet d'évaluer les os, les
articulations et les éventuelles anomalies de la jambe, y compris le tibia et le péroné.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de la jambe en face, le patient est généralement allongé sur une table
d'examen. La jambe à examiner est positionnée de manière à ce que le tibia et le péroné soient
perpendiculaires au plan de la table. Le pied est maintenu en position neutre, ni en rotation interne
ni en rotation externe.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de la jambe en face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de la jambe en face, la collimation doit
être ajustée de manière à inclure uniquement la région de la jambe examinée, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :


Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de la jambe en face incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de la jambe, y compris le tibia et le péroné.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise de la structure osseuse et des éventuelles fractures ou déformations.

- L'articulation du genou doit être incluse dans l'image pour évaluer les structures articulaires et les
interlignes articulaires.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux jambes, permettant une comparaison
des structures.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de la jambe en face.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de la jambe en profil selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition : [4]

Monsieur,

Votre médecin vous a proposé une Urétrocystographie rétrograde et mictionnelle. Cet acte sera
pratiqué avec votre consentement. Vous avez en effet la liberté de l’accepter ou de le refuser à tout
moment. Cette fiche vous informe sur le déroulement de l’acte et de ses suites.

N’oubliez pas de vous munir de vos anciens examens, et de la liste écrite des médicaments que vous
prenez. Il est également très important que vous respectiez les recommandations qui vous sont
faites.

La radiologie utilise des rayons X

Les rayons X sont utilisés en imagerie médicale, afin de visualiser l’anatomie du corps humain. Le
choix de cette technique tient compte du rapport

bénéfice‐risque de celle‐ci, et toutes les précautions sont prises pour limiter votre exposition aux
rayons X.
Les doses délivrées lors d’examens diagnostiques sont faibles, et n’ont en général pas d’effet sur
l’organisme.

Mars 2021 [1] PIM0085

1. Nature de l’acte

L’urétrocystographie rétrograde et mictionnelle (UCRM) est une radiographie de la vessie et de


l’urètre. Pour visualiser cette partie basse de l’appareil urinaire une sonde est placée dans l’urètre afin
d’injecter un produit de contraste iodé, opaque aux rayons X.

2. Histoire naturelle de l’affection

Accepter l’examen que l’on vous propose peut permettre d'établir le diagnostic et de modifier la
thérapeutique.

Refuser ne modifiera pas l'évolution de la pathologie, mais peut gêner sa prise en charge (diagnostic,
traitement….)

3. Déroulement de l’acte

Cet examen se déroule dans une salle d’examen d’imagerie conventionnelle dotée d’un écran de
contrôle scopique. Cet écran « de télévision » permet à l’équipe soignante de suivre la progression du
produit de contraste dans l’urètre et la vessie. Cet examen se déroule en 2 parties : L’opacification de
l’urètre et de la vessie et la miction.

1ère partie de l’examen

A votre arrivée, après avoir réalisé les formalités administratives, vous êtes pris en charge par l’équipe
médicale et paramédicale de l’unité d’imagerie. Certains de vos vêtements doivent être ôtés. Vous ne
serez pas complètement dénudé, une blouse patient sans pression ni agrafe est à votre disposition.
L’examen se pratique la vessie complètement vide. On vous demandera d’aller uriner. Pendant l’acte
vous êtes allongé sur la table de radiologie. Des images radiologiques sans préparation de l’ensemble
de l’abdomen sont réalisées par le manipulateur.

L’examen commence par une toilette antiseptique de la verge selon les recommandations formulées
par le service d’hygiène du CHU. Cette étape de l’examen est réalisée dans le respect le plus optimal
de votre intimité. Le médecin introduit la sonde dans l’urètre sur 3 cm environ, et utilise une pince
pour la maintenir en place afin d’injecter avec une seringue du produit de contraste. (L’introduction
de la sonde dans le méat urinaire peut être désagréable). Le manipulateur réalise des clichés dans
plusieurs positions selon un protocole rigoureux, établi par l’équipe médicale. Puis la sonde est reliée
à un flacon de produit de contraste afin de remplir la vessie. Lorsque celle‐ci est pleine vous
ressentirez une forte envie d’uriner. Des clichés sont encore réalisés. La durée de cette première
partie d’examen est d’environ 30 minutes.

[2]

2ème partie de l’examen : clichés mictionnels

La sonde urinaire est retirée et vous devez uriner, allongé sur la table d’examen, dans un urinal
jetable, pendant que le manipulateur réalise des clichés « mictionnels ». Cette étape de l’examen est
délicate car inconfortable et inhabituelle. Lorsque la vessie est complètement vide un dernier cliché
est réalisé et l’examen est terminé.
Les résultats sont envoyés au médecin ou bien si vous le souhaitez, vous pouvez attendre le compte
rendu.

4. Bénéfices escomptés

L’urétrocystographie rétrograde et mictionnelle permet d’affiner ou d’établir un diagnostic. Cet acte


permet également de proposer le traitement le plus adapté et de répondre au problème que se pose
votre médecin (sténose de l’urètre, reflux, problème prostatique…).

5. Risques, incidents et complications

La pose de la sonde peut être désagréable. L’examen nécessite l’utilisation d’un produit de contraste à
base d’iode. Ce produit est généralement bien toléré. D’éventuelles manifestations allergiques sont
possibles mais restent très rares. (Urticaire). De très graves réactions, pouvant entraîner des séquelles
ou un décès, sont tout à fait exceptionnelles.

La fuite de produit de contraste autour de l’urètre ou de la vessie au moment de l’injection est rare et
sans gravité. Exceptionnellement, si elle est importante, elle peut nécessiter la prescription d’un
traitement antibiotique. Dans ce cas, il n’est pas rare d’observer un petit saignement temporaire et
sans gravité.

6. Contraintes préalables et postérieures à l'acte

• Si vous avez un terrain allergique (asthme, allergie à un produit de contraste, à des


médicaments ou à des aliments) une prescription de médicament(s) pourrait être nécessaire. Veuillez
nous signaler cette

allergie dès réception de cette fiche information.

• Vous devez réaliser, 48h avant la date de votre Urétrocystographie rétrograde, un examen
cytobactériologique des urines (ECBU) à la recherche d’une infection urinaire. Le laboratoire nous
communiquera les résultats, mais il est recommandé que vous les rameniez le jour de votre examen.
Si le résultat est positif, l’UCRM n’est pas réalisable prévenez notre secrétariat pour annuler le rendez‐
vous. Contacter votre médecin généraliste ou le médecin

[3]La radiographie de la jambe en profil est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser
les structures osseuses de la jambe dans une projection latérale. Elle permet d'évaluer les os, les
articulations et les éventuelles anomalies de la jambe, y compris le tibia et le péroné.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de la jambe en profil, le patient est généralement debout ou allongé
sur une table d'examen. La jambe à examiner est positionnée de manière à ce que le tibia et le
péroné soient parallèles au plan de la table. Le genou peut être légèrement fléchi pour faciliter
l'alignement de la jambe.

3. Distance du film :
La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de la jambe en profil, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de la jambe en profil, la collimation doit
être ajustée de manière à inclure uniquement la région de la jambe examinée, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de la jambe en profil incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de la jambe, y compris le tibia et le péroné.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise de la structure osseuse et des éventuelles fractures ou déformations.

- L'articulation du genou doit être incluse dans l'image pour évaluer les structures articulaires et les
interlignes articulaires.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux jambes, permettant une comparaison
des structures.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de la jambe en profil.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de l'épaule en face selon le plan que vous avez
mentionné :

1. Définition :

La radiographie de l'épaule en face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour visualiser les
structures osseuses de l'épaule dans une projection frontale. Elle permet d'évaluer les os, les
articulations et les éventuelles anomalies de l'épaule, y compris la clavicule, l'omoplate et la tête de
l'humérus.
2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de l'épaule en face, le patient est généralement debout ou assis sur
une table d'examen. Le bras du côté à examiner est positionné de manière à ce que l'épaule soit dans
une position neutre et que le bras soit légèrement écarté du corps. La main du patient peut reposer
sur la hanche opposée pour stabiliser la position.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de l'épaule en face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de l'épaule en face, la collimation doit
être ajustée de manière à inclure uniquement la région de l'épaule examinée, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de l'épaule en face incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de l'épaule, y compris la clavicule, l'omoplate et la tête de l'humérus.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise des structures de l'épaule et des éventuelles fractures ou déformations.

- Les articulations de l'épaule et les espaces articulaires, tels que l'articulation glénohumérale,
doivent être bien visibles pour l'évaluation des pathologies articulaires.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux épaules, permettant une comparaison
des structures.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de l'épaule en face.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de l'épaule en profil strict selon le plan que vous
avez mentionné :
1. Définition :

La radiographie de l'épaule en profil strict est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les structures osseuses de l'épaule dans une projection latérale. Elle permet d'évaluer les
os, les articulations et les éventuelles anomalies de l'épaule, y compris la clavicule, l'omoplate et la
tête de l'humérus.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de l'épaule en profil strict, le patient est généralement debout ou assis
sur une table d'examen. Le bras du côté à examiner est fléchi à un angle d'environ 90 degrés au
niveau du coude et maintenu en contact avec le corps. L'épaule à examiner est tournée de manière à
ce que le profil latéral de l'épaule soit visualisé.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de l'épaule en profil strict, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de l'épaule en profil strict, la
collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région de l'épaule examinée, évitant
ainsi une exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de l'épaule en profil strict incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de l'épaule, y compris la clavicule, l'omoplate et la tête de l'humérus.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise des structures de l'épaule et des éventuelles fractures ou déformations.

- L'articulation de l'épaule et les espaces articulaires, tels que l'articulation glénohumérale, doivent
être bien visibles pour l'évaluation des pathologies articulaires.

- L'image doit montrer une symétrie appropriée entre les deux épaules, permettant une comparaison
des structures.
Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de l'épaule en profil strict.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de l'épaule en incidence du Y (ou Lamy) strict
selon le plan que vous avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie de l'épaule en incidence du Y (ou Lamy) strict est une technique d'imagerie médicale
utilisée pour visualiser les structures osseuses de l'épaule dans une projection spécifique pour
évaluer la glène et l'humérus. Cette incidence est utilisée pour détecter des pathologies telles que la
luxation de l'épaule et les fractures de la glène.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de l'épaule en incidence du Y strict, le patient est généralement
debout ou assis sur une table d'examen. Le bras du côté à examiner est fléchi à un angle d'environ 90
degrés au niveau du coude et maintenu en contact avec le corps. L'épaule est positionnée dans une
rotation médiale de manière à aligner la tête de l'humérus avec le plan du film.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de l'épaule en incidence du Y strict, bien que cela puisse varier en fonction des
pratiques et des équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de l'épaule en incidence du Y strict, la
collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région de l'épaule examinée, évitant
ainsi une exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de l'épaule en incidence du Y strict incluent
les points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de l'épaule, y compris la glène et l'humérus.
- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise des structures de l'épaule et des éventuelles fractures ou déformations.

- Le bord antérieur de la glène doit être bien visualisé et aligné avec le bord postérieur de la clavicule.

- L'articulation de l'épaule et les espaces articulaires, tels que l'articulation glénohumérale, doivent
être bien visibles pour l'évaluation des pathologies articulaires.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de l'épaule en incidence du Y strict (ou Lamy).

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de l'épaule en incidence de rotation interne selon
le plan que vous avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie de l'épaule en incidence de rotation interne est une technique d'imagerie médicale
utilisée pour visualiser les structures osseuses de l'épaule dans une projection spécifique. Elle permet
d'évaluer les articulations et les structures osseuses, notamment la tête de l'humérus et la glène,
dans une position de rotation interne de l'épaule.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de l'épaule en incidence de rotation interne, le patient est
généralement debout ou assis sur une table d'examen. Le bras du côté à examiner est fléchi à un
angle d'environ 90 degrés au niveau du coude et maintenu en contact avec le corps. L'épaule est
positionnée dans une rotation interne, de sorte que la main du patient repose sur la région lombaire
opposée.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de l'épaule en incidence de rotation interne, bien que cela puisse varier en fonction des
pratiques et des équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de l'épaule en incidence de rotation
interne, la collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région de l'épaule
examinée, évitant ainsi une exposition excessive des tissus environnants.
5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de l'épaule en incidence de rotation interne
incluent les points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de l'épaule, y compris la tête de l'humérus et la glène.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise des structures de l'épaule et des éventuelles fractures ou déformations.

- La tête de l'humérus doit être bien centrée dans la glène, sans superposition excessive des
structures adjacentes.

- L'articulation de l'épaule et les espaces articulaires, tels que l'articulation glénohumérale, doivent
être bien visibles pour l'évaluation des pathologies articulaires.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de l'épaule en incidence de rotation interne.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie de l'épaule en incidence de rotation externe selon
le plan que vous avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie de l'épaule en incidence de rotation externe est une technique d'imagerie médicale
utilisée pour visualiser les structures osseuses de l'épaule dans une projection spécifique. Elle permet
d'évaluer les articulations et les structures osseuses, notamment la tête de l'humérus et la glène,
dans une position de rotation externe de l'épaule.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie de l'épaule en incidence de rotation externe, le patient est
généralement debout ou assis sur une table d'examen. Le bras du côté à examiner est fléchi à un
angle d'environ 90 degrés au niveau du coude et maintenu en contact avec le corps. L'épaule est
positionnée dans une rotation externe, de sorte que la main du patient repose sur la région fessière
opposée.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 100 cm est utilisée pour les
radiographies de l'épaule en incidence de rotation externe, bien que cela puisse varier en fonction
des pratiques et des équipements spécifiques.
4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie de l'épaule en incidence de rotation
externe, la collimation doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région de l'épaule
examinée, évitant ainsi une exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie de l'épaule en incidence de rotation externe
incluent les points suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses de l'épaule, y compris la tête de l'humérus et la glène.

- Les lignes et les contours osseux doivent être clairement visibles pour permettre une évaluation
précise des structures de l'épaule et des éventuelles fractures ou déformations.

- La tête de l'humérus doit être bien centrée dans la glène, sans superposition excessive des
structures adjacentes.

- L'articulation de l'épaule et les espaces articulaires, tels que l'articulation glénohumérale, doivent
être bien visibles pour l'évaluation des pathologies articulaires.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie de l'épaule en incidence de rotation externe.

Bien sûr ! Voici les informations sur la radiographie du crâne en vue de face selon le plan que vous
avez mentionné :

1. Définition :

La radiographie du crâne en vue de face est une technique d'imagerie médicale utilisée pour
visualiser les structures osseuses du crâne dans une projection frontale. Cela permet d'évaluer
l'anatomie du crâne, y compris les os du crâne, les sinus, les sutures craniofaciales et les éventuelles
anomalies.

2. Positionnement :

Pour réaliser une radiographie du crâne en vue de face, le patient est généralement debout ou assis
sur une table d'examen. La tête du patient est positionnée de manière à être alignée avec le plan du
film. Le patient est souvent invité à maintenir une position neutre du cou, en regardant droit devant
lui.

3. Distance du film :

La distance entre le tube à rayons X et le film (ou le détecteur numérique) doit être standardisée pour
obtenir une qualité d'image optimale. En général, une distance de 150 cm est utilisée pour les
radiographies du crâne en vue de face, bien que cela puisse varier en fonction des pratiques et des
équipements spécifiques.

4. Collimation :

La collimation est utilisée pour limiter la zone du corps qui est exposée aux rayons X, réduisant ainsi la
dose de radiation reçue par le patient. Pour une radiographie du crâne en vue de face, la collimation
doit être ajustée de manière à inclure uniquement la région du crâne examinée, évitant ainsi une
exposition excessive des tissus environnants.

5. Critères de qualité et de réussite :

Les critères de qualité et de réussite d'une radiographie du crâne en vue de face incluent les points
suivants :

- L'image doit être suffisamment nette et bien définie pour permettre une bonne visualisation des
structures osseuses du crâne, y compris les contours du crâne, les sutures et les os faciaux.

- La symétrie du crâne doit être évaluée, avec des structures bilatérales bien alignées.

- Les sinus du crâne, tels que les sinus frontaux et maxillaires, doivent être bien visibles, permettant
l'évaluation d'éventuelles anomalies ou inflammations.

- Le film doit être correctement exposé, évitant une surexposition ou une sous-exposition excessive
qui pourrait affecter la qualité de l'image.

Il est important de noter que ces informations sont générales et peuvent varier en fonction des
protocoles et des pratiques spécifiques de chaque établissement médical. Il est toujours préférable
de consulter un professionnel de la santé pour des informations précises et personnalisées
concernant une radiographie du crâne en vue de face.

URMm

La radiologie utilise des rayons X


Les rayons X sont utilisés en imagerie médicale, afin de visualiser l’anatomie du corps humain. Le
choix de cette technique tient compte du rapport

bénéfice‐risque de celle‐ci, et toutes les précautions sont prises pour limiter votre exposition aux
rayons X.

Les doses délivrées lors d’examens diagnostiques sont faibles, et n’ont en général pas d’effet sur
l’organisme.

Mars 2021 [1] PIM0085

1. Nature de l’acte

L’urétrocystographie rétrograde et mictionnelle (UCRM) est une radiographie de la vessie et de


l’urètre. Pour visualiser cette partie basse de l’appareil urinaire une sonde est placée dans l’urètre afin
d’injecter un produit de contraste iodé, opaque aux rayons X.

2. Histoire naturelle de l’affection

Accepter l’examen que l’on vous propose peut permettre d'établir le diagnostic et de modifier la
thérapeutique.

Refuser ne modifiera pas l'évolution de la pathologie, mais peut gêner sa prise en charge (diagnostic,
traitement….)

3. Déroulement de l’acte

Cet examen se déroule dans une salle d’examen d’imagerie conventionnelle dotée d’un écran de
contrôle scopique. Cet écran « de télévision » permet à l’équipe soignante de suivre la progression du
produit de contraste dans l’urètre et la vessie. Cet examen se déroule en 2 parties : L’opacification de
l’urètre et de la vessie et la miction.

1ère partie de l’examen

A votre arrivée, après avoir réalisé les formalités administratives, vous êtes pris en charge par l’équipe
médicale et paramédicale de l’unité d’imagerie. Certains de vos vêtements doivent être ôtés. Vous ne
serez pas complètement dénudé, une blouse patient sans pression ni agrafe est à votre disposition.
L’examen se pratique la vessie complètement vide. On vous demandera d’aller uriner. Pendant l’acte
vous êtes allongé sur la table de radiologie. Des images radiologiques sans préparation de l’ensemble
de l’abdomen sont réalisées par le manipulateur.

L’examen commence par une toilette antiseptique de la verge selon les recommandations formulées
par le service d’hygiène du CHU. Cette étape de l’examen est réalisée dans le respect le plus optimal
de votre intimité. Le médecin introduit la sonde dans l’urètre sur 3 cm environ, et utilise une pince
pour la maintenir en place afin d’injecter avec une seringue du produit de contraste. (L’introduction
de la sonde dans le méat urinaire peut être désagréable). Le manipulateur réalise des clichés dans
plusieurs positions selon un protocole rigoureux, établi par l’équipe médicale. Puis la sonde est reliée
à un flacon de produit de contraste afin de remplir la vessie. Lorsque celle‐ci est pleine vous
ressentirez une forte envie d’uriner. Des clichés sont encore réalisés. La durée de cette première
partie d’examen est d’environ 30 minutes.

[2]

2ème partie de l’examen : clichés mictionnels


La sonde urinaire est retirée et vous devez uriner, allongé sur la table d’examen, dans un urinal
jetable, pendant que le manipulateur réalise des clichés « mictionnels ». Cette étape de l’examen est
délicate car inconfortable et inhabituelle. Lorsque la vessie est complètement vide un dernier cliché
est réalisé et l’examen est terminé.

Les résultats sont envoyés au médecin ou bien si vous le souhaitez, vous pouvez attendre le compte
rendu.

4. Bénéfices escomptés

L’urétrocystographie rétrograde et mictionnelle permet d’affiner ou d’établir un diagnostic. Cet acte


permet également de proposer le traitement le plus adapté et de répondre au problème que se pose
votre médecin (sténose de l’urètre, reflux, problème prostatique…).

5. Risques, incidents et complications

La pose de la sonde peut être désagréable. L’examen nécessite l’utilisation d’un produit de contraste à
base d’iode. Ce produit est généralement bien toléré. D’éventuelles manifestations allergiques sont
possibles mais restent très rares. (Urticaire). De très graves réactions, pouvant entraîner des séquelles
ou un décès, sont tout à fait exceptionnelles.

La fuite de produit de contraste autour de l’urètre ou de la vessie au moment de l’injection est rare et
sans gravité. Exceptionnellement, si elle est importante, elle peut nécessiter la prescription d’un
traitement antibiotique. Dans ce cas, il n’est pas rare d’observer un petit saignement temporaire et
sans gravité.

6. Contraintes préalables et postérieures à l'acte

• Si vous avez un terrain allergique (asthme, allergie à un produit de contraste, à des


médicaments ou à des aliments) une prescription de médicament(s) pourrait être nécessaire. Veuillez
nous signaler cette

allergie dès réception de cette fiche information.

• Vous devez réaliser, 48h avant la date de votre Urétrocystographie rétrograde, un examen
cytobactériologique des urines (ECBU) à la recherche d’une infection urinaire. Le laboratoire nous
communiquera les résultats, mais il est recommandé que vous les rameniez le jour de votre examen.
Si le résultat est positif, l’UCRM n’est pas réalisable prévenez notre secrétariat pour annuler le rendez‐
vous. Contacter votre médecin généraliste ou le médecin

[3]

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