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Travail historique pour qu’émerge les démocratie, début du siècles avec les guerres mondiales ou
les médias d semasse se di usent dans les société qui crée de causalité
histoire de communication
La communication Est très pratiquée, on st confrontés aux médias de masse en permanence.
3 principaux problèmes: les sociétés de communication est la montée des démocraties de masse
et la montée des régimes totalitaires
Les démocraties de masse sont un des plus marquant dans le siècle dernier
Démocraties de masse sont des démocraties massives qui intègrent de plus en plus de
personnes, les femmes (droit de votes, divorces etc), noirs américain, la classe ouvrière, les
handicapés, les enfants, les transexuels, les animaux
Lorsqu’on inclus de plus en plus de monde le risque est la confrontation et les di érentes
manières de communiquer. Les premières misent en communication sont con ictuelle
En démocratie le doits qui n’ont pas été donnés ne sont pas donnés par politesse, repose sur
dynamique con ictuelle
La communication ne se dé nit pas par le fait de se comprendre, elle n’est pas censée être
toujours correcte, dans le bon sens il y a surtout de l’incommunication
Une des solutions pour mettre en relations le plus de monde possible sont les médias de masse.
C’est un des principaux espaces de la communication
2 le mots communication est di cile à dé nir, de quoi on parle lorsqu’on parle de communication
(verbale, non verbale, par geste, par communication animale, de communication politique,
d’entreprise)
Trop de possibilités de communication donc le but est de faire le tris
En philo ou en eco la question posée est
Est ce que l’intercompréhension n’est pas la vrai préoccupation dans la communication.
L’intercompréhension
On part du principe que l’intercompréhension permet la démocratie, elle est au coeur des travaux
sur la communication.
Peut on délaisser la dé nition de la communication pour en saisir les dimensions sociales,
politique économique ou culturelle?
De nition de la communication
Formellement le mot communication apparait dans la langue française au 14 eme siècle et dans
la langue anglaise au 15 eme siècle. Il est issu du latin communicare (participation,
communication, partage)
Le développement des techniques de transport et de mis en relation (des hommes des biens et
des données) va chambouler la dé nition: chemin de fer, automobile, télégraphe, téléphone,
presse télévision internet. L’idée de « transmission » de « moyen de passage" s’impose désormais
L’émergence des médias de masse, depuis un siècle environ, l’accent a largement été mis sur les
médias de masse : presse radio télé et désormais internet qui constitue le fait de
commincationnel le plus original et le plus déterminant des démocraties modernes.
Point de vue sur les relations de pouvoir et des cultures= relation culturelle univers des relations
Relation avec les médias etc= technique, univers des objets
Une vision de l’ordre politique quoi les units = dimensions politique, c’est un univers
Du coté de l’apologiste les sophiste défendent l’usage de la réthorique, plaide pour les analyse
des jeux de langage.
Héritage des sophistes varié: spécialistes du langage, publicitaire (communication car publicité
permet de vendre ), communicants, défenseur d’une utopie techniciste
IDEALISME
Utopies
-manier correctement le Language pour parvenir a une communication intuitive, spirituelle et
religieuse.
Dystopies
-manipulation a grandes échelles des individus non éclairés
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Sophisme
-meilleure compréhension grâce aux outils; aide des machines
La théorie des e ets direct, critique des états de masse, les individus vont être considérés
comme masse homogène qui peut être in uencé, formater par les grand médias qui représentent
l’hégémonie
.
Dans l’émergence de la masse période optimiste 128 eme siècle, émergence de liberté de la
presse, expression qui donne un sou e émancipateur et démocratique, (reconnaissance de
l’individus, l’aboutissement des lumières)
Cela ne dure pas avec l’arrivée du 20 eme siècle, n 19 eme ça commence a s’e riter et petite a
petit idée que le peuple masse ne soit pas capable de gérer autant d’infos. La société de muasse
est en prise a l’hystérie et l’irrationalité totale de la foule. Les médias peu-vent manipuler les
pensée -, les croyances et les actions. Pendant cette crises les médias vont en pro ter pour
rentrer dans cette crise et in uencer. Tout au long 2à elle siècle très forte critique des médias de
masse l’accuse:
- la radio d’avoir permit a Hitler d’accéder au pouvoir , d’émanciper les femmes de la maison
- Accusation du rock et bande dessiner de pervertir les jeunes esprits et ++ délinquance
- La television lobotomies
- Les jeux videos rendant violent
La seringue hypothermie, le public est passif, reçoit des stimulines et y répond par des
automatismes
En 1948 Harold Lasswell propose cette vision mécanique de la réception des médias de masse.
Ce sont des études béhavioristes; elles réduisent la complexité des relations entres humains, et
entre humains et médias, a des ré exes comportementaux dont les racines sont principalement
biologique.
La culture industrialisé formé par des patterns (moules) o rent un oubli de soi aux classes
ouvrières épuisées.
Elles ont pour fonction idéologique d’empêcher la révolte sociale
Les médias de masse servent la propagande mais participe aussi a la destruction de la culture
La culture populaire favorise soit l’excitation soir l’apathie
George Gerber dans son rapport a l’unesco cherche a dé nir les e ets
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Dé nir la violente dans les médias:
Complexité du monde social ( évènement) ----- Complexité d’une salle de rédaction (sélection et
construction) --- Complexité de la mise en forme et des interprétation ( représentation informa.)
° Ce processus de sélection de l’info est invisible au public, ils ont seulement accès au produit
finis.
Ce programme de sélection se nourris de diff type d’évènement : évènement imprévus (attentat)
évènement conçu et annoncer journal ( évènement politique – conférences de presse)
Les journalistes tiennent le rôle de gatekeepers ( de portier) dans ce flot constant et massif
d’infos) ( toi tu rentre , toi tu rentres pas)
Ex : Novembre 2020 – Trump déclare les élections ont été truqué.
les journalistes des + grandes chaines d’infos vont couper le direct à son discours.
A ce moment là , la mission d’infos public des journalistes entrent en conflit avec leur rôle de
gatekeepers.
L’intégrité démocratique prime : Le gatekeepr ne peut pas laisser passer un discours mensonger
au nom de la légitimité de position de son locuteur ( position de président)
( médias sont suiveur donc laissé passer Biden)
LA VALEUR DE L’INFORMATION
La valeurs des news varient selon époques, pays mais il y a 8 critères principe selon Galtung et
Ruge. Ces critères sont cumulatif : plus une news en compte, plus elle a de la chance d’être
sélectionné.
Critère 1 ; LA FREQUENCE
Pour qu’un événement devienne une info il faut que sa temporalité soit compatible avec la
fréquence à laquelle l’info est publiée.
La fréquence explique pk les faits divers sont souvent sélectifs: ils se déroulent sur des fréquences
réduites ( quelques jours) , pendant peu de temps.
Ce problème de la temporalité de la fréquence explique pk on tend à parler de la situation d’un
pays en guerre que lorsque les bombardement ont lieux ( journalistes pas douer pour parler
d’événement long , donc événement impactant court)
2 : AMPLITUDE
L’amplitude renvoie à la visibilité : incendie, tsunami.
Le rôle du son et des images sont crucial pour la sélection d’un évènement.
3 : La simplicité
Un évènement clair, peu d’ambiguïté par sa cause, signification en conséquences ( arrestation,
disparition d’enfant car interdit de faire mal a un enfant met tout le monde d’accord)
4 : PROXIMITE CULTURELLE
C’est ce qu’on appelle dans le journalisme : la loi du mort- kilométré
Ex : un évènement ayant lieux aux Etats unis plus familier pour parisien qu’un évènement de
campagne reculé.
Ex : évènement ayant lieu en Irak qui aura un ancrage en France si des Français sont impliquées.
5 : PREVISIBILITE
Les producteurs d’info privilégie des infos qui ne seront pas très perturbante sur le plan
prévisible ; ex : gilet jaune on savait où ils étaient et pourquoi. Coté rassurant ( ex : incendie a a
cause dérèglement climat on sait qu’ils y a des risques de feu)
6 IMPREVISIBILITe
Imprévisibilité et proximité combiné sont des critères puissant dans la sélection de l’info
( disparition d’enfant)
7 : LA CONTINUITE
Une fois que l’histoire est rentré dans l’info, l’interêt peut être suffisant pour lui donner une
continuité ( e : video régulière de Ben Laden pour ravivé certain foyer et gagner visibilité
médiatique)
8 : LA COMPOSITION
= tendance des médias a chercher des infos similaire. Idée de produire un tableau comparatif
entre France et étranger / ( manif climat dans le monde)
Les modèles de communication ont été trop souvent conçus non seulement selon un modèle
linéaire (émetteur, message, récepteur), qui laisse peu de place à la possibilité de penser la
communication comme un processus.
Stuart Hall défend la communication comme une "structure" produite et entretenue par
l'articulation de moments liés entre eux, mais distincts :
production - circulation - distribution / consommation - reproduction.
"Si le sens n'est pas articulé dans la pratique, il ne produit pas d’e ets".
Ces moments liés entre eux sont des pratiques cad qu’ils dépendent d’un contexte spéci que
( ex: la production d’info est une pratique, elle renvoie a un ensemble de normes, de codes,
d’expériences et de contextes du journaliste)
Ces pratiques ont pour objet les messages et les signi cations. Elles prennent la forme de signes
sémiotiques (signi ant/signi é).
Les appareils, les rapport est les pratiques de production émergent à un moment donné (le
moment production/circulation) sous la forme de véhicules symboliques constitués à l’intérieur
des règles du « langage »
La communication nécessite un appareil de production de sens, mais il faut encore que ce produit
sois transformé en pratiques sociales. (La vu d’un lit d’hôpital dans un couloir n’a de sens qu’en
étant interprétée par le spectateur.)
Si on veut parler d'e et des médias de masse, il faut parler de la pratique et du sens des médias
de masse.
La production: c’est une mise en place de codes et donc d’un langage; un événement brute ne
peut être retransmis tel quel dans les médias de masse, il passe nécessairement par des
médiations langagières.
Facteur déterminant: les structures institutionnelles des médias. (Le sitcom, format
institutionnalisé de la télé, il est ancien et renvoie a des logiques économiques.)
La Production et la circulation, sont des pratiques, c'est-à-dire qu'elles dépendent d'un contexte
spéci que
Les médias de masse font des choix de sons et d'images pour les événements graves. ( ex : Les
sitcoms visent les femmes)
Codage décodage
Le moment du codage:
C’est le moment où l’évènement « devient soumis à toutes les règles formelles complexes au
moyen desquelles le langage fait sens. »
Cela signi e qu’avant de devenir un événement communicationnel, l’événement social doit
devenir une histoire.
La linguistique de l'audiovisuel, des règles formelles, complexes.
La communication passe beaucoup par la narration.
Un événement communicationnel est donc fait d’une mise en discours et d’un contexte
sociohistorique (événement historiques, rapport sociaux, conséquences sociales et politique)
Le moment du décodage:
La consommation du message constitue en fait un autre moment
« Production et réception du message télévisuel ne sont, par conséquent, pas identiques, mais
elles n’en sont pas moins liées : elles constituent des moments différenciés au sein de la totalité
que forment les rapports sociaux du processus communicationnel pris dans son ensemble. »
Le message n’a d’effet que dans sa réappropriation par le récepteur : si un média a un effet, c’est
dans les sens décodés.
=> Nous choisissons activement, même si plus ou moins consciemment, les médias auxquels
nous nous exposons ; et nous choisissons tout autant les informations que nous jugeons
recevables ou irrecevables (Lazarsfeld & Katz).
=> Stuart Hall ajoute que les perceptions sélectives des individus se regroupent socialement.
- Lecture oppositionnelle: Les récepteurs rejettent les présupposés véhiculés, critiques les
prémices, rejettent les connotations idéologiques.
Exemple: « Born in the USA » de Bruce Springsteen est régulièrement réapproprié par les
partisans Républicains, en dépit de la dénotation critique de la chanson à l’égard du système
américain
- Elle montre que dans les romans Harlequin, les lectrices formulent une « lutte » (elles trouvent
dans les romans un sous-texte critique du patriarcat) et une compensation (la lecture leur permet
de se centrer sur elles-mêmes).
Genre et médias:
- La représentation d’une sexualité adolescente « positive » et émancipatrice soulève un certain
nombre de résistances conservatrices.
Chercheurs: Paul Watzlawich, Erving Go man, Edward t.hall, Gregory Bateson, Margarette
Mead(anthropologue).
Ouvrage de référence: la nouvelle communication de Yves Winkin avec compilation des articles
marquants de l’école
Comprendre le systèmes:
La théorie des systèmes s’intéresse moins au fonctionnement de chacune des parties qu’au
éléments en fonction de leurs interactions à l’intérieur du système.
La dimension cachée, est un livre va explorer la communication non verbale. Il va prendre deux
grands concepts: la kinésie (le mouvement) et la proxémie (les distances)
« Rester dans bulle » , « garder ses distances », « se laisser marcher sur les pieds », nous vivons
et perforons au quotidien des e ets proxémique.
Pour se les représenter, il su t d’imaginer des cercles concentriques entourant chaque individu.
À l’instar du monde animal, en cas de danger pressenti, nous partageais nos distances entre
« distance de fuite » (fuite possible) et « distance critique » (fuite di cile)
Jeudi 14 décembre devoir sur table avec questions de cours, on peut mettre une question de
coté
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Séance 8 comprendre les pratiques culturelles.
les enquêtes empirique (sur le terrain, questionnaire) sur les pratiques culturelles des français sont
faites par le ministère de la culture via olivier donnant
Le modèle lui même en faveur d’une nouvelle proposition, l’électisme culturel et de l’omnivité
(consommer)
Questions posées:
- Quelles sont les pratique culturelle les plus et les moins répandes entre les genre (cinéma,
littérature, musées) et au seins mme de genres?
- Pourquoi est-il si di cile d’assumer publiquement certaines pratiques, certains gouts, certains
plaisirs?
- Pourquoi les gouts sont)ils distribués dans la société? Puisqu’ils ne répondent visiblement pas
au hasard, existe-t-il une structure sous-jacente qui puisse les expliquer?
- Les milieux populaires préfèrent-ils bienvenue chez les chtits ou le seigneur des anneaux?
- La gratuité des musées augmente elle leur fréquentation?
- Les milieux supérieurs écoutent-ils toujours de la musique classique?
- Peut-on aimer publiquement les anges de la télé réalité?
- Faut-il préférer la Joconde a Asterix?
- Est ce qu’il y a une nature des cultures sociales? Il a plusieurs cultures et il cherche une
structure universelle de la parenté qui n’existe pas, la parenté est elle universelle.
Nos expressions culturelles ne sont que l’expression de nos classes sociales.
Chez Bourdieu, la fonction sociale d’un individu est déterminé par 4 fonction:
- Capitaux économiques: pas forcément avec le salaire avec avec votre classe sociale, celle de
vos parents etc
- Capitaux culturelles : posséder une bibliothèque plus ou moins grande, types de livres, aller bcp
au musée
Bourdieu essaye de reconstruire ce qui nous semble être des gouts personnels et
individuelles, on rattache nos gout a nos expérience alors que nos gouts sont des
prédispositions sociales cad qui nous vienne de notre naissance.
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Bourdieu fait plus large que la culture, ll critique le système de reproduction des élites il blâme
donc le système scolaire, l’école se vente d’être républicaine, neutre, un vertu de mobilité et
d’ascension sociale alors qu’elle ne fait que reproduire la culture dominante.
- Ce que l’on étudie a l’école est la culture légitime, classique.
Pour lui l’égalité dans les écoles est une forme de l’heur, l’uniforme rend tous égaux mais les
marqueurs de catégorie sociales vont réussir à s’exprimer au delà de l’uniforme.
- L’école reproduit mais n’innove pas avec le classique or selon Bourdieu dans ces domaines, les
enfants issus des catégories socioprofessionnelles supérieur + ont des moyens d’interprétation
adéquat et pertinent (regarder une oeuvre d’art sans parler), on leur a appris
Les enfants issus de csp- vont faire des fautes de goùts, parler trop fort etc.
Pour lui la société est une énorme machine de reproduction des di érences de classe et de
culture. Les individus sont prisonniers de leurs habitus. Ils comptes tout au long de notre vie nos
rapport et nos conditions d’existence.
La sociologie bourdieusienne est fortement déterministe: elle considère que la société
détermine les conditions d’existence d’un individu (= un enfant né dans un milieu d’ouvrier ne
pourra devenir autre chose qu’ouvrier)
La réception des oeuvre culturelles est in uencée d’abord et avant tout par ces postions de
classe:
- La classe sociale supérieure est dans une fuite en avant permanente
- la classe sociale intermédiaire tente tant bien que mal de suivre la classe sociale élevée
- La classe sociale populaire est perdue, faute vie capitaux, de temps et de revenus. Elle à une
consommation culturelle fonctionnelle et une interprétation également fonctionnelle.
Les milieux supérieur vont regarder la qualité, les couleurs, les fonds de la photo alors que les
classes populaire vont restés attaché au premier niveau de représentation.
L’avantage de cette approche c’est que le social agit sur la façon dont on reçoit des messages
médiatiques et non l’inverse.
Cependant, des lors qu’on considère que les individus populaires n’ont pas les capitaux
su sants pour recevoir et décrypte les messages, les messages consommés par ces catégories
sont eux mêmes décrédibilisé.
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