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La dernière séance examen sur table, décembre

THEORIESCOM Clés de cours en ligne

Travail historique pour qu’émerge les démocratie, début du siècles avec les guerres mondiales ou
les médias d semasse se di usent dans les société qui crée de causalité

La société métamorphoser la communication entre démocrate et médias


Certains mots vont traduire des inquiétude entre les liens entre les démocraties et les médias
Pourquoi certaines informations ressortent alors que d’autres restent non énoncée

histoire de communication
La communication Est très pratiquée, on st confrontés aux médias de masse en permanence.
3 principaux problèmes: les sociétés de communication est la montée des démocraties de masse
et la montée des régimes totalitaires
Les démocraties de masse sont un des plus marquant dans le siècle dernier
Démocraties de masse sont des démocraties massives qui intègrent de plus en plus de
personnes, les femmes (droit de votes, divorces etc), noirs américain, la classe ouvrière, les
handicapés, les enfants, les transexuels, les animaux
Lorsqu’on inclus de plus en plus de monde le risque est la confrontation et les di érentes
manières de communiquer. Les premières misent en communication sont con ictuelle
En démocratie le doits qui n’ont pas été donnés ne sont pas donnés par politesse, repose sur
dynamique con ictuelle
La communication ne se dé nit pas par le fait de se comprendre, elle n’est pas censée être
toujours correcte, dans le bon sens il y a surtout de l’incommunication
Une des solutions pour mettre en relations le plus de monde possible sont les médias de masse.
C’est un des principaux espaces de la communication
2 le mots communication est di cile à dé nir, de quoi on parle lorsqu’on parle de communication
(verbale, non verbale, par geste, par communication animale, de communication politique,
d’entreprise)
Trop de possibilités de communication donc le but est de faire le tris
En philo ou en eco la question posée est
Est ce que l’intercompréhension n’est pas la vrai préoccupation dans la communication.
L’intercompréhension
On part du principe que l’intercompréhension permet la démocratie, elle est au coeur des travaux
sur la communication.
Peut on délaisser la dé nition de la communication pour en saisir les dimensions sociales,
politique économique ou culturelle?

De nition de la communication
Formellement le mot communication apparait dans la langue française au 14 eme siècle et dans
la langue anglaise au 15 eme siècle. Il est issu du latin communicare (participation,
communication, partage)

Le développement des techniques de transport et de mis en relation (des hommes des biens et
des données) va chambouler la dé nition: chemin de fer, automobile, télégraphe, téléphone,
presse télévision internet. L’idée de « transmission » de « moyen de passage" s’impose désormais

L’émergence des médias de masse, depuis un siècle environ, l’accent a largement été mis sur les
médias de masse : presse radio télé et désormais internet qui constitue le fait de
commincationnel le plus original et le plus déterminant des démocraties modernes.

Cybernétique sur Wikipedia


Idée de manipulation mentale par les médias ou de réduction de la communication humaine à la
communication machine.
Théorie des e ets directe par l’école de Francfort, elle défend l’idée de la masse (nous, individus)
n’est pas armée pour recevoir de façon critique les médias, pas assez de défense, recul critique
pour recevoir médias de masse et peut donc être manipulé par les médias de masse
Cette des de manipulation mentale par les médias
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Cours n°2

Trois grandes d’immersion , technique, culturelle et politique

Point de vue sur les relations de pouvoir et des cultures= relation culturelle univers des relations
Relation avec les médias etc= technique, univers des objets
Une vision de l’ordre politique quoi les units = dimensions politique, c’est un univers

La détermination matérielle renvoie a la determination matérielle des médias, transmettre un


message dans un lm c’est donner deux visions di érentes, un lm peut être produit pour le
cinéma mais pas pour un petit écran de télé.
La dimension culturelle c’est l’étude des médias de masse dans la société , la consommation des
états de masse dans un mode de vie particulier par exemple les consommation des soap opéra
par les femmes au foyer, ou la consommation de la musique chez les adolescent.
Soap opéra étaient un peu ridicule mais les femmes au foyer se retrouvent dans les problème
exposé et donc les problèmes relationnelle d’une famille

La dimension politique renvoie a l’organisation du pouvoir et a son exercice, plus généralement a


tout ce qui concerne le fonctionnement d’une société donnée ou d’un groupe donné. La
dimension politique analyse le rôle des médias dans la publication des infos et des opinions, ainsi
que dans les représentation de groupe

Les médias manipulent,


Les médias libèrent
Ce sont deux perspectives d’une compréhension complète des niveaux de communication qui
permet d’éviter ces deux écueils , d’un coté les critiques extrêmes et de l’autre …

La communication entre idéal et technique:

C’est une tension entre un idéal et une technique


La communication c’est a la fois un idéal (partage, échange, bien communiquer de façon
adéquate, se faire bien, comprendre, revendication au près du gouvernement , la démocratie, et
en n l’idéal de la bienveillance)
C’est une technique pour des échanges (objets, informations ,codes)
Cette dé nition n’est pas récente. On peut la faire remonter a la philosophie antique dans la
laquelle raison et technique s’opposaient. Deux visions s’a rontent: les idéalistes défendaient la
raison (Platon) et les sophistes développaient la technique (protagoras)
Pour les idéalisâtes la raison est envisagée comme la levée des illusion, pour mes idéalistes les
hommes doivent se libérer de ces technique pour se recentre sur lui même.
Raison idéaliste
Rhétorique technique

Aujourd’hui idéalistes appellent ba relation immédiate et communication authentique partant de


ce que les médias de masse pervertissent les relations humaines

Du coté de l’apologiste les sophiste défendent l’usage de la réthorique, plaide pour les analyse
des jeux de langage.
Héritage des sophistes varié: spécialistes du langage, publicitaire (communication car publicité
permet de vendre ), communicants, défenseur d’une utopie techniciste

IDEALISME
Utopies
-manier correctement le Language pour parvenir a une communication intuitive, spirituelle et
religieuse.

Dystopies
-manipulation a grandes échelles des individus non éclairés
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Sophisme
-meilleure compréhension grâce aux outils; aide des machines

-supériorité de l’intelligence arti cielle sur l’humain

La théorie des e ets direct, critique des états de masse, les individus vont être considérés
comme masse homogène qui peut être in uencé, formater par les grand médias qui représentent
l’hégémonie
.
Dans l’émergence de la masse période optimiste 128 eme siècle, émergence de liberté de la
presse, expression qui donne un sou e émancipateur et démocratique, (reconnaissance de
l’individus, l’aboutissement des lumières)
Cela ne dure pas avec l’arrivée du 20 eme siècle, n 19 eme ça commence a s’e riter et petite a
petit idée que le peuple masse ne soit pas capable de gérer autant d’infos. La société de muasse
est en prise a l’hystérie et l’irrationalité totale de la foule. Les médias peu-vent manipuler les
pensée -, les croyances et les actions. Pendant cette crises les médias vont en pro ter pour
rentrer dans cette crise et in uencer. Tout au long 2à elle siècle très forte critique des médias de
masse l’accuse:
- la radio d’avoir permit a Hitler d’accéder au pouvoir , d’émanciper les femmes de la maison
- Accusation du rock et bande dessiner de pervertir les jeunes esprits et ++ délinquance
- La television lobotomies
- Les jeux videos rendant violent
La seringue hypothermie, le public est passif, reçoit des stimulines et y répond par des
automatismes
En 1948 Harold Lasswell propose cette vision mécanique de la réception des médias de masse.
Ce sont des études béhavioristes; elles réduisent la complexité des relations entres humains, et
entre humains et médias, a des ré exes comportementaux dont les racines sont principalement
biologique.

L’école de Francfort, théorie critique de la communication.


l’homme de masse est dupe et aliéné car isolé, en manque de rapports sociaux qui ont du sens.
Cela le rend manipulable par les grandes forces dominantes de la société, grâce a deux outils
majeurs: la atterie et la séduction
La atterie o re une revanche immédiate a travers un leader charismatique, quand la séduction
nous conforte et nous donne un plaisir immédiat.
Hitler répond a ces deux catégories:
- l’attirât du leader charismatique tient a la puissance de l’outil utilisé (la répétition de ces
discours )
-

Francfort conduit critique artistique « industrie culturelle)

La culture industrialisé formé par des patterns (moules) o rent un oubli de soi aux classes
ouvrières épuisées.
Elles ont pour fonction idéologique d’empêcher la révolte sociale
Les médias de masse servent la propagande mais participe aussi a la destruction de la culture
La culture populaire favorise soit l’excitation soir l’apathie

Comment résoudre cette situation?


En réinsérant dans la société les plus grandes institution. Qui ont été a aiblit voir retiré par
l’industrialisation: l’état, l’art, le travail solidaire, la famille.

il faut produire a nouveau de la protection et de la sécurité.


Les recherches aujourd’hui s’intéresse bcp sur le conséquences de la violence médiatique sur les
individus, leurs comportements, notamment chez les enfants et les adolescents plus vulnérable.
Cela permettrait d’expliquer les passages a l’acte. Comme pour expliquer la tuerie de colombine.

George Gerber dans son rapport a l’unesco cherche a dé nir les e ets
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Dé nir la violente dans les médias:

- la violence médiatisée a di érentes natures, ctionnelle ou réelle.


- La violence médiatisée a di érentes légitimités (certaines violences sont plus compréhensible
que d’autres)
- La violence médiatisée n’est pas une violence ne soi, c’est une représentation de la violence.

la réception de la violence médiatisé n’a pas d’e et direct , 3

- la désensibilisation due a l’exposition prolongée


- l’apprentissage de l’action agressive chez l’enfant
- L’activation d’une violence pré-existante
Ce qui importe la dimension répétitive qui habitue et conditionne, non pas directement à être
violent (= passer a l’acte) mais a vivre dans un univers violent.
Selon gerber « si l’on s’est attaché de préférence a ce problème (des e ets supposés de la
violence représentée), c’est peut être parcqu’il était le plus facile à combattre et le moins
préjudiciable aux politiques et aux intérêts fondamentaux des institutions »
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Quelles sont leur contrainte, travail etc.
Comprendre le biais des news :
--> On accuse bcp médias de masse de ne Fermer avec un remplissage uni rendre compte
fidèlement a la réalité sociale.
souhait exprimer que les faits divers sont moins représentés, journaux ne donnent pas assez
paroles aux subalternes et site web ne concentre pas leur économique sur les « clics faibles ».
Cette préoccupation constante des citoyens autour des infos biaisée à l’égard de ce que devrait
être les infos.
=> les infos devraient être un service public, de biens publics et que le rôle des médias donne info
vrai et neutre sur un sujet.
- L’info en démocratie ne peut pas être neutre car la communication n’est jamais neutre, tout
discours en circulation dans la société est façonné selon des points de vues particuliers, des
valeurs culturels spécifique et des priorités institutionnelles. Il faut cela dit essayer de palier cette
impartialité.
--->Ce qui est important en démocratie n’est pas impartialité mais le pluralisme (plein de journaux
diff : le monde, figaro).
les infos ne sont pas des présentations neutres du monde : ce sont des représentations
soumise au effet de pouvoir de la société. = de sortes que le contenu de ces infos nous parlent
tout autant de pratiques, valeur et priorité du monde qu’elles visent à représenter.
+ il faut décentrer question : De quoi les médias devraient ils parler ? EN : Pk les médias parlent
de ça ? cela permet de s’intéresser aux valeurs, pratiques et social dans le monde.
« le pouvoir ne se possède pas, il s’exerce » posséder du pouvoir pour sois même ou posséder
du pouvoir sur les autres. Le pouvoir s’exerce car il est sans cesse discuter, négocier, le pouvoir
n’est pas une donné fixe.
Comme c’est soumis aux effets de société = médias sont suiveurs.
LA THEORIE DU GATEKEEPING
Comprendre les effets de filtrage dans la production d’infos :
• Comment travaillent journalistes ?
• Pk une info est elle plus valorisée qu’une autre ?
• Comment traiter de « la » réalité ?
• Quelles contraintes pèsent sur les journalistes ?
La sélection de l’infos :
Plusieurs événements Selection (agence de presse ou médias) Construction (quels mots pn
emploie etc) Représentation informationnelles de l’évènement sélectionné.

Complexité du monde social ( évènement) ----- Complexité d’une salle de rédaction (sélection et
construction) --- Complexité de la mise en forme et des interprétation ( représentation informa.)
° Ce processus de sélection de l’info est invisible au public, ils ont seulement accès au produit
finis.
Ce programme de sélection se nourris de diff type d’évènement : évènement imprévus (attentat)
évènement conçu et annoncer journal ( évènement politique – conférences de presse)
Les journalistes tiennent le rôle de gatekeepers ( de portier) dans ce flot constant et massif
d’infos) ( toi tu rentre , toi tu rentres pas)
Ex : Novembre 2020 – Trump déclare les élections ont été truqué.
les journalistes des + grandes chaines d’infos vont couper le direct à son discours.
A ce moment là , la mission d’infos public des journalistes entrent en conflit avec leur rôle de
gatekeepers.
L’intégrité démocratique prime : Le gatekeepr ne peut pas laisser passer un discours mensonger
au nom de la légitimité de position de son locuteur ( position de président)
( médias sont suiveur donc laissé passer Biden)
LA VALEUR DE L’INFORMATION
La valeurs des news varient selon époques, pays mais il y a 8 critères principe selon Galtung et
Ruge. Ces critères sont cumulatif : plus une news en compte, plus elle a de la chance d’être
sélectionné.
Critère 1 ; LA FREQUENCE
Pour qu’un événement devienne une info il faut que sa temporalité soit compatible avec la
fréquence à laquelle l’info est publiée.
La fréquence explique pk les faits divers sont souvent sélectifs: ils se déroulent sur des fréquences
réduites ( quelques jours) , pendant peu de temps.
Ce problème de la temporalité de la fréquence explique pk on tend à parler de la situation d’un
pays en guerre que lorsque les bombardement ont lieux ( journalistes pas douer pour parler
d’événement long , donc événement impactant court)
2 : AMPLITUDE
L’amplitude renvoie à la visibilité : incendie, tsunami.
Le rôle du son et des images sont crucial pour la sélection d’un évènement.

3 : La simplicité
Un évènement clair, peu d’ambiguïté par sa cause, signification en conséquences ( arrestation,
disparition d’enfant car interdit de faire mal a un enfant met tout le monde d’accord)
4 : PROXIMITE CULTURELLE
C’est ce qu’on appelle dans le journalisme : la loi du mort- kilométré
Ex : un évènement ayant lieux aux Etats unis plus familier pour parisien qu’un évènement de
campagne reculé.
Ex : évènement ayant lieu en Irak qui aura un ancrage en France si des Français sont impliquées.

5 : PREVISIBILITE
Les producteurs d’info privilégie des infos qui ne seront pas très perturbante sur le plan
prévisible ; ex : gilet jaune on savait où ils étaient et pourquoi. Coté rassurant ( ex : incendie a a
cause dérèglement climat on sait qu’ils y a des risques de feu)

6 IMPREVISIBILITe
Imprévisibilité et proximité combiné sont des critères puissant dans la sélection de l’info
( disparition d’enfant)
7 : LA CONTINUITE
Une fois que l’histoire est rentré dans l’info, l’interêt peut être suffisant pour lui donner une
continuité ( e : video régulière de Ben Laden pour ravivé certain foyer et gagner visibilité
médiatique)

8 : LA COMPOSITION
= tendance des médias a chercher des infos similaire. Idée de produire un tableau comparatif
entre France et étranger / ( manif climat dans le monde)

ETUDE DE CAS : 11 septembre 2001


valeur info du 11 sept. Semble évidente
• série d’évènement très identifiable compatible avec fréquence de publication des formats
JT et journaux, avec un attrait fort pour l’immédiateté de chacun de ces séquences.
• Évènement simplifiable : attaque violent, avions ou voyageait innocent , toucher des civils
au travail ( les méchants et gentils).
• nation d’élite touché touche en son cœur d’élite : World Trade center
• Proximité culturelle forte
• Renforce prévisibilité qu’est la dichotomie d’Occident / Orient.
• Dans un even. Imprévu.
• Continuité d’un tel évènement se joue encore , 20 ans après, chaque anniversaire.

Qui influence les journalistes ?


° Influence dans l’organisation : interaction dans des groupes médiatiques et autres organisations
qui pèsent sur la programmation et la teneur des contenus médiatique.
limites de l’influence : le prestige d’un média ou son autorité dans le milieu sont gages
d’indépendance et les industriels n’ont souvent pas intérêt a intervenir car ils s’expose à être
découvert dans leur stratégies etc.
° Interaction marché économique:
Faut il privilégier une offre diversifié afin de libérer les formats pour les journalistes ?
OU faut il estime que comme en Europe ; l’info est un bien public qui doit repérer des impératif
citoyens.
° Interaction avec code culturel : Journalisme issus des milieux supérieur voir milieu intermédiaire
= gros capital culturel ( très cultive et ouverture sur le monde, on eu opportunité de voyager ) __>
bagage plus facile d’aller au journalisme.
ils vont avoir tendance à rejeter les thématiques populaire , soit par désintérêt, par ignorance
ou incompréhension.
Les influences sont présente mais elles sont « sans garanties » car elles sont variées et parfois
contradictoire. ( les instituions sociales viennent réguler les organisations et les contraindre
parfois)
pour aller plus loin voir films : Des hommes d’influence et Spotlight.
Le modèle de « codage / décodage » de Stuart hall (sociologue)
Il est connu pour ses travaux sur les médias de masse qui ont mit en lumière les différentes
moments de la communication médiatique et la complexité sous-jacente de programmes en
apparence simples.

Les modèles de communication ont été trop souvent conçus non seulement selon un modèle
linéaire (émetteur, message, récepteur), qui laisse peu de place à la possibilité de penser la
communication comme un processus.
Stuart Hall défend la communication comme une "structure" produite et entretenue par
l'articulation de moments liés entre eux, mais distincts :
production - circulation - distribution / consommation - reproduction.

"Si le sens n'est pas articulé dans la pratique, il ne produit pas d’e ets".

Ces moments liés entre eux sont des pratiques cad qu’ils dépendent d’un contexte spéci que
( ex: la production d’info est une pratique, elle renvoie a un ensemble de normes, de codes,
d’expériences et de contextes du journaliste)

Ces pratiques ont pour objet les messages et les signi cations. Elles prennent la forme de signes
sémiotiques (signi ant/signi é).

Les appareils, les rapport est les pratiques de production émergent à un moment donné (le
moment production/circulation) sous la forme de véhicules symboliques constitués à l’intérieur
des règles du « langage »
La communication nécessite un appareil de production de sens, mais il faut encore que ce produit
sois transformé en pratiques sociales. (La vu d’un lit d’hôpital dans un couloir n’a de sens qu’en
étant interprétée par le spectateur.)

Si on veut parler d'e et des médias de masse, il faut parler de la pratique et du sens des médias
de masse.

La production: c’est une mise en place de codes et donc d’un langage; un événement brute ne
peut être retransmis tel quel dans les médias de masse, il passe nécessairement par des
médiations langagières.
Facteur déterminant: les structures institutionnelles des médias. (Le sitcom, format
institutionnalisé de la télé, il est ancien et renvoie a des logiques économiques.)

La circulation: c’est le moment où le produit prend la forme d’un discours.


Facteur déterminant: les règles du langage et du discours (la série Friends inscrivait la sitcom
classique dans un langage de l’amitié)

La Production et la circulation, sont des pratiques, c'est-à-dire qu'elles dépendent d'un contexte
spéci que

La distribution / consommation: il s’agit de la transformation du discours en pratiques sociales.


Facteur déterminant: les contextes individuels et de groupe de la consommation.

La reproduction: c’est la mise en place d’e ets de la communication.


Facteur déterminants: les interprétations des individus devant le programme.

Les médias de masse font des choix de sons et d'images pour les événements graves. ( ex : Les
sitcoms visent les femmes)

Des moments articulés mais distincts:


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Chacun de ces moments est distinct et répond à ses propres logiques, tout en étant articulés à
un autre.

PRODUCTION - CIRCULATION - DISTRIBUTION - REPRODUCTION

Codage décodage

Le moment du codage:
C’est le moment où l’évènement « devient soumis à toutes les règles formelles complexes au
moyen desquelles le langage fait sens. »
Cela signi e qu’avant de devenir un événement communicationnel, l’événement social doit
devenir une histoire.
La linguistique de l'audiovisuel, des règles formelles, complexes.
La communication passe beaucoup par la narration.

Un événement communicationnel est donc fait d’une mise en discours et d’un contexte
sociohistorique (événement historiques, rapport sociaux, conséquences sociales et politique)

La forme « message » est la forme d’apparition nécessaire de l’évènement lorsqu’il passe de la


source au récepteur

Il n’y a pas de discours compréhensible sans code


Le codage est donc: des pratiques de production, des réseaux de production, des rapports
organisés ainsi que des infrastructures techniques.
Pour les appliquer, il faut: Savoirs pratiques, Compétences techniques, idéologies professionnelle,
connaissance institutionnelle, dé nitions des publics, et suppositions des intérêts des publics.

Le livre des solutions de Gondry à voir

Le moment du décodage:
La consommation du message constitue en fait un autre moment

de la production : d’où son nom de reproduction.


Cela signifie que la production n’est pas le début de la communication,

mais le « point de départ de la réalisation du message ».

« Production et réception du message télévisuel ne sont, par conséquent, pas identiques, mais
elles n’en sont pas moins liées : elles constituent des moments différenciés au sein de la totalité
que forment les rapports sociaux du processus communicationnel pris dans son ensemble. »

Le message n’a d’effet que dans sa réappropriation par le récepteur : si un média a un effet, c’est
dans les sens décodés.

Cela consiste en: La perception La cognition L’émotion L’idéologie Les comportements


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Les di érentes lectures des médias de masse:
Les degrés de symétrie ou d’asymétrie entre la structure de sens 1 (le codage) et la structure de
sens 2 (le décodage) dépend largement des perceptions sélectives qu’activent les individus.

=> Nous choisissons activement, même si plus ou moins consciemment, les médias auxquels
nous nous exposons ; et nous choisissons tout autant les informations que nous jugeons
recevables ou irrecevables (Lazarsfeld & Katz).

=> Stuart Hall ajoute que les perceptions sélectives des individus se regroupent socialement.

Les di érentes lectures des médias de masse:

Trois types de lecture des médias de masse existent selon Hall:

- lecture hégémonique: La lecture hégémonique se produit lorsque le récepteur intègre


directement le sens d’informations. C’est une communication transparente.

- Lecture négociée: Le décodage est en partie similaire, et en partie di érent, du codage : le


public accepte la dé nition de la réalité véhiculée par le message mais l’in échit.

- Lecture oppositionnelle: Les récepteurs rejettent les présupposés véhiculés, critiques les
prémices, rejettent les connotations idéologiques.

Quelques précisions sur ces types de lectures :


1. Il n’y a pas qu’une seule lecture hégémonique, une seule
lecture négociée et une seule lecture oppositionnelle.
2. La lecture hégémonique n’est pas forcément conservatrice ; la lecture oppositionnelle n’est pas
forcément progressiste.

Le lm Rambo fut tiraillé entre deux interprétations complètement contradictoires :


- d’un côté, lm préféré de Ronald Reagan au pro t de l’impérialisme américain
- de l’autre, lecture du lm comme une ode aux minorités autochtones pourchassées voire
délogées.

Exemple: « Born in the USA » de Bruce Springsteen est régulièrement réapproprié par les
partisans Républicains, en dépit de la dénotation critique de la chanson à l’égard du système
américain

La lecture des romans: « à l’eau de rose »


- Janice Radway est professeure en Communication studies. On lui doit un ouvrage de référence
sur les pratiques de lecture des femmes au foyer, Reading the Romance: Women, Patriarchy and
Popular Literature (1991).

- Elle montre que dans les romans Harlequin, les lectrices formulent une « lutte » (elles trouvent
dans les romans un sous-texte critique du patriarcat) et une compensation (la lecture leur permet
de se centrer sur elles-mêmes).

Genre et médias:
- La représentation d’une sexualité adolescente « positive » et émancipatrice soulève un certain
nombre de résistances conservatrices.

- Des lectures de sous-texte peuvent être faites en fonction du positionnement idéologique.


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15 décembre 2023 a 20h
Dissertations: une introduction se rédige en dernier

Comprendre la communication interpersonnelle:


Le tournant de l’école de Palo alto, ville émergent dans les années 50, un courant de recherche
de pensées toujours très actuel.

C’est un courant de théorie de la communication qui permet de comprendre les


communication entre les personnes (interpersonnelles). Aussi appelé le collège invisible. Ce sont
des chercheurs qui individuellement (pas de sciences de la communication à cette épode environ
années 70) dans leurs disciplines vont être insatisfait de la façon dont la communication est
envisagée.

Chercheurs: Paul Watzlawich, Erving Go man, Edward t.hall, Gregory Bateson, Margarette
Mead(anthropologue).

La communication est la base de tout les échanges humains.


Il est Invisible car chacun ont les même interrogations de leur coté avec comme dénominateur
commun, la communication. Il est dé nit comme un collège car c’est un ensemble de personnes
mais qui ne sont pas au même endroit.

Ils vont produire des travaux:


- theorie de la communication
- Une nouvelle méthodologie pour la communication
- Produire une nouvelle pratique thérapeutique
. l’école s’est opposée à la psychanalyse.

1er grand concept développé:


- l’idée de système avec une approche systémique.
Un système: est un ensemble d’éléments interdépendant (indépendant des uns des autres) en
interaction dynamique (ça bouge tout le temps, personne pas en accord, débat etc) organisé en
fonction d’un but (variation historique, aujourd’hui le but est l‘épanouissement personnel).

Ouvrage de référence: la nouvelle communication de Yves Winkin avec compilation des articles
marquants de l’école

Comprendre le systèmes:

La famille nucléaire: famille institutionnalisé, elle se construit selon deux axes:


- un axe d’aga
- un axez de genre : papa, maman et deux enfant un garçon et une lle. Avec un axe d’aga
(parent/ enfant) et axe de genre (papa garçon/ lle maman)
C’est un sytème permis d’autres systèmes (manif pour tous)

La théorie des systèmes s’intéresse moins au fonctionnement de chacune des parties qu’au
éléments en fonction de leurs interactions à l’intérieur du système.

Le tout est supérieur a la somme des parties


Dans un couple il a deux personne mais il y a 3 parties avec le couple qui est le système et une
petite à part entière.
Quand quelqu’un est en sou rance (intrapsychique), il faut aller voir le système dans lequel il est
en sou rance, la thérapie familiale, c’est en soignant le système qu’on va soigner la personne.
C’est totalement inverse à la psychanalyse.
L’énergie primaire de l’être humain est la libido, l’énergie de vie. Le but de la psychanalyse est de
préserver cette énergie, les traumas et les sou rances nous font perdre cette énergie.
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Chez Palo alto le principe fondateur de l’être humain, la lumière de vie est l’information, on ne
peut pas y échapper et elle circule tout le temps en nous.

Les 5 axiomes de la communication:


- axiome 1, on ne peut pas ne pas communiquer. (On peut décider de ne pas parler ou autre
- mais c’est déjà une communication) la communication est une ressource, une énergie a
laquelle on ne peut pas échapper.
- Axiome 2 les communications utilisent deux sortes de codes: code digital (verbal) et code
analogique (non verbal ), pour Palo alto la majorité de nos communication est non verbal. On le
détecte consciemment ou inconsciemment, on peut capter une communication sans s’en
rendre vraiment compte. Les smiley sont une manière de remettre de l’analogique dans le
digital (pareil pour les points d’exclamation)
- Axiome 3, les communication comprennent des niveaux de : contenu (ce que je dis) et des
niveaux de relation (la façon de le dire et le type de relation que je convoque)
- Atome 4, les communications sont symétrique, notion d’égalité (principe de réciprocité) ou
complémentaires, notion de di érence (principe d’ajustement, ex consultation médicale)
- Axiome 5, la nature d’une communication dépend de la ponctuation de la séquence des faits.
(Les faits vont être ponctuer avec des variations, séquence des faits qui a une ponctuation
émotionnelle qui dépend des 6 cases pour comprendre la communication il faut comprendre la
totalité de la discussion)

La dimension cachée, est un livre va explorer la communication non verbale. Il va prendre deux
grands concepts: la kinésie (le mouvement) et la proxémie (les distances)
« Rester dans bulle » , « garder ses distances », « se laisser marcher sur les pieds », nous vivons
et perforons au quotidien des e ets proxémique.

Pour se les représenter, il su t d’imaginer des cercles concentriques entourant chaque individu.
À l’instar du monde animal, en cas de danger pressenti, nous partageais nos distances entre
« distance de fuite » (fuite possible) et « distance critique » (fuite di cile)

Edward t hall dit qu’il y a 4 grandes distances:


- distance intime 45 cm fuite
- Distance personnelle 1.2 m di cile
- Distance sociale 3.6m fuite
- Distance publique 7.6m possible
Nous n’invitons pas n’importe qui dans nos sphères intimes ou personnelles, ni même sociales, et
la transgression de ces frontières invisibles produit chez nous une réaction immédiate.

Jeudi 14 décembre devoir sur table avec questions de cours, on peut mettre une question de
coté
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ffi
ffi
Séance 8 comprendre les pratiques culturelles.

Les logiques de la culture:


C’est un cours centré sur la légitimité culturelle qui est un modèle de Pierre Bourdieu et des
discussions qui ont suivie sur la légitimité culturelle.
cad, quelles sont les pratiques culturelles qu’on peut a rmer socialement? (disposer d’un certain
prestige social)

les enquêtes empirique (sur le terrain, questionnaire) sur les pratiques culturelles des français sont
faites par le ministère de la culture via olivier donnant

Le modèle lui même en faveur d’une nouvelle proposition, l’électisme culturel et de l’omnivité
(consommer)

Questions posées:
- Quelles sont les pratique culturelle les plus et les moins répandes entre les genre (cinéma,
littérature, musées) et au seins mme de genres?
- Pourquoi est-il si di cile d’assumer publiquement certaines pratiques, certains gouts, certains
plaisirs?
- Pourquoi les gouts sont)ils distribués dans la société? Puisqu’ils ne répondent visiblement pas
au hasard, existe-t-il une structure sous-jacente qui puisse les expliquer?

- Les milieux populaires préfèrent-ils bienvenue chez les chtits ou le seigneur des anneaux?
- La gratuité des musées augmente elle leur fréquentation?
- Les milieux supérieurs écoutent-ils toujours de la musique classique?
- Peut-on aimer publiquement les anges de la télé réalité?
- Faut-il préférer la Joconde a Asterix?

Pierre Bourdieu 1930-2002 sociologue français avec les héritiers et la distinction.


Il est le dernier et grand structuraliste français.
Structuralisme: c’est un mouvement des années 60;70, dans levis Strauss , les structures de la
parenté, il va s’inspirer de Ferdinand de Saussuree, de la même manière qu’il y a une structure du
langage existante, il devrait y avoir des structures de la société dont on a pas forcément
conscience.

- Est ce qu’il y a une nature des cultures sociales? Il a plusieurs cultures et il cherche une
structure universelle de la parenté qui n’existe pas, la parenté est elle universelle.
Nos expressions culturelles ne sont que l’expression de nos classes sociales.

Chez Bourdieu, la fonction sociale d’un individu est déterminé par 4 fonction:

- Capitaux économiques - capitaux culturelles - capitaux sociaux - capitaux symboliques

- Capitaux économiques: pas forcément avec le salaire avec avec votre classe sociale, celle de
vos parents etc

- Capitaux culturelles : posséder une bibliothèque plus ou moins grande, types de livres, aller bcp
au musée

- Capitaux sociaux: milieu social

- Capitaux symboliques: chercheur, médecin, avocat, ce qui apporte un prestige social.

Bourdieu essaye de reconstruire ce qui nous semble être des gouts personnels et
individuelles, on rattache nos gout a nos expérience alors que nos gouts sont des
prédispositions sociales cad qui nous vienne de notre naissance.
ffi
ffi
Bourdieu fait plus large que la culture, ll critique le système de reproduction des élites il blâme
donc le système scolaire, l’école se vente d’être républicaine, neutre, un vertu de mobilité et
d’ascension sociale alors qu’elle ne fait que reproduire la culture dominante.
- Ce que l’on étudie a l’école est la culture légitime, classique.
Pour lui l’égalité dans les écoles est une forme de l’heur, l’uniforme rend tous égaux mais les
marqueurs de catégorie sociales vont réussir à s’exprimer au delà de l’uniforme.
- L’école reproduit mais n’innove pas avec le classique or selon Bourdieu dans ces domaines, les
enfants issus des catégories socioprofessionnelles supérieur + ont des moyens d’interprétation
adéquat et pertinent (regarder une oeuvre d’art sans parler), on leur a appris
Les enfants issus de csp- vont faire des fautes de goùts, parler trop fort etc.

Pour lui la société est une énorme machine de reproduction des di érences de classe et de
culture. Les individus sont prisonniers de leurs habitus. Ils comptes tout au long de notre vie nos
rapport et nos conditions d’existence.
La sociologie bourdieusienne est fortement déterministe: elle considère que la société
détermine les conditions d’existence d’un individu (= un enfant né dans un milieu d’ouvrier ne
pourra devenir autre chose qu’ouvrier)

Les passerelles entre les cultures de classes sont infranchissables.

Le modele de la légitimité culturelle :

La réception des oeuvre culturelles est in uencée d’abord et avant tout par ces postions de
classe:
- La classe sociale supérieure est dans une fuite en avant permanente
- la classe sociale intermédiaire tente tant bien que mal de suivre la classe sociale élevée
- La classe sociale populaire est perdue, faute vie capitaux, de temps et de revenus. Elle à une
consommation culturelle fonctionnelle et une interprétation également fonctionnelle.

Les milieux supérieur vont regarder la qualité, les couleurs, les fonds de la photo alors que les
classes populaire vont restés attaché au premier niveau de représentation.

Bourdieu propose une cartographie

Assister a un concret de musique classique donne:


- une utilité sociale (reproduction de classe, réussite scolaire)
- Valeur d’émancipation sociale (distinction)
- Réalisation de soi et plaisir spéci que (recherche esthétique, forme de plaisir, plaisir du
divertissement, plein social)

L’avantage de cette approche c’est que le social agit sur la façon dont on reçoit des messages
médiatiques et non l’inverse.

Cependant, des lors qu’on considère que les individus populaires n’ont pas les capitaux
su sants pour recevoir et décrypte les messages, les messages consommés par ces catégories
sont eux mêmes décrédibilisé.
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