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ETUDE TECHNOLOGIQUE D’une étiqueteuse
OPRA -R.F
PROMOTEUR:
Promotion: 8501
REMERCÎMENTS
MERCI.
Je dédie ce modeste mémoire de fin d’étude à :
Ma mère qui m’on encourager tous au long
de cette période et pour leur sacrifices tout
au long de ma vie.
Mes très chers frère
Mes chères sœurs
Toute ma famille Gherbi Bahia
Amine et Mes chers amis qui m’ont
soutenu durant toute cette période
Tous ce qui m’on aider de loin ou de prés à
finir ce travail
Tous les étudiants de ma promotion et le
groupe B
Introduction générale...................................................................1
Chapitre I : Présentation de l’entreprise........................................2
Chapitre II : Partie exploitation.....................................................5
Chapitre III : Etude technologique
o 1-Partie mécanique
I-Introduction.....................................................................25
II- Les schémas de la machine...........................................26
III- La chaine cinématique.................................................27
IV- Les modes de transmission.........................................32
o 1-Partie électrique
I-Introduction....................................................................40
II- Schémas électrique.........................................................41
III- Fonctionnement des schémas......................................51
IV- Les organes Electrique de la machine...........................58
o 3- Partie pneumatique
I-Introduction...................................................................77
II- Schéma pneumatique.....................................................78
III- Etude technologique des organes pneumatiques...........80
Chapitre IV : Partie maintenance
I-Introduction......................................................................89
II- Définition de la maintenance...........................................89
III- Les objectifs de la maintenance.....................................90
IV- Différentes formes de la maintenance...........................91
Chapitre V : Hygiène et sécurité
I-Introduction.....................................................................102
II- Définition de l’hygiène...................................................102
III- Définition de la sécurité................................................103
Conclusion.....................................................................................107
Introduction générale
Dans ce travail que nous présentant on va s’intéresser en premier lieu aux détails
technique de l’applicateur de pailles tous ce qui est mecanique, électrique, pneumatique et
automate pour expliquer chaque action du fonctionnement de cette machine.
1
Chapitre I Présentation de l’entreprise
I-Historique :
Un jour de printemps 1966, Salah Othmani et son fils ont décidé de créer une unité
conserve, la Nouvelle Conserverie Algérienne (NCA) Sous la forme juridique d’une Société
2
Chapitre I présentation de l’entreprise
En 1989, Rouiba entre dans l’histoire en innovant et en proposant pour la 1ère fois en
Algérie un jus de fruits pasteurisé et conditionné sous emballage aseptique carton
2003, la société change de statut juridique et devient une Société par Actions (SPA).
2005, est marquée par l’internationalisation et l’ouverture du capital à un fonds
d’investissement non résident Africinvest Limited, afin d’accompagner la croissance.
Une entreprise à forte valeur familiale qui a su transmettre ses ambitions d’une
génération à une autre, tout en développant son savoir-faire et son expérience dans le
secteur agroalimentaire.
3
Chapitre II Exploitation de
5
Chapitre II Exploitation de
1-Description de la machine:
Les principales parties qui composent la machine sont illustrées sur la figure :
1-Transport conteneurs.
2-Groupe/s d'étiquetage
3-Armoire électrique
6
Chapitre II Exploitation de
2- Dispositifs principaux :
2.1-Convoyeur de transport conteneurs :
Ce groupe a pour fonction de transporter les conteneurs pendant tout le processus.
En fonction de la configuration de la machine, le dispositif est monté sur la vis sans fin (a) ou
sur le bord vis sans fin.
En fonction de la configuration de la machine, la vis sans fin peut être simple (a) ou
contraposée (b).
7
Chapitre II Exploitation de
3.1-Carrousel central :
Ce groupe a pour fonction de transporter les conteneurs pendant le processus
d'étiquetage. Les conteneurs, reçus de l'étoile d'entrée 1, sont bloqués et centrés avec précision
entre les têtes de centrage 2 et les plateaux 3.
Ensuite ils sont mis en rotation autour de leur propre axe par l'intermédiaire d'un
système de transport à poulies, pour permettre la correcte application et étirage de l'étiquette.
Les conteneurs étiquetés sont relâchés par les têtes de centrage et transférés à l'étoile de sortie
4.
8
Chapitre II Exploitation de
4- Groupe d'étiquetage RF :
L’étiquette est ensuite transférée sur le conteneur en rotation et les bandes de colle
assurent, avec un dispositif de lissage adapté 8, une parfaite application.
9
Chapitre II Exploitation de
5- Dérouleur bobine :
La cellule photoélectrique 3 détecte quand la bobine est sur le point d'être épuisée. Dans
cette condition et avec le système de jonction automatique de la bobine en condition de
fonctionnement (nouvelle bobine prête à l'utilisation), la cellule photoélectrique génère un
signal qui active la jonction ; si le système de jonction automatique de la bobine n'est pas en
condition de fonctionnement alors il génère un signal qui arrête la machine.
Dérouleur bobine
6- Guide-bande :
1
Chapitre II Exploitation de
Guide-bande
7- Groupe de traction
:
Ce groupe a pour fonction d'entraîner la bande étiquettes, en alimentant en continu le
rouleau de découpe. Il se compose d'un rouleau moleté 1 et d'un rouleau caoutchouté 2 ; la
pression du rouleau caoutchouté sur le rouleau moleté permet un bon entraînement de la
bande étiquettes. Une cellule photoélectrique 3 détecte le cran qui détermine le pas étiquette.
Avec le servomoteur qui actionne le rouleau de traction et le contrôle axes correspondant,
assure que l'étiquette est découpée aux bonnes positions et longueur.
3-UV.
1
Chapitre II Exploitation de
8- Groupe de découpe :
Le rouleau de découpe est doté d'un système de retenue par dépression pour soutenir
l'étiquette et d'un système de souffles d'air pour la détacher et permettre la cession de
l'étiquette même au rouleau de transfert.
La découpe de l'étiquette se fait par la rencontre d'un couteau rotatif 1 avec un fixe 2. Le
couteau rotatif, fixé parallèlement à l'axe du rouleau de découpe est conçu pour pourvoir
travailler sur les 4 côtés.
Le couteau fixe, solidaire à la structure, est par contre légèrement incliné par rapport à l'axe
du rouleau de découpe; pour cela, l'étiquette est d'abord découpée sur le bord supérieur pour
ensuite continuer en diagonale jusqu'au bord inférieur.
Groupe de découpe
9- Groupe colleur :
La température de la colle est relevée par les thermocouples et est gardée constante
par des résistances. La bande de colle présente sur le bord initial permet l'application de
l'étiquette sur le conteneur, alors que la bande sur le bord final de l'étiquette garantit une
fermeture correcte. Un cylindre 4 fait avancer le rouleau de colle vers le rouleau de transfert
quand une étiquette est distribuée.
1
Chapitre II Exploitation de
Le rouleau de transfert est doté d'un système de retenue par dépression pour soutenir
l'étiquette et d'un système de souffles d'air pour la détacher et permettre l'application sur le
conteneur.
Une cellule photoélectrique 2 détecte qu'une étiquette n'a pas été transférée; dans cette
condition, le système génère un signal qui arrête la machine.
Groupe de transfert
1
Chapitre II Exploitation de
11- Etirage :
Etirage
Le système détecte lorsque la bobine est sur le point d'être épuisée et génère un signal
qui actionne le dispositif de jonction automatique :
- un couteau découpe la bande des étiquettes de la bobine sur le point d'être épuisée ;
1
Chapitre II Exploitation de
II-Tableau de commande :
1- Description :
1.2-MENU PRINCIPAL :
1 2 3 4
5 6 7 8
9 10 11 12
13 14 15 16
Dans la page-écran initiale de menu sont présentes toutes les touches pour accéder
aux pages- écran correspondantes (en lisant de gauche à droite puis en descendant) :
1
Chapitre II Exploitation de
2-PUPITRE:
3- Tableau de fonctionnement :
DESCRIPTION FONCTION
N
1 Marche Marche machine
1
Chapitre II Exploitation de
4- Commande Générales :
Dans ce bloc sont gérées les commandes relatives aux moteurs, aux chauffages et aux
contrôles sur les dispositifs supplémentaires. On définit les unités de mesure et quelques
paramètres d'étiquetage qui font référence à la longueur des bobines et au réglage de la
courroie motorisée. En activant (ON) / désactivant (OFF) les commandes onactive/ désactive
la fonction qu'elles contrôlent.
Les commandes sous la section MOTEURS permettent le démarrage ou l'arrêt des moteurs
relatifs aux sections dans la liste.
1
Chapitre II Exploitation de
MOTEUR CONVOYEUR M/C :
TUNNEL :
1
Chapitre II Exploitation de
5-Commandes Opérateur :
Les pages-écran présentes dans ce bloc permettent d'accéder aux commandes et aux
fonctions les plus fréquentes
DÉROULEMENT BOBINE :
Permet d'activer (ON) / désactiver (OFF) le déroulement de la bobine active située
sur le support.
DESCENTE ROULEAU COLLE :
Permet d'activer (RUN) / désactiver (STOP) le dispositif de contrôle pour
l’avancement / le retour du rouleau de la colle à sa position de travail/repos.
MANUEL / AUTO
Permet de programmer le mode de fonctionnement de la machine :
AUTO, mode automatique, la vitesse s'adapte en fonction des signaux émis par les
capteurs de ligne en entrée/ sortie de la machine ;
MAN, mode manuel, la vitesse est programmée directement par l'opérateur sur le
tableau. La vitesse programmée manuellement reste constante et by-passe tous
les signaux de ligne.
SYNC :
, mode syncro, la vitesse est commandée par un signal analogique externe, provenant
de la ligne.
BARRIÈRE :
Permet de fermer (CLOSE) / ouvrir (OPEN) l’entrée des conteneurs dans la machine
1
Chapitre II Exploitation de
ROULEAU TRACTION FILM :
NETTOYAGE MACHINE :
Permet d'activer (ON) / désactiver (OFF) la commande de préparation de la machine
aux opérations de nettoyage.
SYNCHRONISATION CARROUSEL :
Permet l’activation (ON) du processus de synchronisation carrousel. La Del ci-contre
allumée, permet de visualiser l'exécution du processus en cours.
HOME OK CARROUSEL :
La Del allumée indique que la synchronisation du carrousel a été effectuée : le
carrousel est maintenant en mesure d'établir sa position de fonctionnement correcte.
DÉCOUPE ÉTIQUETTES EN MANUEL :
S'utilise pendant la procédure de création fenêtre lecture cran.
2
Chapitre II Exploitation de
6-Tempirateur :
Dans ce bloc on peut contrôler et programmer les températures relatives aux différents point
d'utilisation du groupe d'étiquetage et de la machine.
ROULEAU COLLE
STRUCTURE COLLE
RACLOIR COLLE
DISTRIBUTEUR COLLE
BAC COLLE
ARMOIRE ÉLECTRIQUE
VALEUR AMBIANTE.
2
Chapitre II Exploitation de
-ATT
La colonne visualise la valeur de température actuelle du point d'utilisation
correspondant.
SET
La colonne visualise la valeur de température programmée pour le point d'utilisation
correspondant.
ATT-SET
La colonne montre la différence entre la température actuelle mesurée et la
température programmée.
Chaque section de la liste est accompagnée d'une Del qui s'éclaire à l'apparition d'une
panne de la sonde qui relève la température et d'une commande TENDANCE qui
permet d'accéder au graphique de l'évolution de la température dans le temps.
7-Types de ettquettes :
Les types De ettiquettes qui peuvent être utilisés dans la machine sont:
• pour la 33 Cl
• pour la 75 cl
• pour la 2 L
8-Caractéritiques Téchiniques :
2
Chapitre II Exploitation de
Diamètre min-max conteneur mm 55-110
Hauteur min-max conteneur (± 2.5mm) mm 150-370
Longueur min-max étiquette (± 0.5%) mm 185-360
Hauteur min-max étiquette (± 0.5mm) mm 50-175
8.1-Caratéristiques Pneumatique :
Consommation moyenne (à 5 bar - 0,5 MPa) Nl/min 200
(*)
Pression minimale nécessaire bar (MPa) 5
(0,5)
Tuyau raccordement installation Ø mm 17
9-Solutions de nettoyage :
2
Chapitre Etude Technologique sur
Chapitre III
Partie Etudes
Technologiques
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
1-PARTIE MECANIQUE
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
I-Introduction :
Le but de cette étude mécanique c’est de comprendre le système et les organes qui
participent dans le mouvement de la machine.
Pour cela on a expliqué des schémas cinématique et des schémas pour mieux comprendre le
fonctionnement de ce système.
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
N° Désignation N° Désignation
d’organe d’organe
1 ASSEMBLAGE CARR. CEN 13 BANDE/ CONVOYEUR DE TRANSPO/
ACCESSOIRES
2 GROUPE 14 SUPPORT
3 VERIN 15 COTE
4 TETE 16 TRANSMISSION AU GROU
5 TOURNETTE/ GROUPE MOTEUR 17 JONCTION AUTOMATIQUE/
JONCTION
6 CULBUTEUR 18 IONISATEUR/ SUPPORT BOBINE
7 VIS SANS FIN/ ACCESSOIRES 19 SUPPORT CELLULES PHO/ SYSTEME
8 TRANSMISSION VIS SAN 20
RÉGLAGE GROUPE
9 GROUPE MOTEUR 21
SYSTČME DU VIDE
LISTE 22
10 GRAISSAGE/ INSTALLATION/
SYSTEME PNEUMATIQUE
11 23
CONVOYEUR SUPPORT CELLULE PHOT
PLAQUES
12 24 KIT MACHINE
/ 25 SUPPORT CODEUR
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
N° Désignation N° Désignation
d’organe d’organe
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
N° Désignation N° Désignation
d’organe d’organe
5 Roue 9 Roue
6 Poulie 10 Roue
8 poulie
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
N° Désignation N° Désignation
d’organe d’organe
1 Moteur 4 Carroie
2 Arbre 5 La sellette
3 Poulie /
2
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
N° Désignation N° Désignation
d’organe d’organe
5 Poulie /
6 Cardon /
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
Le moteur (M) démarre et il assurée la rotation de la poulie (2) qui fait tourner les poulies (4)
et (5) par la courroie (3) (la rotation est dans le même sens.
La poulie (4) fait tourner le ( R.C) par l’intermédiaire d’un cardon et axe .
La poulie de (R.T) est assurée par les trois roues (7) (8) et (9).
Lorsque (R.C) tourner la roue (7) tourne pour faire tourner les roues (8) et (9). la roue (8) est
ajoutée pour garder le sens de rotation de les deux (R.C) et (R.T).
La poulie (5) assuré la rotation de (R.CO) pour l’intermédiaire d’un cardon et axe.
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
La roue : Une roue est une pièce mécanique de forme circulaire tournant autour d'un axe
passant par son centre, Une roue est dite « dentée » lorsqu’elle transmet le mouvement par
engrenage par le biais de dents garnissant son pourtour. Le nom de pignon est donné aux plus
petites roues dentées.
L’arbre : Un arbre est un organe mécanique transmettant une puissance sous forme d'un
couple et d'un mouvement de rotation. La forme cylindrique de cet organe est à l'origine de
son nom.
arbres tournants :
Tel que l'arbre de transmission d'un camion qui ne subit quasiment aucune contrainte
en traction/compression, mais qui doit transmettre de fortes puissances en rotation.
arbres fixes :
S’il ne tourne pas, un arbre prend le nom d'axe, d'essieu, de tirant, de barre de
torsion, etc.
la manivelle :
Une manivelle est un composant mécanique présentant une partie excentrée appelée
maneton (monobloc ou rapporté) par lequel une force peut lui imprimer un
mouvement de rotation autour de son axe.
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
1- Les engrenages :
1-1 généralités :
Denture droite et denture hélicoïdale. Les trois roues ont le même module apparent et
les deux grandes roues le même nombre de dents.
Denture droite
La génératrice de forme des dents est une droite parallèle à l’axe de rotation. C’est le type
de denture le plus courant. Il est utilisé dans toutes les applications de mécanique générale. En
effet, il s'agit du système qui permet de transmettre le maximum d’effort.
Denture hélicoïdale
La génératrice de forme des dents est une ligne hélicoïdale de même axe que l’axe de
rotation. Ce type de denture présente l’avantage d’être plus silencieux que la denture droite,
en créant moins de vibrations. Les dentures hélicoïdales permettent également d’augmenter la
conduite de la transmission, en faisant en sorte que le nombre de dents simultanément en
contact devienne constant, ce qui permet de transmettre des efforts plus importants et surtout
d’atténuer les vibrations et les bruits.
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
Ce sont les plus simples et les plus économiques des engrenages. Toute foi, leur,
fonctionnement induit des chocs d’engrènement, ce qui provoque du bruit et des vibrations.
On peut réduire ces défauts en réduisant le module des engrenages, mais cela diminue aussi
leur résistance.
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
3
Maintenance
Chapitre Etude Technologique sur
2- les courroies :
1- généralité :
Les courroies sont des éléments de machines utilisés le plus souvent pour transmettre
un mouvement de rotation et/ou une puissance mécanique entre deux ou plusieurs poulies.
Elles sont constituées d'un ou plusieurs matériaux agencés pour être à la fois flexibles et peu
extensibles.
Deux types de courroie existent:
La courroie est utilisée avec des poulies, et parfois avec un galet tendeur. L'entraînement
s'effectue par adhérence pour les courroies plates, par coincement pour les rondes,
trapézoïdales et striées. Les courroies synchrones permettent une transmission de mouvement
sans déphasage : par exemple comme les chaînes et les engrenages. Habituellement, les
moteurs de voitures comportent une courroie crantée pour entraîner la distribution et une
courroie rainurée pour entraîner un certain nombre de composants périphériques : alternateur,
pompe de direction assistée, pompe à eau, etc.
2- Rapport de transmission :
Comme les transmissions par engrenage, le rapport de transmission se calcule par la formule :
3- de courroies :
Les courroies trapézoïdales sont les plus utilisées. À tension égale, elles transmettent une
puissance plus élevée que les courroies plates. Elles sont utilisées, par exemple, dans les
variateurs de vitesse.
Maintenance 3
Chapitre Etude Technologique sur
La courroie striée est une courroie de transmission de puissance striée dans le sens de la
longueur, ce qui augmente énormément la surface de contact entre la poulie et la courroie.
Cependant elle fonctionne par adhérence de la denture sur la poulie. Sa structure monobloc
permet une répartition homogène de la tension au contact poulie/courroie.
La courroie striée constitue la courroie dite d'accessoire sur les automobiles. On la retrouve
également sur les machines à laver, sèche-linges, tracteurs, bétonnières, compresseurs, vélos
fitness, tondeuses, etc.
Les courroies synchrones sont dentées. On les utilise, par exemple, pour entraîner les
arbres à cames, ou pour la transmission secondaire de certaines motocyclettes. Elles sont aussi
utilisées sur de nombreuses machines industrielles. Ce genre de courroie est indispensable
pour éviter tout déphasage entre l'entrée et la sortie.
Même bien tendue et sans glissement, une courroie non crantée se décalera de par son
élasticité. En effet son élongation sera différente entre brin tendu et brin mou et c'est cette
différence qui produira le décalage.
3-5 Pannes :
Une courroie demande peu d'entretien. Cependant, il faut surveiller son état : traces
d'usures visibles, tension :
Maintenance 3
Chapitre Etude Technologique sur
1- les roulements :
1-1 généralité :
1-2 constitution :
1 : Bague extérieure
3 : Chemin de roulement
4 : Cage
5 : Bague intérieure
Maintenance 3
Chapitre Etude Technologique sur
1 : Charge radiale
2 : Charge axiale
Les roulements à billes à contact radial, également appelés roulements rigides à billes,
sont les roulements les plus courants : ce sont à la fois les meilleur marché et les plus
compacts. Mais ne tolèrent que des charges axiales modérées.
Ils supportent des efforts axiaux et radiaux importants. Du fait de la disposition des
contacts de roulement, les bagues peuvent se désolidariser par translation axiale. Ils ne posent
donc pas les mêmes problèmes d'assemblage que les roulements à billes.
Ce type de composant est idéal pour les guidages de grande précision devant subir de
gros efforts (pivot de roue de véhicules, broches de machines).
Sur deux rangées de billes type BS : ils supportent des charges radiales élevées.
Sur deux rangées de rouleaux type SC : ils supportent des charges radiales encore plus
élevées.
Maintenance 3
I-Introduction :
L’énergie électrique est un facteur essentiel du développement et de l’évolution des
sociétés humaines, que cela soit sur le plan de l’amélioration des conditions de vie et plans
des développements des activités industrielles.
4
II- Les schémas Électrique :
Schéma 01 :
4
Schéma 02
4
Schéma03
4
Schéma 04
4
Schéma 05
Schéma 06 :
4
Schéma 07
Schéma 08:
4
Schéma 09
Schéma 10 :
4
Schéma les sortie elau mc-4 :
Schéma 11 :
schéma 12 :
4
Schéma 13 :
4
Chapitre Exploitation de
2-PARTIE Electrique
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
1-Nomenclature :
composants Signification
1 Les trois phases 380 v
2 Disjoncteur magnétothermique
3 Mise à la terre
4 X2 - Raccordement au réseau (MC-4
22 A)
5 Variateur de vitesse
6 Servomoteur
7 Encodeur
8 Câble d’information
9 Resolver
10 Files fibre optique de température
servomoteur
11 Alimentation la partie commande
12 Contacteur
13 Alimentation de l’automate
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Fonctionnement :
Le courant triphasé 380V sort de les phase L1 L2 L3 par des fils 1,5 mm . On relie les
phases à un disjoncteur magnétothermique, les sortie T1 T2 T3 entre variateur de fréquence
L1 L2 L3.
Ensuite le moteur alimentée par U V W , l’encodeur de moteur relie avec RESOLVER 8 par
files d’information COSMOS pour transformée les information de moteur .
Les sortie de moteur (9) entrée a la variateur de vitesse (5) et (6) pour transformée les donne
température.
L’alimentation de variateur de vitesse 24v assurée par la phase et le neutre (13) .
Les sorties 12 et 14 relie a l’automate.
Les entries 11 et 12 relie a l’automate.
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Fonctionnement :
Le courant triphasé 380V sort de les phase L1 L2 L3 par des fils 1,5 mm . On relie
les phases à un disjoncteur magnétothermique, les sortie T1 T2 T3 entre variateur de
fréquence RL1 SL2 TL3.
Le moteur triphasé est alimenté à travers un régulateur de vitesse (DANFOSS-FC51)
sortie TU1 TV2 TW.
la bobine de contacteur KA 1245 est excitée, le circuit est fermé , puisse le passage
de courant, le moteur est alimentée et la pompe de colle marche .
schéma 5 :
Pour un démarrage direct on utilise un moteur triphasé qui est alimenté par un réseau de
380V. L1L2L3
on commence par la partie puissance qui est composé d’un sectionneur port visible,
disjoncteur , contacteur ,et d’un relai thermique qui sont câblés a un moteur
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
schéma 6 :
Pour un démarrage deux sens de rotation on utilise un moteur triphasé qui est alimenté par un
réseau de 380V. L1L2L3
on commence par la partie puissance qui est composé d’un sectionneur port visible,
disjoncteur , deux contacteur ,qui sont câblée a moteur .
la partie commende sort des deux phase vers un transformateur et en suit par des composant
qui sert a commende le moteur en deux sens de rotation
bouton arrêt urgence, bouton arrêt, deux bouton poussoirs ,avec leur maintien a laide des deux
bobine de contacteur KM 1253 et KM 1254 et un vrillage automatique .
L’entrée IN4 est liée a la borne qui thermique aspiration des fumes
Schéma 08 :
L’entrée IN0 est liée au bouton réserve a câble
L’entrée IN6 est liée a la borne qui commande blocage étoile parallèle
Schéma 9 :
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Schéma 10 :
L’entrée IN0 est liée au bouton ESPACE D'URGENCE BOUCHE espace d’urgence
L’entrée IN4 est liée a la borne qui capteur de proximité rouleau coupe
L’entrée IN5 est liée a la borne qui capteur de proximité contrôle Cam
L’entrée IN6 est liée a la borne qui commande capteur de proximité pompe graisse
L’entrée OUT 4 est liée a la borne qui résistance ras bord colle
L’entrée OUT 5 est liée a la borne qui COLLE marche pompe colle
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Schéma 12 :
Schéma 13 :
L’entrée OUT 0 est liée au bouton réserve a câble
L’entrée OUT 6 est liée a la borne qui commande électrovalve rouleau colle
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
1.1- Définition :
1.2-Fonctionnement :
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
Types de disjoncteur :
1- Disjoncteur unipolaire :
Il protège les biens du logement contre les courts circuits et les surcharges, cette
protection n’est appliquée que sur le fil de phase: le contrôle contre les surcharges et les
courts-circuits est réalisé uniquement sur le conducteur de phase. En cas de détection d’un
défaut au niveau de la phase, le disjoncteur coupe les deux fils, neutre et phase.
Le mot unipolaire porte donc uniquement sur la protection, les deux fils sont présents en
amont et en aval du disjoncteur.
2- Disjoncteur bipolaire :
Il protège les biens du logement contre les courts circuits et les surcharges, la
protection magnéto thermique s’applique maintenant sur les deux pôles du dispositif. En cas
de défaut -court circuit ou surcharge – sur le conducteur de neutre ou de phase, les deux pôles
sont coupés.
Maintenance
5
Chapitre Exploitation de
3- Disjoncteur tripolaire :
Il protège les biens du logement contre les courts circuits et les surcharges, la protection
magnéto thermique s’applique maintenant sur les trois pôles du dispositif. En cas de défaut -
court circuit ou surcharge – sur le conducteur de neutre ou de phase, les trois pôles sont
coupés.
3- Disjoncteur électronique :
Définition:
Fonctionnement :
Un déclencheur électronique peut réaliser les fonctions des déclencheurs thermiques et/
ou magnétiques, c'est-à-dire détecter selon le cas les courants de surcharge ou les courants de
court-circuit pour provoquer l'ouverture des contacts.
L'intérêt d'un déclencheur électronique est de pouvoir disposer d'une large plage de
réglage, d'inclure éventuellement des algorithmes sophistiqués de détection de courant de
défaut, par exemple en prenant en compte la dérivée du courant, de permettre la transmission
de l'état du disjoncteur, de la mesure du courant, etc. vers un automatisme de surveillance du
réseau.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
4- Disjoncteur différentiel :
Définition :
Le disjoncteur différentiel outre son pouvoir de coupure contre les courts- circuits et
les surcharges, assure la détection d'une différence d'intensité du courant entre la phase et le
neutre, si un défaut d'isolation existe (courant de fuite par la prise de terre), ce défaut est aussi
appelé courant résiduel.
Fonctionnement :
Si les courants I1 et I2 sont différents du fait de la présence d'un courant de fuite If, un
courant prend naissance dans l'enroulement Kl qui, en alimentant le relais K2 (normalement
fermé par accrochage mécanique lors de l'armement) provoque la coupure de l'alimentation.
Le relais K2 restera dans cet état jusqu'au prochain réarmement, lequel ne sera possible que si
le courant de défaut If à disparu, c'est-à- dire si le défaut d'isolement l'occasionnant a été
trouvé et réparé.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
5- Sectionneur :
Définition :
Fonctionnement :
6- Contacteur :
Définition :
Lorsque la bobine n'est pas alimentée, le ressort de rappel sépare les deux parties de
l'armature et maintient les contacts de puissance ouverts.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
7- Relais électrique :
Définition :
Fonctionnement :
En alimentant la bobine, le contact mobile est déplacé fermant ainsi le contact électrique. En
l'absence de courant dans la bobine le ressort de rappel maintient le contact ouvert.
Typiquement, ces modules sont reliés à des boutons d'Arrêt d'urgence, des
interrupteurs de position….
Toute zone dangereuse doit être identifiée et avoir un accès protégé et géré
de façon sûre.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Dans un réseau triphasé, les relais de surveillance de réseau 3UG4614 surveillent les
éléments suivants : asymétrie des phases, sous-tension, coupure de phase et ordre des phases.
Les relais de surveillance 3UG4614 disposent de 2 relais de sortie, les relais fonctionnent de
manière synchrone.
Les relais statiques sont des contacteurs qui se ferment électroniquement, par une
simple commande en appliquant une
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Fonctionnment :
Il est constituer de deux thyristors en tête-bêche avec une gâchette commune, si on l’excite
avec un angle α de commande de 0° ou de 180° alors il sera soit passant soit bloqué.
Ces relais peuvent passer un courant nominal qui dépasse 150A (AC) et conçu pour des
actionneurs de l’ordre de 30 KW.
Ils peuvent commuter en charge nominale de 2 à 3 fois par seconde, ce qui est parfait
pour les résistances chauffantes et les thermoplongeurs.
9- Moteurs :
Définition :
C’est une machine qui transforme une énergie quelconque en énergie mécanique
susceptible de fournir un travail.
On peut classer les moteurs selon la nature de l’élément qui fournit l’énergie initiale.
9.1--Moteur Brushless :
Définition :
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Fonctionnement
Comme on peut le voir sur les images ci-après, le moteur brushless consiste en un stator
sur lequel sont placées des bobines radialement par rapport à l'axe de rotation et en un rotor
constitué d'aimants permanents (cas d’out-runner). Vu de l'extérieur, il fonctionne en courant
continu. Il ne contient pas de collecteur tournant, et donc pas de balai, contrairement au
moteur à courant continu mais un système électronique de commande qui doit assurer la
commutation du courant dans les enroulements.
9.2-Moteur asynchrone :
Définition :
Le moteur asynchrone est un moteur électrique à courant alternatif sans connexion entre
le stator et le rotor. Les moteurs possédant un rotor « en cage d'écureuil ». Le terme
asynchrone provient du fait que la vitesse de rotation du rotor de ces moteurs n'est pas
exactement déterminée par la fréquence des courants qui traversent leur stator.
Fonctionnement :
Le principe des moteurs à courants alternatifs réside dans l’utilisation d’un champ
magnétique tournant produit par des tensions alternatives à fin de faire tourner le rotor à l’aide
de stator.
Le stator :
Le stator est formé d'une carcasse ferromagnétique qui contient trois enroulements
électriques. C'est la partie fixe du moteur. Le passage d'un courant dans les enroulements crée
un champ magnétique à l'intérieur du stator. Sur les moteurs triphasés, il y a 3 enroulements
alimentés (en étoile 230V ou en triangle 400V) chacun par une phase. Pour le moteur
asynchrone, le stator est l'inducteur (celui qui "induit", qui crée le champ magnétique).
Le rotor :
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Fonctionnement :
Ce sont des variateurs pilotés par les contrôleurs C400 ou autre, qui mettent en œuvre
un moteur brushless en relation avec la puissance du variateur (1, 3, 10 ou 22A). Ils sont
destinés à commander la vitesse et le moment d'un moteur électrique à courant alternatif en
déterminant la fréquence et la tension, respectivement le courant, d'entrée nécessaire.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Le VLT® Micro Drive est un variateur compact tout usage pour piloter des moteurs
jusqu’à 22 kW. Il fonctionne parfaitement sur tous types d’applications même complexes.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
sont stockés dans une carte mémoire flash, il est fait pour piloter un moteur brushless.
10- Capteurs :
Définition :
C’est également, l’élément qui va permettre sous l’effet du mesurande d’en délivrer une
image exploitable (signale électrique par exemple).
Fonctionnement :
Ils définissent les zones dans lesquelles les caractéristiques du capteur sont assurées par
rapport à des spécifications données
Thermocouple :
Définition :
Les thermocouples sont utilisés pour la mesure de températures. Ils sont bon marché et
permettent la mesure dans une grande gamme de températures.
Maintenance
6
Chapitre Exploitation de
Capteur de proximité :
Un capteur de proximité est un élément de mesure détectant si un objet est présent à
proximité sans avoir de contact avec l’objet. La détection s’opère par des effets physiques que
l’objet peut produire sue le détecteur, sans contact. Il existe 4 technologies :
La méthode rétro-réflective.
Détecteurs de couleur.
Méthode rétro-réflective :
L’émetteur et le récepteur sont montés dans le même boîtier et un réflecteur est utilisé
pour retourner le faisceau vers le récepteur. Si le faisceau n’est pas obstrué par un objet alors
le faisceau lumineux réfléchit est détecté par le récepteur.
Lorsque l’objet coupe le faisceau le récepteur ne le reçoit plus et l’objet est détecté
Maintenance
7
Chapitre Exploitation de
Détecteurs de couleur :
Les détecteurs de émettent une lumière couleur détectent la couleur d'une surface. Les
détecteurs (rouge, verte, bleue) sur les objets à tester, à partir du
Maintenance
7
Chapitre Exploitation de
Les codeurs rotatifs sont un type de capteurs permettant de délivrer une information
d'angle, en mesurant la rotation effectuée autour d'un axe, ils permettent au système de
traitement de maîtriser le positionnement d'un mobile avec une grande précision et sans
répartir sur le système technique un grand nombre de détecteurs de position.
Fonctionnement :
Tous les codeurs rotatifs exploitent des principes de fonctionnement similaires. Ils
sont constitués d’un disque comportant des zones opaques et des zones translucides. Le
nombre de ces zones et leur disposition dépendent de la nature du couleur et du type
d’information que l’on souhaite obtenir.
Des diodes électroluminescentes (LED) émettent une lumière qui peut traverser les
zones transparentes. Des phototransistors, situés de l’autre côté du disque en regard des LED,
captent cette lumière lorsqu’ils sont face à une ouverture et délivrent un signal électrique,
image de la présence des cette ouverture.
Maintenance
7
Chapitre Etudes technologique d’une
3-PARTIE PNEUMATIQUE
7
Chapitre Etudes technologique d’une
I-Introduction :
L’air comprimé est une énergie universelle comme l’électricité et recouvre une extrême
diversité d’application.
L’utilisation de l’air comme source d’énergie nécessite sa compression est réalisée par
des machine alternatives ou relatives, les compresseur qui puisant l’air ambiant, le comprime
ses organes mais aussi la détermination des points essentiels qui facilitent d’effectuer
7
Chapitre Etudes technologique d’une
II- schéma pneumatique :
Fonctionnement de Schéma :
Dans se schéma é entrée air est l’alimentation du circuit pneumatique d’une
pression du (7 bar ) .
1- Générateur de vide (GV) : Son rôle faire générer le vide a partir d’une pression a
l’entrée ( pour garder l’étiquette colle sur le bloqueur
2- Les deux vérins des bloqueurs d’étiquettes sont alimentée par un seul distribuiez
(EV7) pour qu’ils fonctionnent en même temps
3- Après le blocage d’étiquettes les deux vérins alimentée âr (EV5) et 5(EV6) sont
fonctionner séparément selon la bobine qui va être démarrer en production
En deuxième lieu l’aire d’alimentation 7 bar arrive au distributeur EV2 qui
alimente le réducteur de pression, ce dernier a comme fonction la réduction de
pression comme l’indique son nom, mais aussi la transmission de l’énergie vers
les deux vérins, régularisés par les deux régulateurs RO7.RO6
En troisième partis on a un distributeur EV1 qui alimente le vérins RC en
passent par un régulateur RO4, négligeant pas le retour d’énergie passent par
RO5
En dernier lieu on a RO3 qui est alimenté par la 7bar pour fonctionnement du
RT.
7
Chapitre Etudes technologique d’une
Points d’utilisation :
RT Rouleau de découpe
RC Rouleau colle
RP Rouleau presseur
GA Jonction automatique bobine
GV Générateur de vide
Composants :
7
Chapitre Etudes technologique d’une
III- Etude technologique des organes pneumatiques :
1- Pressostat :
Définition :
Fonctionnement :
Définition :
Le régulateur de pression permet d’obtenir une pression stable à la
sortie à partir d'une pression d'entrée variable.
Fonctionnement :
Les soupapes de réducteur de pression sont des appareils du type
normalement ouvertes. Elles permettent de délivrer une pression réduite sur
un circuit secondaire à partir d’un circuit primaire haute pression, sans
réduire la pression générale.
8
Chapitre Etudes technologique d’une
3- Réducteur (régulateur) de débit :
Définition :
Le régulateur de débit à pour fonction, comme son nom l’indique, de
régler le débit d’air ou d’un fluide dans une installation.
Fonctionnement :
Le régulateur de débit est en fait un étrangleur réglable. En effet si on
réduit le diamètre de passage, la quantité d’air ou fluide sera ainsi réduite.
Certain modèles fonctionnent dans un seul sens, ils sont pourvus d’un clapet
anti-retour dans le sens inverse.
4- Filtre :
Définition :
Un filtre permet de retenir la pollution avant quelle entre dans le circuit. Il
permet ainsi d’éviter une mesure prématurée des différents composants de
l’installation.
Fonctionnement :
Le filtre est constitué en général d’un élément filtrant qui retient les
particules polluantes plus ou moins grosses. Ces éléments filtrants peuvent
être constitués de tissus métalliques, plastiques, en céramique, en fibres.
8
Chapitre Etudes technologique d’une
5- Vérins :
Définition :
Les vérins convertissent l’énergie d’un fluide sous pression en une
énergie mécanique, formée d’un mouvement de translation et un effort.
Fonctionnement :
C'est l'air comprimé qui, en pénétrant dans l'une des chambres, pousse le
piston. La tige se déplace. L'air présent dans l'autre chambre est donc chassé
et évacué du corps du vérin.
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Chapitre Etudes technologique d’une
6- Lubrificateur :
Définition :
Ce composant est utilisé uniquement en pneumatique, il sert à
lubrifier les composants d’une installation pour éviter une mesure
prématurée.
Fonctionnement :
Le lubrificateur assure une visibilité claire de la circulation de l'huile et
de la régulation de l’air. Le tuyau d'aspiration d'huile est équipé en série d'un
filtre fritté qui garantit que tous les particules qui doivent être présents dans
l'huile atteindront le circuit de flux vers le bas.
7- Distributeur :
Définition :
8
Chapitre Etudes technologique d’une
Fonctionnement :
Généralement constitué d'un tiroir qui coulisse dans un corps, il met en communication
des orifices (connectables ou non) suivant plusieurs associations. Le tiroir peut être actionné
par un levier, une bobine, un piston, ou un ressort de rappel (pour ceux disposant d'une
position neutre ou stable), La symbolisation des distributeurs pneumatiques intègre trois
fonctions :
Les orifices : Ce sont les raccordements nécessaires au passage de l’air comprimé, les
flèches indiquent le sens de circulation de l’air.
Les positions : Elles sont représentées par des cases, il y a autant de cases que de
position du distributeur.
Les organes de commandes : Ils déterminent la façon dont le distributeur est piloté.
8
Chapitre Etudes technologique d’une
8- Types de distributeur :
1) 8.2-Distributeur bistable :
Les deux positions d’équilibre, un ordre le met dans une position, l’absence de l’ordre
le laisse dans cette position, un autre ordre lui fait changé de position.
2) 9-Distributeur monostable :
Une seule des deux positions d’équilibre, un ordre le met dans la position instable,
l’absence d’ordre le ramène dans la position stable.
10- Vanne :
Définition :
Une vanne est un dispositif pour arrêter ou modifier le débit d’un fluide, gazeux, pulvérulent
ou multiphasique, en milieu libre (canal) ou en milieu fermé (canalisation).
8
Chapitre Etudes technologique d’une
11- Electrovanne :
Définition :
Electrovanne
Fonctionnement :
Une électrovanne est simplement une vanne à pointeau commandée avec une bobine :
Quand on alimente la bobine un axe en fer solidaire du pointeau est attiré, venant ouvrir la
vanne (si elle est normalement fermée) ou la fermer (si elle est normalement ouverte). Un
ressort permet de ramener le pointeau à sa position normale quand elle n'est pas alimentée.
Définition :
Les pompes à engrenages utilisent le profil combiné de deux roues dentées pour transvaser et
augmenter la pression d'un fluide. Elles sont exclusivement utilisées avec des liquides
Fonctionnement :
Une pompe à engrenages internes est une pompe volumétrique dotée de deux
engrenages. Ces engrenages tournent dans le même sens et s’emboîtent l’un dans l’autre au
niveau du corps de la pompe. Le carter de pompe est muni de deux connexions, l’une pour
l’aspiration et l’autre pour le refoulement. L’engrenage central est directement entraîné par le
moteur tandis que l’engrenage extérieur est entraîné par le premier. Le liquide est aspiré
8
Chapitre Etudes technologique d’une
dans la cavité constituée par le vide entre les deux dents de l’engrenage. Le liquide est ensuite
transporté vers l’orifice de refoulement. Lorsque le liquide est à ce niveau, l’espace situé entre
les dents des deux engrenages se referme, et le liquide est ensuite évacué vers le côté
refoulement.
8
Chapitre IV Partie mainten
8
Chapitre partie
I-INTRODUCTION:
Pour être et demeurer compétitive, une entreprise doit produire toujours mieux (qualité),
au coût le plus bas et par unité maximale de temps.
Certes l'automatisation et I ‘informatique ont permis d'accroître considérablement cette
rapidité de production, mais, cependant les installations et équipements tendent à se détériorer
dans le temps sous l'action de causes multiples telles que usures, déformations dues au
fonctionnement, et ouations des agents corrosifs.
Ces détériorations peuvent provoquer l'arrêt de fonctionnement (panne), diminuer les
capacités, production, mettre en péril la sécurité des personnes, provoquer des rébus on
diminue la qualité, augmenter les coûts de fonctionnement.
De ce fait le maintien des équipements de production est un enjeu c1é pour la productivité des
usines aussi bien que pour la qualité des produits. C'est un défi industriel impliquant la remise
en cause des structures figées actuelles et la promotion de méthodes adaptées à la nature
nouvelle des matériels. Ainsi dans ce chapitre nous verrons comment relever ce défi industriel
qui s'agit de maintenir un bien dans un état lui permettant de répondre de façon optimale à sa
fonction
1er Concept : le groupe d'actions << I ‘ensemble des actions » qui englobent La
conception de la maintenance tel1e que la formation des agents de maintenance, la
documentation technique, les équipements adéquats (outillages) et les
approvisionnements (pièces de rechange
2eme Concept : la maintenance préventive << maintenir >> qui comprend les
différentes opérations d’entretien, de surveillance, de révision ou de préservation des
matériels.
3eme Concept : la maintenance corrective << rétablir >> qui concerne localisation de la
défaillance, la remise en état de matériel et la durabilité des équipements
(Reconstitution, rénovation, etc.)
4eme Concept : la notion de << bien >> dont on distingue :
Les bien durables (seuls concernes par la maintenance).
Les biens semi-durables (à la première panne ils sont irréparables).
Les biens éphémères (durabilité limitée a la première utilisation).
89
Chapitre partie
5eme Concept : << l’état spécifie >>, en effet un bien peut avoir au moins trois état ;neuf,
dégradé ou défaillant , qui s’étalent sur le temps correspondant a sa durée de vie.
6eme Concept : << le service déterminé >>, Il se qualifie souvent en termes de disponibilité
dans un état donné.
7eme Concept : << le coût optimal >>, Qui mesure l'efficacité de la maintenance à travers
l'analyse des différant coûts et ratios de maintenance.
BUT :
Les principaux buts de la maintenance sont :
Le maintien du capital machine.
La suppression des arrêts non programmés et des chutes de production.
L'amélioration de 1a sécurité et de la protection de l'environnement.
III- LES OBJECTIFS DE LA MAINTENANCE :
Les objectifs de la maintenance sont multiples et peuvent être de plusieurs ordres :
OBECTIFS FINANCIERS :
Réduire au minimum les dépenses de maintenance.
Assurer le service de maintenance dans limites d’un coudrette.
OBJECTIFS OPERATIONNELS :
Maintenir les équipements dans les meilleures conditions possibles.
Assurer la disponibilité maximale de l’équipement a un prix minimum.
Augmenter la durée de vie des l’équipement.
Entretenir les installations avec le minimum d’économie et les remplacer à des
périodes prédétermine.
Assurer un fonctionnement sur est efficace a tout moment.
Augmenter le rendement des équipements.
OBJECTIFS ECONOMIQUES :
Assurer une optimisation du cout d’exploitation et utiliser rationnellement les moyens
humains et matériels.
Il faut pouvoir assurer la maintenance dans les limites budget.
OBJECTIFS ORGANISATIONNELS :
Définir, les politiques de la maintenance et des méthodes de travail appropriées.
90
Chapitre partie
LA MAINTENANCE
Maintenance Maintenance
préventive corrective
Défaillance
Maintenance Maintenance
systématique conditionnelle
Défaillance Panne
Echéancier Etat du bien partielle
Dépannage Réparation
Inspection Contrôle visite
91
Chapitre partie
1- LA MAINTENANCE CORRECTIVE :
92
Chapitre partie
93
Chapitre partie
3. Niveau 3 :
Identification et diagnostic de pannes, réparation par échange de composants fonctionnels,
réparation mécaniques mineures.
4. Niveau 4 :
Travaux importants de maintenance corrective ou préventive:
5. Niveau5 :
Travaux de rénovation de reconstruction ou réparation importantes confiées a un atelier
central.
Le tableau suivant représente la normalisation d'intervention de L'AFNOR pour chaque
niveau de maintenance.
94
Chapitre partie
Les différentes opérations effectuées par un service de maintenance afin d'atteindre les
objectifs fixés se résument comme suit :
1- OPERATION DE MAINTENACE CORRECTIVE :
Maintenance effectuée après défaillance. Elle est déclenchée par des perturbations ou des
événements.
Suivant la nature des interventions, on distingue deux types de remise en état de
fonctionnement :
MAINTENACE POLLIATIVE OU DEPANNAGE : Intervention à caractère
provisoire en vue de remettre en état de fonctionnement d'un équipement.
-LE CONTROLE : Vérification des conformités par rapport à des données préétablies suivie
d'une appréciation. Le contrôle peut comporter une activité d'informatique inclure une
décision et déboucher sur une opération de la maintenance corrective.
-LA RECONSTRUCTION : Elle est caractérisée par une remise en état définie par le cahier
de charges initial, qui impose le remplacement des pièces vitales par des pièces d'origines ou
des pièces neuves équivalentes. Elle peut être accompagnée d'une modification ou d'une
modernisation.
95
Chapitre partie
2- STRATEGIES DE LA MAINTENACE:
En fonction des accédées (La corrective)
En fonction du temps (Le préventive)
96
Chapitre partie
1- LA DOCUMENTATION GENERAL :
Qui se décompose en ;
-une documentation sur 1es techniques professionnelles, les livres techniques, revues articles,
conférence ...etc.
-Une documentation sur l'outillage, les fournitures; les normes, les catalogues des outillages
spéciaux et les pièces de rechanges ... etc.
2- LA DOCUMENTATION SPECIFIQUE:
Elle comprend ;
Le dossier technique.
Le dossier historique
97
Chapitre partie
Ce dossier comprend tous les renseignements et documents qui concernent un même type
de machine, il doit fournir les renseignements nécessaires dans le cadre de la préparation des
interventions (c'est la carte d'identité de la machine).
2- LEDOSSIER HISTORIQUE :
1- L’ACHAT DE MATERIEL :
Une documentation contenant des informations essentielles sur les capacités technico
économique de 1a machine nécessaire à l'acheteur pour rédiger les cahiers de charge de
consultation et pour choisir le bon équipement.
98
Chapitre partie
4- L’ENTRETIEN :
Afin d’assurer une langue vie a son matériel avec les meilleures conditions de qualités, de
disponibilité, de coût et de sécurité, il est essentiel de connaitre:
Quant et comment entretenir et réparer son matériel par la maintenance préventive ou
corrective.
Comment procéder au diagnostic des différentes pannes.
Quel sont les moyens à mettre en œuvre (outillage, pièce de rechange ...etc.).
1- demande de travail :
Liaison entre le demandeur qui exprime un besoin ou un problème et le service entretien.
2- Le bon de travail :
Établir au niveau de chaque phase de travail pour transmettre le monde opératoire et
recevoir le pointage et observation de la réalisation, au recto on met l’indentification du
travail, de l'urgence, et de la phase, au versons on met le compte rendu d'exécution, tempe
passé par phase, temps . . . etc.
3- La gamme de travail :
Constitue dans le cadre de l'établissement d'un dossier complet de la synthèse des
différentes phases nécessaire pour l'exécution d'un temps prévu, sur la gamme figure l'ordre
d'exécution des phases a l'aide d'un schéma d'enclenchement, elle permit de conforter les
prévision de la réparation avec la réalisation du travail (durée équipe).
99
Chapitre partie
4- Le bon de consignation :
Appelée aussi bon de sécurité son bute est de demander à la fabrication, les dates, les
heures d'exécution du travail et de provoqué de la part de celle-ci les manœuvres d'isolement
du matérielle qui permet a l'entretien d'intervenir en toute sécurité.
5- Le bon d’expertise :
C'est un questionnaire attaché a une seule phase et il est essentiellement technique, il sert
a évaluer la dégradation des pièces pourcentage a une norme de fonction, il se positionne au
milieu ou a la fin d'une phase et condition a la suite du travail en fonction des renseignements
qu'il porte l'émission du rapport et faite pour l'agent méthode. Expertise exécutée et suite
donnée, l'agent méthode en acroa avec les responsable entretien et décides opérations à
effectuer et de moment de leur exécution, archivage ensuite dans le dossier historique.
6- Le bon de sortie matériel :
Il est crée au stade de la préparation au niveau de chaque phase nécessitant des matériaux,
il indique les articles nécessaire a l'exécution avec quantité et code schéma, croquis, dessin
dans toute préparation, il est nécessaire de ne pas oublie que l'interprétation du travail à faire
doit être claire, il est nécessaire et possible de joindre à la préparation un schéma, un croquis,
ou un dessin.
10
CHAPITRE : V
Hygiène et sécurité
10
Chapitre hygiène et
I-Introduction :
L'hygiène et la sécurité au travail doivent faire partie des préoccupations constantes de
sécurité au travail doivent faire partie des préoccupations constantes de l'employeur. Celui-ci
doit veiller dans ces conceptions et dans ces réalisation a éliminer les causes d'accidents ou de
maladies professionnels, ainsi qu'appliquer strictement la législation vu les souffrances, les
misères qu'lis représentent, en plus de la lourde charge pour l'économie d'un pays, et dont la
plupart du temps les enquête prouvent que la majorité aurait pu être évites si les règles
élémentaires d'hygiène et de sécurité dans le travail étaient respectées.
La législation de d'hygiène et de sécurité au le travail évolue dans le sens de la prévention et
c'est dans le même sens que doit œuvrer l'employeur.
1- L’ergonomie :
L'ergonomie est l'adaptation du travail à l'homme et non l'inverse. Les résultats
recherchés vont vers une modification délibérée du milieu du travail et non vers des
changements psychologiques et physiologiques de l'individu.
Elle s'inscrit dans un mouvement qui va à l'inverse de celui des débuts de la recherche
industrielle (travaux de Taylor). Au lieu de perfectionner la machine et les temps de travail
pour améliorer l'efficacité, sans se soucier de la répercussion humaine, l'homme est pris
comme centre de référence ergonomique et la machine est modifiée en fonction de lui.
L'ergonomie est aussi une approche multidisciplinaire. Ses applications doivent être
résolues à la lumière de certains principes fondamentaux des sciences biologiques,
anatomique, anthropologique, physiologique et psychologique.
Maintenance
10
Chapitre hygiène et
1- But de la sécurité :
La sécurité a pour rôle de crée :
Signalisation lumineuse, sonores, et autres indiquant de danger.
commande à distance pour les opérations les plus dangereuses.
2- Les incendies :
Les incendies présentent un grand danger pour les travailleurs dans les entreprises
industrielles et peuvent occasionner de grands dégâts matériels voir même des pertes en vie
humaines.
Maintenance
10
Chapitre hygiène et
6- Les attentions :
Les roulements doit être lubrifie pendant le moteur tourne au ralentie et le roulement est à
température de fonctionnement, utiliser la graisse industrielle ou un équivalent approuvé.
Respecte les consignes de sécurité dans la note de sécurité.
Cet équipement (moteur) fonctionne à des tensions potentiellement mortelles. entre les
Maintenance
10
Chapitre hygiène et
7- Désignation de pictogramme :
Maintenance
10
Chapitre hygiène et
IV- Conclusion:
Maintenance
10
Le stage effectué au sein de NCA Rouiba nous a donné une vue réelle de domaine
industriel ou nous avons pu découvrir différents procédés industriels et différentes
installations
Le présent stage a e été d'une très grand importance, car il nous a permis d'accueillir et de
compléter nos connaissances théorique acquis a L'ITEEM avec des réalités des terrains avec
la quelle nous somme appelles a vivre.
Ce stage pratique nous a permis aussi de nous formaliser avec le personnel des services
maintenance et connaitre la place qu'occupent la maintenance et le rôle qu'elle joue au profit
de la production.
Donc I ‘application de la maintenance est le meilleur choix, cette politique est le seul
moyen d'éviter ces problèmes.
Enfin nous souhaitons que notre étude soit bénéfique pour L’ITEEM et pour
Les autres étudiants des promotions qui suivent.
WIKIPEDIA
BIBLIOTHÈQUE DE L’ITEEM
WWW.LAMAINTENANCE.FR