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UNIVERSITE PROTESTANTE AU CONGO

FACULTE D’ADMINISTRATION DES AFFAIRES ET


SCIENCES ECONOMIQUES

B.P. 4745 KINSHASA II


KINSHASA-LINGWALA

CODE DE DEONTOLOGIE
SECTEUR DES TELECOMS (VODACOM CONGO
SA)
MUKEBA ODIA Josephine
ILONGA MAZANDE Shanise
PUNGU MBEMBO Belchida
BIDUNGA LUWA Estan
BAPANGA KABEYA Jean Johnson
TSHIUNZA KABEYA JEAN-MARC
KABWE MUNYEMBA TABITHA
ASSUMANI SALAMA GAD
ONGEMBA ANANGO Marie-Hélène
DIABAKANA NZOLANI DIANE
BONDOMBA BOLONDA Gloria
NTUMBA MUTEBA Dorcas
NTUMBA MUTOMBO Tendresse
KATUNGU MUSAVULI Glad
MOKO BAWUNA Neville

Option : Gestion d’entreprise

Pr.Dr. MFIRI KENSHUNE Jonathan

Mars 2023
[1]

Introduction
Aujourd’hui, le client comme le collaborateur accordent de plus en plus
d’importance au respect de certaines valeurs par une entreprise. Respect du
public et respect de l’environnement sont souvent attendus par les
consommateurs, qui n’hésitent pas à privilégier les entreprises qui valorisent ces
aspects. Sur le terrain, face aux clients, les commerciaux sont vus comme les
porte-parole des entreprises, se doivent donc de véhiculer une certaine image et
ont des devoirs.

Le code de déontologie est un document ou ensemble de documents qui régit


une profession dans son intégralité sur les attitudes et comportements adéquats.
Elle vise donc à déterminer les agissements inacceptables dans l’exercice de la
profession en question. Il en existe pour de nombreuses professions : policiers,
médecins et métiers de la santé, avocats, architectes, magistrats… Dans ces
métiers, le code de déontologie est d’une importance capitale. Ainsi, le non
respect des règles qu’il contient peut aboutir à des conséquences juridiques,
voire dans les cas extrêmes, à la perte du droit de participer à l’exercice de sa
profession.
[2]

1. Présentation de la société Vodacom Congo SA

Cette section s’attèle sur la présentation de Vodacom Congo SA, elle donne les
détails sur l’historique et la constitution de cette organisation afin de mieux
aborder le travail.
La société VODACOM-CONGO, créée en octobre 2001 sous la forme d'une
société anonyme, SPRL en sigle, est le fruit d'un accord de partenariat conclu
entre Vodacom International Ltd et Congolese Wireless Network (CWN), œuvre
de monsieur A.B.M. CONTEH, chairman de la société.
L'objectif social de la société VODACOM-CONGO, est principalement
l'exploitation de la télécommunication cellulaire sur toute l'étendue de la
République Démocratique du Congo. Sans précédent dans l'histoire des
télécommunications en République Démocratique du Congo, son réseau
cellulaire a démarré le 1er Mai 2002 couvrant simultanément les villes de
Kinshasa, Lubumbashi et Mbuji Mayi. En janvier 2005, le réseau couvre 115
villes et agglomérations du pays.

Après deux ans et demi d'activités, VODACOM-CONGO constitue la fierté du


pays au vu de ses impressionnantes réalisations accomplies en si peu de temps à
savoir :

 Une croissance figurante du nombre d'abonnés, plus de trois millions


d'abonnés en moins de 6 ans d'exploitation ;
 Une participation active à la création d'emplois tant directs (plus de 500
travailleurs
permanents et temporaires) qu'indirects (des milliers d'emplois indirects à
travers la sous-traitance de certains services et travaux tels que le
nettoyage, la sécurité, la maintenance et la construction des sites, sans
compter l'effet d'entraînement économique crée par son activité
[3]

(affrètement d'avions pour les équipements, marchés publicitaires,


utilisation de consommables, etc.).
 Une contribution substantielle au budget de l'Etat à travers la fiscalité et la
parafiscalité, faisant de cette jeune société l'un des plus grands
contribuables.

Loin de réduire le plan d'extension de son réseau aux exigences de rentabilité


pure et simple, Vodacom a rompu avec le comportement affiché par les réseaux
installés avant lui qui s'étaient focalisés sur les principales villes du pays. C'est
ainsi que la couverture du réseau Vodacom est des en plus élevées aujourd'hui
en RDC. Pour arriver, Vodacom a transcendé toutes les considérations liées au
centre d'intérêt pour ne pas réduire la dimension de couverture téléphonique de
la RDC au niveau de Kinshasa, de Lubumbashi, de Mbuji-Mayi ou de Matadi
seulement.

2. Le code de déontologie sur les télécommunications


En République Démocratique du Congo, La présente loi « la loi n°20/017 du 25
novembre 2020 modifiant et complétant celle de 2002 sur les
télécommunications en RDC appelé code des télécoms » régit le secteur de
télécommunications en République Démocratique du Congo.

Les télécommunications et les technologies de l'information et de la


communication connaissent un développement rapide, suite aux profondes
mutations que subit ce secteur à l'échelle mondiale.

Elles constituent ainsi un domaine d'activités commerciales et techniques


présentant plusieurs enjeux et défis à relever tant sur le plan économique, social,
humain que sécuritaire, Ce qui impose évidemment la nécessité de revoir et
d'adapter, en conséquence, l'état de la législation en vigueur en la matière, en
l'occurrence, la loi n° 013/2002 du 16 octobre 2002. Celle-ci s'avère aujourd'hui
[4]

inadaptée à certains impératifs qui sont liés notamment à la sûreté de l’Etat, à la


protection des droits des usagers du secteur et à la structure du marché.

D'une manière générale, les lacunes qui se dégagent du précédent code de 2002
se caractérisent entre autres par :

 La prise en compte de seuls aspects des télécommunications ignorant


ceux liés aux technologies de l'information et de la communication y
compris leurs nombreuses applications ;
 Le chevauchement de certaines compétences du ministre ayant les
télécommunications et les technologies de l'information et de la
communication dans ses attributions et de l'Autorité de régulation ;
 L’inadaptation et/ou l'insuffisance des dispositions en matière
d'interconnexion et de gestion des fréquences ;
 La non prise en compte de la problématique de l'identification obligatoire
des abonnés, de l'homologation des équipements et de la fraude ;
 L’absence des dispositions relatives à la gestion du domaine pays
internet ;
 L'insuffisance du régime des sanctions.

A ce titre, le nouveau code a pour objet de :

 Fixer les modalités de détention, d’installation et d’exploitation de


télécommunications sur toute l’étendue du territoire national ;
 Garantir le développement harmonieux et intégré des réseaux et services
de
télécommunications ;
 Faciliter la mobilisation des ressources financières par la participation du
secteur privé au développement de télécommunications dans un
environnement concurrentiel loyal.
[5]

En outre, le code de 2002 souffrait de l'absence des dispositions pouvant assurer


la protection de la vie privée de la personne humaine et de ses données à
caractère personnel face aux multiples dangers résultant du développement des
technologies de l'information et de la communication.

Pour combler ces défaillances, la révision du cadre légal s'est avérée nécessaire
afin de sécuriser ce secteur et de le rendre beaucoup plus compétitif.

Le présente code vise donc une meilleure organisation de l'exercice des activités
commerciales, en application de l'acte uniforme portant sur le droit commercial
général et en conformité avec l'article 122, point 8, de la Constitution.

3. Examen du code de déontologie du secteur des hydrocarbures

3.1. Analyse du code de déontologie

Le code apporte plusieurs innovations, notamment :

1. la prise en compte des nouvelles technologies de l'information et de la


communication ;

2. la révision des définitions technico-juridiques et le complément de la notion


des télécommunications avec celle des technologies de l'information et de la
communication, mieux adaptée à un contexte de convergence des réseaux et des
services ;

3. la redéfinition du régime de l'exploitant public en retirant toute idée de


monopole et en ouvrant à la concurrence toutes les activités du secteur ;

4. la généralisation, à l'exception du régime de l'exploitant public, à tous les


exploitants du secteur des régimes applicables aux activités des
télécommunications et des technologies de l'information et de la communication,
qui sont fondés uniquement sur la nature des réseaux et services, à savoir :
[6]

 Le régime de concession ;
 Le régime d'autorisation ;
 Le régime de déclaration.

5. l'introduction des règles spécifiques applicables en matière d'interconnexion,


d'accès et de partage d'infrastructures ;

6. l'introduction des règles tarifaires et celles garantissant la concurrence loyale


entre opérateurs et l'indication des obligations spécifiques pour les opérateurs
considérés comme puissants ;

7. l'énoncé des règles claires en matière de gestion des fréquences


radioélectriques et des autres ressources rares (numérotation, adressage et
nommage) ;

8. la clarification des principes de gestion des fréquences radioélectriques et des


autres ressources rares (numérotation, adressage et nommage) ;

9. la prise en compte des milieux défavorisés par la promotion des services


universels gérés par un établissement public ;

10. la clarification de la répartition des compétences entre le ministre ayant les


télécommunications et les technologies de l'information et de la communication
dans ses attributions et l'Autorité de régulation du secteur ainsi que le placement
de cette dernière sous la tutelle du ministre ;

11. la mise en place des mécanismes relatifs à la protection des données à


caractère personnel ;

12. l'obligation de l'identification préalable des abonnés ;

13. l'introduction des dispositions relatives à la gestion du domaine pays internet


;
[7]

14. le renforcement du pouvoir de contrôle administratif et technique du


secteur ;

15. la définition et la répression des fraudes et infractions liées à l'utilisation des


technologies de l'information et de la communication.
3.1.1. Du droit au secret des correspondances

Le nouveau code innove par rapport à la loi-cadre n°013/2002 du 16 octobre


2002 en consacrant dans le chef de chaque utilisateur le droit spécifique de
bénéficier du secret de correspondances émises non seulement par la voie de
télécommunications, mais aussi celles émises à travers les technologies de
l’information et de la communication.
En effet, la Loi-cadre se limitait à poser le principe de la garantie du secret des
correspondances émises par la voie de télécommunications et elle proscrivait
toute atteinte de ce secret, sauf par le fait d’une autorité publique et dans les
seuls cas de nécessité d’intérêt public prévus par la loi et dans les limites fixées
par celle-ci.
3.1.2. De la protection des données à caractère personnel

L’une des avancées majeures du nouveau cadre juridique congolais en matière


de télécommunications et des TIC est le fait de prévoir des dispositions relatives
à la protection des données à caractère personnel.
En effet dans un contexte de mondialisation croissante entrainant
l’affranchissement des barrières à la fourniture des biens et services via internet,
le nouveau code ambitionne de renforcer le droit à la protection des données à
caractère personnel des citoyens congolais. Par « données à caractère personnel
», il faut comprendre toute information relative à une personne physique
identifiée ou identifiable, directement ou indirectement, par référence à un
numéro d’identification ou à un ou plusieurs éléments propres à son identité
physique, physiologique, génétique, psychique, culturelle, sociale ou
économique.
[8]

L’article 131 de la Loi du 25 novembre 2020 garantit la confidentialité des


données à caractère personnel. C’est ainsi que le traitement de ces données ne
peut être exécuté qu’avec le consentement préalable de la personne concernée
ou sur réquisition de l’officier du ministère public. Et ce consentement, pour être
valablement reçu doit être libre, spécifique, éclairé, formulé en des termes clairs
et simples et faciles d’accès.
Par ailleurs, le code impose une protection spécifique à certaines catégories de
données qu’on peut qualifier de « données sensibles » en interdisant leur
traitement. Il s’agit des données qui révèlent l’origine raciale, ethnique ou
régionale, la filiation, les opinions politiques, les convictions religieuses ou
philosophiques, l’appartenance syndicale, la vie sexuelle, les données génétiques
ou plus généralement celles relatives à l’état de santé de la personne concernée.
Enfin, il convient de noter qu’avant la promulgation de la Loi sous examen, les
textes juridiques congolais ne posaient aucun principe ni aucune limitation au
traitement des données à caractère personnel sensibles.
3.1.3. Des sanctions en cas de violation des règles en matière de protection
de la vie privée et des données à caractère personnel

La loi reconnaît, aussi bien au ministère public et aux officiers de police


judiciaire à compétence générale qu’aux agents commis spécialement par
l’autorité de régulation de l’administration des télécommunications et des
technologies de l’information et de la communication, les prérogatives de
recherche, constatation et poursuites des infractions en matière de protection de
la vie privée et des données à caractère personnel.
Lorsqu’un de ces agents se rend coupable de violation du secret des
correspondances ou de manipulation sans autorisation préalable des données à
caractère personnel, il est puni de servitude pénale en matière de violation de
correspondance. Et en cette matière, l’article 72 du Code pénal congolais prévoit
une servitude pénale d'un mois au plus et d'une amende qui ne dépassera pas
deux mille (zaïres) ou l'une de ces peines seulement.
[9]

Quand il s’agit d’un employeur, il sera condamné à une amende pouvant varier
entre 50.000.000 à 100.000.000 de francs congolais (25.395 USD à 50.790
USD).
La victime dispose également du droit de réclamer une réparation civile
solidairement à l’agent auteur de l’infraction et à son employeur, en sollicitant
du tribunal saisi l’allocation des dommages et intérêts.
Pour finir, la loi punit toute interception, écoute, enregistrement, transcription au
moyen d’un quelconque dispositif pour divulguer une communication ou
correspondance privée, d’une servitude pénale principale de 1 à 3 ans et/ou
d’une amende de 1.000.000 à 10.000.000 de francs congolais (507 USD à 5 079
USD).

Le présent code est subdivisée en huit titres répartis comme suit :

 Titre I : Des dispositions générales


 Titre II : Des télécommunications et des technologies de l'information et
de la communication
 Titre III : De la protection de la vie privée et des données à caractère
personnel des utilisateurs de réseaux et de services des
télécommunications et des technologies de l'information et de la
communication
 Titre IV : De la cybersécurité, de la cryptologie, de la cybercriminalité et
de la fraude Titre V : De la concurrence et des règles tarifaires
 Titre VI : Du régime fiscal, parafiscal, douanier et social
 Titre VII : Des dispositions pénales
 Titre VIII : Des dispositions transitoires, abrogatoires et finales

3.2. Analyse des faiblesses


Mais quelle place ce code réserve-t-il aux questions touchant à la protection de
la vie privée et des données à caractère personnel ? Dans tout état de choses, le
code, bien qu'il apporte des innovations mais il ne manque pas de failles, aussi
[10]

dans cette section il nous sera utile de faire une analyse objective de certaines
dispositions, de sa mise en application effective.

 Le nouveau code prévoit en ses articles 126 à 133 le droit au respect de la


vie privée et à la protection des données à caractère personnel en matière
de télécommunication et des technologies de l’information et de la
communication. Cette protection de la vie privée s’analyse dans la
consécration du droit au secret des correspondances dans le chef de tout
utilisateur des réseaux et services de télécommunication et des
technologies de l’information et de la communication (TIC). Le code
proscrit ainsi toute interception, écoute, enregistrement, transcription et
divulgation des correspondances sans autorisation préalable du Parquet
général près la Cour de cassation.
Cette autorisation du Parquet général près la Cour de cassation, d’une
durée de trois mois renouvelables, devra être motivée par les besoins de la
manifestation de la vérité dans un dossier judiciaire en incluant tous les
éléments d’identification de la liaison visée, de l’infraction qui la justifie
ainsi que sa durée.
 Aussi, ce code souffre de manque de mesures d’application dans sa mise
en œuvre. Ces mesures sont nécessaires pour accompagner l’ouverture à
la concurrence d’un secteur caractérisé par des progrès importants et
renforcer ainsi la régulation.
 Des conflits de compétences entre l'ARPTC et le Ministère des PTNTIC ;
de la tutelle de l'ARPTC et de l'ouverture aux opérateurs privés.
 En matière d'internet, la portée du code est vraiment limitée. Toutes les
activités qui se développent dans le domaine de l'internet ne sont pas
encadrées par les dispositions légales. L'article 14 du code sur les
télécoms soumet à l'autorisation préalable de l'Autorité de Régulation,
l'interconnexion entre un réseau indépendant et un réseau ouvert au
[11]

public. Cependant, en pratique devant la difficulté consécutive à l'absence


d'une réglementation des ISP (Internet Service Provider), plusieurs ISP
ayant acquis leurs autorisations sous l'empire de l'ancienne législation,
prétextent qu'ils sont des réseaux de télécommunications ouverts au public
et sollicitent, auprès des opérateurs à infrastructures leur interconnexion.
Lorsqu'il leur est fait observer qu'en tant que réseau indépendant, ils
devront solliciter l'autorisation de l'ARPTC pour l'interconnexion, ces ISP
se réfèrent à leurs licences de fournir l'accès à l'internet public et par
conséquent ils prétendent être des réseaux ouverts au public au même titre
que les opérateurs concessionnaires tels que Vodacom, Airtel. Cette
difficulté est d'autant plus grande qu'à ce jour certains ISP évoluent en
rapport d'interconnexion avec des opérateurs à réseau ouverts au public
depuis avant la promulgation de la loi-cadre. Ces ISP font généralement
pour ces opérateurs interconnectés le transit des communications
internationales entrantes et sortantes. Les fournisseurs des services de
voix sur internet échappent aux dispositions du code.

4. Proposition pour améliorer leur règle déontologique

Après avoir abordé, différents points à travers ce travail, nous devons


maintenant mettre en œuvre une deuxième vague de réformes dans le secteur des
services. Cette réforme doit tenir compte de la convergence entre réseaux,
services ainsi la convergence parallèle entre les cadres institutionnels au niveau
de la politique et de la réglementation. Ainsi, le ministère en charge des
PTNTIC doit réglementer les activités des télécommunications. Certes l'Etat a
libéralisé le marché des télécommunications sans outiller l'opérateur public à
affronter les lois de la concurrence. Celui-ci se trouve sur le marché en parent
pauvre.
[12]

5. Dispositifs pour promouvoir les valeurs

Le code doit être fondée sur la transparence, la redevabilité sociale et la


participation des communautés locales, en favorisant le bien-être de tous le
développement durable de la République Démocratique du Congo, la
sauvegarde des droits des communautés locales. Il faut appliquer rapidement les
dispositions réglementaires, vigoureuses et efficaces, transparentes et stables
pour tous les acteurs du marché. Pour cela, la réforme du cadre doit est dictée
par les principes internationaux.
[13]

Conclusion
Notre étude concernait le code de déontologie du secteur des postes et
télécommunications.
L’objectif principal recherché à travers cette étude consistait en une analyse de
ce code, en mettant en évidence les faiblesses et sur base de celui-ci proposer
des solutions pour améliorer le code. C’est dans ce contexte que nous avons
mené cette étude en effectuant une descente dans une entreprise choisi au sein
du secteur. Dans le cas d’espèce nous avons fait le choix de Vodacom Congo
SA

Pour y arriver, nous avons pu éclater notre travail en 6 sections en dehors de


l’introduction et de la conclusion, il s’agit de :
 Présentation « Vodacom Congo SA » ;
 Le code de déontologie du secteur ;
 Examen du code de déontologie du secteur des postes et
télécommunications.
 Evaluation des stratégies pour résoudre le problème ;
 Proposition pour améliorer leur règle déontologique ;
 Les dispositifs pour promouvoir les valeurs.

En effet, l’analyse de notre cas, confrontée aux enseignements, à la littérature et


nos entretiens, nous a permis d’apporter des éléments de réponse à notre travail.

Grace à l’encadrement, à la disponibilité et à la collaboration des agents de la


Vodacom congo SA, nous avons bénéficié des connaissances professionnelles.
[14]

Table des matières


Introduction...........................................................................................................1
1. Présentation de la société Vodacom Congo SA................................................2
2. Le code de déontologie sur les télécommunications.........................................3
3. Examen du code de déontologie du secteur des hydrocarbures........................5
3.1. Analyse du code de déontologie.................................................................5
3.1.1. Du droit au secret des correspondances................................................7
3.1.2. De la protection des données à caractère personnel..............................7
3.1.3. Des sanctions en cas de violation des règles en matière de protection
de la vie privée et des données à caractère personnel.....................................8
3.2. Analyse des faiblesses.................................................................................9
4. Proposition pour améliorer leur règle déontologique......................................11
5. Dispositifs pour promouvoir les valeurs.........................................................11
Conclusion...........................................................................................................13

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