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SUP DE CO CAMPUS THIÈS

Avenue Léopold Sédar SENGHOR x Nicolas Bakhazy Thiès

Tél : +221 33 951 10 03

GESTION DE PARC AUTOMOBILE

Formateur : M. Dramé SECK

Novembre 2018
INTRODUCTION
La gestion de parc consiste à superviser, coordonner et faciliter les activités relatives
au transport et à la logistique. Elle sous-tend ces activités par la gestion des actifs
utilisés
Pourquoi gérer les actifs ?
La gestion des actifs nous permet d’analyser les coûts de fonctionnement et les
coûts financiers d’un projet.
La gestion du parc de véhicules ou de la flotte automobile est un métier de la
logistique qui, essentiellement, est en charge la gestion administrative (documents
des véhicules), logistique (disponibilité, gestion des capacités de transport,
adaptabilité…) et technique (achat de prestation de maintenance ou de transport)
des véhicules d’une entreprise.
Gérer un parc c’est quoi ?
Gérer un parc, c’est optimiser les coûts, assurer le suivi de la flotte, contrôler les
dérives kilométriques, garantir la mobilité des collaborateurs, réduire la sinistralité.
Un métier spécifique et une contrainte pour les PME.
Le suivi de la flotte comprend différents aspects à ne pas négliger tels que le
financement, la maintenance, les conducteurs ou encore l’usage de carburant.
Tous ces éléments doivent être coordonnés afin de garantir un service constant et
sans embûches.
La gestion de parc est un ensemble des opérations d'entretien, de maintenance et
d'organisation des flux qui permettent de disposer en temps voulu, à un endroit
donné, des quantités nécessaires de palettes. La gestion de parc peut se faire pour
son propre compte, dans le cadre d'une prestation de service spécifique ou bien d'un
système locatif.
A cet effet, la gestion d'une flotte ( outils informatiques de l'exploitation,
caractéristiques techniques et économiques des matériels) de véhicules automobiles
requiert d'avoir des Ressources Humaines de qualité dans le domaine de l'industrie
de la mécanique automobile et une Société de transport doit constamment assurer
une formation de qualité à son personnel (cadres, personnel d'encadrement, et
conducteurs de véhicules automobiles) vu l'évolution technologique rapide de
l'automobile.
Pour asseoir un système efficace et efficient, la Société de transport doit avoir de
bons représentants dans le Service Après-Vente (SAV).
Une identification et une localisation de la flotte doivent être faites et tenues à jour
(Feuille de route/ Elaboration d'un journal d’exploitation/ Suivi de la flotte par GPS…).
Un suivi permanent de la flotte doit être assuré pour le respect de la périodicité des
entretiens, de la validité des documents des véhicules automobiles (visites
techniques, assurances...) et des conducteurs (Permis de Conduire).
Une connaissance du rythme de consommation des pièces détachées surtout des
pièces d’usure courante (courroies, filtres à air et à huile et plaquettes de freins …).
Le magasin de pièces détachées doit pouvoir assurer une bonne exploitation de la
flotte. Les commandes doivent être faites à bonne date pour ne pas immobiliser les
véhicules automobiles (déclenchement de la commande, délais d’acheminement,
délais de livraison et délais de réception dans le magasin).
La société doit disposer de matériels et d’équipements appropriés pour les
réparations afin d’annihiler les longs délais d’immobilisation de la flotte.

I-DEFINITIONS
 Gestion : action de gérer, science de l’administration et de la direction d’une
organisation ; économie d’entreprise…
 Le véhicule automobile désigne tout véhicule pourvu de moteur lui permettant
de se déplacer sur la route par ses propres moyens et servant normalement au
transport de personnes ou de marchandises.
 Parc automobile : tous les types de véhicules motorisés (voitures, véhicules
utilitaires légers et des véhicules industriels ).
❖ Les motocycles (cylindrée > 125cm3), vélomoteur (125cm3 ≤ cylindrée >
50cm3), les cyclomoteurs ≤ 50cm3 et les tricycles ou quadricycles sont des véhicules
(code de la route décret N° 2004-13 du 19 janvier 2004 Partie réglementaire).
❖ Le terme cycle désigne tout véhicule à deux, trois ou quatre roues sans moteur.
❖ Le tricycle à moteur ou quadricycle à moteur désigne respectivement tout
véhicule à trois ou quatre roues dont le Poids à Vide ne dépasse 400 kg et pourvu de
moteur dont la cylindrée est inférieure ou égale à 400cm3
❖ Le terme «remorque» désigne tout véhicule destiné à être attelé à un véhicule
automobile ou à un cycle.
❖ Le terme «véhicule articulé» désigne tout véhicule automobile suivi d’une
remorque sans essieu avant, accouplée de telle manière qu’une partie appréciable
du poids de la remorque et de son chargement sont supportés par le véhicule
tracteur.
Une telle remorque est dénommée semi-remorque.
❖ Le terme «ensemble de véhicules» couplés désigne l’ensemble formé par un
véhicule tracteur et une ou plusieurs remorques attelées à ce véhicule.
❖ Le terme «Poids à Vide» d’un véhicule désigne le poids du véhicule en ordre de
marche, réservoirs d’eau et carburant remplis, chargé des roues et pneus de
rechange ainsi que de l’outillage courant normalement livré avec le véhicule.
❖ Le terme «Poids en Charge» d’un véhicule désigne le poids à vide augmenté
de celui du chargement qui comprend le poids du conducteur et du personnel de
service, des voyageurs et des marchandises.
❖ Le terme «Charge Maximum ou Charge Utile» désigne le poids du chargement
défini ci-dessus et vérifié par le service ayant délivré le procès-verbal de réception du
véhicule ou du type de véhicule correspondant.
❖ Le terme «Poids Total Autorisé en Charge» d’un véhicule désigne le poids à
vide augmenté de la charge maximum.
❖ Le terme «Poids Total Roulant Autorisé» désigne le poids maximum du camion
et de sa remorque ou du tracteur et de sa semi-remorque en charge.
❖ Le terme «Carburant» désigne la substance qui est brûlée dans le moteur du
véhicule et qui sert de source d’énergie pour le propulser.
II-NOTIONS ÉLÉMENTAIRES SUR LE VÉHICULE AUTOMOBILE

2-1 DIFFERENTS TYPES DE VEHICULE


1) Véhicule automobile,
2) Véhicule hippomobile,
3) Véhicule à bras ou pousse pousse ou diable.

2-2 MECANIQUE ELEMENTAIRE


 Le châssis :
Pièce maitresse du véhicule automobile est un assemblage rigide servant à
supporter la carrosserie, le moteur, …..
 Autres organes :
Les autres organes du véhicule automobile sont, entre autres, le moteur la boite de
vitesse le radiateur, les ponts avant et arrière, les pneumatiques ….

 Moteur :
Bloc-moteur ensemble formé par le moteur la boite de vitesse et l’embrayage
Bloc-cylindres ensemble de cylindres d’un moteur.

 Vilebrequin : arbre coudé qui transforme le mouvement alternatif des pistons


d’un moteur à explosion en mouvement rotatif.
Un moteur transforme une énergie (chimique, thermique hydraulique électrique….)
en énergie utilisable pour entraîner une machine ou un véhicule.

 Moteur à combustion interne :


L’énergie est fournie par la combustion et la détente d’un gaz.
On distingue d’une part le moteur Diesel dans lequel le mélange combustible –
carburant (gazole et air) s’enflamme spontanément sous l’effet de la température
élevée que provoque la compression, d’autre part le moteur à explosion utilise
généralement un mélange d’essence et d’air dans lequel l’allumage est provoqué par
une étincelle.
Les moteurs à explosion fonctionnent suivant un cycle à 2 ou 4 temps.

2-3 REFROIDISSEMENT :
Le moteur thermique fonctionne sur de hautes températures (dans les cylindres, au
moment de l’explosion la température peut atteindre 2000°C), à cet effet pour
abaisser cet échauffement on fait appel à l’eau et à l’air.
Les différents éléments du circuit de refroidissement sont : le radiateur, la chemise
d’eau reliée au radiateur par des tubes en caoutchouc appelé durites, le ventilateur,
la pompe à eau.
Des contrôles périodiques doivent être effectués au niveau : de la vase d’eau, la
surface de contact du radiateur avec l’air, la propreté de l’eau du radiateur (dépôt de
tartes), les durites et la pompe à eau.
Un mauvais fonctionnement des différents organes du circuit de refroidissement peut
entrainer la détérioration de la culasse et du joint de culasse.

2-4 GRAISSAGE :
Les pièces du moteur sont métalliques, à cet effet il faut éviter tout contact direct
entre celles-ci. Le graissage a pour but d’interposer entre les pièces métalliques un
lubrifiant qui empêche un contact direct entre celles-ci. Le lubrifiant est maintenu à
une température constante par un système de refroidissement.
Le graissage se fait par barbotage ou par pompe.
Des contrôles périodiques doivent être effectués pour le niveau de l’huile (par
la jauge à huile) et la vidange faite à temps opportun (kilométrage requis).

2-5 ENTRETIEN
Il existe deux types d’entretien : préventif et curatif.

 Entretien préventif :
 Vérification de la pression des pneus, du parallélisme des
roues, des niveaux d’eau du radiateur, de l’huile du moteur, de la boite
de vitesse, des ponts, de la batterie, de l’éclairage et de la signalisation
(différents feux, feux de détresse, triangles de pré-signalisation) et de
l’état des essuie-glaces.
 Vidange du moteur (changer huile moteur, filtres à huile/gasoil/essence).
Changer périodiquement filtre à air / courroies (moteur, alternateur, distribution).

 Entretien curatif
L’entretien curatif est relatif aux différentes pannes et réparations.

2-6 CONTROLE TECHNIQUE


Au Sénégal, conformément aux dispositions contenues dans l’article N30, du décret
2004-13 du 19 janvier 2004 portant code de la route, aucun véhicule employé au
transport public ou privé de personnes ou de marchandises ne peut être mis en
circulation sans y avoir été autorisé après avoir été visité dans les conditions prévues
à l’article N31 dudit code.
Les dispositions de l’article N31 stipulent que sont assujettis à des visites
techniques semestrielles, les véhicules destinés ou employés à titre exceptionnel
au transport public ou privé de personnes, y compris les taxis.
Sont assujettis à des visites techniques annuelles :
1) Les véhicules employés normalement ou à titre exceptionnel, au transport public ou
privé de marchandises, dont la charge utile égale ou dépasse deux milles (2000)
kilogrammes ;
2) Tout autre véhicule ayant trois (3) ans d’âge au moins,
3) Les véhicules employés au transport d’hydrocarbures liquides ou gazeux, de gaz
sous pression quel que soit le poids total en charge.
La première visite est obligatoirement effectuée avant la mise en service du véhicule
au Sénégal.
Remarque importante :
La mention d’aptitude technique n’est valable qu’autant les aménagements du
véhicule restent conformes à leur état initial. Toute transformation notable portant
sur l’un des éléments visés dans le code de la route doit être porté à la connaissance
du service immatriculateur qui juge, s’il y a lieu d’une nouvelle visite.

De 1960 à 2012, les visites techniques étaient effectuées au Sénégal d’une façon
visuelle, toutefois depuis le 11 juin 2012 un centre moderne de contrôle technique
des véhicules automobiles est installé à Dakar mais l’extension dans les autres
régions tarde à démarrer. Toutefois, un deuxième centre a été ouvert à MBAO pour
les taxis urbains et un Appel d’Offres International a été lancé pour l’implantation
d’un centre de contrôle technique à Diamniadio et il est envisagé d’autres centres
dans les régions du Sénégal.

Les organes à contrôler sont fixés par arrêté du Ministre en charge des transports
routiers ; toutefois lors du démarrage du nouveau centre le contrôle ne se limitait
qu’à la direction, aux freins et aux feux. Mais depuis 2013, l’état des pneumatiques,
des essuie-glace, de la carrosserie, du pare-brise et de l’équipement en extincteur et
triangles de pré-signalisation sont pris en compte.

Un système d’inspection doit combiner le contrôle des émissions (I/C) avec des
contrôles de sécurité ; ces deux composantes constituent ce que l’on appelle le
contrôle technique.

Le contrôle technique désigne à la fois l’inspection et l’entretien du véhicule


(contrôles et réparation destinés à des véhicules responsables d’émissions
polluantes) combiné à la sécurité (freins, feux, direction …).

Le contrôle constitue l’un des meilleurs moyens d’améliorer la sécurité routière et


de réduire les émissions dans les villes en développement.
Nonobstant les normes fixées par le code de la route pour des véhicules plus sûrs,
plus propres et efficaces en terme de consommation de carburant mensuel, un
système efficace d’inspection et d’entretien (I/E) permet de maintenir les niveaux de
sécurités admissibles (freins, éclairage, châssis) et des émissions maîtrisées
(inspection des gaz d’échappement).

III- PROCÉDURES D’ACHAT


Les acquisitions de véhicules peuvent se faire :
 Comptant :
 Crédit ;
 Leasing : location, avec achat en option, de biens d’équipements
Le leasing est une opération de financement entre trois (3) parties qui sont :
a) Utilisatrice du bien (personnes physique ou morale) ;
b) Établissement de crédit ou de finance (banque, micro finance,
MECTRANS…) ;
c) Loueur (fabricant automobile…).
Le principe de fonctionnement du leasing :
L’utilsateur paye une somme forfaitaire mensuelle pour se servir du matériel. Il n’en
est, pas pour autant, propriétaire.
Le contrat conclu entre le loueur et l’utilisateur est à durée déterminée avec à l’issue
restitution du bien, reconduction du contrat ou achat du matériel grâce à une option
d’achat.
Si le leasing est une opération de crédit assortie d’un bail de location il est, aussi une
technique de financement et d’amortissement fiscal.
Les acquisitions à crédit ou en leasing nécessitent des contrats entre les parties.

3-1 Contrat
Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent à
donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose, vis-à-vis de quelqu’un.
Exemple : Analyse d’un modèle de contrat-cadre

3-2 Cahier des charges


Les cahiers de charges fixant les conditions générales et techniques sont annexées
au contrat.
Le Cahier Des Charges (CDC) est un document qui doit être respecté lors de la
conception d’un projet, il décrit précisément les besoins auxquels le prestataire ou le
soumissionnaire (dans le cas d’un Appel d’Offres : sélectionner) doit répondre, et
organise la relation entre la relation entre les différents acteurs tout au long d’un
projet.
Le CDC est un document contractuel à respecter lors d’un projet, il permet au maître
d’ouvrage, de faire savoir au maître d’œuvre ce qu’il attend de lui lors de la
réalisation du projet, entraînant des pénalités en cas de non respect.
Le CDC peut être modifié en cours de route à travers un avenant accepté par le
maître d’œuvre.

Cas des marchés de Bâtiment Travaux Publics (BTP).


Les CDC dans les marchés (BTP) passés selon une procédure formalisée
déterminent les conditions dans lesquelles les marchés sont exécutés.
Le CDC ne constitue pas à lui seul le contrat commercial.
Ils comprennent des documents généraux et particuliers.

Les documents généraux sont :


 Les Cahiers des Clauses Administratives Générales (CCAG) qui fixent les
dispositions administratives applicables à une catégorie de marchés.
Les aspects contractuels d’un marché (conditions d’exécution des
prestations[travaux, marchés industriels, prestations intellectuelles, fournitures
courantes, prestations de service], de règlement, de vérification des
prestations, de présentation des sous-traitants, délais, pénalités, conditions
générales…).
 Le CCAG n’est pas intégré au dossier de consultation des entreprises.
Le CCAG est complété par un Cahier des Clauses Administratives Particulières
(CCAP) qui fixe les modalités spécifiques pour le marché en cours.

 Les Cahiers de Clauses Techniques Générales (CCTG) qui fixent les


dispositions techniques applicables à toutes les prestations d’une même
nature.
Toutefois, il faut noter que les Cahiers des Clauses Techniques (générales ou
particulières) peuvent composer un seul document technique unifié.
Les documents particuliers sont :
 Les Cahiers des Clauses Administratives Particulières (CCAP) qui fixent les
dispositions administratives propres à chaque marché.
Le Cahier des Clauses Administratives Particulières est un document
contractuel rédigé par l’acheteur dans le cadre notamment d’un marché
public, dont il fait partie des pièces constitutives et à signer par la personne
physique et le prestataire.
Il est généralement accompagné d’un Cahier des Clauses Techniques Particulières
(CCTP).
Il est aussi fusionnable avec celui-ci pour n’être qu’un cahier unique Cahier des
Clauses Particulières (CCP).
Les CCTP qui fixent les dispositions techniques nécessaires à l’exécution de
prestations de chaque marché.
Le CCTP est un document contractuel qui rassemble les clauses techniques d’un
marché public.
Il est rédigé par l’acheteur et fait partie des pièces constitutives du marché public et
est intégré au dossier de consultation des entreprises et doit être signé par la
personne publique et le prestataire.

3-3 Appel d’Offres


Les Appels d’Offres (AO) sont de plusieurs types dont notamment :
 Appel d’Offres International (AOI) ;
 Appel d’Offres National (AON) ;
 Appel d’Offres Restreint (AOR) ;
 Appel d’Offres précédé de pré-qualification des entreprises ;
 Appel d’Offres cadre (Union Européenne : le budget est dėterminé et une
entreprise est choisie dans la Base de Données) ;
 Demande de Renseignements et de prix en fonction des montants autorisés
par la réglementation (au Sénégal : Code des marchés publics).
Au Sénégal, les marchés publics sont réglementées par : le décret no 2014-1212
du 22 septembre 2014 portant code des marchés publics. Il faut noter le dispositif
institutionnel composé de l’Autorité de Régulation des Marchés (ARMP) et de la
Direction Centrale des Marchés Publics (DCMP).

IV- LA POLITIQUE DE RENOUVELLEMENT DES VÉHICULES


4-1 Politiques d’acquisition de véhicules

4-1-1 Administration
L’acquisition de véhicules dans l’Administration est réglementée ; à cet effet au
Sénégal, le décret no 2008-695 du 30 juin 2008 réglemente l’acquisition,
l’attribution et l’utilisation des véhicules administratifs et fixe la puissance fiscale
desdits véhicules.
En effet, les dispositions de l’article 7 précisent : « les véhicules de fonction doivent
être des véhicules de série, de couleur sombre et discrète, d’une puissance de
11CV… ».
Il y a des véhicules de service général et de tournée.
Les véhicules de tournée peuvent avoir des puissances inférieures ou égales à 12
CV.
La Direction du Matériel et du Transit Administratif (DMTA) gère le parc automobile
de l’Administration du Sénégal.
Le parc automobile national immatriculé, composé de véhicule particulier personnel,
remorque, semi remorque, autocar urbain, taxi urbain, autobus urbain, minibus
urbain, autocar interurbain, taxi interurbain, taxi banlieue, véhicule spécialisé), à la
date du 31 janvier 2016 est de 501 745 véhicules automobiles (Source DTR :
Document Conseil interministériel sur la Sécurité Routière du 08 Février 2017).

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