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Introduction au droit de la famille

Introduction :

Les quatre rédacteur du code civil Portalis, Maleville, Bigot de Préameneu, Tronchet
se sont attachés a cet objet. Portalis utilise la moitié de son discours préliminaire à la
famille. Cicéron dans son traité des devoirs, il relevait que la famille est au cœur de la
conception de l’État la famille est le principe de la cité est en quelque sorte la
pépinière de la république et notamment la ~ respubliqua ~ que nomme les
républicains. Portalis dira dans l’exposer des motif en 1803 que les familles sont les
pépinière de l’État et deux ans auparavant dans l’exposer général du code civil que «
L’intérêt public est dans la bonne organisation de la famille ; car il résulte de la bonne
organisation de l’État ». La famille assume un rôle essentiel dans la préservation de la
société et ceux a tout les points de vue politique, économique d’un point de vue
social, religieux. La famille est au cœur de nos société sous n’importe quel forme et
ceux car les enfants fait son apprentissage au cœur de la société.

 La famille peut être vu dans une première approche un ensemble de personne liée
entre elle par des relations de nature matériel et moral qui s’inscrive nécessairement
dans la durée. Elle peuvent prendre des formes variée dans le temps dans l’espace, il
n’est pas exclusif celui que nous connaissant il existe des modèle Matrilocaux ou la
mère est au cœur de la famille et que le père est exclu. On a des modèles
Matrilinéaire ou les descendant proviennent de leur mère ou encore des modèles
avunculaires c’est que l’éducation est gérer par les oncles et les tantes. L’étude est
resserrée sur le droit positif français et on peut constater immédiatement que sa
source majeure du droit civil français de la famille c’est à dire le code civil de 1804
ne donne aucune définitions ce qu’est la famille et n’en donne pas une définition
précise. Pourquoi ? Parce que il ne faut pas oublier que le code civil de 1804 est
animé fondamentalement par un esprit individualiste et libéral qui a présider au code
civil se retrouve chez les premiers commentateur du code civil qui se retrouve au sein
de la doctrine. La famille est essentiellement dans le code civil un droit subjectif et
reconnaît un personnage prédominant le père. On reconnaît des droits au père le droit
de fonder une famille :

1. Un droit de puissance marital


2. Un droit de puissance paternel

Le cœur du droit de la famille à l’époque est la présomption de paternité (= père est


celui qui est marié est ayant des enfants ). Démontrant que cette famille est très
hiérarchisée à l’époque, on s’intéresser donc en tout état de cause au droit de

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puissance et de famille. Pendant près d’un siècle on parle moins de la famille que des
droits de la famille il faut attendre les année 1920 pour voir apparaître l’émergence de
la famille comme objet juridique a part entière et ce notamment dans la doctrine
française. Louis Josserand a été le premier a s’interroger sur la famille et à la faire
apparaître comme objet juridique selon :
1. La famille est un groupement intermédiaire dans les année 1920 – 1930
qui commence a être défendue contre l’individualisme.
2. La société Française change après le première Guerre Mondial et les
structure social évolue et un certains nombres de juristes plutôt
conservateur craignent que cette évolution soit une crise, c’est pourquoi
ils se saisissent de la famille comme objet de droit.
Finalement au moment que la famille entre en crise que celle-ci deviennent un objet
juridique, dans le moment ou ils deviennent en péril il se font protéger par le droit. Le
droit de la famille n’a pas cessé d’être enseigner car depuis les année 20 ils évoluent.

I°/ La notion juridique de la famille :

A. Les sources du droit de la famille :

La réglementation du droit français de la famille n’est pas offerte pas une source
documentaire, par une source formel du droit (= procédés de création du droit qui
régis le droit) et source matériel du droit ( = ce qui n’applique pas le droit, mais plutôt
ce qui inspire le droit ). Ce point de vue panoramique nous permet de regarder les
sources formel national et les sources formel international.

1° Les sources nationales du droit de la famille :

Les sources documentaires sont d’abord des sources qui peuvent être regroupée dans
trois groupe distinct :

➢ Le code civil : Constitution civil de la France, il ne définis pas la notion de la


famille mais en revanche il réglemente précisément le droit de la famille dans
le livre premier « Les personnes » au titre 5 à 9 et 12 et 14.
 143 à 387-7 / 515-1 à 515-13 du code civil
On ne peut pas se passer de l’interprète c’est le Juge, l’idée de l’interprétation
mécanique de la loi est souvent fausse. Le juge au affaires familial dont la
compétence est très large. Et l’assistance éducative relève du juge de l’enfance

➢ Le bloc de Constitutionnalité : Le préambule de la constitution du 27 octobre


1946 et précisément le 10e alinéa que « La Nation assure à l’individue et à la
famille les conditions nécessaires à leur devoirs ». Sans omettre le 3 e alinéa de
la constitution sur le principe de l’égalité Homme et Femme. Sur ces
fondement le conseil constitutionnel a pu confirmer le droit de se marier et de

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fonder une famille dans une décision du 19 juin 2001, le droit à une vie
familial normal pour les ressortissant étranger selon la décision du 13 aout
1996 ou encore l’intérêt supérieur de l’enfant dans une décision du 21 mars
2019

➢ D’autre source documentaire national : Le code général des impôts, le code de


l’action social et de la famille qui s’intéresse à la protection social de la famille
et le code du code de la sécurité social et l’instruction général à l’état civil l’Y
elle n’a pas de valeur normative car c’est une circulaire.

2° Les sources internationales du droit de la famille :

Ces sources internationales doivent être divisé en deux, d’une part certaines sont
véritablement international cependant d’autre part certaines sources sont limité à
certains territoires ce sont les sources régionales.

a° Les sources véritablement internationales

Certaines sources sont véritablement international, il y a deux textes que nous


pouvons invoquée :
1. La Déclaration Universel des Droits de l’Homme
2. Le Pacte International Relatif au Droit civil

Il s’attache au droit de la famille et s’implique au droit de la famille, en effet l’article


16 paragraphe 3 de la déclaration universel des droits de l’Homme et l’article 23
paragraphe 1 du pacte international relatif au droit civil déclare que la famille est
l’élément naturel et fondamental de la société et a le droit de la protection de la
société et de l’État. Si il est un troisième texte qu’il est nécessaire de retenir est la
Convention de New York du 20 novembre 1989 relative au droit de l’enfant c’est la
Convention international des droits de l’enfants. Les deux plus haute juridiction on
reconnu à certaines dispositions à certain article de la convention de New York un
caractère direct, en principe on considérer que les règles n’avait que caractère
obligatoire pour les États signataire et ne constituer pas de droit pour les pays non-
signataire. On considère qu’aucun particulier ne peut pas invoquer la convention de
New York que par sa simple prétention. Un particulier français peut fonder sa
prétention sur l’article 3 paragraphe 1 de la convention de New York sur l’intérêt
supérieur de l’enfant ou encore de l’article 12 paragraphe 2 de la convention qui
assure le droit et garantie à l’enfant d’être entendu a toute les procédures qui le
concerne et sont reconnue par les fait direct.

b° Les sources régionales

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Ce sont des sources régionales européenne :
1. L’ordre juridique de l’Union Européenne
 Il s’intéresse à l’objet du droit de la famille au travers du droit
international privé, nous retiendrons deux outils.
 Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne du 7
décembre 2000 qui garantie les droit fondamentaux tel que
l’article 7 au respect du droit à la vie de famille, l’article 9 sur
le droit de fonder une famille, l’article 33 sur la protection
familial des excès professionnel et l’article 24 sur le droit à
l’enfant. Deux observations :
1. Les droits sont garantie que si droit de l’Union
Européenne s’applique pour mettre la charte en œuvre.
2. La charte des droits fondamentaux font l’objet
d’interprétation qui est imité voir même calquée par la
cour européenne des droits de l'Homme.
 Les libertés fondamental de l’union européenne , la liberté de
circulation des personnes en particularité. Ces liberté de
circulation vont imposer a certains État oblige de reconnaître
des situations familial créer valablement dans d’autres État.

2. L’ordre juridique du conseil et de l’Europe avec la Convention Européenne


des droits de l’Homme
 Il a pris en charge le droit de la famille en garantissant des droits
familiaux. Notamment la charte social et européenne du 18 octobre
1961 et la convention européenne de sauvegarde des droits de
l’Homme et des libertés fondamentales su 4 novembre 1950 qui
comportent un certain nombre d’articles sur la famille.
 Article 8 qui protège la vie privée et familial. L’article 12 qui garantie
le droit de se marié et de fonder une famille. Le protocole additionnel
n°7 avec l’article 5 garantissant le principe d’égalité Homme et
Femme ou encore le protocole additionnel n°1 avec l’article 1 sur la
garantie des droits de propriétés avec les enfants adultérins ont les
mêmes droit successoraux que les autres enfants.

Grâce aux interprétation de la cour Européenne des droits de l’Homme qui a une
force de création par interprétations des dispositions qui notamment a contraint la
France à reconnaître les égalités des filiations, mais aussi grâce à l’article 8 de
reconnaître la gestation pour autrui à l’étranger est donc reconnu partiellement par la
France. Elle a définis dans une décision plutôt récente en définissant ce qu’est la
famille dans la décision du 7 avril 2022 la cour européenne des droits de l'Homme à
définis la famille comme « La notion de famille visé par l’article concerne non-
seulement les relations fondé sur le mariage mais aussi d’autre lien familiaux des
facto lorsque les partie cohabitent hors lien marital ou que d’autre facteur démontrent

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qu’une relation a suffisamment de constance ». A coté de la cour européenne des
droits de l’Homme il y a un autre juge qu’il ne faut pas oublier le juge français qui
met en œuvre les valeurs française. En effet dans chaque différend le juge français de
manière abstraite compare les lois, les droits garantie et évalue au regard de la
situation concrète avant de donner sa décision afin de faire valoir le droit. C’est le
contrôle de proportionnalité qui correspond au fait que la décision ne se différencie
pas trop au droit garantie par la convention des droits de l’Homme.

B. Les délinéaments de la notion juridique de la famille

D’un point de vue juridique la famille est un groupe de personne réunis entre elles
éventuellement par un lien d’union et d’alliances et nécessairement par un lien de
parenté qui établis une relation entre un auteur commun et des descendants. Cette
définitions regroupe un grand nombre de situations et permet de regrouper les
différend visage de la famille. De la famille la plus traditionnel un père et une mère
marié de leur ascendant à leur descendant. De la famille monoparental comportant
principalement comportant une mère et un enfant majoritairement.
trois termes a définir et étudier union/ alliance/ parenté.
➢ Union : On peut définir l’Union de la manière suivante « Action ou acte par
lequel deux personne quelque soit leurs sexe décide d’unir leur sort ou leur
intérêt en vue de partager une vie commune incarner le plus souvent par des
relations charnelle ~ Copula Carnalis ~ et qui se traduit dans certains cas
déterminé ( Mariage et Pacte Civil de Solidarité) par des droits et des
obligations des interdictions de nature juridique ».
↳ N’est pas une nécessité ni de fait ni juridiquement, le plus souvent la
famille est fondé sur l’union de la famille. Cet union pouvant être le
mariage soit un partenariat enregistrée qui en droit français porte le non
de pacte civil de solidarité le PACS soit le concubinage. Le couple n’est
pas un élément essentiel de la famille car il peut exister une famille
monoparental ~ Ab ovo ~. Il peut exister des couples de fait des
concubinages.

Primus Seconda

Bêta Oméga

: Lien adoptif
: Mariage après adoption
: Impossibilité de se marier
: Compagne de l’adopté

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➢ Pour qu’il y ait alliance il faut qu’il y ait au moins un mariage ou bien un
PACS, le concubinage ne fait pas apparaître alliances.
 L’Alliance dans l’hypothèse d’un PACS est extrêmement réduit, en effet le
PACS retiens une alliance en mode mineure en ce que seulement l’article 361
du Code Civil est interdit le mariage entre l’adoptant et le partenaire de
l’adopter et entre l’adopter et le partenaire de l’adoptant.
 Le cœur de la notion d’alliance qui réside dans la notion de mariage, il peut
être définis de la manière suivante. C’est le lien de droit qui résulte
essentiellement du mariage et s’ établie entre chacun des époux et les parents
de l’autre époux. Ce lien créer entre les alliée des droits, des obligations et des
interdiction de nature juridique.

Para Mara

Primus Seconda Tertia


(Para=Père) (Mara=Mère)

Enfant

: Lien de famille
: Famille de Seconda
: Lien d’union qui apparaît après le mariage

➢ La parenté : il s’agit du lien de droit qui existe tant en une personne que l’une
descend de l’autre c’est la parenté direct que le lien entre des personne
descendant d’un auteur commun c’est la parenté collatéral. Ce lien de droit
créer entre les parents des droits, des obligations et des interdictions de nature
juridique. Parenté véritable est la parenté types est celle par le sang et sur
lesquelles les autre parenté doivent prendre exemple. Attention la parenté n’est
pas fondé exclusivement sur le sang, il peut reposer notamment sur une fiction
de parenté tel que l’adoption qui créer une vrai parenté qui sera juridiquement
tout aussi solide que celle du sang.

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Parenté en ligne direct : Parenté en ligne indirect :

(II) (II) (II) (II) Primus II


III
Tertia (I) Seconda (I) Seconda Tertia

I
IV
Primus E1 E2 E1 E2

E1 (I) E2 (I) E3 (I) ←descendant


direct de degré 1
E (II) = 1 génération

E : Enfant
E : Enfant - : Lien de famille
- : Lien de famille →: Degré de parenté indirect

La famille est un groupe de personne réunis entre elle éventuellement par un lion
d’union et d’alliance et nécessairement par un lien de parenté qui établis une relation
entre un auteur commun et les descendant. Elle permet de comprendre un grand
nombre de situation de famille car aujourd’hui il existe une pluralité de modèle de la
famille. La famille d’aujourd’hui est différente de celle prévue tel quel a été conçue
par le code civil par le 21 mars 1804 qui était plus univoque.

II°/ La transformation du droit de la de la famille :

Paul Lerebours-Pigeonnière définis que la famille est plus qu’aucun d’autre le produit
des mœurs, le législateur a moins anticiper l’évolution des mœurs et des modes de vie
qui les a suivie avec un temps de retard. Depuis 1804 le droit de la famille a suivie les
changements de la société française, il ne les a pas produit il les a suivie. Ce lien que
le droit suivie les changements de la société est celle de Gérard Cornue de la
révolution tranquille du droit de la famille. Ce sont les lois Carbonnier qui sont des
lois de réforme adoptée entre 1864 et 1875 du nom de leur concepteur Jean
Carbonnier. Outre qu’il était un grand civilistes il était aussi promoteur d’une
discipline nouvelle la sociologie juridique. Ces lois ont été conçue comme les
adaptations des modifications de la famille, des nouvelles formes de la famille et des
évolutions de la société. Il partait des enquêtes sociales afin de modifier au besoin de
la société.

A. Le Code Civil, une œuvre de synthèse :

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Les rédacteur du Code Civil ont rédigée une œuvre de synthèse et le code civil a
conservée en 1804 des aspect de l’ancien droit. D’une part en conservant la place
central et essentiel du père de la famille qui se voit attribuer deux puissance la
puissance marital et paternel. De plus il accorde au lignage les liens de parenté au
sein de la famille légitime donc du mariage une part essentiel et fondamental de cette
reprise des coutumes essentiellement du Nord-Ouest de la France et que les enfants
hors mariage ont des droit très limité.
Le code fait place a des œuvres révolutionnaires comme la suppressions des privilège
de primogéniture, met fin également au privilège de masculinité et maintien
l’institution du divorce. C’est une œuvre de compromis et de transaction, c’est une
œuvre de synthèse.

B. Les changements du droit après 1804 :

Il s’agit d’une famille autoritaire fondée sur le lignage et qui ne va pas résister aux
changement de la société Française. La famille a connu un double mouvement
contraire.
✗ La famille a été sujette a une loi de rétrécissement continue, le lignage c’est
considérablement rétrécie et en ce sens la famille est devenue une famille
nucléaire d’un couple dans le modèle dominant et les enfants. La famille est
aujourd’hui considérer comme une communauté d’affection plus que de sang.
✗ La famille c’est aussi élargis car de plus en plus la famille s’étend a des enfants
qui en étais exclue car les enfants hors mariage relève de la famille et d’un
rang identique des enfant née dans le mariage.
Ces transformations on permis de s’organiser en deux terme l’émancipation et
l’égalité.

➢ L’émancipation : En droit français la femme et les enfants ont acquis un


véritable statut entre 1893 et 1985 la femme marier va acquérir un statut égale
a son marie. La loi du 18 février 1938 qui met fin a l’incapacité de la femme
marié. Les enfants se sont également émanciper de la puissance paternel et
notamment la loi du 5 juillet 1974 qui va inscrire à l’article 414 du Code civil
qui abaisse l’age de la majorité qui est de 18 ans.

➢ L’égalité : Le droit de la famille s’est placé sur l’égalité des filiations, des …
Tout d’abord l’égalité des filiations tel que les filiations naturel à rejoint la
filiation légitime entre les enfants née entre mariage et hors mariage et cette
distinction est supprimé avec la loi du 4 juillet 2005. Les enfants naturel et
légitime ne se distingue plus même les enfants adultérins, mais en revanche les
enfants incestueux sont encore différenciée et ne sont pas placé sur une égalité.
Ensuite le mariage a été touché par le mouvement de l’égalité en effet il est
apparue que d’abord au sein même que mariage on va chercher l’égalité du
mariage aux personnes de même sexe. Mais aussi la présence d’une emergence

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d’autre forme de mariage. De plus il y a la présence d’une reconnaissance de
l’union du PACS et du concubinage qui a été définis par le code civil. C’est
une égalité de reconnaissance pour l’union et non pas de traitement et
n’accorde pas les même droit et ne pose pas les même devoir.

Ces tendances profonde du droit français vers plus d’égalité, d’émancipation et de


liberté en réalité ont donné un visage très différend à la famille qui s’est
considérablement modifier. D’une famille moderne avec pour cœur le père et le
lignage on passe à une pluralité de famille on peut retenir le terme de pluralisme
comme modèle de droit français de la famille qui peut être fonder sur une union ou
non. La rupture de l’union est plus simple par le principe d’une désunion facilité.

Deux observation préliminaire : Le couple et l’enfant sont deux notions séparé il peut
y avoir un couple sans enfant et inversement. D’autre part le droit de la famille que
nous allons étudier va exclure la notion patrimonial.

Partie I°/ Le couple :


Si nous nous tournons vers le passé depuis le Ve siècle après J.C. , le mariage c’est
imposée comme la seul union sur lequel la famille peut se fonder, le lignage est le
seul principe existant qui se fonde sur le mariage. Le concubinage a exister et on a pu
retrouver un certain nombre d’union secondaire. Le cœur de l’union est le seul
principe du droit autrement dit le mariage. Le code civil a continué en 1804 de
montrer que le mariage est l’union fondamental. Le concubinage adultère ou non qui
a été pratiquée faisait partie du non-droit c’était une union de fait non appréhender
par le législateur il faut attendre la fin du XX e siècle pour avoir une reconnaissance de
cette union. Il va reconnaître une union pratiquée depuis des siècles le concubinages
dans les 30 dernières année, mais aussi avec le PACS.

En premier lieu l’union d’un couple n’est pas fondamental à la composition d’une
famille. L’égalisation de la Insémination avec donneur anonyme, sans décès de l’un
des parents il peut y avoir une famille mono parental.
En second lieu si on regarde la notion de couple, le mariage n’est pas le seul mode
d’union et plus encore le mariage hétérosexuel n’est pas le seul mode d’union. En
effet depuis la loi du 15 novembre 1999 il y a la création du PACS et a appréhender et
définis la notion de concubinage à l’article 515-8 du code civil. Le mariage s’est aussi
ouvert sur le mariage homosexuel depuis la loi du 17 mai 2013, auparavant seul le
pacs était autorisé. A l’article 143 du code civil dispose que le mariage est contracté
par deux personne de même sexe ou de sexe différend.

Titre I°/ Le mariage :

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Laquino a définis le mariage devant l’Assemblée National que le mariage est une
union entre deux personne de sexe différend sauf qu’à cet époque il y avait
uniquement dans l’esprit de chacun cette conception alors pourquoi il fallait définir
ce qu’est le mariage.

- L’ordonnance de Blois en 1579 qui avait pour objectif de faire supprimer les
mariages clandestin en ordonnant de faire une célébration publique devant un curé
qui deviendra dans le futur une sorte d’officier publique.

- L’Édit de tolérance du 29 novembre 1787 devait permettre au protestant une


possibilité d’acquérir une célébration publique et solennelle de leur mariage devant
un curé catholique.

- La constitution du 3 septembre 1791 avec l’article 7 dispose « La loi ne considère le


mariage que comme contrat civil et la loi du 20 septembre 1792 qui réglemente le
mariage avec singularisation.

Depuis la révolution française la mariage avait une double nature, c’est à la fois un
contrat et une institutions.

✗ Un contrat car il s’agit d’une volonté qui repose sur le consentement des
époux, sans consentement il n’y a pas de mariage. Ce que le consentement peut
faire, il peut le défaire c’est pourquoi l’on peut divorcer avec une volonté
mutuel.

✗ Une institutions car à la différence du contrat il ne permet pas aux époux de


confectionner leurs obligations comme il le souhaite se marier c’est adhérer a
une institution offerte par la loi. Il n’y a pas de mariage à la carte on se marie
avec les obligations qui vont avec.

Jusqu’en 1972, les transformation du droit du mariage était cosmétique l’objectif était
de relancer la dynamique du mariage. En simplifiant le mariage on a penser relancer
les mariages en effet en 1891 près 281 mille mariage était célébré, à partir de 1975
environ 285 mille était célébré. Les mariage ont connue un essor depuis la
simplification et du relancement de la dynamique.

Chapitre I°/ La formation du mariage :

Depuis 1804 quel que soit les interprétation adopté de l’article 11 du code civil qui
s’attache particulièrement au droit subjectif, le droit de se marier est reconnu a toutes
personnes française ou non. Ainsi le droit au mariage offre a tous l’accès au règle sur
la formation au mariage et la possibilité de se soumettre aux règles du mariage.

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Section I°/ Le droit de mariage

Le droit de se marier comme le droit de ne pas se marier sont des droits subjectif a
tous et plus encore on pourrait voir des libertés publique reconnus a toutes les
personnes. Elle est protéger par des textes internationaux tel que la déclaration des
droits universel des droits de l’Homme de 1948, comme le pacte international
politique et culturel ou encore la convention européenne des droits de l'Homme.

I°/ Les engagements préalables entre les candidats du mariages : les


fiançailles :

La liberté de se marier est présente mais c’est aussi une liberté de ne pas se marier par
conséquent. Si il existe une liberté de se marier ou non un engagement ou une
promesse de mariage n’est pas obligatoire, on ne peut pas être contraint de se marier
même si on a participer à des fiançailles. Il ne s’agit aucunement d’un engagement
contraint et obligatoire. Depuis 1804 il apparaît très clair que le code civil et malgré
sont silence le mariage n’est pas contraint par une obligation. En revanche une
rupture fautive des fiançailles peuvent avoir des conséquence juridique.

A. La nature des fiançailles :

La doctrine française s’est divisé tant qu’a l’analyse des fiançailles, l’idée à lequel
personne a fait valoir que les fiançailles obligerait et serait un contrat en vertu de la
liberté fondamental art 3 et 4 … . En revanche Toullier a pu défendre l’idée que les
fiançailles peuvent être égal un contrat, il a fait une lecture conventionnel du Code.
L’inexécution de la promesse qui est un engagement contractuel doit donner lieu a
une réparation sous forme de dommage et intérêt qui compense l’inexécution. Il
s’agissait d’étudier une inexécution d’une obligation contractuel qui est une
obligation de fait. Elle ne peut pas donner une obligation de faire mais uniquement
des dommage et intérêt. Cet approche ne fut pas adopter par le droit positif français,
la cour cassation de 1838 « Toute promesse de mariage est nul en soi comme portant
atteinte à la liberté illimité du moins exister dans les mariages ». Essentiellement le
consentement dans le mariage doit être libre et donc on ne peut pas aliéner, on ne
peut pas contraindre le mariage. Le contenu serai illicite → 1162 du Code civil.
A la fin des année 1920 Josserand aurait tenté de ressusciter l’approche contractuelle
des fiançailles. Malgré son autorité il n’a pas réussi a ramener la vision de Toullier.

La rupture des fiançailles peuvent être brutal et peut être fautive au sens du droit
c’est-à-dire que si les fiançailles échappent au droit, lorsque la rupture est fautive ou
brutal et cela peut avoir une conséquence juridique. Cela fait objet d’une qualification
juridique au sens de faute de la responsabilité civil délictuelle. Un engagement est
synonyme d’obligation tout comme la faute. La rupture des fiançailles engendre

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l’application 1240 du Code civil, les fiançailles n’engagent le droit que lorsque la
rupture est fautive.

B. Les conséquences de la rupture des fiançailles :

Il s’agit d’une liberté et c’est le prolongement de la liberté patrimonial, toutefois si


cette rupture est constitutive d’une faute et que cette faute est à l’origine d’un
préjudice alors celui qui rompt sera tenue d’une obligation de nature délictuelle de
réparation.

1° La responsabilités pour ruptures fautives des fiançailles :

Elle peut faire naître une obligation de nature délictuelle, qui soit mise en œuvre mais
il faut que trois éléments soit en place selon l’article 1240 du Code Civil.
1. Faute
2. Dommage
3. Lien de causalité

D’abord la faute peut résider ou bien dans les circonstances même de la rupture la
façon dont on rompt ou bien dans les motifs qui ont justifier la faute. Rompre des
fiançailles après sept ans de fiançailles ou bien rompre des fiançailles la veille ou le
jour même du mariage se sont des comportements qualifié de fautif. Elle peut résulter
des raisons pour lequel on a rompu ou des motifs. Si la femme est enceinte si l’on
rompt les fiançailles pour cause de grossesse ou bien a raison de différence de
milieux sociaux ces motif peuvent justifier la qualification de faute. On ne pas
rompre pour caprice et légèreté aussi.

Ensuite le préjudice qui est suivie de la victime de la rupture fautive, il est nécessaire
que la rupture engendre un dommage pour la personne laissé. Cela peut être un
dommage matériel et consiste au frais qui ont été engagée pour le mariage, il y a la
évidemment un préjudice. Le préjudice peut aussi être d’ordre moral et notamment
comme a pu le dire la juridiction du fond lorsque la personne délaissé souffre de
discrédit et de ridicule.

2° La restitutions des cadeaux de noces

Principe de l’article 1088 du Code civil « Toute donation faite en faveur du mariage
sera caduque si le mariage ne s’en suit pas » Les donations devront être restituer sauf
sous certaines conditions :
- Il n’y a pas de restitution si le cadeau peut être qualifier de présent usage définis à
l’article 862 du Code Civil.

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- Les cadeau de noces ne seront pas restituer lorsque la rupture des fiançailles sera
fautive dans la mesure ou ses cadeau de noces peuvent équivaloir à des réparation.

Parmi tout ces cadeau de noce il y en a un qui fait exception c’est la bague de
fiançailles car elle a un fondement différent. En principe la bague doit être restituer
par la personne sauf en cas d’exception :
- La bague peut être conserver à titre de réparation lorsque c’est l’autre qui a rompu
fautivement.
- La bague peut être conserver si elle fait d’œuvre de présent d’usage.
- Lorsque celui ou celle qui la donné est mort.
Quand bien même la bague serait un présent d’usage ou bien le décès du donateur ou
bien qu’il y ait une rupture fautive il y aura quand même restitution de la bague de
fiançailles si elle peut répondre au terme de souvenir de famille.

Les fiançailles ne limite pas les liberté matrimonial, il y a que la rupture de fiançailles
qui mettent en place une obligation de réparation. Cette obligation ne saurait
empêcher de mettre fin librement au fiançailles.

II°/ Les engagements préalables vis-à-vis des tiers : l’exemple des clauses
limitatives de la liberté matrimoniales :

Il est possible que certaine stipulation va liée deux personne tiers. Elle se pose quand
une personne va accepter de limiter sa liberté matrimonial. Ces close sont des close
de célibat par lequel on s’engage a ne jamais se marier ou close de non convole. Cela
peut aussi être des close d’interdiction de re-mariage après décès c’est une close de
viduité ou bien une close qui interdit le remariage après divorce. Il existe aussi des
closes qui interdisent le mariage avec tel ou tel catégorie de personne ou qui imposent
un mariage entre tel ou tel personne.
Malgré ses closes ont peut voir que le mariage restent toujours possible. Une tel close
est incapable d’interdire le mariage en revanche elle aura un effet sur l’acte / le
contrat qui lie les partie. La personne qui se marie pourra engendre un déficit des
avantages des closes des contrats. Différence entre les actes a titre gratuit (= sans
contrepartie ) ou à titre onéreux ( = suppose une contre-partie ).

 Si l’acte juridique est a titre gratuit : Depuis 1867 la jurisprudence considère que la
close limitative de liberté matrimonial est valable. Elle s’explique en ce que l’acte a
titre gratuit n’empêche pas le donateur et à l’inverse il lui donne un avantage. C’est
un avantage qui n’est pas vital et essentiel. Toutefois ce principe de la validité des
closes connaît une exception lorsque ses motif qui limite la close sont considérer
comme illicite. Close illicite de limiter la liberté matrimonial en ce que la close faisait
interdiction a la petite fille qui lui interdisaient de se marier en fonction de religion ou
autre critère, et on ne peut pas imposer aussi.

13
 Si l’acte est à titre onéreux : En principe la close limitative est nul car elle est
attentatoire à la liberté matrimonial. Les close de célibat dans le contrat de travail
dans une compagnie est caractériser comme nul. Si la perte d’une donation est
indolore, en revanche la perte d’un salaire d’un contrat de travail engage la vie du
salariée et risque de perdre tout moyens de subsistance. Toutefois la jurisprudence
française a pu juger qu’une close qui interdisait le re-mariage après le divorce dans
un contrat de travail qui est dans l’enseignement catholique et enseignement. Une tel
close pouvait être valable en raison de nécessité impérieuse et de ses fonction et que
l’anéantissement du contrat de travail était justifier après son mariage après le
divorce. La motivation de la jurisprudence n’est pas convaincante car la conviction
religieuse était incorporer dans le contrat du travail. Il paraît a peu près certain
aujourd’hui que cet jurisprudence pourrait être une atteinte au droit de l’Homme.

En définitif le droit positif garantie la liberté matrimonial sur le fait de se marier ou


non, qu’il s’agisse de promesse de mariage ou d’engagement vis à vis de tiers. Pour
autant que le droit de se marier existe qu’il y aura obligatoirement un mariage légal
car le mariage répond a des conditions de fond.

Section II°/ Les conditions de formation du mariage

Le mariage doit répondre a des conditions de la loi, de la nature contractuelle du


mariage et tantôt de la nature l’Institutionnelle du mariage. Certaines conditions
tiennent à l’acte lui même et au personne qui s’engage au mariage ce sont des
conditions de fond. Par ailleurs il existe aussi des conditions de publicité du mariage
et une certaine solennité du mariage.

I°/ Les conditions de fond du mariage :

La double nature du mariage se traduit techniquement lorsqu’on observe les


conditions de fond du mariage. Le mariage est une institution social auquel les époux
adhèrent et c’est une institution social en ce que les deux familles vont liée des liens
d’alliance. Le mariage appelle un contrôle exercé par la société. Mais aussi le
mariage à une nature contractuelle par une volonté des deux époux et on retrouve
notamment le consentement du mariage.

A. Les conditions institutionnelles du mariage :

Le mariage est un rite social qui engage la société elle même car la famille est au
cœur de la société. Tant au point de vue de la société mais aussi de la famille car
grâce au lien d’alliances des liens se forme dans la famille.

1° La condition d’ordre familial : le consentement familial :

14
Le code Civil en 1804 avait repris un héritage du droit coutumier qui était un héritage
autoritaire et notamment il exigeait des candidats au mariage majeurs (= 21 ans ) de
demander parfois de manière répétée des conseil à leur parents respectif pour un acte
qualifiée de respectueux jusqu’à 30 ans pour les Hommes et 25 ans pour les Femmes.
Mariage qui est que si 3 actes dit respectueux soumis au parent qui peuvent refuser.
Elle a été perdu en 1907 et donc perdu sont cœur coercitif. La famille a toujours un
rôle protecteur lorsque les candidats sont vulnérable en raison de leur jeune âge c’est-
à-dire quand ils sont encore mineur. Les mineur doivent obtenir une autorisation
circonstanciée de l’un des parents pour pouvoir se marier et le parent doit avoir
l’autorité parental et l’accord d’un seul suffit si les deux parents ont un accord. Si les
deux parents sont en désaccord sur l’accord du mariage l’accord l’emportera au refus.
Si les parents sont mort, l’autorisation devra être demander aux ascendant et l’accord
d’un seul suffit. En cas de dissentiment le consentement prévois, l’accord est d’abord
oral mais est par écrit en cas de besoin de preuve. A défaut d’ascendant cet
autorisation doit être donner au conseil de la famille de manière écrite.

Le consentement qui est donné par l’accord des parents n’est pas irrévocable car un
parent qui est désaccord peut lui donner le jour de son mariage et inversement un
parent en accord peut donner un désaccord. Abus de droit qui peut donner lieu à
réparation.

2° Les conditions d’ordre social :

Le mariage est l’expression d’une conception que l’on a de la société ce n’est pas une
vision universelle, il a existé des société sans mariage. En droit français l’État
garantie la formation des mariages.

a. Les conditions biologiques :

En réalité derrière la biologie se cache souvent des considération d’ordre social.


Certes la prohibition de l’inceste permet de préserver la situation familial, il en reste
pas moins que si l’objectif final est social initialement il est biologique. Or ses
interdit peuvent intéresser plusieurs caractéristique.

1. Le sexe :

Le sexe : Après le code civil il était évidant que la famille était un Homme et une
Femme. Le conseil constitutionnel avait penser et avait vu la question de la même
manière et ce dans la décision du 20 janvier 2011 qu’il y avait un différence entre les
couples homosexuel et hétérosexuel. Mais le droit évolue dans la société et c’est pour
cela que le législateur a ouvert le mariage au personne de même sexe ou de sexe
différend. L’ouverture du mariage au couple du même sexe depuis le 17 mai 2013.

15
Pour les personne transgenre, le mariage avec une personne ou deux personne
transgenre, le mariage est valable. Par conséquent le droit français est parfaitement
conforme à la jurisprudence de la convention européenne des droits de l'Homme qui
ouvre le mariage au transsexuel.
 Que faire si la personne ignoré le mariage de manière ?
Un tel mariage peut être annuler sur les raisons de qualité substantielle.
 Que faire si un époux se prétend de sexe neutre ?
En France cela n’a aucun effet juste il s’agira d’un mariage avec le sexe mentionné à
l’État civil.

 Que faire si l’un des époux obtient la modification de son sexe après le mariage ?
Le mariage a été valablement former il est donc incontestable en revanche l’autre
époux pourra demander le divorce si il n’accepte pas cet transformation.

2. La puberté :

Jusqu’à la loi de 2006, l’age l’égal du mariage était de 18 ans pour les garçon et de 15
ans pour les filles. Désormais il l’age l’égal du mariage est de 18 ans. L’article 145
prévois des possibilité de mariage pour motif grave. Le procureur de la république du
mariage peut donner une dispense aux futurs marié pour se marier alors qu’une
personne voir les deux sont mineurs. La grossesse est l’un des cas d’urgence pour
donner une dispense. On peut s’étonner que ce soit un individue de l’État qui donne
une dispense, c’est pourquoi désormais la doctrine préconise le mariage peut être
délivré sur un simple certificat médical.

3. La disparitions du certificat prénuptial :

Un bon état de santé n’est pas une raison de formation de mariage. On peut craindre
une tentation eugéniste qui viserait à empêcher un mariage. Elle exigeait de chaque
époux, chaque candidat au mariage devrait délivrer un contrat prénuptial à l’officier.
Il devait consulter un médecin qui délivraient un certificat secret c’est-à-dire que les
époux ne savaient pas les certificats de l’autre et après ils devaient le donner à
l’officier de l’État. La constations d’un maladie n’avait aucune incidence sur le droit
de se marier et par conséquent le peut d’intérêt de l’importance de ce certificat, peut
être une cause d’annulation de mariage sans ce certificat prénuptial. Le mariage peut
être valable dans les cas ou l’officier a célébrer le mariage et par conséquent juste une
faible amende est donner à l’officier. Ce qui a été fait en France en 2007 est important
notamment avec l’abolition de la nécessiter du contrat pré-nuptial. Si le contrat
prénuptial a disparu, cela ne signifie pas que toute maladie mental ou physique soit
sans effet sur le mariage. La maladie mental ou physique peut être une cause
d’annulation du mariage si elle viens a altérer le consentement.

4. Les empêchements à mariage :

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La pérennité du modèle familial suppose le respect d’un interdit qu’on dit universel,
cet interdit universel est celui de l’inceste afin d’éviter une dégénérescence pour
éviter une débilité. La famille est bien au cœur de la société et par conséquent on ne
saurais admettre la pérennité de la famille au considération de l’inceste.
Techniquement il existe des fondations au mariage avant même qu’il ne se présente
pas de lien de sang des personne, la portée sociologiques de la prohibition des
incestes que certaines interdictions a mariage frappe les allier. L’interdiction a
mariage à mariage entre les allier n’a pas de ressort sociologiques mais a éviter les
liens biologiques dans un but d’éviter les conflits au sein d’un même famille. On peut
dire que l’interdiction de l’inceste est une considération sociobiologiques.

Il faut distinguer de la nullité qui est rétroactive sans le besoin de jugement.


L’annulation est l’anéantissement rétroactif du rapport du droit et qui régis d’une
décision.
4.a. Les empêchements absolus :

Aucune dispense possible pour l’annulation d’un mariage. Le mariage sera annulable
même si il a déjà été célébrée. En aucun cas ce mariage pourra être sauver en cas
d’annulation du mariage.

1.1. Les empêchements absolus dans la famille par le sang :

Ces empêchements absolus dans la famille par le sang sont au nombre de trois.

 En parent en ligne direct le mariage est absolument interdit. Art 161 du C. Civ.
Il y a des cas ou il n’y a pas de lien de filiation qui est établis. Un cas d’ l’action a cas
de subside c’est lorsque qu’un lien de filiation paternel est possible en ce que la mère
de l’enfant eu de multiples conquêtes et que l’enfant n’a pas de reconnaissance d’un
père. Si l’enfant souhaite de l’argent d’un père possible il faut qu’il ait eu un rapport
lors de sa conception et le père doit entretenir l’enfant. Dès lors qu’il existe une
paternité possible que l’existence d’une action de subside que le lien entre le possible
père et l’enfant, ils ne peuvent se marier. Art 342-7 du C. Civ.

 Le mariage est interdit en ligne collatéral entre les frère et sœur. Art 161 du C.
Civ.
Cela vaut pour les collatéraux germains (qui ont le même père et mère), que ça vaut
pour les collatéraux utérins (qui ont pas le même père et mais la même mère), que ça
vaut aussi pour les collatéraux consanguin (qui ont pas le même père et mais la même
mère) art 162 du C. Civ

 Le mariage est interdit entre l’un des époux et de tout ses alliée qui sont
ascendant et descendant de l’autre époux.

17
L’empêchement est absolus uniquement en cas de divorce d’un des époux. Si une
femme divorce de son mari elle ne peut ensuite se marier avec le père, la mère, les
enfants de l’autre conjoint.

Cette empêchement serait contraire à la convention européenne des droits de


l'Homme, cour européenne des droits de l'Homme a statuer que dans certains cas
l’interdiction au mariage est contraire à l’article 8 de la Convention européenne des
droits de l'Homme. La Cour de cassation a fait application dans un arrêt d’un contrôle
de proportionnalité qui a conduit l’écartement absolue c’est-à-dire de juger le mariage
entre une beau-père et sa brus peut être valable. L’union n’avait été critiquer que 20
ans après le mariage. Le temps a démontrer que cette union était valide et qu’il y a
avait une union sérieuse et la Cour de Cassation a juger avec circonscriptions spécial
de la proportionnalité de ce mariage. Le contrôle de proportionnalité contient une
analyse précise des faits.

Le 8 décembre 2016 la cour a pu maintenir l’empêchement absolu ( 8 ans de de


mariage et non 20 ans, l’Homme a épousé la fille a l’age de 77 ans elle en avait 27 et
ils s’était rencontrer à l’age de 9 ans pour la fille). Les circonstances démontraient
que le beau père avait une tendance a multiplier son mariage. Devant un contrôle de
proportionnalité, les droits fondamentaux peuvent céder.

1.2. Les empêchements absolus dans la famille adoptive :

Il existe en droit français deux types d’adoptions l’adoption simple et l’adoption


plénière. Les enfants plénière créer une situation semblable a la famille dans le sang
alors que l’adoptions simple conserve des liens avec de la famille par le sang et donc
par conséquent il relève de sa famille du sang.
Lorsque l’adoption est plénière ce sont les même comme les enfants pour le sang. Il
doit être et bénéficier de même règle que celle qui régissent les enfants par le sang.
Lorsque c’est une adoptions simple c’est plus compliqué car il est liée aux deux
famille. Vis a vis de la famille d’origine on applique les règles de la famille par le
sang. Vis a vis de la famille adoptive il existe une similarité entre les empêchements
absolus entre la famille par le sang et par la famille adoptive.

➢ Il est interdit entre l’adoptant d’un coté et entre le partenaire et le conjoint de


l’adopté en cas de divorce et de rupture de Pacs. Il est également interdit entre
l’adopté d’un coté et entre le partenaire et le conjoint de l’adoptant.

On peut reprocher à cette disposition de ne pas avoir été absolue. Prise en compte du
PACS ne se retrouve que dans l’adoption simple et non dans la famille par le sang.
Il est étrange que la loi n’est pas interdit l’interdiction a toute forme de famille et est
uniquement limité à la famille simple. Il aurait été mieux d’étendre la limitation de ce

18
mariage a tout type de famille par le sang, la famille adoptive plénière et l’adoption
simple.

➢ Il est interdit d’un mariage entre l’adoptant et l’adopté et les descendant de


l’adopté.

Le mariage pourra être valable si une dispense est accordée par l’officier publique.

4.b. Les empêchements relatifs :

Si le mariage est quand même célébré il peut y avoir un risque d’annulation du


mariage sauf en cas de circonstance exceptionnel le président de la république peut
accorder et délivrer une dispense.

2.1. Les empêchements relatifs dans la famille par le sang :

➢ En principe le mariage entre neveux et nièce et entre oncle est tante est interdit
avec une possibilité d’annulation.

Par un raisonnement analogique a pari entre l’union entre petit-neveu et petite-nièce


et grand-oncle et grande-tante. Cet interdiction peut être lever par le président de la
république titulaire de la souverainetés, que pour motif grave Article 164-3 du C. Civ.
Cette décision n’est pas discrétionnaire elle doit être motivé et présenté, le refus ou
l’acceptation peut être présenter devant les tribunaux judiciaire.

➢ L’empêchement à mariage peut résulter d’un lien d’alliance qui a été fragiliser
par le décès.

En principe le mariage entre beau-père et belle-mère et le conjoint de leur enfant est


interdit alors même que leur enfant est précédée. En cas de raison exceptionnel
Tertius et seconda peut demander leur mariage en cas de décès de prématurée de
Primus. Si le mariage est fait après un effet pré décès l’annulation est relatifs.
Le décès est une cause de dissolutions du mariage

Mariage.
Mariage après la mort de Primus. Tertius
Parenté.
Primus Seconda

2.2. Les empêchements relatifs dans la famille adoptive :

19
Les enfants plénière créer une situation semblable a la famille dans le sang alors que
l’adoptions simple conserve des liens avec de la famille par le sang et donc par
conséquent il relève de sa famille du sang. En cas d’adoptions plénière il existe des
empêchement relatifs qui sont similaire à la famille par le sang.

En cas d’adoptions simple :


➢ Le mariage entre l’enfant adopté et ses frères et sœur adoptifs et le mariage
entre l’enfant adopté et les frères et sœur qui sont née de l’adoptant.

Ce mariage est interdit mais c’est un empêchement relatifs car le président de la


république peut lever cet interdiction par une motivation et en cas de circonstance
grave.

➢ Le mariage entre l’adoptant et le conjoint et le partenaire de l’adopté, en cas de


décès ou en cas de mariage entre l’adopté et le conjoint ou le partenaire de
l’adoptant, en cas de décès le mariage est prohibée.

Le mariage en cas de pré-décès le président de la république peut lever cet


interdiction avec une motivations des partenaire 361 du C. Civ.

b. Les conditions sociologiques : la prohibition de la


bigamie :

Il est d’une erreur commune de confondre la bigamie et d’une polygamie. Le principe


en France est de la monogamie est de nouer un seule mariage et dans certains endroit
il existe une polygamie et donc de nouer avec plusieurs mariage. La bigamie
correspond au cas au personne monogamme qui se marie une seconde fois avant la
dissolutions du mariage. On ne peut être que bigame lorsque l’on est monogame.
En France elle est interdite en droit civil et en droit pénal.

✗ Droit civil : Article 147 du C. Civ dispose « On ne peut contracter la


dissolution du mariage avant la dissolution du premier mariage ». Si le mariage
est quand même célébrer, il sera nul et annulable. Il faut que le premier
mariage soit dissout soit par divorce soit par décès soit par annulation.

L’hypothèse de l’annulation apporte des précision :

T.-1 T T.+1

1° Un mariage a été célébrée en tels T-1 et il a été annulé en T et le second mariage a


été annulé en T+1. Mariage célébré de manière légitime.

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2° Un mariage a été célébrée en T-1, puis le second mariage et célébrée en T et la
validité du premier mariage a été discutée en T+1. Le second mariage est donc un cas
de bigamie car le mariage 1 n’a pas été annulée. Les juges peuvent suspendre la
procédure a statuer dans l’attente de l’annulation du premier mariage.

Un jugement de divorce n’a pas d’effet rétroactif,

✗ Droit pénal : Article 433-20 du C. Pénal, la bigamie est qualifier de bigamie et


sont des délinquant les bigames et les officier de l’officier publique et encours
1 ans d’emprisonnement et 45 000 € d’amande et des peines complémentaire.

Le mariage suppose de la réunion d’un certain nombre de conditions biologiques,


sociobiologiques. Le mariage n’est pas uniquement une Institutions et par conséquent
il y a également des conditions entre les parties.

B. Les conditions contractuelles du mariage :

Le mariage est un acte juridique qui a pour initiative de procurer un effet juridique et
il suppose la réunion d’un certain nombre de conditions de formation. Il faut d’une
part le consentement des partie, le mariage ne doit pas être former en vue de
poursuivre des fins accessoire et étrangère et donc par conséquent de l’utiliser aux
fins d’obtenir un avantage.

1° Le consentement au mariage :

En principe un acte juridique selon l’article 1128 du C. Civil, l’acte nécessite un


consentent des partie, mais aussi il doit être exempte de vices.

a. L’existence du consentement :

Pour que le mariage soit valablement former de fond il est nécessaire que les partie
affirment un consentement. Or il est possible que le consentement ne puisse exister
ou bien pour des raisons de trouble mental ou bien qui ne puissent s’exprimer ou
exister d’un trouble physique.

1. Trouble mental :

Il conviens d’envisager deux hypothèse :

21
1. La personne ne fait d’effet d’aucun régime de protection.

Dans une tel hypothèse sont consentement peut exister.Sauf si il est démontrer qu’à la
formation du mariage que cet personne est atteinte d’un trouble mental et aurait pas
pu consentir au mariage. La jurisprudence a posé une présomption afin de simplifier
de la preuve de la démence. Elle a admis que si la personne est démente et assujettis a
un trouble mental avant et après de la formation de mariage, alors cet preuve laisse
présumer de la folie de la personne. Il s’agit d’une présomption simple et donc que
l’on peut démontrer que la personne a connu a moment de lucidité c’est la preuve
contraire du a la présomption ~ Iuris Tantum ~.

2. La personne fait l’objet d’un régime de protection.

Dans une tel hypothèse la personne peut se marier mais encore faut il quel informe
avant la formation du mariage. Cet obligation d’information est retenu à l’article 460
du C. Civil et c’est dans un objectif de permettre au tuteur et curateur de faire
opposition au mariage. En principe si cet information préalable n’a pas eu lieu le
mariage ne peut être célébrée. Si le mariage est tout de même célébré a défaut
d’information du tuteur ou de curateur, il ne peut pas être annulé pour défaut
d’information. Mais il peut être annuler en cas de d’emprise d’un trouble mental.

2. Trouble physique :

Il conviens d’envisager deux hypothèse :

1. Ou bien il n’empêche pas au consentement, c’est le cas du mariage sourd et


muet si il peut exprimer d’une autre manière tel que par écrit et avec la langue
des signe. Il est un mariage légalement célébré.

2. Dans l’hypothèse d’un mariage ou la personne ne peut démontrez sont


consentement comme une personne du comas le mariage ne peut être célébré.

Le consentement est important mais il peut être surpris par les mensonges de l’autre,
de la violence, ou bien d’une erreur. Dans une tel hypothèse il est possible que le
consentement soit altérer par un vice.

b. L’intégrité du consentement :

La encore il faut distinguer d’une part de l’existence et de l’altération. Le


consentement comme tout acte juridique il ne doit pas être altérer par les vices du
consentement à l’article 1630 du C. Civil.

1. L’erreur en matière de mariage :

22
Jacques Ghestin définis comme « L’erreur est de croire vrai ce qui est faux et de
croire vrai de ce qui est faux ». Si l’erreur n’a pas été déterminante au consentement
du mariage ne va pas être retenu cependant si elle a été déterminante au consentement
du mariage elle sera retenu. En matière de mariage l’erreur peut venir de la personne
en elle-même (penser épouser Pierre, mais épouser Jacques) , mais aussi dans les
qualités essentiel de la personne (penser épousé un saint, mais j’épouse un mafieux).
 Point de vue historique : Dans sa version de 1804 l’article 180 alinéa 2 admettait
l’erreur sur la personne, cet erreur fit l’objet d’une interprétation par les juges et la
jurisprudences l’interprétait comme s’étendant à la qualité de la personne. Arrêt
Berton du 24 avril 1862, une femme c’était mariée avec un homme qui avait commis
un délit et elle demanda l’annulation du mariage, cependant le divorce n’était pas
rétablis. La réintroduction a eu lieu que le 27 juillet 1884 par la loi Naquet. La cour
de cassation devait adopté une conception limitative de l’article 180 alinéa 2 du code
civil et que d’erreur de la personne ne pouvait être possible que pour son identité
physique ou civil. L’erreur sur la qualité de la personne fut exclu, elle fut une critique
car une tel interprétation enfermer l’époux dans son erreur. Au vue des changements
de la société, elle devait reprendre sont interprétation à la fin de la 2nd guerre
mondial et réinterprète l’article 180 alinéa 2 avec l’admission de l’annulation du
mariage sur les qualités essentiel. En 1875, par une loi du 11 juillet 1875 le
législateur a modifiée l’article 180 alinéa 2 du Code civil. Il devait donc introduire a
coté de l’erreur sur l’identité de la personne, l’erreur des qualités essentiel de la
personne.

En premier lieu l’erreur peut être sur l’identité de la personne selon deux types.
 D’abord l’erreur sur l’identité physique est assez théorique, c’est-à-dire une erreur
d’individu dans le cas de deux jumeaux en pensant épouser X mais on épouse Y.
 Ensuite sur l’erreur sur l’identité civil tend sur le caractère de la personne dont il
est fait mention dans les registres de l’État civil, nom, sexe, age, nationalité, …
Lorsque qu’elle sont déterminante au consentement, elle peut être une cause
d’annulation du mariage.
Il conviens de relever l’erreur sur l’age n’a jamais donner lieu à une annulation de
mariage car elle est considérer comme non déterminante au consentement, la décision
du 6 décembre 1949 BERGER. L’épouse avait prétendu avoir 25 ans au lieu de 35
ans. Même si cela a induit en erreur il étais au courant des artifices utilisée du cinéma
pour rajeunir.

En second lieu l’erreur peut être sur les qualité essentiel, il s’agit des qualités de la
personnes qui ne sont pas mentionner des actes de l’État civil comme le caractère
honorable de la personne.
 Le passer d’une épouse livrer à la prostitution avant le mariage.
Les qualités des personnes peuvent changer, comment appréhender les qualités de la
personne subjectivement ou objectivement ? Le droit positif a laisser place à

23
l’approche objective et subjective. Les qualités essentiel de la personnes sont celles
qui sont tenue subjectivement à la personne et dans les limites de ce que la société
peut admettre. On fait place a une approche subjective mais qui limite l’approche
objective. Un principe qui tiendrais à la couleur de peaux, des yeux, … heurterait le
principe d’égalité. Une qualité qui tiendrais a une étape de virginité de l’épouse
serait irrecevable, car si elle est pour la personne subjectivement, elle va a l’encontre
de la liberté et de l’égalité sexuel.
Il apparaît que l’erreur est un vice de consentement recevable soit sur l’identité de la
personne ou bien de les qualités essentiel. Il faut apporter la preuve que cet erreur soit
déterminante au consentement.

2. Le dol matière de mariage :

C’est une erreur provoquée par l’autre partie par des manœuvres dolosive, le dol n’est
pas sanctionner de manière traditionnel. Adage de Antoine Loysel « On dit
communément, qu’en mariage il trompe qui peut », pour obtenir le consentement de
l’autre on peut mentir. Le dol est donc irrecevable en tant que tel il ne peut obtenir
l’annulation du mariage. En revanche l’erreur peut faire l’objet d’une sanction, or le
dol est une erreur provoqué, ce qu’on ne peut obtenir sur le terrain du dol on peut
l’obtenir sur le terrain de l’erreur.
Le dol ne conduit pas à l’annulation du mariage, mais l’erreur qui est provoqué du
dol est possible d’annuler le mariage.

3. La violence matière de mariage :

La violence comme l’erreur à la différence du dol peut être une cause d’annulation du
mariage, l’article 180 alinéa 1 suppose que « Le mariage qui a été contracté sans le
consentement libre des deux époux peut être annulable ».
 Violence physique : Le consentement de la marié ait été accordée a la suite de
coup de bâton. Le mariage appelle une cérémonie publique ou un officier de l’État
civil fait plus qu’acte de conséquence et donc celle ci réagira dans les violences
physiques.
 Violence moral : La violence résulte précisément d’une crainte actuel née d’i
intimidation ou de menace d’une certaine gravité. Elle peut être à l’origine de
l’annulation du mariage dans le cas de la crainte référentiel.
Avant le 4 avril 2006, les craintes naturelles que nous avons des parents résultant
d’une pression moral. Cette crainte n’étais pas qualifier de violence et donc ne
pouvait être annuler dans les cas de pressions des ascendants pour se marier avec une
personne. Désormais cet pressions moral peut être la source d’annulation du mariage,
dans le but d’annulation du mariage forcée.

En définitive il apparaît que la mariage exige un consentement libre de tout


contrainte, de toute violence et de toute erreur. Elle résulte d’une dimension

24
contractuel du mariage mais il ne faut pas oublier la dimension Institutionnel.
Lorsque consent au mariage on consent a une institution, autrement dit on ne peut pas
consentir autrement que le mariage dans le code civil, il n’existe pas de « Mariage à
la carte ».

2° Le mariage simulé :

Lorsque les époux se marie, il s’engage et adhère à l’institution du mariage. Pourtant


la pratique révèle que le mariage peut être un moyen d’obtenir un bénéfice, dans un
but obtenir d’un avantage du mariage sans pour entendre se soumettre a ses
obligations. C’est ainsi que sous le passer on se marier pour rendre légitime un enfant
naturel, qui à moins de droit qu’un enfant légitime dans le mariage. Après la
naissance les parents ou les futurs parents se marient pour avoir une légitimité afin
d’avoir le plus de droits. Aujourd’hui il tient surtout sur le fait d’obtenir la nationalité
française et la facilité d’obtenir un titre de séjour. Ce type de mariage on parle de
mariage simulé, il serait plutôt juridiquement logique d’appeler le mariage
frauduleux.
Elle appelle une distinction car les réponses accorde deux voix différentes, en premier
lieu elle peut se situer sur l’avantage recherché ou bien sur le droit du mariage :

 Avantage recherché : Si on se marie exclusivement dans le but d’obtenir la


nationalité française, la réponse sera trouver sur le terrain du droit de la nationalité.
Une réponse législative notamment l’article 21-2 : Le conjoint devra attendre un délai
de 4 ans afin d’obtenir la nationalité du conjoint étranger par mariage.

 Sur le droit au mariage : Seule réponse a quelques zone d’ombre, il a exister des
doutes sur l’exactitude du droit. Arrêt du 20 mars 1963 Appieto, se poser la question
de la valider d’un mariage former dans un seul but qui résider dans la légitimité du
mariage.

La cour de cassation a estimer que si le mariage rechercher un des effets qualifier


d’essentiel du mariage, ce mariage était valable et la cour de cassation devait juger
que l’obtention de l’enfant légitime est l’un des objectif essentiel que pouvait confier
le mariage. En revanche si l’objectif relève d’un objectif non essentiel, secondaire
comme l’obtention de la nationalité d’un pays alors le mariage n’est pas valide.
Comment différencier de ce qui est essentiel ou ce qui n’est pas essentiel du
mariage ? Devant cet difficulté, la cour de cassation s’en motive qu’aujourd’hui le
droit positif à délaisser cet distinction. Par conséquent le mariage simuler sur le droit
du mariage est un mariage annulable. Le défaut d’intention naturel prouve un défaut
de consentement, et il fait consentir a tout mariage et pas a une partie.

En premier lieu l’absence de volonté circonstancié, c’est la volonté d’épouser tel ou


tel personne directement précisément notamment pour avoir la nationalité française.

25
En second lieu l’absence de volonté de vivre en vie commune, laisse présumer que
l’objectif était d’avoir un avantage mariage. Dans de tel circonstance le mariage sera
nul tel l’adage ~ Frau Omnia Corrumpit ~ la faute corrompt tout.
Si on a bien l’intention de se marier et donc de se soumettre à toutes les obligations
du mariage, ce mariage sera parfaitement valable. Même si dans les faits on s’est
marié dans l’objectif de poursuivre un but principal.

En définitive le consentement au mariage doit être parfait sans défaut, cependant il ne


suffit pas uniquement car il faut des conditions de forme avec ses conditions de fond.

II°/ Les conditions de forme du mariage :

Le mariage est un rite social est doit donc être consacrée par la société, elle va être
célébrée par une célébration publique. Elle est donc par essence indispensable au
mariage. Avant le XVIIe siècle il est vu comme un acte consensuel et en France il a
fallu attendre l’ordonnance de Blois pour que la consensuel soit obligatoire. Par
ailleurs en droit comparé on remarque les mariages purement consensuel. La
solennité, mais est juger essentiel. Les conditions de forme poursuive un objectif de
publicité, mais également poursuis objectif de fond permettant qui est de bien faire
prendre conscience de la gravité de l’acte à la personne qui s’engage. Il poursuis aussi
un objectif probatoire permettant le rapport de la preuve de l’existence du mariage.

A. La célébration du mariage :

Elle est le résultat d’un processus, au cours duquel un certain nombre de règle de
forme soit respecter. Des formalités préalables apparaissent, mais ce il sera possible
que certains tiers s’opposent a ce mariage.

1° Les formalités préalables à la célébration du mariage :

a. Production des pièces :

L’officier de l’État civil et les futurs époux doivent remettent des pièces. D’abord les
époux doivent produire des pièces auprès de l’officier publique dont est listé à
l’article 63 alinéa 2 premièrement du Code Civil.
✗ Acte de naissance de moins de 3 ans à l’article 70.
Elle fait part d’un certain nombre d’informations importante, notamment l’âge de la
personne, la nationalité de la personne, l’existence d’un mariage anéantie du au
divorce en marge, … Un entretien préalable entre l’officier de l’État civil et les
candidats au mariage doit avoir lieu sauf si il n’est pas nécessaire car il n’y a ni risque
de mariage de complaisance ou de mariage forcé.

26
L’officier Civil doit aussi remettre des pièces aux futurs époux article 22 de la loi du
3 décembre 2001 :
✗ Un document sur le droit de la famille
✗ Un document sur les droits et obligations du mariage

b. Publications :

Le Code Civil impose la publication des bancs c’est-à-dire des informations du


mariage a venir. Autrement dit les futurs époux doivent demander à la mairie du lieu
du mariage, comme à la mairie du lieu respectif que soit organisé une publicité du
futur mariage. D’organiser par voie d’affiche une publicité des tiers article 63 alinéa
1er et 166. Cet affichage doit être affichée pendant 10 jours et ce n’est qu’au terme de
ces 10 jours que le mariage peut être exercée. Il est des cas ou cet durée est longue et
par conséquent le législateur a autorisé au procureur de la république à délivrer une
dispense de publication pour cause grave article 169 du code civil.

Ces formalités qui sont exigé font l’objet de sanction qui ne font pas peut parce que la
sanction est très peu dissuasive. La seule sanction c’est une simple amande pour
l’officier civil entre 3€ et 30€

2° Les oppositions à la célébration du mariage :

C’est un acte juridique officiel par lequel les personnes déterminée empêche en
amont la célébration du mariage à l’officier de l’État civil. Il doit surseoir à la
célébration, cet un acte un peu curieux dans la mesure ou cet opposition permet de se
prévaloir d’une cause d’annulation du mariage. Habituellement elle est invoquée
après la formation du mariage. Le mariage est une chose grave et on ne souhaite pas
l’annulation d’un mariage annulable. Opposition selon lequel le législateur la
réglementé.

a. Les conditions de l’opposition :

En premier lieu elle doit répondre à l’opposition de fond, elle réside essentiellement
dans la qualité des titulaires de l’action. En l’occurrence on peut distinguer entre deux
couple de personne pouvant faire opposition :

• Droit d’opposition discrétionnaire : Acte invoquée quelque soit le motif


d’annulation du mariage.

Il s’agit des parents et des ascendant qui sont un gardien d’un ordre familial, l’article
173 du Code civil permet au père et la mère ou dans l’hypothèse ou tout deux sont
mort il est destinée ascendant de s’opposer au mariage. Il est également reconnu aux

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tuteur et curateur de faire opposition au mariage d’une quelconque raison selon le
fondement de l’article 175 du Code Civil.

• Droit d’opposition fonction : Acte limité en fonction de la qualité de la


personne qui agis.

 Il peut s’agir du conjoint non-divorcé et d’après l’article 172 du Code Civil il ne


peut faire opposition que sur le motif de la bigamie.
 Le ministère publique selon l’article 175 du Code Civil dans tout les cas ou il peut
faire une opposition ou bien pour préserver l’ordre publique ou bien pour préserver
d’un mariage simulée ou simulée.
 Les collatéraux des futurs époux, les frère et sœur, oncle et tante et cousin germains
peuvent faire oppositions que dans cas déterminée dans l’article 174 du Code Civil
soit parce que le conjoint est dément soit lorsque le futur conjoint est un mineur ayant
obtenue le conseil de famille.

En second lieu elle doit répondre a des conditions de forme selon l’article 66 et 176
du Code Civil. L’opposition peut être exercer par le commissaire de Justice au moyen
d’un acte extra judiciaire.

b. Les effets de l’opposition :

Lorsque les oppositions est régulière (conditions de fond et de la conditions de forme


réunis), l’opposition au mariage est exercée pendant un ans dans une mesure d’un ans
sauf dans les cas ou le ministère publique qui outrepasse se délai de un ans et qui peut
durer plus longtemps. Cette décision du ministère peut être révoquée dans les cas ou
les partie demande une main levée dans un tribunal judiciaire qui statuera dans un
délais de 10 jours pour le lever ou non.
➢ Si cette opposition n’est pas fondée, elle pourra être lever par le tribunal et
donc il peut y avoir es dommages et intérêt. Condamnation possible pour les
personnes ayant une intention de nuire sauf les parents et ascendants.
Dans l’hypothèse ou l’opposition est irrégulière, notamment pour la bigamie. Cet
oppositions peut avoir une valeur d’avis officieux porter a la connaissance du
ministère publique, d’officier d’État civil, … Qui peut avoir pour conséquence une
action du ministère publique.

3° Les formes de la célébration du mariage :

En premier lieu tant qu’au lieu de la cérémonie, elle doit avoir lieu à la mairie de la
commune du domicile ou de la résidence habituelle, de l’un des époux ou de l’un des
parents des époux. Encore faut-il qu’il ait une durée actuel d’au moins 1 mois.

28
Deuxièmement tant qu’au moment, le mariage doit être célébré après le délai de 10
jours et doit être célébrée à la date et l’heure fixée par les époux. Ce mariage doit être
célébrée avant toute cérémonie du culte, et si le mariage du culte est célébrée avant la
cérémonie civil il s’expose à une peine.
 La forme :
▻ Art 75 du code civil, le mariage est célébré publiquement c’est-à-dire que la mairie
doit avoir la porte ouverte et doit être effectuer par un officier de l’État civil en
présence au minimum de deux témoin et au maximum de quatre. En présence
obligatoire des deux époux, il n’y a point de procuration en matière de mariage 146-
1. Avec une exception selon l’article 96-1 pour les militaires et les marins qui sont
opérations. L’officier de l’État civil doit lire certaines dispositions du code civil
notamment les articles 212 à 215 du Code civil qui gouverne les droits et les devoirs
des époux, mais aussi l’article 371-1 du Code civil qui intéresse l’autorité parental.

▻ Une fois ces dispositions lu, l’officier les interroge afin de savoir si les futurs
époux ont passer un contrat de mariage, selon lequel il organise leur rapport
patrimoniaux. Si les époux ne passe pas de contrat de mariage, on appliquera le
régime matrimonial de droit commun. Une fois la réponse obtenue, l’officier
publique mentionnera dans l’acte d’état civil de la confection d’un acte de mariage ou
non. Ce contrat de mariage a un effet sur les créanciers des futurs époux, par
conséquent interpeller les époux est crucial pour la garantie de la publicité du contrat
au tiers.

▻ L’officier de l’État civil va solliciter le consentement des époux au mariage et si


d’aventure l’un des époux voir les deux il faut l’autorisation des parents. Cet réponse
doit être clair et simple, il proclame que les époux sont unis par les liens du mariage
au nom de la loi et immédiatement l’officier de l’État civil va dresser l’acte de
mariage ont le contenu est clairement gouverner par l’article 76 du Code Civil. Il
permet d’un part la publicité du mariage et d’autre part d’un moyen de preuve du
mariage.

□ Mariage : Institution et le Contrat qui permet d’engager une union entre deux
personne.
□ Contrat de mariage : Organisation du bien de régime matrimonial pour les époux
pendant la cérémonie des époux ou futurs époux.
□ Acte de mariage : Acte de l’État civil dresser contenant les différentes mention
obligatoire qui permet de prouver le mariage entre tel personne, le lieu, la date.

Pour autant il y existe des exceptions au règles de principes qui gouverne la


célébration du mariage.
• Le mariage posthume = mariage avec un mort.
→ Mariage en temps de guerre ou lorsqu’il y a une opération militaire à l’étranger. Si
le soldat est mort sur le front et avait donner le consentement au mariage à l’Officier

29
d’État civil ou un agent diplomatique, sont mariage pourra être célébré a deux
conditions.
✗ Motifs Grave, c’est-à-dire en cas de grossesse
✗ Autorisation conjointe du ministre de la justice et de la défense
• Issus d’un fait divers eu lieu en 1969
→ Un barrage avait rompu qui a fait 423 morts et en l’occurrence ce fait à laisser une
femme seul et enceinte. Le législateur a voulu réglementer ce cas de mariage avec
l’ordonnance du 31 décembre 1969 en intégrant un article 171 qui autorise le
président de la république à permettre le mariage posthume en cas de pré-décès des
futurs époux à conditions.
✗ Motifs Grave, c’est-à-dire en cas de grossesse
✗ Des éléments de fait puissent attester le consentement non équivoque au
mariage qu’aurait donné le défunt.
Donner la qualité d’enfant légitime à l’enfant à naître, il a des effets limité en ce
qu’en ses dispositions de l’alinéa 3 de l’article 171 du Code civil dispose qu’il n’y a
pas d’effet patrimonial et pas d’effet de succession dans le but d’éviter le mariage
intéresser.

B. La preuve de la célébration du mariage :

1° La preuve d’un acte solennel : la preuve par l’acte civil :

L’article 194 du Code Civil pose le principe « Le mariage est prouvé, il est prouvé
par la production de l’acte de mariage le mode de preuve prévue réside par l’acte de
mariage » En principe ce qui sera produit est une copie de l’original, c’est un extrait
du registre de l’État civil dans lequel se trouve l’acte de mariage. Dans le cas qu’il
soit perdu ou détruit dans le cas de force majeure, ou alors dans l’hypothèse ou ils
étaient négliger par l’officier d’État civil. L’article 46 du Code Civil prévois un mode
de suppléance, si la preuve est rapporté de la perte, si le fait de la destruction ou de la
négligence si ce fait est rapporté alors la preuve du mariage pourra alors à son tours
être administré librement. La seconde preuve est la seconde de l’existence du mariage
par le principe de preuve libre.

2° La preuve d’une situation de droit : la preuve par la possession


d’État :

Dans des circonstances exceptionnel, la preuve du mariage pourra être administré par
la possession de l’État. Elle correspond dans lequel deux personne se considère
comme légitimement marié et sont considérer par les tiers par marié. La possession
d’État peut donc être invoquer par différentes personne.

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D’abord les époux peuvent se prévaloir de la possession de l’État lorsque le mariage
est nul dans la forme et en l’occurrence lorsque l’acte de mariage est irrégulier. Cet
irrégularité pourra être couverte par la possession d’État autrement dit pour prouver
la présence d’un mariage les époux pourront prouver un acte irrégulier et de le
compléter par la possession de l’État. Elle a vu sont domaine étendu par la
jurisprudence, elle lui a conférer la valeur de règle de fond. Initialement la possession
de l’État n’a qu’une fonction probatoire en apportant l’existence du mariage. La
jurisprudence dès 1930 à également interpréter cet règle comme étant en plus une
règle de fond c’est-à-dire que si le mariage lui-même dans sa formation souffre d’une
irrégularité pourra être couverte par la possession de l’État. C’est dans un but de
sauver un mariage qui n’a pas respecter les règles de formes.

Les enfants eux même peuvent se prévaloir de la possession de l’État dur le


fondement 97 du Code Civil, en effet les enfants dont les deux parents sont mort
peuvent faire valoir la qualité de gens marier de leur parent pré-décédée dans le
fondement de la possession de l’État. Encore faut -il que cet enfant se considére et
proviens d’un mariage et donc d’un acte légitime.
Si les parents sont prédécéder, il faut d’abord rapporter la preuve de possession d’un
enfant légitime et ensuite on peut rapporter la preuve que nos parents se considère
comme marier et donc qu’ils sont marier.

Enfin, pour les tiers le mariage est un acte étrangers la preuve est donc libre, ils ne
sont pas tenu pour les preuves de règles différentes. Il peuvent alors apporter le
moyen de preuve librement.

III°/ Les sanctions des conditions de formations : l’annulation du mariage :

Comme tout acte juridique, le mariage est soumis a des conditions de formation et
comme tout acte, le défaut peut conduire à l’anéantissement du mariage et du rapport
de droit. C’est une annulation car il faudra un jugement, toutefois il existe des
exceptions car parfois la sanction ne sera que d’ordre pécuniaire et parfois la sanction
réside dans l’annulation. Certaines conditions d’empêchement du mariage sont les
empêchement dirimant, c’est l’annulation du mariage ou bien l’empêchement
prohibitif, elle consistera a une sanction d’ordre pécuniaire.

Certaines conditions de formation de mariage sont prohibitif en ce que l’on prohibe la


célébration du mariage en principe l’officier de l’État civil n’aurait pas du célébrer le
mariage. Si le mariage est célébré, ce mariage reste valable et n’est pas annulable, en
tel cas seul une sanction d’ordre pécuniaire pourra être formuler.
• Article 63 du Code Civil s’intéresse à l’absence de remise des pièces par les
époux et sans aucun entretien préalable.
▪ Si le mariage est célébré le tribunal judiciaire pourra prononcer une
amende civil de min 3€ et 30€ max

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• Article 68 du Code Civil s’intéresse à l’interdiction du mariage alors qu’une
opposition à mariage non fondé a été faite et ne s’appuie sur aucun moyen
légitime.
▪ Si le mariage est célébré l’officier de l’État civil encours 3000€ max et
des dommages et intérêt complémentaire
• Article 192 du Code Civil s’intéresse à l’absence de la publication des bans et
que le mariage est célébré avant le délai de 10 jours a partir de la publication
des bans.
▪ Si le mariage est célébré le procureur de la république peut prononcer
une amende à l’officier de civil de 4,5€ au maximum. Pour les époux en
revanche l’amende sera proportionné a leur fortune.
◦ Cependant si elle révèle l’existence d’une fraude car celui ci
n’aurait pu être célébré, la sanction sera l’annulation du mariage.

Par ailleurs, il deviens de relever que certaines erreurs ne font pas objet de sanction,
par exemple l’oublie de l’état civil d’un des articles qu’il doit lire. Et bien une
mauvaise lecture, une légère irrégularité dans l’acte de mariage ne conduit pas a une
annulation de mariage.

A. Les cas d’annulation du mariage :

Tronchet : « Jamais le mariage est nul de plein droit, il y a toujours un titre et une
apparence qu’il faut détruire ». Il n’y a a pas de nullité ~ de lege ~, il faut forcément
passer par un juge. Pour annuler encore faut-il qu’il y a ait une apparence de mariage,
il n’y aura même pas lieu a annulation si il n’y a même pas eu lieu once à célébration.
La concubine qui vivraient ainsi des année pourraient ensuite solliciter l’annulation
de mariage si il n’y a que la vie commune. L’inexistence du mariage montre qu’il n’y
ai eu aucun élément qui laisse laisser a croire qu’il y ait un mariage. Dès lors qu’il y a
eu ce minimum alors si ce mariage est mal formé, il pourra être annuler et il sera
frapper de nullité.

1° Les cas dit de nullité absolue :

a. les hypothèses :

Le code civil retiens sept cause de nullité absolue parmi elle quatre correspond les
conditions de fond du mariage et trois intéresse les conditions de forme du mariage.
Les conditions de fond du mariage article 184 du Code Civil :
1. L’impuberté :
2. Absence total de consentement, comprenant la fraude au mariage :
3. La bigamie :
4. L’inceste :

32
Les conditions de forme du mariage article 184 et 191 du Code Civil :
1. Si le mariage est célébrée en l’absence d’un ou des deux époux, ce mariage est
nul même si il y a une procuration.
2. La clandestinité du mariage, lorsque le mariage n’est pas célébré publiquement
sans circonstance exceptionnel, en mairie porte fermer.
3. L’officier de l’État civil est incompétent et que cet incompétence soit ~ ratione
loci ~ pas officier de la mairie choisis ou bien une incompétence ~ ratione
personae ~ il n’avais pas la qualité d’État civil.

Pour le cas de la clandestinité et de l’incompétence, la jurisprudence ne retiens que la


nullité absolue que lorsque la clandestinité et l’incompétence est un signe apparent de
l’iceberg ou se dissimule une fraude au mariage. Affaire des mariages de Mont-
Rouge : Une personne qui était un conseiller municipal sans qualité d’officier d’État
civil vivait mal de cet impossibilité et a donc décider de célébrer les mariages.

b. L’action dite en nullité absolue :

1. Les personnes en droit de demander la nullité


absolue :

En principe lorsque il y a nullité absolue toute personne intéressé y compris le


ministère publique peuvent interagir. Le droit positif a réglementer avec rigueur la
question des personnes qui peuvent réagir en trois ensemble distinct.

 Certaines personnes peuvent agir quelque soit leur intérêt :


• Conjoint : Celui qui conclut le mariage ou le conjoint d’un premier mariage
qui n’est pas bigame
• Des ascendant : Ils seront privé du droit d’agir pour impuberté lorsqu’ils
auront donné leur consentement au mariage. Elle se limite a la personne
consentie et se limite à l’objet du consentement la minorité.

 Certaines personnes peuvent agir selon un intérêt pécuniaire né et actuel :


• Les enfants d’un premier lit et les collatéraux peuvent agir en nullité absolus
dès lors qu’il rapporte la preuve d’un intérêt pécuniaire né et actuel. C’est-à-
dire dès lors qu’il on intérêt de la succession des parents.
• Les créanciers des époux, en effet ils peuvent agir en nullité de mariage lorsque
le mariage est essentiellement a travers du régime matrimonial menace la
créance. Il doit donc démontrer un intérêt pécuniaire né et actuel
• Le ministère publique a la faculté d’agir en nullité absolue en mariage lorsqu’il
y a violation d’une des sept conditions d’empêchement dirimant mais ne peut
exercée que du vivant des époux.

2. Le régime de l’action en nullité absolue :

33
Le délai de nullité absolue et de cinq ans toutefois en matière de mariage selon les
article 184 et 191 du Code Civil l’action se prescrit au bout de 30 ans car c’est un
acte grave. A recours de ce qui ce pratique en matière général, cet action peut faire
l’objet d’une confirmation, en principe elle ne peut pas faire l’objet d’une
renonciation d’agir en nullité absolue toutefois en matière de mariage il existe une
exception. Certaines ex nullités admettent la confirmation.
 Exemple : Pour le cas de l’impuberté, dans le cas ou l’un des parents
autorise la célébration du mariage, cela vaut une renonciation d’agir en nullité
absolue du mariage pour impuberté. Les parents se sont interdit d’agir en nullité
absolue pour des raisons d’impuberté.
 Exemple : En cas de clandestinité et d’incompétence les époux peuvent
renoncer à agir en nullité absolus de ce mariage en faisant valoir la possessions d’État
d’époux.
Elle n’engage que les auteurs, et n’engage pas les autres personnes qui garde leur
droit de nullité absolue.

2° Les cas dit de nullité relative :

a. Les hypothèses :

Il existe que deux empêchement dirimant qui sanctionne la nullité relative, ce sont
des nullité de protection de personne.
1. Le cas de vice du consentement : Ce sont l’erreur, dol, violence
2. Le défaut d’autorisé donné par un mineur par les parents

b. L’action dite en nullité relative :

1. Les personnes en droit de demander la nullité


relative :

La nullité relative est une nullité de protection de la personne par conséquent si elle
protégé la personne le titulaire de l’action est évidement celui qui est protégé. En
principe seul celui qui est protéger peut suivre cet action. Lorsqu’il y a nullité du
mariage pour vice du consentement, l’action appartient à l’époux dont le
consentement a été surpris toutefois par exception au principe le ministère publique
peut également agir en nullité relative dans le cas particulier de la violence et plus
particulièrement quand il y a un mariage forcé. L’on peut craindre que le
consentement contraint sois toujours sous effet. De même en principe l’action en
annulation relative du mariage qui a été célébré sans l’autorisation des parents du
mineur, cet action appartient logiquement à la personne protégé. Cependant ce
principe connaît exception, sont également titulaire de l’action les parents. On peut

34
craindre que le mineur est toujours sous l’influence qui contraint a se marier sans
l’accord des parents.

2. Le régime de l’action en nullité relative :

Il s’applique normalement en matière de mariage tant sur le délai de prescription que


sur le délai de confirmation, c’est-à-dire la renonciation à agir. D’abord la nullité
relative est prescrite par principe dans un délai de 5 ans qui est le délai retenue
généralement dans le droit pour la prescriptions à l’article 2224 du Code Civil, ce
délai est de 5 ans. Pour l’absence d’autorisation parental est un délai de 5 ans aussi
prévue dans l’article 183 du Code Civil.
~ Dies a quo ~ : Jour de départ de la prescriptions
• Pour le mineur : à partir de l’âge de la majorité
• Pour les parents : à compté du jour du mariage célébré
Ensuite, la question de la confirmation signifie que le titulaire à l’action peut
renoncer à agir. Cependant cet confirmation prend une forme particulière lorsqu’il
s’agit de la confirmation d’un mariage célébré sans l’autorisation parental. En effet
dans l’hypothèse de la nullité relative, le mineur peut confirmer le mariage mais il ne
renonce que pour lui même. Dans la situation inverse ou les parents confirme le
mariage et que le mineur ne veut pas confirmer le mariage. Si un seul des parents a
confirme que ce passe t-il, la confirmation d’un parents empêche t-il un parent ou le
mineur ou biens les deux ? Il apparaît que la confirmation pour le défaut
d’autorisation parental a une une nature particulière, c’est-à-dire que la confirmation
n’est pas uniquement une renonciation à l’action. La confirmation est une ratification
a posteriori du mariage, ils auraient du la donner plus tôt. Si les deux parents
confirme le mariage, il donne en réalité une autorisation au mariage et par conséquent
le motif d’annulation disparaît et le mariage est autorisé et le mineure ne peut plus
agir. Le dissentiment vaut consentement, l’accord d’un seul parent dépasse le
désaccord de l’autre et le mineure et l’autre parents ne peuvent pas agir.

B. Les effets de l’annulation du mariage :

L’annulation du mariage veut dire l’anéantissement du mariage, par une pure fiction
le droit fait comme si le mariage n’avait jamais été célébrée. Le mariage n’existe plus
de la réalité juridique, il fait disparaître le mariage pour l’avenir et pour le passer. La
disparition rétroactive du mariage peuvent avoir des conséquences injustes et
excessives pour l’un des époux et en particulier pour l’époux qui a cru a la validité du
mariage. Dans certains cas lorsque les époux ou l’un des époux est de bonne fois,
l’annulation du mariage n’auras pas d’effet dévastateur qu’est la rétroactivité.
1° Les effets à l’égard des époux :

Une fois le jugement d’annulation rendus, il répute les époux comme n’ayant jamais
été marier mais plutôt comme ayant été concubin. L’article 201 du code Civil, pour

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ne pas pousser la rétroactivité jusqu’au limites, la juridictions a admis l’institution du
mariage putatifs.

a. Les conditions du mariage putatif :

Pour que le mariage soit reconnus par décision de justice, il conviens que deux
conditions soit réunis, il conviens que l’époux qui en appel de la putativité, il
conviens que cet époux soit de bonne fois. Il n’est pas impossible que les deux époux
ait été de bonne foi. La bonne foi c’est la croyance légitime dans la croyance en la
validité du mariage, elle fait l’attention du droit français autrement dit par une
disposition général du code civil, la bonne fois est présumé. Il s’agit d’une
présomption simple dite ~ Juris Tantum ~ . L’époux qui cherche a empêcher pour lui
la rétroactivité du mariage va invoquer la bonne fois pour le juge c’est à l’autre partie
qui conteste la bonne fois de détruire cet présomption simple.

Il faut qu’il y ait au moins une apparence au mariage et l’on peut s’interroger si on
peut croire légitimement qu’on est marier sans célébration ? Il faut quand même un
minimum de forme pour le mariage.

b. Les suites du mariage putatif :

2° Les effets à l’égard des enfants :

Chapitre II°/ Les effets du mariage :

Section I°/ Les devoirs des époux :

I°/ Les devoirs de communauté des époux :

A. Le devoir de fidélité :

B. Le devoir de respect :

C. Le devoir de communauté de vie :

1° Le devoir de communauté de toit :

2° Le devoir de communauté de lit :

3° Le devoir de communauté d’affection :

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II°/ Les devoirs d’entraide des époux :

A. Le devoir d’assistance :

B. Le devoir de contribution aux charges du mariage :

1° Obligation :

2° Répartition :

C. Le devoir de secours :

Section II°/ Les pouvoirs des époux :

I°/ Le logement de la famille :

II°/ Les pouvoirs de crise :

Section III°/ La liberté des époux :

I°/ L’autonomie personnelle des époux :

II°/ L’autonomie ménagère des époux:

Chapitre III°/ La dissolution du mariage :

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