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REPUBLIQUE DU BENIN

**●**
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA
RECHERCHE SCIENTIFIQUE
**●**
DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
**●**
UNIVERSITE AFRICAINE DE TECHNOLOGIE ET DE
MANAGEMENT GASA-FORMATION
**●**

MEMOIRE DE FIN DE FORMATION POUR L’OBTENTION DU


DIPLOME DE LICENCE PROFESSIONNELLE

OPTION : Sciences de Gestion


FILIERE : Marketing Communication et Commerce

THEME

ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE


DIGITALE D’UNE AGENCE DE COMMUNICATION :

CAS DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Réalisé par :
TOVIZOUNKOU Dossi Joëline et AVOSSE Akouegnon Maurelle

Sous la direction de :

Tuteur de stage Directeur de mémoire


Mr BOSSOU Paulin Dr Michel Comlan SEDONOU
Chef Service marketing Ens des Universités du Cames

Mai 2024
ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

COMPOSITION DU JURY

Président :

Vice-président :

Membre :

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle i


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L’UATM GASA-Formation n’entend donner ni approbation ni


improbation aux opinions émises dans ce mémoire. Ces opinions
doivent être considérées comme propres à leurs auteurs

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DEDICACE JOËLINE
A:

Toi Yvanna Marie-Aimée A. pour toutes ses joies que tu m’apportes

Ma très chère mère Agnès IKOUCHIKA

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DEDICACE MAURELLE
A:

Ma très chère mère Brigitte AVINOU

Mon mentor Adriano OLAFA

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REMERCIEMENTS
Au terme de la rédaction de ce mémoire, mes remerciements vont
particulièrement à l’endroit de :

 Dieu tout puissant pour avoir veillé sur nous et nous avoir permis d’être
ici aujourd’hui ;
 Docteur Michel Comlan SEDONOU, notre Directeur de mémoire
pour sa disponibilité, son accompagnement et son soutien dans la
réalisation de ce travail malgré ses nombreuses occupations ;
 Docteur Théophane AYI, PDG de l’UATM GASA Formation pour
nous avoir permis de faire notre formation dans de bonnes conditions ;
 Tous les enseignants pour avoir contribué véritablement à la qualité de
notre formation;
 tous les membres de l’administration pour avoir créé un environnement
de partage de connaissances et de soutien tout au long de ma formation ;
 monsieur Paulin BOSSOU, notre maître de stage, pour tout l’effort
consenti dans la rédaction de ce mémoire ;
 Au couple Cécile IKOUCHIKA et Yves AHOUANSOU, pour leur
amour et l’éducation qu’ils ne cesse de nous donner ;
 Nos frères et sœurs qui nous encouragent dans nos difficultés;
 Nos camarades de l’UATM GASA Formation avec qui nous avons
partagés nos meilleurs moments ;
 toutes les personnes que nous n’avons pu nommer et qui ont participé à
l’aboutissement de ce travail ;
 tous ceux qui d’une manière ou d’une autres nous ont aidé tout au long
de la réalisation de ce mémoire.

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SOMMAIRE

DEDICACE JOËLINE......................................................................................iii
DEDICACE MAURELLE.................................................................................iv
REMERCIEMENTS JOËLINE..........................................................................v
REMERCIEMENTS MAURELLE...................................................................vi
SOMMAIRE.....................................................................................................vii
LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS.....................................................ix
LISTE DES TABLEAUX...................................................................................x
LISTE DES GRAPHIQUES..............................................................................xi
RESUME..........................................................................................................xii
ABSTRACT.....................................................................................................xiii
INTRODUCTION...............................................................................................1
I. CADRE INSTITUTIONNEL DE L’ETUDE...............................................4
SECTION 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE............4
SECTION 2 : ENVIRONNEMENT DE L’ENTREPRISE ET ETAT DES
LIEUX DE STAGE..........................................................................................9
II. CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE L’ETUDE.......15
SECTION 1 : CADRE THEORIQUE DE L’ETUDE...................................15
SECTION 2 : METHODOLOGIE DE RECHERCHE..................................38
III. CADRE EMPIRIQUE DE L’ETUDE.....................................................43
SECTION 1 : PRESENTATION ET ANALYSE DES DONNEES.............43
CONCLUSION........................................................Erreur ! Signet non défini.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES..........................................................44
A. LES OUVRAGES................................................................................44
B. ARTICLES ET REVUES.....................................................................44
C. MEMOIRES ET THESES....................................................................45
D. SITES INTERNET...............................................................................45
E. INTELLIGENCE CONVERSATIONNEL ARTIFICIELLE..............46
ANNEXES........................................................................................................47
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TABLE DES MATIERES.................................................................................53

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LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS

ATAWAD : Any Time Any Where Any Device


CPA : Cout Par Acquisition
DAF : Direction Administrative et Financière
DAO : Dossier d’Appel d’Offre
DG : Direction Générale
GAC : Global Africa Consulting
GPS : Global Positioning System (Système Mondial de Positionnement)
HTML : Hypertext Markup Language
HTTP : HyperText Transfer Protocol
MS Project : Micro Soft Projetct
NTIC : Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication
RH : Ressources Humaines
SBEE : Béninoise d’Entreprise Electrique
SEA : Search Engine Advertising
SEA : Search Engine Advertising
SEM : Search Engine marketing
SEM : Search Engine Marketing SEM
SEO : Search Engine Optimization
SMO : Social Media Optimization
SONEB : Société Nationale des Eaux du Bénin
SPSS : Statistical Package for the Social Sciences
UATM : Université Africaine de Technologie et de Management
URL : Uniform Resource Locator
www : World Wide Web

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LISTE DES TABLEAUX

Tableau 1: Avantages et limites de la publicité en ligne...................................20


Tableau 2 : Avantages et limites des réseaux sociaux.......................................23
Tableau 3 : Avantages et les inconvenants de l’affiliation................................27

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LISTE DES GRAPHIQUES

Figure 1 : Taux de pénétration d’internet dans le monde par zone géographique


...........................................................................................................................16
Figure 2 : Nombre d'utilisateurs de sites de réseaux sociaux............................23
Figure 3 : Utilisation des réseaux sociaux en marketing...................................23
Figure 4 : Fonctionnement de l’affiliation........................................................27

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RESUME
Depuis les années 2000, l'entreprise dans tous ses secteurs d'activité et
partout dans le monde, a été fortement touchée par l’évolution rapide de la
technologie numérique et d’Internet. L'utilisation d'Internet et des nouvelles
technologies numériques a permis aux entreprises de bénéficier de nouveaux
leviers de croissance. Si certaines entreprises ont très vite pris en compte les
nouvelles opportunités qui s’offrent à elles, d’autres, en revanche, y rechignent
encore. Pour l’entreprise, le premier pas vers le digital consiste en le
déploiement de stratégie de communication en ligne et de l’utilisation de
nouveaux canaux de communication notamment via les réseaux sociaux. De
nouvelles habitudes de consommation ont eu un impact sur les stratégies de
communication et de marketing des entreprises au niveau des directions des
entreprises en vue d’établir auprès des consommateurs une image de marque,
de transparence, d’innovation, etc.

A travers une étude menée dans une agence de conseil en gestion, nous avons
tenté d’analyser l’efficacité de la stratégie de communication digitale dans une
entreprise.

Mots clés : Transition numérique ; Communication digitale ; Image de


marque ; Concurrence ; Marketing.

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ABSTRACT
Since the 2000s, the company in all its business sectors and around the
world has, been strongly affected by the rapid evolution of digital technology
and the Internet. The use of the Internet and new digital technologies has
enabled companies to benefit from new growth drivers. While some companies
have quickly taken into account the new opportunities available to them, others
still balk at them. For the company, the first step towards digital is the
deployment of online communication strategy and the use of new
communication channels, particularly via social networks. New consumer
habits have had an impact on the marketing and communication strategies of
the management of the companies with a view to establishing a brand image,
transparency, innovation among consumers...

Through a study carried out in a management-consulting agency, we attempted


to analyze the effectiveness of a company's digital communications strategy.

Keywords: Digital transition; Digital communication; Business image;


Competition; Marketing.

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INTRODUCTION
Le monde actuel vit une cadence de changement rapide caractérisé par une
mondialisation complexe et un avancement technologique sans précédent. Le
développement relatif à la technologie de l'information et de la communication,
notamment l’internet et la technologie des Smartphones, constitue un défi majeur
pour les entreprises d’aujourd’hui. Cette révolution a entraîné plusieurs
changements dans le monde des affaires, plusieurs concepts sont apparus tels que
l’économie digitale, l’e-business, et l’e-commerce.

Tous ces changements technologiques ont une influence directe sur la façon de
partager d’informations et des moyens de communication puisque cela a
chamboulé les modèles traditionnels de communication classique des entreprises.
Les entreprises faisant partie de cet environnement changeant sont appelées à
relever les nouveaux défis et à s’acclimater à ce nouvel environnement pour se
différencier face à la concurrence. Le marketing n’était pas loin de ces
changements, le passage du marketing traditionnel à celui dit 2.0 a signifié la fin
d’une communication unidirectionnelle de l’entreprise vers ses consommateurs en
faveur d’une communication digitale qui favorise le dialogue avec et surtout entre
les consommateurs et qui dicte de nouveaux usages, de nouvelles façons de «
consommer » l’information et les contenus publicitaires.

Les médias sociaux sont un processus récent mais qui a pris une ampleur sans
précédent avec l’avènement des outils du Web 2.0 permettant à tout un chacun de
créer et publier du contenu sur ces nouveaux espaces d’échange. Les marques, au
cœur de ces échanges, comprennent la nécessité d’utiliser à bon escient les
capacités des médias sociaux dans leurs stratégies de communication.

Les entreprises se posent de nombreuses questions afin de planifier leurs présences


sur le web pour s’approcher de plus en plus de leur client actuel et potentiel.

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Beaucoup d’entreprises se sont penchées sur le sujet et ont vraiment adopté le


digital dans leur développement qui fait dorénavant partie intégrante de leur
stratégie de communication et de leurs objectifs. De nouveaux types de postes se
sont même crées, propres au numérique, La véritable question est de déterminer la
manière de l’utiliser et de l’adapter au secteur.

Les moyens de communication ont évolué et les entreprises ont bien compris
qu’une présence sur la toile et les supports digitaux est un atout concurrentiel
majeur, notamment depuis l’apparition des réseaux sociaux. Les rênes du pouvoir
ont changé puis qu’aujourd’hui les internautes ont la possibilité de créer, publier,
échanger et partager très facilement partout et à tout temps avec le reste du monde.

Par le biais de ce mémoire, nous essayerons de répondre aux nouveaux


challenges de la communication digitale, et ce en essayant de répondre à la
problématique suivante : « comment analyse l’efficacité de la stratégie digitale
d’une agence de communication ; cas particulier pour l’agence de conseil en
gestion ‘‘GAC’’ ? ».

Cette agence, par sa nature même, opère à l’intersection entre la communication, le


marketing et le commerce, et joue un rôle crucial dans la façon dont ses clients
sont perçus dans le monde numérique en expansion.

À travers cette étude, nous chercherons à comprendre dans quelle mesure la


stratégie digitale mise en place par l’agence GAC parvient à atteindre ses objectifs
de communication et de promotion pour ses clients. En examinant en détail les
différentes composantes de cette stratégie, nous espérons fournir des insights
précieux pour améliorer les pratiques et optimiser les résultats dans un
environnement numérique en constante mutation.

Dans cette optique, notre travail de recherche adoptera une approche


méthodologique rigoureuse basé sur un plan tripartite, articulée autour de l'analyse

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du cadre institutionnel, du cadre théorique et méthodologique, ainsi que du cadre


empirique de l'étude.

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Chapitre 1
I. CADRE INSTITUTIONNEL DE ETUDE
Dans ce chapitre, nous allons faire une présentation générale de l’entreprise à
travers son historique, sa structure organisationnelle, son environnement ainsi qu’à
l’état des lieux.

SECTION 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE


Dans cette section, nous présenterons l’historique et les activités de l’entreprise
d’une part et la structure organisationnelle et l’environnement d’autre part.

Paragraphe 1 : Historique et activités


A. Historique
Global Africa Consulting (GAC) est une Agence Conseil en Gestion créée en
2020 par un groupe des professionnels en gestion et en informatique.

Le Cabinet a pour vocation de proposer aux personnes physiques et morales une


suite complète des solutions concernant leurs besoins ou activités. Ainsi GAC
développe six (06) pôles de services à savoir la formation, le conseil, l’étude, le
placement les travaux académiques et la communication multimédia

Elle est située dans le département de l’Atlantique précisément dans à Mènontin, à


coté du Canal 3. Sa position la rend très accessible et facilite l’obtention de ses
services.
Elle a à son actif plusieurs clients qui lui font entièrement confiance grâce à la
qualité des prestations due au dynamisme du personnel.

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B. Mission
Les missions de GAC tournent essentiellement autour des points suivants :

- guider toute entreprise dans la mise en place d’une stratégie visant à


développer son image à travers des actions de communication qui peuvent
être internes auprès des salariés, ou externes, à destination d’un public
particulier ou du grand public ;
- mettre en place un plan de communication pour le compte de l’entreprise
cliente (détermination du public cible, du type d’action à mettre en place,
des techniques et supports utilisés, etc.) ;
- augmenter l’employabilité des étudiants à travers des formations pratiques
orientées métiers ;
- assurer le placement des étudiants ;
- monter des projets ;
- réalisation des plans d’affaires ;
- aider toutes structures à réaliser les études dans les domaines spécifiques de
la gestion, de l’environnement, de la sociologie etc.

GAC offre au grand public, des services fiables et très compétitifs.

C. Objectifs
L’objectif de GAC est de pouvoir combiner les meilleures compétences utiles, et
constituer une équipe dynamique incontournable en fonction de chaque
problématique. Cette adaptabilité est la meilleure garantie d’un rapport
efficacité/prix véritablement optimisé.

Ses objectifs spécifiques sont :

- détenir une forte position sur le marché des Conseil en Gestion au Bénin et
dans la sous-région ;
- satisfaire la clientèle à travers ses diverses prestations ;

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- améliorer les coûts de productivité et de performance de l’entreprise grâce à


un système efficace d’information de gestion de rendement ;
- contribuer au développement des technologies de l’information et de la
communication ;
- promouvoir l’investissement de son personnel par des formations pratiques
et ponctuelles ;
- participer au développement économique du peuple béninois.

D. Activités
Les activités de GAC sont regroupées en pôle à savoir : Formations, Conseils,
Etudes, Placements, Travaux académiques.

1. Les formations
Le cabinet offre des formations permettant d’obtenir des Certifications en ligne,
de maitriser les logiciels spécifiques tels que (SPSS, MS Project, Epi data, Epi
info, Sphinx SAGE Saari, etc.) pour augmenter l’employabilité et de maitriser
l’Anglais.

2. Les conseils
Le cabinet apporte des appuis conseils par des séances en :

- éducation sociale des filles ;


- orientation et choix des filières (à travers les tests d’aptitude) ;
- coaching et développement personnel ;
- conseil juridique et fiscal ;
- conseil stratégie ;
- appui en management de la performance ;
- audit financier et des ressources humaines ;
- appui conseil en gestion du patrimoine ;
- soutien psychologique ;

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- etc.

3. Les études
Le cabinet conduit des études telles que :

- les prestations intellectuelles (DAO) ;


- la rédaction des plans d’affaires ;
- l’élaboration du plan de communication ;
- les études de marché ;
- la prospection ;
- Autres études spécifiques.

Paragraphe 2 : Structure organisationnelle et ressources


A. Structure organisationnelle
1. Direction Générale
GAC est dirigée par un Directeur Général. Celui-ci est chargé de gérer la
structure ; de donner son accord dans les prises de décisions ; de définir des
stratégies de développement de l’agence ; d’ordonner et d’apprécier le budget
annuel de l’agence dont il veille à l’exécution tant en dépenses qu’en recettes.

2. La Direction Administrative et Financière (DAF)


Le Directeur Administratif et Financier assure la gestion administrative et
financière du cabinet. Il a pour tâches de :

- recevoir les courriers, les revendications et divers ;


- veiller au respect de la discipline ;
- définir les critères de performance ;
- assister le directeur exécutif dans la mise en œuvre des tâches ;
- s’occuper de la gestion de la trésorerie ;
- produire des états de synthèse.

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3. La Direction Exécutive et Commerciale


Le Directeur exécutif et Commercial veille à la mise en œuvre des opérations. Il
est assisté par un collège d’experts pluridisciplinaires. Il a pour tâches :

- d’exécuter des programmes d’action ;


- de maîtriser des engagements ;
- d’élaborer la politique commerciale de l’agence ;
- de gérer la force de vente ;
- de prospecter ;
- de gérer la clientèle ;
- d’élaborer des plans de communications ;
- de réaliser des campagnes publicitaires ;
- de rechercher des partenaires ;
- d’évalue des prestations fournies.
- etc.

L’organigramme de GAC se présente à l’annexe.

B. Ressources
1. Les ressources humaines
Le personnel de GAC est composé de douze (12) agents dont cinq (05)
permanents et sept (07) experts dont les domaines de compétence sont variés.

2. Les ressources matérielles


GAC dispose de fournitures de bureau ainsi que du matériels informatiques
nécessaires pour son bon fonctionnement. Au nombre de ces fournitures de bureau,
nous pouvons citer le mobilier de bureau composé de fauteuils, des tables bureaux
et des chaises, des agrafeuses, un perforateur, etc.

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Quant aux matériels informatiques, ils sont composés, d’ordinateurs portatifs,


d’ordinateurs de bureau, des imprimantes, de scanner, des photocopieuses.

3. Les ressources financières


Les ressources financières de GAC proviennent entre autres des diverses
prestations qu’elle offre à ses clients. Elle a aussi recours à la banque afin de
bénéficier des découverts bancaires pour la mise en œuvre de certaines prestations.
Enfin, GAC dispose d’un capital social d’un million (1.000.000 F) francs CFA.

SECTION 2 : ENVIRONNEMENT DE L’ENTREPRISE ET ETAT DES


LIEUX DE STAGE
Dans cette section, nous présenterons l’environnement de l’entreprise d’une part
et le bilan de stage et l’état des lieux de stage d’autre part.

Paragraphe 1 : Environnement de l’entreprise


L’environnement est l’ensemble des éléments extérieurs à l’entreprise qui
agissent sur l’entreprise et sur lesquelles elle peut avoir une influence réciproque
ou non. On en distingue le micro environnement et le macro environnement.

A. Le micro environnement
C’est l’environnement immédiat de l’entreprise. II regroupe les éléments ci-
après :

1. Les clients
Depuis plus de quatre, GAC offert ses services à plusieurs personnes physique
et morale. Il dispose d’un catalogue varié de client composée des entreprises telles
que NYC SARL, EDT Group, Ministère des Finance (Cartographie des risques),
etc…

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2. Les fournisseurs
Il s’agit ici des entreprises, sociétés et structures privées ou étatiques qui
fournissent diverses prestations à GAC. II s’agit entre autres de la Société
Béninoise d’Entreprise Électrique (SBEE), la Société Nationale des Eaux du Bénin
(SONEB), de SONAEC, d’ISOCEL et divers autres prestataires.

3. Les concurrents
Le marché du conseil en management et stratégie connaît une très grande
croissance. Plusieurs entreprises opèrent dans le même secteur que l’entreprise
GAC. Il s’agit de : Groupe Talent plus, OECA service, BSM Group, Synergie Plus,
etc. Il existe aussi des cabinets indépendants qui rivalisent le même marché avec
GAC.

B. Le macro environnement
Selon KOTLER et DUBOIS (2013), le macro environnement d’une entreprise
est l’ensemble des structures de la société dans laquelle elle se trouve et qui ont un
impact profond sur elle et sur lesquelles l’entreprise n’a aucune emprise. Ce sont
donc des facteurs incontrôlables auxquels l’entreprise doit s’adapter.

1. Environnement socio-démographique
La population, dont faire partir les clients, est une source potentielle
d’opportunité en termes de marché pour les entreprises ; et il est important de
connaître ses caractéristiques.

La population béninoise connaît un taux de croissance d’environ 3%. Elle est


dominée par forte population jeunes concentrée dans les zones urbaines. Ce qui
constitue une grande opportunité pour les entreprises en général et pour GAC en
particulier notamment sur le plan de la formation des jeunes.

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2. Environnement socio-économique
Toute entreprise ambitionne l'augmentation de son chiffre d'affaires, de sa part
de marché et de ses bénéfices. Cet objectif n’est facteur que d’un environnement
économique avantageux.

Au Bénin, le pouvoir d’achat de la population est faible et on observe également


un absence d’une bonne politique en matière de crédit à la consommation et aux
entreprises. Cela constitue une forte menace pour le développement des entreprises
et en particulier GAC.

3. Environnement technologique
Il fait l’objet d’une surveillance permanente. L’environnement est devenu une
composante essentielle de la compétitivité de l’entreprise et on peut même dire,
dans une certaine mesure, que l’innovation est la forme la plus « cruelle » de la
concurrence dans la mesure où elle peut aboutir à la disposition de certaines
entreprises. Le secteur informatique est un secteur qui évolue à une vitesse
impressionnante. Ainsi les changements, les améliorations et les nouvelles versions
sont toujours disponibles. Dans ce domaine, le cabinet GAC fait un grand effort
pour être à la pointe de la technologie en étant actif sur les réseaux sociaux
comme : Facebook, WhatsApp, et présente sur les plateformes de formations en
ligne et en acquérant les outils et technologies modernes.

Paragraphe 2 : Du bilan de stage au choix de la problématique


A. Déroulement du stage, travaux exécutés et difficultés rencontrées
1. Déroulement du stage
Nous avons effectué un stage de deux(02) mois allant du mercredi 17 Février au
vendredi 19 avril 2024. Quand nous avions commencé, nous avons été très bien
reçu par le Directeur Général de GAC, qui est notre directeur de stage. Après nous
avoir souhaité les bienvenus, il nous faire visiter les locaux de l’entreprise afin de

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nous présenter aux autres membres de l’entreprise ; ce qui nous a permis de nous
familiariser avec les responsables et d’autres stagiaires de l’entreprise. Ensuite il
nous a entretient sur l’historique de l’entreprise, ses valeurs, ses objectifs et les
activités menées et les objectifs attendus de nous

2. Travaux exécutés
Les travaux que nous avons exécutés lors de la période de notre stage ont pour
objectifs de nous permettre de toucher de connaître et de nous adapter au milieu
professionnelles. Ces travaux sont relatifs aux départements et services parcourus.
Nous avons :

- accueillir et les clients et répondre à leur demande


- prospecter de nouveaux clients
- gérer les tâches administratifs courantes (courriels, classement et archivage)
- assister les autres responsables
- élaborer les dossiers d’appel d’offre
- réaliser un publipostage à l’endroit des clients
- préparer des comptes rendus de réunions
- faire des photocopies
- participer à des formations
- réaliser des plaquettes publicitaires pour l’entreprise
- etc…

3. Les acquis et les difficultés


a. Les acquis
Au cours de notre stage, nous avons acquis des connaissances en :

- relation client ;
- stratégies de communication; et de marketing ;
- marketing digital ;
- analyse de données ;

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- création de contenu ;
- gestion de projet ;
- Microsoft office notamment en Word et Excel ;
- négociation commerciale.

Outre ces connaissances acquises, nous avons développé des compétences


transversales en rigueur, organisation, travail en équipe set en communication
écrite et orale.

b. Difficultés rencontrées et impression globale


Bien que le stage se soit déroulé dans une bonne ambiance, nous avons faire
face à certaines difficultés au nombre desquelles :

- un rythme de travail soutenu ;


- la pression et le stress ;
- l’impossibilité d’utiliser certains matériels sensibles de l’entreprise ;
- l’indisponibilité d’avoir certains logiciels pour travailler à la maison ;
- difficultés à relier les ordres du maître de stage à ceux du maître de
mémoire.

Malgré ces difficultés, notre mission s’est déroulée dans une ambiance chaleureuse
de travail, de fraternité, et nous a permis d’améliorer notre contact avec la clientèle
et notre employabilité.

B. Inventaires des problèmes et atouts et regroupements des problèmes


par centres d’intérêts
Les forces, les faiblesses ainsi que les menaces et opportunités ont été
regroupées comme suit :

1. Atouts
Comme atouts, nous pouvons citer :

- Environnement dynamique et stimulant

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- Opportunité d’apprentissage
- Cadre adéquat
- Esprit d’équipe
- Matériel de travail adapté
- Existence de marché à exécuter

2. Problèmes
Comme faiblesses, nous pouvons citer :

- PS1 : Faible visibilité sur les réseaux sociaux


- PS2 : Non actualisation des contenus digitaux
- PS3 : Faible budget de communication digitale

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Chapitre 2
II. CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE
DE L’ETUDE
Le deuxième chapitre sera consacré dans sa section 1, le cadre théorique de
l’étude et dans sa section 2, le cadre méthodologique de l’étude.

SECTION 1 : CADRE THEORIQUE DE L’ETUDE

Nous aborderons la revue de littérature d’une part et à la présentation de la


problématique, des objectifs, des hypothèses de l’étude et du modèle de recherche
d’autre part.

Paragraphe 1 : Définition des concepts et revue de littérature


La clarification conceptuelle et la revue de littérature permettent dans le cadre de
toute recherche, de s’assurer au préalable de l’état de l’art des connaissances
acquises sur les problèmes identifiés. Aussi, cette partie se fera à travers un exposé
sur les points des connaissances liées à notre sujet d’étude.

A. Définition des concepts


1. Les concepts de la communication digitale
a. Définition d’internet
(1) « Réseau mondial associant des ressources de télécommunication et des
ordinateurs serveurs et clients, destiné à l'échange de messages électroniques,
d'informations multimédias et de fichiers. Il fonctionne en utilisant un protocole
commun qui permet l'acheminement de proche en proche de messages découpés
en paquets indépendants. »1
(2) « Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. C'est un
réseau de réseaux, à commutation de paquets, sans centre névralgique, composé
1
https://dictionnaire.sensagent.leparisien.fr/internet/fr-fr

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires,


commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés en réseaux
autonomes (il y en avait 47 000 en 2014). L'information est transmise par
Internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données,
qui permet l'élaboration d'applications et de services variés comme le courrier
électronique, la messagerie instantanée, le pair-à-pair et le World Wide Web. »2

b. Définition du web
Le World Wide Web est un système hypertexte utilisant le protocole HTTP
(hypertext transfer protocol), permettant de visiter des pages sur les réseaux
Internet, de publier et de passer directement d’un document à d’autres documents
choisis3. Les technologies à la base du web (URL, HTML, HTTP) ont été mises au
point en 1989-1990 par des chercheurs européens du CERN (Organisation
européenne pour la recherche nucléaire) intenté par Tim Berners-Lee et Robert
Cailliau.

Pénétration d’Internet
47.1%
Asia 59.5%
63.2%
Oceania 67.7%
70.8%
Latin America / Carbbean 71.5%
87.2%
North America 90.3%
0.0% 10.0% 20.0% 30.0% 40.0% 50.0% 60.0% 70.0% 80.0% 90.0% 100.0%

Pénétration d’Internet

Figure 1 : Taux de pénétration d’internet dans le monde par zone géographique


Source : http://www.internetworldstats.com/stats.html
c. Définition du marketing
Selon l’association américaine de marketing, le marketing « le marketing est
l’activité l’ensemble des institutions et des processus de création .de

2
https://fr.wikipedia.org/wiki/Internet
3
http://www.linternaute.com/dictionnaire/fr/definition/web

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 16


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

communication .de délivrance et d’échange des o offres qui ont de la valeur pour
les consommateurs ; les clients ; les partenaires et la société au sens large »4.

d. Définition du digital
Le mot digital provient du mot anglais “digit” qui veut dire chiffre et signifie
“numérique”. Le numérique est un traitement de l’information. Les outils du
numérique qui permettent de traiter l’information de nos jours sont : les
ordinateurs, les téléphones intelligents, les tablettes et les Smart TV. Avant cette
période, nous étions à l’époque analogique (TV, Radio ou magnétoscope). Le
changement de l’analogique vers numérique est appelé numérisation. L’apparition
des téléphones tactiles avec les premiers IPhone d’Apple a été un vrai déclencheur
de la révolution numérique.5

e. Le marketing digital ou le e-marketing


Selon Flaurent FLORES définit le marketing digital comme : « Le terme «
marketing digital » est apparu récemment dans le monde des professionnels du
marketing et de la communication. Il fait référence à la promotion de marques et
produits auprès de consommateurs, grâce à l’utilisation de l’ensemble des médias
et points de contacts digitaux. Le marketing digital est l’ensemble des activités
marketing d’une organisation réalisées via les canaux numériques. »6

D’après l’encyclopédie illustrée du marketing : « Le marketing digital également


couramment appelé marketing numérique désigne l’ensemble des techniques
marketings utilisées sur les supports et canaux digitaux. » Il recouvre
essentiellement les applications marketing liées à l’Internet « traditionnel », mais
également celles liées aux téléphones mobiles, tablettes, GPS et autres applications
et objets connectés. Le marketing mobile (sites mobiles + applications mobiles) y
prend une place de plus en plus importante7.

4
https://www.ama.org/aboutama/pages/definition-of-marketing.aspx
5
http://nattyseydi.com/2018/08/07/c’est-quoi-le-digital
6
FLORES (Laurent) : Mesurer l’efficacité du marketing digitale, EditionDUNOD, Paris, 2012, P.15
7
http://www.definitions-marketing.com/definition/marketing-digital

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 17


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Donc c’est une activité de base d’une organisation, au même titre que la vente ou
la production. Celle-ci a été profondément affectée par l’émergence des techniques
de traitement et de transmission des informations (télécommunications, Internet...),
plus couramment appelées « nouvelles technologies de l’information et de la
communication » (NTIC).

f. Définition de la communication digitale


« Le terme « marketing digital » est apparu récemment dans le monde des
professionnels du marketing et de la communication. Il fait référence à la
promotion de marques et produits auprès de consommateurs, grâce à l’utilisation
de l’ensemble des médias et points de contacts digitaux. »8

D’après OUALIDI Habib il définit la communication digitale ainsi « La


communication digitale est une nouvelle discipline de la communication mais aussi
du marketing. Le terme désigne l’ensemble des actions (de communication et de
marketing) visant à faire la promotion de produits et de services par le biais d’un
média ou d’un canal de communication digitale, dans le but d’atteindre les
consommateurs d’une manière personnelle, ultra ciblée et interactive. L’objectif
nouveau des entreprises est donc de cibler leurs consommateurs non plus
seulement sur le web mais à travers l’ensemble des médias digitaux ».9

2. Les leviers de la communication digitale


a. La publicité digitale
i. Définition de la publicité digitale
Le terme de publicité digitale désigne initialement la publicité effectuée sur
Internet et ses différents terminaux (ordinateurs, Smartphones, tablettes, etc.) et qui
se fait essentiellement sous forme de publicité display ou de liens commerciaux.10

8
FLORÈS, (Laurent) : Mesurer l’efficacité du marketing digitale, Edition DUNOD, Paris, 2012, p. 4.
9
OUALID (Habib) : Les outils de la communication digitale- 10 clés pour maitriser le web marketing, Edition
Eyrolles, Paris, 2013, p.19
10
http://www.definitions-marketing.com/definition/publicite-digitale

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 18


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

ii. Définition d’une campagne publicitaire


Une campagne publicitaire est un ensemble cohérent d’actions publicitaires
entreprises sur une même période et visant à promouvoir le même produit ou
service. Une campagne publicitaire peut comprendre l’utilisation de plusieurs
messages, supports et média. Une Campagne publicitaire effectué sur internet et
utilisant les nouvelles technologies de l’information et de la communication est
appelée Campagne publicitaire en ligne11.

iii. Objectifs de la Campagne publicitaire en ligne


C’est le préalable à toute action publicitaire Ce sont ces objectifs qui vont
conditionner par la suite tout le travail de création publicitaire et les choix de web-
planning. Sur Internet. Différentes natures d’objectifs peuvent évidemment être
rencontrées pour une même campagne car ces différents objectifs peuvent souvent
être complémentaires.12

 Le ‘’‘brand building’’ : Il s’agit des objectifs de notoriété de la marque, de


son offre ou de perception de la marque ou du message.
 Le trafic : nombre de visiteurs et de visites qu’un site Web reçoit. Jusqu’à
présent c’est l’objectif essentiel d’une campagne de publicité sur Internet, le
trafic étant provoqué par le clic sur le bandeau et qui va permettre d’accéder
directement au site web de l’entreprise.
 L’action: Ils consistent à vouloir provoquer une action précise de
l’internaute, sur le site de l’annonceur ou directement sur le bandeau.

iv. Types de publicité en ligne


 Display : Le display correspond aux publicités sur internet faisant appel à
des Créations graphiques (textes, images ou vidéos). Il prend plusieurs
formats : format simple et formats rich medias. Les plus importants sont : les

11
http://www.definitions-marketing.com/definition/campagne-publicitaire
12
http://www.constancias.eu/resources/media+planning+internet+2.pdf

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 19


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bannières, les habillages de site, les corners, les footers, les hockey sticks,
les interstitiels.
 La publicité vidéo : Il s’agit des publicités en ligne mais en vidéo.

v. Avantages et limites de la publicité en ligne


Tableau 1: Avantages et limites de la publicité en ligne
Avantages Inconvénients
- Cibler précisément notre clientèle aussi - Le paiement au clic
bien de par ses centres d’intérêts que - Les frais liés à la conception de
par sa localisation l’annonce, à la création de la page de
- Diversité des formats publicitaires et destination et à la durée de la campagne
leur adaptation de publicité
- Mesurer le coût par acquisition (CPA) - Faible retour sur investissement
- Obtenir les résultats en temps réel - Lourdeur administrative et de
- Le suivi et à la surveillance de la fonctionnement.
publicité sur Internet
Source : Elaboré par nos soins extrait du livre de POMMERAY (Denis) : le plan
marketing et communication digitale : préparer déployer et piloter son web
marketing, Editeur: Dunod, paris, p 114
b. Le référencement
On distingue deux types de référencements : le référencement naturel et le
référencement payant.13

i. Référencement naturel (SEO)


Le référencement naturel (SEO) est un ensemble de techniques appliquées au
site lui-même visant à améliorer l’indexation et le positionnement des sites dans les
résultats naturels des moteurs de recherche; afin d’augmenter le trafic de visiteurs
sur ce site web.14 Lorsqu’une personne effectue une recherche sur le net, les
moteurs de recherche analysent leurs bases de données et proposent à l’internaute
13
OUALIDI (Habib), op.cit, p.45.
14
THIERS (Benjamin) : digitalisez votre marque : concevoir une stratégie, optimiser sa communication, fidéliser
ses clients, 2eme Edition studirama pro gestion de carrière et efficacité professionnelle, paris, 2015

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 20


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

des sites susceptibles de répondre à sa demande. Ces suggestions sont présentées


de la plus pertinente (en tête de classement) à la moins pertinente (en queue de
liste).

ii. Référencement payant (SEA)


SEA est un acronyme pour Search Engine Advertising qui signifie littéralement
publicité sur les moteurs de recherche. Il assure une présence sur les moteurs de
recherche via l’achat de liens publicitaires, dont l’affichage dépend des mots clés
tapé par l’internaute. Il est une des deux composantes du search engine marketing
(SEM) avec le référencement naturel (SEO). SEM = SEO + SEA15

c. Les médias sociaux


i. Définition de médias sociaux
Pour Andreas Kaplan et Michael Haenlein, les médias sociaux sont : « un
groupe d’applications en ligne qui se fondent sur l’idéologie et la technologie du
net permettant la création et l’échange de contenus générés par les utilisateurs. » 16

ii. Différents types de médias sociaux


Il existe plusieurs sortes de médias sociaux. Il est complexe d’essayer de lister
les typologies de médias sociaux tant leur évolution est rapide. Les plus importants
sont17 : les forums et chats, les mondes virtuels, les wikis, les podcasts, les vidéos
on line, les blogs, les agrégateurs et les FAQ collaboratives.

d. Les réseaux sociaux


i. Définition des réseaux sociaux
Selon le livre d’OUALIDI HABIB il dit que Selon la définition de Wikipédia, «
un réseau social est un ensemble d’entités sociales telles que des individus ou des
organisations sociales reliées entre elles par des liens créés lors des interactions
sociales ». Un réseau social est orienté vers le web 2.0 c'est-à-dire qu’il permet à

15
http://www.definitions-marketing.com/definition/sea
16
http://www.viveole.fr/abonnements-internet-satellite-comet/69-reseaux-sociaux
17
LIBAERT (TH), WESTPHALEN (M-H), op.cit.pp .204.205

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 21


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

ses visiteurs d’être des participants actifs du réseau, et non plus de simples
visiteurs de pages statiques.18

ii. Objectifs marketing des réseaux sociaux


Les principaux objectifs pertinents qu’une entreprise peut atteindre grâce aux
réseaux sociaux sont19 :

 de surveiller sa réputation en ligne ;


 de développer sa notoriété de marque ;
 de générer du trafic et faire connaître sa présence ;
 d’engager la conversation ;
 créer de l’engament ;
 de prospecter, vendre et gérer sa relation client.

iii. Nombre d'utilisateurs de sites de réseaux sociaux

Utilisateurs de sites de réseaux sociaux


3.5 3.2
2.77 2.9
3 2.62
2.28 2.46
2.5 2.14
1.91
2 1.59
1.22 1.4
1.5
1
0.5
0
2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2019 2020 2021

Utilisateurs de sites de réseaux sociaux

Figure 2 : Nombre d'utilisateurs de sites de réseaux sociaux


Source : https://www.statista.com
En 2020, il y avait 2,9 milliards d'utilisateurs de réseaux sociaux dans le monde
contre 2,46 milliards en 2017. L'Amérique du Nord se classe au premier rang où
les médias sociaux sont les plus populaires. 81% de la population des États-Unis
sont des utilisateurs de ces sites, où ils passent plus de 215 minutes par semaine sur

18
SCHEID (F) ; VAILLANT (R), MONTAIGU (G), op.cit, p.147
19
JOUANNE, (A), MURAT, (O) et HOSSLER, (M) : faire du marketing sur les réseaux sociaux : 12 modules pour
construire sa stratégie social medias, Editeur Eyrolles, paris, 2014, p 3

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 22


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

les réseaux sociaux via smartphones, 61 minutes par semaine sur PC et 47 minutes
par semaine via les tablettes (statista, 2017).

iv. Utilisation des réseaux sociaux en marketing

Utilisation des réseaux


62%
60%

40%

20% 16%
9% 7% 4% 2%
0%
Facebook LinkedIn Twitter Instagram Youtube Pinterest

Utilisation des réseaux

Figure 3 : Utilisation des réseaux sociaux en marketing


Source : https://www.statista.com

v. Avantages et les limites des réseaux sociaux


Tableau 2 : Avantages et limites des réseaux sociaux
Avantages Inconvénients
- Visibilité auprès des consommateurs - Créer et développer son réseau social
- Interaction et échange avec les prend du temps : la mise à jour de son
internautes en temps réel des offres profil, la recherche de contacts, la
commerciales participation à des hubs est
- Touche un large public pour un cout consommateur de temps, à mesurer à la
moindre une des résultats obtenus.
- L’entreprise ou ses dirigeants sont
facilement exposés aux critiques, et il
n’est pas facile de les faire oublier
- Il y a un risque non négligeable de «
bad buzz », c’est-à-dire la perte de
contrôle d’un événement, de la

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 23


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

communication
Source : Elaboré par nos soins extrait du livre (COURTS (Emilie) : livre e-
marketing e-commerce : doper ses ventes pas à pas, éditeur Vuibert, paris, 2015,
p.93)
e. L’e-mailing
i. Définition
L’e-mailing est l’envoi d’un message publicitaire par email en masse. Les
entreprises y ont de plus en plus recours pour présenter leurs produits et/ou
prestations à leurs clients existants ou potentiels mais aussi comme outil de
fidélisation de ces derniers.20

ii. Typologies de campagnes


On distingue les typologies de compagne suivantes21 :

 Les campagnes d’information : Les campagnes d’information se


caractérisent principalement par un contenu fortement rédactionnel. L’e-mail
est alors utilisé comme un canal de diffusion d’information.
 Les campagnes d’incitation : Le message des campagnes d’incitation a
tendance à avoir une connotation commerciale, particulièrement dans le cas
d’un site d’e-commerce ou d’un site transactionnel. L’objectif est alors de
créer une impulsion qui va conduire à un achat ou à un lead. Si l’on se
replace maintenant au niveau de la démarche stratégique, les campagnes
d’incitation vont permettre de jouer à deux niveaux distincts de la création
de valeur : l’acquisition et la fidélisation.
 Les campagnes mixtes : Parfois, la frontière entre information et incitation
est ténue. En effet, il n’est pas rare de croiser des campagnes mixtes, c’est-à-
dire qui cherchent à la fois à informer et à inciter. Ce format mixte pourrait
être appelé « promoletter ». Il s’agit d’envoyer un e-mail couplant à la fois

20
http://www.petite-entreprise.net/P-2722-85-G1-definition-de-l-e-mailing.html
21
SCHEID (F), VAILLANT(R) et DE MONTAIGU(G), Op.cit, p.147

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 24


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

des articles d’actualité, des informations pour décrypter un type de produit et


des offres commerciales.
 Autres types de campagnes : On peut citer notamment les campagnes
d’enquête ou de sondage. Il s’agit ici de recueillir l’opinion d’un internaute.

iii. Avantages de l’e-mailing


L’e- mailing offre plusieurs avantages :

- Facilité et rapidité de mise en place


- Réactivité : les premiers résultats d’une campagne d’e-mailing peuvent être
évalués quelques jours suivant l’envoi.
- Attractivité et interactivité : ce moyen direct de joindre simultanément un
grand nombre de destinataires directement, a un bon impact et une meilleure
mémorisation par ces derniers. Ils peuvent d’ailleurs par un simple clic
accéder à une information plus détaillée grâce aux liens fournis et le rapport
avec la marque ou le produit devient actif et non plus passif.
- Personnalisation : le message s’adresse à une base de données de clients, de
prospects ou d’abonnés est plus ciblé, plus juste et plus précis et donc
d’autant plus efficace
- Flexibilité : rien n’est figé dans le texte, les images ou autres, ce qui permet
de changer à tout moment et facilement le contenu pour personnaliser le
message en fonction de la cible.
- Coût : la mise en place d’un processus d’e-mailing est en général jusqu’à
70% moins cher que l’envoi ou l’élaboration de tout autre support
publicitaire.22

22
http://www.petite-entreprise.net/P-2722-85-G1-definition-de-l-e-mailing.html

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 25


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

f. Affiliation
i. Définition
L’affiliation peut être considérée comme l’apporteur d’affaires du web. Il s’agit
d’un partenariat commercial établi entre un site éditeur et un site annonceur.
L’affiliation augmente le nombre de liens entrants et améliore la visibilité dans son
ensemble.23

ii. Principe et fonctionnement


 Principe : L’affiliation est un levier important pour le digital. Un affilieur
est un site ou une marque qui souhaite diffuser un kit de campagne le plus
largement possible. Il se met en contact avec une plateforme d’affiliation qui
joue l’intermédiaire entre les diffuseurs, également appelés affiliés, et
l’affilieur.24
 Fonctionnement : L’éditeur va diffuser auprès de son audience un message
publicitaire, sous forme d’image ou de lien qui pointe vers le site de
l’annonceur, inséré dans un article ou un encart de type publicitaire. Dès
qu’un internaute clique sur ce message via le site de l’éditeur et effectue une
action précise sur le site de l’annonceur (visite, achat, remplissage de
formulaire), ce dernier va rémunérer l’éditeur soit par une commission basée
sur un pourcentage du chiffre d’affaires généré par la vente, soit par un
montant fixe déterminé à l’avance.

23
ROCHAS (Audrey) : caractéristiqueset bonne pratique, Editions Médicilline, paris, 2016, p.37
24
MERCANTI-GUERIN (M), VINCENT (M) et PINSON (CH) : publicité digitale : programmatique.
Data.video.metiers du web, EditeurDunod, paris, 2016, p.52

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 26


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

L’affilieur : Site qui


souhaite communiquer Plateforme L’affilié : Site qui
ou faire la promotion de d’affiliation souhaite se rentabiliser.
son produit.

L’internaute qui visite le site de l’affilié va cliquer sur va


cliquer sur l’affiliation de l’affilieur et être redirigé sur son site.

Figure 4 : Fonctionnement de l’affiliation


Source : MERCANTI-GUERIN(M), VINCENT (M) et PINSON(CH) : publicité
digitale : programmatique. Data vidéo métiers du web, Editeur Dunod, 2016, p.52
iii. Avantages et les inconvenants de l’affiliation
Tableau 3 : Avantages et les inconvenants de l’affiliation
Avantages Inconvénients
- Facilité de mise en place - Les meilleurs affiliés sont très sollicités
- Faible risque financier et deviennent chers
- Un model performant - Beaucoup de sites de médiocre
- Qualité
Source : POMMERAY (Denis) : le plan marketing et communication digitale :
préparer déployer et piloter son web marketing, Editeur: Dunod, paris, p115
g. Le site web
Nous sommes à l’ère du digital. Le monde du numérique a connu une grande
révolution et créer un site internet est devenu obligatoire voire vitale pour
communiquer avec ses clients les entreprises ne peuvent plus négliger ce média car
les consommateurs ont de plus en plus le réflexe de consulter sur internet la
moindre requête, si l’entreprise ne s’affiche pas sur la toile elle n’aura aucune
chance d’être consulté. Au finale, il faut bien retenir qu’un levier de
communication digitale ne fonctionne jamais seul. Pour être performant, chaque
moyen d’action doit être conçu au sein du dispositif marketing avec les apports des
autres leviers.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 27


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Aujourd’hui, internet a pris une place prépondérante en termes de partage


d’information ; et avec révolution technologique et de web qui devenir le principal
lieu où l’information est diffusée ; et qui permet aussi de rétrécir les distances, de
casser les frontières, de faciliter les échanges et interactions à travers le monde
entier. Au sein des entreprises aussi, la digitale a révolutionné les usages comme
les modèles préétablis.

Ainsi, les services marketing ont dû composer avec de nouveaux outils issus du
digital, ils ont dû apprendre à communiquer autrement.25

B. Revue de littérature
De nos jours, 93% du trafic sur le web est géré par les moteurs de recherche
(Egri et Bayrak, 2014). Il devient donc primordial pour les entreprises présentes
sur le net d’optimiser leur présence sur le Web. Le but de cette littérature est de
comprendre dans un premier temps le concept du marketing digital, puis les
différentes techniques de référencement SEO/SEM, ensuite l’utilité des réseaux
sociaux et enfin l’importance d’un marketing de contenu.

1. Du e-marketing au marketing digital


Jean-François LEMOINE

Les premières recherches en marketing consacrées à l’Internet sont apparues à la


fin des années 90 quelque temps après l’ouverture du premier site web (1991) et la
création d’entreprises emblématiques de l’ère du numérique (Amazon.com en
1994, Yahoo !, eBay et Altavista en 1995, Hotmail en 1996, Netflix en 1997). À
l’époque, Internet n’était accessible qu’en se connectant à son ordinateur et les
travaux académiques se concentraient, pour l’essentiel, sur l’identification des

25
BARRA houda ikram, ROUAG chahrazed, L’impact de la communication digitale sur le trafic du site web,
mémoire de master en sciences commerciales, EHEC d’Alger, 2017, p.61, 62, 63.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 28


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

facteurs explicatifs des transactions en ligne. Ces recherches relevaient de ce qu’on


appelait le e-marketing26.

Aujourd’hui, il semble réducteur et moins approprié de continuer à recourir à cette


expression. En effet, de nouveaux outils et technologies numériques permettent
d’accéder à Internet et de l’utiliser. C’est le cas des Smartphones, des tablettes, des
réseaux sociaux et des objets connectés27. À titre d’illustration, en 2014, si le
nombre d’internautes français continue à croître (43,8 millions, +1,5 % en un an),
ce sont les populations mobinautes et tablonautes qui enregistrent les plus fortes
progressions : 55,7 % des français sont aujourd’hui mobinautes (+6 points par
rapport à 2013) et 29,1 % des internautes sont tablonautes (+7,2 points par rapport
à 2013). Avec davantage d’écrans disponibles au sein de leurs foyers, les français
sont, en novembre 2014, 70 % à se connecter à Internet à la fois sur ordinateur et
sur mobile contre 52 % en 2013. Enfin, en 2015, sur les 26 millions de français qui
se connectent au moins une fois par mois à Facebook, 17 y accèdent via un
mobile28.

Dans ce contexte de développement majeur du numérique, Chaffey et Ellis-


Chadwick recommandent, à partir de 2012, de substituer au terme de « e-marketing
» celui de « Marketing digital » qu’ils définissent comme « l’atteinte d’objectifs
propres au marketing grâce à l’usage de technologies numériques » (Chaffey et
Ellis-Chadwick, 2012, p. 10). Comme le soulignent Tissier-Desbordes et
Giannelloni (2014), ce concept est plus vaste que le e-marketing et présente
l’intérêt d’inclure tous les outils numériques du moment. Par ailleurs, il permet de
mieux rendre compte29 :

26
Jean-François LEMOINE : Professeur des Universités, Université Paris 1 Panthéon Sorbonne – ESSCA Ecole de
Management, Organisateur des Journées de Recherche sur le Marketing Digital.
27
BADOT O. et LEMOINE J.-F. (2013), « Du paradigme dichotomique de l’expérience d’achat au paradigme
ubiquitaire », Recherche et Applications en Marketing, Vol. 28, N°3, p.3-13.
28
https://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2015-8-page-123.html
29
https://www.blogdumoderateur.com/chiffres-facebook

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 29


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

De la variété et de la complexité des parcours-client qui se caractérisent de plus en


plus par une mobilisation multiple et simultanée de plusieurs technologies
numériques ;

 De la demande croissante des consommateurs à pouvoir acquérir, grâce aux


technologies numériques, des biens et services n’importe quand, n’importe
où et par n’importe quelle interface (Any Time Any Where Any Device :
ATAWAD). Dans ce cas, le marketing digital nous renseigne sur la manière
avec laquelle les entreprises articulent au mieux les canaux physiques et
électroniques afin de servir le consommateur au plus près de ses contraintes
spacio-temporelles (Lemoine et Badot, 2011)30.

2. Le Marketing digital
Certains auteurs n’accordent pas de différence entre le marketing traditionnel et
le marketing digital, il s’agit pour eux du marketing actuel (Chaffey & Smith, 2012
; Stokes, 2011 ; Ryan, 2013)31.

Stokes (2011) mentionne que le but du marketing est de garder les clients et de
stimuler les ventes dans l’avenir ; le numérique assure la connexion avec les clients
et l’établissement des relations durables.

Ryan (2013) définit le marketing digital comme l’utilisation de la technologie


numérique (Internet, logiciels et équipements électroniques) permettant de relier
les gens et d’établir des relations menant à la vente de produits et services.
D’autres auteurs sont d’accord avec la définition de l’Institut du marketing
numérique référant que l’utilisation de la technologie numérique permet de générer
une communication intégrée, directe et mesurable afin d’acquérir et de conserver
des clients (Wymbs, 2011; Royle & Laing, 2014).

30
https://www.blogdumoderateur.com/chiffres-facebook
31
https://www.mediametrie.fr/internet/communiques/l-annee-internet-2014-d-ecrans-de-contenus-d-interactivite-de-
complementarite-entre-ecrans.php?id=1213

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 30


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Une définition synthétisée réfère que le marketing numérique est l’utilisation


stratégique des ressources fournies par la technologie numérique pour l’exécution
de la pratique du marketing afin d’améliorer et d’optimiser la performance des
entreprises (Gutierrez et al, 2016). Avec une combinaison de push et de pull, il
s’agit d’un marketing rythmé et évolué (Flores, 2016).

Même s’il y a un accès à la technologie, le succès de certaines entreprises par


rapport aux autres dépend de leur utilisation stratégique afin d’obtenir les meilleurs
résultats (Demuner, Nava & Sandoval, 2015).

Les médias sociaux comme Facebook ont permis aux entreprises de communiquer
avec des millions de personnes sur les produits et services (Khan et al, 2013). Ils
sont un signe de motivation pour eux et les professionnels marketing (Pai et
Arnott, 2013).

En outre, le marketing digital est si puissant qu’il peut aider à relancer l’économie
et créer d’énormes possibilités pour les entreprises à fonctionner d’une manière
plus efficace (Munshi, 2012).

L’outil le plus commun du marketing digital utilisé aujourd’hui est l’optimisation


des moteurs de recherche (SEO) (Khan et al, 2013). Ça renforce et encourage la
recherche du ROI (Flores, 2016).

Parmi les enjeux liés au marketing digital, on trouve la question associée à la


désintermédiation au regard des pratiques des internautes avec l’évolution du
commerce électronique, les mots clés utilisés dans les moteurs de recherche, la
prise en compte des coûts et les enjeux du référencement (Ladwein, 2000; Isaac et
al, 2014)32.

32
https://medium.com/@jorispaolo/revue-de-la-littérature

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 31


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

3. SEO / SEM
Il devient donc primordial pour les entreprises présentes sur le net d’optimiser
leur position sur ces moteurs de recherche. Les entreprises usent donc de
techniques d’optimisation visant à augmenter la quantité et la qualité du trafic sur
leurs pages web (Wang, 2011).

Pour ce faire nous pouvons distinguer deux techniques : le Search Engine


Optimisation (SEO) et le Search Engine Marketing (SEM). Dans la partie suivante,
nous distinguerons ces deux techniques.

Selon Davis (2006), le SEO peut être défini comme l’ensemble des méthodes
scientifiques visant à augmenter le trafic et l’achalandage sur un site internet. Cette
méthode englobe de nombreuses techniques comme : la structure du site internet,
le langage utilisé, les mécanismes d’interaction du site et autre (Sungin et al.
2016). L’ensemble de ces actions a pour but d’optimiser le site dans les résultats
des moteurs de recherche suivant les mots clés entrés par l’utilisateur.

Le Search Engine Marketing (SEM) consiste à promouvoir les sites internet des
entreprises en augmentant leur visibilité à travers l’affichage de résultats sur les
moteurs de recherche (Mayol, 2009). Contrairement au SEO, le SEM n’est pas
naturel, en effet, il consiste en des liens commandités que l’on différencie
habituellement des autres résultats. Il est à mi-chemin entre une bannière naturelle
est un résultat naturel (Mayol, 2009)33.

Pour conclure sur ce point, selon Sen (2005) le référencement en ligne peut
prendre la forme des actions suivantes : bannières publicitaires relatives aux mots
clés; liste de référencement payant; référencement naturel (SEO) ou encore le
placement payant dans les résultats des moteurs de recherche. D’autres outils sont
à la disposition des entreprises, par exemple les réseaux sociaux qui peuvent
s’avérer fort utiles.
33
Blanchard, O. (2011). Social media ROI: Managing and measuring social media efforts in your organization.
Pearson Education.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 32


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

4. Réseaux sociaux
Selon Ellison (2007) les réseaux sociaux sont définis comme :

(3) Des services basés sur le Web qui permettent aux individus de construire un
profil public ou semi-public dans un système connecté.
(4) Avoir une liste d’autres utilisateurs avec lesquels l’utilisateur partage une
connexion.
(5) Regarder et parcourir les actions, les postes, les commentaires faits par les
autres utilisateurs au sein du système34.

Selon Hoffman (2010), le retour sur investissement des réseaux sociaux peut se
mesurer en 3 catégories : la notoriété (nombre de membres, nombre d’installations
d’applications), l’engagement à la marque (nombre de commentaires, nombre
d’utilisateurs actifs), le bouche-à-oreille (fréquence d’apparition dans le Timeline,
nombre de reposts, nombre de posts sur le mur). D’après Hoffman (2010) les
campagnes sur les réseaux sociaux sont rentables et intéressantes pour mesurer
efficacement l’engagement des clients, la notoriété de l’entreprise. Elles sont
facilement mesurables et quantifiables afin d’être améliorées, mais également pour
perfectionner la stratégie de l’entreprise.

Pour Garrigos (2012), les réseaux sociaux et les communautés virtuelles ont
complètement bouleversé le business actuel car ils ont provoqué des changements
significatifs dans la chaîne de valeur et la structure de toutes sortes d’entreprises.
Selon Garrigos (2012) les réseaux sociaux et les communautés virtuelles, affectent
la conception des sites Web, ils permettent d’accroître la compétitivité des
entreprises notamment en transformant leurs modèles d’affaires. Ce sont un moyen
pour les entreprises de travailler plus rapidement et d’opérer sur les marchés
mondiaux35.

34
Chaffey, D., Smith, P. R., & Smith, P. R. (2012). eMarketing eXcellence: Planning and optimizing your digital
marketing. Routledge.
35
Davis, H. (2006). Search engine optimization. “ O’Reilly Media, Inc.”.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 33


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

D’après Nobre (2014) les réseaux sociaux et en particulier Facebook permettent


à l’entreprise d’augmenter le nombre de clients potentiels et offrir une relation plus
étroite avec les consommateurs. Facebook est utile et peu coûteux pour tout type
d’entreprise, de petite ou moyenne taille, et quel que soit sa stratégie commerciale.

Selon Domenget (2013) l’utilisation de Twitter dans le domaine professionnel


est un modèle de référence dans la relation client où la visibilité du professionnel
peut être un moyen d’être reconnu par les consommateurs.

D’après Domenget (2013) dans un cas professionnel il ne faut pas se contenter que
d’être sur Twitter pour créer de la visibilité, mais sur plusieurs canaux pour avoir
de la visibilité en ligne, numérique, web. Les entreprises doivent alimenter ces
réseaux sociaux avec un contenu adapté, planifié et stratégique, c’est là qu’entre en
jeu le marketing de contenu.

5. Le marketing de contenu
Selon Rowley (2008) le marketing de contenu numérique est un processus de
gestion qui permet d’identifier, d’anticiper, de satisfaire les besoins des clients de
manière à faire des profits grâce à l’aide d’outils digitaux ou d’objets immatériels
distribués par des canaux électroniques. Cette technique est très répandue sur les
réseaux sociaux notamment sur Facebook ou le nombre d’utilisateurs actifs en
2015 a dépassé le milliard (Forouzandeh 2014). De plus, sur les réseaux sociaux
5% des recommandations affichées entraîneraient 45% des influences sur le
processus décisionnel d’un client (Dussart 2016). Et au Québec, plus de 40% des
adultes feraient confiance à la recommandation de leurs connaissances et contacts
pour effectuer des achats (Forouzandeh 2014).

Les messages doivent donc être portés sur le support de communication le mieux
adapté avec le maximum d’audience possible. Il est question de tenir compte du
contexte local dans ce cas de figure. En effet, le réseau social préféré des
consommateurs diffère selon chaque marché. À Singapour, Instagram marche bien,

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 34


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Tweeter en Indonésie, et en Chine Wechat est le réseau préféré (PR Newswire


Europe 2016).

Des chiffres montrent que l’intention de passer à l’action et l’engagement des


consommateurs face à une marque dépendent du marché. Par exemple, les
messages promotionnels font la part belle aux consommateurs à Hong Kong (40%)
et en Indonésie (38%) qui n’hésitent pas à suivre une marque donnée. Cependant,
en Inde le contenu du message devra être inspirant, or en Chine la marque devrait
être attrayante pour que les consommateurs acceptent de la suivre (PR Newswire
Europe 2016).

Comme le souligne Pradiptarini (2011), le marketing de contenu doit être basé sur
un contenu de qualité plus que sur la quantité de like ou de followers. En effet
certaines entreprises possèdent des “followers fantômes” qui ne sont pas
activement impliqués sur les réseaux sociaux (Blanchard, 2011). Ensuite, comme
le soulignent Rust, Moorman, & Bhalla (2010) la relation avec les clients doit être
bâtie sur le long terme, il ne suffit plus de “bombarder” de bannières publicitaires
en grande quantité, il faut penser la relation et bâtir une confiance. De plus, une
bonne campagne sur les réseaux sociaux permet d’augmenter de manière
significative le trafic sur le site de la compagnie (Pradiptarini, 2011).

Visiblement le web, les réseaux sociaux sont primordiaux pour les entreprises de
nos jours. Et les clients se rendent compte du pouvoir décisionnel dont ils
possèdent. Le plus important pour les entreprises, c’est la quantité des données
recueillies, pour comprendre le comportement des consommateurs, et personnaliser
les stratégies marketing36.

36
https://medium.com

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 35


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Paragraphe 2 : Problématique, objectifs, hypothèses de l’étude et modèle de


recherche
A. Problématique
Dans un contexte où le paysage numérique évolue rapidement, les entreprises
cherchent constamment à optimiser leur présence en ligne pour attirer, engager et
fidéliser leur public. Au cœur de cette transformation digitale, la communication
via les réseaux sociaux émerge comme un levier stratégique incontournable,
offrant aux entreprises une plateforme interactive et virale pour promouvoir leur
image de marque et leurs services. Cependant, si les réseaux sociaux représentent
une opportunité unique pour les entreprises d’interagir directement avec leur
audience et de créer un buzz positif, ils présentent également des défis et des
risques en termes de gestion de l'image de marque. Ainsi, la problématique centrale
qui émerge est la suivante : « quel peut être l'efficacité de la stratégie digitale à
mise en œuvre par Global Africa Consulting sur son marché ? »

Cette question soulève une série de sous-questions essentielles, telles que :

 Comment peut-on apprécier la stratégie digitale actuelle de Global Africa


Consulting?

 Quelle est la place des du choix efficace des supports digitaux dans l’efficacité
de la stratégie digitale de Global Africac Consulting?

 En quoi l’élaboration de bon contenus digitaux influence l’efficacité de la


stratégie digitale de Global Africa Consulting?

 Quelle place occupe la gestion efficace des retours d’information clients dans
l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa Consulting?

Cette recherche qui porte sur « Analyse de l’efficacité de la stratégie digitale de


Global Africa Consulting » s'engage, à explorer en profondeur les différentes

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 36


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

facettes de la stratégie digitale mise en œuvre par l’entreprise afin d’apprécier son
efficacité et les facteurs susceptibles d’être améliorés.

B. Objectifs de l’étude
1. Objectif général
L’objectif général de notre étude est de contribuer à l’amélioration de la
stratégie digitale de Global Africa Consulting.

2. Objectifs spécifiques
Nos objectifs spécifiques ont un lien avec nos questions de recherche. Ainsi, ils se
formulent ainsi qu’il suit:

Objectif spécifique 1 : Évaluer la stratégie digitale actuelle de Global Africa


Consulting.
Objectif spécifique 2 : Mesurer l’influence du choix efficace des supports digitaux
dans l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa Consulting.

Objectif spécifique 3: Déterminer la relation de causalité entre l’élaboration de bon


contenus digitaux et l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa Consulting

Objectif spécifique 4 : Apprécier le lien entre la gestion efficace des retours


d’information clients et l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa
Consulting

C. Hypothèses de l’étude
Nos hypothèses sont tirés de la revue de la littérature et sont en lien avec nos
objectifs. Ainsi, ils se formulent ainsi qu’il suit:

Hypothèse spécifique 1 : La stratégie digitale actuelle de Global Africa Consulting


ne lui permet pas d’atteindre ses objectifs.
Hypothèse spécifique 2 : Le choix efficace des supports digitaux influence
positivement l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa Consulting.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 37


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Hypothèse spécifique 3 : Il existe un lien étroit entre l’élaboration de bon contenus


digitaux et l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa Consulting

Hypothèse spécifique 4 : Il existe un lien de causalité entre la gestion efficace des


retours d’information clients et l’efficacité de la stratégie digitale de Global Africa
Consulting.

SECTION 2 : METHODOLOGIE DE RECHERCHE


D’après Madeleine GRAWITZ la méthodologie est « ensemble des règles ou
des procédés pour atteindre dans de meilleurs conditions un objectif. »37

Donc, pour cerner ce travail, nous avons choisi la méthode « quantitative » qui se
ramène dans les cas les plus simples à une description statistique et le type
d’enquête implique l’influence de la variable qu’on veut mesurer, tout en essayant
de comprendre son influence sur les autres variables. Ce qui nous permis de
recueillir sur un ensemble d’individu des informations comparable d’un élément à
l’autre pour pouvoir vérifier les hypothèses.

Paragraphe 1 : Méthodes de collecte des données


A. Nature de l’étude
Cette étude est de nature quantitative car elle implique une analyse approfondie
des données recueillies pour évaluer les relations de cause à effet entre la stratégie
digitale de GAC et d’autres facteurs spécifiques.

B. Enquête qualitative
1. Cible
La cible choisie est un ensemble des clients potentiels de l’entreprise.

37
GRAWITZ, Madeleine,OP,cit, P06.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 38


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

2. Méthode de collecte des données


Pour réaliser cette recherche et répondre à ses objectifs nous avons opté pour un
cas pratique, en l’occurrence un questionnaire en ligne ; réalisé avec
https://www.tally.so afin de collecter les données qui seront triées, analysées et
interprétées pour vérifier l’hypothèse émise du départ.

a. Guide d’entretien
Afin de décrire les aspects à prendre en considération durant notre recherche,
nous avons procédés à une enquête qui à portée sur un ensemble d’entretiens
auprès des clients ciblés dans le but de :

- découvrir certaines caractéristiques des membres de notre échantillon ;


- collecter les informations nécessaires pour la bonne formulation de
l’hypothèse et définir le contenu des concepts ;
- raffiner notre questionnaire provisoire.

b. Observation
Nous avons lancé notre enquête le dd/mm/aaaa. Celui-ci est resté ouvert pendant
nn jours pour être finalement être fermé le dd/mm/aaaa.

Pendant la période de collecte de données, nous avons obtenu 56 participations.

C. Enquête quantitative
1. Population mère
Selon AKTOUF Omar, « la population d’étude désigne l’ensemble
d’indifférencié des éléments parmi lesquels seront choisis ceux auprès de qui
effectueront les observations. »38

La population visée dans notre enquête est constituée des clients de l’entreprise.

38
AKTOUF Omar, méthodologie des sciences sociales et approches qualitatives, presses de l’université de Québec,
Montréal, 1990, P72.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 39


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

2. Échantillon
L’échantillon : « La population d’enquête, et la base d’échantillonnage doivent
obligatoirement recouvrir la même signification. En effet, l’échantillonnage, il
s’agit donc de prélevé à l’intervenu d’un univers de cas, un certain nombre d’unité
afin de les observées (systématiquement) par la médiation des mêmes instruments.
»39

Selon cette définition, c’est de prélevé un certain nombre de l’ensemble afin de


l’étudier et de généraliser les résultats sur l’ensemble de la population. Le choix
d’échantillonnage est lié à l’objet d’études et aux variables de notre hypothèses,
l’échantillon est institués d’un ensemble de personnes à interrogés qui sert d’une
manière probabiliste.

Notre étude a été réalisée auprès d’une population de 56 clients.

3. Méthode d’échantillonnage
Afin d’avoir une bonne enquête à travers un questionnaire, il est très important
de fixer son échantillon de sorte à ce qu’il soit représentatif dans la population à
étudier. L’échantillonnage est une méthode statistique qui permet la construction
d’un groupe de personnes afin d’obtenir certaines connaissances de leurs part.
Dans le cas théorique des choses, il existe deux catégories du mode de
l’échantillonnage ayant chacun plusieurs méthodes qu’on peut utiliser :

 La méthode probabiliste : Chaque individu du bas de sondage à une


probabilité connue d’avance d’être tiré au sort. Ce procédé est le plus
scientifique et a pour avantage de définir avec précision la marge d’erreur et
l’intervalle de confiance dans lesquels se situent les résultats.
L’environnement principal de cette méthode est le cout qui demeure très
onéreux. Cette méthode contient quatre autres méthodes qu’on peut utiliser
pour avoir son échantillon (l’échantillon aléatoire simple, l’échantillon

39
ROBERT J. Gravel, guide méthodologique de la recherche, édition université de Québec, Septembre 1980, P21

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 40


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

aléatoire systématique, l’échantillon en grappes, l’échantillon par


stratification)
 La méthode non probabiliste : Appelée aussi la méthode empirique, elle
se caractérise par le fait que le tirage au sort de l’échantillon ne se fasse pas
de façon aléatoire mais d’une façon raisonnable
Afin de mieux réaliser notre enquête, nous nous sommes intéressés à une
certaine cible bien précise afin de l’extraire de notre échantillon. La méthode
choisie est bien « la méthode de l’échantillon aléatoire simple » appartenant à la
méthode probabiliste.

4. Questionnaire
Selon Maurice ANGERS, le questionnaire signifie « une technique qui permet
l’investigation scientifique utilisée auprès d’individus, qui permet de les interroger
de façon directive et de faire un prélèvement quantitatif en vue de trouver des
relations mathématiques et de faire des comparaisons chiffrées. »40

Notre questionnaire comporte vingt-quatre (22) questions autour de notre thème.


Les questions sont de différentes natures, ouvertes, fermées et au choix multiple,
elles se rapportent aux axes suivant :

- une brève description de notre travail, une petite introduction qui va


informer les individus questionnés qu’il s’agit uniquement d’une recherche
en vue de la réalisation d’un mémoire de fin d’étude.
- une fiche signalétique qui nous renseigne un peu plus sur l’individu en
personne en lui posant des questions qui ne sont pas d’ordre privé.
- un ensemble de questions d’ordre général, qui nous permettra de connaître le
degré d’utilisation des réseaux sociaux pour notre échantillon choisi.
- des questions visant à faire réagir les internautes questionnés sur l’image de
marque à travers les réseaux sociaux de façon générale et aussi de façon
spécifique sur GAC
40
ANGERS Maurice, initiations à la méthodologie de recherche en science humaines op.cit, P160.

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 41


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

- les avis sur l’image de l’entreprise aussi sur leur degré de fidélité à la
marque.

Paragraphe 2 : Méthode de traitement et d’analyse des données et seuil de


vérification des hypothèses
A. Méthode de traitement et d’analyse des données
Une fois toutes les informations collectées, on passe ensuite à la partie la plus
difficile, celle qui consiste à analyser l’ensemble de ces données après
dépouillement du questionnaire. Le dépouillement du questionnaire a été fait à
l’aide du logiciel de calcul Excel, qui nous permet des calculs automatisés et ainsi
d’établir des tableaux et des graphiques représentatifs afin d’interpréter les
informations collectées.

B. Seuil de vérification des hypothèses


Afin de valider les résultats de notre étude, nous avons utilisé l’échelle de lickert
pour le calcul de moyenne afin de prendre les décisions. Ainsi, une note inférieure
à 3 est faible et une note supérieure à 3 est forte. Le calcul des coefficient de
corrélation avec le logiciel Spss a permis de vérifier les liens de causalité. Ainsi, si
R est supérieur à 0.87 en valeur absolue alors l’hypothèse est validée sinon elle
n’est pas validée

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 42


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Chapitre 3
III. CADRE EMPIRIQUE DE L’ETUDE
Dans ce dernier chapitre, il sera présenté et analysé les données dans la première
section et la seconde section sera consacré aux suggestions et aux conditions de
mises en œuvre.

SECTION 1 : PRESENTATION ET ANALYSE DES DONNEES


La présente section est consacrée à la présentation et à l’analyse des données
quantitatives et qualitatives.

Paragraphe 1: Présentation et analyse des données qualitatives

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 43


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
A. LES OUVRAGES
 C. Guillaumin, 2014 Mise en page : PCA © Dunod, 2017 11 rue Paul Bert,
92240 Malakoff www.dunod.com ISBN 978-2-10-076754-0
 Demeure et S. Berteloot, 7e édition, 2016 Aide-mémoire Marketing digital,
C. Lejealle et T. Delecolle, 2017 Aide-mémoire de Mathématiques
financières, É. G. Harb, F. Batini, X. Durand, 2016 Aide-mémoire de
Microéconomie, J.-P. Gayant, 2014 Aide-mémoire de Macroéconomie,
 G. Séror, 2016 Aide-mémoire de Communication digitale, J.-É. Pelet et J.
Lucas-Boursier, 2017 Aide-mémoire de Marketing.
 HABIB OUALIDI, Les outils de la communication digitale, édition Groupe
Eyrolles, 2013.
 Jean-Éric Pelet Jérémy Lucas-Boursier Aide-mémoire de
COMMUNICATION DIGITALE Dans la même collection Aide-mémoire
de Communication, 2016.
 LENDREVIE Antoine et autres, Le web marketing, édition Dunod, Paris,
2011

B. ARTICLES ET REVUES
 GADI BENSAHLA Ibtissem, La communication dans l'entreprise
algérienne, MCB- université d’Oran 2
 Jean-François LEMOINE, Du E-Marketing au Marketing Digital,
l’Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, 2013
 Peter Stockinger. Conception et conduite d’un projet de communication. :
Méthodologie et exemples. Master. Le projet de communication, Paris,
France. 2018, pp.77.
 SUP de PUB, guide des métiers de la communication, 2013, INSEEC, Paris
 Waffa HALLIL AMALOU, l’entreprise algerienne et le comportement
d’achat du consommateur connecte Doctorante, HEC

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

C. MEMOIRES ET THESES
 AMROUCHI Kaci, L’impact de la communication digitale sur la fidélisation
de la clientèle, mémoire de master en sciences commerciales, EHEC
d’Alger, 2018.
 BARRA houda ikram, ROUAG chahrazed, L’impact de la communication
digitale sur le trafic du site web, mémoire de master en sciences
commerciales, EHEC d’Alger, 2017.
 BENABDELBAKI Manel, La communication digitale levier de
compétitivité des entreprises, mémoire de master en sciences commerciales,
EHEC d’Alger, 2015.
 LABDAOUI Aniss, Stratégie de communication digitale appliquée par les
opérateurs de la téléphonie mobile, mémoire de master en sciences
commerciales, école des hautes études commerciales d’Alger, 2016.

D. SITES INTERNET
 http://www.indicerh.net
 http://www.webpresencesolutions.net
 https://blog.comexplorer.com
 https://doingenia.com
 https://localmarketing.fr
 https://webeuz.com
 https://www.android-dz.com
 https://www.anthedesign.fr
 https://www.cairn.info
 https://www.inboundvalue.com/blog
 https://www.leblogdudirigeant.com
 https://www.smartinsights.com
 https://www.statista.com

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 https://www.usine-digitale.fr
 https://www.webextend.org

E. INTELLIGENCE CONVERSATIONNEL ARTIFICIELLE


 ChatGPT, https://www.chat.openai.com
 Gemini, https://www.gemini.google.com

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ANNEXES
Annexe 1 Organigramme

Direction Générale

Assistant du Directeur Général

Sécretariat admnistratif

Direction Administrative et Financière Direction Exécutive et Commerciale

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Annexe 2 : Questionnaire en ligne


Bonjour Madame / Mademoiselle / Monsieur

Dans le cadre de la rédaction de notre mémoire de fin de formation en licence


professionnelle, nous réalisons une étude sur l’« ANALYSE DE L’EFFICACITE DE
LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING‘’. » Nous vous prions

de prendre quelques minutes pour répondre aux questions ci-après.

RGPD : Notez que nous collectons les données de façon anonyme et elles seront
exploitées uniquement que dans le cas de la rédaction de notre document.

Partie 1 : Profil du répondant (3 questions)


Q1. Etes-vous ?
o Femme
o Homme
Q2. Quel âge avez-vous ?
o moins de 20 ans
o entre 20 ans et 25 ans
o entre 25 ans 30 ans
o entre 30 ans et 35 ans
o 35 ans et plus
Q3. Comment appréciez vous la réputation de Global Africa Consulting sur
les réseaux sociaux?
o Tout à fait bonne
o Asses Bonne
o Ni bonne ni mauvaise
o Pas bonne
o Pas du tout bonne

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 49


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

Q4. Comment appréciez vous l’image de Globale Africa Consulting sur les
réseaux sociaux?
o Tout à fait bonne
o Assez Bonne
o Ni bonne ni mauvaise
o Pas bonne
o Pas du tout bonne
Q5. Quel est votre jugement sur l’expression suivante « Global Africa
Consulting fait souvent recours à des choix des supports digitaux adaptés à
sa cible?
o Tout à fait d’accord
o Assez d’accord
o Ni d’accord ni pas d’accord
o Pas d’accord
o Pas du tout d’accord

Contenus digitaux
Q6. Quel est votre jugement sur l’expression suivante « Global Africa
Consulting réalise le plus souvent digitaux adaptés à sa cible?
o Tout à fait d’accord
o Assez d’accord
o Ni d’accord ni pas d’accord
o Pas d’accord
o Pas du tout d’accord

Gestion efficace des retours d’information clients


Q7. Quel est votre jugement sur l’expression suivante « Global Africa
Consulting fait une Gestion efficace des retours d’informations clients?

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 50


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

o Tout à fait d’accord


o Assez d’accord
o Ni d’accord ni pas d’accord
o Pas d’accord
o Pas du tout d’accord
Q8. Que suggériez-vous pour une amélioration de l’image de marque de
l’entreprise via les réseaux sociaux ?
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………
…………

Merci pour votre participation. Au revoir !

Réalisé par TOVIZOUNKOU D. Joëline et AVOSSE A. Maurelle 51


ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

TABLE DES MATIERES


DEDICACE JOËLINE.............................................................................................iii
DEDICACE MAURELLE.......................................................................................iv
REMERCIEMENTS JOËLINE................................................................................v
REMERCIEMENTS MAURELLE..........................................................................vi
SOMMAIRE...........................................................................................................vii
LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS............................................................ix
LISTE DES TABLEAUX.........................................................................................x
LISTE DES GRAPHIQUES....................................................................................xi
RESUME.................................................................................................................xii
ABSTRACT...........................................................................................................xiii
INTRODUCTION.....................................................................................................1
I. CADRE INSTITUTIONNEL DE L’ETUDE.....................................................4
SECTION 1 : PRESENTATION GENERALE DE L’ENTREPRISE..................4
Paragraphe 1 : Historique et activités..................................................................4
A. Historique..............................................................................................4
B. Mission...................................................................................................4
C. Objectifs.................................................................................................5
D. Activités.................................................................................................6
Paragraphe 2 : Structure organisationnelle et ressources....................................7
A. Structure organisationnelle..................................................................7
B. Ressources.............................................................................................8
SECTION 2 : ENVIRONNEMENT DE L’ENTREPRISE ET ETAT DES
LIEUX DE STAGE................................................................................................9
Paragraphe 1 : Environnement de l’entreprise....................................................9
A. Le Micro environnement......................................................................9
B. Le Macro environnement...................................................................10
Paragraphe 2 : Du bilan de stage au choix de la problématique.......................11
A. Déroulement du stage, travaux exécutés et difficultés rencontrées
11

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

B. Inventaires des problèmes et atouts et regroupements des


problèmes par centres d’intérêts................................................................13
II. CADRE THEORIQUE ET METHODOLOGIQUE DE L’ETUDE.............15
SECTION 1 : CADRE THEORIQUE DE L’ETUDE.........................................15
Paragraphe 1 : Définition des concepts et revue de littérature..........................15
A. Définition des concepts.......................................................................15
B. Revue de littérature............................................................................28
Paragraphe 2 : Problématique, objectifs, hypothèses de l’étude et modèle de
recherche...........................................................................................................36
A. Problématique.....................................................................................36
B. Objectifs de l’étude.............................................................................37
C. Hypothèses de l’étude.........................................................................37
D. Modèle de recherche...........................................................................38
SECTION 2 : METHODOLOGIE DE RECHERCHE........................................38
Paragraphe 1 : Méthodes de collecte des données............................................38
A. Nature de l’étude.................................................................................38
B. Enquête qualitative.............................................................................39
C. Enquête quantitative..........................................................................40
Paragraphe 2 : Méthode de traitement et d’analyse des données et seuil de
vérification des hypothèses...............................................................................42
A. Méthode de traitement et d’analyse des données.............................42
B. Seuil de vérification des hypothèses..................................................42
III. CADRE EMPIRIQUE DE L’ETUDE...........................................................43
SECTION 1 : PRESENTATION ET ANALYSE DES DONNEES....................43
Paragraphe 1: Présentation et analyse des données qualitatives.......................43
Paragraphe 2 : Présentation et analyse des données quantitatives.........Erreur !
Signet non défini.
CONCLUSION..............................................................Erreur ! Signet non défini.
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES................................................................44
A. LES OUVRAGES.......................................................................................44

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ANALYSE DE L’EFFICACITE DE LA STRATEGIE DIGITALE DE GLOBAL AFRICA CONSULTING

B. ARTICLES ET REVUES...........................................................................44
C. MEMOIRES ET THESES..........................................................................45
D. SITES INTERNET.....................................................................................45
E. INTELLIGENCE CONVERSATIONNEL ARTIFICIELLE....................46
ANNEXES...............................................................................................................47
Annexe 1 Organigramme..................................................................................47
Annexe 2 : Questionnaire..................................................................................47
TABLE DES MATIERES.......................................................................................53

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