Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
De l’Enseignement supérieur
Et de la Recherche scientifique
****///*****///**** Un peuple- Un but- Une foi
1
Rapport de Licence Professionnelle
Thème :
Directeur de Mémoire
Mr Hanif Otcho
SOMMAIRE
DEDICACE………………………………………………………………………………………………………………IV
REMERCIEMENTS……………………………………………………………………………………………………V
AVANT- PROPOS……………………………………………………………………………………………………VI
INTRODUCTION……………………………………………………………………………………………………VIII
2
PARTIE 1 : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE……
10
1. DEFINITION DU CONCEPT.........................................................................
2. INDICATEURS DE PERFORMANCE DE L’ENTREPRISE.................................
1. DEFINITION DU CONCEPT……………………………………………………………………
2. L’ORGANISATION COMPTABLE D’UNE ENTREPRISE………………....
3
CHAPITRE I : CRITIQUES.........................................................................................
CHAPITRE II : SUGGESTIONS...........................................................................................
CONCLUSIONS..................................................................................................
BIBLIOGRAPHIE................................................................................................
ANNEXES..........................................................................................................
DEDICACE
4
REMERCIEMENTS
Je remercie tout d’abord au souverain seigneur DIEU TOUT-PUISSANT trois fois
saint pour l’amour infini, la protection, la miséricorde et, les nombreuses
bénédictions dont je suis comblé dans ma vie de tous les jours ;
5
Je souhaite remercier la direction et tout son personnel pour l’accueil qu’elle
m’a réservé, le temps que chacun de ses membres m’a accordé, et plus
globalement, pour toutes les informations, références bibliographiques,
réflexions, corrections… que chacun m’a apporté et qui ont nourrit ce travail.
Je remercie mon encadreur pour le temps qu’il m’a accordé durant tout ce
travail.
Je remercie également cette entreprise de m’avoir fait découvrir et approché le
monde de l’autogestion en m’ouvrant les portes des réseaux auxquels elle
collabore.
Je remercie mes professeurs pour la qualité de l’enseignement qu’ils m’ont
prodigué au cours de ces trois années passées à l’université SUP IGA.
Mon directeur de mémoire pour sa disponibilité, la direction et l’ensemble du
personnel de la NSApress pour leur accompagnement.
Mes parents pour leurs éducations, mon époux pour son encouragement, leurs
soutiens moral et financier. Merci du plus profond du cœur.
AVANT-PROPOS
6
Crée en 2010, il est situé à Banankabougou en face du marché de pastèques à
quelques mètres avant la cour suprême BP 2948, tel : (00223) 20 20 97 97
celle : (00223) 75 13 47 15/ 76 44 38 20/ 51 51 10 05 /.
La société est enregistrée sous le numéro M Bamako 2009. B1340 du 19/03/09
du registre de commerce.
En ce qui concerne sa reconnaissance par l’état Malien, il est enregistré sous le
numéro 2017-1897 MESRS-SG-DU 14 juin de l’arrêté de création. Notons en
passant que SUPIGA Mali à en son sein un centre de formation de langues.
MISSIONS ET OBJECTIFS
SUPIGA Mali a pour mission et objectifs, l’organisation d’un système de
formation efficient complémentaire au service public, de former des cadres
supérieur et moyens de haut niveau de toute nationalité dans les secteurs
public, para public et privé. Notre ambition est de faire de la formation
différemment et mieux.
ORGANISATION ADMINISTRATIVE
SUPIGA Mali est dirigé par un directeur qui cumule aussi les fonctions de
directeur financier.
Son rôle consiste à superviser toutes les activités de l’école, à tout mettre en
œuvre pour positionner l’école dans le paysage éducationnel malien, à gérer le
personnel administratif et le corps professoral, à contrôler la comptabilité
etc….
Il est également le Directeur du centre de langues. Il se nomme M. HANIF
OTCHO et est aidé dans ses taches pédagogiques par un assistant pédagogique.
Ce dernier fait les emplois du temps, le programme les cours, éditez les
bulletins des étudiants etc… le tout sous la supervision du directeur. Il se
nomme M. IBNOU YAGUEMAR GUEYE.
SUPIGA Mali sur le plan communication est géré par un service de
communication et de placement, le rôle de ce service consiste à élaborer un
7
plan de communication et tous les événementiels de l’école. Il s’occupe aussi
des partenaires dans le but de faire connaitre les étudiants de l’école pour leur
insertion professionnelle. La gestion du Centre de langue est couplée à ce
service dont la responsabilité revient à M. MOHAMED ARSIKE TRAORE. Il
travaille en étroite collaboration avec le Directeur M. HANIF. OTCHO.
Mme Traore BATI KEITA fait office de Secrétariat-réceptionniste du Directeur.
Et en fin l’entretien et de la sécurité par M. Issiaka.
INFRASTRUCTURES
SUPIGA Mali dispose d’une (01) cour de deux (02) étages qui compose : quatorze (14)
salles de cours, une (01) salle pour les professeurs, quatre (04) bureaux, une (01) salle
d’informatique, un (01) labo langue couplé à internet, et une (01) salle de TP.
8
INTRODUCTION :
L’existence de toute organisation est justifiée par une mission fondamentale
bien déterminée. Ainsi, de même qu’une entreprise de grande distribution a
comme mission première de distribuer des produits aux consommateurs, pour
mieux réaliser sa mission. Chaque organisation a besoins de son
environnement afin de se procurer des ressources qu’elle va essayer d’utiliser
de la manière la plus conforme possible à cette mission. La tenue de la
comptabilité devient une obligation impérieuse afin d’assurer la transparence
des informations circulant au sein de l’entreprise.
9
fiables et nettes du mouvement financier en son sein et prendre les décisions
judicieuses.
Tenant compte de ce qui précède, nous nous faisons l’obligation d’étudier
l’organisation comptable d’une entreprise
A ce sujet, nous cherchons à répondre aux questions suivantes :
Quel est l’importance d’organiser le service comptable pour une
entreprise ?
Comment est-il organisé au sein de la société commerciale NSApress ?
Quels sont les retombés d’une bonne organisation comptable au sein
d’une entreprise ?
Telles sont les questions auxquelles nous tenterons tout au long de notre étude
d’apporter des réponses adéquates.
Hypothèse
Certes, la comptabilité occupe une place non négligeable dans l’ensemble des
fonctions d’une entreprise, car c’est le miroir des gestionnaires. Sans
l’organisation d’une bonne comptabilité, l’entreprise évoluerait aveuglement et
il sera difficile de connaître la situation patrimoniale.
Nous pensons qu’une bonne organisation du service de comptabilité
permettrait à l’entreprise d’accroitre son chiffre d’affaires et atteindrait les
objectifs qu’elle s’est fixée.
Ce que nous affirmerons à la fin de notre sujet.
Choix de l’étude
Touché par quelque faille que connaissent les entreprises de nos jours, surtout
par la mauvaise organisation du service de comptabilité, c’est cette motivation
qui nous amène à aborder ce sujet. En plus, ce sujet nous donne l’occasion à
attacher une importance capitale sur l’organisation comptable de l’entreprise.
10
PARTIE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE ET DEROULEMENT DU STAGE
11
CHAPITRE I : PRESENTATION DE L’ENTREPRISE NSAPRES
GENERALITE :
NSApres SARL (nouvelle société Africaine de prestation) Exploration Drilling
and
Mining Supllies est un fournisseur spécialisé dans l’exploration de forage, et
l’approvisionnement minier. Basé à Bamako-Mali, cette entreprise est dédiée à
fournir les solutions de qualité supérieure pour répondre aux besoins de
l’industrie minière. Avec une équipe d’experts et un vaste réseau de
partenaires, ils sont prêts à accompagner les clients dans leurs projets
d’exploration et d’exploitation minière, en fournissant des équipements et des
services de pointe.
12
Section 1 : PRODUITS ET SERVICES DE LA NSApres SARL
5- LOCATION DE COMPRESSEUR
NSApres dispose des compresseurs Atlas Copco très performant et idéal pour
les applications de ses clients.
13
Le forage à circulation inverse (RC) représente un moyen rapide et économique
d’extraire les échantillons de qualité minérale de haute qualité nécessaires à la
planification efficace de vos opérations d’exploitation minière et de carrière.
8- RC MATERIEL SUPPLY
Pour proposer des solutions spécifiques aux clients pour les équipements de
production. Avec une équipe qualifiée au service de l’industrie minière,
NSApres propose des équipements dernier cri, axés sur la valeur et la
durabilité.
L’objectif est de fournir à nos clients les solutions les plus efficaces et les plus
rentables pour les besoins de forages
Grace à ces produits de forage, le forage sera plus rapide et la paroi du forage
sera plus stable. Chaque produit a ses propres propriétés, il est donc très
important de savoir quel produit doit être ajoutés et quand. Pas de soucis à se
faire tant que vous disposez de ses expertises.
14
SECTION 2 : HISTORIQUE, OBJECTIF ET MISSION
1-HISTORIQUE
NSApress est créé en 2021 et mise en activité à partir de février 2023 avec un
chiffre d’affaires de 20.000.000F CFA.
2-OBJECTIF ET MISSIONS
Situation géographique
Email : contact@nsapres.com
Site : www.nsapres.com
15
SECTION 3 : FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION
1-FONCTIONNEMENT
Avec une structuration simple ou hiérarchique, il est dirigé par un responsable
qui es accompagné par ses collaborateurs, le pouvoir de décision est centralisé
et le travail n’est pas spécialisé. Chaque collaborateur est autonome et flexible.
2-ORGANISATION
Il a une structure organisationnelle départementale jugé opportune pour
effectuer et réaliser des travaux au service de l’entreprise.
NSApres comporte :
Quatre ordinateurs
Une photocopieuse
Logiciel de comptabilité (CNPTG)
Logiciel paie
Un fax
trois imprimantes (deux laser, une matricielle)
un scanner
ligne internet haut débit (ADSL).
16
CHAPITRE II : DEROULEMENT DU STAGE
Section 1 : TACHES EFFECTUEES
NSApress est dédier à fournir les solutions de qualités supérieures pour,
répondre aux besoins de l’industrie minier.
Cette entreprise est connue et reconnue pour ses produits de qualités, son
accueil chaleureux, son accessibilité ainsi que la relation avec le client. Mon
passage au secrétariat n’était pas comme une simple promenade, mais plutôt
une occasion pour saisir les tenants et les aboutissants. Il s’est basé sur l’aspect
théoriques et pratique de la science.
17
Section 2 : DEROULEMENT
Le stage a été effectué du 01 janvier 2023 au 30 septembre 2023 au niveau de
NSApres à oulofogougou-Bamako.
A mon avis, je crois que tous ces points paraissent clairs au niveau de la
NSApres, parce que j’etais devant diverse applications qui se diffèrent les unes
des autres.
Au cours de mon stage j’ai été invité à participer dans la mission de tenue de
comptabilité ; en effet le travail consiste à :
18
La passation de quelques écritures comptables des entreprises, en effet
le travail a consisté à passer les écritures de vente et d’achat d’une
société.
La caisse consiste à enregistrer les entrées et les sorties d’argent dans un
brouillard. En effet, les encaissements sont enregistrés dans la colonne
des recettes et les décaissements sont enregistrées dans la colonne des
dépenses.
Cependant, ces derniers sont constatés d’après les quittances et les pièces
comptable.
Comme il ressort dans tout ce qui précède, la période de stage que j’ai passé à
NSApres, m’a été profitable et m’a appris surtout qu’un organisme aussi
important et sensible ne peut supporter les difficultés qui peuvent découlé que
pour :
Enfin, je tiens à noter que je suis fier de ce que j’ai vu, j’ai appris et de ce que
j’ai connu dans cet organisme, et je trouve qu’il est de mon devoir d’exprimer à
la fin de ce rapport toute ma gratitude et tous mes remerciements à tous les
membres de la NSApres SARL.
19
PARTIE 2 : L’ORGANISATION COMPTABLE D’UNE L’ENTREPRISE
20
CHAPITRE I : GENERALITE SUR LA COMPTABILITE ET
PERFORMANCE DE L’ENTREPRISE
I. Historique de la comptabilité
La comptabilité nous est venue de l'ancienne Egypte (vers 2800 av. J.C.), de
Babylone (vers 2000 av. J.C.) et de la Grèce (vers 2000 av. J.C.).
La comptabilité simple, par laquelle la caisse ou les achats et les ventes sont
devenus avec le temps une variable science.
21
- Elle fournit, après traitement approprié de ses opérations, les redditions de
comptes auxquelles elle est assujettie légalement ou par ses statues, ainsi
que les informations nécessaires aux besoins des divers utilisateurs ».
La prudence,
La transparence,
L’importance significative,
L’intangibilité du bilan,
Le cout historique,
La continuité d’exploitation,
a) Le principe de prudence
23
Il implique, l’appréciation raisonnable des évènements et opérations afin
d’éviter de transférer sur des exercices ultérieurs, des risques nés dans
l’exercice et susceptibles d’entrainer des pertes futures.
b) Le principe de la transparence
c) L’importance significative
d) L’intangibilité du bilan
25
valeur actuelle : montant qu’un acquéreur de l’entreprise accepterait de payer
pour le bien, dans le cadre de la continuité d’exploitation.
Le coût historique est l’un des principes comptables fondamentaux retenus par
le système comptable OHADA (principe du nominalisme monétaire).
f) La continuité d’exploitation
26
h) La Partie double
Par convention, les comptes de l’actif du bilan et les comptes de charges sont
des emplois augmentant par inscription au débit et diminuant par inscription à
leur crédit. De même, les comptes du passif du bilan et les comptes de produits
sont des ressources augmentant par inscription au crédit et diminuant par
inscription à leur débit
27
On attend par états financiers, une représentation financière, structurée des
évènements affectant une entreprise, et des transactions réalisées par elle.
L’objectif des états financiers est de fournir une information sur la situation
financière, la performance, et les flux de trésorerie d’une entreprise.
Ils sont utilisés tous ensembles pour servir à la prise de décision dans le temps
et dans l’espace et en les comparants d’une année à l’autre.
- Le passif :
Pour acquérir ces moyens, l’entreprise doit avoir des ressources ; elle doit
trouver des financements pour se procurer les outils nécessaires à son activité.
Ces ressources peuvent être de trois nature : les fonds apportés par les
créateurs de l’entreprise (les associés ou les actionnaires) ; les montants
dégagés par l’activité de l’entreprise c’est-à-dire le résultat bénéficiaire et les
montants avancés par les partenaires de l’entreprise (banquiers,
fournisseurs...).
28
L’ensemble de ces ressources constitue le passif de l’entreprise ; il indique
l’origine des fonds qu’elle utilise. Dans le langage courant, il est égal à « tout ce
que l’entreprise doit ».
- L’actif :
Ces ressources vont être employées et l’on distingue deux emplois principaux :
les utilisations ou emplois permanents (immeubles, machines, brevets ) et les
emplois temporaires (stocks, créances, caisses).
b) Le compte de résultat
Ce compte retrace les revenus et gains et les charges et pertes découlant d’un
exercice comptable complet engendrant le résultat net de l’exercice et
reflétant ainsi la performance financière et la rentabilité de l’entreprise. Il
recapitule les produits et les charges faisant apparaitre, par différence, le
bénéfice net ou la perte nette de l’exercice.
d) Etat annexé
- Rôle financier ;
- Rôle fiscal ;
- Rôle juridique.
30
c. Rôle juridique : Elle est un moyen de communication et de preuve, et un
moyen de justification pour le gestionnaire en cas de conflit lui opposant à un
tiers et lui permet de justifier sa gestion auprès de législation.
7. Importance de la comptabilité
8. Types de comptabilité
Pour faire face au large objectif défini dans le point précédent, la comptabilité
se divise en trois grandes parties, qui sont :
- La comptabilité générale ;
- La comptabilité budgétaire ;
a) La comptabilité générale
31
La comptabilité générale fournit la situation de l'enregistrement à des tiers tout
en organisant les charges et les produits suivant leur nature. Elle est tenue de
façon périodique pour donner la situation du patrimoine et de créance afin de
déterminer le résultat global de l'activité, et cette comptabilité dite générale
est fondamentalement dans une entreprise.
b) La comptabilité budgétaire
Elle est une comptabilité de détail, elle contrôle et évalue avec précision les
coûts de production, les charges qui doivent être ventilées selon leur
destination.
- Déterminer la valeur des produits consommés ou fabriqués et, ici, elle, revêt
un aspect comptable ;
32
aspect statistique permettant de suivre les conditions de rentabilité et de la
production d'une entreprise ;
- La comptabilité simple ;
- La deuxième pour mettre son montant, en plus ou en moins selon qu'il s'agit
d'un encaissement ou d'une dépense pour celui qui tient la comptabilité.
Le solde général peut alors être subdivisé entre le solde des comptes de bilan
et celui des comptes de résultats.
Elle est basée sur un postulat bien connu des scientifiques : rien ne se crée, rien
ne se perd, tout se transforme. En terme économique, cela se traduit par deux
règles :
- Toute la valeur qui circule dans une entreprise ne fait que se déplacer ;
Exemple de l'achat d'un véhicule : une entreprise qui achète un véhicule 10.000
unités monétaires augmente son patrimoine puisqu'elle a un véhicule. C'est un
34
débit. En contrepartie, elle doit payer ce véhicule, donc faire diminuer sa
trésorerie, évènement que l'on inscrit au crédit.
De même, elle permet à tout instant d'assurer que la richesse et les avoirs (ce
que l'entreprise possède et qui est au débit) sont égaux aux dettes (ce que
l'entreprise doit, et qui est inscrit au crédit) : si de la richesse est créée
(supposons la vente de services), le résultat de l'opération sera comptabilisé au
bilan comme une dette envers l'actionnaire. On fait ainsi toujours correspondre
une opération de recette ou de dépense avec un moyen de la réaliser.
Ceci donne une image la plus fidèle possible de l'état des richesses d'un
organisme à tout moment et de ses interactions avec les différents acteurs
dont il dépend.
Certaines opérations (avec taxes par exemple) font entrer en jeu plusieurs
débits et plusieurs crédits dont les sommes des débits doivent être égales aux
sommes des crédits. Elle recourt à un plan comptable pour catégoriser les
opérations, mais chaque compte peut être débité ou crédité et dispose donc
d'au moins deux colonnes.
35
égaux d'une part et d'autre part s'équilibrer : l'un créditeur (somme des crédits
supérieure à celle des débits) et l'autre débiteur (somme des débits supérieure
à celle des crédits).
Nous précisons que dans toutes les deux méthodes, on passe des écritures
datées, chiffrées (montant), allouées à un compte, explicitées par un libellé et
correspondant à un document répertorié qui doit toujours en retour pouvoir
justifier une écriture comptable (une facture, un relevé de compte bancaire,
une feuille d'impôt à payer, etc.).
Une écriture comptable ainsi justifiée peut alors être opposable à des tiers
(État, actionnaires, organisme sociaux, justice, etc.).
les machines, les comptes clients, les liquidités, les avoir s divers) et ce qu'elle
doit (les capitaux propres, les dettes envers les fournisseurs, les organismes
sociaux, les salariés, les établissements financiers, etc.).
36
charges engagées pour atteindre ces produits (achats de fournitures, d'énergie,
de services, frais généraux, etc.).
Dans cette optique de permettre une lecture aisée de notre travail et éviter des
interprétations contradictoires, nous avons jugé important de procéder par la
définition des concepts clés autour desquelles gravitera notre démarche
scientifique.
1. DEFINITION DE L’ENTREPRISE
Le concept « Entreprise » admet plusieurs acceptations selon les différents
auteurs, entre autres :
L’entreprise est un organisme autonome qui produit des biens ou des services
pour un marché, en vue de réaliser un profit.
37
L’entreprise est l’ensemble de moyens utilisés pour la réalisation, du profit et
sous la responsabilité d’une même personne juridique, d’opération
commerciale ou financière poursuivie pendant une période.
Partant de toutes ces définitions, nous pouvons résumer que l’entreprise est
une identité économico-social qui opère dans un environnement donné en
produisant des biens ou des services en vue de satisfaire des besoins de la
communauté, et de réaliser un profit.
a) Rôle économique
- Satisfaire les besoins de la clientèle aux meilleures conditions de prix et de la
qualité ;
- Veiller apporter l'équilibre entre l'offre et la demande ;
- Innover ou créer des nouveaux procédés ;
- Valoriser les matières premières ;
- Favoriser l'entreprise des devises ;
- Participer au développement économique.
b) Rôle social
Ici l'entreprise joue un double rôle :
- L'entreprise doit fournir les emplois ;
38
- L'entreprise doit rechercher l'amélioration de la condition morale et
matérielle des agents qui collaborent au fonctionnement de celle-ci.
c) Rôle financier
Celui-ci consiste à assurer la rentabilité de l'entreprise et son équilibre
financier. Ces trois rôles apparemment opposés ne peuvent être atteint que
par le développement de la productivité économique de l'entreprise.
a) L'entreprise individuelle
Celle-ci exploitée par un individu agissant sous sa seule responsabilité, elle
présente sous trois formes essentielles :
Entreprise artisanale ;
Entreprise agricole ;
Entreprise individuelle ou commercial.
b) L’entreprise Sociétaire
Celle-ci est constituée par un groupe de personnes appelée « associés », cette
constitution se fait par mise en commun d'un capital social. On distingue les
sociétés des personnes et les sociétés des capitaux.
39
- Sociétés des personnes : La responsabilité des associés est déterminante
par la constitution de la société (SNC et SCS).
a) Entreprise de production
Elle comprend :
Sont les entreprises qui vendent des services rendus (les entreprises de
transport, les entreprises d'expertise comptables, etc.).
40
Celles dont le patrimoine, à son origine, provient de particuliers et dont la
gestion est entre les mains des particuliers. Elles sont subdivisées en entreprise
individuelle et sociétaire.
Celles dont les moyens d'actions ont été financées totalement par le pouvoir
public (l'Etat). Ce module ne cherche pas le grand profit mais, la recherche de
l'intérêt général. Les entreprises publiques proprement dites comprennent les
régis directs, les régis de l'Etat et les régis municipales. Les recettes et les
dépenses peuvent être confondues dans le budget ou de la collectivité locale.
Pour certains, leur autonomie financière se traduit par le vote d'un budget
annexe. Les offices sont des établissements publics industriels et commerciaux,
gérés selon les méthodes d'une entreprise privée, mais soumis au contrôle et à
la vérification de finance et la cours de compte.
Nous distinguons :
a) Petite entreprise
41
Elle est considérée comme étant celle dont l'effectif est compris en une et
cinquante personnes, la limite supérieure peut être dix pour les unes, vingt ou
cinquante pour les autres.
b) Moyenne entreprise
Elle est celle dont l'effectif est compris entre 1O et 500 salariés, la limite
inferieure pouvant être 10, 20, ou 50 et la limite supérieure à 200, 300, ou 500
selon le pays.
c) Grande entreprise
Elle est celle dont l'effectif est supérieur à 500 personnes limite pouvant être
basé à 300 voire 1000 personnes.
42
Toutes les opérations à effectuer dans une entreprise se rattachent à des
fonctionnements. Celles de FAYOL sont :
- Fonctions principales ;
- Fonctions auxiliaires.
Les fonctions principales sont celles qui participent directement aux activités de
production de l'entreprise, elles se subdivisent en :
- Fonction d'approvisionnement ;
- Fonction production ;
- Fonction distribution ;
a) Fonction d’approvisionnement : cette fonction est chargée de
l'achat et du stockage des matière premières. Tous les frais engagés pour
l'achat et le conditionnement de ses matières forment le coût d'achat.
b) Fonction de production : Cette fonction a la tâche de transformation
de matière en produit fini. C'est la fonction qui distingue l'entreprise
industrielle de l'entreprise commerciale.
c) Fonction de distribution : cette fonction assure la distribution du
produit fini de l'entreprise aux consommateurs. La distribution du
produit se fait à travers des canaux de distribution, un canal est le
chemin suivi par le produit fini de l'entreprise jusqu'aux consommateurs.
Ce sont des fonctions d'aide des fonctions principales, on trouve dans cette
catégorie les fonctions suivantes :
- Fonction administrative ;
- Fonction financière ;
43
- Fonctions sécurité.
a) Fonction administrative
Cette fonction diffère par nature puisqu'elle s'exerce à tous les échelons et
dans les services de l'entreprise. Les attributions qu'elle confère croissant dans
le même sens que la responsabilité hiérarchique.
b) Fonction financière
c) Fonction de sécurité
Elle comporte deux aspects, à savoir : la sécurité des personnes et celle des
biens. Cette fonction est à considérer comme responsable de développement
de l'esprit de sécurité dans une entreprise et moyen d'entreprise pour la
protection de tous.
44
CHAPITRE II : GENERALITE SUR L’ORGANISATION ET
CONSIDERATION GENERALE SUR L’ORGANISATION COMPTABLE
Tous les partenaires de l’entreprise tels que les clients, les fournisseurs, les
banquiers, l’Etat, les investisseurs, les préteurs, etc. trouvent en comptabilité
générale une source d’information irremplaçable. Elle leur permet de
s’informer sur la situation financière de l’entreprise et ses résultats.
Vu son caractère important et légal, la comptabilité générale ne peut se faire
selon la fantaisie de chacun, elle est règlementée et fait l’objet de dispositions
légales. C’est pour cette raison que la comptabilité des entreprises a donné lieu
à une normalisation dans le but d’harmoniser la présentation des états de
synthèse, les méthodes comptables et la terminologie utilisée.
C’est ainsi que le législateur a défini une méthodologie selon laquelle
l’entreprise peut tenir sa comptabilité pour arriver aux objectifs visés par la
normalisation comptable, l’organisation comptable de l’entreprise.
L’objectif de l’organisation comptable préconisé est de définir l’architecture
matérielle légale qui garantit la fiabilité et l’homogénéité des informations.
La comptabilité doit être absolument fiable, non seulement pour informer
correctement le chef d’entreprise, mais aussi, et c’est primordial, parce qu’elle
est toutes sa force probante et sa valeur juridique vis-à-vis de tous les tiers
avec qui l’entreprise est en relation.
Elle est donc soumise à des obligations légales strictes, et elle doit être
organisée de façon à faciliter le travail d’enregistrement, d’établissement des
états annuels de synthèse et de contrôle.
Il en résulte :
Sur le plan juridique : l’obligation de tenir certains livres et d’appuyer les
écritures comptables sur des pièces justificatives
45
Sur le plan organisationnel : de prévoir une organisation et des
procédures permettant de respecter les règles juridiques.
Il doit de plus être possibles d’examiner et de contrôler la validité d’un
enregistrement en la comparant avec la pièce de base ou la pièce
récapitulatives. De s’assurer de la concordance entre les opérations saisies
dans les journaux et les comptes du Grand livre.
46
SECTION 2 : DEFINITION DU CONCEPT ET L’ORGANISATION
COMPTABLE D’UNE ENTREPRISE
1. DEFINITION DU CONCEPT
Le journal est un livre coté et paraphé par les autorités compétentes dans
chaque état dont la loi impose la tenue à tout commerçant. Il est destiné à
enregistrer sans blanc, ni altération, dans un ordre chronologique, tous les
mouvements affectant le patrimoine de l’entreprise.
47
- Le journal de caisse qui enregistre au jour le jour les encaissements et les
décaissements de l’entreprise ;
- Le journal des achats, quant à lui, constate les mouvements d’entrée des
biens ;
- Le journal des ventes enregistre les mouvements de sortie des biens ;
- Le journal des opérations diverses qui constate les opérations non prises
en compte ailleurs.
2.2. Elaboration du plan comptable
48
- L’existence des cachets et signatures ;
- La justesse des calculs ;
- La concordance entre les factures, bon de commande et bordeaux de
livraison s’il y’a lieu.
Lorsque décèle des anomalies sur les pièces qu’il vérifie, le comptable procède
à leurs corrections par des émetteurs de ces pièces avant leur enregistrement
dans la comptabilité.
Après avoir été vérifiées par le comptable, les pièces justificatives sont
imputées à l’aide d’une pièce d’imputation comptable (PIC).
Les pièces comptables doivent être saisies sans retard dans la chronologie des
opérations.
49
2.3.4. Contrôle des saisies
50
Comptabilité financière Comptabilité de gestion
Objectif légal Objectif de pilotage
Elle produit des informations destinées à Elle produit des informations destinées
des utilisateurs externes de l’entreprise aux utilisateurs à l’entreprise
(Etats, Associés, Apporteurs de capitaux, (gestionnaires de l’entreprise).
clients, Fournisseurs, Salariés…).
Elle établit des documents comptables Les informations produites par la
annuels (Bilan, Compte de résultat…) pour comptabilité de gestion (Calcul de couts,
satisfaire à des obligations légales en prévisions, évaluation des stocks…)
matière de communication financière. permettent d’aider à la prise de décision.
L’analyse de ces documents permet (On peut egalement parler de pilotage de
également aux gestionnaires de prendre l’entreprise).
des décisions stratégiques.
Elle a un caractère obligatoire. Elle a un caractère facultatif, les PME
(petits et moyes entreprise) ne mettent
souvent pas en place de comptabilité de
gestion car cela a un coût élevé.
Elle doit respecter les normes strictes. Il n’y a pas de normes à respecter (car les
informations sont utilisées en interne). La
comptabilité de gestion mise en place
dépend de la taille de l’entreprise, de ses
besoins et de ses objectifs. Dans les
petites entreprises, il n’y a souvent pas de
comptabilité de gestion car le coût de sa
mise en œuvre serait trop important (que
ce soit sur le plan financier ou sur le plan
des ressources humaines à mobiliser).
Plus l’entreprise est grande, plus la
comptabilité de gestion est développée
car elle constitue un outil précieux pour la
prise de décisions.
On parle de contingence de la
comptabilité de gestion.
51
II. POURQUOI ET COMMENT LA COMPTABILITE EST-ELLE
NORMALISEE ?
52
III. LES ENJEUX DE L’INFORMATION DE LA COMPTABILITE
Sous la pression de la concurrence, les entreprises doivent être réactives,
travailler en temps réel et donc obtenir immédiatement les informations
nécessaires à une prise de décision.
Par exemple, les entreprises veulent connaitre chaque jour le chiffre d’affaires
qui a été réalisé pour prendre éventuellement des mesures correctrices
rapidement. (Baisser les prix de vente pour relancer les ventes).
53
SECTION 3: CONSIDERATION GENERALES SUR
L’ORGANISATION COMPTABLE
Peter DRUKER disait que « l'organisation n'est pas une fin en soi mais un moyen
de réaliser le bon fonctionnement de l'entreprise et d'obtenir le résultat qu'elle
se propose ».
C'est pourquoi, toute entreprise qui se crée doit avoir les structures fiables
avec comme fondation l'organisation, qui est en fait un courrier de
transmission transformant toutes les activités de l'entreprise à une commande.
Cette organisation sera d'autant plus efficace, stable et plus directe que
lorsqu'elle aura moins à peser sur les activités individuelles des collaborateurs
en modifiant leur rythme de travail.
2. DEFINITION DE L'ORGANISATION
Elle est définie encore comme étant une science qui étudie le principe de
gestion de l'entreprise et elle a comme instrument de travail.
54
Sur le plan technique, l'organisation peut être définie comme la combinaison
harmonieuse de l'ensemble des moyens nécessaires au fonctionnement d'une
entreprise en vue d'obtenir le meilleur rendement.
L'organisation n'est pas la copie d'un ensemble des procédés aux recettes,
mais il s'agit avant tout de créer un état d'esprit qui tend à œuvrer vite et bien,
c'est-à-dire avec méthode.
Pour mettre au point une organisation comptable, nous devons suivre deux
optiques qui sont :
- Organisation matérielle ;
55
- Organisation conceptuelle.
Il faut :
- L'éclairage
- L'absence de bruit
56
A.1) Les aspects relatifs à l'organisation du travail du comptable :
Un bon comptable est celui qui note toujours par écrit avec date à l'appui
certaines opérations pour ne pas les oublier.
Comptabilité générale
Comptabilité budgétaire
Il est à noter que le nombre des services qui fonctionnent au sein de la division
de la comptabilité dépend de la taille de l'entreprise.
57
Cette structure a pour rôle :
- Les locaux,
- Les machines,
- L'ordinateur, etc.
58
Ainsi, le personnel à affecter au service comptable devra être qualifié et formé
techniquement, « Caissier, Aide comptable, Chef comptable, Comptable,
Analyste financier, Expert-comptable, Secrétaire et Huissier ».
Date de l'opération,
Le numéro d'ordre de l'opération,
Les comptes mouvementés par l'opération,
Les libellés,
Les flux de l'opération.
Marchandise
A Caisse
Achat Marchandise au
comptant
b. Grand livre : Le grand livre est l'ensemble des comptes classés en ordre,
dans lesquels sont enregistrées les opérations liées à chaque compte.
60
Il donne les détails de toutes les écritures comptabilisées par numéro de
compte. C'est-à-dire le grand livre n'est rien d'autre que l'ouverture de chaque
compte enregistré dans le journal.
D 30 C D 57 C D 10
Nous avons plusieurs sortes des balances, parmi lesquelles nous pouvons citer :
- La balance à 4 colonnes
- La balance à 6 colonnes
- La balance à 8 colonnes
Tracé de la balance
61
2.2) Documents comptables
- Faciliter la décision ;
Ex. : le bilan d'une société est une information structurée, dont la source
provient des différents documents comptables bruts (facture, bulletin de paie,
etc.).
- Fiable ;
62
- Pertinente ;
- Disponible.
a. Définition
Une pièce justificative est un document par lequel le service comptable est
informé et peut traduire, en langage comptable. Les pièces justificatives
fournissent la matière des écritures comptables auxquelles elles confèrent,
selon leur origine, une force probante plus ou moins grande.
63
Pièces permanentes :
Pièces courantes
Les flux des pièces justificatives doivent être organisé. Cette organisation est de
la compétence du chef de l'entreprise. Elle est étroitement dépendante de la
structure de l'entreprise et doit obéir aux principaux suivants :
64
3. INTERET ET OBJECTIF DE L'ORGANISATION COMPTABLE
- de préparer le travail ;
Elle permet :
- Système classique ;
- Système centralisé.
a) Système classique :
C'est le système le plus simple, pratique et clair, car il suppose l'emploi de trois
éléments comptables ou registres comptables :
- Le journal classique ;
66
- Le grand-livre ;
- La balance.
Pièces justificatives
Journal unique
Grand-livre
Balance
Bilan TFR
JOURNAL GRAND-LIVRE
N° N°Cpte D N°Cpte C Libellés D C D C D C D C
Date
67
- un caissier muni d'un livre de caisse qui va inscrire toute opération de
recette ; - un comptable chargé d'achat enregistre sur un livre spécial des
achats effectués ;
Journal
Grand livre
Caisse
Effet à recevoir
Effet à payer
Ventes
Achat
BALANCE
N° Compte Compte Sommes Soldes
D C D C
c) Système centralisateur :
68
Un journal originaire des opérations diverses est ouvert pour enregistrer les
faits de nature unique après que toutes les opérations principales ont été
écoulées pour être porté dans les journaux spéciales.
Balance
Balance
Caisse
Effet à recevoir
Effet à payer
Vente
Achat
Journal
69
Grand livre
- Inventaire permanent :
- Inventaire intermittent
Ces méthodes concernent l'évolution des entrées et des sorties des stocks :
70
- Les entrées en stock sont évaluées au cout d'achat ;
- Les sorties partent du principe comptable qui dit que tout le stock entré dans
le magasin doit sortir au prix auquel il était entré.
Cette méthode consiste à évaluer les sorties au coût d'entrée. On ignore toutes
les fluctuations de prix pouvant intervenir depuis l'entrée du lot en magasin. Il
tend à diminuer le coût de production en période de baisse.
Les sorties sont calculées d'après les dernières entrées, d'abord les lots les plus
récemment achetés. LIFO a pour effet de produire des coûts de production
supérieur à la normale et d'évaluer les stocks à des prix trop bas.
71
Elle est basée sur le coût établi à priori pour chiffrer les mouvements des
matières en valeur. Le coût préétabli est utilisé en vue d'une analyse de la
gestion de l'entreprise, par l'étude des écarts entre les charges réelles et les
charges préétablies.
Cette méthode consiste à valoriser les quantités sorties aux valeurs unitaires
stables. On élimine ainsi les fluctuations de prix pour permettre une rapidité
d'exécution des travaux.
b) Le décalque manuel
a) Le décalque mécanique
72
Il s'agit de la possibilité donnée par certaines machines automatiques de faire
du décalque sans carbone, grâce à la répétition automatique.
73
Cette partie comprend les principes généraux relatifs à la méthode, à
l'enregistrement des opérations et aux obligations devant être tenues dans
l'entreprise.
Elles traitent les principes régissant l'évaluation des immobilisations, des titres,
des stocks et des questions relatives aux dépréciations et la réévaluation.
Le cadre des comptes indiqués dans le plan comptable général regroupe les
comptes de situation de la période (compte de bilan) ainsi que les comptes
d'exploitation et hors exploitation (compte de gestion). Ce cadre comprend 9
classes de comptes ci-dessous :
74
d) Les chiffres de comptes
Ils reprennent pour chaque compte principal, son contenu, ses modalités de
fonctionnement ainsi que tous les commentaires possibles pour rendre aisée
l'application du plan comptable.
La liste des comptes indique pour un comptable le niveau donné des comptes
à utiliser obligatoirement par l'utilisateur du plan à condition naturellement
que les éléments de leurs contenus se retrouvent dans sa gestion. Elle sert de
base d'ouverture des comptes divisionnaires et de sous-comptes au niveau
d'études comptable sectoriel ou professionnel.
- Le bilan ;
- Le tableau de financement ;
75
IV.2) Le plan comptable particulier
76
PARTIE 3 : CRITIQUES ET SUGGESTIONS
CHAPITRE I : CRITIQUES
77
Au cours de notre passage dans l’entreprise « NSAPRES » nous avons relevé
deux principales insuffisances qui sont :
- L’organisation de base,
- Les procédures comptables.
Le personnel comptable n’est pas suffisant et n’a pas reçu parfois une
formation suffisante ; ce qui entraine des retards dans la production des états
financiers.
78
I.2. Au niveau des procédures comptables
Nous avons constaté que les comptes ne sont pas analysés et justifiés de
manière régulière ; ce qui entraine un encombrement en fin d’année rendant
difficile la détection des erreurs et les omissions ou fraudes commises. Par
ailleurs, les services comptables adaptent très souvent une position d’attente.
Les documents ne sont enregistrés que dans la mesure où ils sont transmis par
les services opérationnels. Les procédures de confirmation des soldes (clients
et fournisseurs) ne sont pas mises en œuvre.
De plus, nous avons remarqué une méconnaissance totale par les services
opérationnels ; des informations nécessaires aux services comptables.
79
I-2.4. Les services de contrôle interne
80
CHAPITRE 2 : SUGGESTIONS
81
comptables permet egalement de connaitre les modalités de comptabilisation
de certaines opérations particulières.
Les procédures décrites doivent être précises et toucher tous les cycles
d’activités de l’entreprise (achats, ventes, stocks, immobilisations, trésorerie,
revenus-créances d’exploitation, personnel, paie).
83
II.3. La nécessité en cas de traitement informatisé des informations,
84
CONCLUSION
85
BIBLIOGRAPHIE
86