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Semestre : S6
RAPPORT DE STAGE
Sous le thème :
Réalisé par :
MARWANE ELFAIHAKI
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DEDICACE:
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Remerciement :
Je tiens à remercier dans un premier temps, toute l’équipe pédagogique de l’Ecole Nationale de
Commerce et de Gestion El Jadida (ENCGJ) pour avoir assuré la partie théorique de ma
formation pour la troisième année.
Je tiens aussi de remercie Mme ZAHIRA NAIT HAMMO la directrice de cabinet « ZAHIRA
BELHASSAN CONSEILS » qui a accepté généreusement de m’accorder ce stage et la
gentillesse qu’il a toujours manifesté à mon égard. Je le prie d’accepter l’expression de ma
respectueuse gratitude. Et ne pas oublier de remercie tout le personnel de cabinet « ZAHIRA
BELHASSAN CONSEILS », particulièrement LAMYAA EL ACHEJAI (aide comptable) et
SIHAMOU RABIAA (stagiaire) pour les informations qu’il m’a fournies tout au long de ce
stage et pour toutes les explications et l’éclaircissement qu’il m’a apporté au sujet des
différents processus mis en œuvre, ses connaissances en Domain de gestion des entreprises
m’ont beaucoup aidé.
Ce stade vise essentiellement à initier les stagiaires au rythme de travail au sien d’une
entreprise, à respecter les règlements intérieurs et les horaires, de plus, il attribue à l’étudiant la
possibilité de se doter d’une expérience professionnelle.
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AVANT-PROPOS
Toute formation théorique doit être complétée par des stages afin d’accumuler le maximum
d’expériences professionnelles.
Le stage constitue pour le stagiaire un moyen d’acquérir une expérience, d’améliorer ses
compétences professionnelles et ses performances, lesquelles lui offrent une facilité d’intégration
dans le domaine de la vie active, ce qui l’aidera à maitriser ses tâches et à assurer ses
responsabilités d’une façon efficace.
D’abord, ce stage représente, pour moi, une occasion de découvrir le monde de l’entreprise à
travers des activités pratiques. De mettre en application mes connaissances théoriques à travers
le réel.
La formation professionnelle comme investissement immatériel constitue donc un facteur
stratégique de développement de l’entreprise nouvelle utilisant la synergie de son potentiel
technique et humain en faveur ! d’une productivité mieux maîtrisée.
Ce stage m’a permis de se familiariser avec le rythme du travail au sein d’une entreprise, et m’a
offert une nouvelle expérience professionnelle. De plus, il m’a permis d’acquérir des
connaissances pratiques au niveau de la gestion comptable, fiscal, juridique et social des
entreprises.
Ce rapport de stage regroupe des informations théoriques et pratiques, la synthèse de toutes les
connaissances acquises durant toute la période du stage.
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SOMMAIRE :
Dédicace................................................................................................2
Remerciement.......................................................................................3
Avant-propos ....................................................................................................4
Introduction générale......................................................................................6
Conclusion...............................................................................................................32
Webographie............................................................................................34
Table de matières....................................................................................35
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Introduction générale:
Au moins une fois par an, à la fin de l'exercice, le comptable dresse la synthèse de ces
informations, des documents spécifiques ; ces différentes tâches devenues aisées grâce au
développement du système informatique qui permet la prise en charge du traitement des
informations, de leur analyse et d'édition des états de synthèse.
Depuis toujours, la comptabilité est considérée comme le tableau de bord qui guide toute
entreprise dans le monde de la gestion des affaires.
De plus la loi impose la tenue d’une comptabilité dans toutes les entreprises et celle-ci devient
une source d’informations pour les partenaires internes et externes.
Ainsi, tenir une comptabilité régulière donne l'image réelle du bon fonctionnement de
l'entreprise et permet de faire un audit général du plus petit détail aux grandes œuvres réalisées
au sein de la société.
C'est dans ce contexte que se situent les cabinets de comptabilité, et d’audit par leurs rôles
primordiaux contribuent à la bonne santé de toute entreprise qu'elle soit physique ou morale.
Donc qu’elles sont les tâches effectuées par un cabinet de comptabilité pour que les
entreprises clients du cabinet ne rencontre aucuns problèmes au niveau juridique et
fiscale ?
Pour répondre à cette problématique on va parler dans un premier lieu d’une présentation des
cabinets comptable , ensuite on va détailler les différentes tâches faites par un cabinet de
comptabilité , et pour terminer on va traiter un thème très intéressant qui compte sur la procédure
de la création d’une entreprise.
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CHAPITRE I :
Généralités et
présentation de
l’entreprise
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Avant de procéder à la présentation de l’entreprise en question, il convient de définir les
concepts de la comptabilité et de la fiscalité ainsi que leur rôle dans la gestion et la
réglementation d’une entreprise.
Le système de facturation :
Le système comptable détermine les modalités de suivre le chemin qu'un comptable doit suivre
enregistrement des événements comptables. Toute société de fiducie utilise un système
comptable qui semble être plus approprié.
Du côté juridique, la loi oblige chaque entreprise à tenir une comptabilité. Cette dernière sert de
base pour le calcul des impôts que l’entreprise verse à l’Etat.
La signification étymologique du mot « fiduciaire » est originaire du mot latin « fiducia » qui
veut dire « confiance », se dit des valeurs fictives fondées sur la confiance accordée à celui qui
les émet. Au sens large, un fiduciaire est une entreprise dont le but est d’assister les entreprises
industrielles ou commerciales de forme individuelle ou sociétaire, dans l’organisation et la
gestion administrative, financière et juridique de leur patrimoine. Elle est caractérisée par la
confiance réciproque entre clients et leur conseillé basée sur les connaissances approfondies de
la réglementation. Le fiduciaire a pour objet d’effectuer les travaux comptables (établissement de
journal, grand livre, bilan), juridiques (constitution d’entreprises), fiscaux (impôts et taxes) et
sociaux (CNSS, AMO) … pour le compte des entreprises privées.
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Section 1 : Identification du cabinet
1- Définition du cabinet :
L’Établissement, est une société de petite taille la forme d’une SARL, s’occupant de la
comptabilité et de la fiscalité. Il doit établir chaque année un inventaire des éléments actifs et
passifs, arrêter tous les comptes en vue d’établir le bilan, pour compte des personnes physiques
ou morales.
2- Fiche signalétique
Figure 1
EFFECTIF DU
PERSONNEL 4
N° ICE 000095859000058
IDENTIFIANT
FISCALE 3344320
IDENTIFIANT DE LA
TAXE
PROFESSIONNELLE 28893336
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3- L’organigramme du cabinet ZAHIRA BELHASSAN CONSEIL
Figure 2 :
Le travail d’un cabinet de comptabilité est dispatché en quatre grandes catégories au premier lieu
le volet fiscal qui se concentre particulièrement sur la Taxe sur Valeur Ajoutée (TVA), l’Impôt
sur les Sociétés (IS) et enfin l’Impôt sur le Revenu (IR)le deuxième aspect c’est le social à
travers les grandes familles de prestations sociales fournies par la Caisse Nationale de la Sécurité
Sociale (CNSS) troisièmement les travaux de la tenue de la comptabilité afin d’établir les états
de synthèse en dernier le lieu la création des sociétés.
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Section 2 : Présentation des services du cabinet :
1- La direction générale :
La direction est l’organe le plus important dans l’organisation d’une entreprise
fiduciaire. Présidée par Mme ZAHIRA NAITHAMMO détient les principales décisions, assurer
la responsabilité du groupe, et vu la nature de son travail, il est aussi plus discret et souvent en
déplacement.
2- Le service comptabilité :
Le rôle de ce service se résume dans le classement des pièces justificatives apportées
par les clients, et cela en distinguant entre les achats et les ventes, par chèque ou en espèces. Il
s’occupe aussi de la passation des écritures comptables aux différents journaux auxiliaires afin
de suivre l’activité des entreprises en question.
3- Le service de fiscalité :
Ce service a la charge de la réglementation fiscale des entreprises, il établit les déclarations
mensuelles ou trimestrielles des différents impôts tel que : la taxe sur la valeur ajoutée (TVA),
l’impôt sur le revenu (IR) et aussi l’impôt sur les sociétés (IS). Et enfin, il prend en charge tout
ce qui social, à savoir les différentes prestations servies par la caisse nationale de sécurité sociale
(CNSS) : allocations familiales, indemnités, pension, …
4- Le service informatique :
Ce service est directement lié aux autres services déjà cités. Il traite par ordinateur, les
différentes écritures comptables afin de les conserver comme base de données. En plus, il
s’occupe de la mise en page et l’impression des différents documents essentiels au
fonctionnement des différents services.
Les principales fonctions de ce service peuvent être résumées comme suit :
Rechercher les renseignements nécessaires à la réalisation d’un travail.
Recevoir, enregistrer, diffuser et trier le courrier.
Classer et conserver les dossiers.
Classer les différents documents émis et reçus.
Tenir les différents registres d’activités (registre courrier départ, courrier
arrivé, registre des communications téléphoniques et fax).
Rédiger des comptes rendus et notes diverses.
Gérer et classer des documents dans une banque de données informatisée et faire
le traitement de texte.
Recevoir et transmettre des communications téléphoniques.
Passation des écritures comptables.
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5- Le service juridique :
Ce service s’occupe de tout ce qui est de nature juridique. Il joue le rôle de source
d’informations ou de guide pour les créateurs d’entreprises, et s’occupe de toute la
réglementation nécessaire à la constitution d’une entreprise. De même, ce service intervient en
cas d’augmentation de capital, en cas de changement de la forme juridique ou en cas de
dissolution d’entreprises.
Le service vient d’organiser le travail du cabinet et même de l’encadrer pour ne pas tomber dans
l’erreur.
La fidélité est une approche que l’entreprise cherche à assurer pour sa clientèle afin de
promouvoir une très bonne qualité de service, car elle offre, à temps, à chacun de ces clients sa
situation patrimoniale par l’établissement des documents comptables, tel que le bilan, C.P.C et
d’autres documents.
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Préparation et dépôt de toutes les déclarations fiscales et sociales ;
Prise en charge de tous les dossiers juridiques, fiscaux, sociaux ;
Directe auprès des administrations (Impôts, CNSS, Tribunal Commercial, Banque …) ;
Le cabinet a pour régulariser les instances des sociétés et les problèmes générés par
la mauvaise gestion comptable en matière d’IS, TVA, IR ;
Suivre la procédure de la création des sociétés ;
La tenue d’une comptabilité régulière : La comptabilité générale joue un triple rôle dans la
gestion de l’entreprise : elle constitue un instrument de gestion, un moyen de preuve et un outil
d’information pour les tiers, les investisseurs, les banques, l’administration fiscale, …
Ceci dit, la comptabilité joue un rôle très important dans la gestion de l’entreprise et la tenue
régulière de cette comptabilité est indispensable. C’est pour cela que les entreprises, souvent les
petites et moyennes entreprises, choisissent de déléguer cette mission aux cabinets comptables
tels que « ZAHIRA BELHASSAN CONSEILS ».
Cette dernière s’occupe de la tenue régulière de la comptabilité. Elle recueille tous les documents
comptables et les pièces justificatives nécessaires et s’occupe de la saisie, du traitement et de
l’analyse de ces documents pour aboutir à la détermination du résultat d’exploitation.
Le cabinet comptable reste toujours un outil et un instrument d’information pour les clients, pour
tout conseil fiscal ou social dont ils pourraient avoir besoin pour le bon fonctionnement de leurs
activités.
Elle s’occupe aussi de tout ce qui est réglementation fiscale : en établissant les déclarations
mensuelles ou trimestrielles de la TVA et en calculant les différents impôts à verser à l’Etat. Le
cabinet prend en charge tout ce qui social : il s’agit bien sur des allocations familiales, des
indemnités et des pensions versées à la caisse nationale de la sécurité sociale (CNSS).
Une société doit être créée légalement sous forme juridique déterminée : Il s’agit soit d’une
personnalité physique ou morale de l’entreprise. Dans le deuxième cas, c’est-à-dire la
personnalité morale, on distingue plusieurs types de sociétés tels que la société à responsabilité
limitée (SARL), la société anonyme (SA), la société au nom collectif (SNC), la société en
commandité simple (SCS) et la société en participation (SEP).
Dans ce cadre, on peut dire que la fonction d’un comptable est devenue de plus en
plus complexe, plus valorisante et très motivante pour ceux qui l’exercice.
En effet dans tous les secteurs d’activités l’entreprise demandera aux comptables d’avoir autre la
technique de base de comptabilité des connaissances linguistique, comptables, informatique,
commerciales, humaines.
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Chapitre II : Les tâches
effectués au sein d’un
cabinet de
comptabilité :
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Un cabinet de comptabilité est une entreprise qui fournit des services de comptabilité et de
conseil fiscal à des entreprises et des particuliers. Les tâches effectuées par un cabinet de
comptabilité peuvent inclure :
Tenue de livres comptables : le cabinet peut effectuer la tenue des livres comptables pour les
clients, enregistrant toutes les transactions financières de l’entreprise et en veillant à ce que toutes
les pièces sont à jour.
Déclarations fiscales : le cabinet peut également préparer et soumettre les déclarations fiscales
pour les clients, en veillant à ce que les clients bénéficient de toutes les déductions fiscales
possibles.
Audit et certification des comptes : le cabinet peut effectuer des audits et certifier les comptes des
entreprises afin de s’assurer que les états financiers sont exacts et conformes aux normes
comptables.
La gestion de trésorerie : cela implique la gestion des flux de trésorerie de l'entreprise, y compris
la prévision des entrées et sorties de fonds, la gestion des comptes bancaires et le suivi des
dépenses.
La réalisation de missions d'audit et de contrôle interne : cela consiste à vérifier les comptes de
l'entreprise pour s'assurer de leur exactitude et de leur conformité aux normes comptables et
fiscales.
La préparation des états financiers : cela implique la préparation des états financiers annuels de
l'entreprise, y compris le bilan, le compte de résultat et le tableau de flux de trésorerie.
Le conseil en gestion financière : cela implique de conseiller les clients sur la gestion de leur
trésorerie, la planification financière, la gestion des risques et autres questions financières.
Ces tâches ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction des besoins de chaque
entreprise et des services proposés par le cabinet comptable
Durant le stage, plusieurs missions m'ont été confiées Que ce soit sur le plan comptable, fiscal ou
social. Ces attraits Implique plusieurs types d'industrie, l'agriculture ou commercial : cela nous
permet de mieux contrôler les étapes et les procédures comptables et fiscales
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Section 1 : Au niveau de comptabilité :
Nous avons précédemment défini un système comptable comme est un système qui
détermine les méthodes et les processus Travail. Il retrace en quelque sorte le processus
comptable Suivez pour enregistrer correctement les écritures comptables.
Figure 3 :
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La première étape consiste à rassembler les pièces justificatives du client. Ces documents
prennent généralement la forme de factures, de relevés et d'avis bancaires et de bons de
caisse pour les encaissements et les paiements. Ces fichiers sont classés puis enregistrés
dans le journal correspondant selon les procédures de travail ci-dessus
Il est chronologique et selon la nature des événements Quatre fichiers sous forme de classeur :
Les opérations d’achats : Ce classeur comporte toutes les opérations (factures, bons, …) d’achats
classées selon la nature de règlement, en espèces ou par chèque bancaire.
Les opérations de ventes : Il s’agit de toutes les factures de ventes qu’elles soient payées par
chèque ou en espèces.
Les opérations bancaires : Ce classeur contient tous les documents et pièces bancaires (relevés,
avis de crédit, avis d’encaissement ou de versement, …).
Ceci dit, le classement est une procédure qui permet de rendre l’enregistrement comptable plus
efficace et plus organisé, et facilite par la suite la vérification et le contrôle des écritures
comptables.
2- Passation des écritures comptables :
Après avoir classé les pièces justificatives reçues de la part des clients, on procède ensuite à
l’enregistrement comptable des opérations au livre journal et au grand livre.
Ce travail se fait quotidiennement chaque fois que les pièces justificatives sont disponibles afin
de garantir la bonne organisation de l’imputation comptable.
Pour cela, on utilise un logiciel SCOMPTA qui permet de tenir une comptabilité régulière, de la
saisie des écritures au journal jusqu’au bilan et compte des produits et charges, en passant par les
différents travaux d’inventaires. Le schéma suivant explique les étapes de l’enregistrement et de
l’imputation comptable à partir des pièces justificatives :
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Figure 4 :
2-1 Le journal :
Le journal est un document comptable dans lequel les éléments affectant le patrimoine de
l'entreprise sont enregistrés séquentiellement par opérations et dans l'ordre chronologique. Un
seul journal ou journal est souvent divisé en "journaux de division" ou "journaux auxiliaires" qui
reçoivent les relevés d'opérations courantes du même type.
Leur avantage est une utilisation plus facile pour la saisie des transactions, une consultation plus
rapide et donc un contrôle. Il existe cinq types de journaux subsidiaires : journal des ventes,
journal des achats, journal de caisse, journal bancaire et journal des transactions diverses.
Ce journal sert à enregistrer toutes les factures et bons de ventes réglés en espèces ou à crédit.
L’opération de vente met en jeu soit le compte « clients » soit un ou plusieurs comptes de
trésorerie qui sont débités par le montant des ventes et le compte.
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2-1-2 Journal des achats :
Dans ce journal, on enregistre toutes les opérations d’achats quel que soit le mode de règlement
par espèces ou à crédit. Le compte « achat de marchandises » et celui de la « TVA récupérable »
sont débités et en contrepartie, le compte « Fournisseurs » ou un autre compte de trésorerie est
crédité.
C’est un journal de trésorerie dans lequel nous comptabilisons toutes les opérations qui
entraînent un accroissement de l’avoir en caisse. Il recense par ordre chronologique tous les
événements de caisse (les entrées et les excursions) pour une période donnée. Il est important de
signaler que le compte « caisse » doit toujours présenter un solde débiteur ou nul, il ne peut en
aucun cas avoir un solde créditeur. Pour cela, il est nécessaire de procéder à l’alimentation de
caisse soit par le compte courant( s’il s’agit d’une société de capitaux), soit par le compte de
l’exploitant( s’il s’agit d’une société de personnes).
Ce journal est tenu pour chaque banque, il permet de renfermer les mouvements bancaires
désignés dans les relevés. Mais pour commencer les écritures comptables, il faut évidemment
disposer de toutes les pièces justificatives émises par les sociétés (relevés bancaires, talons de
chèques, ordres de virement ou de versement, …).
Ceci dit, nous procédons à l’enregistrement de toutes les opérations qui entraînent un
accroissement de l’avoir en banque (mouvements d’espèces, bordereaux de remise chèque sur
place, virement bancaire fais par le client, effets encaissés, …) ainsi que toutes celles qui se
traduisent par des retraits de fonds (règlements aux fournisseurs, paiements des agios, …).
Comme son appellation l’indique, ce journal sert à l’enregistrement des opérations diverses qui
ne figurent pas dans les autres journaux auxiliaires. Il est réservé aux écritures qui n’ont aucune
relation avec la trésorerie à savoir : les salaires, la régularisation des amortissements et les autres
travaux et redressements de fin d’exercice.
Après l’enregistrement des opérations dans les journaux auxiliaires, ces écritures sont vérifiées et
contrôlées une deuxième fois pour éviter toute faute de saisie. Ensuite, et après le contrôle, on
procède à la validation des écritures pour qu’elles soient enregistrées définitivement.
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2-2 Le grand livre :
Le grand livre est registre indispensable qui représente l’ensemble des comptes de l’entreprise. Il
a pour objet de regrouper les opérations de même nature figurant au livre journal.
Le grand-livre contient les champs suivants : le numéro du journal, le numéro de la pièce, la date
de création de la pièce, le libellé, le débit, le crédit et le solde. Il est aussi établi par ordinateur
qui sanctionne de tirer les soldes par compte comme ci- dessous …
2-3 La balance :
La balance est un document récapitulatif qui sanctionne une analyse synthétique des comptes.
D’une part, il sanctionne de suivre l’évolution de la situation économique de l’entreprise et
sanctionne d’autre part, de détecter les erreurs puisqu’elle vérifie les trois égalités suivantes :
2-4 Le bilan :
Le bilan est un document comptable qui peut être considéré comme une photographie de la
situation économique et financière d’une entreprise. L’actif du bilan correspond aux dettes de
l’entreprise, tandis que le passif du bilan à ses obligations.
Le cabinet comptable « ZAHIRA BELHASSAN CONSEIL » initie à préparer les bilans des
sociétés clientes au commencement du mois de janvier jusqu’à la fin du mois de mars, qui
représente la période du bilan, conformément à la loi du Dahir n° 1-92-138 du 25 décembre 1992
qui dicte :
Art.1O : « le bilan décrit séparément les éléments ACTIF et PASSIF de l’entreprise, le compte
de produits et charges récapitulées, produits et charges de l’exercice sans que soit tenu compte
de leur date d’encaissement ou de paiement.
L’état des soldes de gestion décrit la formation du résultat net et celle de l’autofinancement. Le
tableau met en évidence l’évolution financière de l’entreprise ou de l’exercice en décrivant les
ressources dont elle est disposée et les emplois qu’elle en a effectués. L’état des informations
complémentaires, complète et commente l’information donnée par le bilan, le Compte de
Produits et Charges, l’état des Soldes de Gestion et le Tableau de financement ».
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2-5 Le compte des produits et charges
Le compte des produits et charges, est un tableau qui regroupe et décrit l’ensemble des charges
supportées par l’entreprise, ainsi que les différents produits réalisés.
Le CPC est établi à partir des "comptes de gestion", produits et charges, tenus durant l'exercice
et rectifiés en fin d'exercice, par les diverses écritures d'inventaire. Son solde créditeur (excédent
des produits sur les charges) exprime un résultat bénéficiaire (bénéfice net), tandis que son solde
débiteur (excédent des charges sur les produits) représente un résultat déficitaire (perte nette).
Le report de ce solde dans le bilan de fin d'exercice et l'équilibre arithmétique de ce bilan
illustrent la méthode de "la partie double" usée par la comptabilité normalisée.
Ces tâches ne sont pas exhaustives et peuvent varier en fonction des besoins de chaque entreprise
et des services proposés par le cabinet comptable en matière fiscale.
Cependant, elle n’est pas généralisée et son champ d’application est limité aux :
• Opérations de nature industrielle, commerciale, artisanale ou relevant de l’exercice
d’une profession libérale accomplie au Maroc ;
• Opérations d’exportation, et aux opérations réalisée à l’importation.
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Selon les opérations effectuées on distingue, des opérations obligatoirement imposables et des
opérations imposées par option et enfin des opérations qui sont exonérées sans droit à déduction
et d’autres qui sont exonérées avec droit à déduction.
Régime encaissement (droit commun) : c’est le plus connus et utilisé par les entreprises, le
règlement de TVA s’attache avec les factures qui sont totalement réglées dans une période de
déclaration spécifiée.
Régime débit (optionnel) : pratiqué par les grandes entreprises qui ont un grand nombre du
factures effectuées par jour, car c’est important pour payer la TVA sur les factures qui sont soit
réglées ou non dans une période de déclaration pour éviter les erreurs.
TVA mensuelle : est appliquée pour les sociétés dont le chiffre d’affaires annuel atteint
à excès de 1 000 000.00 de dirhams.
TVA trimestrielle : est appliquée pour les sociétés dont les chiffre d’affaires annuel
est inférieur à 1 000 000.00 de dirhams.
Si TVA facturée est supérieure de TVA récupérable sur charge, on paie la différence entre les
deux TVA. En cas de retard de paiement de TVA, en plus de montant dû on paie une amende de
500DH.
Si TVA facturé est inférieur de TVA récupérable sur charge, dans ce cas on ne paiera rien et la
différence restante nommé crédit en rouge sera reportée à la prochaine déclaration et qui sera
ajoutée au montant de TVA récupérable/charge. En cas de retard de la déclaration il y aura une
perde de 15% du montant de TVA rouge.
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2- L’impôt sur les revenues
2-1 Définition :
C'est un impôt direct qui s'applique aux catégories des revenus suivants :
* Revenus professionnels.
* Revenus provenant des exploitations agricoles.
* Revenus salariaux et assimilés.
* Revenus de la location des biens immobilisés.
* Revenus des capitaux mobiliers.
Pour résumer tous les cheminements de la détermination du montant de l'impôt à retenir nous
vous représentons ci-dessus les étapes à suivre :
Le revenu imposable est obtenu en sommant les différents revenus nets dont dispose le
contribuable pendant l'année civil et après déduction d'un certain nombre de charges réputées à
caractère sociale.
Le barème de l'IR est fixé par l'administration fiscale il s'applique à tous les revenus rentrant
dans le champ d'application de l'IR mais les modalités de détermination du revenu
imposable différent selon la nature du revenu considéré.
Figure 5 :
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Selon le barème, on détermine l'intervalle quicorrespond au montant de revenu global imposable
obtenu en appliquant un taux progressif qui correspond à l'intervalle choisi, et en déduisant la
somme à déduire.
Calcul de l'IR dû :
La cotisation minimale :
Les contribuables disposant de revenu professionnel sont tenus de verser eu trésor avant le 1 er
février de chaque année au titre de leur revenu se rapportant à l'année précédente une cotisation
calculée sur la base suivante :
Chiffred’affaires (TTC) constitué par les recettes et créances acquises.
Produits accessoires (TTC).
Produits financiers (TTC) (hors dividendes).
Subvention, primes et dons reçus de l'Etat ou tirs.
Dont une copie être jointe à la déclaration de l'IR.
Paiement de reliquat :
Après le calcul de l'IGR, le contribuable ne doit verser à l'Etat que le reliquat qui égal à :
Reliquat = IR net - CM qui est déjà versée avant 1er février
Ce reliquat est à payer avant le 31 mars de l'année N+1.
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Section 3 : Au niveau social :
Au sein d'un cabinet comptable, les tâches effectuées au niveau social sont principalement liées à
la gestion des salaires et des charges sociales pour le compte des entreprises clientes. Voici
quelques exemples de tâches sociales courantes dans un cabinet comptable :
En somme, les tâches sociales au sein d'un cabinet comptable sont très variées et nécessitent une
grande rigueur et une expertise pointue en droit social.
1-2 Définition :
Un prélèvement sur le salaire d’un ouvrier Pour recouvrir des risques futurs ; elle a été créée par
le Dahir du 30/12/59 et mis en vigueur en avril 1961 sous forme d’un établissement publique.
Le régime de sécurité touche tous les travailleurs sérieux occupes dans les entreprises
industrielles, commerciales et chez les personnes exerçants une profession libérale.
Chaque mois l’assujettie reçoit 150 dh pour les trois Premiers enfants ; et 30 dh pour les trois
2eme et rien pour le reste. Le plafond est de 6 enfants.
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La maladie
Taux de cotisation :
Notons au passage que les taux appliqués lors du calcul des cotisations sont déterminés par la loi
et chacune des grandes des grandes familles de prestations sociales se caractérise par un taux de
cotisation qui lui est propre :
Figure 6
Charge
Catégorie de prestation Charge salariale Totale
patronale
1 - Prestations familiales
- Taux de cotisation 6,4% - 6,4%
- Plafond mensuel Sans plafond - Sans plafond
2 - Prestations sociale à court terme
- Taux de cotisation 0,67 % 0,33 % 1,00 %
- Plafond mensuel
6 000 dirhams 6 000 dirhams 6 000 dirhams
3 - Prestations sociales à long terme
- Taux de cotisation 7,93 % 3,96 % 11,89 %
- Plafond mensuel 6 000 dirhams 6 000 dirhams 6 000 dirhams
4 – Assurance maladie obligatoire
Taux de cotisation 2+1,5 % 2% 5,5 %
Plafond mensuel Sans plafond Sans plafond Sans plafond
Total taux de cotisation 18,50 % 6,29 % 24,79 %
La télédéclaration : cette fonction permet aux entreprises affiliées de la Caisse d'effectuer leurs
déclarations d'une manière électronique.
Le télépaiement : est le second volet important des nouveaux services qui sont offerts par la
CNSS. Cette technique permet aux affiliés de la Caisse de payer leurs cotisations via
Internet grâce à un système simple et hautement sécurisé
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Chapitre III : Thème
La procédure de la
création d’une
société
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La création d'une entreprise au Maroc se fait en plusieurs étapes, voici les principales :
Responsabilité limitée : les associés ne sont responsables des dettes de l'entreprise qu'à
hauteur de leurs apports en capital. Leurs biens personnels sont donc protégés en cas
de faillite de l'entreprise.
Capital social : le capital social minimum est de 10 000 MAD. Il peut être constitué en
numéraire (argent) ou en nature (biens). Les associés apportent des parts sociales, qui
représentent leur participation au capital et leur confèrent des droits de vote et des
bénéfices.
Nombre d'associés : la SARL peut être constituée avec un ou plusieurs associés
(personnes physiques ou morales). Les associés peuvent être de nationalité marocaine
ou étrangère.
Administration : la SARL est dirigée par un ou plusieurs gérants, nommés par les
associés. Les gérants peuvent être des associés ou des tiers. Ils ont le pouvoir de
représenter l'entreprise et de prendre les décisions nécessaires à sa gestion.
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Immatriculation : la SARL doit être immatriculée au Registre du Commerce et des
Sociétés (RCS) et obtenir un numéro d'identification fiscale (NIF) auprès de
l'Administration fiscale. Elle doit également s'inscrire à la Caisse Nationale de
Sécurité Sociale (CNSS) pour les déclarations sociales et le paiement des cotisations
sociales.
Fiscalité : la SARL est soumise à l'impôt sur les sociétés (IS) au taux de 30% pour les
bénéfices supérieurs à 300 000 MAD et à 10% pour les bénéfices inférieurs à ce
seuil. Elle peut également être soumise à d'autres impôts et taxes selon son activité.
La SARL présente de nombreux avantages pour les entrepreneurs qui souhaitent créer leur
entreprise au Maroc, notamment la protection de leur patrimoine personnel, la possibilité de
constituer un capital social à plusieurs, et une gestion simplifiée grâce à la nomination d'un ou
plusieurs gérants.
La démarche de création d'entreprise au Maroc est similaire à celle de nombreux autres pays.
Voici les étapes clés :
1) L'idéation : Comme dans tout autre pays, la première étape consiste à avoir une
idée d'entreprise. Cette idée peut être basée sur une passion personnelle, un besoin
non satisfait sur le marché, ou une opportunité commerciale.
2) L'étude de marché : Cette étape est cruciale pour évaluer la faisabilité de l'idée
d'entreprise et déterminer le potentiel du marché cible. Il est important de réaliser une
étude de marché approfondie pour comprendre la concurrence, les tendances du
marché, les réglementations et les attentes des clients.
3) La formalisation de l'entreprise : La création d'entreprise au Maroc implique de
formaliser la structure de l'entreprise enregistrée auprès du registre de commerce. Il
existe plusieurs types de structures juridiques d'entreprise, notamment la société à
responsabilité limitée (SARL), la société anonyme (SA), l'entreprise individuelle (EI) ou
encore la société en nom collectif (SNC).
4) L'enregistrement fiscal : Une fois la structure juridique déterminée, il est important de
s'inscrire auprès des autorités fiscales marocaines. Cette inscription permet d'obtenir
un numéro d'identification fiscale (NIF) qui sera utilisé pour toutes les transactions
commerciales.
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5) L'obtention des licences et des permis : Selon le type d'activité, il peut être
nécessaire d'obtenir des licences et des permis auprès des autorités locales et
nationales.
6) Le financement de l'entreprise : Pour lancer l'entreprise, il est important d'avoir accès
à des financements. Les entrepreneurs au Maroc peuvent bénéficier de plusieurs
programmes de financement destinés à soutenir les startups.
7) Le lancement de l'entreprise : Une fois les étapes précédentes franchies, il est temps
de lancer l'entreprise sur le marché. Il est important de mettre en place une stratégie
marketing et de communication efficace pour attirer les clients et les investisseurs
potentiels.
Alors les premières démarches effectuées par une entreprise en phase de création se font auprès
d’un notaire, d’un fiduciaire ou d’un cabinet d’expertise comptable et fiscale.
Cette création qui se fait par le comptable se base sur Des éléments et des pièces à les ramener :
1- Certificat négative :
Parmi les pièces exigées pour l’inscription à l’impôt des patentes, il y a le certificat négatif,
pour le choix d’une enseigne ou d’un nom commercial.
Pour cela, vous devez remplir un formulaire délivré par le registre central du commerce et une
demande contenant les informations suivantes :
La qualité du déposant ;
Les trois dénominations choisies, par ordre de préférence ;
La nature de l’activité qui sera exercée ; L’adresse commerciale ;
La forme juridique de l’entreprise.
Une copie de la carte d’identité nationale ou une copie de la carte d’étranger (ou tout
autre pièce justifiant l’identité) ;
La carte d’immatriculation pour les étrangers résidents.
Les frais de délivrance du certificat négatif sont fixés à 230DH.
2- Contrat du local :
Le contrat de location ou de bail est un document juridique qui établit les termes et les conditions
de la location d'un local commercial pour créer une entreprise. Il s'agit d'un contrat qui lie le
locataire (l'entrepreneur) et le propriétaire (le bailleur) pour une période déterminée.
Le contrat de location doit inclure des informations importantes telles que la durée de la location,
le montant du loyer, la date d'effet et la date d'expiration, les modalités de paiement, les
obligations du locataire et du bailleur, les conditions de renouvellement et de résiliation du
contrat, etc.
Il est important de bien lire et comprendre les termes et conditions du contrat de location avant
de le signer, car cela vous engagera juridiquement pendant toute la durée de la location. Si vous
avez des doutes ou des questions sur les termes du contrat, vous devriez consulter un avocat ou
un conseiller juridique pour obtenir des conseils supplémentaires.
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3- La demande de la taxe professionnelle :
La taxe professionnelle est un impôt local qui est prélevé au Maroc sur les entreprises et les
professions libérales. Elle a été remplacée par la Contribution Sociale de Solidarité (CSS) depuis
2011.
La CSS est une taxe qui a pour objectif de financer les régimes de sécurité sociale.
Pour faire une demande de paiement de la CSS au Maroc, vous devez remplir et déposer une
déclaration fiscale annuelle auprès de l'administration fiscale marocaine. Cette déclaration doit
être accompagnée des pièces justificatives nécessaires pour le calcul de l'impôt.
Il est important de se conformer aux délais de dépôt de la déclaration fiscale pour éviter les
pénalités de retard. Pour toute information complémentaire ou pour effectuer une demande de
paiement de la CSS, vous pouvez contacter l'administration fiscale marocaine ou consulter son
site web officiel.
4- Le registre du commerce :
Le registre du commerce au Maroc est un registre public qui recense toutes les entreprises et les
commerçants exerçant une activité commerciale sur le territoire marocain. Il est géré par le
Centre National de Registre du Commerce (CNRC), qui est un établissement public placé sous
la tutelle du Ministère de la Justice.
Le registre du commerce est un outil indispensable pour les entreprises et les commerçants car il
leur permet de formaliser leur activité, de protéger leur nom commercial et d'obtenir des
documents officiels tels que le certificat d'immatriculation au registre du commerce. Il est
également utile pour les tiers qui souhaitent vérifier la situation d'une entreprise ou d'un
commerçant.
Pour s'immatriculer au registre du commerce au Maroc, il faut déposer une demande auprès du
CNRC et fournir les documents requis, tels que le formulaire de demande d'immatriculation, une
copie de la carte d'identité nationale ou du passeport pour les étrangers, une attestation de
domiciliation de l'entreprise, une copie du contrat de bail ou de propriété du local où sera
installée l'entreprise, etc.
Une fois que la demande d'immatriculation est acceptée, l'entreprise ou le commerçant reçoit un
numéro d'immatriculation au registre du commerce et un extrait du registre du commerce qui
atteste de son inscription. Il est important de noter que l'immatriculation au registre du commerce
est obligatoire pour toutes les entreprises et commerçants exerçant une activité commerciale au
Maroc.
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Conclusion:
En guise de conclusion, je tiens à signaler que le stage que j’ai effectué au sein de la société «
ZAHIRA BELHASSAN CONSEIL » m’a été d’une grande utilité dans la mesure où il m’a
permis de découvrir le monde du travail, de me sensibiliser aux conditions de celui-ci et de
m’initier aux relations dans une entreprise.
Vraiment j’ai de la chance car j’ai rencontré des gens dynamiques et serviables et qui favorisent
le bon climat de travail.
Le stage que je viens de passer au sein de cette entreprise a été bénéfique et avantageux, dans la
mesure où il m’a permis de confronter le monde du travail de plus près et d’acquérir une
expérience nouvelle, celle du domaine professionnel.
Cette période de stage a présenté également pour moi une occasion pour apprendre que le travail
exige un certain nombre de relations et de comportements. Signalons que la première chose qu’a
attiré mon attention est le travail collectif et l’esprit d’équipe des membres de la société.
Enfin la pratique reste toujours la clé de la théorie, et je voudrais bien dire que le sens de rigueur
est très important dans l’environnement de travail, car le stagiaire est engager d’assurer
l’affectation des taches charges de façon rigoureuse et correcte dans les meilleurs délais pour
pouvoir obtenir d’autre taches plus importantes.
En conclusion, ce stage m’a apporté autant sur le plan personnel que professionnel, et a constitué
ainsi une expérience très enrichissante près d’une personne motivée et impliquée toujours à la
recherche constante de l’innovation.
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Liste des figures :
33
Webographie :
Login (damancom.ma)
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Table des matières :
Dédicace.................................................................................................2
Remerciement…................................................................................................3
Avant-propos .....................................................................................................4
Introduction générale..............................................................................6
Chapitre I : Généralités et présentation de l’entreprise...........................................7
Définition de la comptabilité et du système comptable................8
Système de facturation..........................................................8
Définition d’un fiduciaire.........................................................8
Section 1 : Identification du cabinet…………………………………………………………… 9
1- Définition du cabinet………………………………………………………………… 9
2- Fiche signalétique……………………………………………………………………… 9
3- L’organigramme du cabinet « ZAHIRA BELHASSAN CONSEIL ». 10
Section 2 : Présentation des services du cabinet......................................11
1- Direction générale...................................................................11
2- Service comptable...................................................................11
3- Service fiscal........................................................................................11
4- Service informatique................................................................11
5- Service juridique.......................................................................12
6- Moyens techniques...................................................................12
7- La clientèle du cabinet.........................................................12
8- Les activités du cabinet............................................................12
Chapitre II : Les tâches effectués au sein d’un cabinet de comptabilité...............14
Section 1 : Au niveau de la comptabilité............................................16
1- Collecte et classement des pièces comptables ...........................17
2- Passation des écritures comptables.........................................17
2-1................................................................................Journal 18
2-1-1..............................................................Journal de ventes 18
2-1-2.............................................................Journal des achats 19
2-1-3...............................................................Journal de caisse 19
2-1-4............................................................Journal de banque 19
2-1-5..........................................Journal des opérations diverses 19
2-2 Le grand livre....................................................................20
2-3 La balance........................................................................20
2-4 Le bilan.........................................................................20
2-5 Le compte des produits et charges...............................20
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Section 2 : Au niveau de fiscalité..................................................21
1- La taxe sur la valeur ajoutée....................................21
1-1 La déclaration de la TVA.................................22
1-2 Le taux de la TVA.............................................22
2- L’impôt sur les revenues................................................23
2-1..................................................................Définition 23
2-2 Méthode de calcul de l’IR........................................23
Section 3 : Au niveau social..........................................................25
1- La caisse nationale de la sécurité sociale.....................25
1-1 Définition..........................................................25
1-2 Taux de cotisation……………………………………………………
Chapitre III : Le thème : La procédure de la création d’une société......................27
Section 1 : La présentation de la « SARL ».....................................28
1- Définition d’une SARL ..........................................................28
Section 2 : Les démarches de la constitution d’une « SARL »....................29
1- Certificat négative........................................................30
2- Contrat du local...........................................................30
3- La demande de la taxe professionnelle......................31
4- Le registre du commerce.............................................32
Conclusion...............................................................................................................32
Liste des figures...............................................................................................33
Webographie...........................................................................................34
Table de matières.............................................................................................35
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