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EDU’CONSULTING

Société à Responsabilité Limitée – Burkina Faso – Tél. : 765774977029054478684158– Email :


educonslting2022@gmail.com RCCM N° BFOUA2022B2195 – N° IFU : 00174961A – Régime fiscal :
Impôt sur les Sociétés

FORMATEUR : Inspecteur KIENTEGA P. David


FORMATION POUR LE CONCOURS PRO DES IES NIVEAU CAPES SESSION 2024
TEST N° 3 DE MARS

Pour chacune des questions, une seule (ou plusieurs) proposition(s) de réponses est (sont) bonne(s). Écrire la ou les lettres
correspondant à ou aux bonne réponse(s)

DIDACTIQUE
N ITEMS REPONSES
1 Pour préparer ses leçons, le professeur se réfère d’habitude : D
A. Aux manuels scolaires de la classe concernée.
B. Aux annales éditées de la classe concernée.
C. Aux encadreurs pédagogiques de la discipline.
D. Au programme officiel de la classe concernée.
E. À d’anciens cahiers d’élèves et à ses anciens cahiers de la classe
concernée.
2 La fiche pédagogique est : A, C
A. un outil de planification de toute prestation de l’enseignant en classe.
B. un document régulièrement préparé par le service d’encadrement.
C. un outil qui rassure, guide et oriente l’enseignant dans sa pratique de
classe.
D. sans grand intérêt pour un enseignant.
3 Le professeur prépare sa leçon : A, C, E
A. Pour être sûr de ce qu’il fait.
B. Pour que la relation avec ses élèves se passe bien.
C. Pour recenser tout ce qu’il aura à faire avec ses élèves.
D. Parce que l’inspection l’exige.
E. Pour que le savoir soit transmis efficacement.
F. Parce qu’il a une visite de classe.
4 Le cahier d’absence, correctement et régulièrement rempli : A, D
A. sert à enregistrer les noms des absents et leurs motifs
B. sert à enregistrer les noms des absents et à leur faire des retraits
de points sur la moyenne.
C. permet de connaitre les bons et mauvais élèves.
D. joue un rôle administratif et un rôle pédagogique.
5 En sciences physiques on divise le tableau en trois parties dont C
celle du milieu est la plus grande. La partie :
A. Gauche contient : les mots clés, mots difficiles, mots nouveaux qui
apparaissent au fur et à mesure jusqu’à la fin de la leçon.
B. Droite contient : le plan qui apparaît au fur et à mesure et reste
jusqu’ à la fin de la leçon.
C. Centre contient : les schémas, carte, graphique, démonstration et
tout ce qui peut être effacé au fur et à mesure que le cours
progresse.
6 « Déterminer le sens de l’image à partir du signe du grandissement γ B, D
»
A. est un objectif spécifique de savoir-faire théorique de la classe de
troisième
B. n’est pas un objectif spécifique de connaissance de la classe de
première C/D
C. est un objectif spécifique de la classe de troisième
D. est un objectif spécifique de savoir-faire théorique de la classe de
première C/D
7 « Mettre en évidence les différentes propriétés caractéristiques des B
liquides » est un objectif spécifique de : La taxonomie simplifiée utilisée comprend quatre (04)
A. savoir – faire théorique niveaux :
- 1 er niveau : la connaissance (verbe d’action :
B. savoir – faire expérimental
connaître) ;
C. connaissance - 2 e niveau : la compréhension (verbe d’action :
D. n’est pas un objectif spécifique comprendre) ;
- 3 e niveau : l’application (verbe d’action : appliquer)
;
- 4 e niveau : le traitement de la situation : traiter une
situation).

Le verbe « mettre » en évidence renvoie à une


expérimentation. En effet c’est par une expérience
que l’on mettre en évidence les différentes propriétés
des liquides :
- coule
- prendre la forme du récipient
- non compressible
- surface libre plane et horizontale
- etc
8 « Donner l’expression vectorielle du champ créé entre deux C
plaques » est un objectif spécifique de :
A. savoir – faire théorique « Donner l’expression » renvoie à une connaissance
B. savoir – faire expérimental
C. connaissance
D. n’est pas un objectif spécifique
9 L’item qui est congruent avec l’objectif « Appliquer la relation P = U.I C
aux calculs d’intensité, la puissance et la tension étant connues »
est :
A. Une lampe de puissance nominale 6 W est alimentée sous une
tension nominale de 3 V. Cette lampe brille – t – elle normalement ?
B. Une lampe de puissance nominale 6 W est alimentée sous une
tension nominale de 3 V. Définir la puissance nominale ?
C. Une lampe de puissance nominale 6 W est alimentée sous une
tension nominale de 3 V. Calculer la valeur de l’intensité I.
D. Une lampe de puissance nominale 6 W est alimentée sous une
tension nominale de 3 V. Définir une tension nominale ?
10 Le niveau minimal requis par un élève pour traiter l’exercice : D
« Lors des missions Appolo, les astronautes étaient équipés, pour
leur sortie sur la LUNE, d’une combinaison spatiale de masse m = 60
kg.
I. Calculer le poids de cet équipement sur la TERRE.
II. En justifiant votre réponse et en utilisant les données ci-
dessous
1. Calculer l’intensité de la pesanteur gL sur la LUNE.
2. En déduire le poids de l’équipement sur la LUNE.
Données : gT = 9.81 N.kg-1 ; Constante de gravitation universelle G =
6,67 .10-11 N.kg-2.m2»

A. quatrième
B. troisième
C. seconde C
D. Terminale D

CHIMIE
1 Données : B et C

Électronégativité :
- L'électronégativité d'un élément traduit la tendance
d'un atome A de cet élément à attirer le doublet
L'électronégativité d'un atome traduit son aptitude à :
d'électrons d'une liaison covalent qu'il forme avec un
A : Former une liaison avec un autre atome. autre atome B.
B : Attirer à lui le doublet d'électrons qui le lie à un autre atome. - Plus un élément est électronégatif, plus il attire à lui
C : Porter des charges partielles négatives. le doublet d'électrons de la liaison covalent.
2 Les polarisations données ci-dessous sont-elles correctes ? C

Liaison covalente polarisée :


A: - Une liaison covalente est polarisée lorsque les deux
atomes liés ont des électronégativités différentes.
- La détermination de la polarisation d'une liaison A -
B:
B se fait en attribuant à l'atome le plus électronégatif

une charge partielle négative et à l'atome le


C: moins électronégatif une charge partielle

positive .
3 La représentation correcte de la première étape du mécanisme de B
saponification du méthanoate de méthyle est :
Saponification du méthanoate de méthyle
: première étape :

A:

B:

C:
4 La réaction entre l'acide méthanoïque HCOOH et l'eau conduit à un B
équilibre chimique. L'équation de la réaction est :
Réaction chimique :
A:
B:
C:
5 La constante d'acidité KA du couple HClO/ClO–, dont le pKA vaut 7,5 A
à 25 ° C, est :
Constante d'équilibre :
- On considère l'acide HClO (aq), de
couple HClO (aq) / ClO– (aq), qui réagit avec l'eau
A: selon l'équation :

- La constante d'acidité KA du
couple HClO (aq)/ClO– (aq) est la valeur numérique
du quotient suivant :
B: - On écrit :
C : Égale à KA = 107,5

-
- Par définition : pKA = – log KA, soit KA = 10– pKA
6 L'aniline C6H5NH2 est la base du couple C6H5NH3+ / C6H5NH2 de pKA = A, B et C
4,6. ► Domaine de prédominance :
Dans une solution aqueuse d'aniline, telle que : - représentation sur un axe horizontal : couple AH
/ A–.
A : pH = 6,0, l'aniline prédomine.
B : pH = 3,0 l'ion anilinium prédomine.
C : pH = 4,6, aucune espèce ne prédomine.

7 La réaction entre un acide fort et une base forte : A et B


A : Libère de l'énergie thermique. Réaction entre un acide fort et une base forte.
- L'équation d'un acide fort avec une base forte s'écrit
B : À pour équation : :
C : À pour équation :
- C'est la réaction inverse de l'autoprotolyse de l'eau.

- La réaction entre un acide fort et une base forte


libère de l'énergie thermique et s'accompagne d'une
élévation de température du mélange réactionnel.
- L'énergie thermique libérée par la réaction est
d'autant plus grande que les quantités de matière
mises en jeu sont importantes.
NB : la notation OH – et HO– sont équivalentes
8 L'espèce prédominante du couple NH4+/ NH3 (pKA = 9,2), dans une A
solution où [H3O+] = 2,5 × 10–4 mol.L–1, est :
A : NH4+ ► Valeur du pH et espèce prédominante :
B : NH3
C : On ne peut pas savoir.

9 Une solution est acide si : Réponse C

A:

B:

C:
10 Pour les solutions d'acides de mêmes concentrations C : A
A : Le pH est d'autant plus faible que le pKA petit. Pour les solutions d'acides de mêmes concentrations
B : L'acide est d'autant plus dissocié que le pKA grand C, plus le pKa est petit, plus la constante d'acidité est
grande, ce qui signifie que l'acide se dissocie plus
C : Le taux d'avancement final τ est d'autant plus grand que le pKA est
facilement en ions H3O+ dans l'eau. Par conséquent,
grand le pH de la solution acide sera plus faible.

11 Pour les solutions de bases de mêmes concentrations C : A, B


A : Le pH est d'autant plus élevé que le KA est petit Comportement des bases en solution aqueuse.
B : Le taux d'avancement final τ est d'autant plus grand que le KA est petit - Pour des solutions aqueuses de bases de mêmes
concentrations :
C : La base est d'autant plus dissociée que le KA est grand
- Le pH est d'autant plus élevé que le KA est petit ou
le pKA grand.
- Le taux d'avancement final est d'autant plus grand
que le KA est petit ou le pKA grand.
- La base est d'autant plus dissociée que le KA est
petit ou le pKA grand.
12 Pour réaliser un montage afin d'effectuer le dosage pH-métrique, il C
faut utiliser :
A : Une pipette graduée La burette graduée est l'instrument de mesure le plus
approprié pour effectuer le dosage pH-métrique. Elle
B : Une éprouvette graduée
permet de mesurer avec précision et de manière
C : Une burette graduée graduée les volumes des solutions utilisées dans le
dosage. La burette est munie d'un robinet qui permet
de contrôler le débit et de verser les solutions goutte
à goutte, ce qui est essentiel pour obtenir des
résultats précis lors du dosage pH-métrique.
Dispositif expérimental pour réaliser un dosage pH-
mérique :

13 Les indicateurs colorés sont : Indicateurs colorés de pH


A : Des espèces chimiques acido-basiques - Les indicateurs colorés sont constitués par des
B : Des espèces chimiques oxydant-réducteur couples acide faible / base faible dont les espèces
conjuguées ont des teintes différentes.
C : Des espèces chimiques neutres
- Écriture symbolique :
-

- On admet, de façon générale, que l'indicateur coloré


prend sa teinte acide si :
-
- On admet, de façon générale, que l'indicateur prend
sa teinte basique si :
-
- Dans la zone de pH, comprise
entre , l'indicateur
coloré prend sa teinte sensible.
- Les couleurs des teintes acide et basique se
superposent. Cette zone est appelée zone de virage
de l'indicateur coloré.
- Cas du B.B.T : Domaine de prédominance : zone
de virage : 6,0 - 7,6.

- Remarque : la zone de virage est inférieure à 2


unités pH car la teinte acide est jaune et la teinte
basique est bleue.
- L'œil peut bien distinguer les deux couleurs.
- Il se peut que la zone de virage soit supérieure à 2
unités pH si l'œil a du mal à distinguer les deux
couleurs.
14 On dose un acide AH par une base B. À l'équivalence : A et B
A : L'acide et la base ont été mélangés dans les proportions
stœchiométriques définies par les coefficients de la réaction Équivalence acido-basique
- il y a équivalence lorsque les réactifs ont été
B : La quantité de matière d'acide apporté est égale à la quantité de
mélangés dans les proportions stœchiométriques de
matière de base apportée la réaction.
C : Le pH est toujours égal à 7 - Le point d'équivalence E :
- Le point d'équivalence est le point d'inflexion de la
courbe pH = f (VB).
- Au point d'équivalence, on change de réactif limitant
et la courbe change de concavité.
- Le point d'équivalence est caractérisé par ses
coordonnées : pHE et VBE.
- Relation à l'équivalence :
- Un dosage consiste à déterminer la concentration
d'une solution à l'aide d'une réaction avec une
solution titrée.
- Lorsque l'on dose un acide à l'aide d'une base, il se
produit la réaction suivante entre deux couples acide
/ base : HA/A– et BH+/B :
- Exemple :

- À l'équivalence, la quantité de matière d'acide


apporté est égale à la quantité matière de base
apportée :

-
- Cette dernière relation permet de calculer la
concentration inconnue CA à partir de la
détermination graphique du volume VBE.
15 On considère la réaction entre l'acide A1H (du couple A1H / A1–, KA1) A et C
et la base A2– (du couple A2H/A2–, KA2) Constante d'équilibre K des réactions acido-
basiques.
Il se produit la réaction chimique : - Relation entre K et les constantes d'acidité des
À cette réaction est associée une constante d'équilibre K couples acide / base.
d'expression : - On considère la réaction entre l'acide A1H (du
couple A1H/A1–, KA1) et la base A2– (du couple
A2H/A2–, KA2)
- Il se produit la réaction chimique :
-
A:
- A chaque couple est associé une constante d'acidité
B: :

C: -

-
La réaction entre l'acide A1H et la base A2– est
caractérisée par une constante d'équilibre K :

- On peut exprimer K en fonction de KA1 et KA2.

- La constante l'équilibre de la réaction dépend des


constantes d'acidité des couples acide / base mis en
jeu.

PHYSIQUE
1 Deux billes de masse M et m (M > m), assimilables à des points C
matériels, sont lâchées sans vitesse initiale à une hauteur h du sol, Les deux billes sont en chute libre. Le mouvement
dans une région où le champ de pesanteur est constant. On néglige des deux billes est indépendant de leurs masses
respectives.
la résistance de l'air.
Parmi les affirmations suivantes, laquelle est exacte ?
A : la bille M atteint le sol en premier
B : la bille m atteint le sol en premier
C : Les deux billes atteignent le sol simultanément
D : L'ordre d'arrivée au sol dépend de la latitude du lieu de l'expérience
E : Ne se prononce pas
2 Dans un référentiel géocentrique supposé galiléen, un satellite A
terrestre décrit une orbite circulaire de rayon R. Dans le référentiel géocentrique, le mouvement d'un
A : la norme de sa vitesse est constante satellite en orbite circulaire est uniforme.
vitesse dépend de l'altitude mais est indépendante de
B : son accélération est nulle
sa masse
C : sa période de révolution est proportionnelle au rayon
D : si le satellite est géostationnaire, sa vitesse est nulle
E : on pourrait placer un satellite de même vitesse sur la même trajectoire m.
La période est donnée par la relation :

Un Satellite Géostationnaire est un Satellite qui reste


toujours à la verticale d'un même point P de la Terre.
Le plan de l'orbite dans le référentiel géocentrique est
le plan équatorial.
Revoir le cours Satellites et Planètes
3 L'oscillateur mécanique horizontal ci-dessous est écarté de sa D
position d'équilibre A, et lâché en A sans vitesse initiale, à la date t =
0.
Ultérieurement, il oscille sans amortissement (frottements
négligeables)
La seule grandeur dépendant de la masse M est :
A : l'amplitude du mouvement
B : l'énergie cinétique maximale
C : l'énergie potentielle élastique
D : la vitesse maximale
E : l'énergie mécanique

4 Un référentiel galiléen peut être: B et E


A : en rotation uniforme par rapport à un autre
B : en translation rectiligne uniforme par rapport à un autre référentiel Un référentiel galiléen est un référentiel dans lequel
le principe de l'Inertie est vérifié.
galiléen
La Terre tourne sur elle-même et autour du Soleil. La
C : en mouvement quelconque par rapport à un autre référentiel galiléen Terre n'est pas un référentiel Galiléen. Pourtant on
D : en translation rectiligne uniformément varié par rapport à un référentiel peut vérifier le principe de l'inertie sur Terre.
galiléen Si l'expérience est suffisamment courte, on peut
E : immobile par rapport à un référentiel Galiléen considérer que ce référentiel est Galiléen avec une
bonne approximation (précision de l'ordre de 10-2 à
10-3).
Un référentiel terrestre est considéré comme galiléen
avec une bonne approximation pour des expériences
de courte durée.
Tout référentiel, animé d'un mouvement rectiligne
uniforme par rapport à un référentiel galiléen, est
galiléen

5 Un satellite est en orbite autour de la Terre. Il effectue une révolution B et C


de rayon r avec une période T. La troisième loi de Kepler s'écrit : - Loi des périodes.
- Pour toutes les planètes, le rapport entre le cube du
demi-grand axe a de la trajectoire et le carré de la

A:

période T de révolution est la même : .


- Cette constante ne dépend pas de la masse de la
B: planète.
- Si la trajectoire est un cercle de rayon R, on peut

C: écrire que : .
- Cette constante peut être calculée.
6 La valeur de l'accélération d'un point mobile en mouvement B
circulaire uniforme :
A : Est nulle. - Comme on est en présence d'un mouvement
circulaire,
B : Quadruple si la valeur de la vitesse double.
C : Augmente si le rayon de la trajectoire augmente.
- On en déduit que :

- En conséquence :
- Si v' = 2 v,

- D'autre part, si R↑, a↓.

7 Soit un condensateur de capacité C. Dans le cas suivant, choisir la B


ou les relation(s) correcte(s) :

A:

B:

C:

8 C-Charge d'un condensateur par un échelon de


tension.
- Montage :

On étudie la charge d'un condensateur par un échelon de tension.


Pour ce faire, on utilise le montage ci-dessus.
- Équation différentielle :
À l'instant t = 0 s, le condensateur étant déchargé, on bascule
- Loi d'ohm aux bornes du conducteur ohmique
l'interrupteur sur la position 1.
:

On obtient l'équation différentielle suivante :


- Loi d'ohm aux bornes du condensateur :
A : C'est une équation différentielle linéaire du second ordre avec second - Relation entre l'intensité et la
membre
B : C'est une équation différentielle linéaire du premier ordre sans second
tension uAB :
membre - Loi d'additivité des tensions :
C : C'est une équation différentielle linéaire du premier ordre avec second
membre

-
- Équation différentielle linéaire du premier ordre avec
second membre.

9 L'équation différentielle suivante : B-


Solution :
- On reconnaît une équation différentielle du premier
admet une solution de la forme : ordre avec deuxième membre qui admet une solution
du type :

A: - où A, B et k sont des constantes.


- Expression des constantes dans le cas présent :

B:
-
C:
- Solution :
10 Un condensateur de capacité C chargé sous la tension u, A-
emmagasine l'énergie : Énergie emmagasinée dans un condensateur.
- Expression de l'énergie.
- Un condensateur de capacité C chargée sous la
A: tension u emmagasine l'énergie :

B:
-
- EC : énergie en joule J
C: - C capacité en farad F
- u tension aux bornes du condensateur en volt V.
- C'est de l'énergie potentielle électrostatique.
11 Avec la convention du schéma représenté ci-dessous : B

Expression de la tension aux bornes d'une


bobine.
- Une bobine est caractérisée par son inductance L et
sa résistance r.
- La bobine étant orientée de A vers B, la
tension uAB aux bornes de la bobine est donnée par
la relation :
La tension uAB aux bornes de la portion de circuit s'écrit :

A:
- Autre représentation :
B:

C:

-
- Remarque : cas d'une bobine idéale (r = 0)

-
12 L'équation différentielle suivante : B
Équation différentielle vérifiée par l'intensité i lors
de l'établissement du courant
- L'interrupteur étant sur la position 0, on le bascule
admet une solution de la forme : sur la position 1.

A:

B:

C:
- À la fermeture du circuit, la bobine s'oppose
temporellement à l'établissement du courant dans le
circuit.
- D'après la loi d'additivité des tensions dans un
circuit série, on a l'égalité :
-
- En ordonnant, on peut écrire :

-
- On reconnaît une équation différentielle du premier
ordre avec deuxième membre qui admet une solution
du type :
- où A, B et k sont des constantes.
- Expression des constantes :

-
- L'intensité du courant électrique i traversant le
dipôle RL a pour expression :

13 On donne une partie du diagramme de niveaux d'énergie du A


mercure. Les atomes de mercure pris dans leur état fondamental
peuvent absorber un photon d'énergie : ► Variations d'énergie d'un atome :
- En 1913, BOHR énonce les postulats suivants :
- Les variations d'énergie d'un atome sont
quantifiées.
- L'atome ne peut exister que dans certains états
d'énergie ou niveaux d'énergie bien définis.
- Un photon de fréquence ν est émis lorsque l'atome
effectue une transition d'un niveau d'énergie Ep vers
un niveau inférieur En tel que :
- Ep - En = h . ν

-
- E1 – E0 = –5,77 + 10,44
- E1 – E0 = 4,67 eV
A : 4,67 eV - l'atome passe de l'état fondamental à l'état de
B : 3,73 eV niveau d'énergie 1.
C : 2 ,04 eV

14 La réaction nucléaire d'équation : B


► Désintégration β– :
- La réaction nucléaire d'équation :
Est de type :
A : β+, la particule émise est un positon
B : β–, la particule émise est un électron - En utilisant les lois de Soddy :
C : α, la particule émise est un noyau d'hélium - a = 0 et z = – 1

- La particule émise est un électron.


- C'est une désintégration β–.

15 L'équation de la réaction suivante respecte les lois de conservation : ► Nombre de neutrons émis :

- En utilisant les lois de Soddy :


Le nombre x de neutrons émis est : - On peut écrire : 1 + 235 = 140 + 93 + x
A : un - On tire : x = 3
B : deux - On obtient :
C : trois

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