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Bronchopneumopathies aigues
opacité alvéolaire
bactériennes dense homogène,systématisée,
non rétractile
avec bronchogramme aérique
DEFINITION : Atteinte infectieuse bactérienne aigue non tuberculeuse du réaction pleurale parfois
poumon, alvéoles et /ou interstitium et/ou bronchioles terminales.
Biologie
DIAGNOSTIC POSITIF
GB > 15000/mm3
A l’examen le patient est ictérique avec PNN : 90%
Neutropénie: formes graves
fièvre 39°-40°en plateau
VS / CRP ↑
Tachycardie 110-12O bat/min
Gaz du sang: hypoxémie , hypocapnie ,
Urines rares, foncées
Bilan hépatique : cytolyse BL ↑
Langue saburrale
Bilan rénal : IRF
Herpès naso-labial
Hyponatrémie
Rougeur unilatérale de la pommette parfois chez le sujet clair.
Ponction pleurale si pleurésie
EXAMEN PLEUROPULMONAIRE
Complications
Syndrome de condensation pulmonaire :
SDRA
ampliation thoracique ↓ Choc septique ±CIVD
vibrations vocales ↑ Pleurésie purulente para ou métapneumonique
matité fixe, localisée, élastique Métastases septiques (os, méninges, endocadite..)
murmure vésiculaire ↓ Abcédation
souffle tubaire entouré de râles crépitants
frottement pleural parfois.
diagnostic microbiologique Pour les sujets avec comorbidité :
Le comptage cellulaire trouve plus de 25 PNN par champ Pour les sujets âgés en institution :
et moins de 10 cellules épithéliales par champ
amoxicilline–acide clavulanique 1 g × 3/j PO
Ou si à la culture il existe un micro-organsme unique ou un seuil de
ou ceftriaxone 1 g/j en I.M. ou I.V.
10 7 UFC/ml
ou FQAP (lévofloxacine 500 mg/J PO
Fibroscopie bronchique ou moxifloxacine 400 mg/j PO)
Seuil de positivité de 10 3UFC/ml
ou FQAP i.v.
-Vaccination anti-pneumococcique
Durée de l’antibiothérapie
Traitement symptomatique
Oxygène
Ventilation assistée
Remplissage (500 ml de colloïdes)
Amines (Dobutamine, Noradrénaline)
Nitroprussiate de sodium
Hydralazine
Prostaglandines
Monoxyde d’azote (NO)
Oxygénothérapie:
Débit à adapté pour une SpO2 ≥ 90 % Arrêt de l’héparine
Utilisation de dérivés de l’Hirudine (REFLUDAN® REVASC®) et
Ventilation mécanique:
ORGARAN ®,
Détresse respiratoire non améliorée par l’oxygénothérapie Relais par anticoagulant oral (AVK)
Troubles de la conscience Prévention : surveillance des plaquettes 2 fois par semaine et
Arrêt cardio-respiratoire traitement héparinique court (relais AVK précoce)
Expansion volumique :
Méthodes physiques:
Anticoagulants:
Héparines (HBPM+++)
Antivitamines K
Facteurs mineurs
durée 6 à 14 J
Il ressent une soif intense d’air, une sensation d’oppression
PEC de l’ASTHME -
thoracique et parfois de « mort imminente »
Examen physique :
Aspects Cliniques
Tirage intercostal et sus sternal
Crise : Asthme intermittent à dyspnée paroxystique Distension thoracique,
Diminution AT
Rarement début brutal
Tympanisme
- le plus souvent s’installe progressivement : en fin d’après midi ou le soir Diminution MV
Sibilants diffus + ronchi et gros râles bulleux
- souvent précédée par des prodromes :
• Phase sèche:
Brutalement l’asthmatique
anxiété, agitation,
( APPLICABLE A DOMICILE )
Diagnostic de gravité
Signes respiratoires
Difficulté à parler
FR > 30 C/mn
Encombrement bronchique, cyanose
Silence auscultatoire
Hypoxémie majeur < 60 mm hg,
DEP < 100 – 150 l / mn ou < 25 % Théorique
Salbutamol, Terbutaline 3 à 5 bouffées renouvelable 2 fois à 15-20mnn - Corticothérapie par voie orale ou voie I.V. : HHC 5mg/Kg/4H
ou NEBULISATION B2 : - 2 à 3 – 6 L/mn
DEP > 80% : B2 : 7 jours + Corticoïdes 1-2mg/kg/j per os 5 j - Nébubilisations /B2 3 toutes les 20 mn
- Corticoïde 1- 2 mg/Kg ou
Nébulisations B2
Nébulisations anticholinergique
Corticoïde systémique
SALBUTAMOL voie IV : perfusion continue 2 à 3 µg/mn puis dès
amélioration 0,5 à 1 µg/Kg/min / 2H
ASTHME INTERMITTENT
+ ß2 si Ɛ nocturnes
+ B2 à action prolongé
+ B2 à action prolongé
Mesures environnementales
Eviction allergènes
Lutte contre tabagisme +++
Lutte contre empoussiérage professionnel
Repérage soigneux du site de ponction est important :
PLEURESIES PURULENTES • Piquer en pleine matité, perpendiculairement à la peau.
Clinique : • Eviter les régions trop basses où s’accumule la fibrine et où le
poumon risque d’être proche de la paroi.
Signes fonctionnels : • Le repérage peut être guidé par les radiographies, l’échographie
Signes respiratoires :
Après désinfection soigneuse de la peau par un antiseptique local,
- Douleur thoracique, constante, unilat., à type de point de côté sous on anesthésie la paroi jusqu’à la plèvre pariétale, avec la Xylocaïne à
mammelonnaire ou en coup de poignard. 1 ou 2 %.
Piquer dans un espace intercostal en rasant le bord supérieur de la
- Toux quinteuse sèche qui augmente la douleur.
côte inférieure pour ne pas piquer le paquet vasculo-nerveux
- Dyspnée d’effort à type de polypnée superficielle La ponction doit être réalisée avec une aiguille de fort calibre
Le prélèvement terminé, il faut demander au malade de bloquer sa
Autres : respiration pendant que l'on retire l’aiguille d’un coup sec.
• cyanose ; odeur fétide de l’haleine ; Zones de ponction
• expectorations, hémoptysie ; vomique (complication) • creux axillaire
Signes physiques : • zone inter-scapulo-vertébrale
Technique : Chimie
Elle se réalise chez un patient dévêtu jusqu’à la ceinture: • riche en protéines (exsudatif)> 30g/l
• Assis au bord du lit (épaules légèrement en avant et dos rond) • pH < 7,20, argument le caractère purulent
• Assis à califourchon sur une chaise, tête penchée en avant, reposant • Glycopleurie < 0.4g/l
sur ses bras • LDH >1000 UI /l
• Dans son lit en décubitus latéral et le bras / coté atteint surélevé au- • on dosera l’amylase si l’on soupçonne une fistule œsophagienne
dessus de la tête Cytologie : Hyperleucocytose à PNN altérés (PA> 50%)
Bactériologie: Traitement
Drainage pleural
Installation du patient
- Port de masque
• Chimio prophylaxie primaire chez sujets fragiles (enfant < 4 ans non
vacciné, VIH, sujets âgés) en contact avec un sujet contagieux.
déclaration obligatoire :