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1er poème : « Marie qui, voudrait votre beau nom tourner » de Pierre de Ronsard -> :« La jeune fille à
la perle de Johannes Vermeer » 2ème poème Comme un chevreuil, quand le
printemps détruit… »de Pierre de Ronsard -> « La mort de Lucrèce » de Lucas Cranach
3èmepoème : « Quand vous serez bien, vieille le soir à la chandelle » -> « La danse macabre »Bernt
Notke
2ND ROUGE
Amaury FEYS
Mme Roy
Marie, qui voudrait votre beau nom
tourner,
Marie, qui voudrait votre beau nom
tourner,
Il trouverait Aimer : aimez-moi donc,
Marie,
Faites cela vers moi dont votre nom vous
prie,
Votre amour ne se peut en meilleur lieu
donner.
Vermeer car ils représentent tous les deux la description élogieuse d’une femme.
Ainsi ce poème correspondrait à un blason, car même si ce poème ne fait pas l’éloge
d’une partie du corps il fait tout de même l’éloge du prénom « Marie » ce qui est une
idéalisé c’est-à-dire qui fait l’éloge d’une femme en exagérant ses traits, içi les
couleurs représentées sont exagérées ainsi que la beauté du visage de la jeune fille
dans le but de la mettre en valeur. Par ailleurs, ces deux œuvres ont un lien car elles
ont toutes les deux pour but d’immortaliser la beauté de ces deux femmes. Dans le
poème « Marie, qui voudrait votre beau nom tourner", Pierre de Ronsard célèbre la
représente cette fille avec un turban et une perle. Le turban était un signe de richesse
Ronsard est représentée dans une scène d’innamoreto (coup de foudre) dans
disparait (v.1 « printemps détruit »), Ainsi Ronsard traite les sujets de l’amour,
un thème commun dans ces deux œuvres qui est la fragilité de l’humain,
généralement causé par le désespoir. Dans le poème, cet aspect est représenté
Pierre de Ronsard
Sonnets pour Hélène, second livre,
sonnet 43
Danse macabre, Bernt Notke
J’ai choisi de représenter le poème « Quand vous serez bien vieille » de Pierre
de Ronsard avec une enluminure de Bernt Notke intitulé La danse macabre(XVème siècle). Ces
deux œuvres ont un lien car elles traitent toutes les deux du temps qui passe ainsi que la
mortalité. Dans le poème, le temp qui passe est représenté par tous les vers dans lesquelles
Ronsard annonce le futur quotidien difficile de Hélène ainsi que l’aspect du tempus fugit
(v3 « Direz chantant mes vers, en vous émerveillant »), et il annone le thème de la mort à
l’aide de nombreuse périphrase représentant la mort tel que (v9 « sous la terre » ;
v.10 « repos » ; ombres myrteux »). De plus, dans l’enluminure, le temps qui passe est
représenté par les squelettes ainsi que les mouvements de danse qui symbolisent le passage
rapide de la vie. Par ailleurs, cette enluminure rappelle qu’il faut profiter du moment présent
(carpe diem).
Enfin dans cette enluminure, le thème de la mort est omniprésent, on le remarque tout
d’abord avec les squelettes qui rappellent que l’on finit tous par mourir.
De plus, La danse macabre met en lumière la fragilité des hommes et célèbre la mort.
Ainsi ces deux œuvres expriment de manière puissantes ces thèmes du tempus fugit ainsi