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INTRODUCTION AU DROIT EUROPEEN

Leçon introductive
Européen : connotation géographique.

§1- Les origines de la coopération européenne

Définir ce que c’est la coopération européenne. En générale pour indiquer une coopération
entre Etat. Ce n’est pas se sens là que l’on utilise le plus souvent. On utilise cette expression par la
formulation d’une organisation. Une organisation supranational et européenne. Pour réaliser des
objectifs poursuivi d’habitude à l’échelle européenne. Avoir besoin d’un acte fondateur : un traité
que l’on définit comme fondateur. Pour qu’il entre en vigueur besoin que le traité soit ratifier. Elle
ou la capacité juridique à agir au niveau international. Créer par des Etats et de l’autre coter ou créer
des organisation qui peuvent tous agir à l’échelle international.

A- Des valeurs communes

Les états européens avaient envie de se réunir autour de valeur commune : Etat de droit, droit
de l’homme, … Réunir et réconcilier l’Europe. Le centre des négociations été le congrès de la paix en
1948. Par immédiat, par contre le 5 mai 1949 créer le conseil de l’Europe. Pour protéger des valeurs
communes tels que les libertés individuelles. Valeur : paix, protection de l’individu, protection de
l’état de droit, protection de la démocratie.

B- Des intérêts partagés

Il s’agit d’intérêt économique et d’intérêt politique. Economique : fin d’une guerre les Etats
sont affaiblit économiquement. On bénéficier d’aide financière du plan Marshal. Mais cette
assistance commercial été conditionner à la condition de s’associer entre eux. C’est donc pour ça que
le 16 avril 1948 on à crée une organisation européen : l’organisation européenne de coopération
économique. A partir de 1951 création de communauté européenne avec des objectifs économique.
Une communauté du charbon et de l’acier. Le but économique été un objectif fonctionnelle. Dans le
but de garantir la paix dans les années à venir. A partir des années 90 des Etats de l’Europe de l’Est
vont se joindre.

Les intérêts politique : visent essentiellement le rapprochement des Etats européens. Pour
deux raison, tout d’abord car les états européen été divisé historiquement et très régulièrement
toucher par des guerres. De l’autre coter en pensant à la politique mondiale. A partir de 1947,
l’Europe séparé en deux blocs. Les Etats de l’Est réunis par le pacte de Varsovie. Et l’Etat de l’ouest
par l’OTAN, crée par le traité de Washington pour garantir la sécurité.

§2- Les caractéristiques générales de la coopération européenne

Concerne à la fois leurs domaines d’action mais aussi leurs pouvoir.

Leur domaines d’action : Qui agissent à l’aide d’une capacité juridique international. Le
nombre d’Etat qui compose ces organisations varie peut exister à partir de deux Etats. Notamment

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les membres des organisation sont aprioris des Etats, mais peut y avoir d’autre organisation. Quelle
exerce des activités dans les domaines de compétence qu’il leur a été donné par les traités
fondateurs. L’acte qui va indiquer quelle est la structure de la l’organisation et ces compétences et
modes de fonctionnement. Un nombre plus élevé qui on des compétences très spécifique et très
ciblée.

La question de l’exercice du pouvoir ; le traité va indiquer ce que doit faire l’organisation. EN


générale quand les Etats signe un traité, il attribue l’ensemble du pouvoir décisionnelle à un organe à
caractère intergouvernementale. Gouvernée par des représentants des Etats membres. Permet
d’identifier deux catégories : les organisations de coopération et les organisations d’intégrations.
Coopération : on retrouve un organe décisionnelle ou on retrouve les Etats et un mécanisme de
décisions intergouvernemental. Les actes juridiques qui sont adoptés ne sont pas contraignant. Les
Etats conserve donc la maitrise de l’organisation est peut bloquer très aisément bloquer les
décisions. Puis dans les organisations d’intégrations, le fonctionnement est différent. Equilibre
différent : certains décision à l’unanimité mais pas tout certaine à la majorité. Les Etats membres
renoncent au droit de veto et accepte des décisions dans lequel il n'été pas forcément d’accord. Il
peut y avoir une répartition et la possibilité d’avoir d’autre organe. Enfin les actes juridique peuvent
être aussi contraignant.

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PREMIÈRE PARTIE. L'UNION EUROPÉENNE

TITRE 1. L'évolution de la construction européenne

Chapitre 1. Des Communautés à l'Union européenne

Section 1. Les actes fondateurs

§1- La naissance des Communautés européennes

A- La genèse des Communautés


1- La CECA

Projet élaboré par la France et par Jean Monnet et communiquer par Robert Chuman ; est un
projet d’inspiration fédéraliste avec une approche fonctionnaliste. On voulait créer une solidarité
factuelle sur la base d’une fonction économique spécifique. En attribuant les pouvoirs décisionnelle
s’imposant aux Etats membres et aux entreprises. On vise un secteur éco bien spécifique : la
sidérurgie. L’armement ; partit essentielle de l’Allemagne et de la France. Permet à ces secteur de se
dvlp. Il est mis sous le contrôle d’une instance indépendante au niveau européens. Empêcher une
nouvelle guerre entre ces Etats. 9 mai 1950 publié au public et ouvert à la participation d’autre Etats.
(La France, Allemagne, Italie, pays bas, Belgique, Luxembourg. Signe le traité de Paris le 18 avril 1951.
Le Ru aurait pus participer à se projet. Vue comme une menace pour la souveraineté britannique et
de voir comment il évoluer. Avec la création de la CECA marcher commun pour le charbon et pour
l’acier : libre circulation dans les territoires membres de ces marchandise. Il avait été conclu pour une
durée de 50 ans et arrivé à expiration en 2002 et transférée au siens de la communauté européenne.
Sans droit de douane et sans taxe. Instance indépendance : haute instance de la CECA indépendante
composé de neuf membre : les pays du Bénélux et les trois autres pays deux membre. Le 1er
président été Jean Monnet et l’ancêtre de la commission européen. On à crée une assemblé établit à
Strasbourg élue par le parlement nationaux. Cette assemblé est un organe de contrôle et contrôler et
prouver renverser la haute autorité par une vote. Le conseil spéciale des ministres été composé des
ministres des gouvernements des Etats membres, organes de liaison entre la haute autorité et le
gouvernement. Existe encore du conseil et un conseil européen. Une cour de justice : veillait que le
traité fondateur soit appliquer.

2- La CEE et l'Euratom
a. Un échec préparatoire

Un projet de communauté agricole européenne avait été envisager. Finalement le travail à été
négocier et abandonner. Parmi les Etats concernées le RU si est opposé.

Deuxième projet, communauté de la santé. Celle de crée un marché commun et unique pour
les matériels médicales en rapprochant aussi les législation et les échanges entre les Etats membres.
Ce projet à été négocier à Paris mais rejeter. La Communauté européen de défense avait été
envisagé par jean Monnet dans le but de mettre en place une organisation intraétatique. D’un coté
de prendre en charge la défense de l’Europe. Prenait en compte que les forces armées de
l’Allemagne été importante et permette à l’Allemagne de rejoindre sans se réarmer de façon
autonome. Signée à 27 mai 1952 à Paris avec l’accord des USA et des membres de l’OTAN. Ce traité

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prévoyait une armée européenne avec un organe de direction indépendant similaire à la CECA et une
assemblé. Il n’avait pas de politique étrangère commune et avait besoin de créer une autre
communauté. La ratification en France a été difficile : opposition du partit communiste et du
rassemblant du peuple français créer par le général De Gaule. Assemblé national rejette le 3à aout
1954. L’abandon du projet par la France et donc des autres Etats membres. Concernant la création
de communauté politique il y a eu des négociations, et présenté un projet été bien trop ambitieux.

b. La relance du projet communautaire

Deux communauté qui on vue le jour. Sur des bases économiques. Attribué à une conférence
intergouvernementale : le comité spacks. Le projet est élaboré et le projets spacks conduit à la mise
en place d’un marché commun et généralisé parce que avec la CECA, mtn un marché commun pour
tout les produits. Traité fondateur signé le 25 mars 1957 à Rome. Le traité de Rome inclut CEE et
pour l’Euratom. Conduisait à deux choses une harmonisation et la mise en place d’un marché
commun généralisé caractérisé par la libre circulation et la suppression des quotas entre les Etats
membres. Plus de taxe et de droit de douane. Tarif douanier commun. La CEE doter d’institution
nommer conseil des ministres. C’est un organe décisionnelle qui est composé des représentants au
niveau ministérielle des Etats membres. La haute autorité pouvais prendre des décisions, pour le
conseil des ministres le plus souvent prise à l’unanimité c’est comme donné un droit de veto aux
Etats. Il y a une commission européenne, indépendante mais sans pouvoir décisionnelle que
proposait des textes législatif. L’assemblé parlementaire qui prend le nom de parlement européen à
partir de 1962.

Euratom existe encore aujourd’hui. Communauté européenne de l’énergie atomique. Elle née
d’une idée que l’énergie atomique aller se dvlp dans les années et que les Etats aller manquer de
matière première. Car il allait se retrouver en manque de matière première dans le domaine du
nucléaire civile. Par la mise en place de condition favorable au dvp d’une industrie.

Les fonctionnements : favoriser la recherche : programme commun et mis en commun les


investissement et la création d’entreprise commune et normes de sécurité commune et enfin une
agence d’approvisionnement. Un système institutionnelle similaire à la CECA. Tout d’abord on voit
qu’il y a une commission mais qui ne détient pas le pouvoir décisionnelle. Un conseil des ministres.
On met en place 3 autre institution. On met en place les comités économique et sociale européens.
Ensuite fusionne.

B- L’évolution des Communautés

Traité de Bruxel 1965. Plus de haute autorité juste une commission. Un seul conseil des
ministre. Crise de la chaise vide. D’être un peu moins dépendant des Etats membres. 1965 France
rappelle tout c’est représentant. Quand les intérêts d’un Etats sont en jeux il faut poursuivre les
négociations. Jusqu’au moment on peut trouver un compromis acceptable pour tous. Compromis de
Luxembourg. La 1er réunion du conseil européen à Dublin en 1975.

L’acte unique et européen et un traité que l’on appelle de révision. Un conseil européen
(composé par les chefs des exécutif) sert à l’achèvement du marché européen. Des améliorations
institutionnelle. La prise de décision à majorité des membres du conseil européen. On introduit une
procédure législatif appelé procédure de coopération. Donner un pourvoir législatif au parlement
européen.

§2- La naissance de l'Union européenne

A- Les fondements de l’Union européenne

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Traité de Maastricht 1992 « une union sans cesse plus étroit entre les peuples de l’Europe. »
l’union respect l’identité national des Etats membres. Ce traité introduit aussi un principe de
subsidiarité dans l’UE. Seulement si les objectifs de l’UE ne peuvent être atteint par les seuls Etats
membre. Alors que la plus part des compétences sont partagé. Ce principe vas dans être appliquée
pour ces compétences.

3 pilier : communautaire : les 2 communauté qui continue de fonctionner comme avant. Avec
l’UE pause les bases d’une politique étrangère commune. Puis un 3e pilier consacrer à la justice et
affaires intérieur.

1er pilier La mission communautaire, des politiques communes (Jeunesse, éducation,


protection des consommateur) procédure de codécision.

2e pilier : Mise en place d’une coopération systématique sur des questions de politique
étrangère et de sécurité. On va permettre au conseil d’adopter une position commune ou une action
commune conformément au indication donner par le conseil européen. La commission n’a pas la
possibilité à elle seul de proposer des textes. Ce qui veut dire que toute les décisions sont pris par les
exécutifs des Etats membres. Pas de contrôle possible ni par le parlement ni par la cour de justice.

3e pilier : Etat pas mal d’intérêt en commun. Franchissement des frontière extérieur, axile,
immigration.

B- Le contenu du traité de Maastricht

Ensemble de matière sensible car elle touche la souveraineté nationale : les Etats adopte une
matière inter gouvernemental On ay mis en place 2 union Politique et économique/monétaire.

1er libre circulation des capitaux dans l’UE. Entre le 1er janvier 94 et décembre 98 vise à obtenir
la convergence des politiques économiques des Etats membres et la coopération entre les banques
centrales par la création par l’institut monétaire européen. A partir jan 99 politique monétaire
commune, par l’introduction progressive de l’Euro.

Section 2. L’évolution de l’Union européenne

§1- Les réaménagements partiels par les Traités d'Amsterdam et de Nice

On fait évoluer l’UE par deux traité de révision d’abord le traité d’Amsterdam et par la suite le
traité de Nice.

Traité d’Amsterdam : octobre 1997, le traité de Maastricht prévoyait sa propre révision.


Modifier des éléments contenue dans le traité de Maastricht mais aussi propre au traité fondateur
des communautés. Double traité de révision. Ce traité sert tout d’abord à réaménager les trois piliers
et certaines procédure relative au trois piliers pour en améliorer le fonctionnement. Par contre ces
traités n’atteint pas un autre objectif : celui d’adapter les instituions européen à l’adhésion des
nouveaux Etats Membres.

Traité de Nice : février 2020 anticipé par des débat qui on eu lieux au conseil européen de Nice
de 2000 à l’occasion du quelle on a aussi proclamé la charte des droits fondamentaux de l’UE. Qui
ressemble à la CDH. Pas contraignant. Par l’élargissement de la procédure de codécision. On répartit
autrement les sièges au parlement européen sur la base du nombre d’habitant. Ce qui concerne les

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votes à la majorité qualifiée. 255 vois favorable plus la moitié des Etats. Au moins62% de la
population européen. Concernant la commission à partir de 2005 la commission devra être composé
par un seul commissaire par Etats membres et ne devra pas dépasser la limite de 27.

§2- L'Union européenne aujourd'hui

A. Du projet d'une Constitution pour l'Europe au traité de Lisbonne

La 4e vague d’adhésion est en cour. Convention européen sur l’avenir de l’union. Composé de
105 membre : parlement nationaux, les exécutifs, les institutions européens. Cet ensemble devait
négocier et ce mettre d’accord et proposer une texte comme solution à l’élargissement de l’union.
Entre 2000 et 2003 la convention formule : Mieux répartir les compétences en Etats membres ; entre
les institutions, pour renforcer la légitimité démocratique de l’union et son action extérieurs. Etablir
une Constituions pour l’Europe. C’est un traité. De manière symbolique signé à Rome le octobre
2004. 448 article, devait être le seul texte à la place du traité de Maastricht. On voulait ajouter la
charte proclamer à Nice. Son entré en vigueur été subordonné à ce que la ratification soit faite par
chaque membre. Prévu quelle rentre en vigueur en novembre 2006. Il avait été prévu que le conseil
européen se serait saisit au bout de 2ans si 4/5e des Etats auraient fait la ratification. Avait pas
envisager l’échec de la ratification. France échec referendum et Pays Bas, ce qui a bloquer le
processus de ratification. Traité international donc la non ratification aller bloquer le processus. Pas
possible de l’appliquer seulement pour les Etats qui avait ratifié. Pendant 2ans pas grand-chose dans
l’UE. Travaillé sur un traité de révision : question à régler et qui ne pouvait plus à attendre.

B. Le contenu du traité de Lisbonne

La signature en 2007 et entré en vigueur en 2009. L’effet née de la nécessité d’avoir une
refonte des instituions de l’UE. Il fallait s’appuyer sur les conditions déjà accepter par les Etats
membres. Nous avons un ensemble d’élément, la constitution européenne. On a pas de personnalité
de ministre étranger pour l’UE. On a pas de loi européenne : (règlement / directive / décision). On a
une modification de l’organisation interne de l’Union Européen à supprimer la structure en pilier. Il y
a aussi la disparition de la communauté européenne. Avec le traité reste en place l’Euratom. N’a pas
donner à l’UE de nouvelle compétence. Il y a eu une clarification mais pas d’octroi de nouvelle
compétence à l’union. L’UE est doter de la personnalité juridique. Les traités sur l’UE et sur le
fonctionnement de l’UE. Le traité de Rome révisé. L’Euratom reste indépendant. Charte deviens
obligatoire du fait d’une renvoie de l’article 6 TUE. Par rapport au institution : conseil européen : son
propre président élue pour 2 ans et demi renouvelable. En raison de la procédure législatif. Deviens
procédure législatif ordinaire. Le vote est partagé. Procédure s’appliquer que un nombre de matière.
De plus l’élection du président est faite par le parlement européen. Déterminé par la couleur du
parlement européen. Il est amené à voter et a nommer un président pour la commission. Aussi
renforce les parlements des Etats membres. Chaque parlement peut envoyer un avis motiver si il
considère qu’un acte de droit dérivé qui est en cour d’approbation ne respecte pas le principe de
subsidiarité. Celui qui concerne le vote au sien du conseil européen. Modifier le seuil de la majorité
qualifié : double majorité : au moins l’accord des 55% des Etats doit représenté les 65% de la
population. Les Etats les plus peuplées poids important. De l’incitative citoyen européenne. Permet à
1 million de citoyens qui proviennent de ¼ des Etats membres pour lui demandé de rédiger une
proposition sur un sujet spécifique.

Chapitre 2. L'élargissement de la construction européenne

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Section 1. La participation à la construction européenne

§1- L’adhésion

Il faut être un Etat de droit. Être un Etat européen. Être une démocratie. Que les autres pays
accepte. Prévu par le traité lui-même : article 49 TUE :

Un Etat membre ne peut être que un Etat européen. le critère géographique. Puis un état
pour devenir membre doit s’engager à respecter les valeurs de l’union : article 2 TUE : notamment,
dignité humaine, liberté, égalité, démocratie, Etats de droit. Il faut aussi les promouvoir. Complété
par d’autre critère : critère de Copenhague. Il y a un critère politique, économique et normatif.
Celons les critères politique, tout Etat membre droit être un état de droit doté d’un système
démocratique stable et protégeant les minorités. Puis, un état doit avoir une économie de marché
viable, laquelle doit avoir la capacité de faire face à la concurrence dans le cadre de l’union. Pour
finir, le critère normatif, l’Etat membre doit assumer les obligations qui découle de l’appartenance à
l’union. Cela inclut l’acquis communautaires. Enfin le conseil européen de Madrid a intégré un
dernière critère : prendre en compte la capacité d’absorption de l’UE. Vérifier que l’UE soit en
mesure d’accueillir dans de bonne condition un nouveau Etat membre.

§2- L’élargissement de la construction européenne

Procédure : L’UE a une politique de voisinage qui permet au Etat proche de participer à
certains programmes. Quand un Etat pense satisfaire il soumet sa candidature au conseil, le conseil
informe le parlement européen, la commission européen et les parlements des Etats membres.
Ensuite le conseil consulte la commission qui doit donner un avis. Si la commission donne un avis
favorable et donne son approbation à la majorité de ces membres alors le conseil donne le statut
d’Etat candidat à l’UE. Tout Etat dispose d’un droit de veto. Une fois qu’un Etat à le statut on peut
ouvrir les négociations pour l’adhésion : dure vraiment longtemps. D’habitude on dit que l’on
négocie par chapitre : lieu dans le cadre de conférence intergouvernementale. On ouvre pas une
négociation sur tout le chapitre en même temps. Les critères pour l’ouverture et la clôture. Tout
cette période : une période de pré adhésion. Pendant cette période la commission suit les avancés et
les progrès de l’Etat candidat : lui permet d’avoir une aide financière, administratif et technique. Tout
au long du processus informe. On peut avoir des dispositions transitoires. Des règles que l’on va
appliquer de façon progressive et temporaire : permet à l’Etat candidat de s’adapter au droit de l’UE.
Une fois que les négociations sont terminé on prépare un traité d’adhésion : accord à l’unanimité du
conseil et aussi du parlement. Enfin ratifié.

1er vague : 3 Etats : Irlande, Ru ; Danemark sont devenu membre des communautés à partir
du 1er janvier 1973. 2e vague : Etat du sud de l’Europe : Grèce, Espagne, Portugal : de façon tardive
car concerné par des dictatures militaires : ruptures des relations diplomatiques. La 3e vague :
Concerne le nord de l’Europe : L’Autriche, Finlande et la Suède. C’est trois Etats avait déjà le libre-
échange. La dernière vague d’adhésion : Etat de l’Est : Intégrer le conseil de l’Europe puis le reste
après. Chypre, Malte, Bulgarie, Estonie, Hongrie, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, Rep Tcheck,
Slovénie, Slovaquie. Après de longue négociation 10 Etats : traité d’Athènes. L’adhésion de la Croatie
c’est fait en dernier.

Section 2. Le retrait : l’exemple du Brexit

Le droit de retrait se retrouve dans le TUE à l’article 50. Avant le traité de Lisbonne pas très
claire. Prévois tout une procédure qui commence par une notification : l’Etat membre notifie sa

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volonté de se retirer de l’union au conseil européen par la suite selon les orientations donnés :
l’union négocie et conclut avec cette Etats un accord. Selon cette article fixe les modalités du retrait
en tenant compte le cadre des relations futures de cet Etat avec l’union. La seul limite qui est posé
par cette article concernant la notification et celle du respect de la constitution nationale. L’Etat
choisit librement d’exercer son droit de retrait : de le faire conformément à sa propre constitution.
Par la suite tout le reste dépend de la volonté de l’Etat a négocier l’accord. Négocier sous la base
d’un autre article 218 TFUE. Va statuer en majorité qualifié renforcé à l’article 219 §3. Il faut avoir
72% des membres du conseil. Selon l’article 50 l’accord de retrait si il est négocier il entre en vigueur
par la date prévu par ce traité lui-même. Ou alors à défaut d’accord, au bout de 2 ans à compter de la
date de la notification. A partir de ce moment, les traités européens cesse de s’appliquer à l’Etat
sortant. Mais, il est possible que le conseil européen donne un délais supplémentaire à l’Etat, pour
que les négociations puissent poursuive et il faut l’unanimité des membres du conseil européen. Ne
participe plus au décision qu’il lui concerne mais participe au reste des décisions. Si l’Etat change
d’avis, il faudra passer par la procédure de l’article 49. Prévois un délais de 2 ans.

Brexit en juin 2016 : 51,9% pour la sortie. La notification c’est avérer compliqué. Hors la
construction du RU est coutumière. Touche le droit des citoyens britannique ; donc au parlement de
donner son approbation. Ce vote a marqué un tournant : les députés choisissent librement : la plus
part député été pour rester dans l’UE. Le délais depuis le 29 mars 2017 : date de la notification. Le
conseil autorise l’ouverture des négociations et désigne la commission comme négociateur pour l’UE.
Le parlement à fixer des lignes rouges. L’ouverture effective date donc du juin 2017. Respecter ces
engagements. Le cadre des relations future peut avoir plus d’importance que les engagements. Le
RU aurait voulu que ça se fasse en même temps. Pour les 27 Etats de l’Union essentiel qu’il respecte
c’est engament : début des négociations été un peu chaotique. Impose une 1er phase de négociation :
respect des engagements. 2e phase relation future : que quand la 1er phase sera satisfait. Le
parlement demande un 1er délais supplémentaires au conseil européen, jusqu’en avril 2019 puis un
deuxième délais octobre 2019. Aout 2019 même sortir sans accord : Boris Johnson, décide il va
suspendre. Septembre 2019 : motion pour reprendre le contrôle de l’ordre du jour. Les deux
chambres sont d’accord pour dire qu’il ne faut pas sortir sans accord. Jusqu’en janvier 2020. Le
parlement britannique valide enfin. Le Brexit se concrétise en février 2020.

TITRE II. Les institutions de l'Union européenne

Article 13 TUE. Que 7 institution, les autres sont des organes et pas des institutions. Parlement
européen, le conseil européen, la cour de justice européen, la banque centrale européen, la cour des
compte. Ils sont les plus importantes.

Chapitre 1. Le système politique de l'Union

Section 1. Le cœur institutionnel de l'UE

§1- Le triangle institutionnel

A- Le Conseil de l'Union européenne


1- L’organisation

Les exécutifs des Etats membres y sont représenté appelé avant conseil des ministres. On
retrouve les ministres des Etats membres. Article 16 TUE, le conseil est composé d’un représentant

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de chaque Etats membres au niveau ministérielle. Peut engager l’Etat qu’elle représente et qu’elle
peut voter en son nom. Plusieurs ministre puisque 10 formations. Pas de membres fixe. Conseil des
affaires générales. Prise de décision à l’unanimité. La plus part des décisions peuvent être pris à la
majorité qualifiés. Double majorité. Aussi la possibilité de bloquer : au moins 4 Etats membres
s’oppose à une décision représente 35% des habitants de l’UE.

2- Les attributions

Le conseil une fois que la commission à présenter une proposition peut adopté un texte de
droit dérivé. Soit le conseil vote tout seul soit il vote avec le parlement européen. Le conseil peut
aussi conclure des accords.

Compétence de coordination. Le conseil va coordonner les politiques des Etats membres. Aussi
adopter une développement d’une politique étrangère et de sécurité au sien de l’union.

Compétence économique.

B- Le Parlement européen
1- L’organisation

Député européen. 705 siège. Principe de proportionnalité concernant la répartition des sièges.
Proportionnalité digressive. Un seuil : chaque Etat membre peut avoir maximum 96 député au
minimum 6 député. Une façon de pouvoir protéger les plus petits Etats. Pour travailler s’organise en
commission 20 commission.

2- Les attributions

Compétence législatif il vote.

Compétence de contrôle sur les autres institutions. Le parlement qui va élire le président de la
commission. Donne la confiance : potion de censure. Le parlement exerce un contrôle démocratique
et peut aussi faire des missions de d’observation électorale. Il peut aussi poser des questions à la
commission et au conseil et a la BCE. Les citoyens peuvent adresser des questions au parlement.

Compétence budgétaire : la façon dont le budget a été dépensé : il octroi la décharge : donner
son approbation dans la façon ou a été gérer le budget. Enfin il approuve aussi le cadre financier
pluriannuel.

C- La Commission européenne
1- L’organisation

27 commissaire à la commission européenne. Avant le traité de Nice les 5 plus grand Etats
membres avait chacun 2 commissaire. Au fait de plafonner le nombre de commissaire. 27
commissaire car 27 Etats membres. Fonction comme un collège. Dépend des services de la
commission : direction générale. Son choisit pour 5 ans : duré du parlement. Prévu par l’article 17
TUE. Propose un candidat à la fonction de candidat : proposition s’adresse au parlement : doit tenir
compte du résultat des élections européenne. La procédure de candidat tête de liste. Pour les
élections pas de choix avant. Pour élire le candidat à la majorité. Soit la majorité est pas atteinte :
procéder à un nouveau vote qui prévoit un autre candidat. Pas de chois de candidat. Prévu un délais :
n’arrive pas à remporter : propose un nouveau candidat dans un délais d’un mois.

2- Les attributions

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Parlement va sélectionner les commissaires sur la base des proposition des Etats membres. Le
conseil, adopte la liste des candidats. Pas pour autant qu’ils deviennent commissaires : besoin de
l’intervention du parlement qui doit donner son accord pour chaque commissaires. Doivent présenté
leurs programmes au parlement européen. se fait en général par consensus. la commission qui
négocie les accords internationaux et représente l’union à l’extérieur.

§2- L'instance de direction : le Conseil européen

A- L’organisation

Chef des exécutif des Etats membres le président de la commission européenne. Les
présidents de la commission européen et du conseil européen. se réunissent périodiquement en
général tous les 3 mois. Un pouvoir général de direction. Les candidats au haute fonction de l’UE
designer pour les fonctions important.

B- Les attributions

Section 2. Les autres organes politiques

§1- Les organes politiques consultatifs

A- Le Comité économique et social

Créer par le traité de Rome. Cette organe est composé de 350 membres au maximum
provenant des Etats membres. Membre représentant de la société civile. Encore une fois , la liste des
membres adopter par la commission conformément au proposition formulé par les Etats membres.
Les membres sont nommés pour un mandat renouvelable de 5ans agir de façon indépendant vis-à-
vis de leur Etats membres. Travailler pour l’intérêt général de l’union. Gérer par un bureau : gérer
l’organisation du travail, des séances. Composé de trois groupe : les représentants des employeurs
privé/public. Les travailleurs : organisation syndicale des états membres. Diversité et Europe ;
représentant de secteur différent et aussi les représentants des consommateurs. Les actes qui y sont
adopter son des avis. Ces avis sont le résultat de la concertation à l’intérieur pour éclairer la position
de ces comités dans le cadre d’adoption de texte européen. Demandé l’avis de ces comités et de
recevoir. Cela permet une influence du comité sur la vie législatif.

B- Le Comité des régions

Représente les régions européen. créer par le traité de Maastricht. Se compose de 360
membres. Article 305 du TUEF. Locale des membres de l’UE. Ils sont tous des élus : mandat électoral
locale. Soit des élus soit des personne politiquement responsable devant une assemblé. Agir de
manière indépendante de son Etats membres : pour l’intérêt général de l’union. Liste de suppléant.
Incompatibilité avec le parlement européen : peu pas être les deux. Représente l’ensemble des
collectivités locale. Quand le processus législatif quand elle concerne les autorité locale ou régional
des Etats.

§2- La Banque centrale européenne

A- L’organisation

Née du traité de Maastricht. Une autorité commune. Organe indépendant. Ne sollicite pas et
ne reçoit pas d’instruction des institutions de l’union et des Etats membres. Elle est responsable de la
politique monétaire de la zone euro. Elle fait partit du système européen de banque central. Au cœur

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de l’écosystèmes. Elle est articulée en trois organes principaux : Un président, un directoire : gestion
principale. Le mandat est de 8 ans. Puis le conseil de gouverneur : instance de décision : composé des
membres du directoires : gouverneur des banques central des Etats de la zone euro. Le conseil
général : rôle de consultation et de coordination. Composé des gouverneurs des banques central de
tout les Etats membres. Maintient de la stabilité des prix, gestion relative au changes, gestion des
monnaies, bon fonctionnement des pays membres. Elle assure la surveillance des Etablissements de
la zone euro. Récolte statistique et coopération international. Elle qui va battre monnaie. Peut aussi
adopter des mesures d’harmonisation pour les caractéristiques techniques des pièces. Elle a un rôle
de consultation. Une procédure législatif spéciale. Si le droit de l’UE est pas respecté : droit de
sanction et s’adresse au personne morale.

B- Les attributions

Chapitre 2. Le processus de décision au sein de l'Union

Section 1. La procédure législative ordinaire

Art 296 du TFUE. Art 294 décrit la procédure législative ordinaire. Le parlement et le conseil
sont les deux colégislateur sur un pied d’égalité. Prévoit un ensemble d’Etape. Que l’on appel trois
lecture. La commission qui lance la procédure. La commission va proposer un projet. C’est la
commission qui l’élabore à sa propre initiative ou à la demande.

La 1er étapes consiste à la présentation de se projet qui est tout d’abord envoyé au parlement
et au conseil. Ils reçoivent tout deux le projet. Lui qui peut se prononcer en 1 er : le parlement. Depuis
le traité de Lisbonne ; aussi transmit au parlement nationaux. Objectif est d’adopter le texte :
entente entre le parlement et le conseil. On appelle la 1er lecture : examen de la proposition : le
parlement se prononce en 1er avec un vote. Vote a la majorité simple. Soit la proposition est accepté
par le parlement. Ou alors le parlement propose des amendements à la proposition de la
commission. Ou le parlement rejette la proposition. Puis la parole passe au conseil. Le conseil peut
accepter la proposition du parlement ou la rejeter. Le conseil peut proposer des modifications. Si le
parlement a adopter des amendement le conseil à reçu le texte d’origine + les amendements. Si le
conseil accepte les modifications la procédure s’arrête. Il peut aussi arriver que le conseil propose à
son tour des modifications.

Arrive à la 2nd lecture, le conseil transmet au parlement une position qui diffère de celle
transmis au parlement. Soumis au vote des parlements et transmis au conseil. Chaque colégislateur à
un délais de 3 mois pour arrêter sa position. Il peut y avoir un délais d’un mois supplémentaire. Si le
conseil approuve la nouvelle position du parlement, la procédure s’arrête : car trouvé un accord sur
le même texte : qui sera adopter en deuxième lecture.

Arrive à la 3e lecture : l’étape de la conciliation. Négociation a lieu dans le cadre d’un comité de
conciliation. Composé d’un nombre égale de député européen et de représentant du conseil. La
convocation du conseil doit avoir lieu au plus tard 6 semaine après la fin de la 2e lecture. Le comité
essaye de faire en sorte qu’il trouve un accord sur le même texte. Il a son tour 6 semaine pour
trouver un accord. Après se délais un texte modifié, est envoyé au parlement et au conseil. Les deux
on a leur tour 6 semaine pour voter. Il n’y a plus la possibilité de modifier le texte. Soit accepté soit le
texte n’est pas adopté.

Le trilogue sont des réunions entre les députés, membres du conseil, …

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Section 2. La procédure législative spéciale

Dite spécial car elle s’applique moins souvent, au départ elle été la règle. Le parlement
européen a un rôle réduit il peut donner son approbation a un texte, ou il peut donner un avis. Ce
qu’il ne peut pas faire c’est proposé des modifications. Reviens toujours à la commission, puis la suite
dépend du domaine. Dans un certains nombre de cas le conseil est obliger de consulter le
parlement : demandé son avis. Mais il n’est pas obliger de suivre l’avis du parlement. Cela signifie
que le fait de demandé est obligatoire mais pas son contenue de cette avis. Si oublie de demandé,
vice de nullité : car procédure non respecté. Si adopte un texte non conforme a l’avis du parlement il
doit motiver sa décision. Si il faut l’approbation, il est obligé de le demandé et de l’obtenir : parle
d’approbation ou d’avis conforme. Dans le fait le parlement a un droit de veto. Dans le cadre de ces
deux procédures ; soit une directive, règlement, une décision.

Chapitre 3. Le système de contrôle

Section 1. Le contrôle juridictionnel

Article 19 TUE c’est au juge de l’Union que revient la tâche de contrôler la légalité des actes
institutions de l’union et de veiller au respect des obligations prévus au états membres par les traités
et aussi d’interpréter le droit de l’UE.

§1- La Cour de justice de l'UE

A- L’organisation

Crée en 1962 composé d’un juge par état membre. Le mandat d’un juge dure 6 ans : dans le
but d’assurer l’indépendance. Son désigné par les juges eux même un président et un vice-président
pour une période renouvelable de 3 ans : Le PR dirige le travail de la cour et préside les audiences et
délibérations plus importantes. 11 avocats généraux mandat de 6 ans renouvelable de façon
indépendant de la cour peuvent présenté des conclusions ; avis juridique. Selon l’article 19 TUE et
253et 254 TFUE, les juges et avocats généraux sont choisi parmi les personnalités des états membres
qui offre tout garantit d’indépendance. Ou alors de juriste avec des compétences notoires. La
désignation des juges est faite par un accord commun des états membre. Toutefois pour être sur que
le candidat proposé par un état, au préalable les candidats passe devant un comité à huit clos :
donne son avis sur l’adéquation des compétences. Les formations les plus important sont présidé par
le PR.

La formation solennelle : l’assemblé plénière : assez rare ; réunit tout les juges. Par exemple :
prendre des décisions particulièrement grave assemblé plénière qui va se réunir ou affaires
d’importance exceptionnelle.

Formation grande chambre, pas aussi vaste que la 1er y réunis que 15 juges. Très importante,
appelé a se prononcer sur les affaires très complexe. Peut se réunir à la demande d’un Etat ou de
l’UE. Sinon la plus part juger par deux autres formations.

Chambre : composé de 5 juge ou par 3 juge

B- Les procédures

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Les différentes forme de procédure on au départ une phase écrite : échange d’écrit entre les
partis et la cour. Il peut y avoir une phase orale. Dispose de trois semaine pour motivié devant la cour
leur demande d’audience.

Dialogue qui permet dialogue directe avec un juge national et de la cour de justice. Le renvoie
en appréciation de validité. Si il y a un doute sur la validité d’une disposition de l’UE il faut demandé
l’avis de la cour de justice européen. la cour examine la demande est essentiellement deux option :
soit elle a déjà répondu : adopte une ordonnance. La cour répond.

Le recours en manquement : permet à la cour de justice de vérifier que les obligations imposé
au états membre ont bien été respecté. Peut être présenté par les Etats membres soit la commission.
A la fin la cour va constaté ou pas un manquement. Fixe un délais pour l’Etat pour régler le pb, si
l’Etat persiste dans son manquement elle pourra émettre une sanction financière.

Les recours en annulation : fixe à faire annuler quelque chose, ce qui doit être annuler ici c’est
un acte adopté par un organisme de l’union ou un acte. La cour est compétente.

Le recours en carence : qu’une institution aurait dû faire quelque chose et que ça n’a pas été
faite. La cour doit vérifier la légalité de l’inaction. Si il y a carence : invite a faire ce qui été censé faire.

Les pourvois : permet de saisir la cour de justice contre les arrêts et ordonnance du tribunal.
Mais seulement pour des questions de droit : la cour ne va pas rejuger une affaire. Après cela la cour
peut juger soit directement de l’affaire soit de renvoyer l’affaire au Tribunal qui va juger de l’affaire
en tenant en compte de la décision de la cour de justice.

Procédure simplifié :

Procédure sans les conclusions de l’avocat général. Art 20 du statut de la cour. Peu arriver
quand l’affaire n’est pas extrêmement important

Les référés : permet d’obtenir le sursis à l’exécution d’un acte adopté par une institution.
Normalement on peu faire ça quand les conséquences serait irréparable.

Procédure simplifié : peu s’utilisé dans le cadre du renvoi préjudicielle. Quand un question est
poser à la cour de justice. La cour après avoir entendu l’avocat général, adopte une ordonnance
motivé pour indiqué la réponse à la question.

La procédure accéléré est utilisé dans les affaires d’une urgences extrêmes. Donne la priorité à
certaines affaires. La cour statut très vite. L’une des partis demande de bénéficié de cette procédure.

PPU : procédure préjudicielle d’urgence, est utilisé uniquement pour des affaires très
délicates : espaces liberté, sécurité et justice : affaire qui concerne la matière pénale, asile,
immigration. Jugé par une chambre de 5 juge désigné spécialement pour la faire : phase écrite fait
par la voix électronique.

§2- Le Tribunal

A- L’organisation

Auparavant appeler tribunal de 1er instance des communautés européen. Existe depuis 1989,
rendu compte que la charge de travail de la cour de justice été très important. Composé de deux juge
par Etats membre. Nommé sous proposition des Etats membres et doivent respecter les mêmes
conditions que pour siégé à la cour de justice. Il y a un comité qui doit donné un avis sur le candidat
et le poste. Le mandat dure toujours six ans et un PR pour 3ans renouvelable. Pas d’avocat généraux.

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Si besoin d’avis indépendant reviens à un juge. Même au sein du tribunal nous avons des formations
différentes.

Formation en grande chambre composé de 15 juges, se réunit pour les affaires très
importantes / complexes.

La plus part des affaires sont jugé par une chambre de 3 à 5 juge ou une formation a juge
unique dans des cas très précis.

La compétence du tribunal est plus restreint : Compétent si il y a un recours formulé par une
personne physique ou moral concerné individuellement. Si un personne physique ou moral n’a pas
fait. Si il y a un recours qui concerne la propriété intellectuelle : il y a un office. La compétence du
tribunal est ciblé. Possible de présenté un pourvoi, pour répondre a des questions de droit.

B- Les procédures

La procédure de droit commun : de manière classique elle commence par une phase écrite et
continue éventuellement par une phase orale. La partit adverse a 2 mois pour présenter un mémoire
de défense, la partit requérant peut à son tour présenté une réplique. On parle de duplique. D’autre
personne peut intervenir : doit avoir un intérêt personnelle au litige sont autorisé à intervenir tous
les Etats membres et les institution. Peut y avoir une audience public, juge rapporteur qui résume les
faits. Après les juges délibères par un arrêt.

Procédure simplifié :

Procédure de référer : elle permet au tribunal de prescrire des mesures provisoires ou de


suspendre l’exécution d’un acte. Le tribunal décide juste car il doit juste adopter une ordonnance
motivé. Trois conditions : l’air sérieux, mesure soit urgent, il faut qu’il y es une mise en balance de
c’est partit, est l’intérêt général.

Procédure accéléré : permet au tribunal de statuer rapidement sur un litige si l’affaire est
particulièrement urgente.

Section 2. Le contrôle financier : la Cour des comptes

La cour des comptes doit exercer un contrôle financier existe depuis juillet 1975 avant elle
avait bcp moins d’importance. Composé d’un membre par Etats. Afin de garantir leur
indépendances : mandat de 6 ans désignation fait par le conseil après consultation du parlement.
Entre eux choisissent leurs PR pour un mandat de 3 ans renouvelable. Il s’agit de faire un audit
externe pour veiller au intérêt des contribuables européens. Même si on l’appelle cour des comptes
se n’est pas une cour : elle n’a pas de pouvoir juridique. Elle vérifie, mais n’a pas de pouvoir de
sanction. Les membres sont divisé en chambre qui élabore des rapport et des avis. Contrôler les
dépenses faite par l’UE, vérifier les recettes, contrôle les personnes et les organisations. Olaf

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DEUXIÈME PARTIE. LE CONSEIL DE L'EUROPE

TITRE I. Les caractéristiques principales du Conseil de l'Europe

Chapitre 1. La coopération des États au sein Conseil de l'Europe

Section 1. L'évolution de la coopération au sein du Conseil de l'Europe

Affirmé au lendemain de la seconde GM. Organisation créer par un traité appelé traité de
Londres. Le 5 mai 1949. Entré en vigueur le 3 aout de la même année. A l’origine 10 état fondateur.
Belgique, Danemark, Pays Bas, Fr, Lux, RU, Suède, Irlande, Norvège. S’associer de façon très étroites.
Se sont ajouté d’autre Etat a partir des années 70 les Etats du Sud de l’Europe ; Espagne, Portugal,
Grèce. Les Etats de l’Est de l’Europe à adhérerez en 2007 c’est le cas du Monténégro. La Fed de
Russie à cesser d’en faire partit à la suite d’une décision. 5 Etat qui se ont le statut d’observateur du
comité des ministres : Canda, USA, Japon, Mexique, Vatican. Il y a aussi 3 Etat observateur à
l’assemblé parlementaire ; Canda, Mexique, Israël.

Section 2. La participation des États au Conseil de l'Europe

En règle général la plus part des Etats qui y participent ont un statut de Membre. Toutes fois les Etats
pas membre peuvent bénéficié d’un certain nombre de fonction par le biais de statut spéciale

§1- L'adhésion

Régis par le statut du Conseil de L’Europe Art 3 et 4 : subordonné à la satisfaction de celui si de


deux critère. 1er Critère géographique. 2e un critère politique : l’Etat doit offrir un certains niveau de
droit et des libertés par la reconnaissance du principe de la prééminence du droit et le principe selon
lequel, peut jouir droit H tout personne placé sous la juridiction de cette état. Doit ratifier la CEDH. Le
comité du ministre qui va évaluer le niveau de conformité dans le cadre d’une procédure après avoir
obtenue l’avis de l’assemblé. Dans ce cadre le comité du ministre va adopter une résolution et
proposé cette adhésion. Deviens effectif avec le dépôt de l’instrument d’adhésion au près du
secrétaire générale.

Conseil de l’Europe statut d’observateur auprès du comité des ministres. Lors des réunions du
comité des ministres. On est peut participé mais pas représenté on ne vote pas. Statut d’observateur
à l’Assemblé parlementaire. Etat dont le parlement qui peuvent assister au travaux du conseil de
l’Europe. Observer l’activité de l’assemblé sans droit de vote et avec éventuellement un droit de
parole seulement sous autorisation du Pr de l’ASS. Le statut d’invité spéciale à l’ASS parlementaire.
Statut créer en 1989 permet au parlement nationaux des pays de l’est de participé sans droit de vote
en vue d’une éventuelle adhésion. Le statut de partenaire pour la démocratie se statut a été créer
assez récemment créer en 2009 : de permettre au parlement des régions proches : pas seulement
d’assister mais de participer au travail. Art 7 du statut

§2- Le retrait, l'exclusion et la suspension de la participation

Tout Etat membre peut décider de se retirer du conseil de l’Europe en notifiant au secrétaire
général si interviens dans les premiers 9 mois de l’année prend fin à la fin de l’année. Assez simple ;

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Tout Etat peut être exclu ou suspendu. Violation grave de l’article 3 : réf au valeur. Art 8 sa
participation suspendu. Manquement grave de ces obligations financières : Art 9.

Chapitre 2. L'exercice du pouvoir au sein du Conseil de l'Europe

Section 1. Les institutions du Conseil de l’Europe

§1- L'organe central : le Comité des ministres

Rassemble les ministres des affaires étrangères des Etats membres : envoyer leurs délégué. Se
réunit 1 fois par an. La Pr organisé par l’Etat membre dépends de l’ordre alphabétique en Anglais.
Aidé par la présence d’un secrétariat. Guide les orientations politique du conseil de l’Europe. Le
programme, comment organiser le calendrier. Il gère le budget du conseil de l’Europe. Art 15 du
statut examine toute les mesures. Comprend notamment l’examen a la signature de convention ou
accord internationaux d’adopter et de mener ensemble une politique commune. Peut aussi se
charger de donner suite aux recommandations formuler par le congrès des pvrs locaux et régionaux.
recommandation pout les Etats membres. Adopter des déclarations ou des résolutions relatives a des
questions politique actuelle. Il s’occupe de tout question de l’organisation du conseil de l’Europe par
l’adoption des règlements financier ou administratif. Tout les actes sont adopté à l’unanimité. Des
deux tiers des membres du comité des ministres présents.

§2- Les autres organes

A- L’Assemblée parlementaire

324 membres désignés par le parlement. Pour chaque membre un suppléant. Dépend du
nombre d’habitant. Entre 18 pour les plus grd et 2 pour les plus petit. Chaque Etat choisit comment il
préfère procéder. Soit d’une élection soit une désignation du parlement. Chaque désignation
représente la couleur du parlement. Groupe peuvent être formé si au moins 20 membre de six
délégations différentes. Suivi du travail par la commission permanente. Comité mixte ass
parlementaire et le comité des ministres. 9 commissions générale + 1 commission afin de mener à
bien c’est travaux commission ad hoc. L’adoption de mesure au Etat membre. Tenu d’apporter une
réponse commune. Cette assemblé peut également poser des questions au chef des exécutifs des
Etats membres sur tout sujet. L’ASS parlementaire peut enquêter pour révéler des fait nouveau sur la
violation des droit de l’Homme. Observer le déroulement des élections notamment dans des zones
de crises. Nego les modalités d’adhésion des Etats au conseil de l’Europe et contribuer à la
modification des législations des Etats par ses propositions et avis. Elle élis les secrétaires générales,
les commissaires de droit de l’homme et les juges. Aider les Etats a tenir leurs engagement. Avec des
instruments qui ne sont pas coercitive.

B- Le Secrétariat

Sert essentiellement pour cordonner l’action du conseil de l’Europe.

C- Le Congrès des pouvoirs locaux et régionaux de l'Europe

Organe consultatif. 612 élu représentant et suppléant. Sert a représenté 130K mandat de 5
ans. Chambre des pouvoirs locaux et chambres des gouvernements. La charte européenne de
l’autonomie local.

Section 2. Les activités du Conseil de l’Europe

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Objectif de protection et de favoriser les progrès de ses états membres il s’occupe de défendre
les droit de l’homme.

§1- Les principaux moyens actions

A- Les conventions européennes

Au sien du conseil de l’Europe sont élaboré plus de 200 convention. Porte sur des domaines
extrêmement varié. Ressemble assez a un traité. Elaboré et négocier. Elles sont adopter par le
comité des ministres. Adopté à la majorité de 2/3. Ensuite ouvert à la signature. Si elle est signé par
un Etats sa va la rendre contraignante pour l’Etat. Deux convention sont contraignante : la CEDH,
convention européenne pour la torture et des peines ou des traitement inhumain ou dégradant.
Pour tout les autres se sera à l’Etat de choisir si il souhaite signer et adhérer à la convention. Il peut
également émettre des réserves et déclaration interprétative. Une fois signer par un nombre d’Etat
minimum cette alors cette convention peut entrer en vigueur et peut être ratifié par les Etats
signataires.

B- Les déclarations et recommandations

Deux instruments juridiques, acte juridique non obligatoire. Outils qui permet d’exprimer
quelque chose aux Etats membres sans les contraindre. De ce prononcer et donner leur points de
vue sur des question d’actualité. Un outil qui peut être adopter plus rapidement.

Les recommandation ne va pas contraindre mais s’adresse aux gouvernements des Etats. Il
s’agit d’ne invitation / proposition / encouragement qu’il donne a un Etat membre. Recommandation
visant à pousser à adopter une des politiques commune élaboré au sein de conseil de l’Europe.

C- Les accords partiels

Troisième source juridique propre au conseil de l’Europe : des accords qui sont partiel. Place
une collaboration mais que avec certains Etats. L’accord partiel voit le jour grâce à la volonté des
Etats. Seulement par les Etats qui ont se souhait. Sert a financer uniquement par les Etats
participants. Peuvent aussi être élargit quand celui-ci (prévoit la participation d’Etat non membre du
conseil de l’Europe. Soumise à l’autorisation du comité des ministres.

§2- Les autres moyens d'action

Le budget du conseil de l4Euorpe. Budget sur 2 ans pour mieux planifier. L’allocation des
ressources se fait par le comité des ministres. Fond cultures et pour la jeunesse. Il y a des prix qui
peuvent être donner aussi bien à des personnes morale et physique. Ou encore le financement des
journées du patrimoine.

TITRE II. La protection des droits de l’homme

Chapitre 1. La Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés


fondamentales

Section 1. Le commissaire aux droits de l'homme

Institution non judiciaire à été créer en 1999 par une résolution du conseil de l’Europe
résolution numéro 50. Résolution indépendante et impartiale. Le commissaire est élu par
l’assemblée parlementaire du conseil de l’Europe à partir d’une liste de 3 candidat établit par le
comité des ministres. Pour garantir son impartialité son mandat est unique et une durée du 6ans. Ne

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peut pas être saisit d’une plainte individuelle. Sur la base d’information qu’il lui son transmise. Tant
que c’est information sont fiable et concerne la violation des droits de l’homme à l’égard des
particulier. Coopère avec d’autre organe et institution. Le commissaire veut promouvoir le respect
effective des droit de l’homme et mettre en places des dispositifs en la matière. Promouvoir
l’éducation. Il va faciliter l’action des médiateurs et d’autre structure national chargé de la protection
de ces droit. Il peut apporter ces conseils et ces informations. Rencontrer des associations, visite en
prison. Il rédige des rapports en évaluant ce qu’il a pu constater et comment pallier les insuffisantes,
encourageant.

Section 2. L’organisation de la protection créé par la Convention

Première convention de 4 novembre 1950. Elle s’inspire de la DDHC du 1948, instrument


juridique obligatoire pour tous les Etats membres. Depuis son entré en vigueur d’autre textes ont été
adopté afin de la complété ; des protocoles additionnelles (16). Servent a ajouté des droits et liberté.
Protocole concernant une interdiction générale de toute discrimination. Abolition de la peine de
mort. Avis consultatif.

§1- La garantie des droits et libertés

C'est un texte de 1950 qui réunis dans un socle commun un patrimoine des valeurs créées
relatives à la démocratie à l'état de droit ainsi que aux droits et libertés fondamentales on retrouve
dans la CEDH essentiellement des droits et des libertés des natures civiles et politiques des droits
substantielles mais aussi des éléments de procédure. Pas de droit éco et sociaux : exception liberté
syndicale. Autre texte charte social européenne de 1961 : pas de valeur contraignante. Moins
efficace.

Le droit à la vie et la sécurité de toute personne.

Le droit au respect de la vie privée et familiale.

La liberté d’expression, de liberté de penser et de conscience et de religion.

Droit de vote et droit a être candidat.

Le droit de bénéficier d’un procès équitable et le droit de propriété.

Interdit : la peine de mort / torture et peine et traitement inhumaine dégradant, esclavage et


le travail forcé. Détention arbitraire ou inégale, l’expulsion ou le refoulement d’un état de ces
propres ressortissant ainsi que l’expulsion collectif des étranger. Pas de discrimination par jouissance.

Sur la base de l’article 1 par toute personne sous la juridiction d’un Etat national.

Un Etat signataire peut adopter des mesures dérogatoires pour suspendre l’application de la
convention pour un certains moment. Il y a des conditions de formes et de fonds. Certains droit sont
intangibles. Art 2 qui est le droit à la vie. Art 3 torture, art 4 esclavage, art 7 pas de peine san loi, et
protocole 6 abolition de la peine de mort protocole 7. Le droit à la dérogation peut être invoqué dans
la mesure stricte ou la situation le demande. Il doit informer la date d’entrée en vigueur au conseiller
général du conseil de l’Europe de l’entré en vigueur de l’arrêt dérogatoire. Certains articles prévoit
que certains droit et liberté sont soumis à des restrictions.

§2- L’interprétation des droits et les libertés protégés

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Chapitre 2. La Cour européenne des droits de l'homme

Section 1. L’organisation de la Cour européenne des droits de l'homme

§1- Les juges de la Cour

A- L’élection

Chaque état signataire peut envoyer un juge. Chaque juge est élu pour un mandat qui dure 9
ans mais qui n’est pas renouvelable. Les juges sont élu par l’assemblé parlementaire du conseil de
l’Europe. Ils doivent être âgés de mois de 65ans à la date ou leur nom est proposé. Celons l’article 21
de la CEDH certains critère doivent être rempli : il faut être soit des juriste de la plus haute
considération morale. Siège à titre individuel. Peut être relevé de ces fonctions par ces paires. Prend
ce type de décision à la majorité des deux tiers.

La procédure d’élection : sélection qui est fait au niveau national. Transmet seulement trois
candidat : tant que la procédure reste transparente et équitable. Une connaissance active français et
anglais et passive des autres langues. Il faut passer un entretien devant une commission spéciale de
l’assemblé parlementaire. Doit avoir une majorité absolue : en l’absence un second tour et organisé

B- Les formations de jugement

Le président va être la voix de la cour. L’assemblé plénière solennel. La grande chambre se


compose de 17 juge. Peut être saisit de différente façon : par une chambre. Formation classique :
chambre compo de 7 juge, comité : compo de 3 juge. Des formations de juge unique. Protocole 14 :
filtre les requête qui arrive à la cour. Les comités des trois juges examine plus en détail les requêtes.
Juger des affaires que l’on dite répétitif. La chambre des 7 juges présidé par le président de al section
et le juge de l’Etat concerné.

§2- La saisine de la Cour

A- Les recours
1. Le recours étatique

Est rare. Pour dénoncer le comportement d’un autre Etat signataire. Objectif : voir respecté
l’ordre publique européen.

2. Le recours individuel

L’essentielle du contentieux. Dans ce cas se sont les victimes qui saisissent. Tout personne
morale ou physique peut se prévaloir. Pas nécessaire que la personne a déjà fait l’objet.

B- La procédure devant la Cour

Gros changement. Changement du à l’entré en vigueur du protocole 11. Avant : la cour pouvait
siégé quelque jour par mois. Commission des droit de l’homme composé d’un membre pour chaque
Etats. Ces membres devait filtré les requêtes. Il fallait l’acceptation préalable de l’Etat. La possibilité
de saisir la cour a tiré individuel. Le protocole 11 à modifier les choses : signer la convention c’est
reconnaitre les compétences de la cour.

1. La procédure principale

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Deux étapes : étape écrite dépôt des mémoires. Chaque partit peut communiquer sa position
et son argumentaire. Dans la deuxième étapes : les audiences, en règle général publique sauf si la
cour en décide autrement. Possible d’intervenir en temps que tiers dans la procédure. Pendant, cette
procédure peut demander tout renseignement utile : demander d’adopter des mesures provisoires.
Pendant cette procédure la cour peut auditionner des témoins.

2. Des procédures spéciales

Il existe une procédure appelé l’arrêt pilote : permet de traité de façon prioritaire une affaire.
Elle s’applique quand la cour s’appuie sur deux nombreuse requêtes. Juger ces affaires. L’objectif est
d’éviter des affaires répétitives. cela permet à la cour de gagner du temps. Recours en révision prévu
quand la cour a juger d’une affaire, nouveau fait qui est inconnu au demandeur avant de rendre ça
décision. Fait nouveau qu’il ne pouvait pas porter à l’intention de la cour au bon moment. Il existe
également les recours en interprétation. Procédure spéciale qui ne sert pas à juger une affaire. Le
réexamen fait par la grande chambre : procédure mis en œuvre quand une chambre renvoie une
affaire à la grande chambre.

Section 2. Le contentieux devant la Cour européenne des droits de l'homme

§1- Les fonctions de la Cour

A- L'examen de la recevabilité
1. Les conditions de la recevabilité

Art 30, l’épuisement des voix de recours interne. PROCOLE 15. L requête ne peut pas être
anonyme. La requête e peut pas être imcompatbile

2. Les irrecevabilités

Lié à la procédure, liée à la compétence, tenant au fond de la requête. Ne pas avoir respecté les
délais réduit à 4 mois. En dehors de la zone sur laquelle cette état peut exercer sa juridiction.
Rationétemporis

B- Le règlement amiable :

Une fois qu’ on passe les filtres

Depuis l’entrée en vigueur de l’article 11 la cour peut chercher a avoir recourt aux règlement amiable

C’est des procédure confidentielles elle permet d’établir un accord entre les partis, le but recherché
est celui de trouver une solution qui peut effacer les violations de droits de l’homme et ses
conséquences dommageables

La procédure est confidentielle pour protéger la victime ou sous demande de l’état, si les partis se
mettent d’accords il y a plus rien à juger, seule la décision est publique

Une fois prise la décision elle est transmise au comité des ministres et veille sur la bonne application
de la décision de la CEDH

Ces règlement fonctionne bien si l’état est conscient que si il n’applique pas le règlement il sera
sanctionné

C- L'examen du fond de la requête

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La CEDH qui se charge d’examiner du fond de chaque requête jugées recevable et en absence
de règlement amiable c en ce moment qu’on a les étapes face écrites, face orale et audition

Une fois la requête a été examiné alors la cour prend sa décision on la retrouve dans un arrêt
motivé dans lequel elle a un caractère déclaratoire portant sur les faits de ses intentions

Les arrêts rendus par la CEDH peuvent être accompagnées par ce qu’on appelle des opinions
séparés, des opinions qui ont été exprimé par l’un des juges, l’opinion séparée peut être concordante
ou qui s’oppose à la décision de la cour

L’état pourra être amené à abrogé une loi, modifié une pratique administrative, ou une
jurisprudence et évidemment à réparer les dommages

§2- Les arrêts de la Cour

Le tout premier arrêt de la CEDH le 4 novembre 1980, portant sur le droit national des états
membres

Les arrêt ont un caractère définit et obligatoire, chaque état doit y être soumis au bout de
6mois  il faut qu’l présente un bilan concernant les pratique ayant une relation avec l’arrêt

L’arrêt vise normalement qu’un seul état et ne le concerne qu’à lui, mais en vérité tout état est
concerné par cet arrêt, car si un état dispose de lois par exemple qui ressemble à la loi qui vient de
faire objet auprès de la CEDH, il doit subir à cet arrêt au risque d’être sanctionné

Un service spécial de suivit  le service de l’exécution des arrêt de la CEDH

Protocole num 14 en juin 2010  procédure spécifique pour les états qui ne subissent pas aux
arrêts de la CEDH, le comité des ministres peut d’abord décider de mettre l’état en demeure (un
délai ultime pour se conformer), si ce délai n’est pas conformer le comité des ministres peut re saisir
la cours, il se retrouve alors dans la grande chambre, la CEDH va prononcer un arrêt de manquement
à l’égard de l’état qui ne s’est pas conformé, à la majorité des 2/3 de la cour =

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