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qui consiste à retracer les flux de matières, produits et pièces tout au long d’un processus.
Sa représentation obéit à des codes.
C’est un outil de communication s’intégrant parfaitement dans une démarche d’amélioration continue. Il met
en évidence les points à améliorer et en conséquence les chantiers à mener.
2. LES AVANTAGES
Tracer une VSM permet :
• De prendre de la hauteur et de visualiser le périmètre d’un processus. On peut utiliser le terme de
vol stationnaire.
• De visualiser simultanément les flux physiques et les flux d’informations et de voir comment ils
interagissent.
• De visualiser les interactions avec les processus aval et amont
• De révéler les gaspillages de tous ordres (MUDA)
• De partager avec les intervenants
• D’utiliser un langage commun (symboles)
3. LA VSM (Value Stream Mapping) dans le LEAN
MANUFACTURING
Pourquoi ?
Aujourd’hui, dans certaines entreprises, le déroulement (FILM) des différentes opérations s’apparente
encore à un « FILM D’HORREUR » :
Délais non respectés.
Qualité non maîtrisée (rebus, reprises, retours…)
Coûts trop élevés/concurrence.
D’où la démotivation interne et l’insatisfaction des clients !
Pour faire la VSM, la démarche appliquée consiste à écrire un nouveau SCENARIO (organisation,
implantation, modes opératoires …)
Les ACTEURS au quotidien connaissent leur texte (opérations, déplacements, actions, gestes, respect des
consignes…)
Le CONTEXTE est connu de tous (principes d’organisation et objectifs de satisfaction du client)
Les EVENEMENTS s’enchainent selon une programmation bien élaborée avec le minimum de place pour
l’improvisation ou les aléas.
Ce nouveau film amène plus de plaisir à travailler de façon responsable et organisée et toujours dans la
sérénité avec :
✓ Une meilleure satisfaction du client.
✓ Une meilleure motivation en interne.
Qui sont les 2 garants de la réussite de l’entreprise.
De l’actuel à l’idéal
Pour ce faire, et pour chacun des flux, l’analyse reposera sur une liste (non exhaustive) de question à se
poser :
• Comment je gère les volumes nécessaires ?
• Comment je pilote les fréquences d’utilisations ?
• Quelles sont les distances parcourues ?
• Comment arrivent les différents éléments ?
• Ces éléments sont-ils contrôlés ? Comment ?
• Comment sont stockés ces éléments ?
• Quel est le coût rajouté à chaque élément ?
• Quelle est la valeur ajoutée de chaque opérateur ?
• Qui intervient dans ce flux ? Combien de temps ? Pourquoi ?
• Quel est le ratio du temps de la valeur ajoutée sur le temps total de mise à disposition ?
• Quelle est la documentation générée par ce flux ? pour Qui ? Pourquoi ? Quand ? Comment ?)
• Quels sont les moyens de réduction de ce flux ?
• Quel est le flux idéal ? (Si rien n’existait à ce jour…) et Comment s’en rapprocher ?
• Quels sont les en cours strictement nécessaires ?
• Quels sont les éléments déclenchants ?
Un chantier est généralement une affaire de groupe pluridisciplinaire (opérateurs, encadrants, représentants
des fonctions supports et un pilote Lean) dont l’addition des compétences bien choisies permet le succès.
C’est en identifiant les compétences nécessaires que l’on commence à le constituer.
Il est suggéré de réaliser une 1ère analyse des flux sur plusieurs jours consécutivement, selon la complexité
et l’importance du processus étudié (ligne de montage, atelier de fabrication, gestion des
approvisionnements du magasin de composants achetés vers un atelier de fabrication…).
L’étape 4) est la plus importante et dépend de la qualité des données recensées sur le terrain et de leur
synthèse.
Une analyse des flux effectuée dans le cadre d’un projet de réimplantation est menée sur plusieurs
semaines et apporte des orientations sur les règles d’organisation globale telles que la définition des
conditionnements, l’affectation des surfaces, le stockage des produits semi-ouvrés, la gestion du magasin de
composants achetés…
• Recenser les attentes et exigences des clients et prendre en compte les éventuelles évolutions de
ces attentes.
• Identifier les étapes physiquement existantes du processus de transformation (depuis la livraison
vers le(s) client(s) jusqu’aux commandes des fournisseurs). A chaque étape, on se pose la
question : « En moyenne, habituellement, c’est combien ? » et on élimine les valeurs aberrantes
conjoncturelles.
• Noter, pour chacune de ces étapes, les caractéristiques existantes et pertinentes grâce aux données
et aux indicateurs du processus (les temps de traitement d’une tâche, les temps d’attente, le
nombre d’opérateurs, les surfaces, les distances qui séparent 2 étapes indicateurs de performance
de chaque étape, …) ;
• Relever les niveaux de stocks (avant, pendant et après chacune des étapes du cycle de
transformation) ; On différencie les pièces stockées en attente (d’être transférées, d’être
consommées…) des pièces en stocks et gérées en FIFO avec déclaration.
• Représenter les flux matières (matières premières, composants, produits finis) en amont (entre les
fournisseurs et l’Entreprise) et en aval (entre l’Entreprise et ses clients) du processus de
transformation ;
• Faire figurer tous les flux d’information (manuels ou informatiques) qui permettent de gérer ce
processus tels que la réception des commandes clients et le transfert des ordres de fabrication,
etc,... Le type d’informations échangées ainsi que leur fréquence et les acteurs clefs de ces
échanges ;
• Renseigner enfin les délais de chaque étape, en transformant notamment les stocks en temps de
traitement.
Avant de procéder à la représentation de la cartographie, il peut être utile de préparer un tableau comme ci-
dessous :
…
6
Le matériel :
Toutes ces données sont rassemblées dans une représentation visuelle (état actuel ou CURRENT STATE
MAP) utilisant des symboles. Ces symboles sont dimensionnés (64 x 94 mm) pour être découpés puis
insérer directement dans les cartes magnétiques.
Système de gestion de
Signal KANBAN Transport ferroviaire
la production
Processus (opérations,
Inventaires Appel téléphonique
machines, cellules,…)
Tableau de données
(temps de cycle, Takt Supermarché Aller voir la production
time, TRS,…)
Communication
Entrepôt Stock tampon
verbale
Les flux d’informations physiques seront représentés par des bandes magnétiques jaunes, les flux
d’informations électroniques par des bandes magnétiques noires, les flux poussés ou de produits par des
flèches magnétiques.
Les temps d’arrêt et d’action, Lead Time, seront inscrits sur des bandes étiquettes hauteur 15 mm.
Des plots magnétiques de couleur viennent compléter ce matériel et multicolores. Ils vous permettront de
matérialiser, par exemple, les opérateurs, les opérations sans valeur ajoutée, les transferts, les défauts,
etc…
Vous avez la possibilité de compléter la représentation graphique par des informations écrites au moyen du
kit de 4 marqueurs tableaux blanc à condition que votre support soit prévu à cet effet (surface émaillée- voir
exemples chapitre LES SOLUTIONS SESA SYSTEMS).
La construction :
Les clients :
Sur la carte CLIENTS, noter toutes les informations nécessaires (nombre de commandes et/ou de clients,
fréquence, délais, Takt Time correspondant…) accompagnée au besoin de la carte TABLEAU DE
DONNEES. Placez cette carte à droite de la précédente légèrement décalée vers le bas.
300 cdes / S
20j/mois
Takt-Time : 48 s
En fonction du mode d’expédition de vos commandes, sélectionnez la carte adéquate et noter dessus, la
fréquence des départs.
2/S
1/J
Si les produits passent par un entrepôt avant d’être expédié, noter sur la carte ENTREPOT les informations
le concernant. Si un système de supermarché et/ou Kanban existe déjà, matérialisez-les avec les cartes
correspondantes (. )
Adresse-surface-travées-
emplacements, gestion
des stocks.
Vous pouvez déjà, à ce stade, organiser vos cartes et matérialiser les flux entre le client et vous.
Couleur Fonction
bleu opérateur
Orange Ex : kanban
Rouge Ex : défaut
Jaune Ex : amélioration
noir Ex : transfert
Vert Ex : stock
Les étapes du processus : Rose Ex : déplacement
Blanc Ex : tâches inutiles
Toutes les opérations qui constituent le processus doivent être détaillées Gris Ex : surproduction
(nom, emplacement, surface, nombre d’opérateurs, temps de réalisation, Violet Ex : temps d’attente
cadence des machines, TRS, ….) et inscrites sur la carte
accompagnée d’une ou plusieurs tables de données
Pour éviter d’alourdir la VSM, les points tels que les opérateurs, les non conformités, goulots
d’étranglements, temps d’attentes, tâches inutiles, bruits, éclairages, dégagements de produits nocifs,
recyclages…peuvent être matérialisés par des punaises magnétiques.
Toutes les informations supplémentaires utiles au fonctionnement peuvent être ajoutées soit par les cartes
adéquates soit par des punaises magnétiques :
Cellule de production
Inventaires
Les fournisseurs :
Il reste encore à établir la liste des fournisseurs dont les produits, composants, matières, sous-ensembles,
pièces… entrent dans la fabrication du produit fini.
Nom du fournisseur,
mode de fonctionnement,
délais,
La cadence et le mode de livraison pour chacun des fournisseurs sont matérialisés par la carte
correspondante
1/semaine
Les liaisons :
Pour relier tous les points de ce flux, utilisez les pictogrammes magnétiques flèches
La bande étiquette hauteur 15 mm s’adapte bien à la valorisation du LEAD TIME Il vous suffit de découper
des bandes à la longueur souhaitée et d’inscrire à la main sur la bande blanche les temps d’actions et les
temps d’attente et/ ou de transfert.
3h 20’ 5’ 1h
Vous pouvez ensuite apporter des précisions sur le mode de communication grâce aux cartes ci-dessous :
3h 20’ 5’ 1h
Les gaspillages :
C’est le moment de visualiser le processus complet et de repérer au moyen de la carte KAIZEN tous les
points bloquants.
Les données chiffrées, la visualisation de la complexité actuelle, la prise de conscience des gaspillages, la
mise sur table des vrais problèmes et surtout une formidable envie de changer sont indispensables.
Le groupe de travail débute par l’analyse des points anti - flux comme décrit ci-dessous :
Sources des Questions classiques Commentaires Perturbant
informations (oui / non)
Externe Besoins du client Quel est le besoin réel du client en termes de
consommation de produit ?
Calcul du TAKT TIME ?
Opérations Les opérations sont-elles Pouvons-nous les combiner pour éliminer les
bien définies ? délais ou les inventaires en cours ?
Nombre d’opérations
:
Temps
d’écoulement :
Stocks :
En nombre
En fournisseurs
En m²
Transport :
En m²
Fréquence
Conditionnements :
Taille
Nombre
Une panoplie d'outils est disponible pour chasser et éliminer ces gaspillages :
o Le 5S (ordre, propreté, rangement qui engendre sécurité et productivité en développant
l’implication de tous).
o La chasse aux gaspillages et aléas (KAIZEN – HOSHIN).
o La résolution de problème (PDCA).
o Le management visuel.
o Le KANBAN.
o La TPM (TRS et TRP).
o Le SMED (pour plus de flexibilité et de capacité).
o Le développement de l’autonomie (qui concrétise l’implication dans la démarche globale).
Nb : Ces outils font l’objet d’un jeu spécifique de la gamme APPROACH (La formation par le jeu)
Privilégier le Juste à Temps : produire en accord avec le TAKT TIME seulement ce qui est demandé,
quand cela est demandé, dans la quantité et la qualité demandées et surtout en utilisant le minimum de
matière ou de composants, de moyens, de main-d’œuvre et d'espace. Des solutions simples peuvent
être adoptées : machines dans l'ordre du flux, moyens de production simples et peu chers, production
pièce à pièce, opérateurs autonomes et polyvalents, déplacements optimisés, îlots de travail,
production rythmée, opérations standards et définies.
Introduire le flux continu là où cela s’avère possible : examiner la possibilité d’instaurer des systèmes de
production continue, en partant du point final de la chaîne de production. Plusieurs méthodes ont déjà
été élaborées pour ce faire, puis testées par rapport à la réalité. Les lignes d’assemblage fixes sont
l’exemple le plus connu dans lequel il n’y a plus de stock intermédiaire.
Rendre la machine autonome (c'est-à-dire automatique), capable de produire et contrôler sa qualité par
la détection des anomalies de toutes sortes. Le travail de l’homme est séparé de celui de la machine.
Le but est de faire conduire plusieurs machines par un opérateur ; celui-ci détient le pouvoir d'arrêter la
ligne ou le process.
Synchroniser : après avoir défini les opérations standards, on synchronise la ligne (lissage de la charge)
de manière à ce que toutes les opérations standards s'enchaînent les unes derrière les autres sans
temps d'attente. L’objectif est d’obtenir une production équilibrée tout au long du process avec un
minimum de main-d’œuvre et de stock.
Utiliser des supermarchés dès que le flux continu n’est plus possible. Ces supermarchés sont des
systèmes de stocks tampons qui abritent un ensemble de produits semi-finis ou de composants
destinés à couvrir que les besoins immédiats des consommateurs. Comme dans les supermarchés, les
places sont limitées et on réapprovisionne que ce que le client (ou opérateur) a consommé. Ils
permettent notamment le traitement des mudas de transport et de déplacement, les économies
réalisées sont considérables.
Envoyer le programme client vers le pacemaker du flux de valeurs. Les demandes des clients peuvent
difficilement être libérées dans les ateliers de production dans l’ordre dans lequel elles entrent ou
encore, non traitées. Le Value Stream Mapping ne fait pas d’exception à cela : il est toujours nécessaire
d’établir un programme. La seule chose un peu exceptionnelle est que le Value Stream Mapping ne
programmera qu’un seul processus : le pacemaker susmentionné. Cela est rendu possible par le fait
que tout le traitement ultérieur du produit se trouve dans un flux continu et que la production est
entraînée à contre-courant. Dans la pratique, il apparaîtra que ce pacemaker est devenu le point de
dissociation de la clientèle.
Etaler la production : Le programme mérite encore davantage d’attention. Il est fortement conseillé,
dans la logique présupposée, de répartir la fabrication des différents produits de la façon la plus
égale possible à travers le pacemaker. Cela aura surtout comme résultat de réduire les perturbations
inutiles de la demande.
L’application de ces principes résultent en l’élaboration d’un future state plan dont voici un exemple :
10’ 5’ 5’ 30’
Principe
Il est important de noter que les processus administratifs sont connectés aux processus de production. Il
paraît donc important que tout projet de transformation LEAN d'une entreprise passe également par les
"travaux administratifs".
On peut considérer le LEAN Office comme l’application du LEAN Manufacturing dans les centres ou services
administratifs ; il vise à apporter un maximum de valeur tout en optimisant les ressources et moyens
nécessaires. Son levier principal est la chasse aux pertes et aux « gaspillages » (les MUDA).
Le travail administratif n’est pas si différent du travail en atelier de production. Si le travail en atelier
s’organise autour des matières premières, composants, sous-ensembles et divers produits par des flux
physiques, le travail administratif gère des contrats, des factures, des commandes, les ressources humaines
etc… qu’il « produit » et/ou « transforme ». Ce sont des mouvements d’information.
En principe, ce sont toutes les fonctions de l’entreprise concernées par l’action LEAN Office car intimement
mêlées à des processus interconnectés.
Le matériel
Toutes les cartes proposées au chapitre 3 peuvent être transposées dans les processus administratifs. Nous
en avons adjoint d’autres plus spécifiques aux bureaux
Cellule de travail/Open
Fournisseur space Transport aérien
Système de gestion du
Signal KANBAN Transport ferroviaire
processus
Processus (opérations,
Inventaires Appel téléphonique
postes, cellules,…)
Tableau de données
Aller voir le poste de
(temps de cycle, Takt Supermarché
travail
time, TRS,…)
Envoi/réception par
Boîte à archives Armoire de rangement
courrier
Punaises magnétiques,
Flèches magnétiques
La construction
Comme pour le Lean Manufacturing, l’objectif est de représenter l’existant.
L’analyse d’une fonction ou d’une opération peut être réalisée avec la méthode QQOQCCP. Elle consiste à
déterminer qui fait quoi, à repérer les interactions, les inégalités et les blocages dans les processus
administratifs. Pour chaque fonction F, nous nous posons les questions suivantes :
• Ses missions ou opérations OP (Quoi ? Pourquoi ? Pour qui ?, Quand ?)
• Dans quel processus P (Où ?)
• Ses acteurs (Qui ? Combien ?)
• Son traitement (Comment ?)
• La mesure de la fonction (Quels indicateurs ?)
• Le chiffrage du coût des processus (Combien ?)
Voici, en exemple, le traitement des demandes de prix clients. Les pastilles bleues représentent les
opérateurs, la pastille orange, la direction.
Avant de se lancer dans le remaniement du processus, il convient d’identifier ce dont le client a réellement
besoin afin de mettre en place la structure adaptée.
Il faut également se fixer des objectifs pour s’assurer que le projet est efficace. Pour en mesurer l’efficacité,
on peut prévoir une phase de tests. Celle-ci permet d’évaluer le processus de manière objective (durée,
coûts, temps de traitement, erreurs, problèmes rencontrés, etc…).
Chaque fonction doit être clairement identifiée et les relations internes client-
fournisseur, matérialisées.
Il faut que chaque opérateur ait conscience de son rôle dans la chaine de valeur et travaille sur les 4 leviers
suivants : leadership, innovation, communication, travail d’équipe pour accroitre l’efficacité et la flexibilité du
processus.
Si nécessaire, une formation pourra être dispensée.
Il est important que les activités à valeur ajoutée soient reliées entre elles de façon efficace, de sorte que le
processus entier soit optimisé.
Les outils tels que les 5S, le KAIZEN, les 6 Sigma, … peuvent s’avérer utiles pour l’élimination des
inefficacités.
L’élimination du gaspillage à travers toute la chaîne de valeurs résulte en un processus contenant moins
d’erreurs, moins de frustrations, une meilleure qualité…
✓ La nouvelle VSM
Conclusion
Il n’existe pas de fin à l’élimination des gaspillages.
En plus de veiller à ce que les résultats obtenus soient durables, il faut continuellement saisir les nouvelles
opportunités d’améliorations. Ceci requiert des efforts constants de la part de tous.
Un pilote de processus qui intègre le Lean Office dans ses objectifs et dans son organisation obtiendra sans
aucun doute plus de valeur ajoutée pour le client et une meilleure implication de son équipe à tous les
niveaux (créativité, flexibilité, réactivité, adaptabilité, résultats).
Le Lean Office, c’est du bon sens dans les bureaux !
4. LES RESULTATS
Perte de la qualité des Coût des retards Retards dans les projets Sentiment de frustration
prestations Coût de remise en état Temps d’immobilisation Stress
Temps de traitement du site des installations Impact sur la collectivité
alourdi Coût de la non qualité Temps de travail perdu Image de l’entreprise
Impact sur la satisfaction Coût du personnel Pertes administratives Turn-over
client intérimaire Perte de productivité
Pertes administratives Pénalités pour non Perte de réactivité
respect des délais
Pertes administratives
MESURES PRISES
Bonnes pratiques Valorisation des coûts Mesure du Lead Time Participation aux groupes de
Processus plus fiables travail
Procédures
Sécurisation
Tableau de bord
Pilotage des processus
GAINS
Valeur ajoutée à la Coûts de prestations Juste A Temps Relation internes
prestation Rentabilité Solidité de l’équipe
Productivité Investissement. Créativité
Fiabilité Santé
Concentration Stress
Satisfaction du client
Image de l’entreprise
vision claire
LES AUTRES SOLUTIONS SESA SYSTEMS