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Le Temps

Premières approches :
« La temporalité est le mode d’être de l’être pour soi » (Sartre)
I. Quelques réflexions sur la notion de temps
A. Le temps , hors de moi, ou en moi ?
Aristote nous montre que le temps a une dimension ambivalente , il est comme à la fois hors
de moi et en moi , pour qu’il y est du temps il faut que quelque chose change ( = dimension
physique du temps ) mais ce changement lui-même n’existe que par et pour une conscience
qui ce le represente à travers l’ordre de la succession ( = dimension psychique du temps ).
B. Définir le temps ? ( Saint-Augustin 354-430)
« Qu’est-ce donc que le temps ? Si personne ne me le demande je le sais ; si je cherche à
l’expliquer à celui qui m’interroge , je ne le sais plus. »
Le temps est bien pour nous constituer de trois combinaison passer , présent , avenir. Passer
avenir ne sont pas. Et le présent lui-même n’est présent que par ce que continuellment il
disparait dans le passé. « Le temps n’existe que parce qu’il à n’être plus » Puisque le temps a
une réalité pour nous et puisqu’il n’y a de réalité présente pour nous. Il faut valorise l’activité
de l’esprit qui se rapporte au passé à travers le souvenir = le présent de l’avenir ou à
l’experience actuelle c’est l’attention ( présent du présent ).
Définir quelque chose c’est en dégager les constantes substanciel or le temps semble
précisement manqué d’être .
C. Le temps, le même , et autre ? « Temps des montres » et temps vécu , « durée »
(Bergson 1859-1941)
Bergson a explicité une distinction que l’on fait entre un temps impersonnel est un temps
personnel.
Le temps des montres ( impersonnel)  Commmun , social objectif , quantitatif , abstrait
(conçu par l’intelligence)
Temps vécu « durée » (personnel)  subjectif , qualitatif ( plein , vide… ) , éprouvé
II. Qu’est ce que je perds lorsque je perds mon temps ? (Dissertation)
Eléments d’analyse / Introduction voir ENT
Rappel : chercher à donner sens à la question et recherché une tension
A / 1ère partie : On peut tout d’abord relever et analyser les sens courants de l’expression
« perdre son temps » ; cela nous conduira à pointer l’enjeu existentiel de la question.
Plan détaillé
1) Ne pas faire ce que l’on à faire en un temps imparti
Temps opératoire ( voir temps des montres Bergson)  l’enjeu est un préjudice pour moi
2) Ne pas être intéressé par ce qu’on le fait même si on le fait bien, ne pas se retrouver
dans ce que l’on vit
La qualité de temps vécu qui est en cause (= la durée Bergson)  La perte de temps peut aller
jusqu’au sentiment d’une perte de soi du coup l’idée d’aliénation. Voir notion travail
Articulation voir ENT
B / 2ème partie : Le temps est la dimension même de l’existence humaine, et celle-ci est
marquée par sa finitude
Pascal relève contradiction apparente dans notre relation au dimesion du temps , nous pensons
au passé et à l’avenir alors qu’en eux même ils ne sont rien et on ne tient pas au temps
présent alors qu’il est le seul qui est une consistance.
Pascal parle d’imprudence , un manque de sagesse pratique pourtant il ne condamne pas cet
attitude , il ne par le comme un moraliste car il va montrer que cet attitude a une expliaction

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