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• I- CLASSIFICATION DES PORTS

• Selon leur mission principale


• - Ports militaires
• - Ports de commerce
• - Ports de pêche
• - Ports de plaisance
• Selon la position géographique
• Selon le mode d’alimentation du plan d’eau
• - Ports à marée
• -Ports à flots
• - Ports à niveau constant 1
• II- CONDITIONS DEFINISSANT
L’IMPLANTATION D’UN PORT

• Données économiques
• Conditions physiques
• Conditions nautiques
• Conditions relatives au
maintien des profondeurs
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• DISPOSITIONS TYPES D’OUVRAGES
EXTERIEURS DES PORTS
• Ports avec digues parallèles au côté
• Entre abritée avec tenons et traverses
• Entrée ouverte vers le large
• Ports à digues parallèles- Ports creusés
dans les terres
• Ports à digues convergentes
• Ports avec môles détachés du rivage
• Ports ïlot
• Môles reliés au rivage
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• METHODOLOGIE DE CHOIX DES
OUVRAGES
• Analyse fonctionnelle
• Détermination des
caractéristiques structurales
• Dimensionnement
• Choix de la houle de projet
• Étude du déferlement
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• V- FORCES EXERCEES PAR LES VAGUES

Ondes non déferlantes


• Théories de Sainflou
• Théories de Miche- Rundgren
• Cas du franchissement
• Cas d’une fondation en enrochements

Ondes déferlantes
• Théories de Minikin
• Cas du franchissement
• Cas d’une fondation en enrochements
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• V- FORCES EXERCEES PAR LES
VAGUES

Ondes déferlées
• Cas de l’ouvrage situé du côté de la mer
• Cas de l’ouvrage situé du côté de la terre
• Effets de la direction d’approche de la
houle

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• V- FORCES EXERCES PAR LES
VAGUES
• Stabilité des brises- lames à talus en
enrochements
– Relation de Hudson
– Élévation de la crête
– Largeur de la crête
– Pente du talus
– Épaisseur de la couche protectrice
– Nombre d’unités pour la couche protectrice
– Poids des enrochements comme protection
ou fondation
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• FORCES EXERCÉE PAR LES
VAGUES SUR LES PILES
– Théorie de Morrison
– Force et moment de traînée
– Force et moment d’inertie
– Efforts maxima de force et
d’inertie
– Coefficient de traînée et d’inertie

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• PRINCIPES D’IMPLANTATION D’UN PORT
MARITIME
• Un port maritime est destiné à recevoir des
navires de mer, tandis que qu’un port fluvial
accueille des convoies fluviaux.
• Par ailleurs, le port est destiné à arbitrer les
navires de l’action de la houle pour leur
permettre :
– de stationner
– d’effectuer des opérations
commerciales (embarquement,
débarquement etc.)
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– d’être construit, entretenus réparés.
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• Quelques ouvrages maritimes

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• PARTIE II : CALCUL DES OUVRAGES MARITIMES
• CHOIX DU SITE POUR L’IMPLANTATION D’UN PORT
• Le Choix du site pour l’implantation d’un port maritime dépend
principalement des conditions de facilité d’accès, de la direction
dominante de la houle.
• Suivant les conditions données, on peut rencontrer différents cas
dont les principaux sont montrés à la figure 5.1.
• IMPLANTATION DES OUVRAGES MARITIMES
• Il existe plusieurs types d’ouvrages maritimes, mais on peut les
classifier en deux grandes catégories, à savoir :
• Ceux qui sont situés près du rivage ou en eau peu profond ;
• Et ceux qui sont situés au large ou en eau profonde.
• Parmi les ouvrages situés près du rivage, on a principalement ceux
qui sont rattachés au trafic maritime à savoir les ports et ceux qui
servent à protéger le rivage.
• Pour ce qui est des ouvrages situé au large, on trouve les brise-
lames et les quais en eau profonde et aussi avec la course de plus
en plus grande vers les gisements de pétrole, les plates-formes de
forage (ouvrages sur piles).

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• CHOIX FINAL DE LA SRUCTURE
• Pour arriver au choix final d’une structure
donnée, il faut en général passer par trois étapes
à savoir,
• l’analyse fonctionnelle,
• la détermination des caractéristiques structurales
• et enfin le dimensionnement proprement dit.
• L’analyse ce qui est des ouvrages situés au
large, on trouve les brises-lames et les quais en
eau profonde et aussi la course de plus en plus
grande vers les gisements de pétrole, les plates-
formes de forage (ouvrages sur piles).

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• L’analyse fonctionnelle consiste
à déterminer le rôle les fonctions,
les limitation et le type de
structures à utiliser pour répondre
à un besoin donné. Dans cette
étape, sont inclus le choix de la
forme, des dimensions et de la
localisation de la structure, voire
même les aspects légaux et les
effets sur l’environnement.
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• Dans l’étape de la détermination
des caractéristiques structurales,
il s’agit de choisir le type de
structure approprié dans les
conditions particulières données.
Ce choix inclut les matériaux à
utiliser compte tenu de leur
disponibilité, des méthodes de
construction, des conditions de
fondations, de leur exposition aux
vagues, etc.
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Nous allons surtout nous attarder
sur la dernière étape qui consiste
à dimensionner une structure
sous des conditions données.
• Les principales forces qui entrent
en jeu lors du dimensionnement
d’un ouvrage sont les forces
causées par les vagues, les
glaces, les pressions des sols et
les forces d’impact.

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• CALCUL DES EFFORTS SUR LES OUVRAGES
MARITIMES
• Selon la structure de l’ouvrage
maritime, on distingue :
• les ouvrages constitués de
murs à parois pleines
• les digues à talus en
enrochement
• les ouvrages sur piles (exemple
les plates –formes pétrolières).
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• DIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES MARITIMES
• CHOIX DE LA HOULE DE PROJET
• Le principal problème qui intervient lors du dimensionnement d’une
structure maritime est le choix de la houle qui va servir à faire un tel
dimensionnement. On peut toujours alléguer que la structure doit
résister à la houle maximale que l’on espère obtenir à la structure,
mais cela n’est pas toujours économiquement justifiable ; un certain
risque de dommages doit alors être accepté.
• Dans la détermination de la houle de projet, la première étape
consiste à obtenir le plus d’informations possibles sur les conditions
de houle existant au site considéré, soit par des enregistrements de
houle si cela est disponible, soit par l’utilisation des méthodes de
prévision des ondes à l’aide de données météorologiques.
• Ces ondes sont sujettes aux effets d’atténuation en eau profonde,
aux effets de profondeur et de frottement ainsi qu’aux phénomènes
de réfraction, de diffraction, de réflexion et de transmission.

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• Les structures rigides telles que les murs de
palplanches soient dimensionnées en utilisant H1/100.
• Les structures semi- rigides ou semi- flexibles telles que
les structures cellulaires ne palplanches remplies de
matériaux soient dimensionnées en utilisant H1/10
• les structures flexibles telles que les brise- lames à
talus en enrochements soient dimensionnées en utilisant
H1/3 ou Hs.
• Quelquefois, on fait même appel, pour le
dimensionnement de certains ouvrages, à Hmax qui
correspond à H1/1000.
• Les relations entre chacun de ces paramètres sont
données par (avec H1/3= Hs) :
• H1/1000 = 1.87H1/3 ; H1/100 =1.67H1/3 ; H1/10 =
1.27H1/3 (5.1)

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• Les relations entre chacun de ces paramètres
sont données par (avec H1/3= Hs) :

H1/1000 = 1.87H1/3 ;
H1/100 =1.67H1/3 ;
H1/10 = 1.27H1/3
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• Le choix de la houle de projet est
influencé principalement par les points
suivants :
– Si la structure et sujette à l’attaque d’ondes
non déferlantes, déferlantes ou déferlés ;
– Effets sur les aires protégées des dommages
causés à la structure ;
– Fréquence des besoins de maintenance due
à l’occurrence des tempêtes qui causent du
dommage ;
– Disponibilité des matériaux de protection ;
– Comparaison des coûts de maintenance ou
l’amortissement du coût initial.
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• DIMENSIONNEMENT DES OUVRAGES MARITIMES
• CHOIX DE LA HOULE DE PROJET
• Le principal problème qui intervient lors du
dimensionnement d’une structure maritime est le choix de
la houle qui va servir à faire un tel dimensionnement. On
peut toujours alléguer que la structure doit résister à la
houle maximale que l’on espère obtenir à la structure,
mais cela n’est pas toujours économiquement justifiable ;
un certain risque de dommages doit alors être accepté.
• Dans la détermination de la houle de projet, la première
étape consiste à obtenir le plus d’informations possibles
sur les conditions de houle existant au site considéré,
soit par des enregistrements de houle si cela est
disponible, soit par l’utilisation des méthodes de prévision
des ondes à l’aide de données météorologiques.
• Ces ondes sont sujettes aux effets d’atténuation en eau
profonde, aux effets de profondeur et de frottement ainsi
qu’aux phénomènes de réfraction, de diffraction, de
réflexion et de transmission.
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• Le choix de la houle de projet est influencé
principalement par les points suivants :
1. Si la structure et sujette à l'attaque d'ondes
non déferlantes, déferlantes ou déferlées ;
2. Effets sur les aires protégées des dommages
causés à la structure ;
3. Fréquence des besoins de maintenance due à
l'occurrence des tempêtes qui causent du
dommage ;
4. Disponibilité des matériaux de protection
5. Comparaison des coûts de maintenance ou
l'amortissement du coût initial.
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• Sans doute là aussi l'expérience obtenue des
ouvrages antérieurement construits est un précieux
atout et permet de guider le choix dans les ouvrages à
venir.
• On recommande, par exemple, comme règle générale,
que :
• Les structures rigides telles que les murs de
palplanches soient dimensionnées en utilisant H1/100.
• Les structures semi-rigides ou semi-flexibles telles
que les structures cellulaires en palplanches remplies
de matériaux soient dimensionnées en utilisant H1 /
10
• et que les structures flexibles telles que les brise-
lames à talus en enrochements soient dimensionnées
en utilisant H1/3.

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• Les structures rigides telles que les
murs de palplanches soient
dimensionnées en utilisant H1/100.
• Les structures semi-rigides ou semi-
flexibles telles que les structures
cellulaires en palplanches remplies de
matériaux soient dimensionnées en
utilisant H1 / 10
• les structures flexibles telles que les
brise-lames à talus en enrochements
soient dimensionnées en utilisant H1/3.
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• Quelquefois, on fait
même appel, pour le
dimensionnement de
certains ouvrages,
à Hmax qui correspond à
H1 / 1000.
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• Les relations entre chacun
de ces paramètres sont
données par (avec H1 / 3 =
Hs) :
• H1/1000 = 1.87 H1/3 ;
• H1/100 = 1. 67 H1/3 ;
• H1/10 = 1.27 H1/3
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• ETUDE DU DEFERLEMENT DES
VAGUES
• La première étape avant le calcul des
efforts auxquels un ouvrage maritime est
soumis consiste à étudier le déferlement
de la vague de projet. Cette étude
permettra de savoir si l’ouvrage maritime
projeté sera sujet soit à des ondes
déferlantes, soit à des ondes non
déferlantes, soit à des ondes déferlées.

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• ETUDE DU DEFERLEMENT DES
VAGUES
• La première étape avant le calcul des
efforts auxquels un ouvrage maritime est
soumis consiste à étudier le déferlement de
la vague de projet. Cette étude permettra de
savoir si l’ouvrage maritime projeté sera
sujet
• soit à des ondes déferlantes,
• soit à des ondes non déferlantes,
• soit à des ondes déferlées.
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• Étude du déferlement

• La première étape avant le calcul des efforts auxquels un ouvrage


maritime est soumis consiste à étudier le déferlement de la vague
de projet. Cette étude permettra de savoir si l'ouvrage maritime
projeté sera sujet soit à des ondes déferlantes, soit à des ondes
non déferlantes, soit à des ondes déferlées.
• Il est généralement admis qu'une structure située dans une
profondeur d'eau h sera soumise à l'action des vagues déferlantes
si h s 1.3H,
• Ceci qui correspond à la limite d'eau peu profonde. Cependant, des
études du processus de déferlement ont indiqué que cette
hypothèse n'est pas toujours valide. La pente de la rive, la
cambrure de la vague et la présence de la structure elle-même sont
autant de facteurs qui ont une influence sur le déferlement des
vagues.
• Il appert que, même dans des expériences contrôlées en
laboratoire, les mesures expérimentales sur le déferlement sont
plus ou moins dispersées.

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55
• Distances de déferlement
6.85 pour m  0.07

X a   a H b   0.48
 m pour m  0.07

X p   p H b  4.0  9.25 m ) H b
XS  X p
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Hb   

1
 a 
1

1  9,25 m b  4 mb
2

h  ma 18 .5m  8.0    h
 T2
2
 
 
 a 
1
1  9.25 m b  4 mb  
2 4 mba
9.25  4 
 h  h
 T 2 
 T 2

xb  xp   b Hb  4.0  9.25mHb 5.5


h b  h  mx p 57
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• Donc déferlement est un processus
• Distances Xa Xp et Xs

 6 . 85 pour m  0 . 07

X a   a H b   0 . 48
 m pour m  0 . 07

X p   p H b  4.0  9.25 m) H b
XS  X p
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• CALCUL DES EFFORTS SUR LES OUVRAGES MARITIMES
Rappelons que selon la structure de l'ouvrage maritime, on
distingue : -

• les ouvrages constitués de


murs à paroi pleines
• les digues à talus en
enrochement
• les ouvrages sur piles
(exemple les plates-formes
pétrolières).

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digue

mur

pile

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• Ondes non déferlantes
• Théorie de Sainflou
• lorsqu'une vague vient frapper un
mur vertical, il y a formation d'un
clapotis, c'est à dire la hauteur de la
vague incidente est doublée au mur
• Niveau moyen de l’eau surélevé de
ho par rapport au niveau de repos
• Déviation de pression p1
• Distribution hydrostatique
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• 2 cas de figures ondes non déferlantes
– Crête contre le mur
– Creux contre le mur

• Efforts en cas de franchissements


– Lorsque crête contre mur
– Lorsque creux contre le mur
• Efforts en cas de fondation en
enrochements

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• Variation de pression
P
 R ( z )  z

cosh( 2  ( h  z ) / L
R(z) 
cosh( 2  h / L )
H
  sin( Kx   t )
2 73
• Valeurs extrême de pression

P Hrés
 R ( z  h) * Z
 2
Hrés  Hi  K ' r * Hi
1
R ( z  h) 
cosh( 2  h / L )
74
• Valeurs extrême de pression

P 1 Hrés
 *  ( h)
 cosh( 2  h / L ) 2
Hrés  Hi  K ' r * Hi
1
R ( z  h) 
cosh( 2  h / L )

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• Valeurs extrême de pression

P 1 (1  k ' r )
 * Hi  (h)
 cosh(2h / L) 2
Hrés  Hi  K ' r * Hi
 (1  k ' r )
P1  Hi
cosh(2h / L) 2

76
77
78
H

Profondeur h= ds

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• Variation de pression

P
 R ( z )  z

cosh( 2  ( h  z ) / L
R(z) 
cosh( 2  h / L )
H
  sin( Kx   t )
2
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• Valeurs extrême de pression

P Hrés
 R(z  h) *  Z
 2
Hrés  Hi  K ' r * Hi
1
R(z  h) 
cosh( 2  h / L )
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P 1 (1  k ' r )
 * Hi  (h)
 cosh(2h / L) 2
Hrés  Hi  K ' r * Hi
 (1  k ' r )
P1  Hi
cosh(2h / L) 2

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• CAS DU FRANCHISSEMENT DE LA
STRUCTURE
• Si la hauteur de la structure est telle qu'il y a
franchissement par dessus la crête, la force
et le moment sont alors réduits suivant l'aire
hachurée montrée à la figure 5.14.
• Ainsi les valeurs détermines plus haut sont
réduites:
• Déterminer les coefficients de réduction
• Pour Force et moment

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•Force réduite par rf
•Moment réduit par rm
•F=rf F
•M=rm M
•Déterminer rf et rm
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b  b 
rf   2  
z  z 
2
 b   b 
rm     3  2 
 z  z 
 1  K 'r 
zc  h  h 0    Hi
 2 
 1  K 'r 
zt  h  h 0    Hi
 2  92
Bien noter hauteur b
Et Z est Zc ou Zt 93
94
• On peut également utiliser l'abaque de la figure
5.16 pour déterminer rf ,rn, et b/ z Il est à noter
que généralement en position de creux, il n'y a
pas de franchissement.
– fig. 5.8 Surélévation du niveau d'eau (MICHE-
RUNDGREN) Kr' = 1.0
– fig. 5.9 Force totale contre le mur, (MICHE-
RUNDGREN) Kr' = 1.0
– fig. 5.10 Moment total par rapport à la base,
(MICHE-RUNDGREN) Kr' = 1.0
– fig. 5.11 Surélévation du niveau d'eau, (MICHE-
RUNDGREN) Kr' = 0.9
– fig. 5.12 Force totale contre le mur, (MICHE-
RUNDGREN) Kr' = 0.9
– fig. 5.13 Moment total par rapport à la base,
(MICHE-RUNDGREN) Kr' = 0.9
95
96
97
98
99
100
101
• CAS D'UNE STRUCTURE REPOSANT
SUR UNE FONDATION EN
ENROCHEMENTS
• Des facteurs de réduction de la force et
du moment existent de façon similaire
lorsque la structure repose sur une
fondation en enrochements (voir figure
5.15).
• Dans ce cas, la valeur de b représente la
hauteur de la fondation. La force réduite
est alors égale à :
102
103
•Force réduite par 1-rf
•Moment réduit par 1-rm
•F=(1-rf) F
•M=(1-rm )M
•Déterminer rf et rm
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b  b  Noter b
rf   2  
z  z 
2
 b   b 
rm    3  2 
 z   z 
1  K 'r 
zc  h  h 0    Hi
 2 
1  K 'r 
zt  h  h 0    Hi
 2  105
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•Force réduite par 1-rf
•Moment réduit par 1-rm
•F=(1-rf) F
•M=(1-rm )M
•Déterminer rf et rm
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• EFFORTS RÉSULTANTS SUR L'OUVRAGE
• La force et le moment résultants dépendent des
conditions qui existent de l'autre côté du mur. Par
exemple, si la pression de l'autre côté est hydrostatique,
il faut retrancher pour les forces, le terme gh2 /2 et pour
les moments, le terme gh3 /6
• et alors les forces et moments résultants oscillent
continuellement d'un côté et de l'autre du mur.
• Lorsque la houle agit des deux côtés du mur, il faut tenir
compte des deux conditions extrêmes à savoir
• Lorsque la crête est du côté de la mer et le creux du côté
de la terre
• et vice versa, c'est à dire lorsque la crête est du côté
intérieur et le creux du côté extérieur.
• Si, au lieu de l'eau, on a de la terre sur un côté du mur, il
faut alors tenir compte de la pression des terres.
• Dans tous les cas, il ne faut pas oublier de tenir compte
des sous-pressions exercées sous la structure.
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Ondes non déferlantes

Calcul des forces et moments


positions crête et creux
Mc et Mt Fc et Ft

Cas de franchissement cas de


fondation enrochements
Efforts réduits 111

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