Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Les Problèmes Rencontrés Au Cours Du Forage
Les Problèmes Rencontrés Au Cours Du Forage
Les pertes de charge dans les circuits circulation est une déperdition
d’énergie par dissipation en force de frottement au cours de l’écoulement
de la boue:
1. Frottement internes au fluide dus à sa viscosité.
2. Frottement externes dus à la rugosité des parois de la conduite.
Elle s’exprime en termes de différence de pression entre deux points de la
conduite. La boue de forage en cours de circulation démarre avec une
énergie représentée par la pression de refoulement à la sortie des pompes
et sort avec une pression nulle au niveau des installations de traitement
mécanique, donc la répartition des pertes de charge dans le circuit de
forage est comme suit :
PR=PCS+PCDP+PCDC+PCO+PCA
La pression du fond du puits
1 .Circulation arrêtée
La pression du fond du puits est égale à la pression hydrostatique:
Pf = PH = d.H /10.2 bars
2 .En dynamique
La pression du fond du puits est la somme de la pression hydrostatique
et les pertes de charge dans l’annulaire, elle est donnée :
Pf = PH+PCA
Calcul des pertes de charge dans les circuits de forage pétroliers
Donc la densité équivalente de la circulation est donnée par :
deqv=10.2x (PH+PCA)/H
pR : pression de refoulement en bars
pf : pression de fond en bars
pH : pression hydrostatique en bars
H : hauteur en mètre
deqv : densité équivalente.
Pertes de charge au niveau de l'outil
Outils à duses : la perte de charge est directement liée au débit du
fluide, à la surface des orifices des duses et à la densité du fluide
de forage Elle est calculée par :
Pco = (d. Q / (2959,41.C . A )
2 2 2
PCO = perte de charge à l'outil en kPa
d = masse volumique de la boue en kg/litre
Q = débit de la boue en litres/min
A ( TFA (Total Fluid Area) = surface totale des orifices des duses
en pouce carré (in2)
C = Coefficient d'orifice :
C= 0.80 pour outil sans jet
C = 0.95 pour outil à jet
Total Flow Area (TFA) ou Nozzle Area (An)
Puissance Hydraulique :
La puissance hydraulique sur le front de taille est de :
Ph(HSI) = Pco.Q / (35140.D2 )
Avec :
Ph(HSI) : puissance hydraulique sur le front de taille en HP/pouces2
PCO : perte de charge à l'outil en kPa
Q : débit en litres//min
D :diamètre du trou(la phase) en pouce
EXERCICE
1 .Fluide Newtonien
Pertes de charges d’un fluide Newtonien dans une conduite cylindrique est
donnée par les équations suivantes :
1.1 A l’intérieur de la garniture.
1.1.1 .Ecoulement laminaire (Fluide Newtonien) :
P : perte de charge en KPa
ρ = masse volumique de la boue
L = longueur de la conduite en mètres,
Q= débit en litre par minute (l/mn),
D = diamètre de la conduite en mètre.
μ : Viscosité dynamique en cP
d : densité de la boue
1.1.2 .Ecoulement turbulent (Fluide Newtonien):
P : perte de charge en KPa
d : densité de la boue
Calcul des pertes de charge dans les circuits de forage pétroliers
1.2 .Espace annulaire
1.2.1 .Ecoulement laminaire :
Espace annulaire
• Il y a lieu de noter que :
Les pertes de charge à partir des tableaux sont calculées pour une longueur de
100 m.( formulaire de foreur)
N représente les pertes de charge pour l’eau pure.
B : coefficient de correction relatif à la boue en circulation.
Calcul pratique des pertes de charge
Exercice 01
Dans la phase 8’’½ à une profondeur de 2300 m. avec une boue de
masse volumique 1150 kg/m3 et une viscosité plastique μp = 22 cP, le
débit de forage est Q = 1500 litres/ mn.
Données:
Installation de surface : cas 3.
La garniture de forage est constituée de:
Masses-tiges 6’’3/4 x 2’’ 13/16 de longueur totale 170 m
Tiges de forage 5’’ -19.50-E- NC50 de longueur totale 2130 m (Di des
tiges 3’’3/4)
L’outil est équipé d’une combinaison des duses: 11/11/12
Exercice 01:
Solution
A partir des tableaux (formulaire du foreur)
Page 315 : Le coefficient B = 2.08
Les coefficients de perte de charge Ni sont comme suit:
Page 322 : dans les installations de surface N1 = 95
Page 332: à l’intérieur des tiges en KPa/100 m N2 = 57
Page 337: à l’intérieur des masses-tiges en KPa/100 m des tiges en KPa/100 m N 3 =
404
Page 352: espace annulaire trou/masses-tiges en KPa/100 m N4 = 102
Page 358: espace annulaire trou /tiges en KPa/100 m N5 = 19
Page 339: pertes de charge aux duses ( KPa) pour d= 1 kg/litre Pd = 9611 KPa
Ptotale: Pression de refoulement des pompes à boue est égale à:
Ptotale = (N1+ 21.3.N2+ 1.7.N3+ 1.7.N4+ 21.3.N5).B+ Pd.d en KPa
Ptotale= (95 + 21.3 x57 + 1.7 x 404 + 1.7 x 102 + 21.3 x 19).2.08 + 9611 x 1.15 =16 407
KPa
Exercice 02
Dans la phase 12’’1/4 à une profondeur de 2500 m. avec une boue de
viscosité plastique
μp = 30 cP et le coefficient B = d0.8 . μp0.2 = 2.13, le débit de forage est Q
= 2500 litres/ mn.
Données:
Installation de surface : cas 3.
La garniture de forage est constituée de:
Masses-tiges 9’’1/2 x 2’’ 13/16 de longueur totale 200 m
Tiges de forage 5’’-19.50-E- NC50 (diamètre extérieur des Tools-joints
6’’1/2) de longueur totale 2300 (Di des tiges 3’’3/4)
L’outil est équipé d’une combinaison des duses: 12/13/13
Calculer la pression totale que devra fournir les pompes à boue.
Exercice 02: Solution
A partir des tableaux (formulaire du foreur)
Page 315 : Le débit d = 1.10
Les coefficients de perte de charge Ni sont comme suit:
Page 322 : dans les installations de surface N1 = 239
Page 333: à l’intérieur des tiges en KPa/100 m N2 = 144
Page 338: à l’intérieur des masses-tiges en KPa/100 m des tiges en KPa/100
m N3 = 1013
Page 354: espace annulaire trou/masses-tiges en KPa/100 m N4 = 35
Page 359: espace annulaire trou /tiges en KPa/100 m N5 = 3
Page 341: pertes de charge aux duses ( KPa) pour d= 1 kg/litre Pd = 17122
KPa
Ptotale: Pression de refoulement des pompes à boue est égale à:
Ptotale = (N1+ 23.N2+ 2.N3+ 2.N4+ 23.N5).B+ Pd.d en KPa
Ptotale = (239+ 23 x 144+ 2 x 1013+ 2 x 35 + 23 x 3).2.13+ 17122 x 1.10 en
KPa
Ptotale = 31009.28 Kpa =310 bars
Dans la phase 12’’1/4 à une profondeur de 2500 m. avec une boue
de viscosité plastique
μp = 24 cP et le coefficient B = d0.8 . μp0.2 = 1.96, le débit de forage
est Q = 2500 litres/ mn.
Données:
Installation de surface : flexible d’injection 3 ‘’ à 55 ft , tige
d’entrainement 4 ‘’ à 40’’
. ( case 4,)
La garniture de forage est constituée de:
Masses-tiges 9’’1/2 x 2’’ 13/16 de longueur totale 200 m
Tiges de forage 5’’-19.50-E- NC50 (diamètre extérieur des Tools-
joints 6’’1/2) de longueur totale 2300 (Di des tiges 3’’3/4)
L’outil est équipé d’une combinaison des duses: 12/13/13
Calculer la pression totale que devra fournir les pompes à boue.
Solution
A partir des tableaux (formulaire du foreur)
Page 315 : B = 1.96, Le débit d = 1.05
Les coefficients de perte de charge Ni sont comme suit:
Page 322 : dans les installations de surface : cas 4, N1 = 187
Page 333: à l’intérieur des tiges en KPa/100 m N2 = 144
Page 338: à l’intérieur des masses-tiges en KPa/100 m des tiges en KPa/100 m
N3 = 1013
Page 354: espace annulaire trou/masses-tiges en KPa/100 m N4 = 35
Page 359: espace annulaire trou /tiges en KPa/100 m N5 = 3
Page 341: pertes de charge aux duses ( KPa) pour d= 1 kg/litre Pd = 17122 KPa
Ptotale: Pression de refoulement des pompes à boue est égale à:
Ptotale = (N1+ 20.N2+ 2.N3+ 2.N4+ 20.N5).B+ Pd.d en KPa
Ptotale = (187+ 20 x 144+ 2 x 1013+ 2 x 35 + 20 x 3).1.96+ 17122 x 1.05 en
KPa
Ptotale = 28215.18 Kpa = 282 bars
Les problèmes rencontrés
au
cours du forage
1.Venue
Il y a une venue quand les fluides en place dans un
réservoir débitent dans le puits. Ces fluides
peuvent être soit de l’eau, soit du gaz ou de
l’huile, soit un mélange. Les causes d’une venue
peuvent être attribuées à un ou plusieurs
éléments :
Densité de boue insuffisante
A l’entrée d’une zone à pression anormale
Réduction de la pression de fond due aux :
1. Disparition des PCEA (lorsque la circulation est
arrêtée).
2. Réduction de la densité de la boue.
3. Réduction de la hauteur de boue dans l’annulaire.
4. Pistonnage (swab et surge).
5. Collision avec un puits en production
1.1 Au cours de forage
Densité de boue trop faible.
Pertes de boue dans les formations.
1.2 Au cours de manœuvre
Mauvais remplissage du puits pendant la
remontée de la garniture.
Pistonnage
1.3 Pendant la mise du ciment
Venue dans l’espace annulaire trou- casing,
situation très difficile à contrôler.
1.4 Comment éviter une venue
Les phénomènes d'instabilité des formations
argileuses peuvent être les contraintes
chimiques, les contraintes géostatiques, ou les
contraintes tectoniques. La formation argileuse
devient instable
Contraintes tectoniques – Réactions et
évènements
3.7-Coincement dus a l’instabilité des parois du puits
Avancement rapide suivi d’une quantité importante
de déblais sur les tamis vibrants.
Accrochages au dégagement du fond et la remontée.
Reforage assez facile a la descente.
Volume important de déblais sur les tamis vibrant à
la reprise du forage.
La pression reste stable à l’exception de quelques
coups provoqués par retombées importantes.
Mesures préventives
Avancement rapide.
Augmentation du couple en forage.
Accrochage en dégageant du fond.
Augmentation de la pression de refoulement
allant jusqu'à l’impossibilité de circuler.
Absence de déblais aux tamis vibrants
Présence de chlorures dans la boue
Reforage de la zone à la descente.
Mesures préventives
Utiliser une boue adaptée au forage des couches salifères (boue salée
saturée ou boue a base d’huile).
Augmentation de la densité de la boue pour maintenir le sel en place
Pour cela il peut être nécessaire d’atteindre une densité voisine de celle
du sel (environ 2.6) ce qui risque de provoquer des pertes de circulation
et des fracturations dans des formations qui ont déjà provoqué des pertes
dans les niveaux supérieurs.
Dans certaines conditions de pression et de température, il sera difficile
de maintenir le sel en place .Le fluage de couches de sel est responsable
dans certaines régions de l’écrasement des colonnes de tubage.
Utiliser une garniture qui réduit les risques de coincement
Supprimer les masses –tiges surdimensionnées et réduire au maximum le
nombre de stabilisateurs.
Utiliser des masses –tiges spirales.
Réduire le nombre de masses –tiges et les remplacer
par des tiges lourdes.
Incorporer une coulisse dans la garniture au dessus du
sel.
L’utilisation de PDC excentrés donne de meilleurs
résultats dans ce cas de formation que les autres outils.
Reforer systématiquement la zone jusqu'à obtention
d’un passage libre de la garniture sans circulation ni
rotation.
3.11 Coincement dans des formations
carbonatées
Ces coincements peuvent être facilement résolus par l’injection de
bouchons d’acide chlorhydrique dilué à 15 %.
En présence de terrains très calcaire, l’acide est presque
immédiatement neutralisé et un déplacement lent du bouchon
limiterait son action à une faible portion de la formation
responsable du coincement.
L’acide ne doit pas séjourner trop longtemps dans le matériel
tubulaire qu’il peut corroder rapidement, c’est une raison
supplémentaire pour éviter de la déplacer lentement dans la zone
de coincement. Un bouchon de volume trop important peut
provoquer une dégradation grave du trou.
4. Traitement des coincements :
Pour décoincer une garniture, il existe plusieurs méthodes, il s’agit :
De travailler la garniture en traction et en torsion et de battre avec la puissance
maximale si l’on dispose d’une coulisse libre au dessus du point de coincement.
De la mise en place dans l’espace annulaire en face du poisson d’un bouchon de
produit ayant pour but de réduire la valeur du coefficient de friction Cf et /ou de
détruire le cake.
De diminuer la valeur de la pression exercée par la colonne de boue de l’espace
annulaire au niveau de la zone de coincement en prenant soin de ne pas induire
une venue.
Au cours des tentatives de coincement, les trois méthodes peuvent être mises en
œuvre simultanément.
La mise en place dans l’espace annulaire de lubrifiants et de tensio-actifs
modifiant la valeur de coefficient de friction C f et/ ou détruisant le cake va
généralement contaminer la boue et modifier ses caractéristiques rhéologiques.
Cela peut poser quelques problèmes de stabilité des parois du trou et également
d’élimination de la boue contaminée (problèmes d’environnement).
Donc, généralement, la procédure adoptée par la majorité des operateurs est :
Essayer de se libérer par battage et travail de la garniture pendant quelques heures (de l’ordre
de 2 à 4 heures suivant les opérations et les circonstances) Ce temps sera mis à profil pour
préparer le ou les bouchons (approvisionnement des produits et fabrication du bouchon).
Ensuite mettre en place le ou les bouchons (lubrifiants et tension –actifs).
Réduire la pression différentielle si le puits s’y prête.
Cette façon de procéder a l’avantage de ne pas contaminer la boue si la garniture est libérée
rapidement par le battage et le travail de la garniture.
Pour ce type de coincement, le facteur temps est primordial. Les chances de réussite diminuent
très vite. Il faut donc identifier le phénomène et réagir très rapidement. L’action entreprise
dans les médiats est décisive. Les statistiques montrent que.
Les coincements se produisent principalement au changement de poste. dans les deux
premières heures après la prise de poste et les jours de relève .Cela correspond à des périodes
de plus faible concentration du personnel.
Très souvent, la garniture est libérée de suite après quelques coups de coulisse (d’où l’intérêt
d’avoir une coulisse dans la garniture).
Environ 50 % des coincements sont résolus dans les 4 heures en moyenne.
80% des coincements sont résolus dans les 48 à 72 heures
Au delà de 96 heures, les chances de succès sont particulièrement nulles.
Premières mesure à prendre
Des que l’on a identifié un collage par pression différentielles, il faut :
Arrêter ou réduire le débit de circulation (afin de réduire les pertes de charge
dans l’espace annulaire et, par conséquent, la valeur de la pression
différentielle en face de la zone de coincement).
Travailler la garniture en tension et en torsion au maximum de ses possibilités
tout en veillant à ne jamais dépasser les limites (habituellement on ne dépasse
pas 90% de la limite élastique du tubulaire) .Si l’on applique à la fois une
tension et une torsion, il faut tenir compte de la combinaison de coincement.
Battre immédiatement à pleine puissance si l’on dispose d’une coulisse dans la
garniture.
Par la suite, faire des mesures d’élongation à différentes tensions afin d’avoir
une première estimation du point de coincement. Cela permet, entre eux, de
vérifier s’il coïncide avec une zone poreuse perméable, et d’estimer la
longueur de coincement, informations importantes pour la mise en place des
bouchons.
4.1 Réduction de la pression
hydrostatique
La méthode consiste à pomper par les tiges un bouchon de fluide plus léger que la boue de
l’espace annulaire .Il se produit un vidage partiel de l’annulaire lorsque des deux colonnes de
fluide s’équilibrent. Pour cela, la circulation doit être possible dans Les deux sens pour
permettre le retour du fluide par les tiges, donc la garniture ne doit pas être équipée de soupape.
Cette méthode présente un inconvénient majeur : il est impossible de savoir si le puits est stable ou
non après l’équilibrage des deux colonnes de fluides car l’annulaire n’est plus plein On
procédera de la façon suivante :
Déterminer la diminution de la pression ΔP que l’on peut appliquer sans risque de venues et/ou
d’instabilité des parois du puits.
Remplir l’intérieur des tiges d’un volume déterminer V d’eau, de gas oïl ou de boue légère,
suivant la diminution de pression ΔP que l’on veut obtenir dans l’espace annulaire.
Fermer en tête des tiges et mettre la garniture en tension.
Purger l’intérieur des tiges et laisser le niveau s’équilibrer dans l’espace annulaire (la purge peut
être réalisée par étapes successives).
Si la garniture se décolle, mettre la garniture en mouvement (rotation et translation) et circuler
pour évacuer le reste du tampon et remplir le puits.
Il faut vérifier si le puits est stable il est préférable de
dégager la garniture de la zone de coincement avant de
circuler .S’il ya des risques de venues, il faut d’abord
remplir le puits, la priorité étant le maintien du contrôle
primaire.
Le volume V de fluide de densité d2 à injecter dans les tiges
pour produire une diminution de pression ΔP dans le
puits est donné par la relation suivante.
V=10.2 .ΔP’. ( + )
V : Volume de fluide léger mis en place dans les tiges exprimé en (l)
ΔP’ : diminution de la pression produite dans le puits par la mise en
place du volume V de Fluide léger, exprimée en (bar)
d 1 : densité de la boue du puits
d 2 : densité du fluide léger injecté dans les tiges
Cea : capacité de l’espace annulaire tubage /tiges exprimée en (l/m)
Ct : capacité de l’intérieur des tiges exprimée en (l/m)
Une variante de cette méthode consiste, après avoir pompé le
tampon dans les tiges à procéder à plusieurs fermetures et
ouvertures successives en tête des tiges .Le but recherché est de
décoller la garniture grâce aux coups de bélier produits dans le
puits par la fermeture brutale en tête. Cela équivaut à un battage.
4.3 Injectons d’un bouchon de fluide léger
dans l’espace annulaire
Le terme "complétion" est dérivé de l’opération nécessaire pour compléter un puits de façon à le
faire produire, efficacement, économiquement et en toute sécurité après avoir réussi les phases
de forage.
• La complétion d’un puits consiste en une série d’opérations :
• la perforation du liner ou du tubage
• le contrôle de sable
• la mise en place du packer de production
• la descente de complétion et installation du tubing hanger
• l’installation des vannes de sécurité de sub-surface
• l’installation de la tête de production
• l’installation du mécanisme de production en surface
Les équipements de production qui acheminent le fluide de la formation jusqu’en surface se
divisent en trois parties:
• les équipements de fond qui assurent la liaison entre la couche productrice et le fond du puits
• le tubing de production et ses accessoires
• la tête de tubages et la tête de production pour le contrôle de la pression en surface
CLASSIFICATION DES COMPLÉTIONS