L’ECOLE DES

RELATIONS
HUMAINES:
Elton Mayo, Abraham Maslow,
Frederick Herzberg, Douglas Mc
Gregor
Fait par:
Sous l’encadrement de :
Mme
KOUATCHOU Fiona
KOUTSING Cynthia
 PLAN:
 INTRODUCTION
 LES PRINCIPAUX AUTEURS ET THEORIES DE
L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES
 PRINCIPES DE L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES
 APPORTS ET LIMITES DE L’ECOLE DES RELATIONS
HUMAINES
 CONCLUSION
 JEUX
 INTRODUCTION;
L'école des relations humaines s'est développée en
réaction aux excès du taylorisme qui dans sa
recherche de la productivité a engendré des
comportements contraires à ses objectifs initiaux.
La vision stratégique implicite de cette école reste
identique à celle de l'école classique s'attachant à
proposer un cadre d'analyse unique et universel.
Mais l'approche de l'organisation évolue en
intégrant une nouvelle dimension : l'Homme en
tant qu'individu et membre d'un groupe.
I . PRINCIPAUX AUTEURS DE L’ECOLE DES RELATIONS HUMAINES:
 II. PRINCIPES DE L’ECOLE DES
RELATIONS HUMAINES:
 L’élément de base de l’organisation n’est plus la tâche
mais l’individu;
 Les individus se réunissent en groupes suivant des critères
d’affinité, de proximité ou d’ intérêts communs;
 La décision doit être décentralisée et la coordination doit
reposer sur la confiance et non l’autorité;
 Le gestionnaire est un agent de communication dans et
entre les groupes et non seulement le représentant de
l’autorité;
 Le gestionnaire est un agent de motivation et non de
contrôle; et l’entreprise doit réaliser ses objectifs tout en
visant la satisfaction des objectifs personnels de ses
membres.
III. APPORTS DE L’ECOLE DES
RELATIONS HUMAINES:

L’apport principal de cette école est la prise en

compte de l’Homme comme un acteur du
groupe et non plus uniquement le facteur
technique et ceci ayant entrainé:
 Une amélioration des conditions de travail
 Un développement des cultures d’entreprise
 Relance des gains d’activité
 L’humanisation de l’organisation.
 IV. LIMITES DE L’ECOLE DES
RELATIONS HUMAINES:
 On peut reprocher à cette école d’avoir une
vision simpliste des problèmes de l’organisation
en les réduisant à des problèmes psychologiques
individuels;
 La variable « relation de pouvoir » est oubliée;
 L’amélioration des relations humaines est une
condition non suffisante ou pas nécessaire à
l’augmentation de la productivité;
 La maitrise n’ose plus intervenir de peur de faire
chuter la productivité en dégradant ses relations
avec les subordonnées, …etc.
CONCLUSION: