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I. ETUDES FINANCIERES
Cf première partie
II. MODES DE FINANCEMENT
Autofinancement
Cette opération conduira à une dilution du pouvoir des actionnaires actuels et,
si elle se renouvelle, à la prise de contrôle de l'entreprise par ces nouveaux
acteurs. De plus, une augmentation de capital n'est envisageable que pour une
entreprise en bonne santé, très peu d'actionnaires (sauf pour des raisons
stratégiques) n'entreront dans le capital d'une entreprise en difficulté.
II. MODES DE FINANCEMENT
Emprunt
Il consiste à trouver des capitaux auprès de tiers, pour une durée déterminée.
L'emprunt peut être souscrit auprès d'un organisme financier (banque,
organisme de crédit, ...) et peut être soumis à des conditions (garanties, ...).
Les obligations sont généralement émises par des grandes entreprises qui
présentent des garanties suffisantes pour obtenir la confiance du public.
II. MODES DE FINANCEMENT
Le crédit-bail (aussi appelé leasing en anglais)
NATIONAL MINISTERE
DOCUMENT
PSE POLITIQUE SECTORIEL
Planification Projets et réformes (Ex: LPS) MLT
prioritaires PLAN D’ACTIONS
SECTORIELS
PROGRAMMATION: PROGRAMMATION:
Programmation Triennal
DPBEP DPPD
BUDGETISATION : BUDGETISATION :
Projet de loi de finances Projet de loi de finances
Budgétisation
dont PAP dont PAP
et Suivi Suivi-Evaluation : Loi de Suivi-Evaluation : Loi de Annuel
évaluation
règlement dont règlement dont Rapports
Rapports annuels de annuels de performance
performance (RAP) (RAP)
L’évaluation ex-anté est conduite la soumission du
projet et devrait présenter les éléments suivants :
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La capitalisation
La capitalisation repose sur la technique des intérêts
composés :
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L’actualisation
L’actualisation est l’inverse de la capitalisation, c’est
chercher la valeur d’aujourd’hui d’une somme future
NB:
Tout calcul financier précis exige de tenir compte des flux au
moment où ils sont effectivement touchés, et non pas au moment
où ils sont acquis ou dus.
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Le prix du temps
Actualisation et capitalisation sont les deux faces d’un
même phénomène : le prix du temps.
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L’évolution de la valeur actuelle nette en fonction du taux d’actualisation nous
montre qu’il existe en général un taux d’actualisation qui annule la VAN.
Dans l’investissement industriel celui-ci pourra être remplacé par le TRI (Taux
de rendement interne), ces deux termes recouvrant le même concept, l’un
s’adressant aux titres financiers, l’autre aux investissements industriels.
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On utilise la formule de calcul de la VAN en en changeant l’inconnue. On
cherche en effet le taux t tel que:
VAN = 0, soit = V0
Autrement dit le taux de rentabilité actuariel d’un titre est celui pour lequel
la valeur du marché de ce titre est égale à la valeur actuelle de ses flux futurs.
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Les limites
La VAN et le taux de rentabilité actuariel conduisent aux mêmes décisions lorsqu’il
s’agit simplement de savoir si un investissement peut être entrepris ou non.
En revanche, le problème est différents lorsqu’il faut choisir entre plusieurs titres
financiers, ce qui est souvent le cas dans la pratique. On analyse des titres avec des
échéanciers de flux différents et la décision à prendre n’est pas d’acheter ou de ne
pas acheter le titre, mais de comparer plusieurs titres entre eux et de choisir le plus
intéressant.
Notons qu’il existe un certain de cas assez particuliers où l’usage du TRA conduit à
une impasse.
Ce n’est pas parce qu’un investissement a un TRA supérieur à celui d’un
investissement qu’il doit être préféré.
Le critère de TRA ne permet pas de classer des projets d’investissement entre eux,
mais simplement de dire si tel investissement a une rentabilité au moins égale à
l’exigence de rentabilité. Lorsque le critère de taux de rentabilité actuariel ne
permet pas de porter un jugement sur l’investissement (existence de plusieurs taux
ou aucun), la valeur actuelle nette doit être retenue comme critère de choix
d’investissement.
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Critères d’appréciation
● Taille de l’entreprise et implantation géographique
● Type d’activité
● Actionnariat
● Analyse de l’activité
● Analyse du bilan consolidé
● Analyse des résultats financiers
● Engagements financiers
● Conclusions
Critères d’appréciation du projet
● Les éléments préalables : autorisations administratives purgées, cadre juridique, étude commerciale
● La pré-commercialisation
● Le budget et la marge
● La structuration du montage financier
Savoir à qui vous vous adressez, qui est en face de vous. Renseignez-vous
sur la ou les personnes concernées, sur l’entreprise, sur son activité, sur la
façon dont il est perçu, sur les relations que la personne entretient avec ses
collaborateurs, sur ses habitudes, etc. Ayez une vision aussi claire que
possible de sa personnalité, de ses intérêts, mais aussi de ses limites et de ses
contraintes.
La présentation des objectifs. Elle doit être structurée et
hiérarchisée. De sa clarté dépend souvent la signature d’un
accord. En étant précis sur vos objectifs et en ayant une
connaissance pointue de votre sujet, vous faites sentir à l’autre
que sa marge de manœuvre est très réduite.
Prévoir des solutions alternatives. Si l’objectif initial ne
retient pas l’attention de votre interlocuteur, il est bon d’avoir
sous le coude, des solutions alternatives qui pourront être
valorisées, même si vous devez toujours lui faire sentir qu’elles
sont finalement moins intéressantes pour les deux parties. Sans
lui donner l’impression qu’il fait une erreur.
Savoir faire des concessions. Cela revient, en gros, à disposer
d’une marge de manœuvre. Cette technique commerciale très
répandue consiste, en réalité, à partir de très haut dans vos objectifs
pour arriver au point que vous vous êtes fixé, et ce, en donnant
l’impression que vous avez fait des concessions.