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Remerciements
Sommaire
I. Introduction :
2. Sertissage :
3. Mesurer :
3.1 Analyse du taux de rendement synthétique :
4. Analyser :
4.1 Etude AMDEC :
4.2.1. Initialisation :
3
4.2.2. Décomposition de la machine :
4.2.4 Synthèse :
5. Innover/améliorer :
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I. Introduction
Ce stage, d’une durée d’un mois, a consisté à faire une étude technique par la méthode
Le projet réalisé s’est avéré très intéressant et très enrichissant pour mon expérience
professionnelle.
Grâce à ce stage, j’ai travaillé sur un projet qui m’a permis d’entrevoir en quoi consiste
automobile.
Le but de ce rapport est de faire une présentation exhaustive de tous les aspects
Crée en 1999, le groupe DELPHI a choisi le Maroc pour délocaliser une partie de sa
production, Trois avantages convaincants que présente ce dernier sont les causes majeures de
ce choix : un cout de mains d’œuvre très intéressant, une fiscalité attrayante et une proximité
géographique avec l’Europe.
Implantée à Tanger depuis 1999, DELPHI Automotive System Maroc est filiale de l'une des
sept divisions du groupe DELPHI Packard Electric Systems. Cette dernière, dont la Direction
Centrale se trouve à Warren, Ohio, aux États-Unis, est le leader mondial des systèmes de
distribution de signaux électriques pour véhicules.
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DELPHI Maroc est spécialisée dans la fabrication de faisceaux électriques pour voitures, et
emploie plus de 3000 personnes. Parmi ses principaux clients, on peut citer de grands
constructeurs automobiles tels que les groupes Fiat, Volvo, Renault et Opel. DASM est
certifiée ISO 9001, ISO 14001 & ISO TS 16949. La figure 1 montre une photo du siège de
DELPHI Automotive System Maroc.
2. Fiche technique :
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3. Organigramme DELPHI Tanger :
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4. Description de processus de production :
Fournisseur
Contrôle électrique
Contrôle de contention+emballage
Client
8
4.1. Conducteur électrique
Le conducteur électrique transmet le courant électrique d’un point à un autre, avec une perte
minimale d’énergie. Il est constitué par un nombre défini de filaments et un revêtement isolant
en PVC
Dans l’instruction de coupe il faut respecter : la longueur désirée, le dénudage, insertion des
terminaux (sertissage), et l’insertion des joints.
Le processus de sertissage est l’union d’un terminal avec un fil ou plusieurs, grâce à une
compression par un outillage en garantissant une perte minimale d’énergie et une force
d’arrachement maximale (supérieure à la force limite), figure 8.
Le terminal est un composant métallique qui assure la continuité entre les différentes parties
du circuit électrique.
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4.4. Processus d’épissure :
L’épissure est l’union, à travers une agrafe, de deux conducteurs ou plus pour assurer la
continuité électrique entre les différentes extrémités des circuits électriques qu’elle relie.
L’encliquetage est un processus très simple qui consiste à encliqueter un terminal dans la voie
correspondante d’un connecteur.
Le connecteur est un composant qui assure l’interconnexion entre plusieurs fils avec sa contre
pièce, figure
Le processus d’enrubannage consiste à couvrir le faisceau électrique soit avec des rubans
adhésifs ou avec des tuyaux, afin de le protéger de la haute température, des éraflures, et pour
assurer des cotes adéquates aux spécifications du client.
Le banc de contrôle électrique affiche un message qui indique la validité des faisceaux et
imprime automatiquement une étiquette du contrôle électrique que l’opérateur doit coller sur
l’emplacement spécifié de câblage.
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III. Description de la zone Coupe/Préparation :
1 La coupe :
C’est la première étape dans le processus de production de l’entreprise, elle consiste en le
découpage de la matière première (les fils électriques) selon l’instruction (ordre de fabrication
ou le Kanban) qui contient:
La longueur désirée
La section et la couleur du fil
Le dénudage qui est l’opération de séparer l’isolant des filaments des extrémités
et/ ou milieu du fil de façon à ce que le terminal soit serti.
2 Sertissage :
C’est l’union d’un terminal avec un fil ou plusieurs à l’aide d’une presse semi-automatique en
garantissant une perte minimale d’énergie et une force d’arrachement maximale entre le
terminal et le fil.
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Le sertissage doit répondre aux exigences de qualité suivantes :
Aspect visuel correct.
Hauteur des griffes de l’âme et de l’isolant adéquat.
Force d’arrachement maximal.
Sertissage union : deux fils avec un contact ou plusieurs contacts avec un fil.
Cette opération consiste à recouvrir la tête du terminal par une couche d’étain, ce revêtement
permet d’augmenter la soudabilité des câbles et aussi de les protéger contre la corrosion.
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Étape 1 : Définir
En fait, cette étape comprend deux sous-étapes majeures. La première consiste à déterminer le
sujet de travail le plus adapté dans le cadre de la stratégie de l’entreprise, et la seconde vise, une
fois le sujet sélectionné, à réaliser un état des lieux en se posant clairement les questions
suivantes:
Quel est l’objectif que l’on recherche ?
Cette étape doit permettre de rédiger la charte du projet qui définit clairement les acteurs du
projet, le cadre du projet et les objectifs à atteindre.
Étape 2 : Mesurer
L’étape « Mesurer » est un élément essentiel de l’apport d’une démarche Six Sigma. Beaucoup
d’entreprises n’ont pas cette culture de la mesure. Elles disposent parfois d’un grand nombre de
chiffres, mais ceux-ci sont inexploitables ou inexploités. Voici les principales raisons de cette
pauvreté dans l’exploitation des données :
Des processus de mesures qui ne sont pas adaptés et qui créent parfois plus de dispersion
que le processus étudié.
Une récolte des données mal conçue qui rend inexploitables les tableaux de données.
Cette étape a pour objectif d’évaluer correctement la situation actuelle de la performance des
processus impliqués par comparaison avec les différentes exigences des clients
Étape 3 : Analyser
Il s’agit de discriminer l’essentiel de l’accessoire, l’important du secondaire, afin de focaliser
les efforts sur les vraies causes des problèmes.
Étape 4 : Innover/améliorer
Après avoir déterminé les sources potentielles de la dispersion lors de l’étape d’analyse, il s’agit
maintenant d’améliorer le processus afin de le centrer sur la cible et de diminuer sa variabilité.
C’est à cela que cette étape d’amélioration s’emploie.
Elle peut se dissocier en quatre phases :
Une phase de créativité dans laquelle le groupe de travail doit imaginer les solutions que
l’on peut apporter pour atteindre l’objectif ;
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Une phase d’analyse des risques ;
Étape 5 : Contrôler
Le processus ayant été amélioré lors de l’étape 4, il faut désormais tout mettre en œuvre pour
garantir que ces améliorations seront maintenues et que le processus ne se dégradera pas. Cette
étape va donc consister à mettre en place la structure permettant de mettre « sous contrôle le
processus ». Les outils de base de cette étape seront la documentation du poste de travail
2. Etape1 : définir
Cette étape permet de définir le périmètre et le jalonnement du projet, les résultats attendus
ainsi que les ressources nécessaires.
Ces questions élémentaires sont très commodes pour mettre de l’ordre dans les idées. Elles
sont utilisées à différents moments dans la démarche de résolution de problème :
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Les départements de Delphi:
• Qui est concerné par le
problème Qualité, Ingénierie, Maintenance,
QUI? Production.
Au niveau de processus
• Où apparait le problème ? d’étamage.
Où ?
Le moment de l’opération
• Quand apparait le d’étamage
Quand ?
problème
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C’est quoi le problème :
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Taux de rebut
12
10
8
Taux de rebut
6 Taux de rebut
0
3 4 5 Week
6 7 8 9
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3. Mesurer :
Cette phase consiste à collecter les données et mesurer la performance du processus et sa
variabilité. La mesure et la collecte des données doivent se faire de manière critique pour
obtenir des résultats fiables
Analyse du taux de rendement synthétique (TRS) :
- Développer l’activité.
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Temps d’ouverture: Est une partie du temps total correspondant à l’aptitude des horaires
de travail du moyen de production et incluant les temps d’arrêt de désengagement du moyen
de production.
Temps requis: Est une partie du temps d’ouverture pendant lequel l’utilisateur engage
son moyen de production avec la volonté de produire.
Temps brut de fonctionnement: Partie du temps requis pendant lequel le moyen de
production produit des pièces bonnes et mauvaises dans le respect ou non du temps de cycle
de référence.
Temps net : Partie du temps de fonctionnement pendant lequel le moyen de production
produit des pièces bonnes et mauvaises dans le respect du temps de cycle de référence.
Temps utile : Partie du temps net correspondant au temps non mesurable obtenu en
multipliant le nombre de pièces bonnes par le temps de cycle de référence.
Décomposition de TRS :
Qualité
TRS
Disponibilité Performance
A. Taux de disponibilité
Le taux de disponibilité est le taux qui mesure le temps durant lequel l'équipement fonctionne.
C’est le nombre des heures de production par rapport au nombre d'heures planifiées. C’est une
mesure de performance qu'on obtient en divisant la durée durant lequel l’équipement est
opérationnel par la durée totale durant laquelle on aurait souhaité qu'il le soit.
Cet indicateur peut être influencé par les pannes ou les changements d'outils.
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B. Taux de performance (TP) :
Le taux de performance est le nombre d'unités produites pendant les heures productives par
rapport à la capacité maximale (autrement dit, la performance de l'équipement par rapport aux
spécifications du fabricant).
Cet indicateur peut être pénalisé par les micro-arrêts et les baisses de cadences.
Le taux de qualité qui correspond à la quantité bonne des pièces produites. C’est le nombre
d'unités respectant les critères de qualité par rapport au nombre total d'unités produites
pendant les heures productives
Cet indicateur permet de mesurer l’efficacité de la machine, il tienne compte de tous les
paramètres qui affectent la productivité d'une machine.
D’après un suivi en se basant sur l’historique des arrêts de la machine ATN pendant 7
semaines, j’ai obtenu les résultats suivants :
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Week Temps de fonctionnement Temps requis
3 3115 3680
4 920 920
5 3370 3680
6 3240 4600
7 - -
8 1270 1840
9 1710 1840
21
Titre du graphique
100
90
80
70
60 Performance
50 Qualité
40 disponibilité
30 TRS
20
10
0
3 4 5 6 8 9
D’après le diagramme ci-dessus, il apparait que l’indicateur TRS, n’a pas dépassé en moyenne
77% durant la période considérée. Cette décadence est due apparemment à l’état dégradant du
taux de disponibilité de la machine ATN, de sa performance, aussi de la qualité du produit.
Pour cela mon objectif était de faire une étude technique par la méthode AMDEC pour définir
et éliminer les causes principales de ce problème afin d’améliorer par la suite le niveau du
TRS.
4. Analyse :
Cette étape consiste à faire des analyses basées sur des outils statistiques et analytiques pour
déterminer les causes profondes du problème étudié.
Généralités :
3.1.1. Principe :
L’AMDEC est une méthode de réflexion créative qui repose essentiellement sur la
décomposition systématique d’équipement en éléments simples jusqu’au niveau des
composants les plus élémentaires. Cela consiste à faire une analyse systématique et exhaustive
des défauts possibles de chacun de ces éléments, et de les hiérarchiser par le biais de leur
criticité à travers :
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- La fréquence d’apparition des défaillances appelée aussi probabilité d’occurrence.
Cependant l’AMDEC est une méthode de prospection inductive par excellence. Elle est
cependant pratiquée sur le produit lui-même est sur l’ensemble des éléments qui concourent à
sa fabrication, on énumère ainsi :
- L’AMDEC "processus".
- L’AMDEC "produit".
- L’AMDEC "organisation".
Remarque : Dans cette étude je vais utiliser l’AMDEC moyens de production (AMDEC
Machine).
A Analyse
M Modes
D Défaillance
E Effats
C Criticité
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La machine ATN pose actuellement de sérieux problèmes au niveau de la maintenance. Dans
le but d’analyser tous les modes de défaillance possibles de ces équipements et de remonter
aux sources d’anomalies susceptibles de conduire à ces modes de défaillances, ainsi pour
faciliter le diagnostic et aider par la suite à définir un plan d’action, nous proposons de faire
une étude AMDEC, La démarche générale retenue dans ce rapport pour cette étude compote
quatre étapes successives :
Etape 1 : Initialisation
Description de l’équipement à étudier.
Etape 2 : Décomposition fonctionnelle
Découpage de l’équipement à étudier.
Etape 3 : Analyse AMDEC
-Identification des modes de défaillance ;
- Recherche des causes et des effets ;
- Evaluation de la criticité ;
- Hiérarchisation de défaillances ;
- Recherches des actions correctives ;
Etape 4 : Synthèse
- Liste des points critiques ;
- Recommandations.
Niveau Description
1 Arrêt à courte durée : arrêt<10min
2 Arrêt à moyenne durée : 10min<arrêt<15min
3 Arrêt à longue durée : 15min<arrêt<25min
4 Arrêt à très longue durée : arrêt> 25min
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Niveau Description
1 Défaillance précocement détectable
2 Défaillance détectable
3 Défaillance difficilement détectable
4 Défaillance indétectable
Niveau Détection
1 Défaillance précocement détectable
2 Défaillance détectable
3 Défaillance difficilement détectable
4 Défaillance indétectable
Etape 1 : Initialisation
A) Description de la machine d’étamage:
La machine ATN fait l’opération d’étamage des terminaux des câbles, Cette opération
consiste à recouvrir la tête du terminal par une couche d’étain, toute en assurant une
augmentation de soudabilité des différents terminaux et aussi de les protéger contre la
corrosion. Cette machine est constituée de plusieurs modules :
Les images ci-dessous présentent la machine ATN et ses différents ensembles :
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Figure 17 : Les modules de la machine ATN
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Figure 19: Bloc de fixation des terminaux.
B) Principe de fonctionnement :
Le logigramme ci-dessous présente fonctionnement de la machine ATN :
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Figure 21: Logigramme du fonctionnement de la machine ATN
-Améliorer la sécurité.
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D) Constitution du groupe de travail :
Le tableau AMDEC suivant regroupe les différents modes de défaillances avec ses causes et
ses effets, les valeurs de la fréquence d’apparition de panne sa gravité, sa probabilité de
détection et sa criticité ainsi que les actions pour diminuer le niveau de criticité de chaque
combinaison (cause, mode et effet):
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PEM : Analyse des modes de défaillance de leurs effets et de leurs criticités
Assurer le 1 2 2 4
Conduite Arrêt du Blocage de la Coincement
guidage d’étain Nettoyage
d’étain système conduite d’étain
de la
conduite
Echauffement
Résistance Grillage Mauvaise Etamage N.OK Vérification
4 4 2 32 des
manipulation
paramètres
et précaution
d’emploi
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PEM : Analyse des modes de défaillance de leurs effets et de leurs criticités
Coincement 2 3 1 6
Etanchéité du système Non Blocage du Nettoyage et
Filtre du système changement système de changement du
du fil soudage filtre
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Système de refroidissement
Système de commande
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Etape 4 : Synthèse
Classification des éléments critique :
Dans cette partie je vais présenter la liste des points critiques par la classification du
coefficient de criticité des éléments de la machine et en se basant sur l’outil Pareto :
% Criticité cumulé
97,94% 100,00%
100 92,78% 95,88%
88,66%
90 82,47%
80 70,10% 76,29%
70 61,86%
60 49,48%
50
40 32,99%
30
20
10
0
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D’après le diagramme Pareto les éléments de la machine les plus critiques sont :
5. Améliorer :
Diagramme de la maintenance préventive:
L’objet de cette instruction est de réaliser les interventions préventives nécessaires afin de
permettre à l’équipement de fonctionner sans problème pendant une durée déterminée.
La procédure de maintenance préventive est résumée comme suit :
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Les problèmes trouvés d’après le diagnostic de l’état existant des travaux préventifs sont:
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Conclusion
était très bénéfique pour enrichir la formation déjà acquis à mon école. En effet,
Ce stage m’a permis de vivre de tout près le monde industriel notamment celui
très riche aussi bien sur le plan technique et professionnel, l’analyse critique et
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