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Sommaire
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1 Étymologie
2 Définition
3 Historique
o 3.1 Mortiers anciens
o 3.2 Découverte moderne
4 Fabrication du ciment courant, ou ciment Portland
o 4.1 Extraction
o 4.2 Homogénéisation
o 4.3 Principes et méthodes de fabrication
o 4.4 Fabrication par voie humide
o 4.5 Fabrication par voie sèche
o 4.6 Séchage et broyage
o 4.7 Cuisson
o 4.8 Refroidissement
o 4.9 Broyage
o 4.10 Broyage très fin
5 Chimie du ciment
o 5.1 Phases cimentières
o 5.2 Contamination
o 5.3 Tests en laboratoire
5.3.1 Mesures physiques
5.3.1.1 Surface spécifique
5.3.1.2 Mesure du temps de prise
5.3.1.3 Granulométrie
5.3.1.4 Essai mécanique
5.3.2 Mesures chimiques
6 Les différents ciments
7 L'économie du ciment et impacts sur l'environnement
8 Sociétés cimentières
o 8.1 Sociétés de production
o 8.2 Sociétés d'analyse & réalisation
9 Organismes internationaux et normes
10 Glossaire des ciments
11 Sources
12 Notes
13 Voir aussi
o 13.1 Articles connexes
o 13.2 Liens externes
C'est véritablement les Romains (Les Grecs d'Italie[réf. nécessaire]) qui généralisèrent l'usage de la
chaux comme mortier. Ils la renforcèrent avec des tuileaux ou des
cendrespouzzolaniques (cendres volcaniques de la région de Pouzzoles ou « Pozzuoli » près de
Naples)9selon une recette donnée par Vitruve10,11 (pas toujours respectée).
L'ajout de "pouzzolanes" (scories volcaniques exploitées autour du Vésuve dans un mortier
mouillé à l'eau de mer, lui conférait une solidité élevée à la suite d'une réaction impliquant
l'aluminium d'origine volcanique qui stabilise le complexe d'hydrate de silicate de calcium, avant
qu'un phénomène decarbonatation durcisse plus encore le mortier, lui permettant notamment de
bien résister aux attaques de la mer comme en baie de Naples où l'on trouve des maçonneries
de plus de 2000 ans (mieux que le ciment Portland actuel12, et en consommant moins d'énergie
pour le produire (car le portland actuel nécessite une cuisson en cimenterie à 1 450 °C alors que
la chaux des Romains ne devait être portée qu'à 900 °C12. Ce modèle permettrait de réduire les
émissions de gaz à effet de serre des cimenteries, dont en France où la pouzzolane est
disponible (Auvergne, Velay, Vivarais, Provence).
Puis jusqu’à l'Époque moderne, le mortier consiste en un mélange de chaux, additionnée
de tuiles ou briques concassées, dont l'argile possède des propriétés hydrauliques. La
pouzzolane (terre volcanique de Pouzzoles, dans la région de Naples, en Italie) est très utilisée
comme addition.
Découverte moderne[modifier | modifier le code]
Le ciment ne prit son acception contemporaine qu'au XIXe siècle, lorsque Louis Vicat identifia le
phénomène d'hydraulicité des chaux en 1817, et celle des ciments, qu'il appelait chaux
éminemment hydrauliques, ou chaux limites, en 1840.
La recherche sur l'hydraulicité des chaux débuta à la fin du XVIIIe siècle siècle pour aboutir vers
1840, à la fabrication des ciments modernes. Elle concernait les chaux grasses, non
hydrauliques, qui ne durcissent pas sous l'eau, les chaux hydrauliques qui durcissent même sous
l'eau, les chaux éminemment hydrauliques (riches en argiles) qui se solidifient très rapidement, et
les chaux limites (trop riches en argiles) qui se solidifient très rapidement puis se décomposent, si
elles ne sont pas cuites au degré de fusion pâteuse.
En 1796, James Parker découvrit sur l'Île de Sheppey, en Grande-Bretagne, le ciment
prompt (une chaux éminemment hydraulique ou ciment naturel à prise rapide, cuit
à 900 °C comme les chaux naturelles ordinaires) qu'il baptisa commercialement ciment romain.
Ce ciment acquit par la suite, de 1820 à 1920 environ, une grande réputation. Il fut fabriqué dans
toute l'Europe et servait à faire des moulages au gabarit, ou à fabriquer des pierres artificielles de
ciment moulé. Au début du XIXe siècle siècle, toute l'Europe s'active, la France surtout, pour ne
rien devoir aux Britanniques ni à la pouzzolane italienne. Et le Français Louis Vicat découvrit en
1817 le principe d'hydraulicité des chaux - concernant la proportion d'argile et la température de
cuisson - et publia ses travaux sans prendre de brevet. En 1824, le Britannique Joseph
Aspdin déposa un brevet pour la fabrication d'une chaux hydraulique à prise rapide qu'il appela
commercialement le ciment Portland, car la couleur de son produit ressemblait aux célèbres
pierres des carrières de la péninsule de « Portland » situées en Manche. C'est un ciment
similaire à ceux que décrivit Vicat, encore que son brevet soit imprécis. Mais il fallut attendre
1840, et la découverte des principes d'hydraulicité des ciments lents (dits aujourd'hui ciments
Portland) toujours par Louis Vicat (société Vicat) - une cuisson à la température de fusion
pâteuse soit 1 450 °C qui permit d'obtenir le clinker - pour voir une réelle fabrication de ces
ciments modernes, et voir apparaître ensuite une architecture de béton coffré puis de béton
armé.
La première usine de ciment a été créée par Dupont et Demarle en 1846 à Boulogne-sur-
Mer (Ciments français). Le développement n'a pu se faire que grâce à l'apparition de matériel
nouveaux, comme le four rotatif et le broyeur à boulets. Les procédés de fabrication se
perfectionnèrent sans cesse, et le temps nécessaire pour produire une tonne de clinker,
constituant de base du ciment, est passé de quarante heures en 1870, à environ trois minutes
actuellement.
l'extraction
l'homogénéisation
le séchage et le broyage
la cuisson
le refroidissement
le broyage
Extraction[modifier | modifier le code]
L'extraction consiste à extraire les matières premières vierges (comme le calcaire « 75 à 80 % »
et l'argile « 20 à 25 % ») à partir de carrières. Ces matières premières sont extraites des parois
rocheuses par abattage à l'explosif ou à la pelle mécanique. La roche est acheminée par des
tombereaux, (dumpers), ou des bandes transporteuses vers un atelier de concassage. Les
matières premières doivent être échantillonnées, dosées et mélangées de façon à obtenir une
composition régulière dans le temps. La prise d'échantillons en continu permet de déterminer la
quantité des différents ajouts nécessaires (oxyde de fer, alumine et silice).
Homogénéisation[modifier | modifier le code]
La phase d'homogénéisation consiste à créer un mélange homogène. Cette opération peut être
réalisée : soit dans un hall où on obtient le mélange homogène en disposant la matière en
couches horizontales superposées, puis en la reprenant verticalement à l'aide d'une roue-pelle;
soit dans un silo vertical par brassage par air comprimé.
Principes et méthodes de fabrication[modifier | modifier le code]
La fabrication de ciment se réduit schématiquement aux trois opérations suivantes :
préparation du cru ;
cuisson ;
broyage et conditionnement.
Il existe quatre méthodes de fabrication du ciment qui dépendent essentiellement des matériaux :
Un mélange d’argile et de calcaire est introduit dans un four tubulaire rotatif légèrement incliné
chauffé par une flamme aux environs de 2 000 °C. Cette flamme est alimentée par différents
combustibles solides, liquides ou gazeux. Au contact des gaz chauds la matière s'échauffe
progressivement. À l'entrée la température de l'ordre de 800 °C provoque la déshydratation des
argiles et la décarbonation du calcaire pour produire la chaux (CaO). Puis la chaux se combine
d'une part à l'alumine et l'oxyde de fer pour former des aluminates et aluminoferrites de calcium,
et d'autre part, à la silice pour former du silicate bicalcique (bélite). La température augmentant
tandis que la matière progresse vers la flamme, les aluminates (1 450 °C) et aluminoferrites
(1 380 °C) fondent : cette phase de fusion favorise la formation de silicate tricalcique à partir du
silicate bicalcique et de la chaux restante. C'est l'hydratation au cours de cette phase qui donne
l'essentiel de sa résistance au béton de ciment Portland.
Fabrication par voie humide[modifier | modifier le code]
Cette voie est utilisée depuis longtemps. C’est le procédé le plus ancien, le plus simple mais qui
requiert le plus d’énergie.
Dans ce procédé, le calcaire et l’argile sont broyés finement et mélangés avec l’eau de façon à
constituer une pâte assez liquide (28 à 42 % d’eau). On brasse énergiquement cette pâte dans
de grands bassins de huit à dix mètres de diamètre, dans lesquels tourne un manège de herses.
La pâte est ensuite entreposée dans de grands bassins de volumes de plusieurs milliers de
mètres cubes, où elle est continuellement malaxée et homogénéisée. Ce mélange est appelé le
cru. Des analyses chimiques permettent de contrôler la composition de cette pâte et d’apporter
les corrections nécessaires avant sa cuisson.
La pâte est ensuite acheminée à l’entrée d’un four rotatif, chauffé à son extrémité par une flamme
intérieure. Ce four rotatif légèrement incliné est constitué d’un cylindre d’acier dont la longueur
peut atteindre deux cents mètres. On distingue à l’intérieur du four plusieurs zones, dont les trois
principales sont :
Zone de séchage.
Zone de décarbonatation.
Zone de clinkerisation.
Les parois de la partie supérieure du four (zone de séchage - environ 20 % de la longueur du
four) sont garnies de chaînes marines afin d’augmenter les échanges caloriques entre la pâte et
les parties chaudes du four.
Le clinker à la sortie du four, passe dans des refroidisseurs (trempe du clinker), dont il existe
plusieurs types comme les refroidisseurs à grille, ou à ballonnets. La vitesse de trempe a une
influence sur les propriétés du clinker (phase vitreuse).
De toute façon, quelle que soit la méthode de fabrication, à la sortie du four, on obtient un même
clinker qui est encore chaud, d'environ600 à 1 200 °C. Il faut ensuite le broyer très finement et
très régulièrement avec environ 5 % de gypse CaSO4 afin de « régulariser » la prise.
Le broyage est une opération délicate et coûteuse, non seulement parce que le clinker est un
matériau dur, mais aussi parce que même les meilleurs broyeurs ont des rendements
énergétiques déplorables.
Les broyeurs à boulets sont de grands cylindres disposés presque horizontalement, remplis à
moitié de boulets d’acier et que l’on fait tourner rapidement autour de leur axe (20 tr/min) ; le
ciment y atteint une température élevée (160 °C), ce qui nécessite l’arrosage extérieur des
broyeurs. On introduit le clinker avec un certain pourcentage de gypse dans la partie haute, puis
on récupère la poudre dans la partie basse.
Lors du broyage à circuit ouvert, le clinker ne passe qu’une fois dans le broyeur. Lors du broyage
en circuit fermé, le clinker passe rapidement dans le broyeur, puis à sa sortie, est trié dans un
cyclone. Le broyage a pour but de réduire les grains du clinker en poudre, et de permettre l’ajout
du gypse (environ 4 %) pour réguler quelques propriétés du ciment Portland, comme son temps
de prise et de durcissement.
À la sortie du broyeur, le ciment est à une température environ de 160 °C, et avant d'être
transporté vers des silos de stockage, il doit passer au refroidisseur à force centrifuge pour que
sa température soit maintenue à environ 65 °C.
Fabrication par voie sèche[modifier | modifier le code]
Les ciments usuels sont fabriqués à partir d’un mélange d'environ de 80 % de calcaire (CaCO3)
et de 20 % d’argile (SiO2–Al2O3). Selon l’origine des matières premières, ce mélange peut être
corrigé par apport de bauxite, oxyde de fer ou autres matériaux fournissant le complément
d’alumine et de silice requis.
Après avoir été finement broyée, la poudre (farine) est transportée depuis le silo
d'homogénéisation jusqu’au four, soit par pompe, aéroglisseur puis par aérolift ou élévateur.
Les fours sont constitués de deux parties:
Boyeur à boulets
Le clinker est ensuite finement broyé pour conférer au ciment des propriétés hydrauliques
actives. Ce broyage s'effectue dans des broyeurs à boulets, dispositifs cylindriques chargés de
boulets d'acier et mis en rotation.
Lors de cette étape, le gypse (3 à 5 %), indispensable à la régulation de prise du ciment, est
ajouté au clinker. On obtient alors le ciment Portland.
Les ciments à ajouts sont obtenus par l'addition, lors de la phase de broyage, d'éléments
minéraux supplémentaires contenus dans des matériaux tels que :
le laitier de hauts fourneaux (résidus de la sidérurgie)
les cendres volantes de centrales électriques
les fillers calcaires (granulats)
les pouzzolanes naturelles ou artificielles
Broyage très fin[modifier | modifier le code]
EMC Energetically Modified Cement13 est un ciment produit selon un procédé breveté de broyage
intense de ciment CPA avec des différentes charges, comme sable fin, quartzite, pouzzolane ou
cendres volantes, etc. Il possède les mêmes caractéristiques physiques14 que les ciments
portland artificiels CPA, mais avec 50 % moins de ciment, énergie et émissions de CO2.
Pour désigner les phases cimentières, on utilise en général une notation abrégée dite « notation
shorthand » : C pour CaO (Chaux), S pour SiO2 (silice), A pour Al2O3 (alumine) et F pour
Fe2O3 (hématite).
Les phases couramment rencontrées dans l'industrie du ciment sont :
Module de saturation de
Kühl :
En Italie et au Canada :
Société Colacem
En France :
Vicat
Au Maroc
CIMAT (Ciments de l'Atlas)
En Algérie :
ERCE-GIC
En Tunisie :
SOTACIB
CIOK cimenterie d'Oum El Klil Kef
SCG CIMENTERIE DE GABES
Sociétés d'analyse & réalisation[modifier | modifier le code]
De nombreuses sociétés grandes ou petites gravitent autour des grandes sociétés de production
et sont spécialisées dans le process cimentier, en particulier dans l'ingénierie et la mise en
service électriques des lignes de production de ciment (par ex: Fives FCB en France).
Pour les sociétés de ciment en Algérie, elles sont regroupées autour d'un groupe national de
ciments appelé GROUPE GICA (Groupe Industriel des Ciments d'ALGÉRIE), au nombre de 12
cimenteries, elles totalisent une capacités de production annuelle de 11 500 000 tonnes. La
nouvelle politique économique a permis d'augmenter ces capacités nationales pour qu'elles
avoisinent les 18 000 000 tonnes par AN.
les ciments prompts, cuits à 900 °C comme les chaux, qui font
prise en moins de vingt minutes ;
les ciments lents, cuits à un état proche de la fusion pâteuse
à 1 450 °C, qui font prise en une ou plusieurs heures.
Des variétés intermédiaires étaient obtenues directement ou par mélanges et étaient appelées
demi-lents.
Vers 1880, les ciments naturels des environs de Grenoble (plus grande région productrice)
résultaient de la cuisson de calcaire marneuxcontenant de 23 à 30 % d'argile, plus ou moins
pure. Une fois cuits, ils renfermaient 35 à 45 % d'argile calcinée et 65 à 56 % de chaux. La
proportion d'argile considérée comme la meilleure est de 23 à 24 % dans le calcaire et de 36
dans le ciment. Ils donnaient suivant leur cuisson des ciments naturels lents ou prompts. Seul
le ciment prompt naturel est encore produit.
Ciment Portland
Le ciment Portland est un ciment artificiel obtenu par la cuisson, proche de l'état de fusion
pâteuse, à 1 450 °C, des chaux limites mélangées intimement (calcaires contant de 20 à 25 %
d'argile) et longtemps appelées chaux brûlées, ou de roches calcaires et de roches argileuses
soigneusement dosées. C'est l'appellation courante des ciments lents. La dénomination de
Portland vient des fabriques de Portland au Royaume-Uni, où le ciment avait la même couleur
que les pierres de la région.
Ciment Portland naturel
Nom impropre des ciments naturels de l'Isère. Voir ciments naturels.
Ciment prompt (ou « ciment romain »)
Techniquement, le ciment prompt est une chaux éminemment hydraulique, un ciment obtenu par
la cuisson à 900 °C de calcaires contenant de 23 à 30 % d'argile et dont la prise s'effectue en dix
ou vingt minutes. Le plus souvent, c'est un ciment naturel, un ciment provenant de la simple
cuisson d'une gangue ayant naturellement les bonnes proportions de calcaire et d'argile. La
pierre, à la sortie du four, reste quelque temps à l'air et absorbe de l'humidité, puis elle est blutée,
conservée en silos et ensachée. Ce ciment atteint sa dureté maximale après quelques jours.
Le ciment prompt est fabriqué depuis la fin du XVIIIe siècle. Il a longtemps été appelé ciment
romain dans le nord de la France, les pays anglo-saxons et d'Europe de l’Est, bien que cette
qualification commerciale soit absolument impropre. Les grands producteurs étaient sur l'île de
Sheppey en Grande-Bretagne et à Vassy, Pouilly et Grenoble (encore en activité), en France.
Le ciment prompt a longtemps été utilisé pour faire des moulages au gabarit, ou fabriquer des
pierres factices de ciment moulé (de 1820 à1920 environ). Il est encore utilisé comme ciment à
sceller, comme adjuvant naturel dans les enduits de chaux, pour les travaux maritimes et pour la
fabrication des moulages d'art, surtout dans les Alpes et en Italie du nord (importation de ciment
français, le prompt de la Pérelle et de la Porte de France de la société Vicat, dernier producteur).
Ciment sulfaté.
Le ciment sulfaté fut mis au point en 1908 par Hans Kühl. Il fut peu fabriqué en Allemagne, mais
exploité industriellement en Belgique et en France à partir de 1922, et jusqu'en 1965.
Ciment romain.
Voir ci-dessus ciment prompt.
Ecolopop, 2013-06-25
13. ↑ (en) EMC Cement BV, EMC Cement BV website, EMC Cement
Liant hydraulique
Béton
Mortier
Enduit
Cement kiln (en)
Cement mill (en)
Louis Vicat
Ciment naturel prompt
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