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Pr. Président
Tout d’abord, nous adressons un grand remerciement à notre petite famille qui nous
a soutient tout au long de notre cursus et durant ce stage.
Nous tenons aussi à exprimer toute notre reconnaissance à notre encadrant Mr.
FERHAT Chef d’atelier électronique de maintenance des rames automotrices Z2M à
Casablanca de l’ONCF pour nous a avoir accepté dans son équipe en vue de la
réalisation de notre projet, pour la patience dont il a fait preuve au cours des
nombreuses discussions qu’on a eu ensemble, pour la véracité de ses remarques et
pour le temps qu’il a bien voulu nous consacrer.
Nous tenons à remercier vivement tous ceux qui sont de près ou de loin ont
contribué à l’aboutissement de ce travail, et en particulier les ingénieurs et les
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Résumé
Les dégâts qu’on peut avoir émanent d’une panne de GTO donc le hacheur ne
pourra pas fonctionner et travailler d’une façon assidue et permanente comme il le
faut. Pour arrêter cette panne de GTO. On s’est penché à faire une étude très
profonde et on a conjugué notre effort à fournir des hypothèses afin de redresser et
combler cette lacune.
Pour éviter de tomber dans ces problèmes , on a proposé d’ajouter aux module GTO
des composants associés à ce semi-conducteur « GTO » comme un fusible qui peut
exclure la surintensité et pour stopper la surtension, on a proposé de faire un circuit
R-C série mis en parallèle de semi-conducteur « GTO ».
Si on fait toutes ces protections, le semi-conducteur « GTO » exclue le risque qui peut
le détruire, donc il fait un bon fonctionnement dans les bons états, ce qui reflète sur
le fonctionnement normal de hacheur de stabilisation de tension d’entrée et de
l’inverseur ou l’onduleur de convertisseur de traction.
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Sommaire
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Listes des figures
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Introduction :
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Chapitre I
Contexte du stage
1.1.1 Généralités
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Sur la scène internationale, le Maroc est membre de l’Organisation Internationale
du Trafic Ferroviaire (OITF) qu’il s’agisse de marchandises (CIM) ou de voyageurs
(CIV). De même, l’ONCF est membre actif de l’Union internationale des chemins
de fer (UIC), de l’Union arabe des chemins de fer (UACF) et du Comité du Transport
Ferroviaire Maghrébine (TFM).
Pour ce qui est de l’activité de transport, l’ONCF opère sur trois marchés
stratégiquement indépendants, à savoir : le transport des voyageurs, le transport
des phosphates et le transport fret.
Avec 40 millions de personnes de voyageurs qui ont choisi le train pour leurs
déplacements en 2015, ce moyen de transport continue de gagner la confiance des
citoyens grâce à la dynamique commerciale insufflée à cette activité selon une
stratégie commerciale appropriée à chaque segment de clientèle. Celle-ci vise
notamment à accroitre d’une manière durable et profitable la part de marché du rail
tout en lui permettant de se positionner en tant que mode de transport de masse au
service de la mobilité des personnes.
Durant l’année 2013, l’activité fret et logistique, hors phosphate, a réalisé un volume
de trafic de 8,5 millions de tonnes en retrait par rapport à l’année 2012 de près de 7%
enregistrant ainsi un chiffre d’affaires de 400 MDh.
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1.1.2.3 Le transport du phosphate :
Les efforts d’accompagnement déployés par les équipes de l’ONCF dans le cadre de
la démarche de la transformation opérationnelle de la chaine logistique de transport
des phosphates ont permis d’atteindre en 2013 les résultats suivants :
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1.1.4 Pole de maintenance matériel
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1.1.4.3 Organigramme PMM
L’atelier de l’ERAC a été conçu après avoir importé 24 rames automotrices à deux
niveaux fabriqué par l’entreprise italienne « Ansaldo Breda », cet atelier prend en
charge la maintenance de tous les côtés techniques des 24 rames en question à
savoir : mécanique, électrique, électronique et confort.
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1.1.4.4.1 Missions de l’ERAC
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1.1.4.4.2 Organigramme de l’ERAC :
Chef ERAC
Mr. DEMMOUN
Atelier électrique
Atelier électronique Atelier mécanique
Chef d'atelier: Mr. AOULAD
chef d'atelier: Mr. Farhat EUM: Mr. BELMAACHI
OMAR
Les convois connus sous le nom de TAF (Trains Haute Fréquentation) sont
composés de deux motrices et de deux remorques. (fig1-1)
Ces convois possèdent une accélération au démarrage de 0,52 m / sec2
jusqu'à 60 km/ h et une décélération moyenne en freinage d'environ 1,1 m / sec 2.
Le convoi est doté d'installations de climatisation destinées aux passagers et
au personnel de conduite (ce dernier possède une installation autonome).
Il est possible d'accoupler jusqu'à trois unités pour cela les machines de tête
ont des coupleurs automatiques intégraux d'extrémité.
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L'appareillage électrique installé à bord de chacune des deux motrices permet
développer une puissance de 1280 kW continus par axe.
Chaque motrice est dotée de deux bogies dans celui du côté de la cabine de
conduite est équipé de deux moteurs de traction.
L’alimentation est effectuée par la caténaire de 3 kVcc.
Une caténaire est un ensemble de câbles porteurs en bronze ou en aluminium/acier
et de câbles conducteurs en cuivre au cadmium destinés à l’alimentation des trains
électriques par captage du courant par l'utilisation d'un pantographe.
Chaque bogie moteur est actionné par un convertisseur de traction propre,
avec ses filtres et son réglage
Le schéma de principe du circuit de puissance est reproduit par la fig 1-2.
Dans l'alimentation à 3 kVcc, le circuit est composé d'un filtre LC puis du
convertisseur principal.
Le premier étage du convertisseur est un chopper qui régule la tension
intermédiaire à 2,4 kVcc (VL = 2,8 kVcc) auquel est relié un inverseur qui contrôle le
flux et ensuite le couple des moteurs de traction.
Le freinage électrique rhéostatique est réalisé avec un système de chopper et
ses résistances.
En cas d'avarie, une commande peut être exclue et la marche peut poursuivre
avec la commande sur l'autre motrice.
La récupération d'énergie dépend de la tension de ligne et la dissipation sur
les résistances est contrôlée par le chopper de freinage.
Les circuits de puissance, comprenant les équipements accessoires et les
régulations relatives, ont été configurés sur la base du critère de regroupement
fonctionnel et de la modularité.
La régulation de la commande de puissance est réalisée avec un
microprocesseur et chaque commande possède une régulation propre appelée TCU
(Traction Control Unit).
Le convertisseur de traction est composé essentiellement de deux parties, une
de puissance et une de contrôle.
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La fonction de la TCU est de générer les impulsions d'allumage et d'extinction
pour les semi-conducteurs de la partie de puissance, de réguler le fonctionnement
du convertisseur de puissance en fonction des conditions ambiantes (tension de
ligne) et des prestations demandées (couple, vitesse) et de protéger le convertisseur
en cas d'anomalies de fonctionnement (tensions et courants hors des limites prévues).
Les services auxiliaires de bord sont alimentés par deux groupes statiques cc /
ca de 360A chacun et individuellement capables d'alimenter les usagers de tout le
convoi.
Le contrôle des convertisseurs des services auxiliaires est réalisé avec un
microprocesseur.
Le système de contrôle de chaque motrice des convois TAF (CCU) est
composé d'une unité en boucle à microprocesseur.
La CCU (Central Control Unit) est une unité de régulation et de contrôle qui
supervise la gestion du train dans son ensemble.
Comme la TCU, elle est réalisée avec des cartes électroniques qui exercent les
fonctions suivantes :
Configuration et validation de la machine ;
introduction et exclusion des équipements auxiliaires et de traction ;
dialogue avec les autres unités de contrôle des différents équipements ;
télécommande ;
protection avec ouverture de l'interrupteur extra-rapide (IR) dans tous les cas
où la CCU détecte une situation d'alarme d'échauffement limite des inductances de
machine ou d'émission excessive de courant harmonique.
La transmission des différentes commandes utilise un bus réalisé selon les
normes IEC 390 (TCN).
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1.2.2 Les trains Z2M
Pour faire face à la croissance que connaît le trafic des voyageurs, l’ONCF a renforcé
son parc de matériel roulant par des rames automotrices duplex construite par le
fabricant italien AnsaldoBreda.
La Z2M est une rame automotrice à deux niveaux ; c'est-à-dire qu’il y a des places
assises sur deux niveaux superposés. Elles ont aussi deux motrices, c’est pourquoi on
les appelle communément Z2M (2M : deux niveaux). Elle est conçue par la firme
italienne ANSALDO BREDA, connue au départ sur l’appellation (Treno Ad Alta
Fréquentazione abrégé TAF) train à haute fréquentation, sa variante marocaine de
type Z2M prendra l’appellation locale de Train Navette Rapide (TNR).
Les TAF concentrent un grand nombre de places (757 passagers dont 410 assis et 347
debout pour une longueur d'environ 103 mètres) et sont conçues pour un régime
d’exploitation à 160 km/h (vitesse max 180 km/h) tout en intégrant les avancées
technologiques les plus récentes : informatique embarquée, redondance des systèmes
de contrôle et de sécurité, équipement de climatisation performant, sonorisation
numérisée et affichage digital…
Les convois Z2M sont constitués de deux motrices et de deux remorques. Chaque
motrice est dotée de deux bogies, celui se trouvant du côté de la cabine de conduite
est équipé de deux moteurs de traction.
Chaque bogie moteur est actionné par son propre convertisseur de traction, avec ses
filtres et sa commande. Le convertisseur de la traction permet de développer une
puissance de 1 280 kW continus par essieu.
Les services auxiliaires de bord sont alimentés par deux groupes statiques cc / ca, de
360 KVA chacun, à noter que chaque GS est en mesure d'alimenter les services du
convoi tout entier.
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Le système de contrôle de chaque motrice des convois TAF (CCU) se compose d'une
unité redondante à microprocesseur. La CCU (Central Control Unit) est une unité de
réglage et de contrôle qui commande la gestion du train dans son ensemble.
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Récapitulatif
Dans ce chapitre, nous avons présenté l’organisme d’accueil là où nous avons
effectué notre stage de fin d’étude, puis nous avons introduit le pôle de maintenance,
et le centre de maintenance des rames automotrices en citant leurs objectifs et leurs
procédures de travail et les activités associés.
Enfin nous avons introduit les trains à rames automotrices Z2M qui font partie de la
grande famille TAF, ces trains sont construits par la société Italienne ANSALDO
BERDA, ont une architecture très compliquée, ils rassemblent beaucoup de systèmes
électriques, mécaniques, électroniques et informatiques.
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Chapitre II
Chaque motrice (M et MH) est dotée d'un circuit de captage (voir Fig1-2) comprenant
:
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un pantographe symétrique type FS 52 / 92 (sigle schéma 1UPA) avec
installation de lubrification et situé sur le pavillon avant de la motrice (côté cabine de
conduite).
Le pantographe est le dispositif articulé qui permet à une locomotive électrique de
capter le courant par frottement sur la caténaire.
un disjoncteur extra-rapide à commande électropneumatique (sigle schéma
1QIR) type Ansaldo IRA1AP3020 avec bobine de retenue à 24 Vcc et avec calibrage
du courant de déclenchement à 2 600 A.
un circuit de précharge placé en parallèle au disjoncteur extra-rapide et
composé d'un résistor de précharge (sigle 1RCF) avec en série un contacteur à
commande électromagnétique (sigle 1KCF) type ANSALDO / MICROELETTR.
LTHH100.
La protection du circuit de précharge est confiée à un fusible type FERRAZ de 50 A
(sigle schéma 1FCF).
un transducteur de tension de ligne à effet HALL (sigle schéma 1TVL) type
LEM relié directement au pantographe.
un déchargeur de tension (sigle schéma 1FSC) type ABB situé à l'intérieur de
la caisse et précisément dans le tableau HT .L’intervention du déchargeur ou
l'éventuel c.t-c.t de celui-ci est diagnostiqué par l'intermédiaire d'un relais
différentiel, utilisé comme relais de courant max, (sigle schéma 1KFSC) type ABB
calibré à 20 A.
un transducteur de courants harmoniques à 50 Hz (sigle schéma 1TCA)
identique à celui utilisé sur les autres roulants.
En aval du transducteur 1TCA se trouvent trois dérivations qui vont alimenter
respectivement :
o La commande de traction (à travers le sectionneur
télécommandé, sigle schéma 1QAZ).
o Le convertisseur services auxiliaires (à travers le sectionneur
télécommandé, sigle schéma 1QGS)
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o La conduit HT pour alimenter la motrice couplée (à travers le
sectionneur télécommandé, sigle schéma 1QAT, et le relais de
courant max, sigle schéma 1KAT, calibré à 1 200 A).
1.1.2.1 Généralités
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o Moteurs de traction
Les deux moteurs sont situés sur un seul bogie de la motrice (celui côté cabine de
conduite) afin d'avoir deux commandes de traction (une pour chaque motrice)
complètement indépendantes pour chaque convoi TAF.
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Fig2-3: Schéma du convertisseur de traction
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Résistance du circuit de crowbar (sigle 1R1).
Ensemble crowbar composé du thyristor de crowbar et de la carte d'allumage
ACW.
Ensemble de résistances de décharge statique des condensateurs de filtre
intermédiaire (sigle 1RFI).
Transducteur électronique de la tension intermédiaire (sigle 1TVE).
Condensateurs de filtre intermédiaire (sigle CFI1 ÷ CFI8).
Chopper de freinage (sigle 1AFC).
Transducteurs électroniques du courant de freinage (sigle 1TA1 et 1TA2).
Module inverseur (sigle 1AIR, 1AIS et 1AIT).
Transducteurs électroniques des courants de sortie de l'inverseur (sigle 1TAR,
1TAS et 1TAT).
Borniers in-out des câbles de puissance (sigle MXY, Z), visibles sur la Fig.3
12.
Vous trouverez ci-après la description de la fonction des composants individuels
indiqués précédemment.
Inductance de filtre de ligne et condensateurs de filtre réseau :
Ces composants composent le filtre réseau de la commande qui effectue différentes
fonctions, à savoir :
o Désaccoupler électriquement le fonctionnement du convertisseur de la ligne
en continu.
En effet, grâce au filtre réseau le courant absorbé est continu et non alternatif
comme cela est intrinsèquement requis par le convertisseur de premier étage.
Le filtre évite d'absorber des courants déformés par la ligne en continu.
o Offrir une impédance élevée aux courants harmoniques à haute fréquence
typique des convertisseurs électroniques. De cette manière, le courant absorbé
présente un contenu harmonique compatible avec les courants codifiés de rail
avec lesquels il pourrait interférer.
o Offrir une impédance d'entrée élevée aux fronts abrupts de surtensions
typiques des foudroiements. De cette manière, la surtension est bloquée
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directement sur l'inductance et ne se propage pas sur le premier étage du
convertisseur.
Ceq=(4*1100µF)+(2*350µF)=5100µF
Ce signal est traité pour effectuer des régulations sur le chopper 1er étage et pour la
protection du convertisseur.
Transducteur 1TA4
o C'est le transducteur électronique du courant de ligne. Il envoie à la TCU un
signal isolé et proportionnel à la valeur mesurée. Le signal est traité pour des
fonctions de protection.
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capacitive de la tension d'entrée permet l'utilisation de deux modules
configurés en demi-ponts égaux entre-deux. L'état du chopper est
intrinsèquement réversible afin de permettre le freinage à récupération sans
nécessité de reconfigurer aucun circuit.
o Le circuit de détail de chaque module est indiqué dans le schéma fonctionnel
de la Fig2-3.
o Le cœur de chaque module semi-conducteur est composé de deux GTO (Gate
Turn Off) en fonction d'interrupteurs statiques.
o Le GTO est un semi-conducteur particulier capable de s'allumer et de
s'éteindre par une impulsion de courant provenant de la carte appelée
Gate - Unit.
o La Gate - Unit à son tour reçoit les impulsions de commande de la TCU.
o Le dialogue entre G.U et le contrôle de la commande s’effectue par
l’intermédiaire d’impulsions lumineuses qui voyagent sur fibre optique .
o Cette solution est habituellement employée dans tous les systèmes de
transmission de données où l'on souhaite éliminer les interférences
électromagnétiques qui pourraient provoquer des allumages ou des
extinctions indésirables des semi- conducteurs.
Transducteur 1TA3
o C'est le transducteur électronique du courant intermédiaire. Il envoie à la TCU
un signal isolé et proportionnel à la valeur mesurée. Le signal est traité pour
des fonctions de protection.
Inductance de filtre intermédiaire LFI et condensateurs de filtre
intermédiaire
o Ils composent les filtres de mise à niveau de la tension intermédiaire du
convertisseur. En effet, les deux modules du chopper 1er étage transfèrent en
amont du filtre intermédiaire une tension à onde rectangulaire périodique et
la tension est rectifiée en aval du filtre intermédiaire puisque le filtre effectue
la valeur moyenne de la tension d'entrée.
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Transducteur passif TA de crowbar 1TA5
o La fonction de ce transducteur est de transférer au contrôle un signal
correspondant à l'amorçage effectué du tronçon de crowbar.
Résistance de crowbar 1R1
o C'est la résistance du circuit de crowbar. Elle dissipe de façon adiabatique
(sans échange de chaleur avec l'extérieur) l'énergie accumulée dans les
condensateurs et les inductances de filtre en cas d'amorçage du circuit à
2500V. La fonction de crowbar est d'agir en tant que court-circuit dans le cas
où la tension intermédiaire s'élève de façon excessive devenant dangereuse
pour les composants qui s'y trouvent.
Ensemble de crowbar
o Il est composé par un thyristor de crowbar et une carte d'allumage. la carte
amorce de façon automatique le thyristor dans le cas où la tension dépasse
2500 V.
Ensemble de résistance de décharge 1RFI
o Ce sont les résistances de décharge statique des condensateurs de filtre réseau.
Chaque ensemble est composé de 7 résistances de 68 kΩ / 260 W en parallèle
pour une valeur équivalente de 9,71 kΩ. La capacité équivalente à décharger
statiquement est égale à :
Ceq= (8*350µF)=2800µF
Transducteur 1TV6
o C'est le transducteur électronique de la tension intermédiaire. Il envoie à la
TCU un signal isolé et proportionnel à la valeur mesurée. Le signal est traité
pour des fonctions de protection et régulation.
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Chopper de freinage 1AFC
o Sur les commandes triphasées, le passage de traction à freinage s'effectue en
agissant simplement sur la fréquence d'alimentation des moteurs de traction.
Si la ligne d'alimentation en continu est réceptive, le courant est envoyé à la
ligne d'alimentation et le freinage est dit à récupération.
o Si la ligne d'alimentation n'est pas réceptive, l'énergie de freinage doit alors
être dissipée sur les rhéostats de freinage. Les rhéostats de freinage sont au
nombre de deux et il en est de même pour les choppers de freinage par
module. La fonction du chopper de freinage est d'introduire et de retirer une
résistance sous la tension intermédiaire du convertisseur. En variant de
manière appropriée les temps de conduction et de blocage des choppers de
freinage, il est possible de faire varier la valeur des résistances de freinage soit
la puissance dissipable et par conséquent de l'effort de freinage.
Transducteurs 1TA1 et 1TA2
o Ce sont les transducteurs électroniques du courant de freinage. Ils envoient à
la TCU un signal isolé et proportionnel à la valeur mesurée. Le signal
provenant de 1TA1 et 1TA2 est traité pour des fonctions de protection.
Phases inverseur 1AIR, 1AIS et 1AIT
o Chacun des trois modules inverseur constitue une phase avec accessoires.
La fonction réalisée par l'inverseur triphasé est de convertir l'énergie
électrique d'une tension continue de 2 400 V à une tension alternée triphasée
de valeur efficace et fréquence variables.
Transducteurs 1TAR, 1TAS et 1TAT
o Ce sont les trois transducteurs électroniques du courant de sortie de
l'inverseur. Ils envoient au contrôle un signal isolé et proportionnel à la valeur
mesurée.
o Le signal est traité pour des fonctions de protection et régulation
Caractéristiques principales du chopper
o Tension d'entrée............................................................................1 000 ÷ 4 000 Vcc
o Tension de sortie ................................................................................ 2 400 V ± 4 %
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o Puissance max. de sortie (continue)........................................................... 2 000 kW
o Fréquence................................................................................. 292,5 / 227,5 Hz (*)
vitesse de la machine.
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o On définit le rapport cyclique de chaque module chopper le rapport entre le
temps de conduction de chaque GTO par rapport à la période de conduction.
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o Dans l'hypothèse de a > 0,5 les formes d'onde de tension de sortie du chopper
sont :
Voyons à présent les critères avec lesquels piloter les GTO du convertisseur de
traction.
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central du module 1AC1 et le point commun entre les deux demi-filtres dépend du
pilotage en conduction du GTO1 ou du GTO2.
Le même discours vaut pour le module 1AC2 pour lequel dans la description
précédente, le GTO1 doit être remplacé par le GTO4 et le GTO2 par le GTO3.
La somme entre ces deux tensions fournit la tension moyenne en sortie du chopper :
VL * ton / T
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Il est maintenant évident qu'en modifiant le ton des GTO en faisant varier la VL il est
possible d'obtenir la tension moyenne stabilisée à 2 400 volts en sortie du chopper
L’onduleur triphasé dans le convertisseur de traction est alimenté par une tension de
2400Vc vient de hacheur de stabilisation avec un filtre de sortie. le type de
commande utilisé dans ce onduleur est 120°.
Pour obtenir une tension alternative à partir une tension contenue, il faut découper la
tension d’entrée et l’appliquer une fois dans un sens, l’autre fois dans l’autre à la
charge
à tout instant deux interrupteurs sont en état de conduire et les quatre autres
sont bloqués.
deux interrupteurs d’un même bras doivent être commandés de façon
complémentaire afin de ne pas court-circuiter la source de tension.
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Les GTO sont représentés schématiquement comme des interrupteurs.
Les GTO A, D faisant partie de la patte d'inverseur appelée phase R sont à l'intérieur
du module 1AIR du schéma du convertisseur de traction
Les GTO B, E faisant partie de la patte d'inverseur appelée phase S sont à l'intérieur
du module 1AIS du schéma du convertisseur de traction
Les GTO C, F faisant partie de la patte d'inverseur appelée phase T sont à l'intérieur
du module 1AIT du schéma du convertisseur de traction
Dans ce cas aussi, les GTO de la même phase sont pilotés de manière
complémentaire.
Ils ne sont jamais allumés en même temps pour éviter de mettre en court-circuit
l'alimentation de l'inverseur et ils sont tous deux éteints lorsque l'inverseur est inactif
Le critère de pilotage part du principe que le potentiel de la phase R vaut VCC avec
le GTO A allumé et B éteint et qu'il vaut zéro dans la configuration opposée.
Avec un critère analogue sur les autres phases, mais avec un pilotage déphasé de 120
degrés électriques, il est possible de créer un groupe de trois tensions avec une
fondamentale sinusoïdale de fréquence et d'amplitude voulues
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o La séquence de pilotage des phases R S T est identique à celle de la phase R,
mais elles sont déphasées dans le temps de 120° et 240° par rapport à la phase
R.
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o Il est essentiel de faire en sorte que deux interrupteurs du même tronçon ne
soient jamais fermés simultanément pendant la séquence de commande des
phases, car on aurait un court-circuit sur le côté continu. En fonction de cela,
un inverseur triphasé permet de fournir trois tensions symétriques et
équilibrées à onde carrée, donc aptes à générer un champ tournant.
o Dans un moteur asynchrone, il est possible de modifier le couple en faisant
varier la valeur efficace de tension (en effet, le couple est fonction du carré de
la tension appliquée).
o La vitesse de rotation est en revanche variable en modifiant la fréquence de la
tension d'alimentation.
o Il est en effet connu que le nombre de tours au synchronisme est donné par la
relation
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2.3 Installations de refroidissement (convertisseur principal):
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circuit de refroidissement, mais situé à l'extérieur de la Centrale.
convertisseur (temporaire ou définitive selon les cas). Le 1er niveau du liquide dans
le réservoir, le débit dans le tronçon de traitement et la résistivité du liquide en sortie
du groupe de traitement sont également contrôlés.
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1.2 Description contrôle commande
2.2.1 Introduction
Le but du contrôle commande est de générer les pilotages appropriés pour les GTO
(Gate Turn Off, soupapes à semi-conducteur pilotables aussi bien en allumage qu'en
extinction) faisant partie du convertisseur de traction illustré dans le schéma du
convertisseur principal de traction (Fig. 4-1).
Les GTO sont introduits en particulier par paires dans les modules qui sont appelés
1AC1, 1AC2, 1AFC, 1AIR, 1AIS, 1AIT sur le schéma du convertisseur principal de
traction.
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Les modules 1AC1, 1AC2, comprenant quatre GTO appartiennent à la partie du
convertisseur de traction appelée chopper (convertisseur cc / cc) de stabilisation, le
module 1AFC appartient à la partie appelée chopper de freinage, tandis que les
modules 1AIR, 1AIS, 1AIT appartiennent à l'inverseur (convertisseur cc / ca).
Au premier abord, les GTO peuvent être considérés comme des interrupteurs très
rapides capables d'être allumés ou éteints en fonction d'une commande appropriée
Voyons dans les grandes lignes le but des différentes parties du convertisseur de
traction, la logique des commandes en fonction des buts que l'on souhaite obtenir.
Cette tension, maintenue constante même lorsque la tension de ligne varie, alimente
le convertisseur inverseur.
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Les convertisseurs chopper de freinage sont placés en parallèle aux condensateurs
en entrée de l'inverseur et sont donc alimentés par la tension de 2 400 volts.
Le but de ce chopper est d'absorber tout ou une partie du courant généré par les
moteurs (générateurs) durant les phases de freinage électrique où les moteurs de
traction se comportent comme des générateurs pour ne pas l'envoyer en ligne si celle-
ci n'est pas réceptive (la ligne est considérée comme étant réceptive pour une tension
de caténaire inférieure à 3 600 volts, partiellement réceptive avec des tensions de
ligne comprises entre 3 600 V et 3 800 V, et complètement non-réceptive pour des
tensions supérieures à 3 800 volts).
Le critère de choix de la fréquence avec laquelle alimenter le moteur, sans entrer dans
les détails, est qu'en traction, la fréquence électrique doit être supérieure à la vitesse
du moteur d'une quantité liée à la quantité de couple demandées, et en freinage, elle
doit être plus basse avec le même critère.
Pour réaliser ce qui a été décrit, le contrôle commande doit connaître par
l'intermédiaire des transducteurs les valeurs de toutes les grandeurs électriques et de
la vitesse du moteur, ainsi qu'avoir la possibilité de s'interfacer avec les GTO.
En particulier, on allume le GTO avec la lumière dans la fibre optique, tandis que le
GTO s'éteint en absence de lumière
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Ce branchement est réalisé par un branchement sériel également abordé. (MVB
Multifunction Vehicle Bus, bus de véhicule multifonctions)
Le contrôle commande est divisé en deux racks appelés RAS (Rack Acquisition
Signaux analogiques) et TCU (Traction Control Unit, unité de contrôle de la
traction).
Les fonctions réalisées par le contrôle commande des trains TAF sont :
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asynchrones (moteurs en alterné) qui y sont reliés
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1.2.2 ARCHITECTURE DU SYSTÈME :
Le système est composé de deux racks dont l'un est placé à l'intérieur du caisson de
puissance et l'autre est placé à l'intérieur de la tour de refroidissement.
TCU :
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fibres optiques pour le pilotage des 6 GATE-UNITS du
convertisseur inverseur
fibres optiques pour le retour diagnostique des 6 GATE-UNITS de
l'inverseur
fibres optiques pour le pilotage des 4 GATE-UNITS des
convertisseurs des choppers de stabilisation
fibres optiques pour le retour diagnostique des 4 GATE-UNITS
des choppers de stabilisation
fibres optiques pour le pilotage des 2 GATE-UNITS des choppers
de freinage
fibres optiques pour le retour diagnostique des 2 GATE-UNITS
des choppers freinage
1 fibre optique de pilotage du thyristor de crowbar.
Aucun retour diagnostique n'est prévu pour le pilotage de
crowbar.
o Ces 25 fibres optiques aboutissent d'une part aux GATE-UNITS et à l'intérieur
de la TCU à quatre cartes de type GIO et en particulier :
GIO03A :6 fibres optiques pour le pilotage du convertisseur
inverseur
GIO04A : 4 fibres optiques pour le pilotage des convertisseurs
des choppers de stabilisation + 2 pour le pilotage des choppers
de freinage + 1 fibre optique pour le pilotage du crowbar (7 au
total)
GIO05A : 6 fibres optiques de retour pour la diagnostique
GATE-UNITS de l'inverseur
GIO06 : 4 fibres optiques comme retour diagnostique GATE-
UNITS des choppers de stabilisation + 2 fibres optiques comme
retour diagnostique GATE-UNITS des choppers de freinage.
o Sur la face des cartes, pour chaque signal optique, se trouve une DEL rouge
qui identifie l'état du signal.
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En particulier, pour le pilotage des GTO, la commande OFF est signalée par la DEL
éteinte et inversement pour le signal ON.
o Pour les signaux de diagnostic des GATE-UNITS, le cas de GTO en état OFF
est signalé par la DEL allumée et inversement pour l'état ON.
o Au total, les connecteurs optiques qui aboutissent à la TCU sont au nombre de
5 : quatre correspondant aux cartes GIO et un avec deux fibres optiques
correspondant à la liaison avec le RACK ACQUISITION SIGNAUX
ANALOGIQUES placé sur la carte DMF de la TCU.
o L'extra-rapide est ouvert par la TCU en fonction des alarmes déclenchées.
o La carte qui gère cette fonction est la carte MIU01A.
o La carte est protégée contre un éventuel court-circuit en sortie.
o La TCU s’interface avec le bus de véhicule MVB (Multifunction Vehicle Bus)
par l'intermédiaire de la station placée sur la carte VBM01A.
o La carte VBM est une des deux cartes placées dans la TCU dotées d'unités à
microprocesseurs. L'autre carte dotée d'unités intelligentes est la carte
DMF01A.
o Les cartes intelligentes VBM et DMF se répartissent les tâches de contrôle de la
commande et l'interface entrée / sortie avec les cartes susmentionnées.
o La TCU contient en tout neuf cartes au format EUROPE2 qui sont les
suivantes :
MIU01A ……………………….MASTER INTERFACE
SORTIE
GIO06A ………………………..GESTION IMPULSIONS
OPTIQUES
GIO04A……………………….. GESTION IMPULSIONS
OPTIQUES
VBM01A ………………………MICROCONTRÔLEUR BUS
DE VÉHICULE
DMF01A ………………………FONCTIONS DSP ET
MICROCONTRÔLEUR
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GIO03A………………………. GESTION IMPULSIONS
OPTIQUES
GIO05A………………………. GESTION IMPULSIONS
OPTIQUES
TEM01A ………………………TEMPÉRATURE DU MOTEUR
VEL01A ……………………….VITESSE DU MOTEUR
o La gestion des cartes et les tâches de régulation de la commande sont réparties
entre les deux cartes intelligentes de la manière suivante :
1) DMF01A
SIGNAUX ANALOGIQUES
2)VBM01A
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Récapitulatif :
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Chapitre 3
du module GTO
Dans ce dernier chapitre, nous nous concentrons sur l’étude du module GTO pour
avoir l’intérêt du circuit associé à ce module et proposer des solutions convenables
pour que le semi-conducteur « GTO » fonctionne dans les bons états.
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En référence à la Fig2-7, nous décrivons les différents composants de ce module et
leur fonctionnement.
GTO1 et GTO2
Les caractéristiques d'une impulsion d'allumage et d'extinction d'un GTO sont les suivantes :
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l'allumage ou l’extinction. La liaison entre TCU et G.U. s'effectue par fibre optique et
fonctionne de la manière suivante :
o La TCU comme les G.U. sont alimentées en 24 V continus. Chaque G.U. est
reliée au contrôle de commande par deux branchements en fibre optique, un
pour le pilotage et l'autre pour la diagnostique. Le choix de l'utilisation des
branchements optiques dans le pilotage des GTO repose dans le fait que les
signaux lumineux sont insensibles aux perturbations électromagnétiques, ce
qui n'est pas le cas avec l'utilisation de signaux électriques.
o L’allumage d'un GTO s'effectue en envoyant la lumière sur le canal de
pilotage, l'extinction s'effectue lorsqu'il n'y a pas de lumière.
o La diagnostique envoie au contrôle la réponse de la commande effectuée
d'allumage ou d'extinction de la manière suivante :
Lumière GTO éteint
Absence de lumière GTO allumé
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La possibilité d'avoir une diagnostique sur l'état du GTO et de la G.U. permet
d'éviter d'allumer un GTO lorsqu'un autre est en court-circuit et d'éviter ainsi la
propagation des pannes.
o Les caractéristiques de chaque GTO sont les suivantes :
V K - A MAX = 17 V
DR1 - DR2:
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𝒅𝒊
o La protection contre le " " consiste à connecter une inductance L en série.
𝒅𝒕
o Les deux inductances anodiques L1 et L2 sont composées de noyaux
magnétiques saturables. Leur fonction est de ralentir la montée du courant
dans les GTO puisque le courant passe de la diode de recirculation au GTO.
o La dérivée de courant à laquelle est sujette D2 dépend de l'inductance de la
maille de commutation, les autres paramètres dépendent de comment est
réalisée la diode, du circuit et du courant en jeu. Une récupération trop
violente provoque des surtensions élevées aux extrémités de la diode et de
forts réchauffements des composants ; de plus, le courant de récupération doit
être fourni par le GTO.
o Afin d'éviter les récupérations lourdes aux diodes et pour limiter les
problèmes thermiques aux GTO dérivants de densités élevées de courant, on a
𝒅𝒊
introduit deux noyaux saturables capables de limiter le à la commutation
𝒅𝒕
à environ 350 A / µs. L’énergie accumulée par ces inductances saturables est
enfin déchargée dans la maille composée de L1 - L2 - DS2 - RS - DS1.
𝒅𝒗
Circuit de « Snubber » (amorçage intempestif) :
𝒅𝒕
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o En référence à la Fig. 2-7 le circuit de snubber du GTO1 est composé par les
composants CS1 - DS1 - RS - CS2.
o Le circuit de snubber du GTO2 est composé par les composants CS2 - DS2 - RS
- CS1.
o CS1 et CS2 sont les condensateurs de snubber des GTO, la valeur de CS1 / 2
est de 2 µF pour une tension nominale de 3 000 V.
o DS1 et DS2 sont les diodes de snubber caractérisées par une tension inverse de
blocage de 4 800 V.
o RS est la résistance de snubber de 0,16 Ω 5 kW, cette résistance est composée
de 20 éléments de 3,2 Ω 250 W en parallèle.
o En raison des inductances parasites Ld, on a donc une surtension égale à
𝑑𝑖
Vak /GTO1 = V+2*Ld * aux extrémités de GT1.
𝑑𝑡
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Par conséquent, il faut limiter les longueurs des branchements
électriques pour limiter les surtensions aux extrémités des semi-
conducteurs puisque les inductances dépendent de la longueur des
branchements ; il faut utiliser des barres au lieu de câbles lorsque
cela est possible puisque celles-ci sont caractérisées par une
inductance relativement basse et il faut enfin positionner les
condensateurs proches des GTO pour limiter la longueur des
branchements.
Malgré toutes ces précautions que l'on peut prendre, les inductances
dispersées ne peuvent être réduites à zéro et vu la vitesse élevée
d'extinction des semi-conducteurs, leur effet en termes de surtension
n'est certainement pas négligeable.
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La fragilité d'un convertisseur électronique de puissance est évidente puisque
l'énergie
qu'il est capable de dissiper par lui-même est très inférieure par rapport à l'énergie
qu'il contrôle. Il est donc nécessaire d'introduire des protections. Une protection est
un composant ou un ensemble de composants, internes ou externes à l'interrupteur
principal, permettant d'abaisser le niveau de contrainte électrique ou thermique
appliquée à cet interrupteur.
Pour les diodes classiques, plusieurs modes de défaillance sont possibles. Seul le
vieillissement, qui est la défaillance classée comme la plus importante. La défaillance
apparaît en fin de vie du composant causée par la mauvaise dissipation thermique.
Défaillance du GTO :
Les causes de destruction d’un module GTO (GATE TURN OFF) sont généralement
d’origine thermique liées à un court-circuit, de surintensité ou surtension. Les
conséquences sont alors désastreuses et entraînent quelquefois la perte d’un
convertisseur ou d’un équipement complet. Le court-circuit constitue la condition de
fonctionnement la plus critique pour un composant. En effet, il est alors traversé par un
fort courant en ayant la pleine tension à ses bornes. Les Sollicitations successives et les
défauts au niveau de la puce au silicium augmentent le taux de son vieillissement
comme les diodes classiques.
On note aussi que les interrupteurs ne sont pas à l'abri des défauts causés par des
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surtensions, par conséquent il faut prévoir des protections afin de les protéger et
assurer le bon fonctionnement.
Définition de surintensité :
Les semi-conducteurs sont très sensibles aux surintensités. Les pertes de conduction
dues aux courants trop forts provoquent un échauffement trop élevé de la jonction et
causent la destruction de semi-conducteurs. Il est donc indispensable de prévoir une
protection adéquate. Les surintensités peuvent être provoquées par des court-
circuits aux bornes du convertisseur statique ou dans une de ses branches, soit par
des surcharges dues à la charge à la sortie du convertisseur statique. La protection
doit couper le courant avant que celui-ci n'atteigne la valeur limite. Dans ce but il
existe deux types de protections, protection externe et protection internes.
Protections externes
Protection par fusibles
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limite du semi-conducteur et la caractéristique de coupure du fusible. Il est
cependant très difficile de produire une telle caractéristique adaptée sur toute la
gamme.
Protection interne
Un convertisseur statique est fragile quand on tient compte de la faible énergie qu'il
est capable de dissiper par lui-même par rapport à l'énergie qu'il contrôle. Il est donc
nécessaire d'introduire des protections. Une protection est un composant ou un
ensemble de composants, internes ou externes à l'interrupteur principal, permettant
d'abaisser le niveau de contrainte électrique ou thermique appliquée à cet
interrupteur. La protection agit généralement en deux temps : la limitation de la
contrainte (limiteur de courant, ...) ce qui est une protection dynamique, puis la
suppression de la contrainte (disjoncteur), protection statique. Une protection agit en
situation de fonctionnement anormal, ce qui correspond à un défaut de commande,
une défaillance physique d'un autre composant, une contrainte environnementale
hors spécification, ou lors d'un usage hors spécification du montage
Les circuits de protection doivent répondre dans un temps très court. Le problème
est plus critique dans le cas d'une surtension (le composant se met en avalanche dès
que le champ local dans le volume et en périphérie atteint le seuil de claquage). Pour
atteindre ces niveaux de rapidité, il est impératif de placer les circuits de protection
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au plus près du composant, voire dans la puce elle-même. L'intégration de la
protection directement dans le semi-conducteur n'est possible que si la contrainte
thermique qui en découle le permet.
On se trouve donc avec deux types de protections : des protections actives qui sont
intégrées dans la puce et des protections passives qui sont externes. Les deux sont de
type semi-conducteur, placées directement au niveau des interrupteurs.
Les deux types de protection à fournir sont des protections contre les surintensités
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Protection contre des surtensions externes par des circuits RC
Dans un semi-conducteur idéal le courant s'annule lors de son passage par zéro et la
tension entre anode et cathode saute à la valeur négative, cependant, un semi-
conducteur ne peut pas bloquer instantanément le courant à cause de l'effet
d'accumulation des porteurs de charge. Le courant devient négatif pendant un très
bref laps de temps et tombe ensuite rapidement à zéro.
Cette variation rapide du courant induit pendant une brève durée des tensions très
élevées dans les inductances des lignes d'amenée.
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(proche des valeurs du courant de blocage d'un semi-conducteur). Dès que la tension
dépasse la tension de seuil le courant augmente très fortement. La caractéristique est
symétrique pour des tensions positives et négatives. Le comportement d'un varistor
correspond en principe à celui d'une mise en anti-série de deux diodes zener (c'est-à-
dire la mise en série avec sens de conduction opposé). Cependant la tension de seuil
est beaucoup plus élevée que la tension Zener.
La sortie des limites tolérables des grandeurs entraîne uniquement la demande d’une
intervention d’entretien, sans l’exclusion fonctionnelle du convertisseur.
Il faut donc que le machiniste avant de démarrer le train, il doit vérifier le moniteur
pour s’assurer qu’il n’y a pas une fuite au niveau des paramètres de fluide de
refroidissement du semi-conducteur pour que le hacheur de traction travaille dans
les bons états de fonctionnement.
Dans les trains, on a beaucoup des problèmes à propos des composants « Thyristor
GTO » mais la nature de ces problèmes reste anonyme comme le cas « surintensité,
surtension, température… ».
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ce qui est couteux pour la société. cela n’exprime pas une méthode efficace car il ne
résout pas les difficultés à partir de ces origines.
Cela nous a poussé à recourir à une méthode fiable à caractère à détecter la nature de
Donc pour le capteur de courant nous l’utiliserons par la suite dans le circuit
permettant de détecter les surintensités. En ce qui concerne la tension, nous allons
utiliser un capteur que nous appelons capteur d’anode.
Donc ces capteurs seront liés à une carte « ARDUINO » ou une « AUTOMATE »
pour qu’il nous donne des enregistrements de signaux soit de tension, soit de courant
au borne de « GTO », soit le courant de commande qui vient à la gâchette de « GTO »
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et par addition, la valeur de température de ce composant « GTO » Ce qui serait
facile à la suite de détecter une augmentation anormale de l’une de ces grandeurs.
Récapitulatif :
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Conclusion :
Notre projet de fin d’étude, s’accentue sur le sujet « étude et proposition des
solutions des avaries de hacheur convertisseur de traction », cette problématique
influence négativement sur le convertisseur de traction.
Donc pour que nous atteignions à proposer des solutions, on a étudié d’une manière
globale le schéma de convertisseur de traction et comment il fonctionne puis on s’est
penché sur le module GTO et postulant des hypothèses concernant des problèmes
qui peuvent détruire un semi-conducteur comme le cas de la surtension et la
surintensité, dans ce cas là on a proposé des solutions convenables et séantes pour
maintenir ce semi-conducteur dans des bons états de fonctionnement.
Comme on sait le convertisseur de traction est la partie la plus importante dans les
trains haute fréquentation, qui est composé de plusieurs parties ,pour que l’étude soit
claire , on a divisé ce rapport en trois chapitres dont le premier chapitre concerne la
présentation de l’office national des chemins de fer et les équipements y sont compris
aussi avec leurs compositions matérielles ,leurs alimentations et leurs
fonctionnement .
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On a fais une étude générale de module GTO et on a essayé de proposer des
solutions pour les pannes qui peuvent perturber et détruire le GTO, prenons
l’exemple de la surtension et de la surintensité.
On a remarqué une série des failles : l’atelier n est pas nécessairement équipé,
manque de communication, l’engourdissement qui domine, vus ces obstacles, on a
fait d’arrache pied un travail auquel on a mis la main sur des propositions qui
peuvent être plus ou moins fiables et utiles qui s’ouvrent sur des solutions
malheureusement les techniciens les ont prises avec légèreté.
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