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La Deshydratation Du Gaz - 2 PDF
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LA DESHYDRATATION DU GAZ
MANUEL DE FORMATION
COURS EXP-PR-PR130
Révision 0.1
Exploration et Production
Le Process
La Déshydratation du Gaz
LE PROCESS
LA DESHYDRATATION DU GAZ
SOMMAIRE
1. OBJECTIFS .....................................................................................................................4
2. LE BUT DE LA DESHYDRATATION ...............................................................................5
2.1. INTRODUCTION.......................................................................................................5
2.2. LES HYDRATES .......................................................................................................7
2.3. COMPOSITION DU GAZ ..........................................................................................9
2.3.1. Composition d’un gaz naturel ............................................................................9
2.4. Le gaz commercial ..................................................................................................10
2.5. EXERCICES ...........................................................................................................11
3. LE FONCTIONNEMENT DE LA DESHYDRATATION ..................................................12
3.1. THEORIE DE BASE................................................................................................12
3.1.1. Quelques définitions ........................................................................................12
3.1.2. Courbe de rosée eau.......................................................................................13
3.1.3. Détermination de la teneur en eau d'un gaz ....................................................14
3.1.3.1. Les unités...................................................................................................14
3.1.3.2. Détermination graphique ............................................................................15
3.1.3.3. Détermination par calcul.............................................................................16
3.1.4. Domaine de formation des hydrates................................................................17
3.2. LES DIFFERENTES SOLUTIONS ..........................................................................18
3.2.1. Déplacement du domaine de fonctionnement .................................................18
3.2.2. Déplacement de la courbe de rosée eau.........................................................19
3.2.3. Déplacement de la courbe d’hydrate ...............................................................20
3.3. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DES DIFFERENTES SOLUTIONS...............21
3.3.1. Déplacement du domaine de fonctionnement .................................................21
3.3.2. Déplacement de la courbe de rosée eau.........................................................21
3.3.3. Déplacement de la courbe de formation d'hydrate ..........................................22
4. LES DIFFERENTS PROCEDES DE DESHYDRATATION............................................23
4.1. DESHYDRATATION PAR ABSORPTION AVEC T.E.G. ........................................23
4.1.1. Principe de la déshydratation par absorption au T.E.G. ..................................23
4.1.2. Cycle du traitement .........................................................................................24
4.1.2.1. Section absorption .....................................................................................24
4.1.2.2. Section régénération ..................................................................................25
4.1.2.3. Performances et utilisation .........................................................................26
4.1.3. Exemple de la déshydratation au glycol ..........................................................28
4.2. DESHYDRATATION PAR ADSORPTION PHYSIQUE DANS ELEMENTS
SOLIDES MICROPOREUX............................................................................................31
4.2.1. Principe de la déshydratation par adsorption ..................................................31
4.2.2. Cycle du traitement .........................................................................................34
4.3. AVANTAGES ET INCONVENIENTS DES DIFFERENTS PROCEDES..................35
4.3.1. Inhibition des hydrates par M.E.G. ou D.E.G avec régénération .....................35
4.3.2. Inhibition des hydrates au méthanol perdu.....................................................35
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Exploration et Production
Le Process
La Déshydratation du Gaz
1. OBJECTIFS
2. LE BUT DE LA DESHYDRATATION
2.1. INTRODUCTION
Diminuer les pertes de charges dans les pipelines & l'accumulation d'eau libre
dans les points bas de
Permettre les traitements en aval tel que dégazolinage & récupération des GPL
Pour éviter les problèmes de corrosion des réseaux de gaz lift ou gaz injection
Un gaz naturel saturé ou non en eau ne donne pas lieu à la formation d'hydrates.
Celle-ci ne peut intervenir qu'en présence d'eau liquide par exemple libérée par le
gaz au cours d'un changement des conditions de pression ou de température
Seuls les quatre premiers hydrocarbures (méthane, éthane, propane, butane) sont
susceptibles de former des hydrates en présence d'eau liquide.
En plus des conditions précédentes, pour que des hydrates puissent se former, il
faut pour un gaz donné que la pression soit suffisamment élevée et la température
suffisamment basse.
Tourbillons
Vitesse du gaz
Haute pression
Basse température
Remarque :
Figure 3: Hydrate
sorti d'une gare
racleur
Il conduit à
l'obstruction des
conduites et des
équipements donc à
des arrêts de
production et des
risques de
surpression pour les
installations.
Les dépôts d'eau par condensation dans les conduites ou les entraînements d'eau libre de
gisement peuvent engendrer de fortes pertes de charge avec des risques d'érosion et de
"coup de bélier" des bouchons liquides
Les problèmes de transport liés à la présence d'eau dans le gaz sont les suivants :
L'eau libre ( sous forme liquide ) est responsable de la plupart des formes de
corrosion lorsqu'elle est associée à des gaz acides ( CO2) ou à des sels
(carbonates de calcium).
Nota : l'H2S n'a pas besoin de présence d'eau pour être extrêmement corrosif!
Chaque gaz naturel a son propre domaine de formation d'hydrate qui est fonction :
Dans le cas du bouchage d'une tuyauterie par des hydrates, l'adhérence aux parois et la
dureté du bloc d'hydrates est telle qu'aucun moyen mécanique normal de débouchage ne
peut être mis en œuvre.
He - - - - - 0,19
Carbon dioxyde CO2 Max 3 mol % Max 2 mol % Max 0,5 mol %
Oxygen O2 Max 0,5 mol % Max 0,25 mol % Max 10 ppm Max 0,01 mol %
Max 10 grains /
Total Sulphur Max 75 mg/(n)m³ Max 15 ppm Max 50 mg/(n)m³
100 scf
Hydrocarbon Dew
-2°C at 75 bar
Point Pressure
2.5. EXERCICES
3. LE FONCTIONNEMENT DE LA DESHYDRATATION
Température de bulle d'un liquide que l'on chauffe à pression constante : température à
laquelle apparaît la première bulle de vapeur.
Pression de bulle d'un liquide que l'on détend à température constante: pression à
laquelle apparaît la première bulle de vapeur.
Température de rosée d'un gaz que l'on refroidit à pression constante : température à
laquelle apparaît la première bulle de liquide.
NB 1: Dans le cas courant d'un gaz humide pour une pression donnée il faut distinguer
deux points de rosée:
Point critique C : point commun aux deux courbes (correspond à la pression critique.
Ex: la température critique du Méthane pur est de ─ 82,5°C par contre celle du nC4 est de
+ 152°C!
Pour un gaz donné, l'ensemble des points de rosée aux conditions (Pr, Tr) qui
correspondent à une même teneur en eau constituent la courbe de rosée eau de ce gaz.
L’abaque de
MACKETTA est la
méthode pratique
la plus simple pour
une estimation
relativement
précise de la
teneur en eau d'un
gaz.
Figure 6:
Détermination
graphique de
la teneur en
eau d’un gaz
(Graphique de
Mac Ketta)
Ce diagramme
s'applique pour des
gaz naturels de
densité < 0.8.
Un facteur de
correction est
appliqué pour les
gaz dont la teneur
en gaz acide est >
2%
sat
Pwater
W = 47484 +B
Ptotal
− 3083,87
log B = + 6,69449
459,6 + t (° F )
This correlation is reported to be accurate for temperatures between 60° and 460°F and
for pressure from 15 to 10,000 psia. Again, it is only applicable to sweet gas
The pair of equations in this correlation is simple in appearance. The added complexity
that is missing is that it requires an accurate estimate of the vapour pressure of pure water.
Dans la zone dont la température est inférieure à T1, c'est la courbe de formation d'hydrate
qui gouverne.
Dans la zone dont la température est supérieure à T1, c'est la courbe de rosée eau qui
gouverne car il est nécessaire d'avoir de l'eau condensée
Domaines d'emploi
Contre-indications
grandes distances.
On peut aussi éviter la formation d'hydrates dans l'ouvrage en faisant en sorte qu'il n'y ait
pas de condensation d'eau dans le domaine de fonctionnement de l'ouvrage à protéger.
Ceci peut être obtenu en déshydratant suffisamment le gaz à l'entrée de l'ouvrage, ce qui
revient à déplacer la courbe de rosée eau initiale du gaz vers la gauche (voir diagramme
ci- dessous).
Domaines d'emploi
Contre-indications
Des produits chimiques tels que les glycols ou le méthanol ont des propriétés inhibitrices
vis à vis des formations d'hydrates
Avantages
simplicité de l'installation.
Inconvénients
Avantages
Inconvénients
Avantages:
Inconvénients
Le méthanol est moins cher que les M.E.G / D.E.G mais moins récupérable à
l'autre extrémité du pipe (Pt ébullition à 65°C)
Section absorption
Propriété des
glycols d’absorber
l’eau
Le phénomène
physique =
absorption
Section régéneration
La section de la
régéneration du glycol est
basée sur le principe de la
distillation (voir figure ci-
contre)
Figure 14: Colonne d’absorption (appelé aussi Contacteur) avec refroidisseur en tête
série de filtres
la colonne de distillation
filtration
o dépose des particules solides
o dépose des hydrocarbures (charbons actifs et CO2)
o Filtre à particules pour piéger les débris de charbon qui peuvent s'échapper
du filtre a charbons actifs
Neutraliseur de PH
o PH à maintenir entre 6 et 7
Performances :
C'est le procédé le plus utilisé dans les centres de production qui n'ont pas d'unités GPL
ou GNL ou même de Dégazolinage par réfrigération
o Fer
o Sels
o Hydrocarbures C5+
o Particules solides en suspension
o couleur
o particulièrement les liquides C5+ qui favorisent le moussage avec le
T.E.G.
Domaine d’utilisation :
amont turbo-expandeur
Contre indications :
Parce que:
d'une part l'hexane est présent dans le gaz du gisement donc disponible pour
utilisation,
d'autre part et surtout il forme avec la vapeur d'eau un mélange azéotropique qui
fait que la vapeur d'eau a plus d'affinité (à la température de 205 / 210°C) pour
l'Hexane que pour le T.E.G. ce qui permet d'affiner la concentration du T.E.G. à
99,6 %
Alumine
Bonne activité mais se dégrade en absorbant les hydrocarbures lourds qui ne sont
pas éliminés par chauffage.
Silicagels
Ce sont des substances amorphes très actives, faciles à régénérer et qui
adsorbent moins les hydrocarbures lourds. Ils sont sensibles à l'eau liquides.
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Exploration et Production
Le Process
La Déshydratation du Gaz
Tamis moléculaires
Ils se composent de cristaux de zéolithe (aluminosilicates de calcium et de
sodium) dont la structure cristalline des pores de dimension bien définie suivant le
type choisi.
Les molécules polaires comme l'eau sont retenues prisonnières à l'intérieur de ces pores.
Ce sont les déssicants les plus actifs mais ils demandent plus de chaleur de régénération.
Ils sont assez fragiles et très chers mais leurs rapports rendement efficacité / prix justifie
leur emploi dans beaucoup de sections de séchage des gaz en amont des procédés de
fractionation & de liquéfaction
Ils sont sensibles aux hydrocarbures lourds, les dépôts d'huile de lubrification ou de glycol
et nécessitent impérativement l'installation de filtres très fins en amont des
turboexpandeurs (incident sur le Rotoflow du GPL de Karstoe en Norvège par abrasion du
rotor par les "fines" provenant des trois tours de séchage)
Tous ces produits se dégradent peu à peu par suite de la présence de "poisons". Il est
donc nécessaire d'en débarrasser le gaz dans la mesure du possible en amont des
adsorbeurs, afin de prolonger leur vie (1 à 3 ans environ).
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Le Process
La Déshydratation du Gaz
Densité :
o Alumine = 0,80 - 0,88
o Silicagel = 0,69 - 0,72
o Tamis moléculaires = 0,69 - 0,72
Régénération
Domaine d’utilisation :
saturation du corps
Performances :
Pourcentage eau résiduelle très faible utilisé en amont des procédés cryogéniques
Avantages
régénération simple.
Inconvénients :
Avantages :
installation simple
investissements faibles
bonne fiabilité
Inconvénients :
création d’un régime diphasique (si le gaz transporté dans le pipeline est
accompagné d'une phase hydrocarbure liquide suite à la forte solubilité du
méthanol dans les hydrocarbures liquides son débit d'injection peut devenir
prohibitif)
approvisionnement méthanol ?
Stockage (sécurité)
Avantages :
bonne fiabilité
Inconvénients :
corrosion si H2S / CO2 (s’il n'y a plus d'eau libre le CO2 n'est pas rédhibitoire) par
contre la présence d'H2S génère toujours de la corrosion
complexité de l’installation
Grandes longueurs
Solubilité très faible
Avantages 10 fois moins chèr
Peu de pertes
Inhibiteur plus efficace
Utilisation saisonnière
Amont unités de
Domaine d’utilisation
réfrigération
Solution de secours
4.4. EXERCICES
Plan de circulation des Fluides (PCF/PFD) : ce document édité lors de la phase projet,
présente sous format simplifié, les principales lignes et capacités process ainsi que leurs
paramètres de fonctionnement principaux.
Ce document édité lors de la phase projet, présente sous format beaucoup plus complexe
que le PFD, toutes les lignes et capacités process ainsi que tous leurs paramètres de
fonctionnement.
5.3. EXERCISES
6. LA DESHYDRATATION ET LE PROCESS
Si l’injection de méthanol n’est pas possible il faut alors arrêter le gaz lift et le gaz
d’injection d’où une perte de production
6.2. EXERCICES
7. PARAMETRES DE FONCTIONNEMENT
concentration glycol :
o température du rebouilleur
o pression de la colonne de distillation
o utilisation d’un stripping au gaz sec
pureté = 99.99 %
T° fonctionnement = 190° C
Applications
o point de rosée très bas (--> - 100° C)
o déshydratation des gaz avec aromatiques --> récupération à l’état liquide
o préservation de l’environnement
7.3. EXERCICES
8. CONDUITE DE LA DESHYDRATATION
Bien qu'un grand nombre de paramètres soient impliqués dans une unité de
déshydratation au T.E.G (nombre de plateaux ou surface totale garnissages divers dans
l'absorbeur, débit de circulation T.E.G., débit du gaz, condition de saturation, etc...), la
concentration du T.E.G. régénéré est la plus significative.
La limite est fixée à 204°( TSH à 210°C ) car le TEG se dégrade au-dessus de
220° C.
Le débit minimum de circulation de T.E.G. pour assurer un bon contact T.E.G.-gaz est
d'environ 15 litres par kg d'eau à enlever au gaz et avec un débit moyen pour une
installation classique, de 25 l/Kg d ’eau à enlever
Le T.E.G. riche en eau est soutiré du ballon de détente et passe dans une série de
filtres.
Le T.E.G. pénètre ensuite dans une colonne de distillation qui est généralement
située sur le rebouilleur.
La température du bain de T.E.G. dans le rebouilleur doit être maintenue pour le TEG par
exemple à 204°C :
Le flux de vapeur d'eau créé par le rebouilleur monte au travers d'un lit de
garnissage ou de plateaux positionnés dans la colonne de distillation, à contre
courant du T.E.G. riche en eau
Une colonne de "strippage"* au gaz sec est souvent utilisée entre le déversoir et le ballon
tampon afin d'obtenir des T.E.G.s plus concentrés ( jusqu'à 99.9 % poids).
La concentration maximale que l'on peut obtenir sans gaz de stripage est de 98.7 % poids
environ si l'unité fonctionne à pression atmosphérique
* "Strippage"= terme franglais admis dans toutes les branches du "Oil & Gas Business"
l'équivalent français aurait une connotation érotique puisque ce serait le mot
"déshabillage" qui conviendrait!
8.3.1. Pompes
Des pompes volumétriques à pistons sont utilisées pour déplacer le T.E.G. au travers du
système...
Le T.E.G. sortant du ballon tampon est pompé à la pression de l'absorbeur par des
pompes volumétriques à pistons à débit réglable.
Il passe au travers de l'échangeur gaz /T.E.G. ou eau /T.E.G. avant d'entrer au sommet de
l'absorbeur pour un nouveau cycle.
8.3.2. Filtration
Les particules solides entraînées par le T.E.G. sont arrêtées par des filtres ce qui évite de
les déposer dans les équipements de régénération
Une élimination des hydrocarbures présents dans le T.E.G. est réalisée avec un filtre à
charbons actifs
La quantité généralement modeste de charbon actif dans le filtre fait qu'il est rapidement
saturé et de ce fait devient complètement inopérant, d'oû la nécessité de le remplacer
assez souvent.
Nota: Le charbon actif a normalement la propriété d'adsorber le CO2 (d’après des sources
bien informées from U.S.A.) ce qui serait plus utile que l'élimination des C6+, en effet le
CO2 avec la vapeur d'eau en plus réchauffés en amont de la colonne de "stripping"
présente un facteur important de corrosion à chaud.
Il est vrai que comme agent " mousseur " il n'est pas contesté
9. TROUBLESHOOTING
oxydation du T.E.G.
décomposition thermique
contrôle du PH
dépôts
moussage
présence de condensats
perte en T.E.G.
9.1.1.1. L’oxydation
L'oxygène qui pénètre dans le système au travers des bacs de stockage atmosphériques
et garnitures de pompes peut oxyder le T.E.G. et former des acides corrosifs.
L'utilisation d’un ciel gazeux est recommandée dans les capacités de stockage
Une température excessive dans le rebouilleur peut décomposer le T.E.G. et former des
produits corrosifs (la température de décomposition du TEG est de ≈220 °C).
Des surchauffes locales peuvent être provoquées par des dépôts de sel ou de bitume sur
les tubes à feu ou épingles de chauffe
9.1.1.3. Contrôle du PH
L’acidité du T.E.G. résulte des deux points cités précédemment ainsi que de la présence
de composants acides dans le gaz à traiter (H2S et CO2) ce qui augmente le taux de
corrosion des équipements.
Le T.E.G. doit être maintenu à un niveau de PH= 7 - 8 grâce à l ’injection d ’un produit
neutralisateur de PH
Une bonne filtration et traitement sur charbons actifs permettent le dépôt des particules
solides et des hydrocarbures bitumineux.
9.1.1.5. Le moussage
d’hydrocarbures liquides,
d’inhibiteurs de corrosion,
de sels,
Ils peuvent être éliminés dans le ballon de détente et dans les filtres à charbons actifs
Les dépôts de sel accélèrent la corrosion des équipements, réduisent les transferts de
chaleur des tubes de chauffe.
Ce sel est transporté par des brouillards fins de vapeur d'eau qui peuvent être retenus par
des extracteurs de brouillards au niveau du séparateur
Vaporisation par température top haute dans le rebouilleur ( prévention par TSH &
TSHH du moyen de chauffe du rebouilleur
Entraînements
Fuites mécaniques
Les fuites mécaniques peuvent être réduites par l'entretien des pompes, vannes et
autres équipements sur conduites
10. GLOSSAIRE