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s(t)imulation
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pavillonnaire
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Laureline Guilpain
Simon Jean Loyer
oc e
Aurore Rapin
D ol
Tiemo Schaefer
Ec
Jérôme Stablon
DSA d’architecte-urbaniste
École d’architecture de la ville et des
territoires à Marne-la-Vallée
avant-propos
s .
ville nouvelle de Marne-la-Vallée (EpaMarne).
re
oi
Formant un groupe d’origines diverses, nous
avons tous vécu à notre façon le monde du
rit
pavillonnaire. Qu’il s’agisse de la maison familiale
er
dans la banlieue de Lyon, de celle de l’oncle à
r t
l’entrée d’un village du Midi ou encore de celle
eu s
des amis avec qui l’on a joué au football sur
ut de
le terrain tout proche, ce monde représente
pour nous aussi de multiples souvenirs.
'a &
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Pour autant, notre approche est restée
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avant-propos 3
.
s
importance du phénomène 15
re
oi
histoires et politiques pavillonnaires 21
rit
er
crise du logement 37
r t
opportunités 45
eu s
ut de
2. Comment densifier le pavillonnaire ? 53
'a &
choix de la densité dans la ville contemporaine 55
td e
oi ill
sites d’étude 61
dr la v
3. Simulations 95
ou ct
conclusion 214
oc e
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4. Annexes 217
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pavillonnaire(s)
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le pavillonnaire.
8 pavillonnaire(s)
introduction
.
spatiales proposées dans ce livre tentent de
s
montrer qu’une densification n’est pas vaine.
re
Une mutation du pavillonnaire est
oi
possible et pleine d’espérance.
rit
er
Comme l’adjectif l’indique, il s’agit de tissus
composés de pavillons. Nous explorerons ici plus
r t
largement le logement individuel, comprenant à
eu s
ut de
la fois des « maisons individuelles d’habitations,
généralement entourées d’un terrain »2 et
les formes d’habitats groupés. C’est avec
'a &
nos yeux d’architectes-urbanistes que nous
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observerons la manière dont ces logements
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.
Nous montrons tout d’abord la nécessité de
s
s’occuper de ces territoires si particuliers : une
re
part importante des surfaces urbanisées, une
oi
empreinte historique et sociétale majeure, le tout
rit
dans un contexte global tendu ; autant d’éléments
er
qui rendent essentielle l’observation fine de ces
quartiers, révélant de surprenantes opportunités
r t
de projets. (voir partie 1 : Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ?)
eu s
ut de
La stratégie que nous avons adopté face à
la question de la densification est ensuite
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explicitée. La densité est considérée comme un
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élément moteur de la valorisation du corpus de
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À vos projets !
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13
1.Pourquoi
travailler
sur le
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pavillonnaire ?
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(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ?
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phénomène
importance du
15
16
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33 360 000
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57%
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18 969 000 lgts individuels
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s
pavillonnaire(s)
.
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 17
s .
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dr la v
Île-de-France, territoire de
Commençons par une vision globale : l’étude et cas particulier dans le
aujourd’hui en France, le logement monde pavillonnaire français.
individuel représente plus de la
moitié des logements existants sur Premier constat, celle-ci comprend
le territoire (57 % selon l’Insee), un nombre de logements individuels
soit 19 millions, dont presque
1 Chiffres issus des études et statistiques de l’Insee.
18 pavillonnaire(s)
s .
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0 5 10 km N
86 806 ha
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=7% =48%
surface IdF emprise bâtie IdF
1 201 200 ha 188 709 ha
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 19
0,5%
Paris
20%
petite
couronne
s .
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28% 53%
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1 369 200 lgts individuels grande
couronne
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4 890 000
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(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ?
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s .
histoires et
pavillonnaires
politiques
21
22 pavillonnaire(s)
Opération existante
pionnière en France ou à Marne-la-Vallée
légende
*
typologie urbaine ou architecturale
s .
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Institution publique crée
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Texte manifeste
Voies
ferrées
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Texte de lois
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Autoroutes
au de
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Population
française
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année
en rch
événement
historique
majeur
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pavillon
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évolution du champ sémantique
et étymologie du mot « pavillon »
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 23
s .
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ses formes, ses types et ses qui s’avère être la plus productrice
mots se transforment au cours de pavillons en un siècle2.
ou ct
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villa romaine
rit
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*
domaine et ses bâtiments d’exploitation et d’habitation
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1500
804
Antiquité Moyen-Age
papilio paveillun *
latin de pavillon *
XIIème tente du seigneur en campag
e
urs
lotissement
*
subdivision d’une propriété en lots, 1605
s .
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p
ut de
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dr la v
*
sorte de tente très décorée *
édifice de pe
m ure
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édit royal de 1607
t s ite
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um d'a
oc e
1600
1700
1500
…/
lun
eur en campagne
pavillon *
1606 sorte de tente militaire
s .
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eu s
pavillon de jardin
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* 'a &
édifice très ouvert inclus dans la composition des jardins
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n de chasse
au de
loi Le Chapelier
en rch
um d'a
1770
1780
1790
Régime Première
Révolution de 1789
pavillon *
1694 de la forme de tente, très fenestré
et de petite dimension en général.
pavillo *
XVIIIème édicule dans la conception d
type de bâtiment proche des rotondes ou b
c
.s
*
lieu
re
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villa bourgeoise
rit
r t er
*
lieu de villégiature pour les familles aisées
eu s
ut de
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Caisse des Dépôts et Consignations
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Conseil de la Salubrité
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oc e
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1800
1810
1820
1830
…/
llon
a conception des jardins
s rotondes ou belvédère
*
Ec
Villermé, Tableau Physique et Moral des ouvriers, 1840
D ol
1840
Monarchie de Juillet
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Révolution de 1848 m ure
1850 loi du 22 avril 1850
cité ouvrière
36 logements avec jardin pour 36 ménages ouvriers
is
André Koechlin-Scté Industrielle de Mulhouse
Deuxième
République
au de
lieu de résidence et de travail des ouvriers industriels
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ut de
1860
eu s
r t
Second Empire
er
F. Le Play, La réforme sociale en France, 1864
rit
Emile Muller, Expérience de Dornach, 1853.
oi
re
Création des Société de Cité Ouvrière
*
X
p
Guerre franco-allemande 1870 1870
annexion de l’Alsace et la Lorraine.
*
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D ol
oc e
1880
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Cité ouvrière Meunier à Noisiel
ou ct
architectes Pelletier et Tesseire 1874 - 1911
…/
loi Strauss 1906 Sociétés Coopératives d’HBM
Troisième République
1910
c
loi Ribot 1908
blique
1910
*
loi Bonnevay 1912 Offices Publics HBM
*
cité jardin
ou ct
union nationale des Fédérations d’Organismes HBM
m ure
is
au de
loi Loucheur 1928
1930
dr la v
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pavillon
sytème urbain où habitation et voirie s’intègrent aux espaces verts
ut de
eu s
Le Corbusier, «Quand les cathédrales étaient blanches», 1937
r t er
2nde Guerre Mondiale 1939
1940
rit
oi
re
architectes Pelletier et Tesseire 1931-1933
Régime
abrogation HBM, création des Sociétés Pour le Logement
de Vichy
Cité Jardin de Champigny-sur-Marne
.
1945
Qua
retour des HBM
Quatrième République
um d'a
loi cadre du 7 août 1957
décrèts déc.1958 Zones à Urbaniser en Priorité
en rch
1960 HLM- Accession
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ou ct
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is
au de loi 10 juillet 1965 Plan Epargne Logement
Concours Chalandon
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1970
*
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'a & Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat
Crise pétrolière 1973 Olivier Guichard, circulaire sur la ségrégation sociale et les grands ensembles, 1973
ut de
Livre Blanc de l’Union des HLM & rappots Nora-Eveno & Barre, 1975
eu s
r t er
loi 3 janvier 1977
rit
par le ministre Albin Chalandon 1970
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1980
re
s .
…/
modèle d’habitation standardisée
Les Chalandonnettes, partout en France
Cinquième République
maison ca
e République
1990
Ec
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oc e
loi oct.1995
um d'a
Conseil National de l’Aménagement et du Développement du Territoire
en rch on catalogue
t s ite
ou ct loi Chevênement Etablissements Publics de Coopération Intercommunale
2000
m ure
is
au de
Maisons Borloo à 100 000€
Pass-Foncier
dr la v
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Maisons Boutin à 15 €/jour
td e
'a &
2010 Prêt à Taux Zéro + (PTZ+)
ut de
eu s
r t er
rit
oi
11000 km
32 000 km
Voies ferrées
re
s
Voies autoroutières
.
Population Française
68 millions d’habitants
2020
et demain ?
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 33
s .
ordonne l’extension définit le lotissement comme
re
nationale de l’édit royal de une opération d’urbanisme Loi 3 janvier 1977, «
1607, dit « de Sully ». privée, effectuée sous le contrôle Habitat et vie sociale » :
oi
de la puissance publique. crée les Aides pour le logement
Loi du 22 avril 1850 : et unifie les aides à la pierre :
rit
1ère loi sur la salubrité Loi Loucheur, 1928 : PAP, Prêt à l’accession à
er
des logements, Riancey fait intervenir l’État pour l’habitat la propriété pour la primo
et Vicomte de Melun, populaire, qui consent à des accession, PLA, Prêt locatif aidé,
r t
donne le droit aux conseils avances et des prêts à taux OPAH - Opération programmées
eu s
municipaux de définir les réduits aux sociétés d’HBM d’amélioration de l’habitat.
ut de
travaux à effectuer pour et de crédit immobilier,
assainir les logements. prévoit la construction de 260 Loi 7 janvier 1983 :
000 logements en France, décentralise les compétences,
Loi Siegfried, 1894 :'a & de 1928 à 1933 (200 000 crée le Programme local
td e
invente les organes de HBM et 60 000 HLM), de l’habitat qui facilite
oi ill
propagande des HBM, crédits encourage à l’accession l’accès des communes aux
immobiliers facilités, à la petite propriété et financements de l’état pour la
dr la v
précédentes, les organes de de France pour la mise en place Loi d’orientation pour
propagande HBM devant certifier d’un circuit de financement privé la ville (LOV) 1991 :
la salubrité des logements. de l’accession à la propriété. supprime le statut de Zup,
ou ct
Loi Ribot, 1908 : fixe un nouvel objectif de 240 logements sociaux par commune.
essaie de diminuer la demande 000 nouveaux logements
en rch
en zone urbaine en fixant, par par an : le logement devient Loi d’octobre 1995 :
l’encouragement à la petite une priorité pour l’état, mise en place du Prêt à taux
propriété, les habitants des crée Logéco, accession à la zéro (PTZ) sur 20 à 30% du
um d'a
.
ferme
s
*
résidence et lieu de travail des agriculteurs
lotissement
*
subdivision d’une propriété en lots, 1605
cité ouvrière
re
*
lieu de résidence et de travail des ouvriers industriels
oi
*
domaine et ses bâtiments d’exploitation et d’habitation
*
lieu de villégiature pour les familles aisées
pavillon de jardin
rit
*
édifice très ouvert inclus dans la composition des jardins
er
*
sorte de tente très décorée *
édifice de petites dimensions très fenestré
r t
eu s
ut de
papilio paveillun pavillon pavillon pavillon
'a &
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dr la v
au de
m ure
ou ct
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en rch
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oc e
D ol
Ec
Frise réalisée d’après La politique du pavillonnaire, Marie Geneviève Dezès éd. L’Harmattan, 2001.
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 35
et demain ?
.
cité jardin
maison catalogue
s
*
sytème urbain où habitation et voirie s’intègrent aux espaces verts
*
modèle d’habitation standardisée
vrière
re
avail des ouvriers industriels
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r t er
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ut de
pavillon pavillon
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s .
crise du logement
37
38 pavillonnaire(s)
besoin estimé
500 000
logements/an
100%
s .
re
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r t er
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construction effective
dr la v
350 000
au de
logements/an construits
=70%
m ure
ou ct
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t s ite
en rch
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oc e
D ol
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déficit
150 000
logements/an
30 %
s .
re
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dr la v
que la crise du logement rend visible. après la mort de froid dans la rue
Au programme : quelques piqûres d’une femme expulsée de son
ou ct
s .
240
re
oi
220
rit
200
er
180
r t
eu s
ut de
160
140
'a &
td e
120
oi ill
100
dr la v
+90 %
oc e
en 7 ans
Ec
appartements Île-de-France
appartements province
maisons Île-de-France
maisons province Schéma réalisé à partir des données de l’insee et de la Chambre des notaires
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 41
.
comme les classes moyennes, logements par an2. Soit un déficit
s
sur les prix de l’immobilier en d’environ 150 000 logements par
re
constante augmentation face à des an, pouvant s’expliquer par une
oi
salaires qui eux ne le sont pas. Elle pénurie de foncier visible ainsi
rit
s’interroge enfin sur les politiques qu’un problème de rentabilité
er
favorisant le « tous propriétaires », dans la promotion immobilière.
ne laissant que peu de place à A cette pénurie générale s’ajoute un
r t
des solutions alternatives. contexte de croissance exponentielle
eu s
ut de
des prix de l’immobilier (voir
Un déficit généralisé graphique page précédente).
En France et en Île-de-France, les prix
'a &
« L’État Providence » des des logements ont doublé sur une
td e
années 1960 n’est plus. période de sept ans, avec une relative
oi ill
*prévisions insee
s .
re
oi
82 m² 111 m²
rit
er
1984 2009
r t
surface moyenne logement individuel
eu s
ut de
'a &
9700 €
td e
7980 €
oi ill
2008
dr la v
2002
dépense annuelle moyenne engagée par
un ménage pour se loger
au de
m ure
is
réalité
t s ite
en rch
60 000 47 150
um d'a
logements à logements
construire par an construits en 2008
oc e
D ol
Ec
en 2006
370 000
demandes
100 000
attributions
logements sociaux logements sociaux
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 43
.
sont eux, de plus en plus grands. quant au temps de réactivité.
s
La production de logements en Pour les logements sociaux, moins
re
France sert ainsi principalement d’un tiers des demandes annuelles
oi
à absorber cette dispersion de aboutissent en Île-de-France, avec
rit
la population, et non à assurer un désengagement de l’État de
er
l’accueil de nouvelles personnes. plus en plus important dans le
On assiste également à une certaine financement leurs constructions. Là
r t
immobilité résidentielle, notamment encore, les différences territoriales
eu s
ut de
dans les logements sociaux : pensés sont flagrantes : en Île-de-France,
à l’origine comme étape dans un 50% des logements sociaux se
parcours résidentiel, leurs habitants trouvent dans 9% des communes.
'a &
y restent de plus en plus longtemps.
td e
À Paris, les actions emblématiques
oi ill
Par ailleurs, les tissus pavillonnaires de collectifs comme Jeudi Noir qui,
dr la v
Si la crise du logement sévit, elle ne Bien que le portrait qui vient d’être
oc e
D ol
touche pas les territoires de manière fait ne porte pas vers l’optimisme,
uniforme, et les disparités abondent. le but de cette étude est avant
Ec
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(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ?
m ure
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re
s .
opportunités
45
46 rentabilité selon les différentes pavillonnaire(s)
fillières de construction
rentabilité selon les différentes
fillières de construction
600 000
s .
500 000
600 000
re
oi
400 000
500 000
rit
300 000
er
400 000
r t
200 000
300 000
eu s
ut de
100 000
200 000
0
100 000
'a &
td e
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29 nombres de
logements
oi ill
construits
0
dr la v
1 3 5 7 9 11 13 15 17 19 21 23 25 27 29 nombres de
logements
construits
au de
division successorale
groupé
lotissement
division successorale
collectif
groupé
lotissement
Graphique collectif
réalisé à partir de l’étude de J-C. Castel, chercheur au Certu
(1/4) Pourquoi travailler sur le pavillonnaire ? 47
s .
re
oi
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r t er
eu s
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'a &
td e
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dr la v
économie du projet
.
voit que la division de successions
s
de droit commun qui ne subit
re
opérateur
quasiment aucun frais, a un
oi
2500€/m² rendement extrêmement croissant
rit
pour le vendeur de terrain. À partir
er
marges d’une division en trois lots, le
propriétaire vendeur peut exiger un
r t
+ prix tel qu’aucune offre d’opération
eu s
ut de
globale ne soit concurrentielle. »
commercialisation
supplémentaires
simplification des jeux d’acteurs, et
donc d’une réduction des coûts et
+ architecte marges prélevés par chacun d’eux.
au de
+ auto-
patrimoine lors de transformations,
le groupe de travail Bimby2 explique :
ou ct
agglomération, la somme de la
+ + valeur du terrain crée par division
en rch
300€/m²
du logement à tous les types de
services : la surface du terrain sur
lequel est bâtie la maison influe
.
par le document d’urbanisme pression des marchés fonciers.
s
local et/ou cette possibilité de
re
construction supplémentaire est En les regardant de plus près, on
oi
réalisable de façon simple. » peut observer que l’espace est plus
rit
que disponible : les coefficients
er
Dans certaines zones soumises à d’emprise au sol y sont souvent
une forte pression immobilière, cette très faibles. Les PLU imposent en
r t
filière peut représenter un intérêt effet des distances par rapport aux
eu s
ut de
économique important pour les limites séparatives et voiries qui
collectivités. Elle offre aux particuliers préservent un foncier inconstructible
la possibilité de l’auto-construction abondant. Ces bandes de 3 à
'a &
et peut mobiliser des entreprises 5 mètres entre maison et clôture,
td e
locales. Par le biais de filières courtes, la faible hauteur des constructions
oi ill
constructions de demain.
Un foncier insoupçonné ?
ou ct
is
t s ite
2.Comment
densifier le
pavillonnaire ?
s .
re
oi
rit
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dr la v
◃◃ Un pavillon à Champs-sur-Marne
54
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.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 55
.
s
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oc e
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Ec
Vincent Fouchier, Les densités urbaines et le développement durable. Le cas de l’Île-de-France et des villes nouvelles, 1997
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 57
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
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dr la v
PLUS !
surface !
revenus !
s .
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propriétaire
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PLUS !
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diversité !
dr la v
services !
vitalité !
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quartier
m ure
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is
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en rch
um d'a
PLUS !
dynamisme !
oc e
D ol
équipements !
Ec
commune
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 59
.
afin de créer une multipolarité la parcelle, le terme de densification
s
permettant d’échapper à une ville- ne correspond pas à des chiffres,
re
centre macrocéphale. Les tissus mais à une action concrète et
oi
pavillonnaires sont particulièrement physique : diviser sa parcelle,
rit
visés dans cette volonté de faire construire un autre logement dans
er
la ville sur elle-même, car ils sont son jardin, surélever son toit ...
porteurs d’un énorme potentiel Ainsi dans ce cas, densifier c’est
r t
de valorisation. En effet, les tissus redonner de la valeur à son bien,
eu s
ut de
pavillonnaires sont généralement acquérir un revenu supplémentaire
dédiés uniquement à l’habitat, ou une rentrée d’argent immédiate,
et restant l’espace privilégié c’est aider ses proches qui ne
'a &
de l’automobile, ils demeurent trouvent pas à se loger, favoriser
td e
fortement éloignés de cette notion la décohabitation des enfants ou
oi ill
diversité. Ainsi, densifier les tissus en vue d’une retraite plus sereine.
pavillonnaires est un premier pas Au-delà de ces considérations
vers leur intensification, permettant économiques et familiales, la
au de
qui dans ces tissus de la propriété la ville, que doit se construire la ville
individuelle, en deviennent durable. C’est également dans cet
Ec
alors les premiers acteurs. esprit qu’a été menée cette étude,
montrant l’importance d’un dialogue
Valoriser la propriété entre tous les acteurs dans cette
individuelle fabrication de plus-value urbaine.
s .
re
oi
rit
r t er
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ut de
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dr la v
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CHEVREUSE
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en rch
Marne et Champs-sur-Marne
appartiennent à la ville nouvelle
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dr la v
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is
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en rch
Champs-sur-Marne, sa surface ne
Comme la plupart des villes correspond qu’à 15 % de la surface
Ec
Bry-sur-Marne 10 %
rural
12 %
urbain ouvert
78 %
0 200m urbain construit
s .
re
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RER A
au de
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en rch
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Ec
40 % Champs-sur-Marne
rural
16 %
urbain ouvert
44 %
urbain construit 0 200m
s .
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'a &
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dr la v
au de
m ure
RER A
ou ct
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m ure
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au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
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eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 67
.
dans la diversité pavillonnaire et
s
dans la multiplicité des typologies
re
architecturales en découlant.
oi
En effet, la ville de Bry-sur-Marne
rit
s’est principalement urbanisée
er
dans les années 1930 ; elle est
constituée par un tissu de bords
r t
de Marne fait de meulières et de
eu s
ut de
larges parcelles. L’ancienneté
du tissu a d’ailleurs déjà permis
un processus de transformation,
'a & de densification spontanée.
td e
Champs-sur-Marne est, elle, plus
oi ill
BRY
SUR MARNE SRU
30 %
locataire
4740
s .
€.m²
13 % 70 %
re
propriétaire
prix moyen maison logements sociaux
oi
BRY
(hors terrain)
rit
SRU
er
30 %
r t
locataire
eu s
4740
ut de
€.m²
prix moyen maison
13 %
'a &
70 %
propriétaire
logements sociaux
(hors terrain)
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
is
t s ite
SUR MARNE
en rch
CHAMPS CHAMPS
um d'a
oc e
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Ec
SUR MARNE
2890 SRU 50 %
locataire
40 % 50 %
€.m²
prix moyen maison propriétaire
(hors terrain) logements sociaux
2890 SRU 50 %
locataire
40 % 50 %
€.m²
prix moyen maison propriétaire
(hors terrain) logements sociaux
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 69
Une condition du
logement disparate
.
différentes entre les deux villes.
s
Plusieurs hypothèses peuvent
re
expliquer cette situation : la situation
oi
géographique satellisée autour de
rit
la ville de Paris et la dépendance
er
au RER, laissant une grande partie
de la vaste commune de Champs
r t
hors de son influence ; la forte
eu s
ut de
attractivité paysagère de la Marne
bordant toute la commune de Bry ;
l’urbanisation par opérations
'a & globales clé-en-main marquant
td e
l’essentiel de la ville de Champs.
oi ill
à Champs-sur-Marne. Le logement
social est également beaucoup
m ure
s .
re
oi
rit
r t er
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ut de
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td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
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D ol
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um d'a
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 73
s .
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MISE EN RÉSEAU
DES ACTEURS
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DIFFUSION POLITIQUES
& MARKETING & MÉDIATION
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aide juridique
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oc e
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Ec
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 75
.
à leur quartier, généralement Un des premiers leviers peut
s
sans aucune concertation. être le déblocage des règlements
re
d’urbanisme. En effet, en se basant
oi
Au cours de notre investigation, sur une vision hors contexte d’un
rit
nous avons pu constater des gabarit bâti, ceux-ci se révèlent
er
mutations spontanées, sorte être plus des documents restricitfs
de densifications progressives, que des documents projectuels.
r t
produisant un urbanisme informel Ils doivent donc indéniablement
eu s
ut de
qui construit et a construit la ville être repensés, car ils sont en
depuis des millénaires (voir 4. Annexes, grande partie responsables de
partie dynamique). Les transformations l’immobilisme des tissus urbains,
'a &
naturelles des pavillons, fonction notamment des tissus pavillonnaires.
td e
de l’évolution des ménages, sont C’est ce que propose la section PS
oi ill
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Maison
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oi
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s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 77
.
une prise en compte du tissu
s
privé et habité dans la politique Autre exemple de nouveaux
re
de développement urbain d’une partenariats, un accord financier
oi
commune, inventant des outils autres entre sphère publique et sphère
rit
que la préemption et le volontariste privée permet également de
er
pour penser la ville de demain. subventionner des projets innovants,
à l’instar des financements de
r t
Réseau d’acteurs la Sem Ville Renouvelée reçus
eu s
ut de
par Patrick Bouchain, en 2008,
Pour que convergent les projets pour son expérience sur l’îlot
de vie d’habitants et les projets Stephenson à Tourcoing.
'a &
d’agglomération, la mise en relation
td e
horizontale des différents acteurs En premier lieu, un atelier
oi ill
être impliqués, comme les écoles aide sur le foncier par la commune,
d’architecture et de paysage qui a mis à disposition une parcelle
Ec
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 79
Effet de masse et
médiatisation
.
pavillonnaire repose principalement
s
sur un effet de masse, d’où la
re
nécessité du rassemblement et de
oi
la diffusion de ces exemples par la
rit
plus grande diversité de médias.
er
Ce phénomène pourrait prendre
r t
une ampleur considérable grâce
eu s
ut de
à l’accessibilité croissante
aux nouvelles technologies de
communication et d’information
'a & et aux réseaux sociaux virtuels.
td e
oi ill
en se développant conjointement,
se conjuguer pour former la
Ec
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
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ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
.
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ?
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
d’un quartier
simulation de l’évolution
81
82
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
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.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 83
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
en visibilité de ce processus.
Cette simulation permet surtout de
ou ct
projet, représenté en bleu, a ici une et il ne s’agit pas d’établir une vérité
valeur illustrative ; certains d’entre générale sur une étude que nous
Ec
Ec
D ol
oc e
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en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
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oi ill
td e
'a &
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eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 85
2011
à l’échelle du quartier
95 logements
218 habitants
s .
re
état initial
oi
rit
er
logements individuels
r t
en Île-de-France
eu s
ut de
1 369 200 (source IAU)
'a &
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oi ill
dr la v
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m ure
is
au de
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oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 87
2015
à l’échelle du quartier
99 logements (+4)
s .
re
parcelles transformées
oi
rit
3%
r t er
eu s
à l’échelle de l’Île-de-France
ut de
initial : 1 369 200
'a &
+33 148
td e
oi ill
la densification des
parcelles pavillonnaires
au de
= 1 402 348
m ure
ou ct
is
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en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
88
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
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ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 89
2025
à l’échelle du quartier
s .
re
parcelles transformées
oi
rit
25%
r t er
eu s
à l’échelle de l’Île-de-France
ut de
initial : 1 369 200
'a &
+276 235
td e
oi ill
la densification des
parcelles pavillonnaires
au de
= 1 645 435
m ure
ou ct
is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
90
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(2/4) Comment densifier le pavillonnaire ? 91
2050
à l’échelle du quartier
s .
re
parcelles transformées
oi
rit
50%
r t er
eu s
à l’échelle de l’Île-de-France
ut de
initial : 1 369 200
'a &
+552 470
td e
oi ill
la densification des
parcelles pavillonnaires
au de
= 1 921 670
m ure
ou ct
is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
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r ter
rit
oi
re
s .
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t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
95
3.Simulations
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
des échantillons choisis dans les tiennent pas compte des règlements
en rch
◃◃ Maquette de travail
96
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
.
(3/4) Simulations 99
s .
re
oi
rit
r t er
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'a &
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oi ill
dr la v
château de Champs-sur-Marne
mo
ins
de
de
50
0m
s .
re
oi
rit
r t er
parcelle du projet
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
que, comme la parcelle se situe C’est avec lui que nous avons décidé
à moins de 500 m du château de de réaliser une extension en hauteur
Ec
Champs, nous seront sous couvert de qui pourra à la fois être une solution
l’architecte des bâtiment de France. spatiale, économique, technique
Les voisins sont d’accord, à condition et thermique à notre problème.
qu’ils n’aient pas plus d’ombre dans L’intimité est respectée par des
leur jardin qu’avant l’extension. entrées indépendantes et notre
Aussi, les conseils de professionnels grand jardin est préservé. L’occasion
de la construction nous se présente aussi, à travers ces
(3/4) Simulations 101
N
15°
s .
re
oi
E O E O
rit
r t er
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ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
S
21 septembre 21 DÉCEMBRE
au de
Ombres le 21 septembre
m ure
ou ct
au goût du jour tant d’un point de nous sommes allé voir le CAUE 77
vue esthétique qu’écologique. qui a réussi à nous expliquer, avec
um d'a
emprise du projet
s .
re
emprise minimale
des engins de chantier
éviter la déterioration
oi
des terres végétales
rit
r t er
limites de tènement
eu s
ut de
arbres de plus de 30 ans
à préserver
étanchéïté
is
t s ite
provisoire
en rch
déchets envoyés au
centre de recyclage
um d'a
oc e
D ol
Ec
si artisan professionel
estimation de temps et coût
- 7 à 10 jours
- de 10 000€ à 15 000€
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
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dr la v
3. extension auto-construite
au de
entrée du nouveau
logement séparée
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is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
4. projet réalisé
104
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
105
106
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
entente de voisinage
pour un jardin commun
107
108
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
.
(3/4) Simulations 109
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
Ici, le contexte est déjà très dense, en contact avec des associations
avec des maisons accolées et un Cos de jardiniers, contribution de la
de 1 : la surface au sol de la maison, commune pour la terre végétale...
oc e
D ol
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
(3/4) Simulations 111
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
is
t s ite
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dr la v
au de
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ou ct
is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
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Ec
s .
re
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+
rit
A
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eu s
ut de
'a &
td e
A
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
s .
re
oi
rit
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'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
115
116
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
117
118
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Ec
D ol
Bry-sur-Marne
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Champs-sur-Marne
121
122
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
.
(3/4) Simulations 123
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
cadre de l’étude. Chaque test est un architectural, jugé hors propos, les
projet en soi. Le premier document images des architectures produites
m ure
paysagères et spatiales
conduisant à la transformation.
Nous jouons donc dans ce chapitre
notre rôle d’architecte dans la
constellation d’acteurs entrant
en ligne de compte : diagnostic,
solution adaptée à chaque parcelle
124
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
existant / projet
s
pavillonnaire(s)
.
principe de projet
principe dominant
diviser
substituer
comme opportunité
l’espace public
diversifier
mutualiser
étendre
surélever
71
all
ée
Pa
u lF
av
ier
18 allée des alouettes 18
s’étendre
surélever
all
mutualiser
ée
de
Ec
sA
l ou
D ol
et
te
s
oc e
26,
2 8
ch
em
14 allée des alouettes in
um d'a
du
Ca
18 allée des alouettes na
diviser s’étendre l
surélever surélever
4
diversifier mutualiser
7,
4
en rch
9
ru
e
du
M al
t s ite
is
Fo
12 allée des alouettes c h
ou ct
14
all
mutualiser diviser
14 allée des alouettes
ée
surélever surélever
diversifier
de
sA
m ure
l ou
et
te
s
12
au de
bis
ru
e
de
12 allée des alouettes
l’A
surélever
mutualiser
ve
nir
dr la v
7 1,
7
oi ill
3
all
td e
ée
Pa
u lF
'a & av
ier
37
ru
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de
ut de
la
eu s
Ma
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r t
1
37/3
9/41
ru
rue
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la mar
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rF
rit
or
ge
t
oi
15
ru
re
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Lé
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Me
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se
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ier
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la
Ga
re
n ne
64
,6
6,
6 8
all
ée
Pa
u lF
av
ier
125 (3/4) Simulations
126
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
surélever re
une salle de jeux sur le garage
s .
un logement sur la maison
127
étendre sur-élever
128
. Favier
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
le
ja
au de
rd
in
dr la v
oi ill
le
td e
pa
'a & rc
ut de
PLUS !
eu s
une surélévation
r t
parcelle : 167m2 pour voir le parc
s’étendre sans toucher le sol ! extension +23m2
er
rit
oi
re
s .
129
130
Ec
D ol
A A
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
R+2 - 1.200e
is
au de
dr la v
oi ill
A A
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
R+1 - 1.200e
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
RdC - 1.200e
D ol
oc e
A A
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
131
0 2 4 10m
132
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
- L’extension sur le garage existant offre une pièce en
plus à la maison, sans grignoter sur l’espace du jardin.
oi
re
- La surélévation permet aux habitants de voir les arbres
s .
du parc du château de Champs par-dessus les toits.
133
134
18 allée des Alouettes, Champs-sur-Marne 58,60 all Paul Favier 64,66 all Paul
sur
un logement18 la maison
all des alouettes
Ec
Favier
Après 6 mois de recherche infructueuse, Monsieur B. n’a toujours pas trouvé de logement
D ol
à son goût et surtout à un prix décent. Ayant déjà projeté de refaire l’isolation de
leur maison, ses parents ont alors décidé de faire construire un T4 indépendant au
oc e
dessus de leur maison, pour leur fils, sa femme et sa fille, ainsi que le petit à venir.
um d'a
en rch
t s ite
14 all des alouettes 12 all des alouettes 26, 28 chemin du canal
ou ct
EXISTANT
surface maison : 200 m²
m ure
surface parcelles : 960 m² is
année construction : 1984
CES : 0,10 COS : 0,10
au de
nombre d’habitants : 2
nombre de logements : 1 dr la v
DIAGNOSTIC
grand jardin très arboré
oi ill
projet au sein d’une même famille
td e
72,74,76 all Paul
71 all Paul Favier 31 all Paul Favier
'a & Favier
PROJET
surface créée : 100 m²
ut de
CES : 0,10 COS : 0,20
eu s
nombre d’habitants : 4 r t
nombre de logements : 2
er
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
toits / jardin de
um d'a
« dessus »
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de R+1
1 logement type
espace jour / nuit dr la v T4 100m2
oi ill
td e
'a & +
ut de
RDC
eu s
r t + 1 veranda
+ isolation extérieure
er
type T4 100m2 jardin
rit
oi existant préservé
R-1
re
s . garage buanderie
préservation de l’intimité 50m2
135
136
Ec
D ol
oc e
um d'a
A en rch A
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
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oi
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s
pavillonnaire(s)
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
137
0 2 4 10m
138
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
- Un nouveau logement de type 4 est créé en surélévation
td e
de la maison existante afin de préserver le grand jardin.
'a &
- Les accès aux deux logements se font de façon
ut de
distincte, de part et d’autre de la maison.
eu s
r t
- Le logement du bas conserve son jardin, tandis
er
que le logement du haut possède un grand balcon rit
et un accès à la toiture aménagée en terrasse. oi
- Les travaux d’extension offrent la possibilité d’isoler
re
par l’extérieur la maison existante datant des
s .
années 70 et à la faible efficacité thermique.
139
140
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
étendre re
un logement accolé à la maison
s .
deux chambres, puis une maison en plus
141
étendre
142
potagers
um d'a
en rch
t s ite
ou ct habiter sur le bd urbain
m ure
ain
is
bd urb
voie d’accès
au de
vers le parking
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
oi
re
s .
143
144
Ec
D ol
oc e
um d'a
A
A
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
oi
re
A
A
s
pavillonnaire(s)
um d'a
en rch
t s ite
Coupe AA - 1.500e
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
145
0 2 4 10m
146
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
- Le dessin de la voie de desserte est simplifié.
td e
Elle mène jusqu’aux stationnements mutualisés 'a &
au pied du talus de l’autoroute. ut de
- Le re-dessin de la voie de desserte permet de dégager des
eu s
espaces propices aux extensions latérales des maisons.
r t er
- D’un côté la surélévation du garage abrite un logement rit
étudiant, de l’autre, un logement de type 3 prend place
dans le prolongement volumétrique de la maison.
oi
re
- L’appropriation du bas du talus peut également profiter
s .
également à l’établissement de jardins potagers.
147
148
s.
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
des
dr la v
terrasses
à l’abris des
oi ill
regards
td e
'a &
ut de
le jardin partagé
eu s
r t er
rit
oi
re
s .
149
150
A
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
B ut de B
eu s
r ter
rit
oi
re
s
A
pavillonnaire(s)
RdC - 1.200e .
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
Coupe BB - 1.500e
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
151
0 2 4 10m
152
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
- Dans un premier temps, un volume contenant deux chambres
td e
et jouant de demi-niveaux est ajouté à la maison de devant.
'a &
- Dans un second temps, un nouveau logement est
ut de
construit derrière le garage du logement du fond.
eu s
r t
- Reprenant le processus déjà en place sur la parcelle, il est
er
constitué de volumes agglomérés abritant les différentes rit
parties de la maison. Ils s’organisent autour d’un patio
formant un espace extérieur protégé des regards.
oi
re
- Une grande partie du jardin reste commune,
s .
appropriable par les différents habitants.
153
154
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
oi
diviser re
se réorganiser pour conserver la maison
s .
vendre juste ce qu’il faut
155
um d'a
en rch
R+1
t s ite
1 chambre / sdb
ou ct
/ bureau 26m2
terrasse
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a & RDC
divisé en 2
ut de
1/3 du jardin existant
eu s
r t cuisine et salon
type T3 de plain
er
pied conservé
1/3 du jardin existant
rit
oi
re
s .
157
158
Ec
D ol
oc e
um d'a
A A
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
159
0 2 4 10m
160
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
- En coupant la maison et le jardin en deux, rit
deux logements distincts sont obtenus tout en
conservant les grands arbres du jardin.
oi
re
- La surélévation d’une partie de la maison permet d’obtenir
s .
une pièce supplémentaire donnant sur une terrasse ensoleillée.
161
162
12 bis rue de l’Avenir, Bry-sur-Marne 15 rue Léon Menu vendre juste ce qu’il faut
12 bis rue de l’avenir rue de l’ave
58,60 all Paul Favier 64,66 all Paul 18 all des alouettes
Ec
A l’époque ils avaient besoin d’argent.
D ol Favier
Objectif vendre juste ce qu’il faut de terrain pour renflouer les caisses.
oc e
(un sorte de NIMBY de la division parcellaire)
Le plus intéressant est ce que les acheteurs ont réussit
um d'a
à faire d’une telle parcelle (35 x 5m).
en rch
t s ite
ou ct
EXISTANT
5 sentier de la garenne
surface parcelle : 960 m²
14 all des alouettes 12 all des alouettes r
m u26,e28 chemin du canal
année construction : 1890
is
CES : 0,10 COS : 0,20
nombre d’habitants : 3
au de
nombre de logements : 1 dr la v
DIAGNOSTIC
grand jardin arboré
oi ill
parcelle proche de la station
td e
de rer de Bry-sur-Marnee 'a &
PROJET
ut de
surface créée : 109 m²
CES : 0,14 COS : 0,32
eu s
72,74,76 all Paul
71 all Paul Favier
nombre d’habitants : 6 31 all Paul Favier r te
Favier
nombre de logements : 2 r1rrue
PLUS
itoRoger Forget 47,49 rue Mal Foch 37 rue de la
vente d’une parcelle en lanière
opération indolore.
ire
pavillonnaire(s)
s.
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e 176,5m2
'a & 787,8m2
33,5m
ut de
eu s
r t er
rit
oi
5m
re
s .
163
164
Ec
D ol
oc e
um d'a
A en rch A
t s ite
R+2 - 1.200e
ou ct
m ure
is
au de
A dr la v A
oi ill
1.200e
td e
R+1 - 'a &
ut de
eu s
A A
r ter
rit
oi
RdC - 1.200e
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
Coupe AA - 1.500e
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
165
0 2 4 10m
166
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
-L’opération de vente d’une lanière au fond du terrain
reste indolore au vu de la taille restante du jardin.
oi
re
- Le nouveau logement, bien que d’une typologie inhabituelle
s .
dans le quartier, offre tout le confort d’une maison individuelle.
167
168
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill étendre
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
mutualiser re
une maison entre deux garages
s .
trois maisons d’un seul coup
169
mutualiser
170
73,75 allée Paul Favier, Champs-sur-Marne une maison entre deux garages 72,74,76 all Paul
71 all Paul Favier
Ec
Favier
Deux maisons en location, un même propriétaire. Celui-ci aimerait bien agrandir
D ol
et redonner un coup de pep’s à son offre immobilière, il sait aussi que le coin
oc e
est assez prisé et qu’il n’aura pas de mal à louer son nouvel investissement.
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
EXISTANT 58,60 all Paul Favier 64,66 all Paul
surface maison : 82 m² Favier
m ure
surface parcelle : 130 & 220 m²
is
année construction : 1984
CES : 0,40 COS : 0,60
au de
nombre d’habitants : 6
nombre de logements : 2
dr la v
DIAGNOSTIC
oi ill
habitat dense avec des petits jardins
td e
parcelles qui bénéficient de deux accès 'a & 14 all des alouettes 12 all des alouette
PROJET
ut de
surface créée : 45 m²
eu s
CES : 0,44 COS : 0,75 r t
nombre d’habitants : 8
nombre de logements : 3
er
rit
oi
re
s
pavillonnaire(s)
um d'a
garage en desserte
en rch
+ un jardin cultiver
t s ite
ou ct sur l’espace commun
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
rit
le parc
oi
re
s .
171
172
Ec
B
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
A A
dr la v
oi ill
td e
'a &
B
ut de
eu s
r ter
rit
oi
R+1 - 1.200e RdC - 1.200e
re
s
pavillonnaire(s)
.
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D ol
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(3/4) Simulations
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Coupe BB - 1.500e m ure
is
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rit
oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
173
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174
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s
pavillonnaire(s)
.
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(3/4) Simulations
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m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
- La nouvelle construction, au fond des jardins rit
et entre les garages, ne crée que peu d’ombres
supplémentaires sur les jardins existants.
oi
re
- Le nouveau logement possède sa propre entrée et une
s .
terrasse qui donne sur le parc du château de Champs.
175
72,74,76 all Paul
176
s.
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
boulangerie
oi ill
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r ter
rit
oi
re
s .
177
178
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1.500e
R+1 -
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s
pavillonnaire(s)
RdC - 1.500e .
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Coupe AA - 1.500e m ure
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r ter
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oi
re
s .
Coupe AA - 1.200e
179
0 2 4 10m
180
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D ol
oc e
um d'a
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t s ite
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dr la v
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oi
re
s
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
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t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
- Trois logements sont construits en front de rue,
td e
préservant les maisons et le grand jardin existant.
'a &
- L’opération se faisant en une seule fois, les
ut de
stationnements sont regroupés sous un unique
eu s
abris, libérant plus de place pour les jardins. r t er
- Les trois logements et leurs jardins sont assemblés de rit
façon à leur offrir des accès individuels et un ensoleillement
optimal, tout en s’adaptant à la géométrie déjà en place.
oi
re
- Une boulangerie est installée entre les maisons, à l’angle
s .
de la rue, profitant de la fréquentation du carrefour.
181
182
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
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dr la v
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rit
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s
pavillonnaire(s)
.
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(3/4) Simulations
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étendre
dr la v sur-élever
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
diversifier re
un club d’aviron au milieu des maisons s
des bureaux là où on ne les attend pas .
183
mutualiser
diversifier
all Paul
184
.
72,74,76 all Paul
71 all Paul Favier 31 all Paul Favier
Favier
1 rue Roger Forget 47,49 rue M
Ec
D ol hangar
oc e
(3/4) Simulations
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en rch
t s ite
extension
ou ct
nouvelle maison à salle-à-manger
logement
la place du hangar
m ure
indépendant
is
au de à l’étage
dr la v
oi ill
td e
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r t er
rit
location d’avirons oi
re
s .
185
186
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um d'a
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Coupe AA - 1.200e
oi ill
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oi
re
s .
Coupe de principe
187
0 2 4 10m
188
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pavillonnaire(s)
.
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(3/4) Simulations
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dr la v
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eu s
r t
- Le club d’aviron s’installe sur un angle de rue d’où il
er
n’a que la route à traverser pour accéder à la Marne. rit
- Ce petit projet d’équipement dynamise son contexte : dans
oi
la parcelle d’à côté, une maison verticale s’ouvrant sur un
re
patio, remplace l’appentis, tandis que la maison existante
s .
pourrait être réorganisée pour anticiper l’avenir des occupants.
189
190
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ou ct
m ure
is
au de
maison 1 maison 2
dr la v
oi ill
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191
192
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pavillonnaire(s)
RdC - 1.200e .
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Coupe AA - 1.200e
193
0 2 4 10m
194
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pavillonnaire(s)
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- Le garage a été détruit pour permettre l’accès vers le fond
eu s
de la parcelle où s’est construit un logement de type 2.
r t er
- Le long de ce passage un étroit local rit
de bureaux a été aménagé. oi
- L’opération se réalisant principalement en fond de
re
parcelle, l’impact sur la rue est quasi-invisible.
s .
195
196
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pavillonnaire(s)
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étendre
a
sur-éleveru
de
diviser
dr la v
oi ill
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eu s
r ter
rit
oi
l’espace public comme opportunité re
deux maisons le long d’une chemin piéton
s .
mutualiser
197
5 sentier de la garenne
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
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s .
199
200
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re
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pavillonnaire(s)
.
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s .
Coupe AA - 1.200e
201
0 2 4 10m
202
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pavillonnaire(s)
.
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dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
- L’absence de places de stationnement est
eu s
compensée par la proximité du rer. r t er
- Les deux maisons en rez-de-chaussée, dont l’accès rit
se fait uniquement depuis la venelle, s’organisent
autour d’une cour intérieure baignée de lumière.
oi
re
- Une maison s’ouvre même partiellement sur la venelle,
s .
s’appropriant une partie de cet espace d’échelle réduite.
203
204
Ec
D ol
oc e
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pavillonnaire(s)
.
étendre
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m ure
is mutualiser
au de
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oi ill
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r ter
rit
oi
substituer re
substituer quand on ne peut plus faire autrement
s .
205
substituer
206
um d'a
en rch
t s ite
4
ou ct
un nouveau
logement sur
m ure
les garages
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5
re
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dr la v
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oi
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207
A
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208
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A
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s
pavillonnaire(s)
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re
s .
Coupe AA - 1.200e
209
0 2 4 10m
210
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s
pavillonnaire(s)
.
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oc e
(3/4) Simulations
um d'a
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t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r t er
- Six logements, à la place de trois, avec un accès commun rit
qui aménage une traversante piétonne à travers l’îlot. oi
- Les logements possèdent des qualités proches de
re
l’habitat individuel : grande terrasse ensoleillée,
s .
double hauteur, espaces appropriables.
211
212
l
ier
v
s
s
ne
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c
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Fa
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Ec
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Ca
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um d'a 64
73
5
71
18
26
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14
12
37
1
15
3x136
en rch
surface parcelle 168 m2 960 m2 1221 m2 727 m2 1045 m2 960 m2 270 m2 2640 m2 465 m2 627 m2 920 m2
=408 m2
t s ite
3x75
surface logement 75 m2 100 m2 678 m2 238 m2 100 m2 200 m2 176 m2 642 m2 225 m2 60 m2 130 m2
=225 m2
ou ct
CES 0,50 0,10 0,37 0,28 0,10 0,10 0,50 0,13 0,33 0,10 0,10 0,54
m ure
is
oi ill
surélever surélever
surélever surélever surélever
surface utile surélever
td e
2 diviser mutualiser
21 m2 100 diviser mutualiser
s’étendrem 79 m2 122s’étendre
m2 52 m2
diversifier
109 m2 50 m2 420 m2 145 m2 202 m2 170 m2 403 m2
diversifier mutualiser
créée mutualiser
'a &
_ BRY
CES après 0,50 0,10 0,60 0,42 0,10 0,14 0,60 0,28 0,38 0,26 0,28 0,76
Foch
hal
Maréc
du
rue
47/49
ut de
eu s
COS après 0,95 0,20 r t 0,40 0,50 0,15 0,32 1,10 0,47 0,80 0,40 0,32 1,70
multiplication
er
x1,2 x2 x1,1 x1,5 x1,5 x1,6 x1,7 x1,9 x1,6 x2 x2,1 x3,1
COS
rit
habitants 2+0 2+4 12+3 4+5 2+2 3+3 6+2 7+11 6+6 2+4 3+5 9+17
oi
re
logements 1+0 1+1 4+2 2+3 1+1 1+1 2+1 1+1 1+2 s 1+1 1+2 3+3
pavillonnaire(s)
.
Ec
D ol
oc e
(3/4) Simulations
58 ume d'arc
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19
so tec COS x
+ um tu
is re d
+
62
au e
dr la v
1,82
oi ill
td e 18
Les résultats des divers tests
'a & En effet, la physionomie des tissus à nous poser les questions suivantes :
d’extension sont encourageants. peut être conservée, grâce à une Comment concrètement fabriquer
ut de
Non seulement le nombre d’habitants attention aux qualités de chaque l’urbanisme des voisins ? Dans quel
eu s
a pu, sur le total des échantillons, logement et à la préservation
r t rôle se place l’architecte-urbaniste,
être doublé, mais quasiment tous les des jardins, ceux-ci continuant à élément clé pour une inscription
er
tests ont permis le développement fabriquer le paysage de la rue. indolore d’un programme plus vaste ?
d’au moins un nouveau logement. La Enfin la densification du pavillonnaire
rit
démarche ne saurait être complète Cette démarche projectuelle permet semble demander un véritable
oi
sans la démonstration, par les d’affirmer, preuves à l’appui, qu’il engagement des acteurs de la politique
re
images, du caractère léger et indolore existe un enjeu important autour de la de la ville, permettant d’engager un
s
de ce mode de densification. mutation de ces tissus. Elle nous amène phénomène plus vaste et ambitieux.
.
213
214 pavillonnaire(s)
conclusion
La vision en surplomb du grand planificateur
n’est plus adaptée aux enjeux urbains
d’aujourd’hui : l’avenir de la ville, sa durabilité,
doit se faire dans l’examen minutieux
de toutes ses parties constituantes.
.
lorsque l’on n’a pas réussi sur place, mais
s
arpenter le déjà-là pour le comprendre, le réparer,
re
installer des systèmes, rétablir une cohérence.
oi
rit
En s’intéressant aux tissus pavillonnaires, cette
er
étude s’inscrit dans cette volonté de considérer
que tous les éléments de la ville doivent être
r t
mobilisés pour répondre aux enjeux de demain.
eu s
ut de
Elle met également en avant une mutation dans la
manière de faire : l’utilisation de la démonstration,
c’est-à-dire « l’action de montrer, d’expliquer par
'a &
des expériences faites sous les yeux de l’assistance
td e
la vérité d’une donnée »1, pour mettre en visibilité
oi ill
.
de la ville éco-systèmique : participation,
s
conseils, accompagnements, chacun
re
apportant ses compétences à l’édifice.
oi
rit
Comment les architectes peuvent-ils
er
transformer leur pratiques, questionner
leur principes et réinventer leur métier,
r t
face à un monde en pleine mutation ?
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
is
t s ite
en rch
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D ol
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oc e
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is
au de
dr la v
oi ill
td e
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ut de
4. Annexes
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
218
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oc e
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t s ite
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m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
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ut de
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r ter
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oi
re
s
.
Ec
D ol
(4/4) Annexes
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ou ct
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is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
image collective et
culture habitante
219
220
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
.
(4/4) Annexes 221
s.
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
du « tous propriétaires », le
monde pavillonnaire s’immisce
Ec
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
.
(4/4) Annexes 223
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
Binet, Les Bidochons, 1993 Route de Malnoue, Champs-sur-Marne
td e
oi ill
dr la v
visite de site à vélo que nous avons Le monde pavillonnaire renvoie une
réalisée en octobre 2010 entre image peu flatteuse dans l’imaginaire
en rch
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
Julien Chapsal, (Où) suis-je ?, 2007-2010
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
is
t s ite
en rch
um d'a
oc e
D ol
Ec
s .
re
oi
rit
r t er
eu s
ut de
'a &
Johan Thurfjell, Goodnight dad, Goodnight Rue Nast, Champs-sur-Marne
td e
mum, 2008
oi ill
dr la v
Ec
D ol
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
.
Ec
D ol
(4/4) Annexes
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
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au de
dr la v
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td e
'a &
ut de
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.
Ec
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(4/4) Annexes
oc e
um d'a
en rch
t s ite
ou ct
m ure
is
au de
dr la v
oi ill
td e
'a &
ut de
eu s
r ter
rit
oi
re
s .
définir la densité
229
230 pavillonnaire(s)
densité bâtie
= CES x nombre de niveaux
s .
re
oi
rit
er
ville haussmannienne
4,5 du 19e siècle
r t
eu s
HBM de
4,1
ut de
l’entre-deux guerres
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
Pavillonnaire récent
0,5 en opération groupée
.
urbains. C’est pourquoi il est résidentielle, densité bâtie
s
important de rappeler sa définition
re
première, venant du domaine La densité est originairement un
oi
scientifique, et ses utilisations terme scientifique purement objectif,
rit
dans le domaine de l’urbain. établissant un rapport entre deux
er
données. Elle permet, nous l’avons
Une notion relative vu, de réaliser des comparaisons
r t
entre différents espaces urbains.
eu s
ut de
Qu’elle soit physique, biologique ou
urbaine, la densité permet d’établir On distinguera deux approches
un rapport entre deux choses. principales, complémentaires de
'a & la densité, dans ces analyses des
td e
Si elle désigne, dans les sciences typologies urbaines : la densité
oi ill
s .
re
oi
rit
r t er
Densité = coefficient d’emprise au sol x nombre de niveaux
eu s
ut de
'a &
td e
oi ill
dr la v
au de
m ure
ou ct
.
moyenne (de 0,9 à 2) et une densité subie ou choisie, expliquant ainsi le
s
forte (de 2 à 4,5 et plus). La densité rejet de certaines formes urbaines
re
bâtie permettant de comparer et l’engouement envers d’autres.
oi
différentes typologies urbaines, elle La densité est invariablement
rit
est fortement associée à l’histoire de liée à un ressenti psychologique,
er
la fabrication de la ville, comme le ce qui explique les débats
montrer l’axe chronologique ci-contre. houleux que la seule évocation
r t
Ici, il est essentiel de comprendre du terme peut entraîner.
eu s
ut de
que ces données sont purement
objectives, issues de calculs chiffrés,
il n’y a pas de jugement qualitatif
'a &
entre les catégories « densité faible
td e
» et « densité forte » ; il est d’ailleurs
oi ill
Densité perçue
m ure
complémentaire, introduisant la
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(4/4) Annexes
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contexte
environnemental
235
236 pavillonnaire(s)
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.
des campus de recherche et avec son écosystème : de la
s
d’expérimentation, des pôles de production à la restitution, les
re
production, de grandes plateformes éléments nécessaires à son
oi
de mobilité constituent autant de fonctionnement doivent être pensés
rit
germes pour développer des polarités dans une perspective cyclique.
fortes, des « villes intenses ». [...]
er
Les tissus peu denses, perçus Ainsi, la vision de ville qui se
r t
aujourd’hui comme banlieue, développe sur elle-même passe
eu s
sprawl, citta diffusa ou encore
ut de
par une organisation intégrée
Zwischenstadt, se transforment en et globale de ses différents
une nouvelle substance urbaine, composants. Cette mise en place
'a &
une sorte de «ville légère» ne peut se faire qu’à la rencontre
td e
ou «ville distendue». Cette «ville entre des dynamiques top down,
oi ill
d’accepter la superposition
Cependant, la question des fonctions comme facteur
suivante reste posée : d’efficacité et d’échanges
oc e
D ol
.
et bureaux), ou bien par la
s
potagers viennent occuper le toit
re
réutilisation de chaleur produite par
d’un immeuble new-yorkais, mais
le fonctionnement du métro pour
oi
elle est surtout à prendre en tant
chauffer les logements environnants que production de vie commune.
rit
- une optimisation d’usages,
er
ou comment un bassin de Il semblerait que la prise de
rétention d’eau calibré pour
r t
conscience de la finitude de notre
eu s
une pluie décennale peut servir planète et la volonté d’en finir avec
ut de
de terrain de jeux au sein d’un un modèle de l’homme individualiste
parc, si la conception intègre une et consumériste entraîne la recherche
'a &
collaboration des différents acteurs
(service eau et assainissement,
d’un nouveau bien fait commun1.
Cette prise de conscience et cette
td e
service espaces verts…). volonté d’agir sur son espace
oi ill
.
modèle est d’ordre social et
s
de vie. La ville périphérique étant
re
culturel. La « ville légère » et
majoritairement un espace de
son polycentrisme révèlent un
oi
résidence, elle n’est pas exclue de
ce type de prise de conscience. système dans lequel chaque
rit
fonction (complémentaire l’une
er
de l’autre) est intégrée dans
De la ville diffuse à la ville une organisation commune,
r t
légère, intérêts du modèle
eu s
une vie locale et citoyenne.
ut de
Les territoires périphériques des Cette nouvelle culture métropolitaine
grandes métropoles, aujourd’hui
'a &
diffus et peu denses, semblent être
permettrait de mettre fin à la culture
centralisée et à la ville macrocéphale,
td e
les lieux d’un possible changement, qui aujourd’hui empêchent un
oi ill
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(4/4) Annexes
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.
(4/4) Annexes 243
.
Au début de notre travail, une
s
balade en vélo depuis la place de la
re
Nation à Paris jusqu’à la station de
oi
RER Noisy-Champs nous a permis
rit
de constater qu’une dynamique de
er
transformation est déjà en place.
r t
Si le processus de densification
eu s
ut de
est plus marqué dans des villes
de première couronne du fait de
la pression immobilière, à l’instar
'a &
de Montreuil, il n’empêche que
td e
des tissus plus éloignés, comme à
oi ill
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Shishiodoshi house,
Nantes,2005
au de
SHON : 185 m2
coût : 114 000 €
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référence
surélever
étendre sur-élever
246 pavillonnaire(s)
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photos in situ
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Toit habité,
Boulogne Billancourt, 2010
au de
NP2F arch.
m ure
SHON : 80 m2
+ 45 m2 de terrasse
ou ct
référence
étendre
étendre sur-é
248 pavillonnaire(s)
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dr la v
Maison 69,
Bordeaux, 2010
au de
SHON : 125 m2
coût : 160 000 €
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référence
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dr la v
Saintes ARC,
Saintes, 1998-2005
au de
BNR arch.
m ure
38 PLA dont 26 en
réhabilitation et 26 en
ou ct
accession à la propriété
is
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étendre sur-
référence
mutualiser
mutualiser
diver
252 pavillonnaire(s)
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dr la v
SHON : 60 m2
ou ct
étendre sur-élever
référence
mutualiser diversifier
diversifier prof
254 pavillonnaire(s)
s .
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photos in situ
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Townhouse,
Landskrona, 2009
au de
SHON : 125 m2
coût : 280 000 €
ou ct
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étendre su
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Ec
mutualiser
dive
référence
substituer
substituer
Table des matières
avant-propos 3
.
importance du phénomène 15
s
Un mode dominant 17
re
Le cas de l’Île-de-France 17
oi
rit
histoires et politiques pavillonnaires 21
er
Évolution d’un type d’habitat 23
Législations et politiques influentes 33
r t
Les leçons de l’histoire 35
eu s
ut de
crise du logement 37
Crises en cascade 39
Un déficit généralisé
'a & 41
td e
Le desserrement des ménages 41
oi ill
Densifier le pavillonnaire 59
Valoriser la propriété individuelle 59
um d'a
sites d’étude 61
oc e
3. Simulations 95
s .
re
surélévation et technologies du soft 97
oi
rit
entente de voisinage pour un jardin commun 107
er
douze tests pour construire dans son jardin 119
r t
surélever 127
eu s
ut de
étendre 141
diviser 155
mutualiser 169
diversifier 183
'a &
td e
l’espace public comme opportunité 197
oi ill
substituer 205
dr la v
conclusion 214
au de
4. Annexes 217
m ure
Laureline Guilpain
Simon Jean Loyer
Aurore Rapin
Tiemo Schaefer
.
Jérôme Stablon
s
re
oi
étude réalisée pour
rit
EPA Marne / EPA France
er
dans le cadre du DSA
d’architecte-urbaniste de
r t
l’École d’architecture de
eu s
ut de
la ville et des territoires
à Marne-la-Vallée.
'a &
td e
direction pédagogique :
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Yves Lion
dr la v
Christophe Delmar
Éric Alonzo
au de
relecture :
Guillemette Morel Journel
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composé en :
DéjaVu Sans Extralight
avril 2011