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3AS - Projet I - Séq 2
3AS - Projet I - Séq 2
3AS - Projet I - Séq 2
Objet d’étude:
Support :
-Vérifier que les pré-requis sont maitrisés
Evaluation « RECUEILLEMENT HIER À 1
01 par les élèves, dans le but d’aborder une heure
diagnostique TIZI OUZOU. Amirouche
nouvelle notion.
revient cette semaine »
- Emettre des hypothèses sur le contenu du
Support :
message oral.
« Algérie | Témoignage du fils du
Compréhension - Identifier les informations contenues 1
02 Colonel Si El Haouès à M'chounech /
de l’oral Aurès »
explicitement dans le message. heure
- Distinguer les éléments constitutifs de la
situation de communication
Support iconique - S’exprimer librement
Production 1
03 Les manifestations du 17 - Exposer des faits en manifestant son heure
orale Octobre 1961 esprit critique.-
- Lire et comprendre un document
d’Histoire.
Support 1: - Distinguer entre acteur et témoin de
« Le 1er Novembre à l’événement ;
Khenchla » - Déterminer la position de l’auteur par
rapport aux faits historiques racontés ;
- Déterminer le degré de subjectivité du
discours.
Compréhension De 4
- Exploiter les informations relatives au
04 à6
de l’écrit Supports 2:
paratexte afin de formuler des hypothèses heures
de sens.
« Tébessa: La bataille d'El-
- Repérer la démarche d’analyse d’un fait
Djorf, 62 ans après »
historique
- Identifier la subjectivité de l’auteur.
- Repérer la démarche d’analyse d’un fait
Support 3 :
historique
« Commémoration du 20 août 1955-
- Identifier la manifestation implicite du
1956 : les deux sursauts salvateurs »
narrateur
- - S’entrainer à la rédaction d’un texte Une
Préparation à l’écrit
d’histoire. heure
Une
Production Expression écrite - - Rédiger un texte d’histoire.
05 heure
écrite - - Réinvestir tous les moyens linguistiques
Compte-rendu de l’expression Une
de la séquence afin d’élaborer un texte
écrite heure
démonstratif.
Support : Une
06 Fait poétique - - Etudier un poème
heure
« Hymne national algérien »
Support :
Evaluation Une
07 Texte de Tahar Oussedik. - Tester les acquis des apprenants
heure
sommative Lala Fatma N'soumer
Niveau : 3 A.S Prof………………….
Objectifs :
- Situer le niveau des élèves et mieux connaitre leurs compétences ou leurs difficultés.
-Vérifier que les pré-requis sont maitrisés par les élèves, dans le but d’aborder une nouvelle
notion.
I – Compréhension de l’écrit :
1- Complétez la grille suivante
Qui ? A qui ? De quoi ? Pourquoi ?
La cérémonie de recueillement et les
Rendre hommage
Aomar Aux activités commémoratives du 59e
au colonel
MOHELLEBI lecteurs anniversaire de la mort de Amirouche et Si
Amirouche
El Haouès
4- « Ces dernières ont démarré mardi dernier à Boussaâda, puis à El Alia et au village
Bounaâmane, hier ».
- A quels moment renvoie le mot souligné ?
Hier : Vendredi 30 mars 2018.
6- a) « Il nous a surtout exhortés à faire preuve de beaucoup de vigilance pour mener à terme
notre combat pour l'indépendance de l'Algérie», a déclaré Ouali Aït Ahmed.
b) ….. Ouali Aït Ahmed qui a ajouté que c'etait la dernière fois que Amirouche avait foulé le
sol de la Kabylie
* Que représentent ces deux phrases.
* Comparez les deux phrases. A quoi servent les deux verbes soulignés.
Ces deux phrasent sont le discours du témoin rapporté par le journaliste.
a) La phrase est au style direct
b) La phrase est au style indirect.
Les deux verbes (déclarer) et (ajouter) sont des verbes introducteurs.
II – Production écrite :
Objectifs :
- Emettre des hypothèses sur le contenu du message oral.
- Identifier les informations contenues explicitement dans le message.
- Distinguer les éléments constitutifs de la situation de communication.
I – La pré-écoute :
1- Quel était le but de la Révolution algérienne 1954-1962 ?
L’indépendance d'un « État algérien souverain démocratique et social dans le cadre des principes
islamiques »
2- Citez quelques personnages célèbres qui ont participé à cette glorieuse Révoluition.
III – La deuxième projection : Regardez la vidéo puis répondez aux questions suivantes :
3- Comment les responsables français traitaient-ils les femmes des moudjahidines lors des
ratissages?
Lors des ratissages, les responsables français ont pris les femmes des moudjahidines comme des
hottages.
4- « Depuis que j’ai commencé à …………, je ne fus plus ma entre le salé et le sucré. Pour
…………, le ………… et la ………… ; je suis prêt à sacrifier l’honneur de ma femme ».
- A partir de la vidéo, Complétez le passage donné.
distinction - militer - révolution - pays - Dieu
-Qui a dit ce passage ?
C’est le Colonel Si El Haouès qui a dit ce passage.
Consigne : En reprenant vos prises de notes, faites un compte rendu oral du documentaire que
vous veniez de regarder.
Niveau : 3 A.S Prof………………….
Objectifs :
- S’exprimer librement
- Exposer des faits en manifestant son esprit critique.-
Mise en situation :
Observez les images ci-dessus :
Que représentent –elles ?
Que représente la date du 17 octobre 1961 ?
Sujets :
- Le 17 octobre, le FLN organise une manifestation non violente contre le couvre-feu qui
leur était imposé.
- Massacres de dizaines d’Algériens par les fonctionnaires de la police française.
- Ségrégation au moment des crimes : les Kabyles étaient sauvés grâce à la couleur de
leur peau.
En vous appuyant sur les photos et ces informations, relatez à vos camarades les
atrocités commises par les français à l’encontre des algériens le 17octobre 1961
Niveau : 3 A.S Prof………………….
Objectifs :
- Lire et comprendre un document d’Histoire.
- Distinguer entre acteur et témoin de l’événement ;
- Déterminer la position de l’auteur par rapport aux faits historiques racontés ;
- Déterminer le degré de subjectivité du discours.
I- Observation:
6- Justifiez, dans l’avant dernier paragraphe, l’emploi du futur simple de l’indicatif : « Les
attaques auront lieu… »
« Les attaques auront lieu… » : L’emploi du futur simple est justifié par rapport au moment de
l’énonciation (le 29 octobre 1954).
8- Ce texte est-il l’œuvre d’un historien, d’un écrivain ou d’un témoin de l’événement ?
Ce texte est l’œuvre d’un témoin de l’événement.
9- Dans ce texte :
- le narrateur est absent ;
- le narrateur est seulement témoin ;
- le narrateur est personnage (auteur/ acteur)
Relevez la bonne réponse.
6- a) Quant à Benabès, il disait sans cesse : « Allahou akbar (Dieu est grand), le grand jour est
enfin arrivé ! ».
b) Laghrour nous informa officiellement que le jour « J » était fixé pour la nuit du dimanche
31 octobre 1954 au lundi 1 er novembre 1954.
* Que représentent ces deux phrases.
* Comparez les deux phrases. A quoi servent les deux verbes soulignés ?
Ces deux phrasent sont des discours rapportés par le narrateur.
a) La phrase est au style direct
b) La phrase est au style indirect.
Les deux verbes (dire) et (informer) sont des verbes introducteurs.
III- Synthèse :
Le discours rapporté :
Objectifs :
- Exploiter les informations relatives au paratexte afin de formuler des hypothèses de sens.
- Repérer la démarche d’analyse d’un fait historique
- Identifier la subjectivité de l’auteur.
- Etablir le plan du texte puis faire son compte rendu objectif.
I - Observation du texte :
Identifiez les éléments du paratexte.
- Le titre : « Tébessa: La bataille d'El-Djorf, 62 ans après »
- L’auteur : Ali Chabana
- La source : Le Quotidien d’Oran
- Ce texte comprend 04 §
II - Hypothèses de sens :
D’après ces éléments, sans oublier l’intitulé du projet et de la séquence, pouvez-vous dire de quoi
peut-il s’agir dans le texte ?
V - Lecture analytique :
1- Par quel type de phrase s’ouvre le texte ? A qui s’adresse le journaliste ?
Le texte s’ouvre par une phrase interrogative.
LE journaliste s’adresse aux lecteurs (tous les algériens)
2- Dans le 1er§, le journaliste cite plusieurs événements.
a) Relevez les sur un axe de temps
Aout 1955 Septembre 1955
+ + +
La bataille d'Oum K'Makme La bataille du Nord-Constantinois la bataille d’El Djorf
b) Par quel terme décrit- t-il la bataille d’El Djorf ?
c) Expliquez ce terme
Une épopée : Suite d'actions extraordinaires, merveilleuses, étonnantes ou héroïques
4- Sur quels témoignages s’appuie le journaliste pour relater les faits ? Dans quel but le fait-il ?
Il s’appuie sur le témoignage du moudjahid Ouardi Gattel afin d’apportent une preuve et plus de
vérité au texte.
5- Le témoin nous rapporte une scène de barbarie commise par l’armée française.
Laquelle ? Quel lexique emploie-il pour décrire cette scène ? Justifiez son emploie.
La scène : « L'un des prisonniers sera même exécuté et décapité et sa tête accrochée à un blindé en
trophée. Un geste barbare en représailles devant l'héroïsme des hommes de la liberté retranchés dans
l'oued ».
Pour décrire cette scène, le témoin exploite un lexique péjoratif afin de dénoncer cet acte.
10- A quel vocabulaire (péjoratif ou mélioratif) recourt le témoin dans le dernier § pour parler de
cette bataille ? Justifiez votre réponse en relevant les termes qui le montrent.
Le témoin a employé un lexique mélioratif : lutte -remémorer - valeur
11- « De nos jours, il faudra remémorer cette date, en lui rendant toute sa valeur historique,
auprès de nos jeunes »
Réécrivez cette phrase en utilisant un articulateur exprimant le but.
« De nos jours, il faudra remémorer cette date afin de lui rendant toute sa valeur historique, auprès
de nos jeunes »
VI - Synthèse :
2- Votre camarade a été absent. Vous voulez lui parler de la bataille d’El Djorf.
Rédigez le compte-rendu objectif de cet texte.
Tébessa: La bataille d'El-Djorf, 62 ans après
Qui se souvient encore de la bataille d'El Djorf parmi les générations actuelles ? « Une
épopée » à propos de laquelle Larbi Ben M'Hidi disait en s'adressant aux colonisateurs lors de son
procès : «On vous a inculqué une leçon à El Djorf ! ». Soixante-deux ans plus tard, le moment
historique reste vivace dans la mémoire de nombreux moudjahidine de la région Aurès-
Nememcha. La bataille d'Oum K'Makme, puis celle du Nord-Constantinois en août 1955, menée
par le stratège militaire, Youcef Zighoud. Vint donc, durant une semaine (22-29 septembre 1955),
l'épopée de quelque 400 djoundi de l'ALN, devant une armada française ameutée de toutes les
régions pour venir à bout de la résistance héroïque des combattants de la liberté. Conduite de
main de maitre par le chahid Bachir Chihani, secondé par ses lieutenants. Le moudjahid Ouardi
Gattel, encore en vie, décrit l'affrontement dans un témoignage accordé à la revue El Djeich en
1985.
La bataille se déroula dans Oued El Djorf, à une centaine de kilomètres au sud-ouest de
Tébessa, là où l'armée coloniale avait concentré des milliers de soldats, engins blindés et avions.
Des armements disproportionnés, sauf que les djounoud déterminés tinrent tête à l'ennemi et lui
administrèrent une leçon de bravoure qui fera le tour du monde. Même les officiers français
reconnurent la justesse de la stratégie adoptée par les chefs militaires de la révolution. Encerclés
par des unités appuyées par l'aviation, les moudjahidine préférèrent le harcèlement les forces
coloniales par de petits groupes de combattants. L'administration coloniale avait eu vent d'une
réunion regroupant plusieurs chefs de la révolution à El Djorf qui était en plus un entrepôt
d'armes. Le regroupement des chefs politiques et militaires avait comme objet de faire le point sur
la révolution. Le bombardement systématique de la citadelle naturelle d'El Djorf à l'aide de
l'artillerie lourde et des chars positionnés autour, permettront finalement aux forces coloniales de
prendre la position. L'un des prisonniers sera même exécuté et décapité et sa tête accrochée à un
blindé en trophée. Un geste barbare en représailles devant l'héroïsme des hommes de la liberté
retranchés dans l'oued. (…..)
Quel enseignement peut-on tirer de cette mémorable bataille ? Sûrement pas seulement une
date à commémorer, un tournant décisif, après moins d'un an du déclenchement de la révolution
de libération nationale du 1er novembre 1954. Ce qui avait prouvé à la nation colonisatrice que
les actes de bravoure n'étaient nullement des actions terroristes, comme le propageaient ses
services de renseignement, mais un engagement écrit en sang et en feu pour l'indépendance de
l'Algérie.
L'image de la lutte du peuple algérien prenait une autre dimension chez l'ennemi et l'ami. De
nos jours, il faudra remémorer cette date, en lui rendant toute sa valeur historique, auprès de nos
jeunes.
Ali Chabana, lequotidien-oran20/09/2017
Niveau : 3 A.S Prof………………….
Objectifs :
- Repérer la démarche d’analyse d’un fait historique
- Identifier la manifestation implicite du narrateur
I - Lecture analytique :
8- Comment ont servi ces deux événements la révolution algérienne sur le niveau extérieur ?
L’impact des deux événements a servi l’internationalisation de la question algérienne
II - Synthèse :
- Un narrateur peut s’impliquer dans la narration d’un fait historique, non pas au moyen de
pronom personnel le désignant mais en utilisant des modalités appréciatives. Dans ce cas,
le narrateur et l’auteur ne forment qu’une seule personne.
- Tout en racontant un fait historique, l’auteur et le narrateur adopte l’attitude d’un analyste :
il analyse l’évènement historique, commentant les évènements, en présente les causes et les
conséquences.
Commémoration du 20 août 1955-1956 : les deux sursauts salvateurs
Les Algériens célèbrent aujourd’hui le double anniversaire du 20 août (1955-1956).
Au-delà de leur symbolique, ces deux dates qui avaient marqué l’histoire du mouvement
national, étaient d’un apport déterminant. En effet, l’offensive du nord constantinois et le
congrès de la Soummam sont indéniablement les deux ingrédients de la victoire du peuple
contre le colonialisme français.
1ere Séance :
I) La préparation à l’écrit
Objectifs :
- S’entrainer à la rédaction d’un texte démonstratif.
- Compléter des syllogismes en reliant deux propositions à une conclusion.
Date Evénement
er
1 novembre 1954 Déclenchement de l'insurrection armée par le F.L.N.
20 Aout 1955 L'offensive du nord constantinois
20 août 1956 Congrès de la Soummam
7 janvier 1957 Début de la « bataille d'Alger »
19 septembre 1958 Formation du Gouvernement provisoire de la République algérienne
17 octobre 1961 Manifestation sévèrement réprimée à Paris
18 mars 1962 Signature des accords d'Évian donnant l'indépendance à l'Algérie
5 juillet 1962 La déclaration de l'indépendance de l'Algérie.
Vous etes journaliste dans le journal El Watan. Dans le cadre de la commémoration du 1er
Novembre 1954 ; votre directeur vous a demandé de rédiger un article sur cet événement.
Rédigez un texte pour présenter les conditions sociales et économiques des Algériens à la
veille du déclenchement de la glorieuse révolution du 1er novembre 1954.
Critères Indicateurs
Volume de la
- Une quinzaine de lignes au maximum.
production
Pertinence des - raconter des faits d'histoire en respectant l'ordre chronologique
idées - Subjectivité du discours (présence implicite de l’énonciateur).
- Structure des phrases (enchainements logiques : la cause, la
Cohérence
conséquence).
- Employer le lexique approprié
Correction de la
- Utiliser les modalisateurs
langue
- Ponctuer la production
Mise en page / - Lisibilité.
Perfectionnement - Soin.
2eme Séance :
3eme Séance :
Objectif :
- Améliorer le contenu d’une production écrite
Déroulement de la séance :
1- Rappel du sujet
3- Amélioration collective d’une copie d’un apprenant ou d’un texte fabriqué par le prof
Niveau : 3 A.S Prof………………….
Histoire du Kassaman :
5- Relevez dans un tableau les éléments du texte qui vous renvoient à la réalité (tems – lieux-
noms de personnes ...)
Temps Lieux Personnages historiques
Mois de juin 1830 - Les plages de Sidi Fredj - L'armée française
- Alger - L'administration turque
Le 14 juin 1830 et la chute - Le Dey Hussein
d'Alger le 5 juillet de la Staoueli - Son gendre Ali
même année - Des Français
- La Turquie via Naples Janissaires
6- Quel est le point de vue de l'auteur affiché dans ce texte ?
Il (Le Dey) ne se décida à contre attaquer que bien plus tard accordant à l'ennemi tout le temps qui
lui était nécessaire pour se regrouper et s’organiser.
Texte :
Débarquant sur les plages de Sidi Fredj dans la première semaine du mois de Juin 1830,
l'armée française ne rencontra aucune opposition de la part de l'administration Turque qui
n'avait qu'un souci: oppresser et pressurer Alger et ses environs immédiats. Le Dey Hussein
aurait du alors de la refouler à la mer car il disposait d'un corps de cavalerie placé sous le
commandement de son gendre Ali et d'une troupe d'élite composée de janissaires bien entraînés
et aguerris. Il ne se décida à contre attaquer que bien plus tard accordant à l'ennemi tout le
temps qui lui était nécessaire pour se regrouper et s'organiser.
Que pouvait-on espérer et attendre d'un occupant qui gouvernait au détriment d'un peuple
spolié, soumis et tenu à l'écart des affaires de l'état ?
Qu'il cédât la place à l'envahisseur plus fort qui s'annonçait et frappait à sa porte. C'est
d'ailleurs ce qu'il fera sans réticence après la honteuse défaite de Staoueli le 14 juin 1830 et la
chute d'Alger le 5 juillet de la même année. Chassé de la capitale après son (baroude
d'honneur), le Dey emportant un trésor inestimable et accompagné d'une suite nombreuse,
s'embarqua pour la Turquie via Naples. Sans le moindre remord, il abandonna l'Algérie aux
mains des Français qui entreprirent aussitôt d'enfoncer leurs griffes. Que perdait-il ? A peu pré
rien puisque le pays n'était pas le sien, c'est-à-dire la terre de ses pères.