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Revue Philosophique de la France et de l'Étranger
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Sur la signification du « Parménide »
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98 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 99
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100 REVUE PHILOSOPHIQUE
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MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE • 101
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102 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 103
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104 REVUE PHILOSOPHIQUE
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ã. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 105
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106 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE
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108 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE 109
l'Un est, et Ton examine ce qui en résulte tant pour l'Un lui-même
que pour les « autres choses », les sujets autres que lui. Mais, en raison
de l'amphibolie du concept de l'Un, qui peut s'entendre tantôt en
un sens absolu, tantôt en un sens (disons provisoirement) relatif,
l'hypothèse positive se subdivise ainsi :
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110 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE * 111
le nier absolument, il s'ensuit que ni lui ni les choses autres que lui,
sous quelque relation qu'on les considère, ne peuvent recevoir pour
attribut aucun des termes de la contradictoire ; cette hypothèse est
donc à rejeter, au même titre que toutes les autres, étant par ses
conséquences incompatible avec le principe du tiers exclu, comme
d'autres le sont de la même manière avec le principe de non-contra-
diction. La conclusion de cette hypothèse est ainsi un élément de
la conclusion finale ; mais c'est à condition de l'entendre d'une
façon toute formelle, celle qui apparaît dans le tableau synoptique
ci-dessus, qui montre la correspondance symétrique de toutes les
hypothèses. Mais si je renonce à toute énonciation de l'Un, ce
qu'exige au fond (Parménide le note au terme de la septième hypo-
thèse, 164 b) la négation absolue de l'Un, l'hypothèse ainsi entendue
en son sens profond n'aboutit plus à des conséquences qui heurtent
le tiers exclu ; je ne suis pas conduit à dire que l'Un n'est ni A ni
non-A ; je m'abstiens seulement de rien dire de lui, ni non plus
(comme il suit de la neuvième hypothèse) des choses autres que lui.
Le discours qui l'énonce n'est pas ruiné, comme il parait l'être dans
les autres cas, par les conséquences contradictoires de l'hypothèse ;
mais c'est tout discours qui se trouve radicalement interdit. L'hypo-
thèse de la négation absolue, ainsi prise en son plein sens, rompt sa
symétrie avec les autres hypothèses, et au lieu de concourir à la
formule de la conclusion finale, elle contribue à en rectifier l'inter-
prétation. La conclusion du Parménide n'est pas qu'il faut renoncer
à toute énonciation de l'Un ; ou alors (tel est l'enseignement précis
de la septième et de la neuvième hypothèse) il faut en même temps
renoncer à tout discours ; mais supposé qu'on veuille sauver la
possibilité du discours, il faudra parmi les diverses formes d'énon-
ciation de l'Un, entre toutes les hypothèses que passe en revue la
discussion dialectique, en découvrir à la réflexion quelqu'une qui
ne soit pas ruinée par ses propres conséquences.
On conçoit maintenant les raisons du choix de l'Un comme
thème de la discussion dialectique. Les antinomies de Zenon sur le
Multiple n'apportaient à la thèse idéaliste qu'un appui initial, un
secours indirect ; elles mettaient en évidence la non-substantialité
du Sensible, la nécessité de définir l'Être véritable par les conditions
de l'intelligibilité. C'est ce qu'avait fait Parménide en déclarant
l'Être un, éternel, immobile. Nul objet en effet ne saurait entrer dans
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112 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 113
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114 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE • 115
buts opposés dont nous avons vu, lors des négations résultant de ta
première hypothèse, se constituer progressivement la série. Du fait
qu'il est tout, aussi bien que parties, l'Un-Être, tout illimité qu'il
est en pluralité, aura limites et figure, droite ou circulaire, sera
contenu en soi autant qu'en autre chose, sera en mouvement aussi
bien qu'en repos, identique et différent, semblable et dissemblable,
contigu et non coiitigu, égal et inégal tant à soi-même qu'aux
aulres choses ; à l'égard du temps, plus vieux et plus jeune que soi-
im-ine il devient et il est, et tout autant il n'est ni ne devient ; vis-à-vis
«ifs outres choses, plus vieux et plus jeune il est et il n'est pas, il ne
devient pas et il devient.
De toiles contradictions, isf-u-'S de la position relative de l'Un,
ont un tout autre caractère que les conséquences déduites de sa
position ou de sa négation absolues. Ces conséquences consistaient
dans la négation simultanée. Là l'antinomie pouvait se résoudre par
la suppression de l'hypothèse : je puis m'abstenir de nier l'Un
absolument, comme d'exiger sa position absolue ; je n'ai qu'à
renoncer dans le premier cas à toute énonciation, m'interdisant par
là tout accès à la représentation et à l'être, à reconnaître dans le
second que l'exigence d'unification n'est qu'une condition trans-
rendentale de la représentation et de l'être. Il y a une symétrie parfaite
entre les conclusions gnoséologiques de la première et de la septième
hypothèse : l'Un, si c'est absolument qu'on le nie ou qu'on l'affirme,
n'est nullement objet de représentation, ni même de dénomination
(142 a, 164 ab) ; au contraire, de la position relative de l'Un-Être,
il s'ensuit (c'est la conclusion gnoséologique de la deuxième hypo-
thèse) que cet Un, qui développe son infinie pluralité dans l'espace
et dans le temps, est nécessairement objet de représentation ; il y a
de lui science, opinion, sensation, dénomination et détermination
de toute sorte (155 d). Plus moyen donc d'échapper à la contra-
diction positive issue de cette hypothèse en se réfugiant hors de la
représentation. Tandis que, tout à l'heure, les conclusions gnoséo-
logiques de l'hypothèse nous rejetaient hors de la représentation et
abolissaient l'hypothèse, éliminant ainsi le scandale de ses consé-
quences qui heurtaient le tiers exclu, cette fois la conclusion gnoséo-
logique nous impose le maintien de l'hypothèse, dont les consé-
quences contradictoires équivalent dès lors à une dislocation interne
de la représentation. Entre toutes les antinomies que nous révèlent les
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116 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉDINE » 117
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118 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU t PARMÉDINE • II*
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120 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 121
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in REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » 1*3
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124 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU • PARMÉNIDE > 125
■aurait pas moyen, puisqu'il n'y a point d'Un. Mais chez elles, à ce
qu'il a l'air, la singularité d'une masse est infinie pluralité ; et en
prît-on ce qui semble être le moindre morceau, tel un songe dans le
sommeil, c'est plusieurs qu'il apparaît instantanément au lieu de un
qu'il semblait être, et, au lieu du moindre possible, immense il
apparaît par rapport à l'émiettement issu de lui... C'est à l'échelle de
telles masses, donc, que les autres choses, les unes à l'égard des
autres, sont autres, si, en l'absence supposée d'Un, elles sont autres »
(164 cd).
Ainsi, dans une physique purement mécaniste, qui rejette
l'unité organique de l'Univers, il n'est de déterminations que provi-
soires et finalement d'uniformités que statistiques ; il en est d'une
telle représentation soi-disant scientifique comme de ces peintures
en trompe l'œil (olov ecrxtaypa^fiiva 165 c) dont parle si souvent
Platon : de près, c'est un fourmillement confus d'ombres et de
couleurs, qui de loin procure l'illusion du relief et de la réalité. C'est
que Platon connaît une autre méthode pour la constitution définitive
de la science : c'est, au delà de l'analyse matérielle, incapable d'at-
teindre son terme et de fournir un point d'appui stable à la déduction
mathématique, la méthode dialectique de division par genres, qui
définit, par un calcul finaliste, la nature et le nombre des essences
nécessaires à la réalisation de l'Un-Tout, à l'organisation de l'Uni-
vers ; suivant en quelque sorte les articulations de la nature, elle
découvre une hiérarchie d'essences, saisit à chaque degré des unités
réelles, et ne s'arrête que devant des espèces indivisibles, laissant
seulement dans l'indétermination le nombre des individus de chaque
espèce (Phèdre 265 de, (277 b ; Philèbe, 16 de). C'est ainsi que la
physique mathématique trouve enfin une base dans des essences
réelles, qu'elle se délivre du nominalisme des systèmes hypothético-
déductifs, qu'elle peut prétendre à une vérité catégorique. On voit
en quel sens on peut dire que la science doit se compléter par une
ontologie ; ce n'est pas. qu'elle exige pour objet une substance, bien
au contraire ; mais la vérification absolue que ne peut lui fournir
l'expérience sensible, le fondement de réalité qu'elle ne peut atteindre
dans l'imagination mathématique, elle doit le réclamer à la synthèse
dialectique ; faute de quoi, plus ses analyses gagneront en profondeur
et plus ses constructions seront complexes, plus il y aura concurrence
entre des systèmes de reconstruction divers, également compatibles
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126 REVUE PHILOSOPHIQUE
avec les apparences, et que plus rien dès lors ne saurait départager ;
les théories scientifiques ne pourront ainsi dépasser la vraisemblance ;
elles ne seront jamais que science du comme si.
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU t PARMÉNIDE • 127
percer à jour, s'engager dans une réflexion critique sur les conditions
de la représentation. C'est à quoi correspond la discussion dialec-
tique du Parménide ; elle ne perd pas de vue le problème soulevé
dans la première partie ; en dépit de ses conclusions négatives, elle
n'a pas seulement une intention polémique ; elle a une portée cons-
tructive ; elle jette les bases d'une solution, parce qu'elle a procédé à
un élargissement et à un approfondissement du problème.
Ces travaux de fondations, le Sophiste en saura faire son profit.
Quelques-uns des passages Ic6 plus profonds de ce dialogue ne
tirent leur sens que des discussions du Parménide, qu'ils condensent
et dont ils mettent en valour les résultats ; ils nous apportent ainsi
la confirmation de notre interprétation, en môme temps qu'ils en
justifient l'inspiration générale. Ce n'est point en effet un parricide
(241 d) que l'entreprise de l'Étranger éléate ; c'est l'œuvre d'un
disciple dont la fidélité s'atteste mieux dans son effort à promouvoir
l'idéalisme éléate que s'il l'immobilisait dans le raidissement de
l'Être ; et c'est ainsi que Platon lui-même, dès le Parménide, loin
d'exercer, croyons-nous, sa verve satirique, entend manifester sa
filiation à l'égard de l'éléatisme. Nul doute, pour commencer, que
la negation même du non-être, qui traduit l'inertie de l'Être parmé-
nidien dans toute sa rigueur, exclusive de l'erreur et même du
discours, ne procède néanmoins, au regard de Platon, d'un point
de vue idéaliste ; il n'est pour s'en convaincre qu'à examiner sur
quels arguments (237 6-239 a) il fait reposer cette négation ; c'est
par une application rigide du principe d'identité, qui est la loi de la
pensée, qu'il fait voir que le non-être ne peut dans aucun jugement
tenir lieu d'attribut ni sujet : il n'est aucun sujet dont on puisse
dire « il n'est pas », sans lui donner par là au moins l'être d'un objet
de pensée, comme à l'Un de la sixième hypothèse ; pris à son tour
comme sujet, le non-être ne saurait recevoir aucun attribut ; de lui
on ne peut sans contradiction absolument rien dire, ni qu'il est (ce
qu'interdisait Parménide), ni même qu'il n'est pas ; rien que pour
le nier, il faudrait en faire un objet de pensée, un être. C'est là
l'argumentation même de l'idéalisme moderne contre la chose en soi.
Mais c'est surtout dans les pages ultérieures du dialogue, quand il
examine sous son aspect positif la thèse de ceux qui affirment l'unité
du Tout (tcjv ev to 7cãv XeyóvTcov 244 ò), que l'Étranger éléate se
montre tributaire des discussions du Parménide. L'examen critique
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128 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE • 129
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130 REVUE PHILOSOPHIQUE
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J. MOREAU. - LA SIGNIFICATION DU « PARMÉNIDE » Î3Î
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