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Méta-analyse qualitative :
• a pour but de :
Métasynthèse qualitative :
• Se définit comme :
• 3 types, 3objectifs :
• A pour limite :
Démarche de la métaétude :
4) L’objectivité ou la fiabilité
Patton souligne ainsi que les recherches qualitatives permettent une étude
approfondie de la problématique sans pour autant miser sur un nombre
important de sujets. La recherche qualitative manquerait donc de breadth, c’est-
à-dire d’une vue plus générale. Becker, employant les termes de façon
légèrement différente, soutient que la recherche qualitative permet une étude en
largeur car elle s’étend aux épiphénomènes entourant la problématique sans se
restreindre à des catégories préétablies comme dans l’usage quantitatif de
questionnaires ou d’instruments. Cependant, elle manquerait alors de profondeur
(depth).
Discussion et conclusion
2ème idée : il ressort donc que le critère le plus important pour un chercheur est la
rigueur, qui doit permettre de montrer la crédibilité de la méthodologie, de
l’analyse des données, de la présentation des résultats….
3ème idée : la subjectivité du chercheur doit être prise en considération, les
résultats de l’étude, ses limites, ses angles morts sont tributaires des motivations,
des désirs, et des intentions les plus intimes du chercheur.
SEAL , GUBA et LINKON affirment que les critères qui répondent aux critères
positiviste sont les mieux adapté à la recherche en sciences humaine et social
alors que SHWANDT voie qu’on nous allons pas arriver à le faire puisque les
disciplines s’en réclamant continuent à chercher à adapter et reformuler ce genre
de critère en prenant en considération le chercheur comme imparfait et limité ,
ce qui a mené les chercheurs à analyser quatre autres critères alternatifs de
validité à la lumière du développement dans la recherche qualitative
(transférabilité, fiabilité, confirmabilité, crédibilité).
Fiabilité :
La fiabilité est le degré auquel une méthode fournit des résultats qui sont les
mêmes ou encore ont le potentiel d’être les mêmes sous des mêmes conditions.
Mais en réalité le chercheur joue un rôle central pour faire fonctionner ladite
méthode et la recherche en elle-même. La recherche est rendue possible par
l’expertise du chercheur et ses compréhensions, ses sensibilités, ses façons de
faire, d’interpréter, de s’adapter, etc.
La confirmabilité :
Mais les résultats ne sont pas plus transparents, au contraire, ils sont fortement
biaisés par des descriptions denses (Une lecture différente du contexte, une
description dense différente, voire aménagée différemment, offre une
signification différente.), qui leur donne une force de signification. Les
recherches qualitatives sont intimement liées aux valeurs des chercheurs qui les
conduisent : elles orientent les décisions (sur l’objet d’étude, la méthodologie,
etc.) en les rendant intelligibles et justifiées, elles guident les choix de théories et
d’ancrages épistémologiques, dont la façon d’analyser les données.
Sur la crédibilité :
Un engagement sur le long terme sur le site de recherche pour éviter le biais, une
observation persistante qui permettrait de dégager les caractéristiques les plus
importantes des données, la triangulation des données, des comptes rendus entre
pairs pour garder l’honnêteté du chercheur, la conservation de matériel de
référence supplémentaire et non analysé, ainsi que des retours aux participants
d’une manière constante pour vérifier l’adéquation des interprétations.
Tout ceci montre qu’en recherches qualitatives, le vrai enjeu est de tirer profit
de la ‘contamination’ du chercheur dans le but d’enrichir la recherche et lui
donner un sens, au lieu d’éviter la possibilité de cette contamination, ni de
l’accepter inévitablement.
La générativité est notamment basé sur les résultats générés par les chercheurs et
leurs perceptions sur le sujet proposé sans prendre en considération les critères
traditionnels d’une étude qualitative (la transférabilité, la reproductibilité, la
crédibilité et la confirmabilité) tous ces critères peuvent juger si les études sont
riches ou pauvres.
La générativité n’est pas une méthode universelle car elle varie d’un chercheur à
l’autre, ce qui rend cette dernière la plus dynamique de toutes les autres
méthodes de recherche qualitatif.