Histoire de la pensé économique (H.P.E).

La pensée Islamique :
L'école islamique : est un ensemble de principales organisant les rapports matériels du
musulman avec la nature et avec l'homme. La prohibition de l'intérêt (qui concerne le mode
de production), l'obligation de la Zakat et autres impôts coraniques concerne les modes de
répartition sont le caractéristiques principales. .
Le courant Mercantiliste :
 La pensée économique n'a pas d'autonomie. Lorsque les interrogations sur
l'enrichissement de la nation se font plus pressantes. Il faut accroitre le stock de métaux
précieux grâce aux mines des colonies.
 L'objectif principal du mercantilisme est de procurer à l'Etat le maximum d'or et
d'argent source. La richesse des Etats provenait de l'accumulation des métaux précieux.
L'augmentation de la masse monétaire en circulation entraîne l'inflation.
La physiocrate :
La physiocratie (17émé siècle en France): l'idée d'un enrichissement matériel.

 L'agriculture est en mesure de produire un produit net; c-à-d un surplus, par rapport
aux moyens de production utilisés: c'est l'activité productrice.
 L’activité productive et l'activité stérile (‫) عقيمة‬
 L'activité productrice est dons mesure de produire un produit net, c'est-à-dire un
surplus par apport aux moyens de production utilisés. C'est une avancée considérable
par rapport au mercantilisme.
 L'activité industriel est stérile, elle transforme les richesses mais n'ont les crées pas.
Les classiques 18 -ème siècle :
- I. Le fondement du libéralisme : l'ordre naturel.
 1-le libéralisme source de l'enrichissement
A-la main invisible d'Adam Smith :
 Adam Smith estime que l'Etat doit être un Etat minimale qui n'entrave pas la liberté
d'entreprendre, c'est-à-dire qu'une force extérieure au marché insiste chaque agent
économique, cherchant à satisfaire son intérêt particulier.
B - le libre échange :

B.1-Adam Smith (loi des avantages absolus) :

 Chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production dont il a un avantage Absolut, un
avantage supérieur ou autre pays.
B.2-David Ricardo (la loi des avantages comparatifs) :
 Selon cette loi, la spécialisation et l'échange international ont un intérêt contrairement à l'idée
développée par les mercantilistes (protectionnisme)
 Même si le pays est eu avantage absolu dans la production de deux biens, elle aura intérêt à
se spécialiser dans la production d'un seule bien et elle échanger contre l'autre bien.
2-l'autorégulation qui exclue l'action de l'Etat
A-la loi des débauchés :
 D'après J.-B. Say (1767-1832), l'offre crée sa propre demande »
 un accroissement de la production crée des richesses donne lieu à une distribution
supplémentaire de revenus. Cela augmente le niveau de la demande et ouvre donc des
débouchés au surcroît de l'offre.
 B-la loi de la population (T.R. Malthus) :

 La population suit une progression géométrique, tandis que la production suit une
progression arithmétique. ce qui va engendre un appauvrissement de la population, Le
recours à la sélection sociale doit être facilité par l'interdiction de toute charité en faveur
des pauvres, afin de ne pas les encourager dans leur comportement nataliste.
II. Les déséquilibres sont envisageables :
1-la théorie de la rente foncière de Ricardo :
A-les rendements décroissants

La rente = (la quantité produite / la terre donnée) - celle obtenue en

cultivant la terre la moins fertile.
A-Rendements décroissants : Pour faire face à l'augmentation de la
demande, il faut cultiver de nouvelles terres de moins en moins fertiles.
B-Le rendement diminue, la rente foncière versée aux propriétaires
augmente ou au détriment du profit diminue.
-l'ordre naturel est relativisé par certains classiques.
A-J.S. Mill :
J.S. Mill développé un courant réformiste : l'existence de la main invisible est contestable, si
l'intérêt de plus fort peut prévaloir et les inégalités existe.( la nécessité de l'intervention de l'Etat.)
B-T.R. Malthus :
La demande intérieure peut être endossant de ce qu'il est nécessaire pour éviter la crise de
surproduction, remit en cause la loi de débouchés.
3-la notion du profit :
David Ricardo : répartie la valeur en deux parties :
-le coût de la marchandise représenté par la rente et les salaires.
-le bénéfice capitaliste exprimé par le profit (π).
>> Selon Ricardo il faut baisser la rente foncière et stabiliser les salaires.

C- Les rentes foncières

La rente, considérée comme le prix payé pour l'usage de la terre, est un prélèvement sur le
produit du travail. Lors de la stipulation des clauses du bail, le propriétaire fait tout ce qu'il
peut pour ne laisser au fermier.
Les rentes foncières
La rente est la différence entre :
le prix du produit agricole ;
et la somme des charges occasionnées par ce produit et du profit ordinaire pour les
capitaux engagés.
D- Evolution des revenus et divergence des intérêts
1- L’évolution des revenus :
a- Les rentes :
Cette augmentation se produit de deux façons :
 Directement : à travers l’extension des améliorations des terres et
l’augmentation de la production agricole que suscite la demande supplémentaire
des produits élémentaires à la suite de la croissance démographique.
 indirectement : par le biais de l’évolution favorable des prix relatifs (produits
agricoles et produits manufacturés).
 Les néoclassiques :19ème siècle
I.la régulation par le marché :
1-raisonnement à la marge :
Les raisons de ce raisonnement se trouve dans la théorie de la rente foncière de D.
Ricardo, ce qui explique l'existence des rendements décroissantes, le mot économicus
raisant sur des quantités additionnelles.
2-le fondement du calcul économique :
La valeur est fondée sur l'utilité subjective d'une unité additionnelle de la marchandise,
Le consommateur rationnel consomme jusqu'à ce que son utilité marginale soit égale au
prix.
1-L'équilibre générale Walrasien :
A-sur l'ensemble de marchés :

L'analyse néoclassique est une analyse macro-économique sur chaqu'un des trois
principaux marchés (marché de bien et service, marché de travail et marché des capitaux).
Le prix se fixe à un niveau d'équilibre, si une modification se produit sur l'un des marchés,
elle se répercute sur les autres.
B-la fixation des prix par tâtonnements :
 Ajustements successifs permettent de fixer un prix d'équilibre, satisfaisant les offreurs
et les demandeurs. La monnaie ne peut être préférée pour elle-même, à la différence de
ce qu'affirme l'analyse keynésienne.
 La monnaie être préférable dans la société de l'analyse keynésienne est un peu plus
important que le prix d'équilibre entre les offreurs et les demandeurs de la production.
2-... REND IMPOSSIBLE L'APPARITION D'UNE CRISE GÉNÉRALISÉE ET
DURABLE
A- Les mécanismes autorégulateurs assurent l'équilibre permanent
*La reprise de la loi des débouchés : Mécanismes autorégulateurs assurent
l'équilibre permanent de la flexibilité des prix. La demande est une variable
déterminée par l'offre, Si la demande se réduit sur le marché des biens et des
services, un chômage durable est impossible.

Le Marxisme :
Karl Marx (1818-1883) contemporain de l'école classique, il critique le système capitaliste
en générale, Marx pense que le travail consacré à la fabrication des instruments de la
production, rente de la valeur de produits finis.
I. Une théorie de l'exploitation :
1-une théorie fondée sur la valeur de travail :
A-la force de travail est une marchandise Particulière :
La valeur d'échange de la force de travail : est définie comme celle de toute autre
marchandise. Le capitalisme souhaite accroître le taux de plus-value. Il maintient les
salaires au niveau le plus bas.
B-la notion de profit (π) :
Capitaliste extorque une plus-value, c'est la différence entre la valeur de la richesse crée
par le travailleur et celle de sa force de travail Plus variable).
-La disparition du capitalisme est inéluctable :
 A-la baisse tendanciel du taux de profit :
L'État est un État bourgeois, qui participe à la lutte contre la baisse tendancielle du taux
de profit. Elle peut soutenir une partie de l'accumulation par des nationalisations, par
des subventions, sans en tirer profit, et en utilisant des impôts.
Keynes :
À partir d’ une analyse keynésienne, Keynes a montré que l'agrégation des
comportements microéconomiques ne détermine pas l' équilibre de plein - emploi.
Keynes invalide le raisonnement de J. B. Say (1767-1832) adopté par les
néoclassiques. L'existence d'une trappe à liquidité s'explique par le fait que la
monnaie n'est pas neutre (elle n'est pas un voile) et peut être préférée pour elle-
même. Selon Keynes, l'épargne n'affecte pas la demande et la
consommation. Selon lui, cela est dû à une préférence pour la liquidité.
Les néolibéraux :
Les néolibéraux considèrent que la mise en place de politiques keynésiennes, loin de
corriger les déséquilibres, les accroît au contraire.
Les deux principaux courants sont : la théorie de l'offre et le monétarisme. Toute
politique visant à accroître la demande au détriment de l'offre est donc récessive.
La pensé Hétérodoxe
La pensé Hétérodoxe de J.A.Schumpeter est une théorie explicative globale, celle des
grandes courants économiques comme ce des néoclassiques et Keynésiennes. L'innovation
constitue selon Schumpeter l'impulsion fondamentale qui met et maintient au mouvement
la machine capitaliste.

Les classiques 18 -ème siècle

Adam Smith estime que l'Etat doit être un Etat minimal qui n'entrave pas la liberté
d'entreprendre. D'après J.-B. Say (1767-1832), l'offre crée sa propre demande.
Ricardo divise la valeur en deux parties : le coût de la marchandise représenté par
la rente foncière et les salaires et le profit exprimé par le profit.

Les néoclassiques : 19ème siècle

L'analyse néoclassique est une analyse macro-économique sur chaqu'un des trois
principaux marchés (marché de bien et service, marché de travail et marché des
capitaux). Le prix se fixe à un niveau d'équilibre, entre les offreurs et les
demandeurs de la production.
si une modification intervient sur l'un des marchés, elle affecte les autres. L'argent
ne peut pas être préféré pour lui-même, contrairement à ce qu'affirme l'analyse
keynésienne.

Le Marxisme :
Karl Marx (1818-1883) a critiqué l'ensemble du système capitaliste. L'objectif du
capitalisme est d'augmenter le taux de valeur ajoutée. Il maintient la rémunération au
niveau le plus bas possible. Il est inévitable que le capitalisme.