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(EX. ITEEM)
Thème
Le développement de toute entreprise quel que soit son objectif dépend essentiellement du
degré de l’efficacité de sa maintenance, les bonnes décisions et la bonne gestion de cette
dernière permet d’augmenter la fiabilité et la disponibilité des équipements.
Notre travail consiste à faire l’étude technologique et maintenance d’une remplisseuse des
gélules ZANASI 40-E choisie au sein de l’entreprise SAIDAL dont l’objectif est d’augmenter
la sûreté et la disponibilité de la machine.
Nous avons étudié la machine de tous les cotes (électrique, mécanique, pneumatique et
automatisme) et étudié leurs schémas de fonctionnement, pour détermination les point
essentiels qui nous permettent d’effectuer une intervention rapide et efficace. Et nous avons
analysé les plans de maintenance pour augmenter la fiabilité de la machine.
Abstract
The development of any company, whatever its objective, depends essentially on the degree
of efficiency of its maintenance, the good decisions and the good management of the latter
make it possible to increase the reliability and the availability of the equipment.
Our work consists of a technological and maintenance study of a ZANASI 40-E capsule
filling machine chosen within the company SAIDAL, the objective of which is to increase the
safety and availability of the machine.
We have studied the machine from all points of view (electrical, mechanical, pneumatic and
automatic) and studied its operating diagrams, in order to determine the essential points that
allow us to carry out a rapid and efficient intervention. And we analyzed the maintenance
plans to increase the reliability of the machine.
II
Remerciements
Au nom de dieu, le bienfaiteur miséricordieux qui nous a
donné le courage, la foi et nous a facilité le chemin pour atteindre
notre objectif, nous tenons à exprimer notre gratitude.
Nous tenons aussi à exprimer nos remerciements à :
Mr. HAMMADI S et Mr. AKKOUCHE N nos encadreurs,
qui nous ont prêté une attention particulière et qui a aucun
moment n’ont ménage leurs efforts et leur savoir pour nous apporter
leur aide la plus précieuse.
Tous les membres du jury, pour l’honneur qu’ils nous font en
acceptant d’examiner ce mémoire.
Tous les enseignants qui ont assuré notre formation et qui ont
toujours été sources d’idées.
Le personnel du Groupe SAIDAL pour leur hospitalité, leur
ouverture d’esprit et le support indéfectible qu’il nous en montré.
III
Dédicaces
Je dédie ce modeste travail :
A l’âme de ma chère mère et celle de mon père pour les sacrifices dont
ils ont fait preuve et mon égard.
A mes chers frères et mes sœurs,
Atouts les membres de ma famille qui m’ont aidé durant toutes mes
études.
A mes amis que j’ai connus que j’ai considéré comme mes frères, ceux
qui m’ont soutenu aidé et encouragé à achever ces années d’études je
leur dédie ce travail particulièrement Yazid, Bilal, Makhlouf et surtout
mon binôme Ishak.
- Louibi mostapha
- Lounas Ishak
IV
Table des matières
V
Table des matières
II.9. Hygiène et sécurité de la machine..............................................................................24
Chapitre III : Etude technologique
III.1. Partie électrique..........................................................................................................25
III.1.1. Circuit de puissance......................................................................................25
III.1.2. Circuit de commande....................................................................................26
III.1.3. Relais de sécurité...........................................................................................29
III.1.4. Variateur de vitesse.......................................................................................30
III.2. Partie mécanique........................................................................................................33
III.2.1. Fonctionnement de la chaîne cinématique....................................................33
III.2.2. Schéma de la chaîne cinématique..................................................................34
III.2.2. Nomenclature de la chaîne cinématique........................................................35
III.3. Partie pneumatique.....................................................................................................36
III.3.1. Fonctionnement du circuit pneumatique.......................................................36
III.3.2. Schéma du circuit pneumatique....................................................................37
III.3.3. Nomenclateur de circuit pneumatique...........................................................38
III.4. Partie automatisme.....................................................................................................39
III.4.1. Structure de la partie automatisme................................................................40
III.4.2. Grafcet...........................................................................................................41
III.4.3. Automates Programmables Industriels..........................................................42
Chapitre IV : Partie Maintenance
I.1 Généralité sur la maintenance....................................................................................44
IV.1.1. Définition de la maintenance........................................................................44
IV.1.2. Objectifs de la maintenance..........................................................................44
IV.1.3. Rôle de la maintenance.................................................................................45
IV.1.4. Types de maintenance...................................................................................45
IV.1.5. But de la maintenance...................................................................................47
IV.1.6. Les opérations de maintenance.....................................................................48
IV.1.6.1. Les opérations de maintenance corrective...................................48
IV.1.6.1. Les opérations de maintenance préventive..................................48
IV.1.7. Les niveaux de la maintenance.....................................................................49
I.2 Les déroulements des interventions à l’entreprise SAIDAL.....................................51
IV.2.1. Les interventions de maintenance corrective................................................51
IV.2.2. Les interventions de maintenance préventive...............................................51
IV.2.3. Le programme de la maintenance appliqué à l’équipement.........................51
VI
Table des matières
I.3 Planning de maintenance préventif............................................................................52
I.4 Dossier historique......................................................................................................53
I.5 Planning de lubrification............................................................................................54
I.6 Diagnostique des défauts...........................................................................................55
Chapitre V : Problématique
V.1. Présentation de la problématique...............................................................................56
V.2. Définition de limiteur de couple.................................................................................56
V.3. Principe de fonctionnement........................................................................................56
V.4. Les types des limiteurs de couple...............................................................................57
V.5. Choix d’un limiteur de couple....................................................................................58
V.6. Limiteur de couple à friction......................................................................................59
V.6.1. Mode de fonctionnement................................................................................59
V.6.2. Réglage du couple limite................................................................................59
V.6.3. Position du limiteur de couple........................................................................60
V.6.4. Détection d’un dépassement du couple limite................................................60
Conclusion
Références bibliographie
Annexe
VI
I
Liste des figures
VII
I
Liste des tableaux
I
X
Introduction Générale
Introduction Générale
Le développement de toute entreprise quel que soit son objectif dépend essentiellement
du degré de l’efficacité de sa maintenance, les bonnes décisions et la bonne gestion de cette
dernière permet d’augmenter la fiabilité et la disponibilité des équipements.
Le maintien des équipements de production est un enjeu clé pour la productivité des
usines aussi bien que pour la qualité des produits. En effet, l’évolution technologique, l’esprit
innovateur des entreprises et leur souci continuel de réduire la fréquence des pannes de leurs
équipements, font de la maintenance un outil indispensable à la bonne marche d’une
entreprise.
De plus, Tous les équipements d'une installation industrielle sont soumis à des
mécanismes de dégradation pouvant causer l'apparition des modes de défaillance des
matériels, entraînant ainsi leur panne et d'éventuels effets sur le fonctionnement de
l'installation.
Pour cela les entreprises doivent choisir avec précaution une politique de maintenance
convenable et optimale pour le suivi de leurs équipements, ceux-ci se sont efforcés
d’améliorer à la fin la rentabilité du matériel, autrement dit : le matériel reste plus longtemps,
en sécurité et plus sûrement en service.
Pour que la fonction de maintenance soit optimale au sein des entreprises, il faut une
bonne compréhension du fonctionnement des machines. Et pour cela, il faudra mettre en
œuvre l’étude technologique des machines.
-
1
Introduction Générale
-
2
Chapitre I
Présentation de l’entreprise d’accueil
Chapitre I Présentation de l’entreprise d’accueil
I.1. Introduction
Le groupe industriel SAIDAL est une société par actions, au capital de 2.5 milliards
dinars algériens, dont la mission principale le développement, la production et la
commercialisation des produits pharmaceutiques à usage humain et vétérinaire.
Le groupe SAIDAL est considéré actuellement comme le leader de l’industrie
pharmaceutique en Algérie avec une grande part de marché.
L’unité de Dar El Beida est considérée comme la plus ancienne de groupe SAIDAL (elle
existe depuis 1958). Elle appartenait au laboratoire français LABAZ avant sa nationalisation
en 1970. Elle est caractérisé par :
- Une capacité de production très importante (43million unités de vente par an).
- Un savoir-faire élevé dans le domaine de production, du contrôle et d’analyse.
- Une surface de stockage de 6600 m2 (4.600 palettes).
L’usine Dar El Beida sert à la fabrication de produits pharmaceutiques sous trois formes :
- Sèche (Gélules, Comprimés);
- Liquide (sirops) ;
- Pâteuse (dentifrice, pommades).
I.2. Historique du groupe SAIDAL
La Pharmacie Centrale Algérienne (PCA) créée en 1969, avait le monopole sur
l’importation, la fabrication et la commercialisation en gros des produits pharmaceutiques.
En 1982, la PCA à subi une restructuration et sa branche production fut érigée en
Entreprise Nationale de Production Pharmaceutique (ENPP). En 1985, elle changea de
dénomination et devient alors : SAIDAL. Suite aux réformes économiques de 1989, SAIDAL
devient une entreprise publique dotée de l’autonomie de gestion et a acquis le statut de société
par actions (SPA). En 1993, SAIDAL a participé à la création de nouvelles filiales.
En 1997, SAIDAL a subi une restructuration qui s’est traduite par sa transformation en
Groupe Industriel, le 2 Février 1998, dans la même année, elle a développé des opérations de
recherche dans le domaine humain et vétérinaire.
PHARMAL est l’une des quatre filiales de SAIDAL qui a pris naissance lors de sa
restructuration en tant que Groupe Industriel en Février 1998.
Elle dispose de trois usines de fabrication qui sont :
- Usine Dar El Beida.
- Usine Annaba.
- Usine Constantine.
3
Chapitre I Présentation de l’entreprise d’accueil
4
Chapitre I Présentation de l’entreprise d’accueil
5
Chapitre I Présentation de l’entreprise d’accueil
Les prélèvements d’échantillons, des matières premières sont effectués dans une zone séparée
de façon à éviter la contamination.
Les articles de conditionnements imprimés sont stockés dans de bonnes conditions de
sécurité.
2- Zone de production :
Elle est représentée par l’atelier de fabrications et deux lignes de conditionnements
(pilulier et blister)
Les locaux sont disposés selon l’ordre logique des opérations des fabrications effectué et
selon les niveaux de propreté requise
Le matériel et le les produits sont arrangés de façon ordonnée et logique pour éviter toute
confusion et de diminuer le risque d’omission ou l’erreur dans le déroulement de toute étapes
de fabrication ou de contrôle Les surfaces intérieurs (murs, plafond et sols) sont lisses,
exemptes de fissures et de joints ouvertes, et ne libèrent pas de particules, elles permettent un
nettoyage aisé et efficace.
Les zones de productions sont correctement ventilées par des installations de traitement d’air
(températures, humidités et filtrations) adaptés à la fois aux produits manipulés aux opérations
effectuées et à l’environnement.
L’atelier de fabrication comporte plusieurs salles correspondant aux différentes étapes de la
fabrication :
- Une salle de préparation
- Une salle de compression
- Une salle d’impression
Une salle laboratoire de contrôle in procès : laboratoire pharmaco-technique ou se fait le
contrôle au cours de la fabrication.
3- Une zone contrôle de qualité :
Le laboratoire est séparé des zones de productions ils sont spacieux répondant des
exigences des BPF (Bonnes pratiques de fabrications).
A ce niveau se déroulent des analyses physico-chimiques :
- Contrôle des matières premières et articles de conditionnement.
- Contrôle des produits (grain et comprime et PF).
Les appareils sensibles sont protégés dans des locaux distincts.
4- Les zones annexes :
Les sanitaires ne communiquent pas directement avec les zones de production et les zones de
stockage. Les ateliers d’entretien sont isoles des zones de production. Le service de
6
Chapitre I Présentation de l’entreprise d’accueil
7
Chapitre II
Partie Exploitation
Chapitre II Partie Exploitation
Introduction
L’exploitation est une partie essentielle qui contient des informations très importantes
telles que la mise en place la mise en marche réglage toutes ces informations doivent être bien
retenues pour avoir une exploitation totale de la machine.
Les machines à remplir les gélules ZANASI 25/40 E ont été conçues pour le
conditionnement de perles gélatineuses dures partagées en deux parties.
Les machines ZANASI 25/40 E effectuent le remplissage des gélules avec des produits
sous forme de:
Liquides
Poudres
Granulées
La ZANASI-40-E est une machine à mouvement alternatif équipée d'une tourelle
tournant par impulsions autour de son axe, dans le sens des aiguilles d'une montre, et
transportant les gélules à 6 postes différents.
8
Chapitre II Partie Exploitation
Volume (ml) 1,37 0,95 0,86 0,50 0,37 0,30 0,21 0,13
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Chapitre II Partie Exploitation
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Chapitre II Partie Exploitation
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Chapitre II Partie Exploitation
Repère Désignation
1 Groupe d’alimentation de gélules
2 Port douille ∕Groupe de dosage de la
poudre
3 Groupe de dosage des granulée
4 Groupe de dosage de la poudre
5 Groupe de triage des gélules
défectueuses
6 Groupe de fermeture des gélules
7 Groupe d’expulsion des gélules
8 Poste de nettoyage douille
12
Chapitre II Partie Exploitation
1ère phase :
Alimenter la machine en courant électrique en raccordant les bornés, pour réaliser des trois
câbles de phase plus le câble de protection il faut de raccorder à la boite de dérivation
électrique, installé à l’intérieur de la boite un transformateur.
2éme phase :
Alimenter la machine en air comprime dans la conduite pneumatique principale
d’alimentation doit être réalisée avec un tuyau ayant un diamètre intérieur de 8 mm, pouvant
supporter une pression de service variant de 0,4 à 0,8 bars max. Après avoir effectué le
raccordement, vérifier si le robinet d’entrée est bien en position (ouvert) pour la machine
puisse fonctionner.
3éme phase :
Raccorder les groupes auxiliaires comme :
- Connecteur DS /71
- Connecteur SC1000
- Connecteur signal Gr. Poids
- Connecteur alimentation électrique Gr. poids
4éme phase :
- Actionner l’interrupteur principal
- Bouton (marche/arrêt) de la machine
- Bouton (marche/arrêt) de la (pompes/aspirateur)
5éme phase :
Contrôle du bon état des cinématismes de la machine. Dégager le volant manuel en enlevant
le bouton de verrouillage, aiguilles d’un montre et vérifier si rien ne gêne les mouvements de
la machine. Refaire cette opération plusieurs fois jusqu’à ce que la tourelle ait accompli au
moins 8 déclics. Si cette rotation s’avérait impossible, contrôler s’il n’y a pas eu un
changement de position provoqué par le transport. Il est normal que la machine ait des
mouvements plus durs pendants la rotation et lors du soulèvement des organes opérationnels,
c’est-à-dire pendent l’arrêt de la tourelle.
13
Chapitre II Partie Exploitation
6éme phase :
Refaire le graissage après le transport et l’installation.
Etant donné que la machine peut rester inutilisée pendant un certain temps, correspondant à la
durée du transport, il est préférable de refaite un bon graissage des groupes et des organes de
transmission.
Lubrifier à l’aide du graissage tous les mouvements et les engrenages de la machine.
Contrôler le niveau des cuvettes transparentes placées sous les engrenages conique et faire
l’appoint jusqu’au repère NIV.HUILE.
Ouvrir le couvercle avec de l’huile (huile contenue dans la came qui commande les
glissières).
Huile la douille des doseurs et de compression/expulsion.
Contrôler les échéant ajouter de l’huile sans la pompe à vide en utilisant le type d’huile
indiqué ou une huile équivalente.
7éme phase :
- Vérifier e bon sens de rotation des moteurs de la pompe, de l’aspiration et de la machine.
- Précision de tous les moteurs à trois phases a été contrôler à l’usine d’IMA S.P.A et qu’il
convient de procéder comme suit pour vérifier si a rotation des moteurs a bien lien dans le
bon sens.
- Appuyer sur le bouton de mise en marche de la pompe situé sur le panneau de commande
de l’armoire électrique et contrôler si le sens de rotation du moteur de la pompe et de
l’aspirateur a bien lien dans le sens des flèches gravées sur ceux-ci
- Montrer le connecteur de la manuelle (jog) à la place voulue dans l’armoire électrique, la
machine se prépara automatiquement à tourner à la vitesse minimum autorisée.
- Appuyer sur a touché de commande manuelle à de très courts intervalles de façon à
contrôler si le sens de rotation de la tourelle est bien celui des aiguilles d’une montre, si tel
n’est pas le cas, refaire le branchement des phases du câble d’alimentation, puis enlever la
touche.
8éme phase
Nettoyage pour réparer a machine.
Avant d’introduit les gélules et le produit, nettoyer les pièces de la machine qui sont en
contact avec ceux-ci pour le nettoyage, nous vous rappelons que :
- Pour les opérations de lavage, il est interdit d’utilisé des solvants inflammable ou
explosifs.
14
Chapitre II Partie Exploitation
- Pour le nettoyage de la machine, utilisé des détergent modérément alcalins et non à base
caustique, laver ensuite à l’eau déminéralisée ou distillée.
- Pendent le nettoyage de la machine, l’opérateur ou le technicien de maintenance chargé
des opérations doit être bien protégé contre tout contact avec le produit, à cet effet il est
conseillé de porter des systèmes de protection individuels comme : combinaisons jetables,
masque, gants et lunettes.
- Les de nettoyage de l’installation doivent être effectuées pas un seul opérateur, au cas ou
cette règle ne pourrait pas être suivie, pour augmenter les conditions de sécurité ou pour
faciliter le travail, il est commandes, cette dernières doit être seule à stationner dans la
zone de danger
- L’utilisateur doit interdire l’accès da la machine et de ses équipements aux personnes qui
n’ont pas reçu une formation préalable adéquate.
II.7. Mise en arrêt de la machine
Mode arrêt normale :
Il est possible d’arrêter la machine ZANANSI-40-E avec le bouton « p ».
Ce mode d’arrêt « en phase » empêche de détériore les produits et permet à la machine de
reprendre ensuite la reproduction.
Mode Arrêt d’urgence :
Deux boutons « coup de poing » installés sur la machine ZANASI-40-E servent aux arrêts
d’urgence.
Les boutons d’arrêts d’urgence sont repérés P1 et P2, ces dispositifs sont utilisés :
En cas danger imminent ou d’incident mécanique.
15
Chapitre II Partie Exploitation
Ce groupe comprend essentiellement un réservoir à gélules vides (1), une trémie de travail
(3), une piste d'alimentation des gélules (10), un bloc d'orientation (21) et une bouche
d'ouverture (23).
Les gélules vides sont introduites dans le réservoir principal (1). Par effet de la pesanteur,
elles tombent dans la trémie de travail (3).
A l'intérieur de la trémie se trouve un volet (4) réglable en hauteur au moyen d'un bouton (7).
Ce réglage permet d'augmenter ou de réduire le nombre des gélules qui tombent dans la
trémie (3).
La trémie présente aussi 2 ouvertures, l’une dans le haut (8) pour l'élimination des gélules qui
pourraient être écrasées, l'autre, dans le bas (9), pour évacuer les gélules à la fin du lot.
Pour enlever le réservoir, dévisser les boutons (2): pour enlever la trémie, dévisser le bouton
(5). Par ailleurs. enlever les vis de fixation et le carter (6) pour atteindre l'intérieur du groupe
et réaliser les opérations de réglage et de changement de format
Grâce au mouvement alternatif vertical de l'arbre (12) et du levier (14), le mouvement est
transmis à la plaque (10) qui remplit ainsi ses canaux de gélules Dans la position inférieure de
sa course, la butée (19) ouvre les ressorts de déchargement en heurtant le bloc (13) une gélule
pour chaque canal tombe ainsi dans le groupe d'orientation (21). Le réglage de la vis de la
butée (19) permet d'agrandir ou de réduire l'ouverture des ressorts de déchargement.
De plus, le déplacement de l'axe (13) vers l'extérieur du groupe permet d'arrêter l'alimentation
des gélules sur la machine (en désactivant F1 sur le terminal). La plaque d'alimentation est
fixée par des boutons et des chevilles au support arrimé à l'arbre (12).
Les gélules déchargées de la plaque (10) sont logées dans les canaux du groupe d'orientation
(21), de là, la fourche d'orientation horizontale (15), qui reçoit son mouvement horizontal
16
Chapitre II Partie Exploitation
alternatif du levier (14), achemine les gélules vers le centre de la machine, en les orientant le
corps en avant. La fourche d'orientation, comme le bloc, varie en fonction du format.
Le groupe est fixé au support (24) par des boutons, il est centré par des chevilles.
La fourche d'orientation (15) coulisse sur des guides (17) et (25) à l'intérieur du groupe
d'orientation.
La fourche se déplace et oriente les gélules horizontalement de manière à les amener en fin de
course sous les dispositifs d'orientation verticaux (20).
Pour régler la position de la course de la fourche (15) if suffit de desserrer la vis (16) et son
écrou de blocage en déplaçant la fourche vers l'avant (15). (Lors de la livraison de la machine,
ce réglage a déjà été effectué)
Les dispositifs d'orientation verticaux doivent normalement frapper de leur extrémité la téte
de la gélute à mi-chemin entre la coupe de la tôte et la longueur de la tête, un peu plus vers le
centre de la gélule
Au moment même où les gélules sont introduites dans les douilles, la glissière supérieure se
déplace vers le bas pour que les douilles supérieures soient au contact des douilles inférieures;
la bouche d'ouverture des gélules (23) se déplace elle aussi au contact des douilles inférieures.
Une source de vide est reliée à la bouche d'ouverture des gélules (23). Entre la pompe du vide
et la bouche d'ouverture se trouve une électrovanne d'ouverture et un petit filtre placé sous le
plan de la machine. L'électrovanne est commandée par un capteur de phase et une came située
sur le groupe «rotatif» (voir schéma électrique). Lorsque l'électrovanne est ouverte, le vide
agit sur le corps de la gélule en la portant vers le bas à l'intérieur de la douille inférieure.
A ce moment-là, la plaque qui porte les douilles supérieures (22) est relâchée vers le haut, en
écartant les douilles inférieures des douilles supérieures d'environ 1 mm.
Après quoi la bouche d'ouverture s'écarte de la glissière inférieure en restant encore quelque
temps en aspiration. La rotation de la tourelle fait alors place à une nouvelle phase de travail.
17
Chapitre II Partie Exploitation
18
Chapitre II Partie Exploitation
Le support de compression ce support est une douille robuste en acier, en tronc de cône est un
L’arbre équipé d’une clef de calage et d’un capuchon de protection se déplace à l’intérieur.
19
Chapitre II Partie Exploitation
à contenir les doseurs pendant leur rotation des trous en permettent le passage.
Par effet de la pesanteur le produit contenu dans le réservoir de la poudre tombe dans le tube
(19), à partir de la palette tournante (15) Le produit remplit la cuve (4) et la butée (5) jusqu'a à
former une couche compacte ou pingeront les doseurs (9) pour prélever la quantité à doser le
groupe d'compression et d’expulsion (7) introduit la quantité dosée dans le fonde de la gélule.
Repère Désignation
1 support du réservoir de poudre
2 le réservoir de poudre
3 le support de cuve contenant le produit
4 la cuve
5 le secteur de maintien et de régularité de la couche
6 le support de compression
7 portant la tête de compression et d’expulsion
8 le support des doseurs
09 le groupe des doseurs
10 Bride
11 l’axe d’entraînement
12 Bouton
13 Deux axes
14 Bague d’arrêt
15 fenêtre de visite
16 palette mélangeur
17 support des boutons
18 La vanne
19 tube télescopique
20 Collier
21 Capteur de chargement
22 tube transparent (plexiglas)
23 Collier
20
Chapitre II Partie Exploitation
Ce poste comprend un réservoir (1) maintenu en position par un bras (2), bloqué par des
boutons (3), ce réservoir contient des ergots en caoutchouc, variables selon le format des
gélules et dont la fonction est de retenir uniquement les gélules non ouvertes
Ces gélules sont expulsées par les pousseurs (4) pendant leur course vers le haut, si les
gélules sont ouvertes les pousseurs ne s’occupent que de la tête de la gélule et par un effet
produit à l’intérieur ils abandonnent celle-ci dans la douille des capuchons.
C’est ici qu’a lieu la fermeture des gélules par introduction du corps à l’intérieur de capuchon
ici glissières supérieures et inférieures sont coaxiales, les unes près des autres. Pendant la
phase d’arrêt, les glissières qui contiennent les douilles supérieures arrivent au contact des
douilles inférieures. La plaque de fermeture deux (2) descend alors jusqu’à ce que les butées
soient au contact de la tête de la gélule. Pendant ce temps la plaque portant les pousseurs de
fermeture (6) commence sa course de fermeture vers le haut. Les pousseurs de fermeture sont
montés sur une plaque qui peut être réglée par une vis (7) pour que les gélules aient la
21
Chapitre II Partie Exploitation
longueur voulue. Pendant la phase de fermeture est montée, la bouche d’aspiration (8) élimine
les impuretés qui pourraient se former pendant l’introduction du fond dans le capuchon. La
butée de fermeture (2) peut être démontée en enlevant le bouton (9) et la rondelle (10) pour
accéder aux glissières. De plus, la butée peut être réglée en fonction des types de gélules pour
faire en sorte que sa distance reste la même par rapport aux têtes des gélules. Pour effectuer ce
réglage, déplacer les butées (11) vers le haut ou vers le bas par rapport au bras (2).Les
pousseurs de fermeture (6) dépendant du format de la gélule ; ils doivent être remplacés
lorsque ce format change. Pour ce faire, enlever la goulotte de dépoussiérage (8) et remplacer
les pousseurs.
1 Réservoir 1 Réservoir
2 Bras 2 Bras
3 Boulons 3 Boulons
4 Pousseurs 4 Pousseurs
6 Pousseurs de fermeture 6 Pousseurs de fermeture
22
Chapitre II Partie Exploitation
Ce poste assure l’expulsion des gélules pleines, les poussoirs inférieurs d’expulsion entrainent
les douilles de formats. A leur sortie des douilles, en jet d’air comprimé commandé par une
électrovanne les projette le long du toboggan.
Ce poste assure le nettoyage des douilles des fonds et des capuchons au moyen d’un jet d’air
comprimé provenant de l’ensemble des pousseurs inférieurs, qui est capté par un système
d’aspiration passant à travers la douille.
23
Chapitre II Partie Exploitation
24
Chapitre III
Etude Technologique
Chapitre III Etude Technologique
III.1.1.Circuit de puissance
Moteur de la pompe à vide M2.3 commandé par le contacteur KM5.7 et sécurisé par
le disjoncteur QM2.3.
Moteur d’aspiration M2.6 commandé par le contacteur KM5.10 et sécurisé par le
disjoncteur QM2.6.
Moteur de mélangeur poudre M2.9 commandé par le contacteur KM6.19 et sécurisé
par le disjoncteur QM2.9.
Le courant traverse le transformateur T3.3 (220 v ,24 v AC) est alimente :
25
Chapitre III Etude Technologique
III.1.2.Circuit de commande
26
Chapitre III Etude Technologique
Le bouton d’arrêt SB5.5 est formé de deux contacts Disjoncteurs moteur QM 2.3 et QM 2.6.
Les bobines (pompe à vide KM 5.7 et aspirateur KM 5.10) sont commandées par le bouton
marche SB 5.6 avec l’auto maintien KM 5.7 de pompe à vide et KM5.10 de l’aspirateur.
Les varistances de décharge ZC5.7, ZC5.10 et ZC 4A.10 assurent la sécurité des bobines
KM5.7, KM5.10 et KM 4A.10 respectivement.
La signalisation HL 5.6 c’est un voyant de marche de la pompe à vide.
Le moteur principal de la machine (M1.11) marche à deux fonction : automatique ou
manuelle (mode coup par coup) par un commutateur SA 5.12.
En automatique :
Si le commutateur est une position fermé SA 5.12 (8.17), le courant passe vers l’entrée de
l’automate (fonction automatique). La condition obligatoire c’est que la pompe à vide soit en
marche (le contact auxiliaire KM 5.7 est fermé), l’automate envoie le courant. On actionne
sur le bouton marche SB5.17 avec la fermeture de contact auxiliaire KM 5.7 le courant
traverse vers l’automate, ce dernier envoie l’ordre à la bobine de moteur principale, la bobine
excite et ferme le contact de l’auto-maintien KA5.16 pour maintenir l’excitation de la bobine.
Le moteur marche avec une signalisation HL5.17, une fois on actionne sur le bouton d’arrêt
SB5.17D1, le moteur s’arrêtera.
En manuelle (mode coupe par coupe) :
Si le commutateur est en position fermée S5.12 (5.13), la condition obligatoire c’est que la
pompe à vide soit en marche (le contact auxiliaire KM 5.7 est fermé). Une fois on actionne
sur le bouton marche SB5.15, la bobine KA5.13 excitée ferme le contact KA 5.13 avec la
fermeture de contact auxiliaire KM 5.7. Le courant traverse l’automate, ce dernier envoie
l’ordre à la bobine de moteur principale, la bobine excite le moteur, une fois on relâche le
bouton de SB5.15 le moteur s’arrêtera avec une signalisation HL5.17
27
Chapitre III Etude Technologique
28
Chapitre III Etude Technologique
III.1.3.Relais de sécurité
Les relais de sécurité sont des appareils qui réalisent des fonctions de sécurité. Une fonction
de sécurité vise à atténuer, en cas de danger, des risques existants à un niveau acceptable par
des mesures adaptées. Les fonctions de sécurité possibles sont les suivantes :
La surveillance des fonctions de sécurité des capteurs
La surveillance des câbles des capteurs
La surveillance du bon fonctionnement du bloc logique de sécurité
La surveillance de l'arrêt d'actionneurs
La coupure de sécurité de dangers
Notre machine sécurisé par relias de sécurité SIEMENS de référence 3TK2804-0BB4, il a les
caractéristiques technique suivant :
29
Chapitre III Etude Technologique
III.1.4.Variateur de vitesse
Un variateur de vitesse est un dispositif destiné à régler la vitesse et le couple d'un moteur
électrique à courant alternatif en faisant varier la fréquence respectivement le courant,
délivrées à la sortie de celui-ci.
Notre machine fonctionne avec variateur de vitesse HITACHI de SJ 100-004 HFE, il a les
caractéristiques technique suivant :
30
Chapitre III Etude Technologique
AC reactor
Filtre secteur
Filtre AR1.3
Filtrage
Commandé le moteur de la
KM5.7
pompe à vide
Commandé le moteur
Contacteur KM5.10
d’aspiration
Commandé le moteur de
KM6.19
mélangeur poudre
Commandé le moteur
KM4A.10
principale
alimente le variateur, le frein et
T3.3 l’automate
Transformateur
alimente relier de sécurité et
T3.10 circuit de puissance
La surveillance du bon
fonctionnement du bloc logique
relier de sécurité
AR4A.9 de sécurité
La surveillance de l'arrêt
d'urgence
K1
K2
31
Chapitre III Etude Technologique
K1 K2
M1 moteur principale
M2.3 le moteur de la pompe à vide
Moteur triphasé
M2.6 le moteur d’aspiration
M
3~
M2.9 le moteur de mélangeur poudre
32
Chapitre III Etude Technologique
bobine de
contacteur KM Commande moteur
33
Chapitre III Etude Technologique
34
Chapitre III Etude Technologique
9
D
C
4
6 G 3
10
8
K B
F
H
4
2 3 2
6
N
M
1
35
Chapitre III Etude Technologique
1 1 Moteur
2 2 Poulie
3 2 Courroie crantée (synchrone)
4 10 Palier
5 4 Roulement à billes à contact radial
6 12 Roulement à rouleaux conique
7 1 Pignon hélicoïdale
8 4 Arbre
9 4 Pignon conique
10 6 Galet
A 1 pignon étage
B 1 pignon plus poulie
C 1 Pignon (transmis le mvt vers la tourelle)
D 1 Pignon (transmis le mvt vers distribution de poudre)
E 1 Axe (translation et rotation vertical de groupe doseur)
F 1 Came à rainure intérieur (alimentation gélule)
N 1 Accouplement rigide (manchon et clavettes)
G 1 Came à rainure intérieur (groupe compression /expulsion)
K 1 Came à rainure intérieur et extérieur
H 1 Came à rainure intérieur (pousseur fermeture/ expulsion gélules
36
Chapitre III Etude Technologique
37
Chapitre III Etude Technologique
Deuxième partie : vers un distributeur 2/2 avec fin de course commandée par une
came de phase, qui transmet l’air vers deux éjecteurs d’air :
Vers un éjecteur d’air pour expulsion gélule.
Vers un deuxième éjecteur d’air pour poste de nettoyage gélule.
III.3.2.Schéma du circuit pneumatique
1
2
3
14
13
14
12
10
11
8 9
6
7 12
10
11
9
39
Chapitre III Etude Technologique
40
Chapitre III Etude Technologique
La partie commande reçoit les informations issues des capteurs et du pupitre, et adresse des
consignes opératives au pré actionneurs et des messages à l’opérateur via des éléments de
visualisation du pupitre.
Toutes ces informations (d’entrée et de sortie) sont, dans la majorité des cas, des signaux
électriques.
La connexion électrique des différents constituants à la partie commande doit respecter
certains principes pour garantir leur bon fonctionnement et la sécurité du matériel comme des
utilisateurs.
41
Chapitre III Etude Technologique
III.4.2.Grafcet
Le grafcet niveau 1 est présenté pour faciliter la compréhension du fonctionnement de la
machine.(dessine et simulie par logiciel AUTOMGEN)
4 2 1 MM principale
Présence de poudre
Fin de triage
IG IG
16
IG
43
Chapitre III Etude Technologique
Câblage de l’API :
44
Chapitre IV
Partie Maintenance
Chapitre IV Partie Maintenance
Introduction
Le maintien des équipements de production est un enjeu clé pour la productivité des
usines aussi bien que pour la qualité des produits. C’est un défi industriel impliquant la remise
en cause des structures figées actuelles et la promotion de méthodes adaptées à la nature
nouvelle des matériels.
44
Chapitre IV Partie Maintenance
45
Chapitre IV Partie Maintenance
Des gammes d'entretien seront élaborées de façon à préciser le travail à exécuter par l’équipe
de maintenance, un rapport sera rédigé mettant en relief les résultats des diverses mesures et
les observations. L'intérêt de cette méthode est de diminuer les risques de défaillance. Ceux –
ci restants néanmoins possible entre deux visites.
b. Maintenance conditionnelle
Ensemble des activités réalisées après la défaillance d'un bien, ou la dégradation de son
fonctionnement, pour lui permettre d'accomplir une fonction requise, au moins
provisoirement.
a. Maintenance palliative
Activités de maintenance corrective destinées pour permettre à un bien d'accomplir
provisoirement tout ou une partie d'une fonction requise.
b. Maintenance curative
Activités de maintenance corrective ayant pour objet de rétablir un bien dans un état spécifié
ou de lui permettre d'accomplir une fonction requise.
Le résultat des activités réalisées doit présenter un permanent, ces activités peuvent être :
Des réparations.
Des modifications ou améliorations ayant pour objet de supprimer la (ou les
défaillance (s).
46
Chapitre IV Partie Maintenance
La maintenance
Maintenanc
Méthode de
Maintenance Systématique
Maintenance Conditionnel Maintenance Maintenance
Palliative Curative
Evénement
Echéancier Etat du bien Défaillance
Maintenance
Opération de
Inspection, Contrôle, Visite Dépannage Réparation
47
Chapitre IV Partie Maintenance
Action sur un bien en panne, en vue de le remettre en état de fonctionnement. Compte tenu de
l’objectif, une action de dépannage peut s’accommoder de résultats provisoires (maintenance
palliative) avec des conditions de réalisation hors règles de procédures, de coûts et de qualité,
et dans ce cas sera suivie de la réparation.
Le dépannage n’a pas de conditions d’applications particulières. La connaissance du
comportement du matériel et des modes de dégradation sont à la base d’un bon diagnostic et
permettent souvent de gagner du temps.
b. La réparation :
Intervention définitive et limitée de maintenance corrective après panne ou défaillance.
L’application de la réparation peut être décidée soit immédiatement à la suite d’un incident ou
d’une défaillance, soit après un dépannage, soit après une visite de maintenance préventive
conditionnelle ou systématique.
Remarque : la réparation correspond à une action définitive. L’équipement réparé doit assurer
les performances pour lesquelles il a été conçu.
IV.1.6.2. Les opérations de maintenance préventive
a. Les inspections :
Activités de surveillance consistant à relever périodiquement des anomalies et exécuter des
réglages simples ne nécessitant pas d’outillage spécifique, ni d’arrêt de l’outil de production
ou des équipements.
b. Les visites :
Opérations de surveillance qui, dans le cadre de la maintenance préventive systématique,
s’opèrent selon une périodicité déterminée. Ces interventions correspondent à une liste
d’opérations définies préalablement qui peuvent entraîner des démontages d’organes et une
immobilisation du matériel. Une visite peut entraîner une action de maintenance corrective.
c. Les contrôles :
Cette opération à pour objectif de vérifier des critères ou des données définis. Elle à pour base
des références de vérification parfaitement établies.
d. Révision :
Ensemble des actions d’examens, de contrôles et des interventions effectuées en vue d’assurer
le bien contre toute défaillance majeure ou critique, pendant un temps ou pour un nombre
d’unités d’usage donné. Il faut distinguer suivant l’étendue des opérations à effectuer les
48
Chapitre IV Partie Maintenance
révisions partielles et les révisions générales. Dans les 2 cas, cette opération nécessite la
dépose de différents sous-ensembles.
Le terme révision ne doit en aucun cas être confondu avec les termes visites, contrôles,
inspections. Les 2 types d’opérations définis (révision générale ou partielle) relèvent du 4ème
niveau de maintenance.
IV.1.7. Les niveaux de la maintenance
Dans l’application de la maintenance, les différents cas à intervenir sont repartis selon
leurs importances en cinq niveaux, un niveau de la maintenance se définit par rapport :
A la nature de l'intervention,
A la qualification de l'intervenant,
Aux moyens mis en œuvre.
Selon « AFNOR X60-010 » donne, à titre indicatif, 5 niveaux de maintenance, en précisant la
responsabilité, la production ou la maintenance.
1er Niveau :
Réglage simple, prévus par le constructeur aux organes accessibles sans aucun démontage ou
ouverture de l'équipement, ou échange d'éléments consommables en toute sécurité.
Exemples:
- Echanges en toutes écrite d'élément consommables tels que : fusibles, voyants...
- Dégradation d'un produit défect0ueux sur une machine automatisée après la mise
en sécurité de la machine.
Ces interventions de premier niveau peuvent être réalisées par l'exploitant du bien, Sans
outillage particulier à partir des instructions d'utilisation.
2ème Niveau:
Dépannage par échange standard des éléments prévus à cet effet, et opérations minutieuses de
maintenance préventive, tel que graissage ou contrôle de bon fonctionnement.
Exemples :
- Graissages d'une machine;
- Contrôle du bon fonctionnement d'un four de traitement thermique;
- Remplacement d'une électrovanne sur un système desserrage de pièce.
Ce type d'intervention peut être effectué par un technicien de qualification moyenne, sur
place avec l'outillage portable défini par les instructions de maintenance.
49
Chapitre IV Partie Maintenance
3ème Niveau:
Identification et diagnostic des pannes, réparations par échange de composants ou d'éléments
fonctionnels, réparations mécaniques mineure set toutes opérations courantes de maintenance
préventive telle que réglage général ou réalignèrent des appareils de mesure...etc.
Exemples :
- Remplacement d'une bobine de contacteur défectueuse à la suite d'une sur tension;
- Démontage d'un manomètre donnant des indications erronées réétalonnage sur un
banc de contrôle, remontage sur la machine.
4ème Niveau:
Tous les travaux importants de maintenance convective ou préventive à l'exception de la
rénovation et de la construction. Ce niveau comprend aussi le réglage des appareils de mesure
utilisés pour la maintenance et éventuellement la vérification des étalons de travail par les
organismes spécialisés.
Exemples:
- Révision générale d'un compresseur;
- Démontage, réparation, remontage, réglage d'un treuil de levage;
5ème Niveau:
Rénovation, reconstruction, et modernisation ; par définition, cet perde travaux est donc
effectué par le constructeur ou par le reconstructeur.
Exemples :
- Révision générale de la chaufferie d'une usine;
- Rénovations d'une ligne de conditionnement.
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Chapitre IV Partie Maintenance
51
Chapitre IV Partie Maintenance
A : journalier (chaque jour) B : mensuel (chaque mois) D : semestriel (chaque six mois)
He : hebdomadaire (chaque semaine) C : trimestriel (chaque trios mois) RG : annuel (chaque année)
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Chapitre IV Partie Maintenance
Tableau IV.2 : l’historique des pannes de la machine ZANASI 40-E entre 20/05/2 -10/07/21.
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Chapitre IV Partie Maintenance
54
Chapitre IV Partie Maintenance
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Chapitre V
Problématique
Chapitre V Problématique
Mécanisme utilisé pour entraîner en rotation un arbre de sortie tant que le couple à transmettre
n’excède pas une valeur d’étalonnage. Quand le couple est supérieur à cette valeur
d’étalonnage, la transmission du mouvement est rompue.
Limiteur de couple
Le principe de base du limiteur de couple est de supprimer la transmission de couple entre une
partie tournante entraînante et la partie tournante entraînée lorsque le couple transmis à celle-
ci dépasse une valeur de consigne réglée.
56
Chapitre V Problématique
Le limiteur de couple est réglé à la valeur du couple de déclenchement souhaitée. Lors d'un
dépassement du couple réglé dû à une surcharge ou une collision, le limiteur de couple se
déclenche et sépare le côté entraînant du côté entraîné en quelques millisecondes. Le temps de
réponse au déclenchement dépend tout d'abord des performances et du type de limiteur de
couple mais aussi de la rigidité des axes tournants ainsi que de la vitesse et de la violence de
la collision. Dans le cas d'une collision, l'énergie destructrice au moment de la collision est
désolidarisée. Un fonctionnement optimal ne peut être garanti que si le couple de surcharge se
situe au-dessus du couple maximum de la machine en service. En effet le limiteur de couple
doit désolidariser les deux parties uniquement lorsque le couple est anormalement élevé et
doit pouvoir transmettre celui-ci lors du fonctionnement normal de la machine.
On les préférera aux appareils électroniques pour de nombreux avantages :
un meilleur temps de réponse.
une meilleure fiabilité.
facilité d'installation et de réglage.
l'utilisation à grande vitesse avec des conditions difficiles.
V.4. Les types des limiteurs de couple
a) Limiteur de couple à goupille de cisaillement : fait appel à une goupille qui se rompt
par cisaillement en cas de surcharge, lorsque cela se produit, la charge devient indépendante
de la source de puissance et il n’y a aucune couple transmit.
57
Chapitre V Problématique
58
Chapitre V Problématique
1 6
2
3 7
1 : plateau mobile gauche moteur
2 : écrou H
8
3 : rondelles belleville
4
4 : plateau moteur porte 5
garniture 5 : clavette parallèle
6 : plateau mobile droite récepteur
Arbre moteur Arbre récepteur
7 : vis H
8 : garniture
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Chapitre V Problématique
60
Conclusion Générale
Conclusion Générale
Le travail présenté dans ce mémoire a été effectué au sein de l’entreprise SAIDAL l`unité de
production DAR EL-BEIDA, dont l’objectif est l’étude technologique et maintenance d’une
remplisseuse des gélules ZANASI 40-E afin de comprend le fonctionnement et rétablir la
machine à l’état initial et augmenter la qualité de productivité.
Ce stage nous a été bénéfique à plus d’un titre compte tenu des nombreux avantages qu’il
présente : nous a permis de découvrir l’environnement industriel, nous a apporté un grand
appart en termes d’informations et des connaissances pratiques reçus sur le terrain et initier à
l’étude et au fonctionnement de la machine et voir de plus près l’importance de la
maintenance dans le milieu industriel et d’une manière générale de la situation actuelle de
l’industrie.
Nous avons constaté que la maintenance industrielle joue un rôle très important au sien des
unités économiques et industrielles et représente également un facteur de base pour la relance
économique du pays.
A travers ce travail, nous avons utilisé logiciel WinRelaix (pour le traçage les schémas
électrique) et AUTOMGEN (pour la simulation la partie électrique et la partie automatisme).
Enfin, ce travail nous a poussés à faire appel à toutes nos connaissances et aptitudes
recueillies pendant notre cursus d’étude
Après l’étude de la machine, nous avons proposé une solution de la panne répétitive (décalage
dans le système de dosage).
61
Annexe
ANNEXE
Annexe 1 : photo réelle de la machine ZANASI 40-E.
62
Annexe
63
Annexe
64
Annexe
65
Annexe
IMP : 01
DEMANDE version : A
REPARATION
N° de la D.R Code de la machine Désignation de la Emise le 09 /06/2021 à
machine 10h00
Reçue le 09 /06/2021 à
12h45
Cadre réservé à la demande Cadre réservé à la demande
Nom de Visas Nom Visas
demandeur de
responsable
Panne électrique Vérification de la Partie électrique (capteur,
Ou horloge)
Panne mécanique Vérification de système de dosage mécanique
(balance, support, bras, frottement)
localisation de la panne (changement des modules)
Service demandeur Le : 09 /06/21 Exécution
du
dépannage
BON DE SORTIE
IMP : 003
DE PIECES
Version : A
Date : 07/02/2019
N° :0001326
Ressort de 2 16500036
piston
Machine : ZANAZI 40-E Nom et Signature du
magasinier :
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Références Bibliographique
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUE
1 : Documents fourni par l’entreprise (dossiers technique, dossier hystérique, rapport
journalier, memos). SAIDAL DAR EL BEIDA. Direction maintenance.
5 : D. richet, Maintenance basée sur la fiabilité : un outil pour la certification, Ed.
Masson.1996.
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