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Cours : Initiation à la pratique infirmière fondée sur les données probantes

Apprenants : LSI
Enseignante : Nkoa claire
Séquence I

I- PRATIQUE INFIRMIERE AVANCEE


I-1 Introduction
La pratique avancée permet à des professionnels paramédicaux (par exemple, des infirmiers) d’exercer
des missions et des compétences plus poussés, jusque-là dévolues aux seuls médecins. C'est un
nouveau métier, à la frontière entre médecin et infirmier(e). La pratique avancée vise un double
objectif : améliorer l’accès aux soins ainsi que la qualité des parcours des patients en réduisant la
charge de travail des médecins sur des pathologies ciblées. En outre, la pratique avancée favorise la
diversification de l’exercice des professionnels paramédicaux et débouche sur le développement des
compétences vers un haut niveau de maîtrise.

Les infirmiers en pratique avancée disposent de compétences élargies, à l’interface de l’exercice


infirmier et de l’exercice médical. Ils peuvent suivre (avec leur accord) des patients confiés par un
médecin de l’équipe de soins au sein de laquelle ils exercent, sur la base d’un protocole d’organisation
établi pour préciser les modalités de leur travail en commun.

Dès lors, les infirmiers en pratique avancée nt la responsabilité du suivi régulier des patients pour leurs
pathologies et peuvent prescrire des examens complémentaires, demander des actes de suivi et de
prévention ou encore renouveler ou adapter, si nécessaire, certaines prescriptions médicales.

La pratique avancée permet en partie de répondre au vieillissement de la population et à la croissance


des maladies chroniques

Les bénéfices attendus sont multiples :

 Pour les infirmiers : de nouvelles perspectives de carrière, avec l’opportunité d’un mode
d'exercice plus autonome et d’une meilleure reconnaissance, y compris financière
 Pour les médecins : du temps médical retrouvé et de nouvelles possibilités de coopération
 Pour les patients : une amélioration de l'accès aux soins, une prise en charge diversifiée et
une meilleure articulation des parcours entre ville et hôpital
 Pour le système de santé : un renforcement des structures d’exercice coordonné en soins
primaires et un surcroît de temps médical disponible.
Cette nouvelle pratique et ces nouvelles compétences bénéficient d’une reconnaissance en termes de
statut et de rémunération, aussi bien dans le cadre de la fonction publique hospitalière qu’au sein des
équipes de soins primaires.

I-2 Fondement de l'identité professionnelle des infirmiers


De nos jours, l'infirmière ou l'infirmier est une « personne qui donne habituellement des soins
infirmiers sur prescription ou conseil médical, ou en application du rôle propre qui lui est dévolu.
L'infirmière on l'infirmier participe à différentes actions, notamment en matière de prévention,
d'éducation de la santé et de formation ou d'encadrement.» (Code de la Santé Publique). Elle possède
donc un rôle prescrit, et un rôle propre, (ou rôle autonome), intimement lies. Sa profession est définit
par le code de la santé publique, réglementée par des lois, des décrets, des règles professionnelles, qui
spécifient notamment l'obligation de diplôme pour exercer cette profession (article L.474 du code de la
santé publiques). Mais, cette profession n'est définie et donc reconnue par la société française que
depuis 1902 et est sanctionnée par un diplôme d'Etat a compté de 1922, rendu obligatoire qu'en 1946 et
unique depuis 20 ans. Ce métier, qui a donc un statut social définissant par conséquent un rôle, voilà
seulement 74 ans, est pourtant porteur d'une histoire commune à toute profession, et dont le poids de
cet héritage religieux et médical reste toujours ancré dans la mémoire collective :
- Religieux car, dès le XIX ème siècle, ou l'appellation officielle d'infirmière a été adoptée » (Habib &
Nassar ., 2007), la religion organise la profession infirmière, donnant au soin un sens empreint de
charité, de dévouement et d'amour de Dieu. L'infirmière est considérée comme une sainte laïque,
jusqu'à la laïcisation des soins.
- Médical car les progrès de la science du XXème siècle requérants de nouveaux gestes techniques
permettent aux soins infirmiers d'évoluer. L'infirmière supplée le médecin, et devient une « auxiliaire
technique du médecin, une piqueuse» (Habib & Nassar ., 2007). Et même, si la seconde guerre
mondiale édifia une image de l'infirmière de la Croix Rouge empreinte de courage, de dévouement et
de discipline militaire, son rôle reste toujours celui d'auxiliaire.
Il faudra attendre les nombreux bouleversements du XXème siècle dont l'émergence de théories en
soins infirmiers (Handerson, 1966.), pour qu'apparaissent en 1970 la notion de diagnostic infirmier
ainsi qu'en 1972, l'expression soins infirmiers. Et voici 34 ans qu'une nouvelle définition de l'infirmière
se dessine, la dotant d'un rôle prescrit et d'un rôle propre, c'est-à-dire d'une zone d'autonomie ou
d'indépendance dans l'exercice de leur pratique ». (Sibiril., 2000, p. 55).Ainsi, il apparait que la
profession a évolué parce que le soin lui-même a évolué et qu'il se situe au cœur de ce métier. Mais
aussi, parce qu'au fil de son histoire, la profession s'est affranchit de son poids religieux et de son
unique fonction « de pur instrument au service du médecin, (...) et un instrument ne pense pas »
(Poisson ., 2000, P.57.). De par la reconnaissance de son rôle propre, l'infirmière se situe dans sa
fonction soignante, sa fonction réflexive, avec sa propre décision, son autonomie. Et, soulignons que
depuis 2009, la formation en soins infirmiers qui s'est universitaires, L'article L. 474 précise que Nul
ne peut exercer la profession d'infirmière s'il n'est muni d'un diplôme, certificat ou autre titre
mentionné à l'article L.474-1. ». Induit, au travers de l'acquisition des 10 compétences infirmières, de
travailler sur trois niveaux d'apprentissage, permettant à l'apprenant d'adopter une posture
professionnelle réflexive dans son parcours de professionnalisation. Comprendre, agir, transférer,
permettrait de former des professionnels « exercés au raisonnement clinique et à la réflexion critique,
(...) capables d'intégrer plus rapidement de nouveaux savoirs et sachant s'adapter à des situations
variées. » (Clément J., 2009).

De par l'histoire qui organise la profession et la législation qui la réglemente, les infirmières partagent
donc un ensemble commun, une certaine forme de culture, constituant ainsi une part importante de leur
identité professionnelle, identité transmise et partagée dès l'apprentissage du futur infirmier en
formation, et tout au long de son parcours professionnel. Elles partagent un même langage, ainsi que le
port de la blouse blanche, qui, inspiré par les vêtements des sœurs, et critère d'hygiène et de propreté,
constitue un véritable attribut, un signe de reconnaissance et d'appartenance, véhiculant pour celles qui
la portent, cette culture et ces valeurs, et représentant pour autrui, un rôle attendu de ces
professionnelles. Car l'infirmière s'identifie et se construit face à cet ensemble commun, qui définit
toute fois le rôle attendu de ses professionnelles, c'est à dire en quelque sorte leur professionnalité.
Cette professionnalité, organisée par les connaissances, les capacités, les compétences et les savoirs,
est propre à une profession. C'est donc « une mémoire impersonnelle et collective qui donne sa
contenance à l'activité en situation : manière de se tenir, manière de s'adresser, manières de
commencer une activité et de la finir, manières de la conduire efficacement à son objet ». (Clot.,
Faita., Fernandez., Sheller., 2001, P. 19). Cependant, il est à noter que « Chaque individu interprète le
modèle que lui transmet le groupe auquel il appartient en fonction de son histoire singulière et de sa
personnalité ». (Mead. citée par Enyouma., 2010, p.99). Ainsi, pour appréhender l'identité
professionnelle de l'infirmière, nous devons d'abord définir et comprendre la construction de son
identité

I-3 Définition

Une infirmière qui exerce en pratique avancée est une infirmière diplômée qui a acquis des connais-
sances théoriques, le savoir-faire nécessaire aux prises de décisions complexes, de même que les com-
pétences cliniques indispensables à la pratique avancée de sa profession. Les caractéristiques de cette
pratique avancée sont déterminées par le contexte dans lequel l’infirmière sera autorisée à exercer ».
Selon la définition du Conseil International des Infirmiers (adoptée en 2008).

Les missions de l’IPA s’articulent autour de compétences, selon le modèle d’A. Hamric et Al. 2013 :
1. La pratique clinique (compétence centrale de l’IPA).
2. La réalisation de consultations, incluant les consultations de première ligne (compétences en
consultation).
3. L’expression du leadership7 clinique IDE au cœur des équipes soignantes (compétences en lea-
dership7)
4. L’intégration des résultats de recherche par l’utilisation de l’EBN (compétences en recherche)
5. La contribution à la formation des soignants (compétences en formation / enseignement).
6. La collaboration vers une transversalité universelle (compétences en collaboration)
7. La prise de décision éthique (compétence éthique)

L’IPA exercera dans une forme innovante de travail interprofessionnel. En acquérant des compétences
relevant du champ médical, il suivra des patients qui lui auront été confiés par un médecin, avec son
accord et celui de ces patients. Il verra régulièrement ceux-ci pour le suivi de leurs pathologies, en
fonction des conditions prévues par l’équipe. L’IPA discutera du cas des patients lors des temps
d’échange, de coordination et de concertation réguliers organisés avec l’équipe. Il reviendra vers le
médecin lorsque les limites de son champ de compétences seront atteintes ou lorsqu’il repèrera une
dégradation de l’état de santé d’un patient.3 domaines d’intervention sont définis dans un 1er temps :

 les pathologies chroniques stabilisées et les polypathologies courantes en soins primaires


 l’oncologie et l’hémato-oncologie
 la maladie rénale chronique, la dialyse, la transplantation rénale.

Grâce à la pratique avancée, l’IPA renforcera :

 son analyse, plus fine et plus précise


 sa méthodologie, plus rigoureuse
 son autonomie
 sa pratique, qui mobilisera plus d’outils
 ses choix, davantage argumentés vis-à-vis du médecin.

I-4 Les compétences

Un IPA sera un infirmier expérimenté ayant obtenu son diplôme d’Etat précisant la mention
choisie et reconnu au grade universitaire de master. La formation sera organisée autour d’une 1ère
année de tronc commun permettant de poser les bases de l’exercice infirmier en pratique avancée et
d’une 2ème année centrée sur les enseignements en lien avec la mention choisie

I-5 Champs d’application

Les IPA pourront exercer :

►en ambulatoire :

■au sein d’une équipe de soins primaires coordonnée par le médecin (par exemple en maison
ou centre de santé) ou de l’équipe de soins d’un centre médical du service de santé des armées
coordonnée par un médecin des armées

■en assistance d’un médecin spécialiste, hors soins primaires

►en établissement de santé, en établissement médico-social ou dans un hôpital des armées, au


sein d’une équipe de soins coordonnée par un médecin.

I-6 Pratique infirmière avancée au canada

Les infirmières et infirmiers assumant des rôles en pratique avancée, soit les infirmières et infirmiers
cliniciens spécialisés (ICS) et les infirmières et infirmiers praticiens (IP), satisfont les besoins de
santé complexes des Canadiens dans une diversité de contextes et contribuent à l’élaboration et à la
mise en œuvre d’un système de santé viable et efficace.
Le Cadre 2019 de l’AIIC sur les soins infirmiers en pratique avancée a pour but de promouvoir une
compréhension commune des rôles des ICS et des IP et de permettre leur mise en application et leur
intégration au sein du système de soins de santé.

Deux rôles en soins infirmiers en pratique avancée sont reconnus au Canada.

L’ICS : Un(e) ICS est une infirmière ou un infirmier autorisé ayant des connaissances et des
compétences avancées en pratique infirmière pour prendre des décisions complexes, détenant une
maîtrise ou un doctorat en sciences infirmières et ayant de l’expertise dans une spécialité des soins
infirmiers cliniques. L’ICS est un agent du changement qui apporte de la valeur aux clients, aux
milieux de pratique et aux organisations en vue de renforcer la sécurité, de promouvoir des résultats de
santé positifs et de réduire les coûts.

L’IP : Un(e) IP est une infirmière ou un infirmier autorisé qui a une formation préparatoire et de
l’expérience supplémentaires, qui possède et démontre les compétences nécessaires pour poser un
diagnostic, prescrire et interpréter des tests diagnostiques, prescrire des ordonnances de médicaments
et accomplir certains actes médicaux précis dans son champ d’exercice prévu par la loi, le tout de
façon autonome.

Ressources de l’AIIC sur la pratique infirmière avancée

Les soins infirmiers en pratique avancée : Un cadre pancanadien (2019) : Cadre faisant la promotion
d’une compréhension commune des soins infirmiers en pratique avancée au Canada, parmi le
personnel infirmier, les autres fournisseurs de soins de santé, les employeurs, les décideurs politiques
et le public, en plus de promouvoir la contribution de ce type de soins aux systèmes de santé et à la
santé des Canadiens.

Centre canadien de recherche sur la pratique infirmière avancée (CCRPIA)


Le CCRPIA est un programme de recherche de premier ordre voué à l’optimisation du rôle des
infirmières et infirmiers autorisés (IA) et des infirmières et infirmiers en pratique avancée (IPA) au
Canada et à l’échelle internationale. Le CCRPIA appuie la recherche innovatrice et fondée sur des
données probantes qui est profitable pour la pratique infirmière et la santé de tous les Canadiens.

L’AIIC a collaboré avec les membres du CCRPIA dans le cadre de nombreux projets. On note entre
autres les recommandations pour un cadre pancanadien sur les soins primaires pour faire progresser le
rôle des IA et des IPA travaillant au sein d’équipes interprofessionnelles. Le CCRPIA continue
d’assumer son leadership pour renforcer et éclaircir le rôle des IA et des IPA, en améliorant leurs
compétences et contributions au système de soins de santé.

I-7 Problématique de la carrière universitaire (infirmier, sage- femmes d’Afrique francophone)

Selon Koffi, Abemyil et Bwaka (N.d), alors que l’enseignement supérieur et la recherche
scientifique en soins infirmier font partie du quotidien des infirmiers au Québec et en Amérique du
Nord, ou Francophone d’ Afrique et D’Europe, les infirmiers, infirmières et sage- femmes ont du mal à
s’investir dans ces carrières. L’OMS a souligné que divers études ont montré que « plus de personnel
infirmier est qualifié, plus de rapport cout/ efficacité des soins qu’il dispense est favorable »

Concernant le continent Africain, on a remarqué que l’Institute supérieur des soins infirmiers
de l’université anglophone du Caire en Egypte, constitue un exemple très édifiant en matière de
formation universitaire en soins infirmier. Par exemple, en 1995, sur un total de 105 enseignants, cet
Institute a eu cinq infirmière professeur titulaires, 24 infirmières maitres de conférence, 18 infirmières
maitre assistantes, 14 infirmières assistantes et 44 encadreurs cliniques comme collaboration extérieur
(koffi, Abemyil & Bwaka, n.d). En dehors de l’Egypte et en Afrique du Sud, l’enseignement
universitaire et la recherche en soin infirmières accusent un retard considérable dans les pays
francophone d’Afrique. Le cameroun a lancé le système License, Master, et Doctoral, (LMD) à 2007.

Cependant, sur le continent africain, on constate que ce sont les infirmiers et les sages-femmes
qui dispensent l’essentiel des soins de santé à la majorité de la population. Il y a aussi mangue de
structures professionnelle d’organisation et de control de la pratique liée à une insuffisance ou absence
de formation universitaire des infirmières et des sages-femmes qui n’arrivent pas à assurer
l’encadrement initiale professionnel qui requiert la qualité des prestations.

C’est pourquoi, selon L’OMS, le renforcement des capacités du personnel infirmier et sage-
femme par l’enseignement supérieur, constituer un défi majeur à relever en Afrique Francophone.

I-8 Le système LMD comme profil de carrière des infirmiers et sages-femmes

Selon Bouaké, la Directrice des soins infirmiers et maternels du ministère de la santé et de la


lutte contre le SIDA, de l’Agence de Presse Africaine, APA(2015) le gouvernement ivoirien va
"instituer" le système Licence Master Doctorat (LMD) comme nouveau profil de carrière des
infirmiers et sages-femmes du pays. Lors de la célébration de la journée internationale des infirmiers
organisée par l'Association des infirmiers de la région de Gbêkê (AIRG), Diango s'exprimait que "Le
système LMD, c'est le nouveau profil de carrière de nos infirmiers et sages-femmes" a-t-elle expliqué,
ajoutant que "dans les pays développés, ce profil de carrière existe déjà dans la profession infirmière et
sage-femme". "C'est ce que nous voulons instituer ici en Côte d'Ivoire", pour que "l'infirmier puisse
évoluer jusqu'au Doctorat, ainsi que la sage-femme", a poursuivi l'émissaire de la ministre de la santé
et de la lutte contre le SIDA (Diango, 2015). Elle a ajouté que ‘’ce geste du gouvernement ivoirien est
de leur démontrer qu'ils (infirmiers et sage-femme) peuvent commencer leur carrière comme infirmier
et gravir plus tard les échelons pour atteindre le stade de Docteur, que ce système fera "la promotion et
la valorisation de l'infirmier".

I-9 La recherche infirmière pour le développement de l’approche qualité total en soins infirmiers

Selon Koffi, Delmas, et Andoh (2010) le curriculum universel de la formation professionnelle


en soins infirmiers comporte cinq niveaux hiérarchiques. Koffi et al (2010) ont ajouté que chacun des
cinq niveaux qualifiés a des compétences infirmières en recherche scientifique (voir p.122) et que
chaque niveau de compétence donne droit à un emploi dans la hiérarchie infirmière. Aussi, ces emplois
en soins infirmiers épousent la nomenclature des emplois de l’enseignement supérieur et de la
recherche en vigueur au conseil africain et malgache de l’enseignement Supérieur tout comme dans
l’Europe francophone. Ici on peut ressorti dans ces emplois deux perceptives de carrière ; la carrière
d’enseignant chercheur et la carrière de chercheur praticien (voir Figure 1, p. 122) (Koffi, Delmas, &
Andoh, 2010). A partir d’une carrière de chercheur praticien, les praticiens que les infirmiers et sage-
femmes clinicien(e)s et gestionnaires, ^peuvent évoluer à travers les emplois de la recherche
scientifique (voir p. 122). Pour enseignant chercheurs ils évolueront parallèlement aux chercheurs
praticiens à parti du deuxième niveau de leur formation.

Grâce à l’avancement à la formation à la recherche scientifique, les cinq niveaux des


compétences infirmières pourront se développer dans les institutions de formation et de recherche en
soins infirmiers.

Selon les auteurs ; les pays d’Afrique et d’Europe de culture latino Française et Lusophone qui
accusent des retards considérables dans le développement des ressources humaines en soins infirmiers
doivent pouvoir s’imposer cette nécessaire ouverture culturelle et scientifique, comme l’a si bien réussi
le Québec qui est francophone en Amérique du Nord, en permettant aux infirmières de l’enseignement
supérieur et de la recherche en soins infirmiers (koffi et al, 2010).

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