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Conseils de méthodologie

Conseils généraux

Attention à l'orthographe, la grammaire et la syntaxe. Faire des phrases compréhensibles


(privilégier les phrases courtes, toujours se relire).

Attention à la rigueur et à la précision du vocabulaire juridique. Ainsi, il est essentiel de


maîtriser parfaitement les notions juridiques.

La rigueur et la précision juridique commencent dès l'apprentissage du cours, qui ne doit


pas être approximatif.

Les devoirs doivent être juridiques ! Ainsi, s'il est possible de donner une opinion personnelle
ou de faire une critique ; celles-ci doivent rester STRICTEMENT JURIDIQUES. Pas de jugement de
valeur (c'est bien, c'est mal), d'opinions politiques ou de propos de type « café du commerce ».

Attention au temps (3 heures pour les exercices juridiques) ainsi qu'à la lisibilité et la
propreté de la copie (n'hésitez pas à passer des lignes). En revanche, aucun signe distinctif ne doit
apparaître sur la copie (il est donc déconseillé de souligner dans une couleur différente que celle du
reste du texte ; vous pouvez donc souligner vos titres en noir ou bleu). Pas de langage de type SMS ou
prise de notes ; seule les abréviations juridiquement admises sont autorisées.

La dissertation

Difficultés de cet exercice :


– cerner le sujet (essentiel pour éviter le HS et les oublis) ;
– avoir une véritable démarche de démonstration qui montre une réflexion sur le sujet : la
dissertation est un exercice démonstratif (réflexion) et non descriptif (récitation) ; éviter cet
écueil nécessite un effort de problématisation et de construction du plan (notamment en matière de
formulation des titres).

Travail préparatoire

1) Prendre le temps de bien comprendre le sujet. Éviter les erreurs de base qui vous
conduiront au HS. Exemple :
- un sujet tel que « Régime parlementaire et régime présidentiel » vous amène à confronter
ces deux formes de régimes politiques (donc un plan de type « I/ Régime parlementaire ;
II/ Régime présidentiel » est à proscrire)
- un sujet tel que « Chef de l’État et régime présidentiel » vise à vous faire traiter la place
du chef de l’État dans le cadre d'un régime présidentiel et non le régime présidentiel en
général ou le chef de l’État en général (dans ce cas, l'intégralité de votre devoir serait HS).

2) Prendre le temps de définir les termes juridiques du sujet. Ne surtout pas oublier
d'intégrer cette définition des termes du sujet dans l'introduction, il s'agit d'une étape
indispensable et d'une importante erreur méthodologique si c'est oublié.

3) Recenser vos connaissances sur le sujet : n'oubliez aucun élément qui entre dans le
sujet (par précaution, n'évacuez en introduction aucun élément vu dans le programme et
entrant dans le sujet, tout ce qui a été vu en cours d'amphi ou en TE et qui entre dans
le sujet doit être étudié au sein du développement) . Éviter le HS (il n'y aura pas de
difficulté sur ce point si le sujet a été bien compris).
4) Faire l'effort de véritablement PROBLÉMATISER le sujet. Cette étape est
FONDAMENTALE c a r une problématique descriptive aboutira à un devoir
descriptif ; tandis qu'une bonne problématique vous permettra de montrer une
véritable réflexion sur le sujet. La problématique ne consiste pas à recopier le sujet
mais à choisir un angle de traitement du sujet, un axe de réflexion qui vous permettra
de tenir une véritable démonstration cohérente.
Exemples :
- Pour le sujet « Régime parlementaire et régime présidentiel », une problématique du type
« Quelles sont les ressemblances et les différences entre ces deux formes de régimes ? »
n'est pas correcte, car il s'agit d'une simple reformulation du sujet. En revanche, la
problématique suivante : « La distinction entre les régimes parlementaire et présidentiel,
longtemps opposés, a-t-elle encore du sens aujourd'hui ? » est pertinente car elle démontre
une véritable réflexion sur le sujet.
- Pour le sujet « Le chef de l’État dans le régime présidentiel américain », une
problématique du type « Quelle est la place du chef de l’État dans le système
constitutionnel américain ? » n'est pas correcte, car il s'agit d'une simple reformulation du
sujet. En revanche, la problématique suivante : « Comment le Président des États-Unis
s'est-il imposé comme l'institution prééminente du système constitutionnel américain ? »
est pertinente car elle démontre une véritable réflexion sur le sujet.

5) Travailler la cohérence de son plan. Le plan doit constituer une réponse cohérente à la
problématique. Éviter d'éparpiller des éléments qui devraient logiquement être traités
ensemble. Éviter les incohérences juridiques, par exemple :
– il faut traiter d'abord la qualification juridique d'un acte avant de traiter son régime
juridique ;
– il faut traiter le principe avant les exceptions ;
– il faut traiter la formation du contrat avant son exécution.
Il vous revient évidemment de délimiter correctement le sujet pour déterminer quels
éléments sont à évoquer en intro et lesquels sont à traiter au sein du développement.
Pour la construction du plan, pensez aux plans types (Ppe/exception ; Ppe/application ;
Cause/Conséquence ; Thèse/Antithèse) pour structurer votre réflexion ; qu'il faudra
ensuite « camoufler » grâce aux titres (vous ne devez donc jamais recopier un plan
type tel quel ; mais simplement vous en servir de base pour organiser vos idées) .

Respecter les règles de construction du plan :


– Le plan d'un devoir juridique est construit en deux parties contenant chacune
deux sous-parties : I/ A) B) ; II) A) B). Si le sujet implique de traiter des éléments très
importants et d'autres plus accessoires, les points les plus importants se situent au cœur
du développement en I/ B et II/ A (ce sont donc les deux sous-parties les plus
conséquentes, à la fois en termes de taille et d'importance du contenu); les I/ A et II/ B
sont de tailles approximativement équivalentes et les I/ B et II/ A également (plan en
losange) ;
– si tous les éléments sont d'égale importance, le plan est alors équilibré, toutes les sous-
parties sont approximativement de la même taille (plan en rectangle).

6) Travailler la formulation des titres. Les titres doivent être apparents et sans verbes
conjugués (possibilité d'utiliser les participes présent et passé). La seule lecture de votre
plan doit montrer une véritable réflexion sur le sujet : aucun titre descriptif, les titres
doivent être DÉMONSTRATIFS. Les titres des I/ et II/ constituent la réponse à la
problématique et les titres des A) et B) les arguments qui étayent cette réponse. Penser à
utiliser des adjectifs qualificatifs pour éviter les titres descriptifs. Exemple de titre
descriptif : « I/ Les pouvoirs du Président de République ». Exemple de titre non descriptif :
« I/ Des pouvoirs démontrant la prééminence institutionnelle du Président de la
République ».
Rédaction

1) ATTENTION À LA RÉDACTION DE L'INTRODUCTION. L'introduction est un


élément essentiel de la dissertation.

Elle doit comprendre tous les éléments indispensables :


- accroche,
- définition des termes juridiques du sujet,
- délimitation du sujet si besoin (spatiale et temporelle),
- contextualisation du sujet (élément de culture générale pertinents si possible),
- intérêt du sujet (c'est une étape essentielle qui doit vous permettre de trouver la
problématique),
- problématique
- annonce de plan (seules les deux grandes parties sont annoncées en introduction ; les
sous-parties, quant à elles, sont annoncées dans les chapeaux après les titres des
grandes parties).

L'introduction doit être rédigée de manière cohérente, les éléments doivent s'enchaîner
naturellement (vous pouvez par exemple définir chaque terme la première fois que
vous avez besoin de le mentionner plutôt que de faire un paragraphe de définition),
évitez de passer du coq à l'âne.

Il faut respecter la technique de l'ENTONNOIR : les éléments d'introduction doivent aller


du plus général au plus précis. Il faut resserrer progressivement le propos pour aboutir à
la problématique.

Toute exclusion de parties du sujet doit être justifiée (fortement déconseillé, hors cas de
sujet beaucoup trop large pour pouvoir être intégralement traité).

L'introduction se termine là où le sujet commence : vous ne devez pas commencer à


traiter le sujet en introduction ; inversement, vous ne devez pas traiter d'éléments de
contextualisation du sujet dans le développement.

2) Travailler la rédaction de l'annonce de plan et des chapeaux. Une annonce de plan ou un


chapeau est une phrase d'un seul tenant ARTICULANT les idées directrices de votre
démonstration de manière cohérente. ; il ne s'agit pas simplement de juxtaposer des
idées sans faire de lien entre-elles. Ainsi, il faut éviter ce type de formulation : « dans un
premier temps nous verrons que (…) dans un second temps nous verrons que (… ) » et
toutes formulations similaires (« dans une première partie (...), dans une seconde partie
(...) » ; « d'abord, nous verrons que (...) ; puis, nous verrons que (...) »).
Exemple d'annonce de plan correcte : « Bien que les régimes présidentiel et parlementaire
mettent en œuvre des conceptions distinctes du principe de séparation des pouvoirs (I),
l'opposition entre ces deux formes de régimes politiques est à relativiser (II) » . Ne pas
oublier de faire apparaître les (I)/(II) et les (A)/(B).

3) Ne pas oublier que les titres doivent être apparents, sans verbes conjugués et
démonstratifs donc non descriptifs (la formulation de vos titres doit montrer votre
réflexion sur le sujet, sinon votre plan sera totalement descriptif).

4) Ne pas oublier les transitions (indispensable entre le I/ et le II/).

5) Faire un effort de clarté et de cohérence dans la rédaction. Ne passez pas du coq à l'âne,
évitez de revenir 3 ou 4 fois sur le même élément (lorsque vous évoquez un point vous le
traitez entièrement et vous passez à autre chose). Relisez-vous pour vous assurer que vos
propos sont parfaitement compréhensibles, et qu'ils ne comportent pas d'erreurs juridiques.

6) La conclusion est possible mais facultative. Elle doit alors rester courte. Elle permet de
faire le bilan du devoir et éventuellement une ouverture pertinente.
Exemple (plan détaillé avec introduction entièrement rédigée)

Sujet : Régime parlementaire et régime présidentiel

En vertu de l'art 16 de la DDHC « Toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas
assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution ». Le principe de séparation
des pouvoirs, tel que théorisé par J. Locke et Montesquieu aux XVIIè et XVIIIè siècle, vise à empêcher la
concentration des fonctions étatiques (pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire) entre les mains d'une
seule personne ou d'un seul corps afin de protéger les droits et libertés contre l'arbitraire et les abus de
pouvoirs.1
Les régimes parlementaire et présidentiel correspondent à des choix différents d'organisation de la
séparation des pouvoirs dans les démocraties modernes. Le régime présidentiel correspond à un système
de séparation dite « stricte ou rigide » des pouvoirs politiques : les pouvoirs législatif et exécutif sont
indépendants, ils ne procèdent pas l'un de l'autre, ne peuvent pas se renverser mutuellement cependant des
systèmes de collaboration existent. En revanche, le régime parlementaire se caractérise par la possibilité
pour les pouvoirs législatif et exécutif de se renverser mutuellement par le jeu de la dissolution
(possibilité pour l'exécutif de renverser le pouvoir législatif) et de la responsabilité ministérielle
(possibilité pour le pouvoir législatif de renverser l'exécutif). Deux formes de régimes parlementaires
existent : le régime parlementaire moniste (lorsque le Gouvernement est responsable uniquement devant
le pouvoir législatif) et le régime parlementaire dualiste (lorsque le Gouvernement est également
responsable devant le chef de l’État).2
Historiquement, le régime présidentiel est le premier à être apparu car il correspond à la forme
républicaine de la monarchie limitée. Aujourd'hui, ce régime est mis en œuvre aux États-Unis en vertu de
la Constitution de Philadelphie de 1787. La monarchie limitée a ensuite évolué avec l'apparition d'un
exécutif bicéphale lorsque les ministres se sont émancipés du chef de l’État pour créer des cabinets
ministériels, puis des gouvernements politiquement responsables devant le pouvoir législatif, donnant
ainsi naissance au régime parlementaire. Le régime parlementaire est le régime démocratique dominant
dans l'histoire de France : monarchie de Juillet, IIIè, IVè et Vè République. Actuellement, le régime
parlementaire est pratiqué dans de nombreux États : France, Royaume-Uni, Allemagne, Grèce, Italie... Le
régime français de la Vè République est cependant parfois qualifié de semi-présidentiel en raison de
l'importance et des prérogatives qu'il accorde au chef de l’État, inhabituelles dans un régime
parlementaire.
L'opposition entre le régime parlementaire et le régime présidentiel structure encore aujourd'hui
notre compréhension des régimes politiques modernes. Ces deux formes de gouvernement se distinguent
avant tout par l'indépendance ou l'interdépendance des pouvoirs législatif et exécutif (indépendance dans
le régime présidentiel, interdépendance dans le régime parlementaire). Une autre différence majeure entre
ces deux formes de régimes réside dans la forme de l'exécutif. Alors que l'exécutif est en principe
monocéphale dans les régimes présidentiels (les ministres sont les collaborateurs personnels du chef de
l'État), les régimes parlementaires connaissent un exécutif bicéphale par nécessité. En effet, le régime
parlementaire se caractérisant par la possibilité pour chaque pouvoir de se renverser, il est nécessaire
d'assurer la continuité des institutions. Ainsi, les deux pouvoirs disposent de deux têtes, l'une pouvant être
renversée et l'autre destinée à assurer la pérennité institutionnelle. Au sein de l'exécutif, le gouvernement
supporte une responsabilité politique et peut donc être renversé par le pouvoir législatif. En revanche, le
chef de l'État ne supporte pas de responsabilité politique, il assure donc la continuité de l'État. Dès lors
que la responsabilité politique est le corollaire du pouvoir dans une démocratie, le chef de l'État dans les
régimes parlementaires (souvent un monarque comme au RU, mais il peut s'agir d'un Président comme en
Allemagne) s'est progressivement vu retirer tout réel pouvoir et exerce surtout une fonction honorifique.3

La distinction entre les régimes parlementaire et présidentiel, longtemps opposés, a-t-elle encore
du sens aujourd'hui ?4

1 Phrase d'accroche.
2 Définition et délimitation.
3 Contextualisation/intérêt du sujet.
4 Problématique.
Bien que les régimes présidentiel et parlementaire mettent en œuvre des conceptions distinctes du
principe de séparation des pouvoirs (I), l'opposition entre ces deux formes de régimes politiques est à
relativiser (II).5

I/ Des régimes mettant en œuvre une conception distincte du principe de séparation des pouvoirs6

La distinction entre régimes parlementaires et présidentiels est fondée sur la mise en œuvre d'une
séparation stricte ou d'une séparation souple des pouvoirs (A), chacun de ces deux systèmes présentant
ses propres risques (B).7

A/ La distinction entre les systèmes de séparation stricte et les systèmes de séparation souple des
pouvoirs8

– Régime parlementaire (séparation souple des pouvoirs) : les pouvoirs ne sont pas indépendants
l'un vis à vis de l'autre : moyens d'action réciproques (dissolution et RM) : met l'accent sur la
séparation fonctionnelle des pouvoirs (spécialisation plus ou moins stricte des pouvoirs).

– Régime présidentiel (séparation stricte des pouvoirs) : les pouvoirs sont indépendants l'un vis à vis
de l'autre : pas de moyens de contrôle réciproques mais partage des fonctions (ex : partage de la
fonction législative aux EU entre le Congrès et le Président qui possède un pouvoir de veto) ; ce
système met l'accent sur la séparation organique des pouvoirs.

B/ Des systèmes présentant des risques distincts9

– Risque du régime parlementaire : domination d'un pouvoir sur l'autre (exécutif : Vè République,
régime du RU ou législatif : IIIè et IVè République)

– Risque du régime présidentiel : blocages voire paralysie du système d'où instauration de


mécanismes correctifs permettant une collaboration des pouvoirs qui rapprochent le régime
présidentiel du régime parlementaire.

Transition : La pratique des régimes parlementaire et présidentiel a toutefois entraîné un


rapprochement entre ces deux formes de systèmes.

II/ Une opposition entre régime parlementaire et régime présidentiel à relativiser10

L'opposition entre les régimes présidentiel et parlementaire est à relativiser du fait de leur
rapprochement (A) et de la désuétude des mécanismes de contrôle parlementaires (B).11

A/ Le rapprochement des régimes présidentiel et parlementaire12

– Partage de la fonction législative dans les régimes parlementaires (Vè République française, RU :
partage de l'initiative législative, maîtrise de l'essentiel de la fonction législative par l'exécutif) et
présidentiels (EU : veto législatif).

– La séparation stricte des pouvoirs met en œuvre des procédés de collaboration (parlementarisme
de couloir, message sur l'état de l'union, effets du bipartisme et des partis politiques).
5 Annonce de plan (seul les deux grandes parties sont annoncées en introduction)/
6 Titre de partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).
7 Chapeau (annonce des A) et B) du I/).
8 Titre de sous-partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).
9 Titre de sous-partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).
10 Titre de partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).
11 Chapeau (annonce des A) et B) du II/).
12 Titre de sous-partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).
– Existence d'une forme de régime hybride : le régime semi-présidentiel qui allie des
caractéristiques des deux régimes (Vè République).

B/ La désuétude des mécanismes de contrôle réciproques des pouvoirs dans les régimes parlementaires13

– Désuétude de la RM et de la dissolution dans certains régimes parlementaires (France, RU avec la


« dissolution à l'anglaise ») du fait de la subordination de fait du pouvoir législatif à l'exécutif (jeu
du fait majoritaire).

– Moyens de contrôle ne sont plus mis en œuvre et finalement l'exécutif maîtrise le pouvoir
législatif (flagrant au RU ou le chef de l'État exerce une fonction honorifique et le Gouvernement
est confondu avec le Parlement : pas d'incompatibilité ministérielle, Gouvernement directement
issu du Parlement où il siège ; nettement palpable en France depuis l'élection du Président de la
République au SUD qui a renversé le rapport de subordination exécutif/législatif, également avec
l'ensemble des mécanismes constitutionnels permettant à l'exécutif d'intervenir dans la fonction
législative) : est-ce toujours un système de séparation des pouvoirs ou un système de fusion des
pouvoirs ?

– Dès lors, des procédés proches de contrôle de l'exécutif par le pvr législatif sont mis en œuvre
dans les deux formes de régimes : recours à la négociation, au parlementarisme de couloir, aux
commissions parlementaires, aux commissions d'enquête, aux auditions.

– Le contrôle de l'exécutif par le Parlement reste ainsi plus effectif dans le régime présidentiel (dans
lequel l'indépendance des pouvoirs est préservée) que dans le régime parlementaire.

13 Titre de sous-partie (apparent, sans verbe conjugué et non descriptif).

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