U.E 1.

1 : La dynamique des groupes :

Partiel : fac =croc+ qcm, IFSI = situation clinique lien a faire avec les concepts théoriques.

I Leader et chef :

Quel est le leader du groupe dans la vague : prof

Diff entre chef et leader :

- Chef : la parce qu’il a été légitimé par l’institution/ la direction (autoritass)

- Leader : il a pris position, il est choisi par le groupe, le groupe accorde la position (potestass)
- C’est la différence entre autoritass (ce que l’on accorde au chef, c’est-à-dire l’autorité
légitime) et potestass (c’est le pouvoir que l’on donne au leader)
- Le leader incarne les valeur « idéale » du groupe
- On a donc le leader qu’on mérite (vue qu’on le choisi)

Les caractéristiques du leader chef

- Il fédère, il a le sens des responsabilités

- Il doit être porte-parole
- Il doit être juste
- Il doit être une source d’influence et donner une orientation, il doit amener des
changements
- Il doit communiquer des informations que l’on n’a pas
- Le leader sait se positionner

Les différents types de leadership : autoritaire, démocratique et laisser faire.

Il y a 3 types de management : autoritaire, démocratique, passif (laisser faire).

Le pire : le laisser faire parce que quelqu’un essaie de prendre sa place, donc c’est l’anarchie.

II Un groupe :

Aristote dit : nous sommes des animaux sociaux (époque de l’antiquité), on a besoin des autres pour
grandir

Les groupes dans lesquels on évolue : famille, groupe institutionnelle (école), le travail, les amis (la
bande). On évolue de groupe en groupe

La sociologie est une discipline qui étudie les groupes.

Le 1er sociologue français : Durkheim

Le film la vague : c’est une bande (pas de hiérarchie)

Bande : nombre réduit de personne, il y a une dimension affective, les membres sont réunis
volontairement et prennent plaisir à se retrouver, la bande cherche le semblable, on se réunit parce
qu’ils pensent se ressembler.

La bande est un phénomène éphémère, on est là par affinité entre nous.

La foule : on ne choisit pas la foule, on la subi, elle est constituée d’un très grand nombre d’individue,
phénomène de concentration d’individue dans un endroit a un moment donné, on suit le groupe
parce que c’est pas organiser/ ordonner, pas de règles. Il y a une contamination d’une émotion très
puissante : la peur.

La peur est liée à la survie de l’espèce, c’est le sentiment le plus contagieux dans la foule.

Le groupe est caractériser par 4 grands principes :

- La cohésion : ensemble/ accord, il y a l’idée que l’on se rassemble, et que l’on se ressemble,
c’est ce que l’on appel l’illusion groupale, c’est de l’illusion de croire que l’on se ressemble a
ce point. Les limite de la cohésion : si on a un leader négatif ça peut amener les individus à
commettre des actes répressibles, se mettre en danger.
Dans l’illusion groupale, puisqu’on pense que tt le monde se ressemble, tout ceux qui ont
une originalité seront exclu. Il y a une difficulté pour le groupe à accepter les différences
personnelles. (ex du film : ceux qui n’avais pas la chemise blanche.) Dans la cohésion, la
différence est synonyme de menace

- L’appartenance au groupe : le sentiment d’appartenance fait partie d’un besoin. Le meneur

du groupe est individualisé parce qu’il porte les valeurs.

- L’anonymat/ la désinhibition : Diener (sociologue) il observe les enfants lors d’une soirée
d’Halloween (ceux qui sont en groupe récolte plus de bonbon parce qu’on se sent plus fort
donc en demande plus, parce qu’’on prend plus facilement la parole). L’anonymat : quand on
est dans un groupe, on se sent fondu dans le groupe donc on se sent plus fort, on se permet
des propos que l’on ne tiendrait pas si on était seul. Si on pousse l’anonymat trop loin, on va
jusqu’à la désinhibition (moins de pudeur), on va jusqu’à faire et dire des choses que l’on
n’oserait pas si on était seul. De plus qu’à Halloween on est caché derrière des masques,
donc on se permet encore plus de chose.

- La désindividualisation : dans un groupe il n’y a plus le sentiment de responsabilité

individuelle, ceci peut nous amener a adopter des comportement anti-sociaux.

Dans le groupe il y a une dimension affective, et une conformité de chacun aux normes du groupe.

Le groupe est un phénomène vivant qui est soumis à différentes forces / influence : le leadership, ma
cohésion/valeur, illusion groupale, imitation, actes influencés, gestion des émotions, préjugés/
stéréotype, sanction s’il y a une différence.

Si la personne différence reste, elle peut être exclut où être un bouc-émissaire.

Film expérience de Milgram :

Qlq envoie des décharges électriques à quelqu’un qui dit des réponse fausses.

Dans la réalité : on peut refuser de faire qlq chose si on n’est pas d’accord avec le supérieur (droit de
désobéissance). Par exemple : on est sûr que ce n’est pas le bon médicament à administrer on a le
droit de refuser de le faire même si c’est un ordre de l’ide ou du médecin.

Conclusion sur l’expérience de Milgram : par ordre successives l’autorité influence le sujet, la

pression du groupe comme celle de l’autorité reconnu parvient à neutraliser les règles morales,
62.5% des sujets se révèle obéissant et administre la décharge de 450 voltes.
Les marginaux et le déviant :

- Marginal : façon de vivre, celui qui a des comportements différents du groupe

- Déviant : il rejette en bloc les règles du groupe et son mode de fonctionnement, le déviant
est un individu qui s’écarte volontairement du groupe car il ne se reconnait pas ou plus dans
les valeurs du groupe.

Bouc-émissaire :

Le mode de management le plus propice du bouc émissaire c’est celui de laisser faire, si pas de cadre
et pas d’autorité, les membres de l’équipe prenne le pouvoir. Leur frustration et leur contrariété
seront tourner vers un bouc émissaire. Le bouc émissaire est le plus vulnérable. C’est le passage
d’une violence de contre tous a une violence du tous contre un.

Rentrer dans le processus :

- Première étape : discrimination, ça veut dire qu’on vous différencie du groupe

- Deuxième étape : stigmatisation, reproche, animosité qui s’additionne autour de sa
singularité
- Troisième étape : l’exclusion, ceci pour maintenir en surface la santé du groupe : c’est de
l’illusion, pcq si on enlève le bouc émissaire, on en choisira un autre

Sortir du processus :

- Première étape : en parler

- Deuxième étape : trouver des médiations, tiers (prof, famille, ide scolaire, police)
- Troisième étape : ne pas investir tt son énergie en direction de l’équipe de travail, il faut
mobiliser notre énergie vitale ailleurs, s’investir dans des activités qui permette
l’épanouissement personnel.
- (3020 pour ado harcelé, propose soutien sociale et juridique)

Les minorités actives :

Minorité qui arrive a renverser le pouvoir de la majorité, il faut être deux pour être une minorité
active dans un groupe.

Qualité nécessaire pour être une minorité active :

- Resistance, être capable de se positionner

- Forme de charisme
- Avoir de bon argument

La minorité active va pouvoir faire changer les pratiques et les esprits.

Différence être une bonne et une mauvaise dynamique de groupe :

Bonne : équipe Mauvaise : groupe

Tolérance a la différence, cohésion d’’équipe Intolérance a la différence, pas de solidarité
Chacun a un rôle et chacun prend ses Autoritaire
responsabilités Manque de respect mutuelle
Place pour la parole, pour des régulations Ne se remet jamais en question
Evolue Le groupe est statique
Savoir vivre ensemble Non-dit, secret
Contrainte qui sont acceptées, un engagement
individuelle
Conflit :

On est née d’un conflit (bcp de spz et un ovocyte), la planète est née d’un conflit (bing bang), nous
sommes debout grâce à des conflits d’énergie (champs de force contraire). Le conflit c’est la vie.

Comportement face au conflit : guépard, autruche et rinhocéroce

Devant le conflit : plusieurs attitudes possibles

- L’évitement/ la fuite
- L’apaisement : position du médiateur (attention à pas tomber dans la soumission)
- Affrontement/ rapport du force domination
- Confrontation / dialogue

L’essentiel est de dépasser le conflit en bonne intelligence.