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Pour une entreprise réalisant la vente de N produits différents, la marge totale d’une période peut se décomposer comme ceci :
Avec CA1 : le chiffre d’affaires réalisé par les ventes du produit 1…
TM1 : le taux de marge réalisé lors des ventes du produit 1…
L’écart de marge totale peut alors être décomposé en : écart de CA total et écart sur taux de marge moyen pondéré.
Exemple : Le taux de marge pondérée 850 €/4000 € = 21,25% → surtout ne pas prendre les taux
Produit Q. vendue CA Tx de marge Marge
A 100 1 000 € 25% 250 €
B 200 3 000 € 20% 600 €
total 300 4 000 € 850 €
Autres : Allons plus loin que la décomposition du PCG… Pour tenir compte de certaines informations relatives aux capacités d’absorption du marché, aux
capacités de remplissage d’une salle ou autre… Lors d’une analyse de CA ou de marge, il est possible de décomposer davantage l’écart de volume pour tenir
compte de certaines informations relatives aux capacités d’absorption du marché, aux capacités de remplissage d’une salle ou autre... Un nouveau ratio est
introduit alors, faisant apparaître le taux de parts de marché, taux de remplissage…
Écart sur parts de marché = Quantités potentielles x (Qtés vendues / Qtés potentielles) x PVs
= Quantités standard x Pvs
Exemple : Une E prévoit d’écouler sur l’année 150 000 produits sur un marché, dont les prévisions économiques sectorielles tablent
sur 900 000 ventes potentielles. Le produit doit être vendu 10€. Formuler le CA budgété pour l’année, pour ce produit.
On veut faire apparaître le CA réalisé sur le CA global : 900 000 x (150 000 / 900 000) x 10 €
En fin de période, on constate le coût réel de la production de cette période, ce qui permet d’effectuer 2
comparaisons pour identifier des écarts aux causes distinctes :
● Comparaison entre le coût réel de la production réalisée et le coût préétabli de cette même production :
les quantités fabriquées n’étant retenues que pour leur niveau réel, on ignore l’impact d’une variation de
la production sur les coûts de celle-ci. Des causes internes expliquent les écarts ainsi mis en évidence.
● Comparaison des marges réelles et budgétées, permettant d’analyser l’écart sur quantités, souvent dû à
des causes exogènes.
On introduit le coût de production global « préétabli », c’est-à-dire le coût de production standard ajusté à la production réelle.
L’utilisation du coût standard ajusté à la production réelle est intéressante en entreprise pour plusieurs raisons :
- Elle permet de déterminer les marges rapidement, sans avoir à calculer préalablement le coût réel des produits vendus.
- Elle permet d’isoler les responsabilités et d’en évaluer les performances :
❖ pour l’analyse de la marge
❖ pour l’analyse de l’évolution des coûts
Posons :
CPr = coût de production global réel
CPp = coût de production global préétabli, c’est le coût de production standard ajusté à la production réelle.
CPs = coût de production global standard
CPp = coût de production global « préétabli », c’est-à-dire le coût de production standard ajusté à la production réelle
ACr = les autres charges de fonctionnement réelles
CAr = chiffre d’affaires réel
Alors l’écart sur charge de structure se compose de 2 sous-écarts : écart de base et sur taux.
RR
RS Ecart sur taux = RR - RS
SS Écart sur base (production vendus, CA…) = RS - SS
Cette méthode d’analyse d’écart porte sur les sections homogènes comportant uniquement des frais directs variables. Le principe
part d’une décomposition de toute charge variable ou coût (main d’œuvre directe ou matière première) en 3 éléments :
Analyser l’écart sur charge variable revient à décomposer la différence calculée ainsi :
charge réelle – charge budgétée (ou de référence)
Par la logique :
Ecart sur coût = coût R - coût S
RRR = Qr x qr x Pr
RRS = Qr x qr x Ps Prix de l’uo
RSS = Qr x qs x Ps Qté consommée ou rendement
SSS = Qs x qs x Ps Volume d’activité
Exemple César :
Prévisions : 10 produits fabriqués, consommant 10 kg de matière par produit ; le prix d’achat de la matière est prévu à 10€ le kg.
Réelles: 12 produits consommant 12 kg de matière, au prix unitaire de = 9€. Déterminer les différents écarts sur les charges de
matières au cours du mois.
Les écarts sur charges indirectes s’effectuent au niveau des centres d’analyse. Ils comprennent des charges variables et des charges
fixes, ce qui explique que la méthode d’analyse des écarts soit légèrement différente de la précédente. Les charges fixes n’évoluent
pas, en principe, entre le prévisionnel et le réel. En revanche, les frais fixes imputés rationnellement peuvent différer si le niveau
d’activité réel n’atteint pas ou dépasse le niveau normal, défini comme base lors du prévisionnel.
C’est la raison pour laquelle la décomposition des écarts concernant des centres de charges indirectes variables et fixes doit faire
apparaître cette différence d’imputation rationnelle des frais fixes. Cette décomposition nécessite de faire apparaître une ligne
supplémentaire de calcul de coût du centre homogène, appelée Budget Flexible.
Bf = Qr x qr x CVus + FFs
= Qr x qr x CVus + Qs x qs x CFus
Exemple : L’activité d’un centre de frais indirects représente en réel 2000h machine. Le coût standard unitaire complet de l’heure
machine est de 10€, dont 6 de CV. Les FFixes budgétés du centre s’élèvent à 6000€. Calcul du budget flexible :
Bf = 2000h x 6€ + 6000€ = 18 000€
Appellations : Le PCG a donné des appellations particulières aux calculs de coûts intermédiaires, combinant éléments réels et
standards et relatifs aux sections de frais indirects. De même, l’écart total se décompose en écart de volume et écart global.
Écart positif : activité normale est > à l’activité réelle, on est donc dans le cas d’un malus. L’activité réelle n’a pas atteint le niveau d’activité normale = coût
3 (malus) de la sous-activité
Écart négatif sur des charges = favorable, bonus de suractivité
La somme de l’écart sur coût et de l’écart sur l’activité représente l’écart sur coût complet des charges indirectes
Coût préétabli de la consommation prévue, adapté à Budget standard ajusté à la 3-4 = Variation de
4 Qr.qs.(CVus+CFus)
la production constatée production réelle consommation ou de rendement
5 Qs.qs.(CVus+CFus) Coût préétabli de la production prévue Budget (standard) 4-5 = Variation de volume
CF par produit est totalement instable contrairement au coût variable qui est instable
Imputation IRFF : fixe le niveau des frais fixes unitaire. On prévoit un niveau d’activité jugée normale lié au statistique, historique…
Décomposition des écarts sur charges indirectes :
Quatre écarts peuvent être déterminés :
Remarques :
● L’écart d’activité représente les charges fixes qui ne figurent pas dans les coûts des produits du fait de la sous-activité.
Chapitre 4 : Évolution de la masse salariale et écarts spécifiques
Effectif x ( structure par Catégorie) x (répartition par Ancienneté) x (Salaire moyen lié)
MS = ECAS
La masse salariale de l’année N tient compte des différentes catégories socio-professionnelles présentes dans l’entreprise (ouvriers,
techniciens, cadres…), puis dans chacune, des niveaux d’ancienneté existants et des salaires correspondants à ces sous-catégories (y
compris primes d’ancienneté éventuelles…).
Autre méthode :
Le salaire moyen pour chaque cadre vaut : (5/7)x 4000 + (2/7)x 3800 = 3 942,86€
S’il n’y a pas de salaire différent selon l’ancienneté, alors : MS N = EN x Somme [(EcN/EN) x ScN ]
Exemple : ABC travaillent 100 salariés en N, répartis en 2 catégories : Ouvriers = 80% de l’effectif, salaire de 1 200 € mensuel
Techniciens et cadres = 20%, salaire de 2 400 €. Le salaire mensuel est inchangé sur N et le 13e mois est versé à tous les salariés.
Calculer la MS N.
MS N = 80 x 1200 x 13 + 20 x 2400 x 13 = 1 872 000€ = 100 x ((80/100)x 1200x13 + (20/100) x2400x13)
La décomposition de la MS en 4 éléments fait ainsi apparaître 4 sous-écarts, lors de l’analyse de l’écart total entre MSr et MSs.
Lors de l’analyse, on peut aussi faire apparaître des effets :
MSr = Er x Cr x Ar x Sr
MS’ = Er x Cr x Ar x Ss
MS” = Er x Cs x As x Ss
MSr”’= Er x Cs x As x Ss
MSs = Es x Cs x As x Ss
Effet d’effectif : taux de variation de la MS causé par la variation des effectifs totaux entre N et N-1.
Effet de structure : évolue vers les catégories supérieures avec l’augmentation de la technicité des salariés. L’effet de structure est le
taux de variation de la MS causée par une répartition différentes des salariés entre catégories à effectif et ancienneté constants
Effet de structure = Er x Cr x As x Ss / Er x Cs x As x SS
Effet de noria : taux de variation de la MS causée par une évolution de l’ancienneté des salariés et des mouvements d’entrées et
sorties dans la catégorie : vieillissement des salariés avec forte rémunération + prime d'ancienneté en place et remplacement des
retraités par des jeunes.
Effet de Noria = Er x Cr x Ar x Ss / Er x Cr x As x Ss
Effet de salaire : taux de variation de la MS causé par une évolution des salaires moyens.
Effet de salaire = Er.Cr.Ar.Sr / Er.Cr.Ar.Ss
Effet total = (1 + tx d’effectif) x (1 + tx GVT) x (1 + tx de salaire)
Évolution en niveau : variation du salaire mensuel d’une personne ou d’un groupe entre deux dates.
Évolution en niveau = (Salaire date N - Salaire date N-1)/ (Salaire date N-1)
Évolution en masse : variation du salaire annuel d’une personne ou d’un groupe entre deux années consécutives.
Évolution en masse = (Salaire N - Salaire N-1)/ (Salaire N-1)
Effet report : c’est l’incidence des augmentations de salaires survenues au cours d’une année N sur la progression de la masse
salariale de l’année suivante N+1.
Effet report = (Salaire mensuel de décembre N x 12 - Salaire annuel N) / Salaire annuel N
MS théorique de N+1 = Salaire de décembre N x 12 mois
Prévision de masse salariale avec hausses de salaires
Des augmentations de salaires sont parfois prévues au cours de l’année précédente ; il est alors possible d’en tenir compte pour le
calcul de la MS prévisionnelle. La méthode préférentielle consiste à utiliser les indices pour convertir les taux d’augmentation
prévus.
Exemple : Augmentation de salaire prévue de 2% le 01/03/N+1. La MS du mois de décembre N est de 50 000€. Déterminer la MS
prévisionnelle pour N+1 sur 12 mois.
MS = 50 000 x 2 + 50 000 x 1,02 x 10
= 50 000 x 100% x 2 + 50 000 x 102% x 10 → indice 100 en janvier, février puis 102 sur les 10 mois
= 50 000 x (100 x 2 + 102x10)/100 = 610 000 €
Des mouvements de personnel peuvent affecter la masse salariale prévisionnelle, qui peut être affinée si l’on tient compte des départs
(notamment à la retraite) prévus et des arrivées prévisionnelles.
- Ceux qui sont dans l’E dès le début N+1, qu’ils restent ou non : Masse salariale de base (théorique)
- Ceux qui doivent quitter l’E en cours d’année : l’E réalise une économie de masse salariale sur les mois au cours desquels
les salariés sont absents par rapport au prévisions : Salaire mensuels à retrancher
- Ceux qui doivent arriver en cours d’année : Salaires à ajouter
Exemple : Une petite entreprise comprend 20 salariés en N, dont le salaire brut moyen mensuel en année N est de 2900 €, sans 13eme
mois. Un employé partira à la retraite le 31 mai N+1, avec un salaire brut mensuel N de 3200€. Vu l’activité réduite durant la période
estivale, elle estime recruter un remplaçant pour le 1er septembre seulement. Son salaire devrait être fixé à 2 400€ par mois
Calculer la prévision de masse salariale théorique de N+1, toutes choses égales par ailleurs.
> Illustration de l’effet de Noria : rajeunissement des salariés (remplacement d’un retraité avec un jeune avec rémunération + faible)
Chapitre 5 : Prix de cession interne
Prix de transfert : prix de cession entre deux entités juridiques différentes, il y a des facturation et la possibilité d’augmenter son CA
Prix interne : interne à une organisation,, dans une E on va découper en centre de responsabilité et on va fixer un prix abstrait, sans
facture, c’est un mode de calcul. Aucune possibilité d’augmenter son CA.
→ Objectif : apporter de l’autonomie dans la gestion des centres de responsabilité
Prix de cession interne : prix qui valorise les prestations entre les centres de responsabilité « vendeurs » et les centres « acheteurs »,
au sein d’une même entreprise. → Aucun impact sur le résultat global (procédure interne à l’E)
Exemple : Le centre de responsabilité « Production » fabrique un produit semi-fini. Il cède l'intégralité de sa fabrication à un centre
de « Commercialisation » qui vend ce composant à des clients externes au prix de 60 € l'unité. Le coût de production unitaire pour 10
000 composants s'élève à 50 € l'unité soit : 30 € de charges variables et 20 € de charges fixes. Les charges de commercialisation sont
nulles.
Achats internes 50€ x 10 000 = 500 000 € 50€ x 10 000 = 500 000 €
CV 30 € x 10 000 = 300 000 30 x 10 000 = 300 000
CF 20 € x 10 000 = 200 000 20 x 10 000 = 200 000
Le prix de cession interne n’est pas fixé à 50€ mais comme le coût de revient du centre de coût.
→ le centre de coût n’est pas incité à faire des efforts et minimiser ses coûts, il n’a pas d’objectif (sauf budget)
Le prix de cession ne sert à rien, il n’y pas d’objectif dans un sens ou l’autre (coût ou profit). L’E n’a pas d’élément de performance.
→ Prix cession interne différents du centre de production => les 2 centres font du profit et ils deviennent des centres de profit.
Le centre de production ne peut pas modifier ses ventes mais peut optimiser ses charges pour augmenter sa marge et il est incité à
gérer ses ressources.
Le centre de commercialisation n’est plus l’unique centre de profit de l’entreprise, cela crée de la motivation. Pour améliorer sa
performance : maximiser son résultat en augmentant ses ventes externes. Les achats internes sont bloqués contrairement à ses
volumes de ventes.
Le centre commercial ne fera jamais de profit car prix de cession de prix de vente. Il ne sert à rien dans l’entreprise. Même si les
commerciaux augmentent les quantités, il n’y a pas de profit de l’entreprise.
Le centre de production gère l’ensemble des charges. Ce découpage ne sert à rien dans l’entreprise.
La décision de mise en place de ces outils repose sur la volonté de dynamiser les responsables des centres, en transposant à l'intérieur
de l'organisation les contraintes du marché.
Les prix de cession doivent permettre de juger de façon objective et réaliste la gestion à long terme des responsables des centres de
profit. Il convient de les choisir de telle façon que les actions d'un centre (client ou fournisseur) ne perturbent pas trop les résultats
d'un autre centre.
Les résultats d'une enquête sur les pratiques des entreprises françaises en matière de prix de cession montrent une forte diversité dans
les finalités des prix de cession : maximiser le profit ; obtenir une plus grande part de marché ; maintenir une source
d'approvisionnement ; contrôler les services ; évaluer la performance des responsables ; améliorer la productivité ; intéresser les
unités à leurs résultats ; situer la marge là où c'est souhaitable.
5) Fixation du PCI
a) Sur la base des prix du marché
PCI = prix de vente interne : même chose en terme de marge que si elle vend en interne ou en externe
PCI = prix de vente interne : même chose
→ Prix de vente du marché n’incite pas aux différents centres de responsabilité de travailler ensemble.
ALORS Fixer un prix aménager pour la division B d’avoir un prix moindre et pour la division A s’est un écoulement assuré.
Les deux centres amont et aval se seront mis d'accord préalablement pour l'exécution d'un contrat pluriannuel d'approvisionnement
basé sur un prix du marché moyen et tenant compte de l'inflation future des coûts de production pour le centre fournisseur.
Un tel choix tient compte du fait que le centre fournisseur, lorsqu'il vend à un autre centre de l'entreprise, n'a pas à faire face à des
charges de distribution. Pour ne pas pénaliser le centre aval, un forfait estimé des frais commerciaux non engagés sera déduit du prix
du marché : il s’agit des frais commerciaux économisés sur les ventes internes (économie des coûts de
transaction). Cependant, en incitant à acheter à l'intérieur plutôt qu'à l'extérieur, ce PCI réduit l'autonomie des responsables.
Exemple : quand l’usine vend au magasin, les réductions de frais de -15% ne sont pas nécessaires lorsque l’on vend dans un même
groupe permet d’avoir un avantage de prix.
→ S’il n’y pas de marché de référence possible, on s’appuie sur les coûts :
Coût réel : éviter les transfert vers le centre aval la contre-performance du centre amont
Cette méthode est à éliminer. En effet, cette solution reviendrait à transférer vers le centre aval la performance ou la contre-
performance réalisée par le centre amont, fournisseur des biens ou services. Toute analyse objective de l'efficience de chacun d'eux
serait impossible. De plus, le centre acheteur ne connaît pas à l'avance le prix qui va lui être facturé, car il faut laisser le temps au
fournisseur de calculer ses coûts. Dans ce cas, le PCI ne peut servir d'outil d'aide à la décision (acheter en interne ou à l'extérieur).
C'est pourquoi on préfère les coûts réels, les coûts standards.
Coût standard complet : Pour le centre amont : performance influencée par l’activité du centre aval, coût de sous activité
Problème de fréquence de révision des standards
Coût variable + coût d’opportunité : Coût marginal / coût variable: coût lié à la fabrication qu’une unité supplémentaire
Coût d’opportunité : manque à gagner en refusant ventes externes lucratives (tous les FFs sont atteintes, il faut faire un arbitrage entre
les ventes internes à l'E et les ventes externes, il peut donc avoir ventes internes < externes, le cout d’opportunité est le manque à
gagner)
Hypothèse B : La demande interne est supérieure à 2 500 unités. Le PCI pour les unités au-delà de 2 500 unités devrait être fixé à 60
€, car le centre des composants renoncerait à livrer un client externe qui lui aurait procuré une marge unitaire de 30 €.
Coût marginal du vendeur : 30€
Coût d’opportunité : 30€
Prix de cession : 60€
D'où l'indifférence de choix du centre prod
On peut aussi appliquer au coût partiel une marge bénéficiaire, ce qui permet de fixer un prix. Cette marge doit être cohérente avec:
- le taux de marge utilisé pour les produits vendus à l'extérieur ;
- le taux de marge moyen de l'industrie ou des concurrents fabriquant ce même type de produit ou de service ;
- le taux de rentabilité requis par les actionnaires en matière de choix d'investissement.
Entre les 2 filiales, le PCI va être > au prix du marché ou < au prix du marché ?
H1 : Filiale déficitaire → ventes de produit semi finis → filiale bénéficiaire → ventes PF sur le marché
H2 : Filiale bénéficiaire → ventes de produit semi finis → filiale déficitaire → ventes PF sur le marché