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Introduction générale :

Le droit administratif paraît être à priori une chose simple, il


s'agit du droit de l'administration.

Droit de son organisation :

celui qui régit les rapports internes entre ces différentes entités
.

Droit de ces relations :

celui qui régit ces rapports externes, avec ces usages, est le
tiers.

Malheureusement cette définition doit être effacée devant la


complicité du réel.

La notion d'administration est délicate à définir et le droit


administratif lui-même peut-être compris selon plusieurs
acceptations .

Le mot administration a des sens multiples il désigne à la fois


une fonction au service d'une mission et l'organisation qui le
prend à charge.
Il y a ainsi dans les entreprises privées une fonction
administrative responsable de la mise en œuvre des décisions
des instances dirigeantes et structurées organiquement .

Mais le terme administration dans le langage courant se réfère


pour l'essentiel à l'administration publique, terme dont la portée
exacte reste d'ailleurs incertaine .

L'administration publique peut en effet être appréhendée selon


des approches qui multiples et variables permettent cependant
de la cerner .

L'administration dispose ainsi des prérogatives de puissance


public :

1- prérogatives d'action tel que

- privilège de la décision unilatérale par laquelle elle peut


modifier l'ordonnancement juridique indépendamment du
consentement du destinataire de la norme et par exemple :
ordonner, exproprié et réquisitionné.

- pouvoir spécifique dans l'exécution du contrat administratif qui


lui permet notamment de modifier la convention en cours sans
l'accord du cocontractant.

- possibilité en principe exceptionnelle de recourir à la force


pour l'exécution de ces propres décisions par exemple dans le
cadre du droit financier ou en cas de non paiement des actes
d'imposition.
2- prérogatives exceptionnelle tel que :

- monopole des services publics .

- protection des biens affectés à la mission du service public


qui relevant de domaine public sont inaliénables et
imprescriptibles.

Les ouvrages publics c'est à dire les ouvrages immobilier


affecté à l'intérêt général quant à eux bénéficie d'une forme
d'intangibilité plus qu'ils ne peuvent être détruits en exécution
d'une décision de justice constatent leur implantation irrégulière
que si une régularisation est impossible et que la démolition
n'entraîne pas une atteinte excessive à l'intérêt général.

Enfin, l'ensemble des biens appartenant aux personnes


publiques, même non inclus dans le domaine public, sont
insaisissables et ne peuvent être soumis aux voies d'exécution
du code de procédure civile.

- privilège de juridiction grâce auquel les litiges concernant


l'administration relèvent d'une juridiction spéciale. Celle-ci est
désormais organisée de façon assez proche de l'ordre
judiciaire : tribunal administratif pour la plupart des affaires en
premier ressort; appel en général devant les cours
administratives d'appel, et de cassation devant la cour suprême
qui est aussi compétente dans certains cas en premier et en
dernier ressort.
- immunité pénale: désormais Les personnes morales de droit
privé sont responsables pénalement du fait des infractions
commises, pour leurs comptes, par leurs organes ou leurs
représentants. Les personnes publiques échappent à cette
responsabilité totalement dans le cas de l'état où partiellement
pour les collectivités territoriales ou leurs regroupements
lorsqu'il s'agit d'activité insusceptible de faire l'objet de
convention de délégation de service public.

PREMIER PARTIE :
LES FINALITÉS DE L'ACTION
ADMINISTRATIVES

CHAP1: LE SERVICE PUBLIC

Le service public est une notion qui recouvre de multiples


choses. Dans une première conception qui correspond à son
Sens dans le langage commun, il vise une institution avec ses
personnelles, ses biens et ces matériels. On parle ainsi de
service de l'éducation nationale, de la justice, de la défense,
des postes etc...

Le terme de service public est donc pris dans son sens


organique.

Dans une première approche subjective qui primordial l'intérêt


général et les résultats dans choix effectués par les pouvoirs
publics : par la constitution elle-même dans certains cas , le
plus souvent l'agitateur ou l'administration.
il peut s'agir d'une définition quelques peut abstraite de ce qui
est nécessaire pour la collectivité toute entière et ou de
l'arbitrage entre Internet contradictoire concilier la défense de
la nature et les développements de l'économie, accordé les
intérêts respectifs de divers entité territorial ou catégorie
sociale

dès lors toute sorte d'activité ont été progressivement reconnus


d'intérêt général loin de limiter suppose de l'action étatique
issue a leur actuel tel que l'intérêt général de répond au besoin
collectif de la population par une action de pouvoir public dans
de multiples domaines il s'agit issue d'assurer la cohérence
social (lite contre l'usine égalité,l'action saluteur et sociale
l'accès à l'éducation à la culture au sports ) et territorial
(équipement équilibré du territoire rationnelle sur toute c'est
partie réseau de communication et de distribution de l'énergie )
2) A cette approche subjective s'ajoute une seconde objectivité
qui s'interroge sur la nature de l'intérêt en cause.

Quand tu né pas déterminer si le pouvoir public considère


l'activité comme d'intérêt général ou quand les choix de
l'administration paraissent en contradiction avec la conception
que ce fait le juge celui ci statue en fonction de représentation
sociale propre à chaque époux.

Les caractères essentiellement des intéressés de l'activité,liés


à la garantie d'une prise en compte l'objectif à long terme
profitable à la collectivité,constitue le critère de reconnaissance
d'une telle mission.

issue ne pas d'interet general car a object financier sans qu'il y


ait une volonté éducative ou culturelle

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