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SOMMAIRE :
INTRODUCTION :...................................................................................................................................... 4

ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE : ......................................................................................................... 7

La comptabilité nationale : .................................................................................................................. 7

Le marché : .......................................................................................................................................... 7

L’effet sur l’emploi : ............................................................................................................................. 9

Les externalités : .................................................................................................................................. 9

ENVIRONNEMENT JURIDIQUE : ............................................................................................................. 11

La forme juridique de l’organisation : ................................................................................................ 11

Un problème de droit rencontré par l’association :........................................................................... 11

1.1. Les faits : ............................................................................................................................ 11

1.2. Résumer les faits : .............................................................................................................. 12

1.3. Problème de droit : ............................................................................................................ 12

1.4. Majeure : ........................................................................................................................... 12

1.5. Mineure : ........................................................................................................................... 13

1.6. Conclusion :........................................................................................................................ 14

Un document juridique interne à l’association : ................................................................................ 14

MANAGEMENT : .................................................................................................................................... 20

Présentation de l’organisation : ......................................................................................................... 20

Le diagnostic externe de l’association : ............................................................................................. 22

SOCIOLOGIE : ......................................................................................................................................... 25

2. Présenter et analyser la population de l’organisation observée. ............................................... 25

3. Présenter la personne interviewée. ........................................................................................... 26

3.1. Qui est-elle ? ...................................................................................................................... 26

3.2. Quelles sont ses représentations du métier ? ................................................................... 26

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 4. Présenter l’organisation formelle. ............................................................................................. 27

5. Présenter l’organisation informelle : ......................................................................................... 27

CONCLUSION : ....................................................................................................................................... 29

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INTRODUCTION :

L’éducation est l’arme la plus puissante qu’on puisse utiliser pour changer le monde.
Nelson Mandela.
Le choix que nous avons fait porte sur une association. On a opté pour celle-ci car nous
apprécions particulièrement les valeurs et les normes qu’elle détient. Néanmoins persiste la question
de quel type d’association : une association sportive, arctique…
En tant que jeunes mais aussi étudiants, nous avons dû réfléchir à certaines problématiques auxquelles
on peut être confrontés aujourd’hui.
En grandissant, on a pu voir beaucoup de jeunes que nous connaissons, s’égarer, se perdre dans le
chemin de la vie ou encore des étudiants qui n’ont pas forcément les moyens de se payer le permis ou
autre.
Nous avons donc effectué quelques recherches afin de trouver des associations qui avaient un but
éducatif, d’accompagnement et d’aide aux jeunes dans le besoin, des jeunes comme nous pour qu’ils
puissent devenir des adultes responsables. ARC Equipes d’Amitié semblait être l’association la plus
intéressante. Par conséquent, nous avons choisi de vous la présenter.
ARC Equipes d’Amitié est un projet associatif qui vise à former l'éducation des plus jeunes et
particulièrement des jeunes défavorisés.
En effet, l’association met en œuvre des actions d'éducation collectives ou individuelles dans lesquelles
les différents personnels (bénévoles, éducateurs, médiateurs…) essaient de leurs apporter protection,
éducation, et les aident à construire un avenir d’adulte autonome et responsable. L’association dispose
aussi d'auto-école. L’apprentissage de la conduite, et le passage de l’examen qui sanctionne cet
apprentissage, sont des éléments importants du parcours du jeune accompagné par un éducateur sur
son chemin vers l’autonomie et celui de son insertion socioprofessionnelle.

Pour atteindre ses objectifs, l’association met en œuvre des actions fondées sur des valeurs de
solidarité, de lutte contre les discriminations et les exclusions, mais aussi sur une approche globale de
la personne. Ces valeurs sont particulièrement fondées sur une grande relation de confiance avec son
public, la laïcité, et également la connaissance du milieu de vie.

Comment l’association ARC EA parvient à être située dans son environnement mais aussi à répondre
aux besoins des jeunes ?

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Au cours de cette SAÉ nous allons vous présenter l’association ARC EA, plus précisément dans la
description de son environnement socio-économique et juridique mais également dans sa structure
managériale.

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ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE :

L’aspect économique de l’association sera notre point de départ. Tout de même, il est
nécessaire de faire un court rappel de notion vu en management. Comment peut-on définir une
association ? Une association est un groupe d'individus contribuant à l’intérêt général. Celle-ci va
défendre des idées, des personnes et détient pour objectif de rendre services.

La comptabilité nationale :

La comptabilité nationale est une représentation globale et détaillée de l’économie. Elle classe
les types d’agents en catégorie, qui sont appelées des secteurs institutionnels.
Le secteur institutionnel de l’association est ISBLSM il s’agit de l'acronyme d’Institution sans but lucratif
au service des ménages. C'est-à-dire produire des biens et/ou services non marchands dont l'objectif
premier est de les fournir gratuitement ou à des prix non économiquement significatifs. La production
est marchande quand le prix couvre plus de 50 % de la fabrication. Pour être sûre que les prestations
proposées par l’association ne sont pas marchandes nous avons demandé à la personne que nous avons
décidée d’interviewer si les prix des prestations étaient bien inférieurs à 50% de la production. Et en
effet c’est le cas, par exemple l’association propose des formations de conduites qui eux sont à des prix
imbattables, la formation est pratiquement gratuite. En effet, la formation on ne la paye pas. Ce qui est
payé sont les frais d’inscription lorsqu’on décide de devenir adhérent qui est eux minime environ 10
€. A travers cet exemple de prestation nous avons bien vu que les prestations proposées par
l’association ne sont pas marchandes.

Le marché :
Le marché est défini comme le lieu de rencontre des vendeurs et des acheteurs de biens et de
services.
En France, des offreurs il y en a des milliers et la demande ne fait que d’évoluer. Excepté que les
ressources sont épuisables et que l'offre ne peut pas toujours répondre aux demandes. Dû aux nombres
incalculables d’offreurs, il y a des offreurs qui proposent le même produit et cela crée de la concurrence.
La concurrence est un rapport entre producteurs, commerçants qui se disputent une clientèle.
Les conditions sont pures et parfaites lorsque certaines conditions sont remplies. Il existe donc cinq critères,
conditions qui se doivent d’être remplie :

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 • Offreurs nombreux
• Biens ou services substituables
• Libre circulation des produits et des facteurs de production
• Libre d’entrée/ sortie sur le marché
• Information parfaite
La création d’une association n’est pas si complexe que l’on peut croire. En effet, une association peut
exister sur le marché sans avoir été déclarée. Tout de même, elle se doit de détenir la capacité juridique
et avoir le statut de personne morale. Ainsi certaines conditions parviennent à être indispensables pour
créer et administrer une association.
Dans un premier temps, il est nécessaire qu’il y ait plusieurs personnes, au minimum deux sur ce projet.
Cette condition est régie par l'article 1er de la loi du 1er juillet 1901.
Ensuite, il est impératif d'être âgé de plus de 16 ans. Si le mineur souhaite tout de même créer une
association, il peut adhérer ou contribuer à l'association sans limite d'âge.
Enfin il est important que la construction du projet soit à but non lucratif, l’association ne cherche pas
à maximiser du profit elle cherche à apporter son aide à autrui. L’entrée du marché est libre, aucune
barrière n'est imposée à l’entrée.
La création de ce genre d’entreprise est tout de même complexe puisque les services qu’elles proposent
requièrent un déplacement et une observation constante des éducateurs sur le terrain.

L’association ARC EA n’est pas la seule à proposer des formations pour des jeunes nécessitants. Dans la
ville de Paris, il existe près de 12 associations de prévention qui sont spécialisées dans le soutien éducatif
des jeunes de 12 à 21 ans. Bien qu’il existe des associations ayant un objectif commun aux autres, elles
ne proposent pas forcément toutes les mêmes formations ou les mêmes, mais ce ne sont pas forcément
les mêmes types de formations ou encore la même méthode d’enseignement. Ces conditions
parviennent à différencier l’association ARC EA aux autres associations. Par conséquent, le service
proposé par ARC EA est substituable.

Comme dit précédemment l’association n’est pas si seule, il y a plusieurs autres associations telles que
la fondation jeunesse FEU VERT, UN AVENIR POUR MAE... Dans toute la France, il existe des milliers
d'associations qui proposent ce genre de services, ce soutien éducatif. Elles reposent toutes sur quatre
piliers. Le premier est d'agir contre les inégalités, sur le fait d’apporter un engagement afin de mobiliser
les jeunes. La création d’engagements va se lier grâce aux équipes de salariés présents sur le terrain
comme les éducateurs. Puis elle va mener une campagne ayant pour but de sensibiliser le public sur
cette cause.

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Il serait naïf de penser que les conditions de la concurrence sont respectées et que le marché n’est pas
factieux. Il existe ce qu’on appelle des pratiques anticoncurrentielles, il en existe plusieurs types : les
ententes et les abus de prix trop bas et trop hauts.

Lors de notre entretien, l'assistante de direction nous a confié qu’il y a déjà eu un abus de prix trop bas
par une des associations dont nous avons décidé de garder le nom anonyme. En effet, pour être
adhérent il faut payer les frais d’inscription à 10€ chez ARC EA, tandis que l’association anonyme faisait
payer 2€ l’inscription à ces adhérents.

L’effet sur l’emploi :

L’association dispose de plusieurs locaux sur Paris, en tout il y en a 5 (dans 10,13,14,15 et
18ème). Cela permet la création d’emplois conduisant à la réduction du chômage mais aussi des emplois
précaires. L’association ARC EA, détient près de 90 salariés. Près de 284 éducateurs de rue travaillent
dans 45 quartiers parisiens différents.

Les externalités :
A travers, la science économique apparaît le concept d’externalité. Ce qui est appelé une
externalité sont les transferts de valeur sans compensation monétaire. Il en existe deux types : les
externalités positives et les externalités négatives.
Par définition, une externalité négative se caractérise par le fait qu’un agent économique procure aux
autres des utilités ou bien des avantages sans compensation et donc de manière totalement gratuite.
L’association ne bénéficie pas des gains de ces actions, ainsi elle détient une externalité négative.
En outre, l'association perçoit des subventions, il s’agit d’aide apportée par l'État. Grâce à cette
contribution de l'État on peut aborder le thème d’externalité positive.

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ENVIRONNEMENT JURIDIQUE :
La forme juridique de l’organisation :

Une association est un organisme privé à but non lucratif réunissant un groupe de personnes
volontaires autour d’un objectif commun. Par conséquent, cette organisation ne cherche pas à réaliser
du profit mais à accomplir ses divers objectifs. Une association peut détenir différents buts tels que
sportifs, humanitaires…
L’organisation choisie est donc une association créée en décembre 1983, détenant un statut déclaré
comme étant reconnue d'utilité publique. ARC EQUIPES D'AMITIÉ a pour activité principale, l'accueil et
l’accompagnement sans hébergement des enfants et des adolescents.
Par ailleurs, l’association est dirigée par un Président qui est accompagné par ses associés. Elle est
déclarée au greffe des associations à la préfecture.
En effet, étant une association elle ne se trouve pas soumise aux impôts sauf lors des activités lucratives
telles que la collecte des dons.

*Annexe 1.

Un problème de droit rencontré par l’association :

1.1. Les faits :

Monsieur HYPOCONDRIAQUE, employé pour l'association ARC EA depuis 2 ans, ne vient plus depuis
plusieurs semaines à son lieu de travail. Cependant son absence impacte et pénalise fortement les
jeunes nécessitants puisqu’il leur donne des cours de formation. À chaque absence de Monsieur
Hypocondriaque, l’association le joignait par téléphone cependant il trouvait constamment l’excuse
parfaite et achevait la conversation avec la promesse qu’il allait venir au cours prochain. Bien
évidemment, arrivé au prochain cours, il était absent.
L'association ARC EA décide donc de le remplacer par un autre formateur, Madame PRÉSENTE,
cependant Monsieur HYPOCONDRIAQUE décide de revenir à son poste. Lors de son arrivée, il aperçoit
qu'il a été remplacé. Furieux, il décide de saisir le tribunal des prud’hommes car d’après ses propos, s’il
n'assure pas ses cours, c’est parce qu’il se croyait malade, il avait une peur constante d’être atteint du
Covid 19. Ne voulant pas inquiéter l'association, il ne les prévient pas. Hélas celui-ci ne détient aucun
justificatif permettant d’assurer sa maladie. Sa femme, Madame QUISAITTOUT qui a étudié le droit

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durant trois années, lui conseille d’engager sa responsabilité civile contractuelle et de faire un appel au
cas de force majeure et de demander indemnisation.

1.2. Résumer les faits :

Depuis quelques semaines, le salarié d’une association décide de ne plus venir au travail. Son
absence impacte fortement les bénéficiaires de cette association puisqu'ils les forment. L’association
décide donc de le joindre mais celui-ci ne trouve que des excuses pour ne pas venir, l'association décide
donc de le remplacer. Furieux, et déstabilisé, le salarié va saisir le tribunal des prud'hommes puisque
selon lui il était malade et c’est donc pour cela qu’il ne venait pas au travail. Cependant sans aucun
justificatif de maladie, sa femme (ayant étudié du droit durant quelques années) lui conseille de faire
appel au cas de force majeure et de demander indemnisation.

1.3. Problème de droit :

Un salarié peut-il engager sa responsabilité civile contractuelle et faire appel au cas de force
majeure dû à une maladie sans justificatif ?

1.4. Majeure :
Conformément à l'article 1106 du Code Civil un contrat synallagmatique est “lorsque les
contractants s'obligent réciproquement les uns envers les autres”, autrement dit le contrat fait naître à
la charge des deux parties des obligations dites réciproques.
Afin de compléter cet article, l’article 1103 du Code Civil énonce que les contacts légalement formés
“tiennent lieu de loi à ceux qui les ont formés". Autrement appelée la force obligatoire du contrat. Le
principe de la force obligatoire du contrat repose sur une parole donnée, il signifie que le contrat conclu
est comme une loi pour les parties. Mais ce principe reconnaît une importante limite qui est le cas de
force majeure.
Conformément à l’article 1218 du Code Civil le cas de force majeure est un événement
considéré comme “imprévisible” c'est-à-dire que le débiteur ne pouvait prévoir l'arrivée de cet
événement. Mais aussi “irrésistible” c'est-à -dire que les effets ne peuvent pas être évités plaçant le
débiteur dans l’impossibilité d'exécuter son obligation (une simple difficulté ne suffit pas). Et pour finir
le cas de force majeure est aussi un événement "extérieur" c'est-à-dire qu’il échappe au contrôle du
débiteur.
La responsabilité civile contractuelle est régie par l’article 1231 alinéa 1 du Code Civil qui énonce
que “le débiteur est condamné, s'il y a lieu, au paiement de dommages et intérêts soit à raison de

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l'inexécution de l'obligation, soit à raison du retard dans l'exécution, s'il ne justifie pas que l'exécution
ait été empêchée par la force majeure”.
Et pour finir afin de justifier et de prouver que l'exécution a bien été empêchée par le cas de force
majeure il faut donc des preuves. Il existe par conséquent deux types de preuves, les preuves parfaites
qui eux ne peuvent pas être refusées par le juge et les preuves imparfaites qui peuvent être prises en
compte ou non par le juge.

1.5. Mineure :
Il s’agit d’un contrat de vente et donc d’un contrat synallagmatique. En effet, le salarié doit offrir sa
force de travail en échange de rémunération. Par conséquent, les deux parties ont bien des obligations
réciproques, elles ont l'obligation d'exécuter leurs obligations. De plus, s’y ajoute la force obligatoire
du contrat.
Le salarié n’a pas respecté ses obligations étant donné que sa principale obligation était d’être présent
aux cours de formation et de prévenir en cas d’absence.
Le salarié n’a pas été conforme à l'article 1103 du Code civil qui énonce que le contrat conclu doit être
tenu comme une loi par les parties. Néanmoins, le salarié fait appel au cas de force majeure. Ce cas est
une importante limite que connaît l’article 1103 du Code civil.

Le cas de force majeur est un événement qui rencontre trois caractéristiques. La première
caractéristique est considérée comme imprévisible. Effectivement, le salarié n’a pu prévenir l'arrivée de
sa maladie mais n’oublions pas que le salarié à une peur constante d’attraper la Covid-19. Cela devient,
pour lui, une préoccupation qui persiste et qui est constante dans la mesure où il pense avoir
constamment des symptômes. Bien qu’il pense détenir les divers symptômes, il ne détient aucun
justificatif permettant de prouver sa maladie. La seconde caractéristique est irrésistible. Si le salarié était
réellement atteint de la Covid-19, il n’aurait pas pu exercer son obligation puisqu’il s’agirait d’une réelle
difficulté. Enfin, la dernière caractéristique rencontrée est extérieure, dans notre cas la maladie, si elle
est réelle, échappe bien au contrôle du débiteur.

En vue du contrat, il y a une responsabilité civile contractuelle qui est régie par l'article 1231
alinéa 1 du Code Civil. L’article énonce que pour qu’il y ait dommage et intérêts il faut qu’il y ait un cas
de force majeure. Or comme dit précédemment les trois caractéristiques ne sont pas regroupées pour
faire appel au cas de force majeure. Le salarié n’a effectivement aucun justificatif prouvant sa maladie.

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Par conséquent, la saisit du tribunal des prud’hommes est inutile. La parole du salarié sera confrontée
à la parole de l’association, hélas le salarié ne dispose pas de justificatif. De plus, le juge peut décider de
ne pas prendre en compte la parole du salarié et de sa femme (car elle peut elle aussi témoigner en sa
faveur) car leurs paroles constituent une preuve imparfaite.

1.6. Conclusion :
En cas d'inexécution du contrat pour maladie, un salarié peut évidemment engager sa responsabilité
civile contractuelle et faire appel au cas de force majeure. Cependant, le salarié ne répondait pas aux
caractéristiques du cas de force majeure, car il n’avait pas de justificatif prouvant sa maladie. Ajoutez à
cela, nous connaissons la peur paranoïaque du salarié d’attraper la Covid-19 et penser souvent avoir les
symptômes alors que non. Pour finir le salarié ne peut faire appel au cas de force majeure.

Un document juridique interne à l’association :

Le document ci-joint est un contrat de travail qui existe dès l’instant où une personne, le salarié
s’engage à travailler, pour le compte et sous la direction de l’employeur. C’est ce qu’on appelle le lien
de subordination. Ce contrat de travail est précisément un contrat à durée indéterminée, donc on n’est
stipulé nulle part la date à laquelle il prend fin. Il peut donc prendre fin soit par la décision du salarié,
c’est à dire, c’est à dire démissionner soit par décision de l'employeur, c’est à dire le licenciement ou
encore pour un cause dite extérieure aux deux parties par exemple en cas de force majeure c’est aussi
ce qu’on appelle le licenciement économique. Il entraîne un certain nombre d’obligations, tant pour le
salarié que pour l’employeur. En effet le contrat de travail est généralement un contrat dit
synallagmatique où les obligations sont à la charge des deux parties. Pour ce type de contrat l'employeur
et le salarié on déterminer le contenue du contrat et atteste neuf caractéristiques ressortent :
l’engagement et les qualifications des salariés, la nature du poste, les missions et les fonctions de celui-
ci, le lieu de travail, la rémunération, la retraite et les prévoyances, des complémentaire de frais de
santé, notamment de ce que le salarié bénéficiera et de ce qu’il est obligatoirement soumis, du permis
de conduire et des contraintes qu'il détient car dans ce cas le salarié est engagé pour être moniteur
éducateur, et enfin de la déontologie qui est en vigueur dans le champ de l’éducation.

*Annexe 2.

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MANAGEMENT :

Présentation de l’organisation :
Notre choix s’est porté sur une association. Par définition, une association est régie par la loi
1901 et se doit de rendre un service aux adhérents. L’association ARC équipe d’amitié a été créée en
décembre 1949, dans le but d’apporter son aide aux enfants orphelins et donc sans parents dus à la
guerre.

Aujourd’hui le combat de l’association persiste et aide les jeunes à s'insérer dans la vie active beaucoup
plus facilement en leur proposant des formations ou encore de bénéficier de cours de conduite
puisqu'elle détient une auto-école.

L’organisation est de nationalité publique et est reconnue d’utilité publique depuis maintenant 39 ans.
Être reconnue d’utilité publique permet aux associations de faire bénéficier les entreprises et les
particuliers qui leur accordent des dons, d’une réduction d’impôt sur le revenu ou encore d'impôt sur
les sociétés.

Elle détient un champ d’action international, il s’agit d’un domaine dans lequel est fait l’activité d'un
organisme. En effet, le champ d’action d’ARC EA est international, car les actions menées ne se trouvent
pas uniquement en France. Dernièrement, l’association a mis en place un projet “sport sans frontières”
visant à aider des jeunes se situant en Afrique du Nord, au Maroc. Afin de mettre en place des projets
comme celui-ci, il faut bien évidemment détenir des ressources. L’association possède des ressources
qui lui permettent de générer et de produire son activité.

L'association dispose de diverses ressources. Premièrement, de ressources humaines comptant des

bénévoles, des salariés ou encore le directeur général. Par ailleurs, elle comporte près de 90 salariés.
L’association détient donc aussi de ressources financières telles que les dons, les legs et les subventions
de l’État.
L'organisme ne possède aucun chiffre d’affaires, car son objectif n’est pas de réaliser du profit, mais
cela ne l’empêche pas de détenir des ressources financières afin de financer son activité telle que des
dons ou encore des legs.
Évidemment, l’association possède des ressources matérielles qui sont identifiées par les locaux, le
matériel nécessaire aux formations... Mais aussi des ressources immatérielles telles que le site en ligne.

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La structure de l’association vise plusieurs finalités. Une finalité est la raison d’être d’un organisme, il en
existe plusieurs.
Dans un premier temps, on retrouve une finalité économique puisque l’association répond à un besoin.
Les besoins qui se présentent à l'association sont l'aide auprès des jeunes et aux groupes de jeunes en
voie de marginalisation ou marginalisés ou encore en situation de rupture relationnelle et familiale et
de leur apporter des offres relationnelles et éducatives.

L'association met en place aussi une finalité environnementale, d’après un entretien effectué avec
l’assistante de direction, l’organisme à décider de diminuer le chauffage et donc d'aussi diminuer
l’énergie. Et enfin afin de réduire l’utilisation du papier, a mis en place d’une dématérialisation des
factures ou encore des contrats. Dématérialiser un document, est le fait de le produire directement au
format numérique afin de diminuer l’utilisation du papier.
L’association ne détient pas de finalité financière, car le but ici n’est nullement lucratif, autrement dit
de dégager du profit.

Afin de mettre les projets de l’association en place, elle fait appel à plusieurs individus, appelés des
parties prenantes. Une partie prenante d'une organisation désigne tout individu ou groupe d'individus
qui contribue à l'activité de l’organisation.
En ce qui concerne l’association, ces parties prenantes sont les suivantes :
Il y a une partie interne assurée par les cadres, le conseil d’administration de l’association, mais aussi
ses collègues et les éducateurs.
Puis une partie externe : les cadres, le conseil d’administration de l’association, mais aussi ses collègues
et les éducateurs.
La directrice générale a obtenu un dut GEA puis elle a réalisé un master dans le management.

Par la suite, nous avons l’occasion d'interviewer l'assistante de direction. D’après les recherches faites
et de ce qu'elle nous a dit, son métier consiste principalement au dialogue social avec les syndicats et
les Comité social et économique (CSE). Son poste requiert un sens pointu de l'organisation puisque gérer
les besoins et demande sollicite grandement d'organisation, mais aussi une polyvalence en termes de
connaissance.

Afin de distinguer les différentes parties par conséquent les différentes relations au sein de
l’organisation, nous avons sollicité l’association afin qu’ils puissent nous fournir un organigramme.
L’objectif d’un organigramme est de décrire la structure organisationnelle et fonctionnelle qui existe
entre les éléments et les individus d'une organisation formelle.

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 On remarque que la structure de l’organisation est une structure fonctionnelle. Une structure
fonctionnelle se caractérise par une spécialisation de chaque responsable selon son type de
compétence, mais aussi des décisions sont prises par des responsables qualifiés et chaque tâche est
menée par un ou plusieurs subordonnés.
Par exemple, ici, le responsable du pôle administratif et financier gère donc ces comptables, mais aussi
les administrations du personnel.

Mais on peut aussi remarquer une structure divisionnelle. En effet, la structure divisionnelle organise
l'entreprise par divisions (activité spécifique, zone géographique particulière, segment de clientèle).
Ici on remarque que l’organigramme est organisé par zone géographique, en effet on aperçoit une
division pour chaque pôle (celle du 13, 15, 10, et 18 -ème).

Le diagnostic externe de l’association :

Une organisation évolue dans ce qu’on appel un environnement. Un environnement est un
ensemble de facteur qui influence la prise de décision. Pour pouvoirs identifier ces facteurs il faut faire
ce qu’on appel un diagnostic, ici le diagnostic sera externe car on chercher à identifier les facteurs du

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macroenvironnement. Le macro-environnement désigne donc l'environnement général au sein duquel
l'entreprise évolue.

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SOCIOLOGIE :
Pour conclure cette SAÉ nous allons donc maintenant voir l’aspect sociologique de l’association.
Quand on pense aux personnes qui travaillent pour des associations, on peut directement avoir l’image
de bénévole. Cependant les associations sont également constituées de salariés. Quelles personnes
travaillent pour les associations et quels sont les facteurs de motivation ? Nous allons y répondre à
travers un diagramme et une interview réalisée auprès d’un salarié de l’association.

2. Présenter et analyser la population de l’organisation observée.

En premier lieu, l’organisation choisie est l’association ARC EA. Cet organisme recrute des
personnes de tout âge et de tout sexe. Sur le diagramme on constate qu’environ 80% des employés
sont des femmes et 20% des hommes. Les femmes font donc l’unanimité́ dans l’association. De plus,
l'association est dirigée par une femme, la directrice générale.
En second lieu, la tranche d'âge des salariés est très dissemblable. 60% des salariés ont entre 40 et 60
ans et 40% ont entre 25 et 40 ans. Ainsi on peut dire que les seniors dominent ARC EA. L’analyse de la
tranche d'âge parvient à être liée avec l’ancienneté́ des membres. On remarque que les seniors
détiennent une ancienneté́ plus importante.

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 3. Présenter la personne interviewée.

3.1. Qui est-elle ?

La personne interviewée est l’assistante de direction de l’organisation, ayant une ancienneté de
près de 22 ans. Dans l'interview, elle nous délivre qu’elle a toujours voulu exercer ce métier. Afin d’y
parvenir, elle obtient un BTS assistant de direction et obtient un certificat d’assistante de direction. Son
rôle repose principalement sur le dialogue social qu’elle entretient avec les syndicats et les CSE. Son
métier combine les compétences de la secrétaire de la Directrice Générale, au même titre que
l’assistante du Conseil d’administration. Il est impossible de se passer de cette femme puisque
uniquement elle est en contact avec tous les prestataires (téléphonie internet, photocopieur...). Elle se
doit d'assister la direction, régler les problèmes qui se présentent à elle, et anticiper les besoins des
salariés. Elle est tel un couteau suisse et se doit de toujours être présente au bureau, afin que sur place
elle puisse régler les éventuels problèmes.
Dans le métier qu’elle exerce, on lui demande surtout un grand sens de l'organisation. Forcé de gérer
les besoins et les demandes requiert une organisation très stable, mais aussi une polyvalence en termes
de connaissance. Les problèmes sont de différentes natures : problèmes d’imprimante, problèmes
concernant les ressources humaines…

3.2. Quelles sont ses représentations du métier ?

Elle se décrit comme une personne passionnée par son travail, très rigoureuse et comme une
assistante parfaite. Elle aime énormément son métier, du fait qu'elle ait toujours voulu exercer ce métier
mais aussi dû à sa polyvalence. Les taches qui lui sont assignées ne sont pas répétitives. Il y a toujours
des besoins différents par conséquent des taches différentes à effectuer.
Sur une échelle de 1 à 10 sa motivation est de 8. D’après elle, sa motivation et sa performance sont
dues à la direction. En effet, elle nous partage le fait que bien s'entendre avec les personnes avec qui
on est en interaction constante, est important pour notre progression au sein de l’organisation. Elle
trouve que sa motivation ne dépasse pas celle de ses collègues mais que sa motivation elle la puise en
elle. Ayant une longue ancienneté dans l'entreprise, elle a vu dès l’arrivée de ses collègues mais aussi
leurs départs. Selon elle, elle est sa propre source de motivation.

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 4. Présenter l’organisation formelle.

On peut remarquer que la structure de l’organisation est une structure fonctionnelle. Une
structure fonctionnelle se caractérise par une spécialisation de chaque responsable selon son type de
compétences. Les décisions sont prises par des responsables qualifies et chaque tâche est menée par
un ou plusieurs subordonnés.
Par exemple, ici le responsable du pôle administratif et financier gère donc ses comptables mais aussi
les administrations du personnel.
Mais on peut aussi remarquer une structure divisionnelle. En effet la structure divisionnelle organise
l'entreprise par divisions (activité spécifique, zone géographique particulière, segment de clientèle).
Sur l’organigramme on remarque que l'association est organisée de façon géographique. En effet, on
aperçoit une division pour chaque pôle, pour celle du 13, 15, 10, enfin du 18 -ème.

5. Présenter l’organisation informelle :

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 Pour faire la présentation de l’organisation formelle de l'association nous avons créé un
questionnaire ayant pour finalité la création du sociogramme Moreno de l’association ARC EA et de voir
les relations existant au sein de l’association. On a donc laissé à disposition le lien de notre questionnaire
aux salariés de l’organisme et six d’entre eux ont répondu aux questions.
Pour faire une analyse du sociogramme on peut remarquer que quasi l’unanimité des participants
souhaitent travailler avec l’assistante de direction (la personne que l’on a interviewée). Des questions
que l’on a pu lui poser et de l’analyse que l’on a faite on peut expliquer leur choix par son ancienneté
mais aussi que tout au long de sa carrière elle a pu toucher à un peu près tous les secteurs de
l’association.

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CONCLUSION :

Dans son environnement sociologique, on a pu constater que les femmes dominent

l’association. En effet, elles dominent près de 80% des locaux. Elles semblent peut-être plus touchées
par la cause du moins plus sensible à celle-ci.

La motivation des salariés semble transcrite par une autorité parentale imposée par la directrice
générale. Cela permet de mettre en confiance les salariés mais aussi de les rassurer face aux différentes
difficultés qui se présentent à eux. Comme la pu nous indiquer l’assistante de direction, la directrice
générale est très proche de ses employés, et n’hésite pas à les motiver quand il le faut.

De plus, sur un aspect économique on pensait ne rien pouvoir dire sur celui-ci puisqu'une
association n’a pas pour objectif le renforcement de son économie. Cependant l'économie d'une
association ne semble pas seulement fixée sur le chiffre d’affaires, de prix … En effet, l'organisme
parvient à s'imposer dans le marché notamment en répondant aux conditions pure et parfaites mais
également l’influence qu'elle détient sur l’emploi.

Pour créer une association, il est indispensable de détenir un accord juridique, chose que l’on avait
soupçonnée. Bien qu'elle puisse exister sans être déclarée, elle se doit de détenir une personnalité
morale et d’avoir une capacité juridique. Selon la loi du 1er juillet 1901 une association se doit de
répondre à des caractéristiques bien précises, que l’on a pu étudier tout au long de cette SAE.

L’objectif de cette association nous a vraiment particulièrement touché et a réussi à nous

convaincre que travailler dans cet organisme est sans doute le meilleur pour les générations futures.

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