Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
: révolution au travail
La pandémie a chamboule le marché du travail
Sondage de Angus Reid date de juin 2020 montre que 53% des canadiens opterait pour une semaine de 4
jours
Sondage de firme americaine BetterUp (2018) indique que 9 personnes sur 10 préfèrent gagner moins
d’argent pour accomplir un travail qui a du sens.
Sondage réalisé au printemps dernier par le cabinet de recrutement Robert Half estimait a 21% la proportion
de canadiens souhaitant changer d’empli
Tendance à suivre : le travail à distance : effet sur la relation employeur-employé
Le mode de gestion dans les milieux de travail devrait être décentralisé et se tourner vers l’employeur dc viser
leur croissance personnelle et professionnelle. « Flexibilité, c’est le mot » selon Karl Blackburn président du
Conseil du patronat
Le patron de demain : devra agir à titre consultatif, comme une ressource pour ses employés plutôt que
comme une autorité. Ce sera un bon leader , fait preuve de chaleur humaine, d’écoute et d’empathie» selon
Nathalie Francisci, présidente exécutive régionale pour l’est du Canada chez Gallagher
Karl Blackburn : après 2 ou 3 ans , les gens changent d’emploi
Les jeunes n’ont plus le même rapport a la hiérarchie. Le patron doit accompagner. Les jeunes visent un
meilleur équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Le travail est un lieu de croissance.
Article 8 : Les robots voleront ils bientôt la majorité des emplois ?
robots sont actuellement tellement présents autour de nous.
Et selon un article de Bloomberg, la pandémie et la pénurie de main-d’œuvre qui a suivi incitent aujourd’hui
les entreprises à recourir toujours plus aux robots.
Une récente enquête de la Réserve fédérale révèle qu’environ un tiers des entreprises américaines
confrontées à des difficultés de recrutement mettent en œuvre ou explorent l’automatisation pour remplacer
les travailleurs.
nombre de ces tâches manuelles routinières sont occupées par des individus qui n’ont pu accéder à des
emplois plus « épanouissants » — par manque d’opportunités dans un marché de l’emploi toujours plus
tendu, ou plus simplement par manque de compétences leur permettant de prétendre à des postes plus
intéressants ou « à responsabilité »
l’utilisation de la robotique automatisée a considérablement augmenté d’octobre 2020 à octobre 2021, et ce,
dans un certain nombre de secteurs industriels, en particulier dans les hôpitaux (+2500%) et l’éducation
(+426%). Cette adoption massive de l’automatisation serait due à la combinaison de trois critères : une
économie du travail en pleine évolution, la pression de la pandémie et les progrès réalisés en matière d’IA.
Une étude menée par des chercheurs de l’Oxford Martin School, publiée en 2013, estimait que 47% des
emplois risquaient d’être remplacés par des robots et l’intelligence artificielle aux États-Unis à une échéance
de 20 années. Une enquête de l’OCDE, réalisée en 2016, a estimé que « seul » un emploi sur dix serait menacé
par la robotisation dans les pays les plus industrialisés.
La reconversion des personnels pénalisés par la révolution robotique dans les nouveaux emplois de
l’économie numérique ne sera pas aisée », conclut un rapport d’information établi au nom de la délégation
sénatoriale à la prospective, en 2019.