Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Sujet de stage :
Etude descriptive et établissement d’un bilan thermique de
la chaudière de l’unité de Béni idir
Période de stage :
Du 1 juillet 2015 au 31juillet 2015
Parrain de stage :
M.LAHMIDI MOHSINE
Encadré par :
M. BACHAR SAID
Réalisé par :
SANOUSSI YOUSSEF
AIT BAHADOU FIRDAWSSE
Ecole Nationale des Sciences Appliquées de Khouribga
Table de matières
Table de matières 2
Dédicace 4
Remerciement 5
Avant propos 6
Processus de la vapeur 28
Calcul du rendement 38
Chaudière à tube de fumées 39
Calcul des puissances introduites 39
Calcul des pertes 41
Calcul des puissances utiles 43
Calcul du rendement 44
Synthèses 44
Conclusion 46
Dédicace
Chers parents, vous avez sacrifié votre vie pour donner un goût à la nôtre, vous étiez toujours
à nos côtés pour nous soutenir, nous conseiller et nous donner envie d’étudier, merci.
Nous vous dédions ce modeste travail même si nous savons qu’aucune dédicace ne sera à la
hauteur.
A tous ceux qui ont participé de près ou de loin pour réaliser ce travail.
Remerciements
Nous tenons à remercier Allah Le Tout Puissant de m’avoir donné la santé et les
moyens de réaliser ce travail.
Tout d'abord, nous tenons à remercier vivement mon maitre de stage, Mr Bachar Saïd,
chef d’usine, pour son accueil, le temps passé ensemble et le partage de son expertise au
quotidien.
Nous tenons à remercier également tous les membres du personnel du département
séchage M. Hassan TOUAM préparateur bureau de méthode, M. Hamid MAZAL chef de
poste et M. Elbachir LMOUHI contre maitre qui n’ont ménagé ni leurs temps ni leurs
connaissances pour nous aider à élaborer ce travail.
Nous adressons nos sincères remerciements à tout le corps administratif et professionnel
pour ses efforts pendant la durée de ma formation.
Nos vifs remerciements vont également à la Direction de Site de Khouribga de m’avoir
permis d’effectuer mon stage au sein d’une société de taille telle que l’OCP.
Nous profitons de cette occasion pour remercier nos formateurs pour qu’ils nous aient
assuré durant la période d’étude.
En fin, nous tenons à remercier tous ceux qui ont participé de loin ou de près à la
réalisation de ce rapport de stage.
AVANT PROPOS
Il est bien entendu qu’une formation donnée ne pourrait être complète qu’après avoir
effectué un exercice. C’est dans ce cadre qu’à la fin de la année en génie des procédés de
l’énergie et de l’environnement à l’école nationale des sciences appliqués de Khouribga, on est
appelé à passer un stage d’observation.
Par ce fait que j’ai le privilège de passer un stage de quatre semaines à l’atelier de
traitement du phosphate au sien du groupe OCP à Béni Idir-KHOURIBGUA.
Introduction
Le Groupe OCP est une société anonyme fondée en 1920 et domiciliée au Maroc. OCP
S.A est le leader mondial des exportations de phosphates et produits dérivés, avec des
activités couvrant l’ensemble de la chaine de valeur, allant de l’extraction de la roche de
phosphate à la transformation chimique en acide phosphorique et différents engrais. Les
produits OCP représentent une composante majeure de la sécurité alimentaire mondiale
tant ils sont importants pour la productivité agricole et contribuent activement à la
régénération qualitative des sols.
Avec les réserves les plus importantes au monde, principalement localisées dans le
bassin de Khouribga au centre du Maroc, OCP S.A offre une large sélection de roche de
phosphates de différentes qualités, destinée à divers usages. OCP est le premier
exportateur de roche de phosphates et acide phosphorique dans le monde, et un des
principaux exportateurs d’engrais phosphatés, avec un portefeuille composé de 130 clients
et une présence sur les cinq continents.
En tant que première entreprise du Maroc, OCP S.A est l’un des moteurs clé de
l’économie du pays. Les phosphates et ses dérivés représentent en 2010, en valeur, près
d’un quart des exportations du Maroc et approximativement 3,5% du PIB. Les exportations
d’OCP S.A sont de près de 4,5 milliards de dollars US en 2010. OCP S.A emploie directement
plus de 18 000 salariés.
OCP S.A prévoit d’augmenter sa capacité de production de 30 à 50 millions de tonnes,
ainsi que d’augmenter sa production d’engrais en aval à travers des partenariats
stratégiques, spécialement à Jorf Phosphate Hub (JPH) où des infrastructures sont en train
d’être développées pour accueillir 10 unités supplémentaires. Cette plateforme offrira des
infrastructures communes à bas coût, et sera connectée par un slurry pipeline au plus
grand gisement de phosphates au monde situé à Khouribga, ce qui assurera un
approvisionnement sécurisé.
1- Historique :
Depuis sa création, le groupe OCP n’a cessé d’agrandir et d’évaluer. D’un point de vue
chronologique, les étapes les plus importantes dans son évolution concernant notre
direction sont :
2- Emplacement géographique
La direction générale du groupe OCP est située à Casablanca, route d’El Jadida depuis
1979.
Le phosphate extrait des quatre zones minières soit exporté brut à l’étranger soit
transformé localement dans des industries chimiques de Safi et de Jorf Lasfar.
Les zones minières sont :
Zone de Khouribga (Oulad –Abdoun)
Zone de Youssoufia (Gantour).
Zone de Benguerir.
Zone de Bouqraâ.
En outre, l’OCP dispose de quatre ports d’embarquement :
Casablanca : pour les produits de Youssoufia, Benguerir et les produits transformés
localement.
Jorf Lasfar : pour les produits locaux.
Laâyoune : pour les produits de Bouqraâ.
L’organigramme du groupe d’Office Chérifien des Phosphates est représenté comme suit :
Le groupe OCP est une entreprise semi-publique sous contrôle de l’état, mais elle agit
avec le même dynamisme et la même souplesse qu’une grande entreprise privée servant à
l’état marocain tous les droits de recherche et d’exploitation des phosphates, gérée par un
directeur est contrôlée par un conseil d’administration présidé par le Premier ministre. La
gestion financière est séparée de celle de l’état.
Le groupe OCP est inscrit au registre de commerce et soumis sous le plan fiscal aux
mêmes obligations que n’importe qu’elle entreprise privée (impôt sur les salaires, sur les
bénéfices, taxes sur l’exportation…), et chaque année, le groupe OCP participe au budget
de l’état par versement de ses dividendes.
7- Hygiène et sécurité :
Cette unité est de capacité 270 000 tonnes, assure la fonction de la réception du
phosphate humide provenant de la laverie, du criblage et du parc Elwafi. Elle est
équipée de :
- Quatre machines de stockage (stockeuse)
- Deux machines de déstockage (roues pelles orientables).
La station de dépotage a pour rôle la réception des wagons et des camions citernes
de fuel lourd n°2 provenant de la raffinerie de Mohammedia (SAMIR). Le dépotage se fait à
une température de 40 à 50°C (température de transport du fuel). Cette température est
atteinte par une opération de préchauffage de la vapeur générée au niveau de la
chaufferie.
Le stockage du fuel se fait dans des réservoirs qui alimentent les chaudières et les fours
sécheurs, elle contient deux tanks de 2500 m³ chacun.
3- Unité de chaufferie :
L’unité de séchage possède trois chaudières, deux à tubes d’eau et une à tubes de
fumée. La chaudière a pour but de produire la vapeur à partir de l'eau déminéralisé. La
vapeur permet de réchauffer le fuel de 40°C à 120°C la température à laquelle il sera injecté
dans le four.
4- Unité de séchage :
A Béni Idir le séchage est assuré grâce à huit fours sécheurs d’une capacité de 300
tonnes par heure chacun. Son rôle est de diminuer le taux d’humidité contenue dans le
phosphate brut ou lavé qui varie de 12% à 14% par le fait de lavage pour des raisons
économiques :
Le transport de l’eau contenu dans le phosphate coûtera très cher et le client
s’intéresse au phosphate et non pas à l’eau.
La valorisation du produit : par augmentation du teneur à une valeur voulue qui peut
atteindre jusqu’à 1% d’humidité selon les besoins du client, ce qui donne un produit
à caractère sec et marchant.
Introduction
La chaudière a une importance extrême au niveau des installations industrielles car elle
permet de fournir de la vapeur pour assurer le bon fonctionnement des procédés. La
source de chaleur peut être fournie par une résistance électrique ou par un
combustible comme un carburant (gaz, fuel,…) ou un comburant (air,...), on s’intéressera
par la suite par le fonctionnement à combustible pour ne pas sortir du cadre de notre sujet.
Le rôle de la chaudière de Bénir Idir est donc de fournir la masse gazeuse nécessaire au
fonctionnement des fours sécheurs afin d’assurer le séchage des phosphates, cette vapeur
est générée à partir du combustible nommé le fuel lourd n°2.
De plus la chaufferie de Béni Idir est équipée de deux chaudières pour effectuer les
opérations suivantes :
Assurer le dépotage car Le fuel à la température ambiante se trouve visqueux ce qui
le rend difficile au vidange.
Assurer le transport et la bonne circulation dans les conduites.
Faciliter la combustion du fuel.
Pour tirer pleinement profit de la chaudière, et obtenir le maximum d’énergie tout en
minimisant la corrosion du générateur de vapeur et des conduites, l’eau doit être
préalablement traitée.
A l’usine de séchage de BENI-IDIR, l’eau est traitée grâce à deux chaines de
déminéralisation (fonctionnant en alternance), cette déminéralisation a pour but principal
d’éviter au niveau des chaudières les phénomènes de la précipitation de certains sels peu
solubles, ainsi que la corrosion et le primage (l’entraînement d’eau et de matières
minérales dans la vapeur.
Types de chaudières
Le tube foyer, qui se trouve dans le ballon même de la chaudière, sous le plan d’eau,
collecte les gaz chauds en sortie de brûleur. Les gaz chauds, accumulés dans un premier
caisson à l’arrière de la chaudière, sont véhiculés par un groupe de tubes immergés dans
l’eau du ballon vers un second caisson à l’avant de la chaudière. Un second groupe de tubes
immergés emmène les gaz vers un troisième caisson à l’arrière de la chaudière, ce troisième
caisson débouche sur la cheminée pour évacuation des fumées vers l’extérieur. Il y a donc
circulation des gaz de combustion dans des tubes assurant par conduction vers l’eau de la
cuve la vaporisation par apport de calories.
Caractéristiques Valeurs
Station de dépotage
Chaine de déminéralisation
Le but principal de la déminéralisation est d’éviter au niveau des chaudières les
phénomènes suivants :
L’entartrage.
La corrosion.
Le primage.
1- Entartrage :
L’augmentation de la température et de la concentration des sels entraîne la
précipitation de certains sels peu solubles. Les précipités formés peuvent adhérer aux
parois des tubes et donner lieu à une formation des tartres qu’a pour conséquences :
- Bouchage des faisceaux.
- Augmentation de pression et risque d’explosion de la chaudière.
- Chute du rendement thermique de la chaudière.
2- La corrosion :
Les origines et les effets de la corrosion sont très variés. En général on peut craindre les
attaques de corrosion lorsque l’on trouve dans les eaux de l’oxygène, de l’anhydride
carbonique et divers ions en particulier les chlorures.
Le PH est le facteur le plus important pour caractériser l’agressivité de l’eau. Les eaux
acides entraînent la corrosion du fer. Une forte alcalinité (PH>12) entraîne la corrosion par
fragilité caustique. Cette corrosion se caractérise par une attaque préférentielle des tôles
aux endroits sensibles tels les points de soudure et les mandrinages.
3- Le primage :
Le primage est l’entraînement d’eau et de matières minérales dans la vapeur. Il est
d’autant plus dangereux :
- Que le poids des gouttelettes contenues dans la vapeur est élevé.
- Que les gouttelettes sont initialement plus chargées en sels. Autrement dit.
- Que l’eau de chaudière a une salinité totale ou un taux de matières en suspension
plus élevé.
Le primage occasionne des chocs thermiques dans les surchauffeurs, c’est ainsi qu’on
procède à des purges dans les chaudières pour éviter ce phénomène. Mais il y a en
contrepartie une perte d’énergie qui accompagne ces purges.
L’usine de séchage de BENI-IDIR a besoin de la vapeur pour assurer le réchauffage du
fuel. Pour cela l’usine dispose d’une chaufferie équipée de deux chaudières à tube d’eau et
une à tube de fumée.
Processus de la vapeur :
Les vapeurs sortant des chaudières sont ensuite stockées dans un collecteur qui les
distribue vers les points suivants :
L`atelier de séchage (conditionnement du fuel).
Station de dépotage du fuel (préchauffage des tanks et citernes sur roues).
Le dégazeur thermique (élimination de l`oxygène de l`eau d`alimentation des
chaudières).
Les réchauffeurs.
La figure suivante montre la distribution de la vapeur dans un collecteur :
Bilan thermique
Avec :
PCI = 9600 Kcal/Kg (pouvoir calorifique inférieur du fuel)
= 200 Kg/h (le débit du fuel)
Application numérique :
Avec:
= 200 Kg/h (le débit du fuel)
= 0,43 Kcal/Kg. ºc (Chaleur spécifique du fuel)
=120 °C (Température du fuel)
= 0°C (Température de référence)
Application Numérique :
Avec :
=3050 Kg/h (Débit massique de l`eau)
= 1 Kcal/Kg. ºc (Chaleur spécifique de l`eau)
= 60°C (Température de l`eau d`alimentation)
= 0°C (Température de référence)
Application Numérique :
D’après les analyses des gaz des fumées et le diagramme d’Ostwald : la combustion est en excès d’air,
donc on a une combustion oxydante.
Alor, om peut utiliser cette corrélation :
le volume d’air réel est égal à :
Avec :
: Le volume d’air réel
: Le volume d’air nécessaire à la combustion neutre
le facteur d’air (
On sait que
Donc
Application Numérique :
Donc :
Avec:
=3914Kg/h (débit d’air)
=0.24 Kcal/Kg. ºC (Chaleur spécifique d’air)
= 38°C (température d’air)
= 0°C (température de référence)
Application Numérique :
Avec :
= 3050 Kg/h (Débit massique de l`eau)
= 1.044 Kcal/Kg. ºc (Chaleur spécifique de l`eau liquide)
= 170°c (Température d’évaporation)
= 60°c (Température de l`eau d`alimentation)
Application Numérique :
C + O2 CO2
Application Numérique :
D’où :
Avec :
= 210°c (température des fumées)
= 38°c (température ambiante)
=0.24 Kcal/Kg. °C (Chaleur spécifique de CO2)
Application Numérique :
S + O2 SO2
Application Numérique
D’où :
Avec :
= 210°C (température des fumées)
= 38°C (température ambiante)
= 0.23 Kcal/Kg. °C (Chaleur spécifique de SO2)
Application Numérique :
H2 + ½ O2 H2 O
Application Numérique :
D’où :
Avec :
=210°c (température des fumées)
=38°c (température ambiante)
= 0.46 Kcal/Kg. °c (Chaleur spécifique de H2O)
Application Numérique :
D’où :
Avec :
=210°c (température des fumées)
=38°c (température ambiante)
=0.25 Kcal/Kg. °c (Chaleur spécifique de N2)
Application Numérique :
Le débit de O2 dans les fumées est égal à la portion de O2 apportée par l`air de combustion moins celle
consommée par la combustion du fuel :
(Masse air réel *%O2*débit du fuel)-(masse air stœchiométrique*%O2*débit du fuel)
Application Numérique :
D’où :
Avec :
=210°C (température des fumées)
=38°C (température ambiante)
= 0.22 Kcal/Kg. °C (Chaleur spécifique de O2)
Application Numérique :
Application Numérique :
Avec :
o : température de la paroi
o : température ambiante
o : surface d’échange
o : coefficient de transfert de chaleur
Le calcul d’un flux de chaleur transmis par convection naturelle s’effectue de la manière suivante :
1. Calcul des nombres adimensionnels de Grashof et de Prandtl
2. Suivant la valeur du produit de (Grashof * Prandtl), choix de la corrélation
3. Calcul de Nusselt par application de cette corrélation
4. Calcul de coefficient de transfert h
5. Calcul du flux de chaleur
Corrélations pour calculer les coefficients de transfert de chaleur par convection naturelle :
Corrélations valables pour tous les fluides Nu=C (Gr*Pr) m
Géométrie Gr*Pr C m
Plaques et cylindres verticaux 104 – 109 0.59 1/4
109 – 1013 0.021 2/5
Face inferieure d’une plaque
Température 48 47 46 43 50
moyenne °C
Dimension 3.3 x 3.3 3.3 x 3.3 4.7 x 3.3 4.7 x 3.3 4.7 x 3.3
(m*m)
Les propriétés de l’air à 1 ATM :
La face arrière :
La face droite :
Gr*Pr = 6.49*1010 C = 0.021 et m = 2/5
La face gauche :
Le plafond :
Application Numérique :
Avec :
Constante de Stefan 5,67.10-8 W/m2.k4
: Facteur d’émission de la surface =0,8
S : la surface d’échange S = 68.31 m²
TP: Température de la paroi Tp = 320,15 K
Ta: Température du milieu ambiant Ta = 311,15 K
Donc :
Avec :
= 1.7 m/s (vitesse de l`eau de purge)
= 1.9 *10-3 m² (La section de la conduite)
3
= 897 Kg/m (La masse volumique de l`eau de purge)
= 6 Kg/h (Débit massique de l`eau de purge)
Il existe plusieurs pertes qu’on ne peut pas mesurer dans la réalité, pour cela on les nommée des pertes non
mesurables comme :
Les pertes par imbrulés
Le transfert thermique entre les tubes d’eau est la masse gazeuse.
Les pertes par fuite d’eau et de la vapeur et la masse gazeuse
Le non exactitude des mesures
Application Numérique :
Le calcul du rendement :
Application Numérique :
Hypothèses de travail :
Toute la masse des sels qui entre avec l'eau d'alimentation de chaudière sort avec les eaux de
purge (conservation de masse) ;
Dans cette étude la combustion est considérée oxydante complète ;
Les pertes d’énergie qui accompagne les purges sont négligeables devant les pertes de
fumées.
Avec :
PCI = 9600 Kcal/Kg (pouvoir calorifique inférieur du fuel)
= 229 Kg/h (le débit du fuel)
Application numérique :
Avec:
= 229 Kg/h (le débit du fuel)
= 0,43 Kcal/Kg. ºc (Chaleur spécifique du fuel)
=120 °C (Température du fuel)
= 0°C (Température de référence)
Application Numérique :
Avec :
=9387 Kg/h (Débit massique de l`eau)
= 1 Kcal/Kg. ºc (Chaleur spécifique de l`eau)
= 60°C (Température de l`eau d`alimentation)
= 0°C (Température de référence)
Application Numérique :
Avec :
Cp(air)=0.24 Kcal/Kg. °K (chaleur spécifique de l’air)
° (Température de l’air ambiante)
Tref =0°C (Température de référence)
: Débit d’air nécessaire pour la combustion
On a un 1kg de fuel nécessite 14.09 kilogrammes d’air pour sa combustion
Alors 229Kg/h (débit de fuel)*14.09=3226.61 Kg/h.
Application Numérique :
Application Numérique :
Expression :
Avec :
= 221°c (température des fumées)
= 25°c (température ambiante)
=0.24 Kcal/Kg. °C (Chaleur spécifique de CO2)
Application Numérique :
Application Numérique
D’où :
Avec :
= 221°C (température des fumées)
= 25°C (température ambiante)
= 0.23 Kcal/Kg. °C (Chaleur spécifique de SO2)
Application Numérique :
Application Numérique :
D’où :
Avec :
=221°c (température des fumées)
=25°c (température ambiante)
= 0.46 Kcal/Kg. °c (Chaleur spécifique de H2O)
Application Numérique :
D’où :
Avec :
=221°c (température des fumées)
=25°c (température ambiante)
=0.25 Kcal/Kg. °c (Chaleur spécifique de N2)
Application Numérique :
Application Numérique :
Avec :
Avec :
Constante de Stefan 5,67.10-8 W/m2.k4
: Facteur d’émission de la surface =0,8
S : la surface d’échange S = 48 m²
TP: Température de la paroi Tp = 329,15 K
Ta: Température du milieu ambiant Ta = 298,15 K
Donc :
Avec :
= 5000 Kg/h (Débit massique de la vapeur produite)
= 0,46 Kcal/Kg. ºK (Chaleur spécifique de la vapeur)
= sera déterminé (Température de la vapeur)
=0°C (Température de référence)
= 489 Kcal/Kg (Chaleur latente de vaporisation)
Il existe un réglage automatique qui va assurer la sortie de la vapeur à une pression de 7 bar
On utilisant la relation suivante pour trouver la température :
Le calcul du rendement :
Application Numérique :
Synthèses
Après avoir décrire et étudier le bilan thermique et calculer le rendement de chaque type
des chaudières on peut établir une comparaison en citant les avantages et les
inconvénients des deux types de chaudières :
Inconvénients :
inertie, démarrage lent depuis situation froide
pertes liées aux extinctions-rallumages; pénalisant en fonctionnement intermittent
poids et masse d'eau élevés, encombrement
risque théorique d'explosion côté vapeur (grand volume)
Inconvénients :
moins robuste (mais possibilité plus souple de remplacement de certains
composants)
plus grande sensibilité à la qualité de l'eau d'alimentation (eau déminéralisée requise
si densité de flux élevée)
niveau de bruit légèrement plus élevé
durée de vie plus réduite car fonctionnement moins stable.
Conclusion