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PREPARE PAR :
ACHRAF MAALOUL
Source de normalisation :
Q.1. E.F. ?
Oui, IFRS, PCGA du SCE Oui, mais pas de <->, Identifier un référentiel
généralement reconnues
NB : Avant la fin de ses travaux, le professionnel peut être pressenti pour modifier l’objectif
de sa mission dont le but était de donner une assurance de niveau élevée pour la ramener â
une autre forme d’assurance. Le professionnel examine la demande avec circonspection
(précaution) et ne donne son acceptation qu’après avoir vérifier l’existence de justification
valable ayant motivé la modification.
Evaluation du risque Lettre de mission Prise de connaissance Activités et textes Examen analytique
professionnel de l’entité applicables préliminaire
/environnement/SCI
Stratégie d’audit
Seuil de signification Identification et Détermination des
préliminaire évaluation du RAS réponses
Plan de mission
NB :
Approches d’audit :
Risque d’audit : (ISA 200) risque que l’auditeur exprime une opinion inappropriée lorsque
les E.F. comportent des anomalies significatives.
Question : Pourquoi existe le risque d’audit ?
R.A. = RLC*RI*RND
RI dépend de l’entité
RAS (risque d’anomalies significatives)
RA RLC dépend de l’entité
RND dépend de l’auditeur
Le risque inhérent correspond à la possibilité qu'une assertion comporte une anomalie qui
pourrait être significative, soit individuellement, soit cumulée avec d'autres anomalies,
nonobstant les contrôles existants ». (p 7)
Définition : c’est le risque qu’une assertion comporte une anomalie significative même avec
l’existence d’un SCI : Risques relatifs à une assertion: calculs complexes,
estimation, charges à répartir, difficultés de comptage,
éléments exceptionnels, progrès technologiques
Risques généraux concernant l’entité et son environnement :
secteur d’activité (déclin, activité saisonnière (hôtel)…),
risques spécifiques à l’entité (FR négatif, parties liées, client/
fournisseur important, agences multiples, ≠ d’audit en N-1
intégrité des dirigeants, fraudes…)
Exemples de risques inhérents :
Le risque lié au contrôle est le risque qu'une anomalie qui pourrait se produire au niveau d’une
assertion portant sur une catégorie d’opérations, un solde de compte ou une information à fournir et
qui pourrait être significative, individuellement ou cumulée avec d'autres anomalies, ne soit ni
prévenue, ni détectée et corrigée en temps voulu par le contrôle interne de l'entité. (P 10)
RLC : Facteurs de risques liés à la conception des procédures (opérations répétitives pour
Le RLC est aussi évalué à différents niveaux d’agrégation (EF, Compte..) et dans différentes
phases d’audit. RLC : le SCI n’offre pas une efficience à 100% (comportement des dirigeants,
problèmes humains, taille de l’entité, collusion et malversation…), absence de contrôles
préventifs, absence de contrôles de détection.
Donc l’auditeur doit : 1ère étape : évaluer le RLC et le RI (des risques liés à l’entité)
RLC*RI
Risque de non détection RND : Risque que l’auditeur ne détecte pas une anomalie dans une
assertion en fonction de l’efficacité des tests d’audit (équipe d’audit ne disposant pas des
compétences et de l’expérience nécessaire, l’utilisation des sondages…). (P11)
RND
Les assertions :
survenance C.A. fictif
Type A : Flux Exhaustivité C.A. non déclaré
d’opérations : Exactitude Erreur de saisie
classes 6 et 7 séparation des périodes
imputation comptable C.A. 18%, suspension, export
Existence
Type B : Soldes droits et obligations Stock (-ventes non encore livrées
des comptes : + achats non encore reçues)
classes 1 5 Exhaustivité
valorisation et affectation Stock (FIFO ou CMP), provision ?
Type C : survenance, droits et obligations
Présentation et les Exhaustivité Engagements hors bilan
informations classification et compréhension
fournies dans les exactitude et valorisation
E.F. : 1 7
NB : Les assertions de type « C » ne peuvent être approchées que par les T.S. : je me réfère au
référentiel comptable qui m’oblige à fournir une telle information au niveau des E.F. :
Exemple : note sur les engagements hors bilan.
Section 4 : Les étapes préalables à l'acceptation d'une mission d'audit (1ère phase)
L.M. obligatoire
pour une mission
initiale
Principe : établir une lettre de mission (L.M.)
L.M. encouragée
Modalités pour une mission
d'acceptation récurrente
Exception : dans le cadre d'une mission récurrente,
l'auditeur peut signer le PV de l'AGO qui l'a désigné
sans préparer une lettre de mission
Lettre de mission : mentions obligatoires dans la lettre de mission : droits et obligations p39
Remarques :
1.Etapes de la planification
Les E.P. collectés lors de l’évaluation des risques sont pertinents mais insuffisants. Ils
doivent être accompagnés par des T.P. et des T.S. car ils ne fournissent pas par elles-
mêmes, des E.P. suffisants et appropriés pour fonder une opinion.
Evénement Correction
dynamiques
NB : Rarement, l’auditeur entrera dans le détail des comptes au niveau de cette phase d’audit.
NB : L’E.A. est un puissant outil pour détecter les changements de méthodes et principes
comptables.
Augmentation des soldes clients d’une façon significative alors que les ventes n’ont
pas évolué au même rythme possibilité de ventes fictives pour l’exercice N-1.
Augmentation du C.A. dont la majorité des clients sont des passagers
généralement, les clients passagers sont à haut niveau de risque provision (impayé).
Les marges brutes ont augmenté d’une manière imprévue, ce qui peut révéler
l’existence d’erreur potentielle dans les ventes, le coût des ventes et/ou les stocks.
Les niveaux de stocks ne sont pas en corrélation avec les niveaux des achats.
l’auditeur sait que toute variation significative non expliquée est révélatrice d’un problème
non dominé par l’entreprise et pour lequel il doit faire des recherches approfondies. Par
contre, dans une entreprise où le SCI est inefficient, il est difficile de savoir à l’avance si les
variations sont dues à des anomalies ou à des modifications effectives de l’activité. Le SCI est
également une garantie importante pour la fiabilité des imputations.
Etat de résultat
Revenus CA en concordance avec les affirmations du dirigeant
CA doit suivre les tendances du secteur d’activité
CA doit suivre l’évolution du compte Client (B) avec une pente plus
importante en cas de paiement d’une partie de la créance à la
facturation.
Autres produits Subvention…
d’exploitation
Production immobilisée
Variation des stocks
Achat Achat doit suivre l’évolution du CA
Achat doit suivre l’évolution des stocks
Frais de carburant <-> C.A.
Charge du personnel Charge personnel doit suivre l’évolution de l’effectif du personnel
(secteur travaux publics : CNSS, RS) + évolution du C.A. : pour le
salaire du commercial, il dépend directement du niveau du C.A.
Dotation d’amortissement Amortissement doit suivre l’évolution du compte
« Immobilisations » (B)
Dotation aux provisions Provision doit augmenter suite à la stabilité du compte Client
(clients)
Résultat d’exploitation
Produits de placement Il doit suivre l’évolution des comptes d’immobilisations financières
+ placements courants
Charges financières nettes L’existence des charges financières dépend de l’existence de
concours bancaire / Emprunts / Leasing
Autres gains ordinaires
Autres pertes ordinaires
Résultat des activités ordinaires avant impôt
Impôt sur les sociétés L’impôt doit suivre l’évolution du résultat avant impôt sauf en cas
d’existence d’un avantage fiscal
Résultat des activités ordinaires après impôt
Eléments extraordinaires Il ne doit pas être un élément récurrent
Résultat de l’exercice
La rotation des stocks : Pour le stock de produits finis : Coût des ventes/Stock moyen
Le taux d’endet : Dettes totales/Total des capitaux propres et passifs (vérifier si dettes LMT )
Le caractère significatif et le risque d’audit sont liés : L’auditeur n’est concerné que par les
anomalies significatives Il ne peut être rendu responsable des anomalies non détectées qui
ne sont pas significatives au regard des états financiers pris dans leur ensemble.
L’auditeur examine si l’effet des anomalies détectées et non corrigées, prises individuellement
et en cumulé, sont significatives au regard des états financiers pris dans leur ensemble.
SSP : Montant à partir duquel une inexactitude (anomalie) dans les comptes risque
d’influencer la prise de décision des utilisateurs des états financiers. Sa détermination relève
d’un jugement professionnel.
Cas particulier : Une inexactitude peut s’avérer significative sur le plan qualitatif même si
son montant est inférieur au seuil de signification (Fraude).
NB : Lorsque l’auditeur se trouve dans une situation où l’entité est en difficultés
économiques (résultat déficitaire ou très faible) (au cours d’un redressement judiciaire,
corona), l’auditeur a une obligation de choisir entre les capitaux propres et/ou le total des
actifs.
NB : L’auditeur a une possibilité de réviser le seuil à mesure que progresse l’audit.
Base pertinente du SS
Oui Non
Base pertinente du SS
Oui Non
Allocation du SSG/SSP :
- Le SSP (SSG) est un seuil global à défalquer sur les rubriques des
E.F. (du bilan)
- La partie allouée à chaque rubrique est le seuil de travail.
L’importance relative des rubriques (Rubrique Risquée >>> Rubrique non risquée) ;
Jugement professionnel de l’auditeur, expérience et connaissance du dossier ;
Coût d’audit de chacune des rubriques et le coût total de la mission.
Les rubriques qui risquent de comporter plus d’anomalies (Stock) Allocation pour un
montant plus important que des rubriques peu risquées (immobilisations incorporelles).
Linéaire : Hypothèse : les risques sont les mêmes pour toutes les rubriques (Ce type
d’allocation est non recommandée car les rubriques n’ont pas le même niveau de risques et
n’ont pas aussi le même coût d’audit).
Important pour les rubriques les plus risquées : immo non risqué solde
inchangé ; liquidité normalement risqué mais le SCI est fiable le taux d’erreur
n’est pas important donc on peut réduire l’ET de cette rubrique et l’accorder à la
rubrique stock plus d’économie pour la mission. (Si on a commencé l’affectation
par la rubrique stock, ceci n’était pas possible.
NB 1 : L’auditeur doit fixer une stratégie générale d’audit des E.F. (dans leur globalité).
NB 2 : Par la suite et pour chaque rubrique, pour chaque compte et même pour chaque
assertion, l’auditeur doit évaluer le RAS lié à l’assertion de chaque rubrique Il doit choisir
la stratégie d’audit correspondante.
Remarque : La stratégie corroborative est plus préférée au niveau d’une mission d’audit
initiale (puisque généralement le contact avec le personnel de l’entité est faible). Par la suite,
l’auditeur peut appliquer la stratégie mixte pour les années suivantes à condition que le SCI
soit efficient.
NB : Il existe des cas où il n’est pas possible ou faisable de réduire le RAS à partir des seuls
T.S. :
Une masse d’informations est initiée, enregistrée, traitée ou présentée par informatique
comme dans un système intégré (STEG : édition de presque 10 millions de factures) ;
Une entité qui gère son activité en utilisant un système informatique pour lancer les
commandes d’approvisionnement et réceptionner les marchandises selon des règles
pré-déterminées.
L’auditeur doit :
A. lors de la planification :
- Prendre connaissance du référentiel comptable et son impact sur les
estimations comptables ;
- Les méthodes retenues pour le calcul des provisions ;
- savoir les comptes qui peuvent être affectés par les estimations
comptables ;
- savoir les hypothèses retenues par la direction (afin de les évaluer) ;
- comparaison entre les estimations précédentes et les résultats réels
L’auditeur doit évaluer le RAS lié à chaque estimation comptable.
B. Lors de la mise en œuvre de l’audit
- Evaluer les hypothèses retenues (réalistes/raisonnables) et les méthodes
appliquées (appropriées) par la DG ;
- Vérification des calculs ;
- L’obtention d’une déclaration écrite auprès de la direction et le cas
échéant du personnel constituant le gouvernement d’entreprise quant au
caractère raisonnable des hypothèses retenues par la direction pour
l’établissement des estimations comptables ;
- Revue et test de la procédure suivie par la direction pour procéder à
l’estimation ;
- L’utilisation d’une estimation indépendante pour la comparer avec celle
faite par la direction ; ou
- Revue des événements postérieurs à la date de clôture permettant de
fournir des éléments probants sur le caractère raisonnable de l’estimation ;
- Comparaison entre les estimations faites par l’auditeur et les estimations
de la DG ;
- Analyse des écarts entre les deux estimations : non significatifs RAS
écart significatif savoir
les causes + suivi des Evénements Postérieurs à la Date de Clôture
C. Lors de l’achèvement
L’auditeur doit avoir une lettre d’affirmation signée par la DG comportant, entre autres,
l’exactitude des estimations comptables (les hypothèses utilisées pour les estimations sont
raisonnables).
Techniques utilisées :
- Demandes d’informations auprès du personnel (n’est pas à elle seule suffisante)
- Inspections des documents et rapports tirés du contrôle interne
- La réexécution des contrôles
- Observation physique de l’application des contrôles.
L’auditeur doit procéder aux T.P. à un moment particulier, ou sur toute la période sur
laquelle il a l’intention de s’appuyer.
NB : Si l’auditeur prévoit de s’appuyer sur des contrôles dans un domaine qu’il estime être
avec un risque important (stock), il doit tester ces contrôles au cours de l’audit de la période
en cours.
NB : Les TS sont obligatoires quelque soit l’efficacité du SCI (0,7) : rapprochement des
E.F. avec la comptabilité sous-jacente + examen des écritures comptables significatives et des
autres ajustements enregistrés lors de l’établissement des E.F. (surtout au 31/12).
- Vérifications de détail : (a) ne donnent pas une assurance globale sur les E.F. +
détection précise des anomalies pour chaque opération.
- Procédures analytiques de substance : (b) : donnent une assurance globale sur les
E.F. + détection les anomalies mais sans précision et sans preuves : très efficace pour
les comptes de gestion : assertions types A : ventes, achats + volume importants des
opérations.
Si les T.S. sont réalisés à une date intermédiaire, l’auditeur doit couvrir la période restante
par des T.S. supplémentaires sur cette période, et/ou, des T.P.
NB : Les coûts de ces tests sont plus importants que ceux de l’examen analytique.
Exemple : vérification du GL ventes avec les factures de ventes / circularisation des clients /
contrôle des écritures de paie / vérification des amortissements.
b. Les procédures analytiques de substance
- l’E.A. est très important mais il n’est pas suffisant pour collecter les E.P. nécessaires
lors d’une mission d’audit l’E.A. n’est pas à lui seul une procédure de validation
l’E.A. a une assurance limitée. il doit être corroborer par d’autres P.A.C.
NB : A travers l’évaluation définitive des risques liés au contrôle (RLC), les résultats à
obtenir à travers les T.S. seront en fonction du jugement de l’auditeur :
Ventes :
Achats :
- 1.Obtenir une L.A. auprès de la direction sur son intention de détention des titres à
plus d’une année. Si la direction refuse limitation des travaux réserve au
niveau du rapport.
- 2.Vérification du coût d’entrée des titres : (CT : prix d’achat sans hono. d’étude et de
conseil) ≠ (LT : prix d’achat + hono. d’études et de conseil)
- 3.Rapprochement à la date de clôture entre la V.C. et la J.V. des titres
1 2 3
01/01/N Date du rapport
3. Fixation définitive du SS :
On a effectué une fixation préliminaire
Flexibilité et souplesse s’il convient de modifier le seuil de signification (pour éviter le
refus de certification)
NB : Date de la L.A. < Date du rapport (Très proche de la date du rapport d’audit) (J-1)
NB : Date de la L.A. = < Date du rapport (Très proche de la date du rapport d’audit) (J-1)
NB : L’auditeur financier peut demander une déclaration écrite au cours de la mission d’audit
lorsque cette déclaration est liée à une opération spécifique.
Lorsque l’auditeur se trouve dans une situation où il est engagé dans deux missions envers
l’entité l’auditeur a une obligation de prévoir deux déclarations écrites séparées pour
chaque mission.
Lorsque l’auditeur se trouve dans une situation où :
la direction refuse de fournir une déclaration écrite ; ou
Lorsque
la direction refuse toujours de fournir la déclaration écrite ; ou
le doute sur l’intégrité et la compétence est suffisamment important pour conclure la
non fiabilité de la déclaration
l’auditeur a une obligation de :
considérer le refus de fournir déclaration ou la non fiabilité de la déclaration
comme une limitation de l’étendu des travaux et que l’auditeur n’a pas pu
collecter des E.P. suffisants et appropriés pour fonder son opinion mais
l’auditeur juge qu’il se peut qu’il y a des anomalies non détectées qui sont
significatives et ont incidence généralisée et donc appliquer les diligences de la
norme ISA 705 en exprimant une impossibilité d’exprimer une opinion.
NB : La déclaration écrite peut couvrir tous les états financiers et toutes les périodes audités y
compris les périodes antérieures sachant que le fait qu’un membre de la direction refuse une
partie de la déclaration écrite vu qu’il n’été pas à l’entité durant cette période, l’auditeur doit
signaler à cette personne que cela ne l’exonère pas de sa responsabilité en tant qu’un membre
de la direction et donc ce membre de la direction a une obligation de singer une déclaration
écrite.
3. Paragraphe d’opinion : nom de l’entité + indiquer que ces E.F. ont été audités + intitulé
de chacun des E.F. + référentiel + date ou période couverte.
« Nous avons audité les EF de la société XYZ, comprenant la situation financière
(bilan) au 31/12/N, l’état de résultat global, l’état de variation de KP et l’état de flux de
trésorerie pour l’exercice clos à cette date et un résumé des principales méthodes
comptables et d’autres informations explicatives. »
NB4 : L’auditeur ne doit pas exprimer une opinion sur l’efficacité du SCI.
10. Paragraphe sur les autres obligations en matière de rapport :
NB1 : Ce § n’a pas d’incidence sur l’opinion.
NB2 : Exemples des obligations :
- Livres d’inventaire ;
- Respect des articles 12-16 CSC
- Evaluation du SCI (266 CSC)
- Exactitude des inf. au niveau du rapport de gestion ;
- Comptabilité des titres…
11. Nom de l’associé responsable de la mission, la signature, l’adresse de l’auditeur et la
date :
- Nom de l’associé responsable de la mission :(sauf en cas de risque
important pour la sécurité de la personne.
- Date (après la date de l’obtention de la lettre d’affirmation +
approbation des E.F.(269 CSC))
Présomption : l’auditeur a effectué toutes les diligences requises par l’ISA 560 «
E.P.D.C. » : il a examiné les événements significatifs entre la date de clôture et la date du
rapport. possibilité de double datation (ISA 560).
Celle qui a donné lieu à la modification du rapport (ISA 705 ou ISA 570)
- NB : Il faut communiquer les QCA aux responsables de gouvernance : risque de
divulgation du secret professionnel
- Si l’auditeur doit décider de choisir entre § d’observation et QCA QCA (A3.ISA706).
1. Paragraphe d’observations :
- Possibilité de l’insérer immédiatement après le § de fondement de l’opinion s’il porte sur
un référentiel d’information financière applicable inacceptable ou non prescrit par des
textes légaux ou réglementaires. (ISA 706 parag A16)
- Avant ou après la section de QCA selon l’importance relative.
Exemple :
- incertitude quant au dénouement ultérieur d’un litige/réglementation ;
- événement postérieur important survenu entre le 31/12 et la date de son rapport ;
- application anticipée (lorsqu’elle est permise) d’une nouvelle norme comptable qui a une
incidence significative sur les états financiers ;
- catastrophe majeure qui a eu, ou continue d’avoir, une incidence importante sur la
situation financière de l’entité…
Diligences
Q1 : Evénements/situations relevés
Incertitudes significatives
Oui Non
Oui Non
NB : §A.1. Une incertitude significative liée à des événements ou situations susceptibles de jeter un
doute important sur la capacité de l’entité à poursuivre son exploitation constitue, par sa nature, une
question clé de l’audit.
ISA 710 :
Si on a été auditeur des E.F. de 2017, est-ce-que ces E.F. (N-1) ont été modifié après notre
audit (ISA 560 ou pour motif de manipulation) / le rapport de (N-1) comporte-t-il une opinion
modifiée ou non ? cette opinion a-t-elle un impact sur les E.F. de (N) ou non ?
Responsabilité de l’auditeur
à la période N
ISA 510
Soldes d’ouverture
Soldes des comptes N-1 Mêmes méthodes comptables
exacts sauf si le changement a
fait l’objet d’une information appropriée
ISA 720 :
But : inexistence d’incohérences significatives de ces informations avec les E.F. sachant que
l’auditeur n’a pas de responsabilité quant à leur présentation (correcte ou non).
Exemples :
NB : Si l’auditeur ne pourra pas obtenir des E.P. sur les E.F. du groupe + sur les composantes
importantes : (§.29)
ISA 620
NB 1 : Notion d’Expert
Expert : autres que dans le domaine de la comptabilité et l’audit ISA 620. (expert interne
(€ le cabinet) // (expert externe (n’appartient pas au cabinet).
Expert : autres que dans le domaine de la comptabilité et l’audit mais pour l’aider dans le
domaine de la préparation des E.F. ISA 500. (§8+A34+A35 surtout A48)
§8. La nature, le calendrier et l’étendue des procédures d’audit visées par les exigences des
paragraphes 9 à 13 de la présente norme ISA varieront selon les circonstances. Lors de la
détermination de la nature, du calendrier et de l’étendue de ces procédures, l’auditeur doit
notamment tenir compte des facteurs suivants :
d) les connaissances et l’expérience que possède l’auditeur au sujet des travaux réalisés
antérieurement par l’expert ;
e) le fait que l’expert soit soumis ou non aux politiques et procédures de contrôle qualité du
cabinet.
§9. L’auditeur doit évaluer si l’expert possède la compétence, les capacités et l’objectivité
nécessaires par rapport à ses besoins. Dans le cas d’un expert externe, l’évaluation de
l’objectivité doit comprendre des demandes d’informations concernant les intérêts ou
relations pouvant constituer une menace à l’objectivité de l’expert.
ISQC 1 : Contrôle qualité des cabinets réalisant des missions d’audit ou d’examen
d’états financiers, ainsi que d’autres missions d’assurance et de services connexes
Indépendance
§24. Au moins une fois l’an, le cabinet doit obtenir, de tous ses membres tenus d’être
indépendants selon les règles de déontologie pertinentes, une confirmation écrite du respect
de ses politiques et procédures relatives à l’indépendance. (Réf. : par. A10 et A11)
Documentation de la mission
Constitution des dossiers de mission définitifs
§45. Le cabinet doit établir des politiques et procédures visant à ce que les équipes de mission
achèvent la constitution des dossiers de mission définitifs en temps opportun après la
finalisation du rapport de mission. (Réf. : par. A54 et A55)
§A54. Il se peut que des textes légaux ou réglementaires prescrivent des délais au terme
desquels la constitution des dossiers de mission définitifs pour des types particuliers de
49 Achraf MAALOUL – Expert comptable
Résumé Audit financier CES RC
missions doit être achevée. Lorsque tel n’est pas le cas, le paragraphe 45 exige que le cabinet
fixe des limites de temps qui tiennent compte de la nécessité d’achever la constitution des
dossiers de mission définitifs en temps opportun. Dans le cas d’un audit, par exemple, le délai
fixé serait normalement d’au plus 60 jours à compter de la date du rapport de l’auditeur.
Revues
§16. L’associé responsable de la mission doit assumer la responsabilité de veiller à ce que les
revues soient effectuées conformément aux politiques et procédures de revue du cabinet. (Réf.
: par. A16, A17 et A20)