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Bourdieu
¤ Portant sur l’action (dans quelles mesures sommes-nous libres d’agir à notre guise ?)
¤ Portant sur la conscience (dans quelles mesures notre conscience réflexive
pense-t-elle de façon libre, sans être prise dans des illusions socialement produites ?)
Liberté d’action se regarde par l’habitus -manière de jouer de l’agent social appréhendée- > il
joue en fonction de son jeu -en fonction de son accès aux capitaux-. C’est sa position dans la
structure objectivée qui détermine ses dispositions à l’action -son habitus-. Attention, cela
prend la forme d’une action spontanée, ce n’est pas comme l’application mécanique d’une
règle > principes incorporés.
Sa liberté est donc, au mieux, une liberté conditionnelle « choix du nécessaire ». Par contre,
une conscience des déterminismes est possible > notre liberté est essentiellement une
liberté de conscience.
Nous donnons aux situations la force qu’elles ont sur nous de par la représentation que nous
nous en faisons. En agissant sur notre vision du monde, la sociologie pourrait alors élargir
nos possibilités d’action sauf si en voyant le déterminisme nous sommes découragés. 2
extrêmes.
Ressort essentiel de la domination passe par la culture comme capital surtout dans la
dimension incorporée, sous forme de violence symbolique. Une seule culture reconnue
comme légitime > la culture savante -apanage des classes supérieures-. Analysons cela en
5 temps :
a. Définition culture
Verdrager dit qu’il y a une échelle de mesure de la culture. Les catégories dominantes
allant de 0 au degrés maximum des élites culturels -pas de culture des classes
populaires-. Et la moyenne ?
Regard porté sur les pratiques populaires = misérabiliste, disqualifiant, renvoie a une
suite de manques. Cherchent une satisfaction immédiate -peu de
verbalisation/théorisation-.
Il alimente les préjugés culturels. De plus, il ne conçoit pas l’émancipation des classes
populaires par l’affirmation de la légitimité de leur propre culture, car elle est selon lui
inexistante, cela est donc possible uniquement par l’accès à la culture dominante.
Genaer : en 1970 -FWB- > reconnaissance des pratiques culturelles issues de milieux
populaires comme étant de la culture.
Avant, accès à la culture savant pour les classes supérieures. Aujourd’hui, toujours le cas
mais prennent moins de place, au profit d’un éclectisme sélectif. Classes populaires
aiment un nombre restreints de genres > classes supérieurs aiment et pratiquent de
multiples genres et activités -sauf pour la télévision > mépris surtout pour la téléréalité qui
correspond le plus à la culture populaire-.
● Musique : musique classique, jazz, pop, rock apprécie sauf pour formes/artistes
les plus populaires.
● Cinéma : classes supérieures = cinéma d’auteurs, gouts communs à toutes les
catégories sociales mais rejettent films correspondant le plus aux classes
populaires.
Les choses changent dans l’offre culturelle : frontières entre les genres et aux sein même
de ceux-ci évoluent -selon histoire à laquelle il faut s’intéresser pour comprendre ce qui
caractérise le capital culturel-.
● Au sein du genre musical classique > les plus connues deviennent communes
dès lors > X une marque de distinction.
● Genre/arts considérés comme mineurs (chanson, photo, BD) acquièrent une
légitimité .
Il y a donc un flou entre les genres savants et populaires > la classe dominante n’est
en réalité pas la seule à pouvoir faire reconnaitre sa production culturelle.
d. Qu’est ce qui explique la diversification des gouts et la fluidité des frontières entre les
genres reconnus ?
Quand l’accès à l’école s’est massifié, elle a perdu la transmission d’une norme exclusive
qui est celle de la culture savante. Public plus hétérogène > pas tous familiers avec la
culture savante. Institution scolaire à d’autres genres que les savants. Les enseignants
prennent en compte la culture juvénile et font le choix de rejoindre les gouts des publics
éloignés de la culture savante.
En dehors de l’école, des instances de diffusion -industries culturelles > radio, télé- > rôle
très important dans la production du flou culturel. Le soucis est commercial, ils doivent
toucher un large public et s’éloignent donc de la culture savante.
Loin du gout exclusif pour la culture savante -vue comme snob aujourd’hui-, l’éclectisme
= principes démocratiques contemporains. Il n’empêche pas la distinction : c’est bien de
manière réflective -savante- que les classes dominantes s’approprient les œuvres -même
les plus populaires-.
⮚ Objectives :
Pour la génération entrée sur le marché du travail pendant les « trente glorieuses »
les chances d’ascensions sociales et d’élévation du niveau de vie sont importantes.
Fin des années 70 = l’inverse > inégalités importantes entre les groupes sociaux
-inégalités scolaires, forte homogamie-.
⮚ Subjectives :
La conscience de classe s’est réduite > idéologie de l’accomplissement individuel en
croissance (valeurs = autonomie, liberté, réalisation de soi). Par contre, toutes les
catégories sociales ne sont pas égales par rapport aux moyens nécessaires pour
accéder à cette autonomie. Les classes populaires sont les grandes perdantes car ils
ont des aspirations fortes mais pas de ressources pour les satisfaire (Chauvel).
Affaiblissement des collectifs porteurs de normes auxquelles s’identifier prive aussi
les catégories populaires des ressources que peut offrir la solidarité de classe.
Sociologues s’intéressant aux classes sociales ont pris acte de ces changements culturels >
prennent en compte la façon dont chaque individu est marqué et compose avec de multiples
strates du social (classes, genre) dans une perspective intersectionnelle
Goffman :
L’identité
L’identité ne se réduit pas au jeu des acteurs (règles interactions + ressources cérémonielles
disponibles en jeu également).
Plus d’identité individuelle mais une multiplicité des identités -autant que le nombre
d’interactions ou l’individu s’engage-. Terme identité parait vidé de son sens + continuité
biographique semble se défaire -plus rien ne reliant les expériences faites dans les
interactions différentes, même lorsque les interactants sont familiers-.
Ce n’est pas uniquement la conception de Goffman, d’autres visions sont similaires, projetant
l’image de moi éclatés, discontinus.
1. Ogien (de lui ou selon lui dans le contexte de l’analyse de Goffman ?) : unicité du moi
réside dans la continuité des règles de l’interaction.
2. Schwalbe : stabilité dans le lien émotionnel à la face > façon dont chacun est
singulièrement attaché au traitement subi par sa face = stable dans le temps. Si on
admet que la dimension émotionnelle joue dans l’action > fil rouge liant les lignes de
conduite adoptées par un individu d’une interaction à l’autre.
3. Si l’on parle de stigmates > être porteur de caractéristiques disqualifiants affecte ka
façon durable de l’identité -effets récurrents dans beaucoup d’interactions-.
⮚ Ces 3 positions n’annulent pas la multiplicité du moi mais la mettent en tension avec
un pôle d’unicité.
Respect des règles moins important que de donner l’apparence de les respecter. Si on
associa moralité à sincérité et à l’authenticité d’une personne > l’individu de Goffman est
cynique/machiavélique. L’immoralité est surtout pertinente face au jeu de l’interactant.
Ceux qui considèrent l’individu comme immoral sous estimerait l’importance de la sacralité
de la face car il y a quand même une nécessité de respecter les règles et de les prendre au
sérieux.
Bovone : morale envisagée comme engagement dans situation prenant en compte spécificité
de chacun = tenter de maintenir une définition de la situation préservant la face et le
sentiment de réalité. L’éthique est donc proche d’une pratique -plus mouvante et floue que la
loi morale- et d’une esthétique.
Réponse postmoderniste qui ne va X satisfaire ceux à ceux ne renonçant pas à une part
d’intériorité qui permet de prendre au sérieux une conscience réflexive/intentionnalité
dépassant le temps de l’interaction.
Sociologues contemporains X satisfaits car ils veulent préserver les acquis de la perspective
goffmanienne et les conceptions d’identités dans la culture occidentale -intériorité stable-. Ils
proposent d’articuler les 2 pôles pour penser l’identité individuelle :
⮚ Pole interactionniste -comment se joue l’identité dans les contacts avec autrui-.
⮚ Pole intérieur -différentes expériences vécues avec autrui > évaluation critique des
règles du jeu social > développement agir éthique dépassant le temps de la
situation-.
L’ordre social
Ordre de l’interaction = ordre social X fixer finalités à poursuivre mais plutôt régulation des
comportements individuels. Problème = les règles de l’interaction constituent un ordre social
mais aussi une identité individuelle sacrée -c’est en sacralisant la face que l’ordre social est
respecté-. Sans ordre social > individu sans valeur-sans existence même-.
⮚ Homologie de structure individu/ordre social > les mêmes règles constituent l’un et
l’autre -la force de l’un fait celle de l’autre-. C’est en sauvant la face que l’on sauve la
situation, c’est ce qui fait que tout échec est déstabilisant (désordre de l’interaction
défait la réalité du moi individuel).
Type de société de Goffman = individualistes ayant pour corollaire le constat que cet ordre
n’est pas universel (ne vaut pas pour toutes les sociétés/époques).
Kuznics : invite à considérer que tout dans l’ordre social n’est pas historiquement spécifique
-reste à départager ce qui peut être considéré comme contingent et ce qui renvoie à
l’universel-.
Goffman ne permet pas de penser une action visant la transformation de l’ordre social, elle
se limite à considérer les possibilités de l’agir en situation pour sauver la face
Katovich et Reese (connaitre les noms ?) : sans conception du moi stable > impossible de
penser une action d’opposition inscrite dans la durée. Absence de continuité du pole réflexif
ne permet pas la prise de distance vis-à-vis des règles du jeu social
Sennett : vision statique sans prise en compte du temps. Règles/usages et caractéristiques
considérées comme stigmates > fruits d’une histoire dont rien n’est dit. Elle permet de
penser comment le genre est produit dans chaque interaction MAIS pas de saisir le
processus historique par lequel il s’est constitué ni les actions contribuant à une
transformation sociale émancipatrice.
Par conception faible on entend une conception donnant plus de place chez l’interctant à
l’anticipation du risque encouru du fait du contact avec autrui qu’à celle du plaisir éprouvé à
être en sa présence. On envisage X l’absence de prise en compte de la tonalité effective du
lien a autrui.
⮚ Dans son approche théorique -peur liée à la vulnérabilité du moi, la face inconnue de
l’autre = peur du contact > cette peur explique la nécessité de l’émergence d’un ordre
social permettant le lien à autrui-.
Condition de félicité -rendre compréhensible en étant conforme aux règles- donne lieu à la
peur -pour éviter d’éveiller l’alarme chez autrui, par un comportement compréhensible pour
ne pas être interprété comme dangereux-.
A l’origine des règles de l’interaction en public non focalisée = conception faible du lien social
de sorte que la peur et le retrait l’emportent sur l’élan portant vers autrui. Cette conception du
lien social coïncide avec une vision de l’individu peu sensible au plaisir du contact, au gout
des autres.
Sennet : portée politique et éthique de ces visions sont plus ou moins ouvertes à l’altérité.
Tönnies :
⮚ Gemeinschaft : il insiste peu sur certains traits -n’élabore pas les dangers-
o Dumont : affirmation de soi et expansion vont de pair : destruction de l’autre,
de ce qui n’est pas semblable à ce qui définit l’unité communautaire
⮚ Gesellschaft : peu sensible a certaines valeurs auxquelles nous sommes très
attachés aujourd’hui. Il réduit à une dimension égoïste et matérialiste de la liberté de
choix individuelle. Il est également peu favorable à la démocratie -élitisme-
Au fil de son évolution intellectuelle et politique, ce choix semble se déplacer > il imagine une
articulation entre un Etat régulateur et redistributeur fonctionnant dans une logique
rationnelle de Gesellschaft et une prolifération de groupes coopératifs au niveau local
proches de l’esprit de Gemeinschaft.
⮚ Le mouvement ouvrier de son temps prend des initiatives qu’il voit : organisation
communautaire de solidarité -forme contemporaine de Gemeinschaft- pour faire face
aux défis de la question sociale. Par cela, il anticipe la perspective de penseurs
contemporains (combiner de façon heureuse de ces 2 modes de socialité pouvant
imaginer les formes contemporaines de Gemeinschaften).
Dernières éditions de son œuvre comportent les deux formes de lien social comme des
idéaltypes -constructions intellectuelles pour rendre la réalité plus intelligible sachant qu’elle
est toujours plus complexe et mêlée que l’idéal conceptuel-.
Parfois il est ambigu, utilisant des concepts comme s’ils étaient descriptifs de sociétés
d’anciens régimes et du monde moderne. Il associe la Gemeinschaft au passé et la
Gesellschaft au présent et encore plus à l’avenir du monde moderne-. Cela fige les
différences entre sociétés occidentales modernes et sociétés autres.
La dernière critique est la plus forte car elle est sans issue. On peut rééquilibrer la vision de
la Gemeinschaft en étant attentif aux dangers et celle de la Gesellschaft en étant ouvert à
ses mérités. On peut aussi veiller à considérer les 2 concepts comme des idéaltypes -toute
réalité socio-culturelle comprenant les 2-. Par contre, on ne peut produire une alternative a
leur opposition sans remettre en question la construction proposée par Tönnies.
Son analyse amène a penser la modernité occidentale comme affectant chacun de façon
homogène, dans un monde valorisant l’individu -son indépendance, sa raison, sa réussite
matérielle, son authenticité-.
Chauvel : classes populaires risquent de faire les frais des aspirations à a réalisation de soi
alors qu’elles avaient peu de moyen de les accomplir (déjà vu chez Bourdieu).
Sennett : à partir de fin 19e siècle, la classe ouvrière formait une Gemeinschaft autour d’un
ensemble de collectifs au sein desquels la solidarité a un rôle important. Or, à partir des
années 1970, cette Gemeinschaft n’est plus, l’adhésion à ces collectifs ayant faibli >
réduction des appuis disponibles pour la réalisation de soi.
Picon et Pincon-Charlot : de l’autre côté, la grande bourgeoisie est maintenue dans la force
de cohésion d’une Gemeinschaft (individu moins important que la lignée dans laquelle se
transmettent des capitaux -économiques et culturels mais aussi sociaux et symboliques-). La
cohésion familiale est maintenue car il y a une importance de la formation des héritiers. Ce
sens du collectif serait l’ultime privilège dans cette classe sociale prônant l’individualisme
libéral.
Cette classe sociale met en avant l’individualisation des rapports salariés/entreprise >
flexibilité de la réduction du rôle de l’état au niveau des travailleurs employés. Cette classe
sociale se garde bien d’utiliser les mêmes principes lorsqu’il s’agit d’elle.
Chauvel : au niveau des classes moyennes, il distingue 2 périodes. 1945-1975 > au cœur de
la perspective individualiste car ils sont le relais de ces valeurs pour les classes populaires
ET bénéficiaire possibilité d’ascension sociale. Après 1975 > hétérogénéisation classe
moyenne (1 partie peut se rapprocher de la classe supérieure, l’autre des catégories
populaires). Seule la 1e aura les ressources -économiques, sociales, culturelles- pour
concrétiser les injonctions de l’autonomie et en tirer un mieux-être.
Weber :
Domination
Sintomer : vision élitiste de la domination, regard focalisé sur le chef et son appareil de
domination (les modes de résistance des dominés sont dans l’ombre). Il ne permet pas de
penser en commun de ceux en dehors d’une adhésion émotionnelle à un chef.
Démocratie
-cadre = domination rationnelle-légale-. Sa conception est limitée, car sauf si elle est directe
(impossible dans des états de masse), elle se résume à une domination bureaucratique par
des élites (hauts fonctionnaires, chefs de parti) formellement légitimée par le peuple via le
processus électoral. Les dominés ne semblent pas pouvoir apporter une contribution
rationnelle aux débats démocratiques.
Vision agonistique des rapports fait qu’il ne voit le chef comme imposant sa volonté aux
autres et non comme les mobilisant autour dune action collective en faveur d’objectifs
communs. Donc, dès qu’il y a représentation, il y a domination.
Pour lui, la démocratie n’est pas une idée centrale (pas d’idéaltype) et n’apparait dans son
œuvre et son action politique que de façon instrumentale (il n’est favorable à la
démocratisation que si elle permet de limite la domination et assure la puissance de l’Etat
allemand). Dans le contexte du syndicalisme révolutionnaire et du bolchevisme, favorable à
la social-démocratie que si elle permet d’éviter que les ouvriers ne se séparent de la nation.
Rationalisation
La seule issue qu’il propose au processus de rationalisation (mince face à son diagnostic)
semble irrationaliste. Toutes les issues qui pourraient contribuer à une solution rationnelle
sont éliminée par Weber.
Issue X démocratique, X de nouvelles règles ni débat scientifique > issue ne peut venir que
de la créativité d’individus porteurs de charisme et de l’adhésion émotionnelle qu’ils
susciteront (contrepoids bureaucratie -ayant une autorité sur elle- même si eux-mêmes
seront contrôlés par le parlement).
Fatalisme
⮚ ? non pas sur il va y avoir un processus de rationalisation car la réponse est oui
selon lui. ? = les formes que prendra ce processus.
MAUSS : (Godbou)
Caillé refuse importance à ce qui pourrait être représenté comme une dette originelle.
Singleton : analyse proposée par le MAUSS -don comme roc du social- et son anthropologie
-appât du don et du gain- = indépendantes de toutes société > l’universalisme est-il vraiment
possible ?
? de la pertinence de la valorisation comme roc du social une logique qui n’a pas la liberté et
l’égalité comme valeurs essentielles des sociétés contemporaines. Pour la liberté, paradoxe
l’articulant à la contrainte -part indépassable de contrainte qui accompagne la logique du
don-.
⮚ Godbout présente une part de liberté plus grande au don moderne effectué dans la
sphère du don aux inconnus, idéalisation ?
Pour l’égalité, femmes plus donatrices dans la sphère domestique -inégalités en terme
d’emploi, aux revenus, loisirs, engagement politique et reconnaissance-. Difficile de valoriser
la logique du don sans entretenir cela.
Du coté des donataires, le don ne garanti pas l’égalité d’accès à ses bienfaits -contrairement
aux avantages de la logique étatique-.
Penser le don dans le contexte de la structure sociale = montrer une de ses limites
-caractère socialement injuste, contrairement à la logique redistributive de l’Etat-.
Sennett :
Centrée sur la dimension visuelle mais il y en a d’autres, notamment matérielles > rapports
de pouvoir, argent, forces capitalisme évoquées mais pas de réel développement
X reproche de découper l’objet d’étude dans un ensemble plus vaste mais d’attribuer au
facteur choisi une force excessive dans l’explication.
Wilson montre la neutralisation de l’espace qui va contribuer à l’accès de la ville aux femmes
-sécurité- que Sennet n’envisage pas > analyse simplifiée en acceptant la limitation à la
dimension visuelle.
Pdv critique sur la tendance au regroupement ethnique dans les mégapoles car il faut
contraindre que ceux-ci excluent ceux qui n’ont X la même origine et qu’ils coupent ceux qui
vivent une citoyenneté plus large.
Leeuwen : ces communautés peuvent être des moyens d’intégration dans la ville au sens
large, Sennett semble oublier que l’identité peut avoir plusieurs couche et ne peut être
réduite a l’appartenance communautaire. De plus cela peut éveiller la confiance en soi >
formation de revendications politiques autant une portée plus large que la communauté.